Edme Serrurier. «Entrepreneur de la Manufacture Royalle des Terres d Angleterre Etablie a Paris» Christian de La Hubaudière Chantal Soudée Lacombe

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Edme Serrurier. «Entrepreneur de la Manufacture Royalle des Terres d Angleterre Etablie a Paris» Christian de La Hubaudière Chantal Soudée Lacombe"

Transcription

1 Edme Serrurier «Entrepreneur de la Manufacture Royalle des Terres d Angleterre Etablie a Paris» Christian de La Hubaudière Chantal Soudée Lacombe Tous ceux qui étudient la céramique française du xvi i i e s i è cle ren con trent un jour ou l autre le n om d Edme Serru ri er, tant son apport a été d é terminant dans son dom a i n e : il a été le prem i er fabricant en Fra n ce de ce qu on appell e improprement la faïence fine, et qu il faut en fait appeler «terres blanches», ce que ses contemporains nommaient «terres d Angleterre» en région parisienne, et «terre de pipe» en Lorraine 1. «Perso n n a ge très impo rt a n t» avait insisté Henry-Pierre Fourest,lorsqu au début des années , nous lui avi ons révélé l interven ti on du «Si eur Serru ri er» à Si n ceny. Dep u i s, a rti cles et o uvra ges se sont su cc é d é 2, con s ac rant la bell e production de Serrurier sous le terme général de terres du «Pon t - a u x - Ch o u x». Voici le fruit de quelques découvertes récentes sur la formation et la vie de ce faïencier heureux dans ses entrepris e s, car il fut bi en l un des ra res à s en ri chir en pratiquant la céramique Ses origines Il était issu d une famille de meu n i ers, r é p a rti s a utour de La Machine (Ni è vre ), au sud-est de Nevers. On les tro uve installés à Be a u m on t - Sa rdo ll e s, à Ch a m p vert, à Th i a n ge s, etc. et leu r ancêtre commun semble être un Esme, mort aux alentours de Celui qui nous intéresse a dû naître vers , et il apparaît en janvier 1704 aide-bedeau à Druy, où vit sa sœur Claudine, qui a épousé Philippe Bellevaux, marchand 3. Qui dit Bellevaux dit faïence. Dès le milieu du xvi i e s i è cl e, une Jeanne Bell evaux est l épo u s e d un maître faïencier de Nevers, Pierre Richard 4. Pu i s, en , G a bri el Bell eva u x, t a bell i on de Druy, place son jeune beau-frère et pupille Henry Trou apprenti faïencier à Nevers 5. Ce qui permet aux cousins Bell evaux d all er fra pper à la porte de la faïencerie de Saint-Cloud dont Henri Trou est devenu le maître en : y trava i ll ent Je a n Ba pti s te Bell eva u x, cité déjà marié en , et Louis Bell evaux qui meu rt à Sa i n t - Cloud en Il est possible qu Edme Serrurier ait commencé un appren ti s s a ge soit à Nevers, s oit même plu s près de Druy, à Dec i ze, où Gu i llaume Seg u i n, maître faïencier de Nevers a obtenu des échevins en 1701 la permission de s installer 7. Mais les lacunes et les destructions d archives de cette époque ne permettent pas d en avoir le cœur net. Sa période rouennaise, Hen ri Trou étant mort en , ses fils en core trop jeunes et Jean Ba pti s te Bell evaux en défaveur, c est non pas à Saint-Cloud, mais à Rouen qu Edme Serru ri er est envoyé pour trava i ll er. Il est cité en janvier 1705 à Saint-Sever, la paroisse des faïenciers, où il parraine, avec la grosse signature encore empruntée du jeune qui s applique, la fille de François Poisson, peintre en faïence qui rentre de Nevers et l a peut-être amené avec lui 8. Sa commère en l occurrence est une fille de Louis P é ri er, a utre pei n tre nevers oi s, prob a ble auteu r du pich et marqué «L. P.» et daté du 2 6 ju i ll et 1708, la plus ancienne pièce polychrome datée de Rouen (fig. 1). Si Serru ri er, en core ga r ç o n, est souvent ad m i s pour parra i n, c est qu il vit dans le clan de s Nevers ois de Ro u en, les Péri er, Mi et te, Bo u gi er, Le Gu ay, Del a h a i s, Bo u r goüin et autres De s p a tys, qui l ont adopté et lui accordent leur cauti on. A cet te époqu e, à Ro u en, les faïen c i ers nivern a i s ti en n ent le haut du pav é, l em prise de Nevers est en core très forte. Les jeunes Ro u ennais parten t n om breux s y form er et y résider, et ce, ju s qu a u x années

2 de Ma r g u eri te Louise Le Bo u ll en ger, é pouse séparée de Mi ch el Po tera t, d i te aussi «la dame De s m a re s» ou l une des «dames de Saint-Eti en n e», propri é t a i re de l en treprise depuis , p u i s a u près de celle qui lui a su cc é d é, sa nièce, Lo u i s e Le Bo u ll en ger, M m e de Vi ll eray. Pri m o, en 1729, i l a s s i s te au rem a ri a ge de la veuve de Fra n ç oi s Du m e s n i l, qui fut le f a cteur (d i recteu r) de M m e de Vi ll eray ; s ec u n do, il a séduit Ch a rl o t te Le Bo u ll en ger de Glagny, n i è ce et cousine germ a i n e de ces dames, et il va l épo u s er. A-t-il rem p l ac é Fra n ç ois Dumesnil à la manu f actu re Vi ll eray, avant de la qu i t ter à la fin de l année 1730? C est prob a bl e, au vu des qualités de ge s ti on et de directi on qu il manife s tera en su i te à Pa ri s. On imagine la form a ti on qu il re ç ut à Ro u en et à cet te époqu e, où riva l i s ent «les dames de Saint- Eti en n e» d abord, puis M m e de Vi ll eray, Je a n Gu i ll eb a u l t, Ni colas Fo u qu ay, Caussy et qu el qu e s 1. Rouen. Pichet «Vénus et l Amour endormis», d après O. Fialetti. Faïence de grand feu à décor polychrome. h. 16,5 cm, diam. base 9,5 cm. Sur le fond : Anno Dni/ 26me Juillet/ 1708 L.P. L encadrement et le paysage sont de l invention du faïencier. Rouen, musée de la Céramique (inv. 21). Musées de la Ville de Rouen, photographie Didier Tragin/Catherine Lancien. À l occasion d un voyage à Nevers en 1708, où les regi s tres sont plus ex p l i c i te s, on appren d qu Edme est «peintre en faïence» 9. À son retour à Ro u en,l acte su ivant le qu a l i fie de «Si eur Edmond Serru ri er» (avri l 1711), il prend de l i m port a n ce, accom p a gne ses com p a tri o tes à l autel, p a rraine et, en 1725, est l un des témoins sign a- t a i res de l abju ra ti on d un pro te s t a n t. Un e proc é du re en 1720 le fait app a ra î tre en m a rch a n d f ayen ci er i m portant des faïen ces de Nevers. Ma i s les aléas du tra n s port 10 du rent le dissu ader de con ti nu er dans cet te voi e. Il fig u re au rôle de la c a p i t a ti on de Sa i n t - Sever en 1722 : «le n(omm)é S erru ri er, pei n tre, rue St Ju l i en, 4» 11. Des ouvri ers, il est l un des plus impo s é s, sans do ute aussi parce qu il acc u ei lle son neveu Pierre Bell eva u x, orph el i n de dix-sept ans, p a rrain à Sa i n t - Sever cet te même a n n é e. Bi en form é, Bell evaux parti ra en su i te po u r Loc m a ria (Quimper ), où il épo u s era en 1731 la fill e du maître faïen c i er Pierre Bo u s qu et, et assu rera la de s cen d a n ce. Deux choses peuvent acc r é d i ter l hypo t h è s e qu Edme Serru ri er trava i lle depuis ses débuts dans la prem i è re manu f actu re Po tera t, d a bord aupr è s 2. Rouen. Sphère céleste sur support en trois parties. Faïence de grand feu à décor polychrome. h. 147 cm, l. 58, diam. 45 cm. Sur la sphère : A. ROÜEN/.1725./ PEINt. PAR/ PIERRE. CHAPEllE Plusieurs spécimens furent exécutés en 1725 et 1726, requérant les soins des meilleurs ouvriers de Mme de Villeray. Rouen, musée de la Céramique (inv. 403). Musées de la Ville de Rouen, photographie Didier Tragin/Catherine Lancien. 1 0 revue de la société des amis du musée nati onal de céra m i qu e

3 a utres Serru ri er con nut les débuts de la po lych rom i e, les essais de ro u ges (Denis Dori o t, ), l a pp l i c a ti on d or et de co u l eu rs au feu de réverb è re du ga n tois Jacobus Bon t é, cité en , l ex p l o s i on des décors rayonnants de «b rod eri e s», les «o cre s n i ell é s» et les morceaux de bravo u re tech n i que qu e f u rent les pièces de forme excepti on n ell e s, fon t a i- n e s, ch em i n é e s, bu s te s, s ph è re s, etc. ( fig. 2). Charlotte le Boullenger, dite Melle de Glagny, orph el i n e, n i è ce de M m e Mi ch el Po tera t, viva i t auprès d elle à la manufacture et la remplaçait 13, avec sa cousine Louise, lors de ses déplacements. Au mom ent du décès brutal à Pa ris de M me Poterat en novembre 1720, elle fut supplantée par Louise et son époux Ch a rles Le Coq de Vi ll eray qu i, dès l annon ce du décès «et ava n t même que Michel Poterat n en soit informé, se sont installés dans la maison principale de la manufacture» 14. Après des années de collaboration, et dans une atmosphère familiale quelque peu empoisonnée, voyant qu ils n ont aucun avenir à Rouen puisque les Villeray ont réussi à se maintenir à la tête de la manufacture, malgré le bon droit et les procès des héri ti ers majori t a i res qui meu rent les uns An toine Le Bo u ll en ger qui en po s s è de déjà troi s c i n qu i è m e s 1 6. Ce dern i er, en moura n t, va faire de sa sœur Anne Je a n n e, f utu re M m e Di on i s, l h é riti è re majori t a i re de la su cce s s i on en Paris, rue de Charenton La manufacture de faïence «Le Sr Edme Serru ri er, Bou rgeois de Pa ris y demeurant Grande rue du Faubourg St Antoine et Da m. elle Ma rie Charl ot te le Bou ll en ger de Gl a gny majeu re fille de deffunts Charles le Boullenger escuyer Sr de Glagny, chef de Gobelet de feu Mo n s i eur et de Da m. elle Anne Ga b ri elle de Mouÿ son épou se, d em eu rant ladite dam. elle de Gl a gny Grande rue du Fa u b ou rg St Ma rti n, paroisse Saint Laurent» signent leur contrat de mariage le 16 avril 1731 à Paris 17. Aucun proche de la famille, mais on remarque la présence inattendue de Louise Lorro t, veuve Ch a i llot et de son f i l s, et de Ca t h erine Elisabeth Ch a i llot épo u s e Lorro t, sa bell e - s œ u r, qui ti en n ent à Nevers la manufacture de «L image Notre-Dame» et sont a pp a rentés à l épouse de Jean Sa mu el Serru ri er, cousin d Edme et marchand dra p i er à Nevers. Contrat selon «la coutume de Paris» qui met en 3. Rouen. Plat ovale «blanc-brun», milieu du xviii e siècle. l. 49, l. 36 cm. Faïence de grand feu à décor de camaïeu bleu, revers en glaçure manganèse. Edme Serrurier dut faire ce type de faïence rue de Charenton avant Coll. particulière. Photographie J. J. Leturcq. après les autres, Edme Serrurier et Charlotte Le Boullenger décident de partir pour Paris. En mars , Ch a rl o t te, qui a hérité de 40 0 de ren tes du marquis de Mo u ÿ, s on paren t 1 5, ven d pour son cinquième indivis de l en trepri s e h é rité de sa tante, à son cousin germain Gu i ll a u m e commun les acquêts et conquêts à venir, avec en plus, un don mutuel immédiat du tiers de leurs bi ens propre s, et une don a ti on au su rvivant de l usufruit de tous les biens. Un préciput de et un douaire de consignés sur les biens du futur, montrent assez les fonds dont il dispose edme serru ri er 1 1

