Environnement économique de l entreprise. Séance 2. Simon Porcher porcher.iae@univ-paris1.fr
|
|
- Justin Denis
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Environnement économique de l entreprise Séance 2 Simon Porcher porcher.iae@univ-paris1.fr
2 Les délocalisations
3 Quelques chiffres Salaire brut horaire moyen dans le textile Moyenne UE: 14 $ US : 20 $ Turquie: 3 $ Inde: 0,5 $ Gagnants et perdants des délocalisations? France fût attractive: position géographique, qualité de la MO UK attractif: finance, fiscalité Pouvoir d achat Travailleurs peu qualifiés perdants
4 Quelques chiffres Aux États-Unis, entre 1979 et 1995, le salaire réel des travailleurs sans diplômes a baissé de 20 % alors que celui des titulaires d un diplôme universitaire a augmenté de 14 %. Phénomène identique en France via le chômage: écarts de salaire réel augmentent Liens avec les délocalisations? Simplement phénomène montrant un des effets négatifs de la mondialisation Délocalisations = plus généralement la concurrence des pays émergents Résultat également des stratégies d entreprises Importations et réexportations, c est le «made in Germany»
5 Le cas GM 2009: Etat US prend 60 % du capital de l entreprise. Restructurations des activités industrielles et délocalisations vers le Mexique Suppression de emplois aux États-Unis. L entreprise est redevenue compétitive et l État américain vient de se retirer en quasi-totalité du capital de General Motors. Similaire à la restructuration de Chrysler en 1979 qui avait reçu à l époque une garantie de 1,5 milliard de dollars en échange de la suppression de emplois.
6 Quelques chiffres Délocalisations =/= IDE IDE: mouvements de capitaux pour maintenir une filiale à l étranger ou prendre contrôle d une entreprise à l étranger Ex: Carrefour en Chine Délocalisations: transferts d activités (et de capitaux) vers un autre pays, précédés de la fermeture d activités dans le pays domestique
7 Les raisons des délocalisations - Coût de la main d œuvre et cotisations sociales - Fiscalité - Coût de transports faibles - Stratégie de production (plus proche des fournisseurs / du marché) - Coût des matières premières inférieur dans les PVD - Organisation de la production et réglementations
8 Les raisons des relocalisations - Qualité de la main d œuvre / expérience (productivité) - Equipements de qualité - Adaptations rapides à la demande - Facilite la coordination des activités - Réduction des délais - Diminution des coûts de transports - La mondialisation gomme les écarts de prix des matières premières - Eviter le plagiat, espionnage industriel, les contrefaçons etc. - Problèmes de qualité des produits - Patriotisme économique
9 Point de vue des économistes - Juste meilleure allocation du capital - Renouvellement industriel ou destruction créatrice (Schumpeter) - Hausse du pouvoir d achat emplois sur emplois industriels - «la société est encastrée dans l économie» Polanyi
10 Coût du travail n est pas essentiel La productivité : c est le rapport, en volume, entre une production et les ressources mises en œuvre pour l obtenir (INSEE) On distingue plusieurs types de productivité : du travail, du capital, des investissements, des matières premières, etc.
11
12
13 Explications de la faiblesse des gains de productivité? - Insuffisance des efforts d innovation - Insuffisance de la qualification de la population active par rapport à d autres pays (US, Suède) - Faiblesse du secteur des nouvelles technologies (qui connaît des gains de productivité importants) - En général, poids plus faible des secteurs les plus productifs.
14 Les délocalisations CSU (coût salarial unitaire : rapport entre coût salarial de la production et sa valeur) CSU = coût salarial total / quantités produites = coût horaire moyen de la main d œuvre / productivité horaire du travail Des coûts salariaux élevés ne sont pas un obstacle si la productivité est élevée.
15 Les délocalisations CSU peut être distordu par le taux de change La Chine a une productivité du travail 10 fois moins grande que les US Mais un coût du travail 33 fois moins grand CSU relativement avantageux pour les US mais sous-évaluation de la monnaie chinoise
16 Les délocalisations Les justifications des délocalisations sont principalement liées aux coûts de production (coût de la main d œuvre, fiscalité avantageuse, faibles coûts des matières premières). A l opposé, les raisons qui ont poussé les entreprises à relocaliser leur production en France ont peu à voir avec les coûts de production (problèmes de qualité, de communication, de délais, de plagiat, etc.). Pour permettre des comparaisons internationales sur les coûts salariaux, on utilise le coût salarial unitaire pour prendre en compte à la fois les salaires et la productivité.
17 Comprendre les décisions des entreprises: - Choix des techniques et des facteurs de production (quelle combinaison de facteurs de production?) - Choix de production (quelle quantité?) - Choix des prix (à qui vendre et à quel prix?) - Les économies d échelle
18 Le profit d une entreprise - But de l entreprise : maximiser leurs profits. - Comment écrit-t-on très simplement, le profit d une entreprise en économie? - Profit = Recettes totales Coûts totaux - π = RT CT - Recettes totales = Nb. de B&S vendus (Q) * Prix de vente (P)
19 Comment décompose-t-on sur le premier graphique le coût total? - Il est décomposé entre coûts fixes et coûts variables. - On a la relation : Coût total = coûts fixes + coûts variables, soit : CT(Q) = CF + CV(Q) - Coûts fixes : ce sont des coûts indépendants du nombre d unités produites par une firme. - Exemples? Location ou achat du bâtiment, achat des machines, etc. - Coûts variables : ce sont les coûts qui varient proportionnellement à l activité des firmes. - Exemples? Achat de matières premières, frais d expédition, de transport, etc.
