Compte-rendu informel du CA restreint le 11/04/2013

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Compte-rendu informel du CA restreint le 11/04/2013"

Transcription

1 Compte-rendu informel du CA restreint le 11/04/2013 Ce compte-rendu n'est qu'informel et peut comporter des lacunes voire des erreurs tout à fait involontaires. Approbation du PV de la réunion du 21 mars 2013 Adopté à l'unanimité Primes de responsabilités pédagogiques rémunérées sur le budget de l'ufr de Lettres, Langues et Sciences Humaines et sur le budget de l'ufr de Droit, des Sciences Economiques et de Gestion Sous réserve d'acceptation du fléchage des fonctions en CA. Adopté à l'unanimité Question diverse Une commission s'est réunie autour d'une mutation interne en anglais de l'iut au CRL. Il y aura donc ouverture d'un poste à l'iut au second mouvement. 1

2 Compte-rendu informel du CA plénier le 11/04/2013 Ce compte-rendu n'est qu'informel et peut comporter des lacunes voire des erreurs tout à fait involontaires. 1. DELIBERATIONS 1.1 Approbation du CR du CA des 24/10/2012 et 15/02/ /10/2012 Approuvé (2 abstentions) 15/02/2013 Approuvé (1 abstention) 1.2 Questions financières et comptables Subventions/tarifs/cotisations J.Ph. Melchior ne souhaite pas voter la cotisation à la CPU, et le VPCA propose de dissocier ce point des autres. La DGS indique que si l'université du Maine n'adhérait pas à la CPU, le Président ne bénéficierait pas de l'assurance liée à ses responsabilités. Vote hors adhésion CPU Approuvé à l'unanimité Vote adhésion CPU Approuvé (8 pour, 6 contre, 7 abstentions) Demande d'admission en non-valeurs Approuvé Demande de sortie d'inventaire émanant de l'ufr Droit, Sciences Economiques et de Gestion Approuvé 1.3. Questions générales Approbation des primes ou décharges des charges administratives et/ou de responsabilités pédagogiques sur les budgets de l'ufr Droit, Sciences Economiques et de Gestion et de l'ufr Lettres, Langues et Sciences Humaines Le CA restreint précédent a fléché l'affectation des primes ou décharges, sous réserve de l'acceptation du présent CA plénier. E. Brasseur estime que verser une prime ne permet pas de libérer du temps pour les personnes concernées et que les décharges sont très peu prises, et va donc s'abstenir. Le VPCA ajoute que pour les décharges, dans le cas des petites décharges, cela créerait trop de dysfonctionnement. D. Amiard ajoute qu'une décharge empêche de faire des heures supplémentaires. E. Brasseur déplore cet état de fait : les enseignants-chercheurs n'ont pas le choix. Approuvé (4 abstentions) 2