4 et qui vont s ajouter à ceux que vient de recevoir la fiancée. Dès ju i ll et 1731, to u chant à Ro u en le solde de s 6.000, Edme Serru ri er est dit installé «m a nu f a c- tu ri er de fayen ce dem eu rant à Pa ri s,f a u b ou rg Saint- An to i n e, rue de Charen to n» 18. Il a loué une fabri qu e au «9» de la ru e, m a i n tenant 48 («cour du Ch ê n e vert» actu ell e ). D une su perficie de plus de m 2, cet te longue bande de terrain coi n c é e en tre le mon a s t è re des Dames An glaises à l ouest et au su d, la rue de Ch a ren ton au nord, et le Sr Bern a rd à l est, com portait en deux co u rs. La prem i è re avec des corps de logis où les Serru ri er ont loué trois pièces et une cuisine, au prem i er é t a ge sur la rue de Ch a ren ton, et la secon de à la su i te avec un four de po ti er, de s b ou tiques ( a tel i ers ), h a n- ga rs et appen tis to ut auto u r, se terminant au fond en «m a ra i s» ( terrain de mara î- ch a ge ). To ut cela app a rten a i t en 1724 à un Sr Ca re s m e, m a ra î ch er, qui vivait là et louait «à divers pa rti c u l i ers». En produisant cert a i n e- m ent de la faïen ce bl a n che et pei n te à la façon de Ro u en, mais su rto ut, nous ra pporte un ouvri er témoin de cet te é poqu e 20, de la faïen ce brune ou plus prob a bl em en t du «bl a n c - bru n» (terre à feu) qui perm et à la fois la c u i s s on et le servi ce, Serru ri er fait fru cti fier l argent inve s ti. Ce produ i t, i n troduit par Paul Ca u s s y une vingtaine d années a u p a ravant à Ro u en, et qu i en fera la fortune par l export a ti on, ne peut qu ê tre ren t a bl e, f a bri qué à prox i- mité de la cl i entèle (fig. 3). La recon n a i s s a n ce vi ent vi te et c est «au Si eu r S eru ri er» que l associé du fon d a teur de la manuf actu re de Si n ceny en Picardie et l en trepren eur de b â ti m ents Be a u l i eu s ad re s s ent en pour ex perti s er les causes de l ef fon d rem ent des vo û tes de deux fo u rs neu fs 2 1. On peut su ppo s er que les essais de terres de Si n ceny ava i ent été réalisés chez lui en , et qu il avait aidé au rec rutem ent du pers onn el ro u ennais de Si n ceny en La manufacture des Terres d Angleterre On convi en d ra que cet te prem i è re produ cti on ne po uvait sati s f a i re l ex i gen ce profe s s i on n elle d un h omme qui avait con nu les som m ets de la faïen ce 4. Paris. «Pont-aux-Choux», milieu du xviii e siècle. Terre de pipe glaçurée. Ensemble de pièces présentées dans un argentier. Lyon, musée des Arts décoratifs. Musée des Arts décoratifs de Lyon. Photographie Pretto/Verrier. 1 2 revue de la société des amis du musée nati onal de céra m i qu e

5 5. Paris. «Pont-aux-Choux». Huilier rocaille, milieu du xviii e siècle. Terre de pipe glaçurée. Les «carafes» étaient en verre. l. 25,3 cm. Collection privée. P h o togra phie Ch ri s tian Ma i re. ro u en n a i s e. C est po u rqu oi Edme Serru ri er dut acc u ei llir avec joie la propo s i ti on de Cl a u de Hu m bert Géri n, en difficulté à Vi n cen n e s, où il est p ayé ju s que en mars , d h é ber ger dans ses a tel i ers la fabri c a ti on de terre bl a n che façon An gl eterre dont Gérin était l inven teu r. L a f f a i re s em ble en bonne voie dès 1 742, d a te à laqu ell e Serru ri er ren o uvelle son pers on n el et rec rute à Ro u en plu s i eu rs ouvri ers, dont l excell ent to u r- n eur et mouleu r / m odel eur Ni colas Ju l i en Bell eja m be, en core en po s te en L a s s oc i a ti on of fic i elle se fit en septem bre , une fois le privil è ge de dix ans sur six lieues autour de Pa ris obtenu par Géri n,a s s orti d une perm i s s i on de ven d re dans to ut le roya u m e. Les frères Du bois s é t a i ent joi n t s à leur ami Géri n, et le Si eur Mi gn on, ri che marchand de bois «à la provi s i on de Pa ri s», vint ajouter en décem bre aux de Serru ri er. Les péri p é ties sont con nu e s ; dès , Serru ri er et Mi gn on re s tent seuls maîtres de l en treprise et du privi l è ge. Ils ont en main un magn i fique matéri a u, simple à obtenir et d une plasticité perm et t a n t tous les décors roc a i lles en vog u e, un su b s ti tut écon om i que de la porcel a i n e : il va immédiatem en t tro uver sa cl i en t è l e. On cite le ch i f f re incroya ble de 250 o uvri ers en , avec Géri n, resté deux ans et demi à leur tête, les frères Gilles et Robert Du boi s, Jacques Ch a pelle tous céra m i s tes de prem i er plan. G é rin avoue même, qu oi que ru i n é par ses essais mais impéniten t, y avoir «en co re fait pl u s i eu rs exp é ri en ces tou chant la po rcel a i n e»! 2 4. Dans le même tem p s, Serru ri er est marguill i er de la paroisse Ste Ma r g u eri te et rend ses com ptes en ju i ll et Puis il favorise le mari a ge d une peti te cousine de 1 7 a n s, fille de son cousin Jean Sa mu el Serru ri er de Nevers, avec son associé Mi gn on. Un con trat étant passé en ja nvi er , Edme et sa fem m e, convaincus de n avoir jamais d en f a n t,m ettent dans la corbei lle de la mari é e,p lus «u n trou s se a u, m eu bles meu bl a n t s, l i n ge s, h a rd e s, bijou x et autres ef fets d une va l eur de », et don n en t aux futu rs époux le bénéfice total de leur su cce s- s i on, s en réservant seu l em ent l usu f ruit leur vi e du ra n t 2 5. Par là même, M m e Serru ri er déshéri te to ute la parentèle Le Bo u ll en ger. Le 24 s eptem bre 1 747, elle meu rt, et Edme est si m a l ade qu il est rec u ei lli et soi gné par le march a n d - m erc i er Bell a n ger, rue Sa i n t - An toi n e, tandis qu e l i nven t a i re débute sans lui (3 0 s eptem bre ). Il a n é a n m oins pris la pr é c a uti on de faire venir un su b- s ti tut pour l absen ce des héri ti ers ro u en n a i s, «M m e Di o n i s» en parti c u l i er. Mais ce sont les proc é du ri ers Le Coq de Vi ll eray qu i, par proc u ra ti on du 2 7 s eptem bre, font arr ê ter l inven t a i re, d i s a n t que Serru ri er «a affe cté de cach er le décès de sa femme à ses pr é so m pti fs héri ti ers dans l inten ti o n sans dou te de faire pro c é d er furtivem ent à l inven t a i re des ef fets qu il lui pl a i ra décl a rer, ce que les su ppl i a n t s sou p ç o n n ent être déjà co m m en c é»! Ils ign oren t en core la don a ti on aux Mi gn on Cet inven t a i re, repris le 6 octobre et terminé le 1 9 d é cem bre, e s t une mine de ren s ei gn em en t s. Di s ons seu l em ent qu e la manu f actu re a maintenant deux fo u rs et un troisième «non ach ev é», n eu f to u rs, moules de plâtre, que dans les magasins (plus de p i è ce s ), l a t h é i è re «à côte s» est dite «vi eux mod è l e», qu on y c i te des pièces «bl a n ch e s», des pièces «brod é e s», qu el ques pièces «pei n te s», et les plus récen te s, celles qu on défo u rn e, s ont les pièces «fleu ri e s». Serru ri er n a b a n donne aux Mi gn on que les ef fet s edme serru ri er 1 3