20 Qu a-t-on représenté sur le deuxième graphique? - Le coût moyen de l entreprise : c est le coût de l entreprise par unité produite. - On a la formule : CM(Q) = CT / Q - Que remarque-t-on? - Le coût moyen commence par être décroissant, puis à partir de Q=3, il est croissant du nombre d unités produites. - Pourquoi?
21 Le concept d économie d echelle : - On parle d économies d échelle lorsque le coût moyen, c est à dire le coût par unité produite, décroit avec la quantité produite. - A quoi cela peut-il être dû? (P. 128/129) - Taille du site de production : Spécialisation et division du travail, Indivisibilité, Principe du contenant, Efficacité plus importante des grandes machines, Produits dérivés, Production en plusieurs étapes - Taille de l entreprise : Economies organisationnelles, Dépenses générales, Économies financières, Economies de variété. - Et lorsque le coût moyen est croissant du nombre d unités produites?
22 Le concept de déséconomies d échelle : - On parle de déséconomies d échelle lorsque le coût moyen d une entreprise augmente suite à une augmentation du nombre d unités produites. En général, à partir d un certain niveau de production, la firme souffre de déséconomies d échelle. - Quelles peuvent être les raisons? (P.130) - Des problèmes de management et de coordination - La répétitivité du travail
23 Comment déterminer la taille optimale de l entreprise? - On parle de niveau de production efficient lorsque l entreprise produit au minimum de ses coûts moyens. La taille minimale optimale pour une entreprise sera donc la taille au-delà de laquelle il n est plus possible de réaliser des économies d échelle. - Dans le cas étudié, quel serait le niveau de production efficient pour l entreprise? - Le niveau de production efficient pour l entreprise serait une production de 3 unités. En effet, c est le niveau de production pour lequel les coûts moyens sont minimaux.
24 Coût total : c est l ensemble des coûts supportés par l entreprise, soit la somme des coûts fixes et des coûts variables. Coûts fixes : ce sont les coûts qui ne varient pas avec le niveau de production. Coûts variables : ce sont les coûts qui varient avec le niveau de production. Coût moyen : c est le coût par unité produite, soit le coût total divisé par le nombre d unités produites. Niveau de production efficient : c est le niveau de production qui minimise les coûts moyens. Taille minimale optimale de l entreprise : taille au delà de laquelle il n est plus possible pour l entreprise de réaliser des économies d échelle.
25 Pour minimiser ses coûts de production, l entreprise peut également devoir choisir entre plusieurs alternatives pour produire ses B&S. On parle alors d un choix de technique de production. L exercice 1.2 propose d étudier deux techniques de production différentes et de déterminer quelle technique sera plus avantageuse pour l entreprise en fonction du nombre d unités produites.
26 La technique de production 1: - A combien s élèvent les salaires? Le salaire mensuel est de et il faut 10 employés, soit un total de salaires à pour l entreprise. - Quels sont les coûts fixes? C est le coût des machines (dans ce cas, les salaires pourraient être compris dans les coûts fixes). 10 machines à , soit CF = Quels sont les coûts variables pour 0 unités, pour unités produites? Le coût variable est de 4 euros par unité produite. CV(0) = 0 et CV(2 000) = Quel est le coût total pour l entreprise? CT2(Q) = Salaires + CF + CV(Q) = Q
27 La technique de production 2: - A combien s élèvent les salaires? Le salaire mensuel est de et il faut 10 employés, soit un total de salaires à pour l entreprise. - Quels sont les coûts fixes? C est le coût des machines (dans ce cas, les salaires pourraient être compris dans les coûts fixes). 1 chaîne de montage à , soit CF = Quels sont les coûts variables pour 0 unités, pour unités produites? Le coût variable est de 1 euro par unité produite. CV(0) = 0 et CV(2 000) = Quel est le coût total pour l entreprise? CT1(Q) = Salaires + CF + CV(Q) = Q
28 Choix de la technique de production. - Comment l entreprise arbitre-t-elle entre les deux techniques de production? - L entreprise cherche à minimiser ses coûts pour un niveau de production donné. Si le prix des B&S produits par l entreprise est constant, minimiser les coûts revient à maximiser les profits des entreprises. - Cherchons pour quel niveau de production la technique de production 1 sera moins coûteuse pour l entreprise : - Façon 1 : par le tableau. On regarde les colonnes de coûts totaux. On remarque que la technique de production 1 est moins coûteuse jusqu à un niveau de production inférieur à unités. A partir de ce niveau, la technique de production 2 est moins coûteuse pour l entreprise. - Façon 2 : par le calcul. On cherche Q tel que : CT1(Q) < CT2(Q) Soit Q < Q Soit 3Q < => Q < unités. Donc si l entreprise veut produire moins de unités, elle devra choisir la technique de production 1, si l entreprise souhaite produire plus de unités, elle devra choisir la technique de production 2 pour minimiser ses coûts.
29 Choix de la technique de production. - Quel impact d une baisse du salaire mensuel? Les deux techniques de production nécessitent d embaucher un nombre égal de travailleurs. Une baisse du salaire mensuel n aurait alors aucun impact sur le choix des entreprises. Ex : Avec salaire mensuel = 0. CT1(Q) < CT2(Q) => Q < Q => 3Q < => Q < unités.