3 Ajout de la possibilité de nommer un directeur adjoint au sein des statuts des services communs de l'université du Maine Le VPCA et la DGS expliquent que jusqu'à maintenant, les statuts des services communs ne précisent pas qu'il est possible de nommer un directeur adjoint, et certains services sont demandeurs et fonctionnent même avec un directeur adjoint sans que cela ait été validé. Certains collègues en font donc fonction, mais pas de manière officielle. Comme les statuts de l'université vont être modifiés du fait de la loi, il apparaît opportun de clarifier cette situation dans les statuts existants. Actuellement, deux services communs fonctionnent ainsi : le SCD et le CUEP. Mme Guého demande si cette modification des statuts a fait l objet d une rédaction précise, car il lui semble difficile de voter sur le seul principe sans rédaction claire. La DGS répond que l'intitulé est clair, mais que J.L. Bonnemaison va rédiger l'article. E. Brasseur demande si c'est transparent au niveau du budget ou s'il est juste question d'officialiser des situations existantes. La DGS répond qu'il n'y a rien d'automatique et de proposé pour l'instant, et que si c'était le cas, cela passerait devant le CA. En ce qui concerne les délégations de signature, le Président peut déléguer à tout personnel de catégorie A. J.Ph. Melchior est gêné que l'on propose cela sans savoir ce que cela sous-entend du point de vue hiérarchique. La DGS répond qu'il faut que les missions soient clarifiées et les positionnements également. Il y a un gros travail à faire sur les statuts, et dans les statuts plus détaillés, les fonctions seront plus détaillées. J.F. Bourdet estime qu'on est dans un certain flou, car il n'y a pas de profil de poste. Que faire s'il y a plusieurs candidats pour un tel poste. La demande vient-elle d'un malaise des collègues concernés? La DGS répond que la demande vient des services. C. Potel estime qu'il est important que toute responsabilité soit bien identifiée en termes de positionnement et de reconnaissance. Ne pas officialiser une fonction déjà occupée fait que le ou la collègue n'apparaît pas dans un organigramme par exemple, peut difficilement en faire état dans ses dossiers,..., et cela peut à la longue créer des situations de malaise. Le VPCA propose d'attendre l'arrive du Président pour reprendre la discussion. Finalement, ce point sera de nouveau mis à l'ordre du jour d'un prochain CA, pour permettre d apporter toutes les précisions nécessaires Création d'un service de radioprotection au sein de l'université du Maine D. Bertus (ingénieur hygiène et sécurité) explique qu'il y a actuellement plusieurs PCR (Personne Compétente en Radioprotection) à l'université et la loi impose de de créer un Service Compétent en Radioprotection (SRC), avec des réunions régulières. E. Brasseur demande s'il ne serait pas judicieux d'avoir un représentant du CHSCT (comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail). D. Bertus répond qu'on peut effectivement l'inviter aux réunions, mais ne sait pas s'il faut l'inclure dans les statuts du service. La DGS propose de retirer les noms des personnes au profit des fonctions pour ne pas avoir à voter à nouveau à chaque changement de personne. E. Brasseur souhaite que les compte-rendus de réunion soient également transmis aux CHSCT et aux assistants de prévention des laboratoires. D. Amiard demande s'il y a des défibrillateurs. D. Bertus qu'il y en a cinq dans l'université (maison de l'université, cuep, etna et halle des sports au Mans, et un à Laval), mais il n'y a pas de 3

4 réglementation. Un plan de localisation de ces défibrillateurs va être diffusé. G. Tourette (MMA) indique que les risques augmentent et que la judiciarisation est forte. La DGS approuve et ajoute que c'est du sérieux et que c'est l'affaire de tous. Approuvé à l'unanimité Programme sante et sécurité au travail 2013 Voir le 3.1 pour le bilan de l'année 2012 et l'annexe 1. J.P. Ollivier remarque un manque de personnels pour certaines actions de formation et demande ce qui est fait. D. Bertus répond que des sollicitations sont régulièrement envoyées en direction de ces personnels. Approuvé à l unanimité 1.4. Conventions Avenant n 1 au contrat de services n SE Projet TRAD C. Choquet indique que cet avenant avait été mis en lien sur internet, et le lien ayant été diffusé à l'ensemble du personnel, il y a eu des difficultés car le document était confidentiel. Mme Guého rappelle que les documents préparatoires au CA ne sont absolument pas communicables à d'autres personnes que les administrateurs, et que c'est dans la loi, ce que confirme J.L. Bonnemaison. Les ordres du jour peuvent être diffusés sans problème, mais pas le lien où sont présents les documents préparatoires. Le VPCA indique qu'une réflexion est engagée pour que les documents soient présents sur l'intranet. C. Potel remarque que cela fait des années que les ordres du jour des CA sont diffusés à l'ensemble du personnel par les élus OCR via une liste syndicale, avec un lien vers les documents correspondants, et trouve un peu désagréable d'être informés en plein CA que c'est interdit par la loi et que nous sommes en faute, sans en avoir été avertis avant. Le VPCA répond que la responsabilité est tout à fait partagée. E. Brasseur et B. Beaune rappellent que le rôle des élus au CA est de donner de l'information aux collègues et d'avoir leur retour et qu'il est assez inconcevable de ne pas pouvoir diffuser les documents préparatoires qui ne sont pas confidentiels. Le Président pense que le risque n'est pas très élevé quand on diffuse les documents, mais il vaut mieux ne pas diffuser les documents avant les conseils, ou alors il faut en faire un résumé avant diffusion, ce qui demanderait alors un peu de travail aux élus. C. Potel répond que les documents arrivent quelquefois un peu tard, et que sur certaines choses, comme le budget par exemple, les administrateurs ne sont pas nécessairement compétents et que l'information serait alors biaisée. Le Président propose que les conventions et autres documents sensibles soient mis sur un lien avec mot de passe communiqué uniquement aux administrateurs. Le VPCA ajoute que les ordres du jour des CA seront mis en lien sur l'intranet. Approuvé (1 contre, 8 abstentions) 4