6 pers on n els de sa fem m e, pour une va l eur de De 1743 à 1747, on con s t a te un exc é dent de recet te de 4.376, à com p a rer au go u f f re que repr é s en te Vi n cennes au même mom en t 26 ( fig. 4 et 5). Le su ccès est là, les con tref acteu rs aussi: p a s s é s rue de Ch a ren ton, Be a u fil s, mais su rto ut Jacqu e s Ch a pelle met tent à profit leur con n a i s s a n ce «de s terres d An gl eterre» pour su s c i ter la con c u rren ce à Pa ri s, Mon tereau et à Lu n é vi ll e. Serru ri er et Mi gn on se défen den t. Un nouvel arrêt en novembre 1748 porte le privi l è ge à 20 ans et accorde le ti tre convoité de «m a nu f a ctu re royale des Terres de Fra n ce à l imitation de celle d An gl eterre», avec le po uvoir de démolir les fo u rs et atel i ers des con tref acteu rs, de détru i re leu rs produits ill i c i te s, a i n s i que de saisir les pièces de même natu re import é e s d An gl eterre, ce qui sera obtenu plu s i eu rs foi s. Bi en protégés mais dans la limite des six lieu e s a utour de Pa ri s, ils envi s a gent alors le tra n s fert de la manu f actu re et son agra n d i s s em en t. E n ju i n 1749, ils ach è tent pour la vi ei lle mais on de la «Chasse Dauph i n e» 27, va s te propri é t é formant l angle nord des rues Sa i n t - S é b a s ti en et de la Con tre s c a rpe (Am el o t ), en face du Pont aux C h ou x, l a b a t tent et la font recon s tru i re à usage i n du s tri el. E lle est dotée de qu a tre fo u rs, p lus un à r é verb è re et d une distri buti on ra ti on n elle des circ u i t s. Les travaux du rent si lon g temps qu en avri l 1751, on trava i lle to u j o u rs rue de Ch a ren ton 28. Dans l interva ll e, le rem a ri a ge d Edme Serru ri er avec Ma rie Cl a u de Serru ri er, 23 a n s, sœur aînée de M m e Mi gn on, a bo u l eversé la don n e. Le con tra t, passé le 20 août 1749 à Nevers 29, est établi en pr é- s en ce des parents de la futu re, Jean Sa mu el Serru ri er, m a rchand de draps et de soi e, a n c i en é ch evin et ju ge con sul de Nevers, et de Dame An toi n et te Dhéré, de la paroisse St-Ari gl e, de sa sœur Ma rie et de son frère Gu i ll a u m e 30, qui sera m a nu f actu ri er de faïen ce à Nevers en tre 1767 et 1772 et que du Broc de Sega n ge croyait être fil s d E d m e. F i g u rent aussi on cles et co u s i n s, p a rm i l e s qu els Jean Serru ri er, orf è vre, les Perrony, l e s Peti t, Ma rie Vi a ll et veuve de Louis Cu s tode, de la m a nu f actu re de «l Autru ch e». On retro uve les Lorro t - Ch a i llot de «l Im a ge No tre - D a m e», l e s Ch a i ll o t - Du bois et «Lorrot veuve Pri s ye», accomp a gnant Pri s ye de Ch a zelles de «la Fleur de lys». Par sa mère, de s cen d a n te des Petit et de s Fa u l qu i er, l é pouse est app a rentée aux maître s f a ï en c i ers Peti t, Lorro t, Fa u l qu i er, Be a u doi n, Mi ll o t, Pri s ye de Ch a zell e s, Lem a i s tre, Ch a i ll o t, Cu s tode, Sa b a t ti ny et plus tard Perrony et Ch a m pron d, to utes familles ayant tenu en tre le xvi i e et le x i x e s i è cl e s, par interva lles et avec de s fortunes divers e s, les manu f actu res de l Autru ch e, Lefebvre - Pa n s eron, le Logis St-Geor ges/le Bo ut du Mon de, l Im a ge No tre - D a m e, la Croix d Or/le L i on d Or/la Fleur de lys, et plus tard la manu f actu re Con rade / Ch a m prond et Ch a n tem erl e 3 1 Ce con trat est éton n a n t : a utant le pr é c é den t rel evait de l assistance mutu ell e, a utant celu i - c i est établi presque en sens unique. Mis à part un préciput de 6.000, tous les autres avantages sont au seul profit de la futu re, pr é voyant même ses con d i ti ons fin a n c i è res lors de son veuva ge et le devenir de ces biens à son remariage. Pour couronner le tout, Edme lui fait donation irrévocable entre vifs de tous ses biens propres, au cas où il n y aurait plus d en f a n t. Le mari a ge rel i gi eu x est célébré à St-Laurent de Nevers le 31 août 32. Ce mari a ge et les naissances qui s en su iven t provoqu ent la bro u i lle en tre les deux co u p l e s : i l n est plus qu e s ti on pour les Mi gn on d héri ter d E d m e. On peut pen s er qu ils récl a m ent l hérit a ge de la prem i è re épouse Serru ri er, s on mari perdant le bénéfice de l usu f ruit par son rem a- ri a ge? La guerre est décl a r é e.e lle va du rer dix ans. Le prem i er enfant Serru ri er est-il décédé jeu n e, ou s a git-il d An toine Fra n ç ois Th é odore, fils aîné âgé «d envi ron dix ans» au décès de son père en avril ? Serru ri er obti ent le 1 8 avril de s é poux Mi gn on un «co n sen tem ent que dans le cas où l ed. S erru ri er décéderait avant eu x, la femme du d. S erru ri er si elle a des enfants de son mari a ge sera a s so ciée et repr é sen tera son mary irr é vo c a bl em en t pour un ti ers, et sans en f a n t s, elle aura lad. tot a l i t é du bénéfice et des produits sous la co n d i ti o n expre s se du tra n s po rt de lad. Ma nu f a ctu re (a l ors) rue de Charen ton dans la maison du Pont aux C h ou x» 3 4. Une proc é du re est en gagée devant le L i eutenant de po l i ce de Pa ris au su j et de l ad m i- n i s tra ti on de leur manu f actu re 3 5. Cet te péri ode est d i f ficile pour la famill e, qui voit néanmoins l arrivée d une fill e, Ma rie Cl a u de Gen evi è ve, vers Paris. Société Serrurier-Mignon, Pont aux Choux, Les allées et venues entre Vincennes et la manufacture des Terres de France continuent, de nombreux ouvri ers passant d une fabri que à l autre, et favorisant de discrets échanges qui inquiètent les diri geants de la manu f actu re de porcel a i n e. 1 4 revue de la société des amis du musée nati onal de céra m i qu e

7 6. Paris? Pont-aux-Choux? vers Plateau quadrilobé. Terre de pipe émaillée, dite «blanc fin», décor polychrome au feu de réverbère et dorure. l. 44 cm, l. 33 cm. (Anc. coll. Papillon, Paris 1932 n o 2547). Attribué à Sceaux ou à la Lorraine entre 1760 et 1790, ce beau plateau en qualité fine qui rappelle les décors de Vincennes de 1745 à 1752, ne peut avoir été exécuté beaucoup plus tard que la décennie Saint-Omer, musée de l Hôtel Sandelin (inv ). Musées de Saint-Omer, photographie Claude Thériez. Ai n s i, le pei n tre Ca i llat est soupçonné d avoi r vendu à Bellejambe, probablement chef d atelier de Serrurier, des couleurs de Vincennes.On pense qu elles partent pour Tournai 36. Mais ne s en eston pas servi au Pont-aux-Choux (fig. 6)? Après cinq procès et des let tres de re s c i s i on a n nulant le con s en tem ent de 1 751, obtenues par Mi gn on en mai , une tra n s acti on passée par devant notaires le 21 ju i ll et a bo utit à la dissoluti on de la société et à l abandon par les Serru ri er de tous leu rs droi t s, en éch a n ge de , don t en plu s i eu rs termes portant intérêts et par forme de pot de vi n, p aya ble au 1 er ju i ll et Le com pte n y est pas! Si ce pri x de pot de vi n, redit plus loi n, est ju s te, il faut retenir Mi gn on dem eu re seul maître à bord. Il faudra encore une sentence arbitrale rendue à Paris en mars 1760 pour régler certaines contestations. Au décès d Edme, il reste à toucher entre le pot de vin, le reliquat du principal et ses intérêts, Sa fin dans la Sarthe À Loc m a ri a, le gen d re de Pierre Bell eva u x, P i erre Cl é m ent Ca u s s y, devenu veu f, m et en ven te la f a ï en cerie de ses en f a n t s, par autori s a ti on du Pa rl em ent de Rennes en date du 2 2 août , et pour cela requ i ert l accord de la paren t è l e. Ai n s i, i l con t acte Edme Serru ri er dont il décl a re: «son avi s est d autant plus intéressant qu il est lui-même m a nu f a ctu ri er de fayen cerie à Pa ri s» 3 8. A ceci pr è s qu il vi ent to ut ju s te de qu i t ter la capitale et le m é ti er, pour se reti rer à Saint Jean de la Mo t te, pr è s de La Flèch e. P i erre Cl é m ent Caussy le retro uve et edme serru ri er 1 5

8 7. La Suze (Sarthe). Château de la Fuÿe, état actuel. Cliché A. Dolbeau, Le Mans. il sem ble que l arri è re - gra n d - on cle des mineu rs se d é p l ace à Loc m a ria pour mieux mesu rer ses con s ei l s. Edme Serru ri er fait établir le proj et d affiche par le notaire de La Flèche en décem bre Mais à cet te date, il suit déjà une affaire qui le fera ch a n ger de dom i c i l e : les propri é t a i res du m a n oir de la Fu ÿ e, à La Su ze, s ont cri blés de dettes et vont être saisis. Edme est ren s ei gné par Ren é Fra n ç ois Sa u qu a i re des Plante s, un ami avocat au Pa rl em ent de Pa ri s, porte - m a n teau de Madame la D a u ph i n e, s ei gn eur de la paroisse de Sa i n t - Je a n - du Boi s, près de La Su ze. Muni de la proc u ra ti on des époux Serru ri er, Sa u qu a i re s a rra n ge avec les c r é a n c i ers et ach è te les bi ens en mars po u r L ami re ç oit qu el ques terres bord a n t s on dom a i n e, tandis que les Serru ri er, devenu s «bo u r geois de la Fu ÿ e», l o u ent les terres agri coles et ne con s ervent pour eux que le manoir et le p a rc qui l en to u re. Il s a git d une bâtisse simple et ru s ti que d un seul niveau («ferme et maisons de la f u ÿ e»,é c rivait Serru ri er ), qui se mire dans l eau de la Sa rt h e. P lus tard, le vi eux manoir devint ch â- teau par l ad j on cti on d un étage et de deux ailes, coiffés d un su perbe toit à lu c a rn e s, tel que nous le voyons aujourd hui (fig. 7). C est dans ce lieu paisible qu a près avoir rédigé s on te s t a m ent le 1 7 m a rs, Edme s é teint le 2 2 avri l On peut esti m er qu il approche 75 a n s. Ci n q pr ê tres le portent en terre le len dem a i n, ainsi qu u n m a rch a n d, f utur tuteur su brogé aux mineu rs, l a veuve étant leur tutri ce pri n c i p a l e 4 1. L i nven t a i re a près décès détaille la va i s s elle tant ro u ennaise qu e p a ri s i en n e, emplissant de nom breux meu bles (voi r l i s te en annexe ), et recense p a p i ers et 2 regi s t- re s, t é m oins d une vie bi en rem p l i e. L acti f de la su cce s s i on se mon te à , le passif à An toine «Serru ri er de la Fu ÿ e» et sa sœur Ma ri e Cl a u de ne con s erveront aucun lien avec la faïen ce. L un et l autre vivront dans le milieu des notabl e s de l ad m i n i s tra ti on roya l e, An toine à La Flèch e, ga rdant le ch â teau de la Fu ÿ e, Ma rie Cl a u de à La Fert é - Bern a rd. Leur mère, un an après le décès de s on mari,é po u s era Sa u qu a i re des Plante s, l ami de la famill e, à qui elle don n era deux fil s. Ainsi fut la vie d Edme Serrurier qui pressentit l importance et le succès de la terre blanche et l i n troduisit d une façon arti s ti que en Fra n ce. Après lui, et en peu d années, la France vit s établir du nord au sud une multitude de fabriques, dont certaines all a i ent devenir les fleu rons de l industrie du xix e siècle. Il ne nous re s te qu un regret: c est qu a près avoi r con nu, c ô toy é, vu trava i ll er tant de grands arti s te s de la céra m i que du xvi i i e s i è cl e, visité tant de m a nu f actu re s, avoir été témoin de tant de rech erch e s, de déco uverte s, de réussite s, d é ch ec s, de trah i s on s, de lut tes d intérêt aussi, Edme Serru ri er ne nous ait pas laissé ses souven i rs Les auteu rs rem erci ent très vivem ent Me sd a m e s R é gine de Gu i ll ebon et Ta m a ra Pr é a u d, ainsi que Mo n s i eur Chri s tian Ma i re, de leu rs pr é ci eux co n sei l s. Ch ri s tian de la Hu b a u d i è re, i n s ti tuteu r Chantal Soudée Lacom be, diplômée de l École du Lo uvre 1 6 revue de la société des amis du musée nati onal de céra m i qu e