30 Technique de production : on appelle techniques de production les différentes alternatives qu une entreprise possède pour produire ses B&S. Choix de la technique : Une entreprise étant rationnelle, elle va choisir la technique de production qui maximise ses profits. Or pour un niveau de production et de prix donnés des B&S produits par une entreprise, maximiser les profits revient à minimiser les coûts de l entreprise (i.e. minimisation du coût total ou du coût moyen).
31 On distingue les coûts fixes des coûts irrécupérables (sunk costs) Les coûts fixes ne sont pas nécessairement irrécupérables Investissements spécifiques vs. standards Si les investissements sont standard, il est parfois possible de les revendre. Loyer vs. équipements Il est important d ignorer les coûts irrécupérables lors des prises de décision concernant la production de l entreprise. Un agent rationnel ne tient pas compte des coûts irrécupérables dans sa prise de décision Exemple du mauvais film au cinéma, de l achat d un mauvais joueur joueur en NBA ou d un mauvais choix d investissement. Allez-vous vous continuer dans une mauvaise voie simplement parce que vous avez déjà investi beaucoup? 2/5
32 P.Q C(Q) = P.Q (CFR + CFI + CV(Q)) Le profit de l entreprise est égal à zéro lorsque : P= C(Q)/Q = Coût moyen Le profit de l entreprise est égale à - CFI quand : PQ-CFR-CV(Q)=0 P=(CV(Q)+CFR)/Q Donc tant que le prix est supérieur au coût variable moyen (incluant les CFR) il vaut mieux produire, même à perte car l activité permet de couvrir une partie des coûts moyens d exploitation A long terme cette situation est bien sûr intenable
Concurrence imparfaite
Concurrence imparfaite 1. Le monopole 2. Concurrence monopolistique 3. Hotelling et Salop 4. Concurrence à la Cournot 5. Concurrence à la Bertrand 6. Concurrence à la Stackelberg Monopole Un monopole,
Plus en détailFORMULES DE CALCUL. Prix = PV TTC = PV HT x (1 + taux de TVA) TVA = PV HT x taux de TVA PV HT = PV TTC 1 + taux de TVA
FORMULES DE CALCUL Le prix : Prix = PV TTC = PV HT x (1 + taux de TVA) TVA = PV HT x taux de TVA PV HT = PV TTC 1 + taux de TVA Ex : PV TTC = 250 x 1,196 = 299. TVA = 250 x 19,6 % = 49. PV HT = 299 = 250.
Plus en détailDérivés Financiers Contrats à terme
Dérivés Financiers Contrats à terme Mécanique des marchés à terme 1) Supposons que vous prenez une position courte sur un contrat à terme, pour vendre de l argent en juillet à 10,20 par once, sur le New
Plus en détailExcel Avancé. Plan. Outils de résolution. Interactivité dans les feuilles. Outils de simulation. La valeur cible Le solveur
Excel Avancé Plan Outils de résolution La valeur cible Le solveur Interactivité dans les feuilles Fonctions de recherche (ex: RechercheV) Utilisation de la barre d outils «Formulaires» Outils de simulation
Plus en détailPrincipe d optimisation. Optimisation technico-économique. Coût. Isolation thermique. Isolation optimale
Optimisation technico-économique Objectif : obtenir une certaine prestation à moindre coût Dans le domaine du bâtiment, cette optimisation peut s appliquer à trois niveaux différents : choix des composants
Plus en détailLogistique, Transports
Baccalauréat Professionnel Logistique, Transports 1. France, juin 2006 1 2. Transport, France, juin 2005 2 3. Transport, France, juin 2004 4 4. Transport eploitation, France, juin 2003 6 5. Transport,
Plus en détailLes investissements internationaux
Conclusion : Doit-on réguler les IDE? Les investissements internationaux Introduction : Qu est ce qu un investissement direct à l étranger (IDE)? I) L évolution des IDE 1 Les IDE : une affaire entre riches
Plus en détailAnnexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique
Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Les échanges de marchandises (biens et services), de titres et de monnaie d un pays avec l étranger sont enregistrés dans un document comptable
Plus en détailLes coûts de la production. Microéconomie, chapitre 7
Les coûts de la production Microéconomie, chapitre 7 1 Sujets à aborder Quels coûts faut-il considérer? Coûts à court terme Coûts à long terme Courbes de coûts de court et de long terme Rendements d échelle
Plus en détailLivret 10. Mise à jour février 2008. Département Tertiaire
Élaborer mon étude financière Livret 10 Calculer mon seuil de rentabilité Mise à jour février 2008 Département Tertiaire Avertissement au lecteur Le présent fascicule fait l'objet d'une protection relative
Plus en détailOUTILS EN INFORMATIQUE
OUTILS EN INFORMATIQUE Brice Mayag brice.mayag@dauphine.fr LAMSADE, Université Paris-Dauphine R.O. Excel brice.mayag@dauphine.fr (LAMSADE) OUTILS EN INFORMATIQUE R.O. Excel 1 / 35 Plan Présentation générale
Plus en détailEpreuve de Sciences économiques et sociales
Epreuve de Sciences économiques et sociales Sujet zéro 1 1/ Question d analyse microéconomique ou macroéconomique (6 points) Expliquer et représenter graphiquement les gains à l échange. 2/ Conduite d
Plus en détailLE RISQUE DE CHANGE INTRODUCTION : LE MARCHE DES CHANGES : ORGANISATION ET FONCTIONNEMENT. touscours.net
LE RISQUE DE CHANGE INTRODUCTION : LE MARCHE DES CHANGES : ORGANISATION ET FONCTIONNEMENT I. LE MARCHE AU COMPTANT : A. DEFINITION : Le marché au comptant, encore appelé «marché spot» est le marché sur
Plus en détailBecca Distribution Inc
Becca Distribution Inc 12-31-2008-12-31-2009 Becca Distribution Inc - Becca_2008.opt Page 3 Mesures clés du rendement de l'entreprise Seuil de rentabilité Valeur cible % Rentabilité % Rentabilité = 0 Période
Plus en détail- Introduction : la globalisation commerciale d hier et d aujourd hui
Plan du cours : - Introduction : la globalisation commerciale d hier et d aujourd hui - I. Les théories du commerce international - les avantages comparatifs (Ricardo) - les dotations de facteurs (HOS)
Plus en détailMicrosoft Excel : tables de données
UNIVERSITE DE LA SORBONNE NOUVELLE - PARIS 3 Année universitaire 2000-2001 2ème SESSION SLMD2 Informatique Les explications sur la réalisation des exercices seront fournies sous forme de fichiers informatiques.