5 2. DEBAT D'ORIENTATION GENERALE 2.1. Point d'avancement relatif aux Instituts Le Président rappelle que le CA a déjà voté les statuts de l'institut du Risque et de l'assurance. On ne peut pas avoir des pics de visibilité dans tous les domaines, mais il faut favoriser des interactions entre laboratoires et composantes. L'institut Le Mans-Acoustique bénéficie d'un fort appui de la Région (volet A'), avec une AMO (Aide à Maîtrise d'ouvrage), et se veut fédérateur de l'acoustique (LAUM, ITEMM, CTTM, ESBAM, Maine-Sciences, IMMM). A noter que l'immm est désormais inclus dans le projet via l'optoacoustique. Cette démarche fédérative a notamment permis l obtention de 3 supports de postes supplémentaires pour l UM. Le challenge actuel est d'y mettre un peu de sciences humaines et sociales, la licence professionnelle "Activités culturelles et Artistiques, spécialité Gestion et développement des structures musicales" gérée par l'ufr-lettres étant un bon lien de ce point de vue. L'IMMM fusionne trois UMR de physique (1) et chimie (3). En informatique, il y a un gros potentiel, réparti sur les différentes filières, et un gros laboratoire qui ne fait pas que de l'informatique mais aussi de la traduction et les environnements informatiques pour l'apprentissage humain (e-learning, etc...). L Institut des Sciences Humaines et Sociales. Le Président insiste sur la philosophie et la démarche : en tant qu'université de taille moyenne, il faut favoriser l'émergence de thématiques transversales, de façon à nourrir, enrichir. C'est de plus bien perçu par la tutelle Point d'avancement relatif à l'université Fédérale des Pays de la Loire Une déclaration d'intention est distribuée en séance. Une réunion a eu lieu samedi 6 avril 2013 avec les collègues nantais et angevins. La Communauté d'universités et d'etablissements (CUE) est le schéma que propose la loi Fioraso, ce qui peut conduire à la fusion ou à un rassemblement d'établissements qui gardent leur propre responsabilité morale ; c'est ce dernier schéma qui est retenu. Il n'y aurait alors plus de PRES qui évoluerait de facto en CUE. En revanche l'ecn n'est pas dans cette logique, qui inclut la délivrance commune de diplômes avec non plus le nom d'un établissement, mais le nom de la fédération par exemple. Cela bouge donc beaucoup, et le calendrier est assez serré par la loi (échéance octobre ). Des groupes de travail ont été proposés - filières liées à la recherche et RFI (Recherche-Formation-Innovation), - université de demain, - écoles et partenariat, - gouvernance. Ces groupes de travail vont être déclinés dans chaque établissement, en les ouvrant le plus possible. Pour aider l'organisation, la demande sera faite à la Région d'un Aide à Maîtrise d'ouvrage. J.F. Bourdet fait quelques remarques sur ce grand chantier, et se demande s'il est envisagé une rédaction commune ou coordonnée des projets d'établissement au sein des CUE. Le Président répond que dorénavant l Etat signera un contrat avec la CUE pour l ensemble de ses membres ; 5