9 A n n exe I nven ta i re après décès d Edme Serru ri er - 1 lot de pots de grès et autres terres grossières tant fêlés que cassés, 40 sols. - 1 poêle de faïence garni de fer avec ses tuyaux, fontaine domestique doublée de plomb avec 3 robinets de métal de composition, soupières dont 2 de terre d Angleterre, une autre de pareille terre fêlée, et une fayence aussi fêlée, un plat et les couvercles, terrine avec son couvercle et son plat, une écuelle à lait avec son couvercle de terre d Angleterre, assiettes de terre d Angl. fêlées et recousues, plats d entrée de pareille terre défectueux, petits plats carrés, 2 compotiers, 1 saladier fêlé, le tout de terre d Angleterre de rebut, 50 s. - 2 jattes à sucre dont une sans couvercle, 3 salières et 11 autres pièces le tout dépareillé de terre d Angl. défectueuse, rebut compositions de fayance et un huilier de même avec 2 carafes de verre, 40 s. - 2 ja t te s, 6 plats tant ronds qu ova l e s, 1 s a u c i è re avec son plateau et une théière, le to ut en terre d Angleterre, et la meilleure partie en rebut, carafes de verre de diverses tailles, 2 compotiers, 2 petits flacons de verre, douzaines de verres tant grands que petits et 7 goblets de verre et cristal, 6. - une fontaine de terre d Angleterre avec sa cuvette cassée, estimée comme de rebut, dz? d assiettes de fayance de Rouen, s. - 5 compotiers (idem) dont 1 cassé et recousu, jatte à soupe, 2 petits plats d entrée, le tout ovale, 2 grands plats ronds et 4 moindres, de même, le tout de fayance de Rouen, saladiers dont un cassé, 2 sucriers, 2 salières, 2 seaux à bouteilles de même fayance, le tout, tasses à café avec leu rs souco u pe s, 2 corbei ll e s, 1 f rom a ger et 1 2 peti tes pièce s, le to ut de terre d Angleterre partie en rebut, dz de pots à confiture en fayance et en verre, broc de terre d Angleterre et 6 autres pièces à divers usages, de différentes fayances et terres, pièces de figures de garniture de cheminée dépareillées et de peu de valeur, comme rebut, plat à soupe et 1 douzaine de pots ou cruches de grosse terre, pot à oille avec son plat et 2 terrines avec leurs plats en terre d Angleterre, plat à bouilly, 4 plats d entrée et 4 de hors-d œuvre de terre d Angleterre, grand plat de rôty, 2 moyens et 2 plus petits, plats carrés aussi de terre d Angleterre, 100 s. - 1 saucière, 1 moutardier avec sa charnière d argent et 4 salières, même terre, saladiers de diverses grandeurs, nature de terre d Angleterre et un huilier de même, garni de ses deux carafes de verre, corbeilles de diverses grandeurs, compotiers avec deux jattes à sucre même terre d Angleterre, dz d assiettes de terre d Angleterre, seaux à bouteilles, 2 autres à demi-bouteilles et 12 seaux à verres, pots à jus même terre d Angleterre, tasses à café, 12 soucoupes avec un cabaret de bois d ébène, 1 pot à sucre, 1 théière et 1 pot au lait, le tout de terre d Angleterre, cuvette avec son couvercle, 1 pot à l eau avec sa jatte, le tout en terre d Angleterre, demi-tasses à café en porcelaine avec leurs soucoupes, 1 écuelle de porcelaine avec son couvercle et son plat, 1 goblet au lait avec son couvercle et son plat de fayance de Sceaux, un cigne et autre pièce de terre d Angleterre, 8. edme serru ri er 1 7

10 N ote s 1 Mo u s s et Je a n - Luc et Degen Ul ri ke. Le tr è fle et la bri n- dille, deux décors sur les terres de pipe de Septfontaines au XVIII e et au début du xix e siècle. Contribution de Jacques G. Pei f fer : «La terre de pipe est-elle une faïen ce? Con f u s i on histori qu e, problème de sémanti que ou de technique?». Luxembourg, 2002, p Hosotte-Reynaud, Marie Antoinette. La manufacture de Pon t - a u x - Choux ( ). Pa ris et Ile-de-Fra n ce, Mémoires. Paris, t. XVI-XVII, , p Plinval de Guillebon, Régine de. Les Céramistes du faubourg Saint-Antoine avant Bulletin de la Société de l Histoire de Paris et de l Ile-de-France, 117 e année, Paris, 1992, p Le Duc, Geneviève. Paris, rue de Charenton. Une manufacture royale de «terre d Angleterre», Revue de Sèvres, n o 2, 1993, p Plinval de Guillebon, Régine de. Faïence et Porcelaine de Paris, xviii e -xix e siècles. Dijon, Faton, 1995, p Arch. dép. Nièvre. Reg. par. Druy, 5 Mi 18/ Broc de Segange, Louis du. La Faïence, les faïenciers et les émailleurs de Nevers. Nevers, 1863, p Arch. dép. Nièvre. Defrance, not. à Nevers, 9 août Apprentissage d Henri Trou chez Jehan de la Collancelle, maître faïencier de la Croix d Or ( 1668). 6 Le Du c, G en evi è ve, P l i nval de Gu i ll ebon, R é gine de, Soudée Lacombe, Chantal. Contribution à l étude de la manufacture de faïence et de porcelaine de Saint-Cloud pendant ses cinqu a n te prem i è res années. Kera m i k Freunde der Schweiz/Bulletin de la Société des amis suisses de la céramique. N o 105, mars 1991, p Ro s en, Je a n. ( Di r. ). Fa ï en ceries fra n ç a i ses du Gra n d - Es t. Inven t a i re. Bou rgo gn e - C h a m pa gn e - Ard en n e. xiv e - xix e siècle. Paris, 2001, p Arch. dép. Seine-Maritime, 5 Mi 2074, 4 janvier Du Broc de Segange, op. cit. 10 Arch.dép. Nièvre. 2 B 12. Registres du consulat de la ville de Nevers, 1 er juillet Arch. d é p. Sei n e - Ma ri ti m e. C 32 3, c a p i t a ti on de la paroisse Saint-Sever en Peut - ê tre le même homme que celui cité à Borde a u x ( Bon te ou Ron te ), m ort en mars Lem erre, Ma r g u eri te. O uvri ers ro u ennais dans les faïen ceries du Sud-Ouest de la France au xviii e s. Archistra, Toulouse, n o 3, juin 1972, p Pasquier, Jacqueline du. Faïences de Bordeaux et du Sud- Ouest. Collections du musée des Arts décoratifs. Bordeaux, 1991, p Dans l inventaire de M me Poterat, il est dit que Melle de Glagny avait pris en gage des meubles du Sr. Chapelle. Lemerre, Marguerite. Les Chapelle, peintres en faïence de Rouen. Mémoire Ecole du Louvre, Arch.dép. Seine- Maritime, F idem. 15 A. D. Seine-Maritime. 2 E 7/81, 18 juillet idem 2 E 7/80, 16 mars Arch. Nat., Min. Cent. des Not., étude CXII, 669, 16 avril Voir note Pa ri s. «Travail des Limite s» de M m e Jeanne Pro ute a u. Arch. Nat., Q 1* , f o 25 r o, 26 r o, 14 déc. 1724, et Q 1* , f o 39. Nous remercions Régine de Guillebon de nous avoir fourni ces informations. 20 Arch. Na t., Y Proc è s - verbaux d en qu ê te dans le conflit Mignon/Chapelle. 21 Arch. Nat., Min. Cent. des Not.,étude III. 397 bis. 11 juillet Pr é a u d, Ta m a ra, Al bi s, An toine d. La Po rcelaine de Vincennes. Paris, Biro, Plinval de Guillebon, 1995, op. cit. p Préaud, d Albis, 1991, op. cit. p Arch. Na t., Mi n. Cen t. des No t., é tu de XXV I I I, 29 6, 1 6 ja nv Les époux Serru ri er font don a ti on de to u s leurs biens aux époux Mignon,sous réserve d usufruit et de diverses clauses (et pas seulement Edme à Madeleine Serrurier, comme l a écrit M me Hosotte-Reynaud). 26 Arch. Nat., Min. Cent. des Not., étude LXXXVII, 981, 30 sept Arch. Nat., Adjudication Y 2817, 14 juin Arch. Nat., X 4B Arch. Dép. Nièvre. Me Boury, not., Guillaume Serrurier, o 1726, beau-frère d Edme Serrurier et d Adrien Pierre Mignon, est cité en 1767 à la fabrique «Ch a n tem erl e», trava i llant avec son futur be a u - p è re Claude Roux de Chaignault ( 1768). Il épouse Gabrielle Roux le 7 fév Il est ensuite dit «maître de la Verrerie Royale» en oct. 1773, et marchand en Arch. Nièvre. Fa ï en c i ers : f i ches Serru ri er. Mon t a gn on, G a bri el. «Histoire des Fayenciers de Nevers et de leurs fabriques de 1585 à nos jours». Nevers, Montagnon, 1987, op. cit. 32 Arch. Nièvre. 4 E 194/ août Arch. dép. Sarthe 4 E XVI, juin Voir note Voir note Préaud, d Albis, 1991, op. cit., p Arch. Na t., Mi n. Cen t. des No t., é t. XXXV I I I, 4 50, 21 juillet Arch. D é p. F i n i s t è re, Bre s t. 1 8 B 7, do s s i er Fa ï en c i ers, vente de idem 40 Arch. Nat., Min. Cent. des Not.,étude CXXII, 711, 14 mars Arch. D é p. Sa rt h e. Regi s tres paroissiaux de La Su ze, 1 Mi 831 R revue de la société des amis du musée nati onal de céra m i qu e

LES ESCALIERS. Du niveau du rez-de-chaussée à celui de l'étage ou à celui du sous-sol.