Plus en détailLe crédit relais immobilier
juillet 2012 n 31 crédit Les mini-guides bancaires www.lesclesdelabanque.com Le site pédagogique sur la banque et l argent Le crédit relais immobilier 1 FBF - 18 rue La Fayette - 75009 Paris cles@fbf.fr
Plus en détailMegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant
MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité
Plus en détailI. Entrée en vigueur de l avenant salaires n 21 à compter du 1 er novembre 2013
Les salaires minima applicables à compter du 1 er janvier 2015 CCN n 3241 En résumé : I. Entrée en vigueur de l avenant salaires n 21 à compter du 1 er novembre 2013 L avenant n 21 sur les salaires minima
Plus en détailL oligopole ESCP 2012 2103
Structures de marché L oligopole Anne Yvrande Billon ESCP 2012 2103 1 Plan du cours (1/2) 1. Introduction : qu est ce qu un oligopole? 2. L oligopole de Cournot 3. Le «paradoxe de Bertrand» 2 1. Introduction
Plus en détailLes conséquences de la crise financière et économique sur l implantation internationale des PME et ETI
Les conséquences de la crise financière et économique sur l implantation internationale des PME et ETI Jiawei Ye Pramex International Université Paris-Dauphine - 1 - - 2 - Pramex International (cabinet
Plus en détailIntroduction à la gestion de l entreprise
1 L2S4 Introduction à la gestion de l entreprise Devoirs 2 Devoir 1 La société CEVRERO enregistre les opérations suivantes en 2010 : 1 - vente de marchandises à un client 4 000 à crédit 2 - payement note
Plus en détailLa Journée de solidarité
La Journée de solidarité En vue d assurer le financement des actions en faveur de l autonomie des personnes âgées ou handicapées, la loi du 30 juin 2004 a mis en place une journée de solidarité : les salariés
Plus en détailP A P 1 D 1 -S 1 S 1 D 1
Les instruments de la politique commerciale - tarifs: source de revenu et protection des industries nationales -pécifiques : montant fixe par unité de bien importé (exemple: 100 par voiture) -Ad-valorem:
Plus en détailVariations du modèle de base
1 Variations du modèle de base Dans ce chapitre nous allons utiliser le modèle de base du chapitre précédent pour illustrer certaines questions économiques simples. Ainsi, le modèle précédent nous permettra
Plus en détailL ANALYSE EN COMPOSANTES PRINCIPALES (A.C.P.) Pierre-Louis GONZALEZ
L ANALYSE EN COMPOSANTES PRINCIPALES (A.C.P.) Pierre-Louis GONZALEZ INTRODUCTION Données : n individus observés sur p variables quantitatives. L A.C.P. permet d eplorer les liaisons entre variables et
Plus en détailCoût de fabrication ou d achat. Calcul des besoins Management Industriel et Logistique (4) (2) (1) (2)
Etude de cas 1 : La société Lebreton fabrique un produit A dont la nomenclature est la suivante (les chiffres entre parenthèses indiquent le nombre de composants dans un composé de niveau immédiatement
Plus en détailCRÉDIT D'IMPÔT RECHERCHE ET JEUNES DOCTEURS
CRÉDIT D'IMPÔT RECHERCHE ET JEUNES DOCTEURS La réforme 28 est particulièrement incitative à l embauche de jeunes docteurs. Deux des nouvelles dispositions de la réforme 28 du crédit d impôt recherche (CIR)
Plus en détailMonia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi
Version 4.7 Simulation d Entreprise «Artemis» Monia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi p. 1 1. Objectifs et Contexte Général L objectif de la simulation d entreprise «Artemis» est
Plus en détailThéorie Financière 4E 4. Evaluation d actions et td d entreprises
Théorie Financière 4E 4. Evaluation d actions et td d entreprises Objectifs de la session 1. Introduire le «dividend discount model» (DDM) 2. Comprendre les sources de croissance du dividende 3. Analyser
Plus en détailIntroduction à la gestion de l entreprise
L2S4 Introduction à la gestion de l entreprise Notes de cours 1 Avertissement - Ces notes sont les notes de cours de l enseignant. Elles sont susceptibles d être révisées régulièrement. - Leur usage est
Plus en détailL Épargne des chinois
L Épargne des chinois (Patrick ARTUS Johanna MELKA) Colloque Cirem-Cepii-Groupama AM 29 septembre 25 Indicateurs de «qualité de vie» en Chine 199 1995 2 22 23 Nombre d'écoles par 1 habitants 9,1 7,82 6,48
Plus en détailLicence professionnelle Systèmes informatiques et logiciels spécialité développement d'applications Internet/Intranet
IUT - Institut Universitaire de Technologie Licence professionnelle Systèmes informatiques et logiciels spécialité développement d'applications Internet/Intranet / Objectifs de cette licence professionnelle
Plus en détailCREER UNE ENTREPRISE A JERSEY
CREER UNE ENTREPRISE A JERSEY Avant toute autre démarche, il faut avoir un «business plan» (projet professionnel) solide et bien conçu. Pour cela, il vous suffit de suivre les instructions ci-dessous :
Plus en détailQuel est le temps de travail des enseignants?