6 des contrats individuels complémentaires pourront être signés avec chaque membre de la CUE, mais plus le niveau d intégration sera important, plus la dotation sera favorable. C. Laloyer demande ce qu'il en est du budget des CUE. Le Président répond que d'après ce qui a été compris, les moyens supplémentaires seront d'autant plus élevés que la CUE sera avancée. Le risque que ces regroupements soient utilisés pour des économies d'échelle est fort, et c'est à nous de nous positionner pour qu'il ne le soit pas. La DGS ajoute que s'il y a un expert dans une université (par exemple sur les retraites), il peut être judicieux de n'avoir qu un seul spécialiste à un endroit donné et de garder les missions de proximité sur chaque site ; l'endroit où la compétence sera n'étant pas forcément celui où il y a le plus de monde... J.P. Ollivier demande s'il ne faut pas préparer les collègues à de la mobilité géographique. Le Président répond qu une telle mobilité est inenvisageable à l instant t et donne l'exemple de l'iufm. Il y a en revanche un risque de migration de poste après un départ à la retraite. La DGS ajoute que cela induira surement des évolutions en termes de restructuration de moyens, mais vraisemblablement pas de mobilité géographique. Sans doute des mobilités de missions, qui ont déjà beaucoup changé depuis quelques années. J.F. Bourdet estime que l'on pourrait se dire qu'avec cette CUE il y aurait des économies d'échelles dans les formations, mais cela peut aussi être exactement l'inverse. Celle-ci peut aussi permettre de sauver certaines formations, à l'image de ce qui s'est fait en langues en termes de mutualisation avec une plateforme d'enseignement à distance. Cela peut donc aller au contraire dans un sens positif. R. Mir Samii ajoute que les angevins ont pu sauvegarder une filière FLE à Angers grâce à un regroupement-partenariat avec Le Mans 2.3. Point d'avancement relatif à la Loi Enseignement Supérieur et Recherche Reporté au prochain CA. 3. INFORMATIONS 3.1. Liste de conventions Pour information Bilan du programme sante et sécurité au travail 2012 D. Bertus présente ce programme, articulé autour de six grands axes thématiques (voir annexe 1). Les éléments marquants sont notamment la mise en place des CHSCT, 3 exercices de grande envergure avec les pompiers, l'arrivée d'un médecin de prévention. Le nombre d'assistants de prévention a été augmenté. La DGS indique que l'université a rattrapé de manière très importante son retard par rapport à ses obligations, notamment en termes de formation. Un inspecteur est venu faire l'audit de la situation dans tous les domaines Bilan de l'action menée dans le cadre des Risques Psycho-Sociaux Reporté au prochain CA. 4. QUESTIONS DIVERSES 6

7 Annexe 1. Rapport annuel de prévention des risques - Bilan de l'année 2012 et perspectives

8 RAPPORT ANNUEL DE PREVENTION DES RISQUES UNIVERSITE DU MAINE BILAN DE L ANNEE 2012 ET PERSPECTIVES 2013 Service Santé et Sécurité au Travail janvier

9 Introduction Ce rapport a pour objectif de donner un niveau d avancement au regard des objectifs que nous nous étions fixés pour l année 2012 Ce rapport dresse un état des lieux de la situation actuelle et ainsi nous permet de mesurer les évolutions. Même si les dossiers ne progressent pas aussi vite que nous le souhaitons, que la progression nécessite beaucoup d efforts des résultats pouvant nous paraître faible, néanmoins les avancées se font pas à pas. Il est important de souligner que toutes ces avancées sont liées à l implication et la participation active des assistants de prévention. Les actions de l année ont notamment été orientées vers la mise en place de notre CHS-CT, la poursuite de nos efforts en formation, le lancement de la démarche de prévention des risques psychosociaux. Le bilan de cette année, nous montre la réalisation de nombreuses actions mais également le manque de temps et de moyens humains pour mener à bien toutes les actions. Plus généralement, la gestion aux quotidiens (contrôle d accès, intrusion, rédaction des appels d offres, tâches plus administratives (planification des réunions, des vérifications périodiques, rédaction de CR, prise de RDV avec les organismes, demande de devis suite à certaines vérifications..), et les sollicitations grandissantes de certaines composantes en matière de prévention permettent difficilement de mener un travail de fond. Toutefois, les actions de prévention seront poursuivies en fonction du temps et de des moyens disponibles.. Service Santé et Sécurité au Travail janvier