LES ESCALIERS. Du niveau du rez-de-chaussée à celui de l'étage ou à celui du sous-sol. LES ESCALIERS I. DÉF I NIT I O N Un escalier est un ouvrage constitué d'une suite de marches et de paliers permettant de passer à pied d'un niveau à un autre. Ses caractéristiques dimensionnelles sont

Plus en détail

de l entreprise Des activités plus larges Les prem i ers résultats de ce travail ont néanmoins fait ress ortir deux péri odes distinctes, REPÉRAGE

de l entreprise Des activités plus larges Les prem i ers résultats de ce travail ont néanmoins fait ress ortir deux péri odes distinctes, REPÉRAGE DOSSIER 1 MÉTIER Supply Chain Manager : Une étude d un chercheur universitaire publiée par l Aslog sur la fonction de Supply Chain Manager fondée sur les offres d emplois des 7 dernières années, montre

Plus en détail

Marie-Anne Barbel ou l exemple d une femme d affaires du XVIIIe siècle Samantha ROMPILLON

Marie-Anne Barbel ou l exemple d une femme d affaires du XVIIIe siècle Samantha ROMPILLON Marie-Anne Barbel ou l exemple d une femme d affaires du XVIIIe siècle Samantha ROMPILLON Quand on pense aux femmes de la Nouvelle-France, on songe à Marie de l incarnation, à Marguerite Bourgeoys, aux

Plus en détail

L'important C'est la rose

L'important C'est la rose L'important 'est la rose Gilbert ecaud rr: M. de Leon opista: Felix Vela 200 Xiulit c / m F m m 7 9. /. m...... J 1 F m.... m7 ro - se. rois - ro - se. rois - ro - se. rois - ro - se. rois - oi qui oi

Plus en détail

Un exemple d étude de cas

Un exemple d étude de cas Un exemple d'étude de cas 1 Un exemple d étude de cas INTRODUCTION Le cas de la Boulangerie Lépine ltée nous permet d exposer ici un type d étude de cas. Le processus utilisé est identique à celui qui

Plus en détail

e nfa n t h a n d i ca p é e nfa n t c i toye n

e nfa n t h a n d i ca p é e nfa n t c i toye n Accueil des enfants handicapés de moins de 6 ans e nfa n t h a n d i ca p é e nfa n t c i toye n Ce document a été élaboré par la Commission départementale de l accueil des jeunes enfants en novembre 2006.

Plus en détail

BANQUE MONDIALE GUIDE DU SERVICE DE LA DETTE

BANQUE MONDIALE GUIDE DU SERVICE DE LA DETTE BANQUE MONDIALE GUIDE DU SERVICE DE LA DETTE Groupe des services aux emprunteurs Département de la comptabilité Banque mondiale Mars 2005 Table des matières Abréviations et acronymes..........................................................iv

Plus en détail

La santé de votre entreprise mérite notre protection.

La santé de votre entreprise mérite notre protection. mutuelle mclr La santé de votre entreprise mérite notre protection. www.mclr.fr Qui sommes-nous? En tant que mutuelle régionale, nous partageons avec vous un certain nombre de valeurs liées à la taille

Plus en détail

Le son [v] Découpe et colle les images dans la bonne colonne. Prénom : Date : J entends [vi] J entends [va] J entends [vo]

Le son [v] Découpe et colle les images dans la bonne colonne. Prénom : Date : J entends [vi] J entends [va] J entends [vo] Le son [v] Découpe et colle les images dans la bonne colonne. J entends [va] J entends [vo] J entends [vi] J entends [vu] J entends [von] Je n entends pas [v] Le son [v] Ecris O (oui) si tu entends le

Plus en détail

VILLE DE VILLEURBANNE CONSEIL MUNICIPAL 5 JUILLET 2010. -ooo-

VILLE DE VILLEURBANNE CONSEIL MUNICIPAL 5 JUILLET 2010. -ooo- VILLE DE VILLEURBANNE CONSEIL MUNICIPAL 5 JUILLET 2010 -ooo- La s é a n c e e s t o u v e r t e s o u s l a p r é s i d e n c e d e M o n s i e u r J e a n - P a u l BR E T, M a i r e d e V i l l e u r

Plus en détail

Cadeaux & Publicité 2011-2012

Cadeaux & Publicité 2011-2012 2011-2012 Cadeaux & Publicité Tous les prix affichés sont Hors Taxes, livraison franco. Z.I. Sud - - B.P. 20088 67162 WISSEMBOURG CEDEX Tél. : 03.88.54.24.25 - Fax : 03.88.54.32.50 E-mail : infos@walter-ets.com

Plus en détail

Chapitre 3: TESTS DE SPECIFICATION

Chapitre 3: TESTS DE SPECIFICATION Chapitre 3: TESTS DE SPECIFICATION Rappel d u c h api t r e pr é c é d en t : l i de n t i f i c a t i o n e t l e s t i m a t i o n de s y s t è m e s d é q u a t i o n s s i m u lt a n é e s r e p o

Plus en détail

Autoris ations pour :

Autoris ations pour : MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES Direction de l Economie Division des Relations Economiques et Financières Extérieures REPUBLIQUE TOGOLAISE Travail-Liberté-Patrie Autoris ations pour : Exercice

Plus en détail

Service éducatif et culturel. Enquête à travers. www.musees-mulhouse.fr. Collèges

Service éducatif et culturel. Enquête à travers. www.musees-mulhouse.fr. Collèges Service éducatif et culturel Enquête à travers le temps www.musees-mulhouse.fr Collèges M ulhouse, une histoire particu lière Te voilà arrivé en ter re inconnue, ici tu vas remont er le temps Mulhouse,

Plus en détail

l Agence Qui sommes nous?

l Agence Qui sommes nous? l Agence Qui soes nous? Co Justine est une agence counication globale dont la ission est prendre en charge l enseble vos besoins et probléatiques counication. Créée en 2011, Co Justine a rapient investi

Plus en détail

Membre. www.eve grenoble.org

Membre. www.eve grenoble.org Demo-TIC est une communauté d'usagers et de producteurs dans le domaine des T.I.C. (Technologies de l'information et de la Communication). Ses activités sont dédiées aux particuliers, aux associations,

Plus en détail

International : les références d Ineo Systrans

International : les références d Ineo Systrans International : les références d Ineo Systrans Ineo Systrans Références SAEIV* *Système d Aide à l Exploitation et d Information des Voyageurs ZONE EUROPE BELGIQUE Bruxe l les Liège Mons ROYAUME-UNI Edimbourg

Plus en détail

Autoris ations pour :

Autoris ations pour : MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES Direction de l Economie Division des Relations Economiques et Financières Extérieures Tél (00228) 22326950/ 22210250 Autoris ations pour : Exercice en qualité de

Plus en détail

Pierre TREMBLAY et Ozanne ACHON

Pierre TREMBLAY et Ozanne ACHON Pierre TREMBLAY et Ozanne ACHON Pierre et Ozanne sont à l origine de tous les Tremblay d Amérique du Nord. Il est percheron, elle est aunisienne : ils sont le symbole de ces deux petites provinces françaises

Plus en détail

Le passé composé. J ai trouvé 100 F dans la rue. Il est parti à 5 h 00.

Le passé composé. J ai trouvé 100 F dans la rue. Il est parti à 5 h 00. Le passé composé J ai trouvé 100 F dans la rue. Il est parti à 5 h 00. Le passé composé présente des actions passées, ponctuelles, et d une durée délimitée dans le passé. Formation : avoir ou être (au

Plus en détail

1. La famille d accueil de Nadja est composée de combien de personnes? 2. Un membre de la famille de Mme Millet n est pas Français. Qui est-ce?

1. La famille d accueil de Nadja est composée de combien de personnes? 2. Un membre de la famille de Mme Millet n est pas Français. Qui est-ce? 1 LA FAMILLE 1.1 Lecture premier texte Nadja va passer quatre mois de la prochaine année scolaire en France. Aujourd hui, elle a reçu cette lettre de sa famille d accueil. Chère Nadja, Je m appelle Martine

Plus en détail

Quelques exemples de croyants célibataires

Quelques exemples de croyants célibataires Périodique de matière biblique pour les jeunes - Août 2013 - Numéro 16 Quelques exemples de croyants célibataires La situation du chrétien En 1 Corinthiens 7, Paul aborde le sujet du chrétien célibataire.

Plus en détail

Madame Elisabeth 27 avril > 21 juillet 2013 Domaine de Madame Elisabeth 73, avenue de Paris Versailles

Madame Elisabeth 27 avril > 21 juillet 2013 Domaine de Madame Elisabeth 73, avenue de Paris Versailles Madame Elisabeth 27 avril > 21 juillet 2013 Domaine de Madame Elisabeth 73, avenue de Paris Versailles Livret-jeu pour les enfants 1 Si vous commencez par l Orangerie, allez en page 6. 1 e Salle 1 f Bienvenue

Plus en détail

Accueil Events, l accueil personnalisé des touristes d affaires Informations, bonnes adresses, réservations et découvertes!