Quel est le temps de travail des enseignants? Dans les établissements publics, les enseignants donnent, en moyenne et par an, 779 heures de cours dans l enseignement primaire, 701 heures de cours dans
Plus en détailModules de formation H R S E R V I C E S
Modules de formation H R S E R V I C E S C est en s inspirant de la collaboration avec ses partenaires professionnels que Securex a conçu ce catalogue de formations dédié aux différents aspects de la gestion
Plus en détailLes pourcentages. Un pourcentage est défini par un rapport dont le dénominateur est 100. Ce rapport appelé taux de pourcentage est noté t.
Les pourcentages I Définition : Un pourcentage est défini par un rapport dont le dénominateur est 100. Ce rapport appelé taux de pourcentage est noté t. Exemple : Ecrire sous forme décimale les taux de
Plus en détailLa nouvelle grande révolution. pure energy
La nouvelle grande révolution pure energy Scénario mondiale 1998 Protocole de Kyoto Obligation pour 184 Nations les pays Objectif Réduire les émissions de gaz participants: à effet de serre dans le monde.
Plus en détailLA GESTION DE LA FORCE DE VENTE ABORDEE SOUS L ANGLE DE LA REMUNERATION
LA GESTION DE LA FORCE DE VENTE ABORDEE SOUS L ANGLE DE LA REMUNERATION Depuis quelques années, on constate une grande évolution de la fonction vente ; avec le passage de la notion de l acte de vente à
Plus en détailCONSULTATION LIVRE VERT DE LA COMMISSION EUROPEENNE. CONTRIBUTION DE WINAMAX Opérateur de Poker en ligne en France
CONSULTATION LIVRE VERT DE LA COMMISSION EUROPEENNE CONTRIBUTION DE WINAMAX Opérateur de Poker en ligne en France PROPOSITION REDIGEE PAR XS CONSEIL ID REGISTER XS CO137752272 31 JUILLET 2011 --------------------
Plus en détailFaurecia : un premier semestre 2015 en très forte progression ; guidance annuelle révisée à la hausse
Nanterre, le 24 juillet 2015 Faurecia : un premier semestre 2015 en très forte progression ; guidance annuelle révisée à la hausse Chiffre d affaires total en hausse de 12,6% à 10,51 milliards d euros
Plus en détailL ÉCHO de GUSTAVE La Page d Economie du Lycée Gustave Eiffel de Budapest
L ÉCHO de GUSTAVE La Page d Economie du Lycée Gustave Eiffel de Budapest Atelier de la classe de premiere en Sciences Economiques & Sociales Revue de presse économique, politique et sociale française Janvier
Plus en détailMarchés Financiers. Cours appliqué de finance de marché. Change
Marchés Financiers Cours appliqué de finance de marché Change Aoris Conseil Emmanuel Laffort 1 Finance de marché (Devise) 2009-2010 Change - Généralités Caractéristiques Marché international Premier marché
Plus en détailCours Marché du travail et politiques d emploi
Cours Marché du travail et politiques d emploi L offre de travail Pierre Cahuc/Sébastien Roux ENSAE-Cours MTPE Pierre Cahuc/Sébastien Roux (ENSAE) L offre de travail 1 / 48 Introduction Introduction Examen
Plus en détailPROCÈS-VERBAL DE DÉSACCORD DU 22 JANVIER 2013
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Accord professionnel CAISSE D ÉPARGNE PROCÈS-VERBAL DE DÉSACCORD DU 22 JANVIER 2013 RELATIF
Plus en détailLe Crédit Relais Immobilier
031 www.lesclesdelabanque.com Le site d informations pratiques sur la banque et l argent Le Crédit Relais Immobilier Les Mini-Guides Bancaires FBF - 18 rue La Fayette - 75009 Paris cles@fbf.fr Mai 2012
Plus en détailSouad EL Bernoussi. Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/
Recherche opérationnelle Les démonstrations et les exemples seront traités en cours Souad EL Bernoussi Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/ Table des matières 1 Programmation
Plus en détailDes caisses diversifiées et gérées professionnellement. Les Caisses privées
Des caisses diversifiées et gérées professionnellement Les Caisses privées 3 La simplicité rendue accessible 4 Qu est-ce qu une Caisse privée? 6 La diversification, ou comment réduire votre risque 8 Une
Plus en détailDirection des Études et Synthèses Économiques Département des Comptes Nationaux Division des Comptes Trimestriels
Etab=MK3, Timbre=G430, TimbreDansAdresse=Vrai, Version=W2000/Charte7, VersionTravail=W2000/Charte7 Direction des Études et Synthèses Économiques Département des Comptes Nationaux Division des Comptes Trimestriels
Plus en détailSéquence 2. La production dans l entreprise. Sommaire
Séquence 2 La production dans l entreprise Sommaire 1. Comment l entreprise produit-elle? 2. Comment évaluer la performance de l entreprise Corrigés des exercices 1 1 Comment l entreprise produit-elle?