10 Sommaire Bilan de l année 2012 et...4 Perspectives Service Santé et Sécurité au Travail janvier

11 Bilan de l année 2012 et Perspectives 2013 Service Santé et Sécurité au Travail janvier

12 BILAN 2012 DU PROGRAMME ANNUEL PREVENTION HYGIENE ET SECURITE Prévoir au minimum trois de réunion de CHS / CHSCT par an Créer le CHSCT et nommer des nouveaux membres Organiser les visites de locaux avec les assistants de prévention, un membre CHSCT et le médecin de prévention. Poursuivre le renforcement du réseau des assistants de prévention. Programmer au moins deux réunions par an avec les assistants de prévention. Mettre à jour les lettres de missions des assistants de prévention Désigner pour les sites de Laval, les responsables des sites en matière de sécurité Mettre à jour la liste des responsables d unités de travail et les missions des responsables Programmer au moins une réunion / an avec chaque responsable administratif de composante LES ACTEURS DE LA PREVENTION En 2012, 3 réunions ont eu lieu : - 26 mars juin novembre 2012 Suite à l évolution de la réglementation, Le CHS- CT a été créé par arrêté du CA en date du 14/06/2012. Au vu des évolutions (nouveaux membres du CHS-CT, recrutement d un médecin), il n y a pas eu de visites de locaux d organiser. Une analyse de poste de travail été faite en collaboration avec les membres du CHS-CT en L établissement d un calendrier de visite est à mettre en place pour l année 2013 Lors d une réunion générale le 23/08/2012 avec tous les responsables administratifs, une présentation de la circulaire du 09 août 2011 a été faite. Un rappel a été fait concernant les assistants de prévention et le nombre insuffisant. Une nouvelle session de formation va être mise en place au cours de l année Deux réunions ont eu lieu au cours de l année 2012 avec les assistants de prévention : - une réunion en mars une réunion en juillet 2012 Les lettres de missions sont rédigées mais n ont pas été validées par le CHS-CT.. Une proposition de désignation a été transmise au service juridique début Ce point sera traité en partenariat avec le service juridique au cours de l année Suite aux différentes évolutions, la liste des unités de travail a été modifiée. Cette liste est à valider et à diffuser. Quelques réunions ont eu lieu mais non formalisées. Service Santé et Sécurité au Travail janvier

13 PREVENTION ET EVALUATION DES RISQUES PROFESSIONNELS Mettre à jour la cartographie des unités de travail Mettre en place les DUER dans les unités non pourvues à ce jour selon un calendrier de réalisation compris entre janvier et juin Mettre à jour les DUER dans les autres unités entre janvier et juin. Réaliser des fiches individuelles d expositions dans les unités de recherches de la faculté des sciences Réaliser la cartographie des zones à risques pour le bâtiment physique chimie et le département chimie de l IUT La liste des unités de travail est mise à jour mais doit être diffusée Pas d avancée significative en 2012 sur cette thématique Pas d avancée significative en 2012 sur cette thématique. Les unités ayant l habitude de faire une mise à jour annuelle conservent la dynamique. Il faut instaurer ce fonctionnement à l ensemble des unités de travail. Quelques fiches individuelles sont transmises par les laboratoires au médecin de prévention mais cela ne se fait pas de façon systématique. Une cartographie des zones à risques a été réalisée au niveau des bâtiments - Physiques chimie - Thémis -Enseignement Lettres Service Santé et Sécurité au Travail janvier