Accueil Events, l accueil personnalisé des touristes d affaires Informations, bonnes adresses, réservations et découvertes! Lyon City Card 1 jour 2 jours 3 jours Ta xis et M inibus - Tarifs forfaitaires Jour : 7h - 19h Nuit : 19h - 7h Lyon/ Villeurbanne - Aéroport St Exupéry 59 81 Lyon 5ème et 9ème excentrés - Aéroport St Exupéry

Plus en détail

Enjeux et contraintes de la mutualisation des ressources pour les collectivités et les agents

Enjeux et contraintes de la mutualisation des ressources pour les collectivités et les agents Mercredi 5 novembre 2014 Enjeux et contraintes de la mutualisation des ressources pour les collectivités et les agents Hervé PETTON, Directeur Territorial 35 ans d expérience professionnelle en collectivités

Plus en détail

table et fer à repasser tables pliantes (75X180) et chaises Armoire à pharmacie, tabouret Baignoire, Lavabo, WC 2 étendeurs, tapis de bain, poubelle

table et fer à repasser tables pliantes (75X180) et chaises Armoire à pharmacie, tabouret Baignoire, Lavabo, WC 2 étendeurs, tapis de bain, poubelle Pièce Cuisine Séjour- salon Arrière cuisine fermée Salle de bain WC Chambres étage Objet dans chaque pièce Réfrigérateur-congélateur Lave linge séchant Lave vaisselle Four micro-onde, grill Buffet de vaisselle

Plus en détail

Tutoriel Infuse Learning. Créer des quizzes multimédias sur ordinateur ou tablette

Tutoriel Infuse Learning. Créer des quizzes multimédias sur ordinateur ou tablette Tutoriel Infuse Learning Créer des quizzes multimédias sur ordinateur ou tablette 1- Présentation Infuselearning.com est un service web (en ligne) gratuit qui permet aux enseignants de créer des exercices

Plus en détail

Retour d expérience sur le management des processus

Retour d expérience sur le management des processus GSI Gestion des systèmes d information Retour d expérience sur le management des processus Université d été 8-31 août 00 Dijon Guy Rivoire Consultant ELNOR Guy RIVOIRE 30/08/00 / 1 Présentation ELNOR Cabinet

Plus en détail

GUIDE GÉNÉRAL SUR LE CCSP ET LA PRÉSENTATION DE L I N F O R M ATION FINANCIÈRE DES CONSEILS SCOLAIRES

GUIDE GÉNÉRAL SUR LE CCSP ET LA PRÉSENTATION DE L I N F O R M ATION FINANCIÈRE DES CONSEILS SCOLAIRES GUIDE GÉNÉRAL SUR LE CCSP ET LA PRÉSENTATION DE L I N F O R M ATION FINANCIÈRE DES CONSEILS SCOLAIRES Ministère de l Éducation TA B L E D E S M AT I È R E S 2 I N T RO D UC TI ON E T C O N T EX T E Q

Plus en détail

La vie de cour au château de Versailles avant la Révolution Française (1789)

La vie de cour au château de Versailles avant la Révolution Française (1789) La vie de cour au château de Versailles avant la Révolution Française (1789) Avant la Révolution*, la France est une monarchie avec à sa tête un monarque, le Roi de France. Lorsque Louis XIII décède en

Plus en détail

Le présent, le passé, mon histoire

Le présent, le passé, mon histoire Représentation (début du XX e siècle) de la vie qui passe depuis l enfant jusqu au vieillard. RMN/Frank Raux Le présent, le passé, mon histoire séance 1 Je sais repérer ce qui est passé. séance 2 Je sais

Plus en détail

À travers deux grandes premières mondiales

À travers deux grandes premières mondiales Les éco-i ovatio s, le ouvel a e st at gi ue d ABG À travers deux grandes premières mondiales - éco-mfp, premier système d impression à encre effaçable - e-docstation, premier système d archivage intégré

Plus en détail

22 Nous Reconnaissons la force du pardon

22 Nous Reconnaissons la force du pardon 22 Nous Reconnaissons la force du pardon 23 Par le rite pénitentiel, les chrétiens se tournent vers Dieu pour lui demander son pardon. Dieu nous reçoit tels que nous sommes et nous pardonne pour que nous

Plus en détail

office national de sécurité sociale

office national de sécurité sociale office national de sécurité sociale Emploi salarié (O.N.S.S.) du quatrième trimestre 2009 office national de sécurité sociale Institution publique de sécurité sociale Emploi salarié (O.N.S.S.) du quatrième

Plus en détail

FONDS CHARLES COURNAULT (1815-1904)

FONDS CHARLES COURNAULT (1815-1904) ARCHIVES MUNICIPALES DE NANCY 3 Z FONDS CHARLES COURNAULT (1815-1904) REPERTOIRE NUMERIQUE DETAILLE THIBAUD PETER SOUS LA DIRECTION DE DANIEL PETER, CONSERVATEUR, NANCY 2008 2 FICHE DESCRIPTIVE CHAMP DESCRIPTION

Plus en détail

Auxiliaire avoir au présent + participe passé

Auxiliaire avoir au présent + participe passé LE PASSÉ COMPOSÉ 1 1. FORMATION DU PASSÉ COMPOSÉ Formation : Auxiliaire avoir au présent + participe passé PARLER MANGER REGARDER J ai parlé Tu as parlé Il/elle/on a parlé Nous avons parlé Vous avez parlé

Plus en détail

«DROIT DE LA FAMILLE, DROIT DES BIENS ET DROIT DES SUCCESSIONS DANS UN CONTEXTE FRANCO-JAPONAIS ET INTERNATIONAL»

«DROIT DE LA FAMILLE, DROIT DES BIENS ET DROIT DES SUCCESSIONS DANS UN CONTEXTE FRANCO-JAPONAIS ET INTERNATIONAL» UFE-Japon COMPTE RENDU DES CONFERENCES DU 20 MARS 2014 «DROIT DE LA FAMILLE, DROIT DES BIENS ET DROIT DES SUCCESSIONS DANS UN CONTEXTE FRANCO-JAPONAIS ET INTERNATIONAL» Avec la participation de : Maître

Plus en détail

Archivistes en herbe!

Archivistes en herbe! Les archives c est quoi? Un archiviste travaille avec des archives. Oui, mais les archives c est quoi? As-tu déjà entendu ce mot? D après toi, qu est-ce qu une archive? 1. Les archives ce sont des documents

Plus en détail

Les problèmes de la finale du 21éme RMT

Les problèmes de la finale du 21éme RMT 21 e RMT Finale mai - juin 2013 armt2013 1 Les problèmes de la finale du 21éme RMT Titre Catégorie Ar Alg Geo Lo/Co Origine 1. La boucle (I) 3 4 x x rc 2. Les verres 3 4 x RZ 3. Les autocollants 3 4 x

Plus en détail

Les cohabitants et l immobilier

Les cohabitants et l immobilier Les cohabitants et l immobilier 3Des cohabitants non mariés achetant ensemble un terrain à bâtir ou une habitation acquièrent ce bien en copropriété. Cela veut dire que le terrain ou l habitation appartient

Plus en détail

Comment chercher des passages dans la Bible à partir de références bibliques?

Comment chercher des passages dans la Bible à partir de références bibliques? Feuillet 3 CAHIER DE CATÉCHÈSE famille Dans le noir, je l'entends qui m'appelle ÉTAPE1 Comment chercher des passages dans la Bible à partir de références bibliques? (livre, chapitre et verset) Le mot «Bible»

Plus en détail

L essentiel de la succession en 30 minutes

L essentiel de la succession en 30 minutes L essentiel de la succession en 30 minutes Francine Robin Responsable du service des tutelles, curatelles et successions Le plan de vol BCGE L ordre de succession légal Les réserves héréditaires et la

Plus en détail

Prénom : J explore l orientation et l organisation spatiale. Date de retour :

Prénom : J explore l orientation et l organisation spatiale. Date de retour : Prénom : J explore l orientation et l organisation spatiale Date de retour : Message aux parents Les fascicules «Mes défis au préscolaire» suggèrent des activités à réaliser avec votre enfant. Le choix

Plus en détail

Jours et semaines. séquence 1 2. séance 1 Le jour, la nuit. séance 2 Les activités d une journée. séance 3 Une journée à l école.

Jours et semaines. séquence 1 2. séance 1 Le jour, la nuit. séance 2 Les activités d une journée. séance 3 Une journée à l école. séquence 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 Van GOGH, La nuit étoilée, Arles RMN (Musée d Orsay) / H. Lewandowski Jours et semaines séance 1 Le jour, la nuit. séance 2 Les activités d une journée. séance 3 Une journée

Plus en détail

INVENTAIRE CHALET LA MARMOTYRE

INVENTAIRE CHALET LA MARMOTYRE 185 Allée la Prazine 74120 Praz sur Arly INVENTAIRE CHALET LA MARMOTYRE WC Visiteur : 1 Placard bas. 1 Poubelle. 1 Balai + porte balai. 1 Porte papier WC.1 Porte serviette + 2 essuie main. Entrée : Placard

Plus en détail

Sommaire. Le RSA, c est quoi? 4. Qui peut en bénéficier? 5. Mes droits. Mes obligations et engagements. La commission RSA 10

Sommaire. Le RSA, c est quoi? 4. Qui peut en bénéficier? 5. Mes droits. Mes obligations et engagements. La commission RSA 10 mode Notes Sommaire Le RSA, c est quoi? 4 Qui peut en bénéficier? 5 Mes droits l L allocation RSA l L accompagnement Mes obligations et engagements l Mes démarches d insertion l Mes démarches administratives

Plus en détail

31 mars 2015 Capsule #0-D. Le premier recensement en Amérique du Nord

31 mars 2015 Capsule #0-D. Le premier recensement en Amérique du Nord Note: Ce document se réfère principalement au tome IV, chapitre IV du livre HISTOIRE DES CANADIENS- FRANÇAIS de Benjamin Sulte, édition 1977. Je décline toute responsabilité quant à son exactitude. J'apprécierai

Plus en détail

Table des matières. Partie I : La nouvelle déduction pour la propre et unique habitation

Table des matières. Partie I : La nouvelle déduction pour la propre et unique habitation Table des matières Partie I : La nouvelle déduction pour la propre et unique habitation 1. Conditions liées à l emprunt 1.1. Aperçu des différentes conditions...3 1.2. Commentaire de ces différentes conditions...3

Plus en détail

NOTRE PERE JESUS ME PARLE DE SON PERE. idees-cate

NOTRE PERE JESUS ME PARLE DE SON PERE. idees-cate NOTRE PERE JESUS ME PARLE DE SON PERE idees-cate 16 1 L'EVANGILE DE SAINT LUC: LE FILS PRODIGUE. Luc 15,11-24 TU AS TERMINE LE LIVRET. PEUX-TU DIRE MAINTENANT, QUI EST LE PERE POUR TOI? Un Père partage

Plus en détail

Compression Compression par dictionnaires

Compression Compression par dictionnaires Compression Compression par dictionnaires E. Jeandel Emmanuel.Jeandel at lif.univ-mrs.fr E. Jeandel, Lif CompressionCompression par dictionnaires 1/25 Compression par dictionnaire Principe : Avoir une