Plus en détailGuide pratique de l épargnant
Guide pratique de l épargnant Article 83 euro rendre votre contrat / Effectuer des versements individuels facultatifs / La vie de votre contrat en 8 questions / C otre complément de revenu / Consulter
Plus en détailChapitre 1 Quelles sont les sources de la croissance?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 18 mars 2015 à 13:38 Chapitre 1 Quelles sont les sources de la croissance? Notions : PIB, IDH, investissement, progrès technique, croissance endogène, productivité
Plus en détailL écart salarial entre les femmes et les hommes en Belgique
L écart salarial entre les femmes et les hommes en Belgique Rapport 2014 Table des matières Le rapport 2014... 5 1. Différences salariales générales... 6 1.1 L écart salarial en salaires horaires et annuels...
Plus en détailL éducation financière. Manuel du participant Les notions de base du crédit
L éducation financière Manuel du participant Les notions de base du crédit 2 Contenu DOCUMENT 6-1 Les types de crédit Type de crédit Prêteur Usages Modalités Crédit renouvelable Carte de crédit (garantie
Plus en détailRédaction d un Plan d affaires
Rédaction d un Plan d affaires Catherine Raymond 2001 INTRODUCTION Raisons qui ont motivé la rédaction du plan d affaires Personnes ou organismes qui ont collaboré à l élaboration du plan d affaires Sommaire
Plus en détailCroissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés
POUR DIFFUSION : À Washington : 9h00, le 9 juillet 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À DIFFUSION Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés La croissance
Plus en détailCICE - Présentation Accès à DS mode CICE
CICE - Présentation Accès à DS mode CICE Menu Etats / CICE (disponible uniquement avec Sage Déclarations Sociales Avancée) 2 options sont proposées : «Accès direct», c est-à-dire sans transfert de données
Plus en détailChapitre 2 Introduction aux objectifs des coûts. Pr. Zoubida SAMLAL-Doctorante en Risk Management MBA, CFA
Chapitre 2 Introduction aux objectifs des coûts Pr. Zoubida SAMLAL-Doctorante en Risk Management MBA, CFA Objectif du chapitre Faire la différence entre les coûts et les charges Définir les inducteurs
Plus en détailCOORDINATION NON COOPÉRATIVE: MÉTHODES D ENCHÈRES
COORDINATION NON COOPÉRATIVE: MÉTHODES D ENCHÈRES Cours 6c Principe Protocole centralisé, un commissaire-priseur/vendeur (auctioneer) et plusieurs enchérisseurs/acheteurs (bidders) Le commissaire-priseur
Plus en détailBénéficiaire de l'allocation de solidarité spécifique. Vos droits en cas de reprise d'activité
Notice DAJ 154 Mise à jour janvier 2008 Bénéficiaire de l'allocation de solidarité spécifique Sommaire Vos droits en cas de reprise d'activité Activité salariée de 78 heures par mois et plus ou activité
Plus en détailLA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE
LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE par John P. Martin, Martine Durand et Anne Saint-Martin* Audition
Plus en détailL indispensable à la croissance de votre entreprise LE VRP MULTICARTE! Petit aujourd hui forcément grand demain CCVRP
CCVRP 7 et 9 rue Frédérick-Lemaître 75971 PARIS CEDEX 20 Téléphone : 01 40 33 77 77 Télécopie : 01 47 97 75 44 Site : www.ccvrp.com Mail : accueil@ccvrp.com Petit aujourd hui forcément grand demain Organisme
Plus en détailL Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte
L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte Partie 3: L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte On abandonne l hypothèse d économie fermée Les échanges économiques entre pays: importants, en
Plus en détailLa comptabilité de gestion : Fiche pourquoi?
La comptabilité de gestion : Fiche pourquoi? 1 Définition Selon le plan comptable général, la comptabilité de gestion fait apparaître deux aspects : Connaître les coûts et les résultats par produit. Agir
Plus en détailLes marchés financiers sont-ils rationnels?