14 Former les nouveaux entrants Assurer la formation initiale des assistants de prévention. Membres du CHSCT Assurer la formation continue des membres du CHS et des ACMOS 10% des personnels formées au secourisme dans les unités de travail à risques 10% de personnels formées à la manipulation extincteurs dans les unités de travail à risques Présence de personne formées au secourisme dans toutes les unités de travail Présence de personnes formées à la manipulation des extincteurs dans toutes les unités de travail FORMATION A LA PREVENTION Au cours de l année 2012, deux sessions de formation pour l accueil des «nouveaux entrants» ont été réalisées. Un «recueil formation» pour servir de guide aux assistants de prévention a été rédigé. Les membres du CHS-CT représentants les personnels on été formés en octobre Une session de formation «risques liés «aux gaz a été proposé aux assistants de prévention. Attention : plusieurs SST peuvent intervenir aussi bien à l IUT que dans des laboratoires de recherche. A ce jour aucun Sauveteur Secouriste du Travail au niveau du CUEP et de GEA A ce jour aucune personne formée à la manipulation extincteurs au niveau du CUEP. Risque incendie : gestion des alarmes incendie Une formation avait été planifiée en août 2012 pour les agents du site de Laval mais non réalisée (période de congés des agents), de nouvelles dates sont à définir. Développer les formations aux risques liées aux activités scientifiques Création d un recueil formation Les actions de formations liées aux activités scientifiques réalisées en 2012 sont : - conduite chaufferie vapeur - risque chimique, TMD - recyclage des personnes compétentes en radioprotection - sécurité gaz Un recueil des besoins en formation est adressé aux responsables de services mais pas de guide d établi Service Santé et Sécurité au Travail janvier

15 Mettre à jour la rubrique Hygiène et sécurité INFORMATION SECURITE POUR TOUS Une mise à jour partielle a été faite (lourdeur du système). Mettre en place des fiches conseils Réaliser l inventaire des produits chimiques Informer les agents et les entreprises extérieures sur les risques liées à l amiante A ce jour les fiches conseils n ont pas été diffusées. Plusieurs «exemples» de fiches ont été collectés par l ingénieur hygiène et sécurité et sont à adapter à nos besoins et à diffuser. Les produits présents au sein du département MS de l IMMM sont inventoriés dans une base de données. Dans d autres laboratoires, les listes des produits utilisés sont affichées au niveau des armoires de stockage. Pas d inventaire réalisé en 2012 concernant les produits utilisés au niveau des services techniques et par les agents d entretien. Les éléments concernant l amiante sont intégrés aux plans de prévention PRESERVATION DE LA SANTE Les risques psychosociaux En janvier 2012, ½ journée d information/sensibilisation a été organisée en collaboration ave le service formation et avec la participation de plusieurs intervenants. A la suite de cette ½ journée, un accompagnement spécifique a été mis en place pour le SCD. En parallèle, une démarche générale via un questionnaire mis en œuvre pour l ensemble du personnel. Les troubles musculo-squeletiques La prévention du risque chimique A ce jour, une restitution par mail des résultats des questionnaires a été faite, des groupes d expression ont été mis en place. Action toujours en cours et à poursuivre sur Peu d avancé sur ce sujet : deux études de postes de travail ont été réalisées pour des agents d entretien de l UFR de droit dont l une réalisée par un ergonome. Pas de démarche générale à ce jour sur cette thématique. Des contrôles d ambiances de travail ont été réalisées au bâtiment demi-grand de l IUT mais à ce jour pas d identification des laboratoires concernés par l utilisation de produits référencés à l article R ou prévus à l article R pour faire réaliser les contrôles techniques. Pas d évaluation du risque chimique dans les laboratoires. La liste des agents exposés aux risques chimiques se constitue au fur et à mesure des visites médicales. Service Santé et Sécurité au Travail janvier