Plus en détail

El Tres de Mayo, GOYA

El Tres de Mayo, GOYA Art du visuel / «Arts, ruptures, continuités» Problématique : «Comment l expression du sentiment surgit-elle dans l art au XIX è siècle?» El Tres de Mayo, GOYA Le Tres de Mayo, Francisco Goya, huile sur

Plus en détail

1/6. André Bouteiller

1/6. André Bouteiller 1/6 André Bouteiller André Bouteiller est originaire de Saint-André-Treize-Voies. Il est le fils d André Bouteiller & Jeanne Chobelet et serait né vers 1650. Malheureusement les archives de Saint-André-Treize-Voies

Plus en détail

92 AQ. SOCIÉTÉ ANONYME DES MINES DE HOUILLE DE BLANZY

92 AQ. SOCIÉTÉ ANONYME DES MINES DE HOUILLE DE BLANZY 92 AQ. SOCIÉTÉ ANONYME DES MINES DE HOUILLE DE BLANZY Dès le 17ème siècle nous trouvons des traces de «charbonnières» dans la région de Blanzy 1. La mise en valeur véritable des mines du bassin de Montcenis

Plus en détail

UR présente : Episode 3: Je ne sais pas si je t ai écrit 35 ou 55 lettres

UR présente : Episode 3: Je ne sais pas si je t ai écrit 35 ou 55 lettres BISES LEO 3 Sändningsdatum : 2005-02-08 Producent : Gabriella Thinsz UR présente : Bises, Léo - Une histoire d amour Episode 3: Je ne sais pas si je t ai écrit 35 ou 55 lettres Léo. Je ne sais pas si je

Plus en détail

Un moulin à scie!?! Ben voyons dont!!!

Un moulin à scie!?! Ben voyons dont!!! Un moulin à scie!?! Ben voyons dont!!! (Zénon Rinfret, matillon/encanteur, s est présenté chez Simion avec sa nouvelle acquisition, un camion flambant neuf, et, il a même passé la nuit chez notre ami.)

Plus en détail

Une proposition de séquence relative à l étude des sons /an/, /on/ et de leurs graphies. Cadre général

Une proposition de séquence relative à l étude des sons /an/, /on/ et de leurs graphies. Cadre général Une proposition de séquence relative à l étude des sons /an/, /on/ et de leurs graphies Cadre général Analyse des difficultés : Ces phonèmes présentent une double difficulté : - au niveau de leur discrimination

Plus en détail

COMMISSION ANIMATION

COMMISSION ANIMATION COMMISSION ANIMATION COMPTE RENDU RÉUNION DU 3 JUILLET 2012 Présents : Mesdames C Euvrard, M Lacroix, A Hudeley, S Cordin-Frualdo, Messieurs JC Chaumet, P Damien, M Gerbaud Ordre du jour : Festivités du

Plus en détail

MUSÉE DE L AVENTURE PEUGEOT DE L ACIER À L AUTOMOBILE

MUSÉE DE L AVENTURE PEUGEOT DE L ACIER À L AUTOMOBILE MUSÉE DE L AVENTURE PEUGEOT DE L ACIER À L AUTOMOBILE LIVRET DÉCOUVERTE 7 / 12 ANS BIEN PLUS QU UN MUSÉE, UNE AVENTURE PLAN DU MUSÉE DE L AVENTURE PEUGEOT Suis le lion Baudichon pour découvrir le musée

Plus en détail

RESTAURATION DU SALON D ANGLE APPARTEMENT DU PAPE DOSSIER DE MÉCÉNAT

RESTAURATION DU SALON D ANGLE APPARTEMENT DU PAPE DOSSIER DE MÉCÉNAT RESTAURATION DU SALON D ANGLE APPARTEMENT DU PAPE DOSSIER DE MÉCÉNAT 1 SOMMAIRE LE CHÂTEAU DE FONTAINEBLEAU 3 LE GROS PAVILLON 4 L AMÉNAGEMENT DU SECOND EMPIRE 6 ESTIMATION DES TRAVAUX DE RESTAURATION

Plus en détail

La liberté guidant le peuple sur les barricades

La liberté guidant le peuple sur les barricades La liberté guidant le peuple sur les barricades Eugène DELACROIX 1830 Une étrange lumière Le soleil brille à travers la fumée de la poudre. Les écrits nous disent que nous sommes en début de matinée et

Plus en détail

Daniel Schafer Associé. Gilbert Ladreyt Associé

Daniel Schafer Associé. Gilbert Ladreyt Associé La nouvelle Convention entre la Confédération suisse et la République française en vue d éviter les doubles impositions en matière d impôts sur les successions Daniel Schafer Associé Gilbert Ladreyt Associé

Plus en détail

1738 2013 275 e ANNIVERSAIRE DE LA PAROISSE DE LA-VISITATION-DE-LA-SAINTE-VIERGE DE POINTE-DU-LAC

1738 2013 275 e ANNIVERSAIRE DE LA PAROISSE DE LA-VISITATION-DE-LA-SAINTE-VIERGE DE POINTE-DU-LAC 1738 2013 275 e ANNIVERSAIRE DE LA PAROISSE DE LA-VISITATION-DE-LA-SAINTE-VIERGE DE POINTE-DU-LAC HOMMAGE AU COUPLE BOLDUC-ROUETTE Mariette Bolduc Rouette. Mariette est aussi issue d une vieille famille

Plus en détail

Quand j étais petit/petite

Quand j étais petit/petite Quand j étais petit/petite La nostalgie, tu connais? Voici une photo du professeur quand elle était enfant... Observe cette photo Et écoute le professeur, il va te raconter quelques souvenirs d enfance.

Plus en détail

L'ENTREPRISE À L'ŒUVRE

L'ENTREPRISE À L'ŒUVRE L'ENTREPRISE À L'ŒUVRE Rapprocher la culture et le monde du travail en offrant aux salariés une rencontre au quotidien avec l art, tel est le but de L Entreprise à l œuvre, opération organisée sous l égide

Plus en détail

Mémoire de fin d études d orthophonie CENTRE DE FORMATION DE STRASBOURG

Mémoire de fin d études d orthophonie CENTRE DE FORMATION DE STRASBOURG Mémoire de fin d études d orthophonie CENTRE DE FORMATION DE STRASBOURG Objectifs : Au cours de la dern ière ann ée d études, les cand idats ayant v alidé la to talité de s enseignements théoriques et

Plus en détail

Utilisation des auxiliaires avoir et être

Utilisation des auxiliaires avoir et être AVOIR MATÉRIEL ET ÊTRE POUR ALLOPHONES 1 Groupe verbal Utilisation des auxiliaires avoir et être 1 DIFFÉRENTS CONTEXTES D EMPLOI DU VERBE AVOIR Être dans un certain état physique, moral ou intellectuel.

Plus en détail

LOCATAIRE, OUVRE-MOI!

LOCATAIRE, OUVRE-MOI! LOCATAIRE, OUVRE-MOI! LOCATAIRE, OUVRE-MOI! Les relations entre un propriétaire et un locataire ne sont pas toujours faciles. C est pourquoi il existe des lois et des règlements. Ce petit document tente

Plus en détail

Si la vie vous intéresse

Si la vie vous intéresse Si la ie ous intéresse paroles: J Pauze musique: J Pauze / M A Lépine ã 160 c c öguiõt aõcous fr ÛÛ ÛÛÛÛÛ ÛÛÛ ÛÛ ÛÛÛÛÛ ÛÛÛ öõbõasse G 3fr fr fr Û Û ÛÛÛ Û Û Û ( ) 3 ~~ ÿ % % J'ais dans ouer un la monde

Plus en détail

La carte de mon réseau social

La carte de mon réseau social La carte de mon réseau social Avant de commencer Un réseau social, c est quoi? Dans ta vie, tu es entouré de plusieurs personnes. Certaines personnes sont très proches de toi, d autres le sont moins. Toutes

Plus en détail

c dur Leçon 8 S c i e c v m C s c d f M a c u n S C r t V C o coton café classe carotte sac tricot Sa si ca la co lu cu ra ac cre

c dur Leçon 8 S c i e c v m C s c d f M a c u n S C r t V C o coton café classe carotte sac tricot Sa si ca la co lu cu ra ac cre C est en tricotant que l on fait du tricot. 1 Trouver le son commun à toutes ces images. 2 Encercler les C et c. S c i e c v m C s c d f M a c u n S C r t V C o Sa si ca la co lu cu ra ac cre coton café

Plus en détail

Le château de Versailles Architecture et décors extérieurs

Le château de Versailles Architecture et décors extérieurs Le château de Versailles Architecture et décors extérieurs Les rois de France viennent régulièrement chasser à Versailles à partir du XVI ème siècle. Henri IV y amène son fils, le futur Louis XIII. Devenu

Plus en détail

«Succession, comment ça marche?»

«Succession, comment ça marche?» «Succession, comment ça marche?» JARVILLE Jeudi 19 mars 2015 Serge CONSTANT Notaire à NANCY Président de la Chambre des Notaires PLAN I. Comment est composée la succession? Cela dépend de la situation

Plus en détail

Décès et succession LE DECES

Décès et succession LE DECES Décès et succession Des Services ou organismes accompagnent les personnes et familles à vivre leur deuil. Ci-dessous, nous nous limiterons à présenter quelques conseils et informations pratiques concernant

Plus en détail

Donner, léguer... pour la vie et les projets de l Église Réformée à Lyon. Parlons-en!

Donner, léguer... pour la vie et les projets de l Église Réformée à Lyon. Parlons-en! Donner, léguer... pour la vie et les projets de l Église Réformée à Lyon Parlons-en! 2 Les dons dons classiques dons «ISF» L unique ressource financière de l Église, c est le don. Dans un monde qui a tendance

Plus en détail

Chambord. Séminaires & réceptions

Chambord. Séminaires & réceptions Chambord Séminaires & réceptions Emplacements des espaces de location Lille Le Mont-St-Michel Paris Strasbourg Chambord Terrasses 12 Les terrasses Bordeaux 12 Toulouse Nice Corse Sommaire Bras de croix

Plus en détail

N 1 2 1 L a R e v u e F r a n c o p h o n e d u M a n a g e m e n t d e P r o j e t 2 è m e t r i m e s t r e 2 0 1 3

N 1 2 1 L a R e v u e F r a n c o p h o n e d u M a n a g e m e n t d e P r o j e t 2 è m e t r i m e s t r e 2 0 1 3 Du côté de la Recherche > Managemen t de projet : p1 L intégration des systèmes de management Qualité -Sécurité- Environnement : résultats d une étude empirique au Maroc Le co ntex te d es p roj et s a

Plus en détail

Je me présente, je suis guide à la forge-menuiserie Cauchon. J ai appris que tu allais venir nous visiter bientôt.