Les marchés financiers sont-ils rationnels? Une expérience de marché financier Céline Jullien, docteur Bernard Ruffieux, professeur à l Université Pierre Mendès France et à l ENSGI, Grenoble. Une expérience
Plus en détailAccès aux antiviraux contre les hépatites dans les pays à bas et moyens revenus : produire localement des génériques. Maurice Cassier CNRS CERMES3
Accès aux antiviraux contre les hépatites dans les pays à bas et moyens revenus : produire localement des génériques Maurice Cassier CNRS CERMES3 Production de génériques dans les PVD et accessibilité
Plus en détailLaure DELAHOUSSE Directrice Epargne Retraite. Epargne Retraite, l heure des choix FIER Paris avril 2012
Laure DELAHOUSSE Directrice Epargne Retraite Epargne Retraite, l heure des choix FIER Paris avril 2012 Epargne retraite, l heure des choix > L épargne retraite en France : l histoire d un non choix l exception
Plus en détailMa banque, mes emprunts et mes intérêts
Ma banque, mes emprunts et mes intérêts Alexandre Vial 0 janvier 2009 Les intérêts cumulés Je place 00 e à 4% par an pendant un an. Donc au bout d un an, j ai 00 + 00. 4 = 00 00( + 4 ) =04 e. 00 Cependant,
Plus en détailLES CONTRATS EN AVICULTURE. Comité Volailles FranceAgriMer, 31 janvier 2013 1
LES CONTRATS EN AVICULTURE Comité Volailles FranceAgriMer, 31 janvier 2013 1 CONTEXTE, OBJECTIFS ET MÉTHODE Comité Volailles FranceAgriMer, 31 janvier 2013 2 CONTEXTE Déficit de compétitivité français
Plus en détailLA COMPLEMENTAIRE SANTE OBLIGATOIRE : QUESTIONS/REPONSES
LA COMPLEMENTAIRE SANTE OBLIGATOIRE : QUESTIONS/REPONSES UFT 68, rue CARDINET 75017 PARIS Tel : 01.47.66.49.68. SOMMAIRE I. Les obligations à l égard des entreprises... 2 À partir de quand les entreprises
Plus en détailLiège, le 8 juillet 2014 APPEL EXTERNE AUX CANDIDATURES N 2014-090
Centre Hospitalier Universitaire de Liège Domaine Universitaire du Sart Tilman B35 4000 LIEGE 1 www.chuliege.be Département de Gestion des Ressources Humaines Service Recrutement Liège, le 8 juillet 2014
Plus en détailMODELE DE CONTRAT DE TRAVAIL A DUREE INDETERMINEE ENTRE PARENTS ET ASSISTANTES MATERNELLES
MODELE DE CONTRAT DE TRAVAIL A DUREE INDETERMINEE ENTRE PARENTS ET ASSISTANTES MATERNELLES Ce modèle a une fonction d information La Convention Collective Nationale des assistants maternels du particulier
Plus en détailLISTE D EXERCICES 2 (à la maison)
Université de Lorraine Faculté des Sciences et Technologies MASTER 2 IMOI, parcours AD et MF Année 2013/2014 Ecole des Mines de Nancy LISTE D EXERCICES 2 (à la maison) 2.1 Un particulier place 500 euros
Plus en détailEconomie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech
Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Stéphane Gallon Caisse des Dépôts stephane.gallon@caissedesdepots.fr https://educnet.enpc.fr/course/view.php?id=2 1 Macroéconomie : croissance à
Plus en détailChapitre 1. L intérêt. 2. Concept d intérêt. 1. Mise en situation. Au terme de ce chapitre, vous serez en mesure de :
Chapitre 1 L intérêt Au terme de ce chapitre, vous serez en mesure de : 1. Comprendre la notion générale d intérêt. 2. Distinguer la capitalisation à intérêt simple et à intérêt composé. 3. Calculer la
Plus en détailANALYSES DES PROPOSITIONS DU MEDIATEUR
ANALYSES DES PROPOSITIONS DU MEDIATEUR Ce dossier comprend : - Fiche info #01 - Le Médiateur - Infos sur le calcul de salaires proposées par le Médiateur - La grille "B3" - La grille "B2" - La grille "B1"
Plus en détailPierre Marchand Consultant
Pierre Marchand Consultant 1 Avant-propos Mot de bienvenue Présentation du formateur Logistique Mise en garde Modifications par rapport à 2012-2013 Les exemples présentés proviennent des paramètres de
Plus en détailCegid Business Paie. Mise à jour plan de paie 01/03/2014. Service d'assistance Téléphonique 0 825 070 025
Cegid Business Paie Mise à jour plan de paie 01/03/2014 Service d'assistance Téléphonique 0 825 070 025 Mise à jour plan de paie Mars 2014 Sommaire 1. MISE A JOUR DE MARS 2014... 4 Eléments nationaux...