16 Suivi médical des agents Visite médicale d aptitude pour les postes le nécessitants Suivi des accidents PRESERVATION DE LA SANTE Un très gros effort a été fait en 2012 concernant les visites médicales 428 créneaux de visites ont été proposés par le médecin de prévention et 397 visites ont été réalisées. Ces efforts sont à poursuivre. Un bilan des personnes soumis à SMR est à faire. Des visites d aptitude préalables sont à ce jour réalisées pour les habilitations électriques et travail en hauteur mais pas systématiquement pour tous les postes de travail. Pas de procédure écrite mise en place. Les gestionnaires RH transmettent par mail à l IHS et au médecin de prévention les informations relatives aux accidents du travail. L IHS retransmet ensuite cette information aux membres du CHS-CT et une enquête peut alors être réalisée.. Deux exercices d évacuation par bâtiments Organisation d au moins un exercice d évacuation avec le SDIS Créer un dossier sécurité incendie pour le campus du Mans Définir les consignes pour l évacuation des étudiants ou personnels en situation de handicap GESTION DE L URGENCE Tous les bâtiments font l objet d au moins un exercice d évacuation par an. 70% des bâtiments ont fait l objet de deux exercices d évacuation en Au cours du deuxième semestre 2012, 3 exercices ont été réalisés avec la participation du SDIS. Pour chaque exercice, les locaux ont été enfumés et une évacuation de personne en étage a été faite. Lors de la préparation des exercices avec les pompiers pour chacun de bâtiments concernés, des plans spécifiques ont été mis à jour avec - localisation des zones à risques spécifique (gaz, stockage, archive, ) - localisation des vannes de coupure gaz, électricité Cette démarche est à poursuivre sur Le groupe de travail devant traiter ce sujet ne s est pas réuni en Service Santé et Sécurité au Travail janvier

17 LES ACTIONS COMPLEMENTAIRES En compléments des actions mises en place pour atteindre les objectifs fixés en 2012 de nombreuses autres actions ont été menées en parallèle par le service hygiène et sécurité. LES RISQUES PSYCHO-SOCIAUX Un temps fort du début de l année 2012 a été le lancement d une démarche de prévention concernant les risques psychosociaux. A ce titre, un travail important a été réalisé avec le service de formation de l Université pour la mise en place sous forme de conférence d une demi-journée d information/sensibilisation sur cette thématique A la suite de cette demi-journée, un accompagnement avec l aide d un consultant extérieur a été mis en place. Cet accompagnement comprend : - une action spécifique pour le SCD - une démarche générale pour l Université L objectif est d établir un plan de prévention des risques psychosociaux. DIRECTION DES AFFAIRES TECHNIQUES ET IMMOBILIERES : Certaines missions du service hygiène et sécurité sont étroitement liées avec celle de la Direction des Affaires Techniques et Immobilières. Les deux services travaillent en commun notamment - pour la préparation et le suivi des visites des commissions de sécurité (9bâtiments ont fait l objet d une visite périodique de la commission de sécurité entre en 2012 et le bâtiment informatique de Laval a fait l objet d une visite de la commission de sécurité dans le cadre de son ouverture) - la programmation et le suivi des vérifications périodiques (électriques, gaz, sorbonnes..), - les opérations de maintenance spécifique ou mise en sécurité suite aux vérifications, - suivi de travaux - établissement de devis - rédaction des plans de prévention De plus au cours de l année 2012, a été mis en place par la Direction des Affaires Techniques et Immobilière, une réunion hebdomadaire à laquelle l Ingénieur Santé et Sécurité au Travail participe, ce qui permet un suivi régulier des actions planifiées. Service Santé et Sécurité au Travail janvier