Je me présente, je suis guide à la forge-menuiserie Cauchon. J ai appris que tu allais venir nous visiter bientôt. FORGE-MENUISERIE CAUCHON PROGRAMME SCOLAIRE : ALLONS CHEZ LE FORGERON! GUIDE DE L ÉLÈVE Photo : Céline Lapointe Bonjour, Je me présente, je suis guide à la forge-menuiserie Cauchon. J ai appris que tu

Plus en détail

Choix du support. 1. Factice 2. à l anglaise. 3. Tradition étage

Choix du support. 1. Factice 2. à l anglaise. 3. Tradition étage Mariage Tourtes 2 Choix du support 3 1. Factice 2. à l anglaise boîtes en plastique vides (l une sur l autre) dernier étage : vraie tourte à couper ou factice enrobée et décorée selon votre choix tourtes

Plus en détail

Contrat de location saisonnière en meublé. Le «Lilacine Paris.com»

Contrat de location saisonnière en meublé. Le «Lilacine Paris.com» Contratdelocationsaisonnièreenmeublé Le«Lilacine Paris.com» Entre les soussignés M. et Mme Sergent Nathalie demeurant au n 6 impasse Victor Grignard, 91 220 à Brétigny sur Orge N de téléphone : 06.65.82.31.36,

Plus en détail

ÉVALUATION EN FIN DE CM1. Année scolaire 2014 2015 LIVRET DE L'ÉLÈVE MATHÉMATIQUES

ÉVALUATION EN FIN DE CM1. Année scolaire 2014 2015 LIVRET DE L'ÉLÈVE MATHÉMATIQUES ÉVALUATION EN FIN DE CM1 Année scolaire 2014 2015 LIVRET DE L'ÉLÈVE MATHÉMATIQUES NOM :....... Prénom :....... Né le :./../ École :............ Classe : Domaine Score de réussite NOMBRES ET CALCUL GÉOMÉTRIE

Plus en détail

SERRURIER.COM - 01.40.29.44.68

SERRURIER.COM - 01.40.29.44.68 L huisserie LE TRANSLUCIDE 2T ou 2P L étanchéité Joint isophonique à coller (option) La porte 2 FACES acier 20/10 ème + 4 omégas sur le périmètre 4 paumelles de 140 mm sur butée à billes L oculus Oculus

Plus en détail

MARIAGE. Adresse du futur foyer: En l église paroissiale: Date du mariage, A (numéro postal, localité, commune) Diocèse de: ENTRE

MARIAGE. Adresse du futur foyer: En l église paroissiale: Date du mariage, A (numéro postal, localité, commune) Diocèse de: ENTRE DOC. VI. MARIAGE Date du mariage, En l église paroissiale: A (numéro postal, localité, commune) Diocèse de: ENTRE (Nom et prénoms du fiancé) (Nom et prénoms de la fiancée) Adresse actuelle: (localité et

Plus en détail

Conditions de participation

Conditions de participation Conditions de participation Participants Sont autorisés à participer toutes les cuisinières et cuisiniers ayant obtenu leur examen de fin d apprentissage suisse / procédure de qualification suisse entre

Plus en détail

Ascendance CHAT CHOCARNE

Ascendance CHAT CHOCARNE Ascendance CHAT CHOCARNE I - 1 -Edmée, Gabrielle, Emilie CHAT (PROBANT) II - 2 -CHAT Ernest, Claude Pharmacien o 5/4/1850 Corbigny (58) + 23/3/1923 La Ferté Vidame (+) Rennes cimetière du nord x Boulogne/Seine

Plus en détail

PAROLES D ACTIFS. 1. Les personnes qui travaillent font partie LEÇON DU

PAROLES D ACTIFS. 1. Les personnes qui travaillent font partie LEÇON DU 1 Acteurs économiq PAROLES D ACTIFS 1. Les personnes qui travaillent font partie de la population active. a. Lisez la leçon du jour ci-contre. b. Dites si les affirmations suivantes sont vraies ou fausses.

Plus en détail

Monsieur l Adjoint délégué à la Culture et à la Tauromachie,

Monsieur l Adjoint délégué à la Culture et à la Tauromachie, Prise de Parole de Monsieur Jean-Paul FOURNIER Sénateur du Gard - Maire de Nîmes - Président de Nîmes Métropole Inauguration d une plaque dans le cadre du 450 ème anniversaire de la création de l Eglise

Plus en détail

P h i l h a r m o n i s

P h i l h a r m o n i s Adoptez un nouveau rythme pour vos placements P h i l h a r m o n i s NOTE D INFO R M ATI O N C o n t rat Collectif d assurance sur la vie à adhésion facultative L e s c a r a c t é r i s t i q u e s d

Plus en détail

Ursulines de Québec, 1/N,3,11,1,2. Ursulines de Québec, 1/N,3,11,1,1.

Ursulines de Québec, 1/N,3,11,1,2. Ursulines de Québec, 1/N,3,11,1,1. a série Propriétés terriennes du Service des Archives du Monastère des Ursulines de Québec regorge de documents précieux et instructifs. Le premier article de l année établissait les fondements de la colonisation

Plus en détail

************************************************************************ Français

************************************************************************ Français Ministère de l Education Centre National d innovation Pédagogique et de Recherches en Education Département d Evaluation ************************************************************************ Français

Plus en détail

Quelle journée! Pêle-mêle. Qu est-ce que c est? DOSSIER 3. 65. Écoutez les phrases. Écrivez les mots de la page Pêle-mêle que vous entendez.

Quelle journée! Pêle-mêle. Qu est-ce que c est? DOSSIER 3. 65. Écoutez les phrases. Écrivez les mots de la page Pêle-mêle que vous entendez. DOSSIER 3 Quelle journée! Pêle-mêle 19 65. Écoutez les phrases. Écrivez les mots de la page Pêle-mêle que vous entendez. 1.... 2.... 3.... 4.... 5.... 6.... 66. Reconstituez les mots de la page Pêle-mêle.

Plus en détail

Câblage des prises... 122. Projets de câblage... 128. Plans de circuits... 138. TECHNIQUES ÉLÉMENTAIRES DE RÉNOVATION Revêtements de sol...

Câblage des prises... 122. Projets de câblage... 128. Plans de circuits... 138. TECHNIQUES ÉLÉMENTAIRES DE RÉNOVATION Revêtements de sol... Tables des matières Le guide complet pour rénover sa maison Introduction.............. 7 PRINCIPES GÉNÉRAUX DE LA RÉNOVATION Apprendre à connaître sa maison.... 10 Codes du bâtiment et permis de construction...................

Plus en détail

le futur centre des congrès de Rennes Métropole Illustrations Labtop / Jean Guervilly Couvent des Jacobins

le futur centre des congrès de Rennes Métropole Illustrations Labtop / Jean Guervilly Couvent des Jacobins le futur Illustrations Labtop / Jean Guervilly e x p o s i t i o n Couvent des Jacobins du 16 novembre au 18 décembre 2010 Illustrations Labtop / Jean Guervilly 1. histoire Le couvent des Jacobins dans

Plus en détail

Liens entre la peinture et la poésie

Liens entre la peinture et la poésie Liens entre la peinture et la poésie Ophélie dans Hamlet Ophélie est un personnage fictif de la tragédie d Hamlet, une célèbre pièce de William Shakespeare. Elle partage une idylle romantique avec Hamlet

Plus en détail

Technique RSR. 27.6.08 /DCo

Technique RSR. 27.6.08 /DCo La : -35 collaborateurs -120 applications métiers -2 services de piquet -1 service desk commun avec la TSR -Un parc véhicule -Un parc de matériel extérieur -Une très forte diversité d outil et de connaissances

Plus en détail

Inscription en ligne FQSC. Guide d utilisation

Inscription en ligne FQSC. Guide d utilisation Inscription en ligne FQSC Guide d utilisation Ce Guide est rédigé comme aide-mémoire pour l achat de votre licence sur le site internet de la FQSC. Dans un prem ier temps, vous devrez vous rendre sur le

Plus en détail

5-1/4" 5-1/4" 5/8" 2-1/2" 3/4" Ligne A. Figure 1. Ligne B. Ligne C. Entaille 1-1/2" Figure 2

5-1/4 5-1/4 5/8 2-1/2 3/4 Ligne A. Figure 1. Ligne B. Ligne C. Entaille 1-1/2 Figure 2 Ligne A Ray Catcher Sprint Deluxe Power Pak Guide de l étudiant Matériaux Vous aurez besoin des items ci-dessous pour créer votre voiture solaire. Donc, avant de débuter, prenez le temps de voir si tout

Plus en détail

Lot 4: Validation industrielle. Youness LEMRABET Pascal YIM, 19/11/2010

Lot 4: Validation industrielle. Youness LEMRABET Pascal YIM, 19/11/2010 Lot 4: Validation industrielle Youness LEMRABET Pascal YIM, 19/11/2010 Partenaires Lot 1 Modèle du processus métier L4.1 Modèles PSM Lot 2 Guide d implantation L4.2 Développement & Recette prototype Lot

Plus en détail

Papa, pourquoi je ne peux pas manger la même nourriture que toi?

Papa, pourquoi je ne peux pas manger la même nourriture que toi? 1 Papa, pourquoi je ne peux pas manger la même nourriture que toi? Un livret pour les enfants qui sont PCU par Gerda Lundberg, Association PCU de Suède 2 Traduit de l anglais Mme Yvonne Miller Berlie (A.P.E.P.)

Plus en détail

DE L APPRENTI MOTOCYCLISTE

DE L APPRENTI MOTOCYCLISTE DE L APPRENTI MOTOCYCLISTE TABLE DES MATIÈRES 1. DEVENIR ACCOMPAGNATEUR 4 Expérience requise...4 Quel est votre rôle?...6 Pour rafraîchir vos connaissances...7 3. EXERCICES D APPRENTISSAGE 12 Avant de

Plus en détail

LIVRET DE SUIVI SCOLAIRE ET DE PROGRÈS

LIVRET DE SUIVI SCOLAIRE ET DE PROGRÈS LIVRET DE SUIVI SCOLAIRE ET DE PROGRÈS De quelles poutres, de quelles pierres de béton bâtir les ponts pour qu ils puissent unir des rives différentes? L art des Ponts, Michel Serres, octobre 2006, Edition

Plus en détail