Plus en détailLE FACTURIER EN LIGNE
LE FACTURIER EN LIGNE CONDITIONS D UTILISATION VALOR Consultants délègue, à concurrence d'un montant de 1.000 HT, la possibilité d'établir pour des prestations réalisées et facturées en France : 1. des
Plus en détailENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010
Initiation à l économie ENSAE, 1A Maths Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr Septembre 2010 Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne Les ménages comme agents économiques
Plus en détailCroissance des ventes en France et amélioration de la génération de free cash flow
Ivry, le 30 juillet 2014 Croissance des ventes en France et amélioration de la génération de free cash flow Stabilisation du chiffre d affaires du Groupe au 2 nd trimestre : -0,3% à magasins comparables,
Plus en détailDES PAROLES ET DES ACTES : LES 4 MENSONGES DE MONSIEUR LENGLET
Cette fiche élaborée par la commission économie du Parti de Gauche révèle les 4 "erreurs" fondamentales issues de l'argumentaire que Monsieur Lenglet a opposé à Jean-Luc Mélenchon lors de l'émission des
Plus en détailElaboration et Suivi des Budgets
Elaboration et Suivi des Budgets 1 1- La Notion Du contrôle de Gestion 2- La Place du Contrôle de Gestion dans le système organisationnel 3- La Notion des Centres de responsabilité 4- La procédure budgétaire
Plus en détailProgrammation linéaire
Programmation linéaire DIDIER MAQUIN Ecole Nationale Supérieure d Electricité et de Mécanique Institut National Polytechnique de Lorraine Mathématiques discrètes cours de 2ème année Programmation linéaire
Plus en détailAnnexe B : Exemples. Avis de vente aux enchères liées Système de plafonnement et d échange de droits d émission de gaz à effet de serre (GES)
Annexe B : Exemples Avis de vente aux enchères liées Système de plafonnement et d échange de droits d émission de gaz à effet de serre (GES) Ce document fournit des exemples sur la façon de déterminer
Plus en détailLA COMPLÉMENTAIRE SANTE OBLIGATOIRE : QUESTIONS - RÉPONSES
LA COMPLÉMENTAIRE SANTE OBLIGATOIRE : QUESTIONS - RÉPONSES UFT 68, rue Cardinet 75017 PARIS SOMMAIRE I. Les obligations à l égard des entreprises... 2 À partir de quand les entreprises doivent-elles être
Plus en détailLivret du joueur KEY FLASH. Montage et commercialisation de clés USB originales. Sommaire
Livret du joueur KEY FLASH Montage et commercialisation de clés USB originales Sommaire Préambule page approvisionnement page 4 production page 6 marketing page 10 administration finance page 1 Partenaires
Plus en détailCOURS GESTION FINANCIERE SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS ET PLACEMENTS A COURT TERME
COURS GESTION FINANCIERE SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS ET PLACEMENTS A COURT TERME SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS
Plus en détailLa pension de vieillesse au Luxembourg: réglementation et modalités de calcul. Florence Navarro
La pension de vieillesse au Luxembourg: réglementation et modalités de calcul Déjeuner-débat ELSA Florence Navarro 2 juillet 2014 Le principe des 3 piliers en matière de pension 1 er pilier Sécurité sociale
Plus en détailSPP, ou plan d achat d actions
SPP, ou plan d achat d actions destiné aux salariés permanents du groupe Randstad France Au sein du Groupe Randstad, nous avons la conviction que notre personnel est notre atout le plus précieux. C est
Plus en détailComment prendre soin de son argent? Séminaire de préparation à la retraite ONU 27 mars 2015 Marie-Pierre Fleury Patrick Humair
Comment prendre soin de son argent? Séminaire de préparation à la retraite ONU 27 mars 2015 Marie-Pierre Fleury Patrick Humair Introduction Devises Taux d intérêt Immobilier Obligations Actions Fonds de
Plus en détailUtiliser des fonctions complexes
Chapitre 5 Utiliser des fonctions complexes Construire une formule conditionnelle avec la fonction SI Calculer un remboursement avec la fonction VPN Utiliser des fonctions mathématiques Utiliser la fonction
Plus en détailMacroéconomie. Monnaie et taux de change
Macroéconomie Monnaie et taux de change Marché des changes Le taux de change de en $ correspond au nombre de $ que l on peut acheter avec un exemple: 1 = 1,25 $ (1 $ = 0,8 ) Une appréciation du taux de
Plus en détailEvolution des dépenses de fonctionnement en par habitant
Evolution des dépenses de fonctionnement en par habitant R1 Autres Intérêts Personnel 239 +8% 259 +130% 104 +157% 202 +6% 213 95 7 +90% 5 4 +509% 30 9% +28% 8 38 Depuis 2004, le conseil régional a considérablement
Plus en détailQuelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation?
Indicateur Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? En 2008, les pays de l OCDE ont consacré 6.1 % de leur PIB cumulé au financement de leurs établissements d enseignement.
Plus en détailI / Un marché planétaire de la devise
I / Un marché planétaire de la devise Le marché des changes est le plus important des marchés. Pour beaucoup, il apparaît également comme le plus parfait des marchés, sur lequel l information circule vite
Plus en détailFocus. Lien entre rémunération du travail et allocation de chômage
Focus Lien entre rémunération du travail et allocation de chômage Introduction Le travailleur qui devient chômeur et qui est admissible sur base de prestations de travail se voit, en application du principe
Plus en détailSimulation d application des règles CNAV AGIRC ARRCO sur des carrières type de fonctionnaires d Etat
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 10 avril 2014 à 9 h 30 «Carrières salariales et retraites dans les secteurs et public» Document N 9 Document de travail, n engage pas le Conseil Simulation
Plus en détailLivret d accueil. Notice - modèle type de livret d accueil Conseils pour assurer une intégration réussie. Livret d accueil.
1 Notice - modèle type de livret d accueil Conseils pour assurer une intégration réussie Janvier 2014 2 NOTICE L intégration d un jeune embauché dans une entreprise et au sein d une équipe de travail est
Plus en détailChapitre 4 : cas Transversaux. Cas d Emprunts
Chapitre 4 : cas Transversaux Cas d Emprunts Échéanciers, capital restant dû, renégociation d un emprunt - Cas E1 Afin de financer l achat de son appartement, un particulier souscrit un prêt auprès de
Plus en détail