18 GARDIENNAGE. SECURITE INCENDIE : En semaine la gestion des alarmes (incendie/intrusion) est assurée par trois gardiens, personnels de l Université et en leur absence (week-end, jours fériés et congés) cette surveillance des locaux est assurée par une société de gardiennage. Depuis fin 2009, il a été proposé un rattachement administratif des gardiens en composante et un rattachement fonctionnel de des agents pour la partie sécurité incendie à l ingénieur Hygiène et sécurité Incendie. En collaboration avec ces trois gardiens, est assurée - préparation préalable aux commissions de sécurité incendie - organisation des exercices d évacuation - suivi des interventions des entreprises extérieures (siemens, eurofeu, APS), - contrôle du bon état de fonctionnement de nos installations (centrale, extincteurs, fonctionnement des portes..) Un des temps fort de l année 2012, concernant la protection incendie a été la mise en place d une convention avec les services du SDIS et la réalisation de trois exercices d évacuation en présence des pompiers. Cette démarche nous a permis de revoir notre mode d intervention et de créer pour ces trois bâtiments des «dossiers risques» comprenant pour chaque bâtiment : les plans des locaux avec la localisation des risques spécifiques (présence de gaz, produits chimiques, matériels très coûteux à sauvegarder ) La constitution de ce type de dossier est à mettre en place les autres bâtiments du site. L Ingénieur hygiène et sécurité est également l interlocuteur de l Université auprès de la société de gardiennage et assure le suivi de la prestation par l organisation de réunions régulières. MANIFESTATION EXCEPTIONNELLE DES LOCAUX. Le service santé et sécurité au travail est en charge de la gestion des dossiers de manifestations exceptionnelles. En 2012, 11 dossiers de demande d utilisation exceptionnelle des locaux ont été rédigés et transmis à la mairie du Mans pour avis La très grande majorité de ces demandes sont faites en dehors des délais réglementaires d 1 mois. Un rappel est fait lors des réunions de rentrée aux étudiants sur l obligation d établir un dossier au minimum 1 mois avant la manifestation Une action de communication auprès des responsables des composantes est également à faire. Service Santé et Sécurité au Travail janvier

19 PARTENARIAT AVEC LE CNRS : L ingénieur Hygiène et Sécurité de l université participe aux réunions de CHS-CT de la délégation CNRS Bretagne- pays de Loire. L ingénieur de prévention des risques du CNRS est également convié à chaque CHS-CT se déroulant sur l Université du Maine. Concernant l année 2012, une visite de l IMMM a eu lieu en partenariat avec l ingénieur de prévention du CNRS. MEDECIN DE PREVENTION : La surveillance médicale des agents de l université a été assurée jusque fin octobre le service santé au travail 72. Un médecin de prévention a été recruté par l Université en septembre 2012 et assure maintenant le suivi médical des agents de l université à hauteur de 50% de son temps et intervient à hauteur de 50% pour la médecine préventive étudiante. Du 1 er janvier 2012 au 31 décembre 2012, 428 visites médicales ont été programmées ( 420 visites prévues au niveau de la convention) et 397 visites ont été réalisées, cela conduit à 92,76% de taux de participation aux visites médicales. Depuis l arrivée du médecin de prévention en octobre, plusieurs contacts ont été pris notamment au niveaux des laboratoires pour faire une première visite, une étude de poste d un agent d entretien a été réalisée et une étude a été faite concernant l arrivée d une personne handicapée au sein d un service. SERVICE FORMATION : L ingénieur Santé et Sécurité au travail/ conseiller de prévention travaille en collaboration avec la responsable formation de l Université pour la sélection des organismes de formations, la validation des demandes de formations hygiène et sécurité, la définition des besoins et la vérification de l adéquation du programme à nos attentes. Sur l année 2012, quelques temps forts sur les actions menées. : - Formation initiale et recyclage SST - Formation défibrillateur - Formation SSIAP 2 d un gardien - Formation manipulation extincteur (1 groupe) - Formation recyclage PCR - Formation conduite autoclave - Formation des membres du CHS-CT - Sécurité dans l utilisation des gaz - Sensibilisation concernant les RPS - Risque chimique (TMD, Etiquettage..) - Habilitation électrique et recyclage Service Santé et Sécurité au Travail janvier

20 Depuis 2011, il a également été mis en place deux réunions d accueil «nouveaux entrants» par an. La première réunion se déroule lors des prises de postes en septembre et la seconde vers le mois de mars. Malheureusement, nous sommes confrontés à une difficulté de mobilisation du personnel pour participer à ces actions de formations, bien que certaines formations soient une obligation réglementaire. POLE DES ACHATS ET DE LA COMMANDE PUBLIQUE Le service Santé et Sécurité au Travail participe également en collaboration avec le pôle des achats et de la commande publique à la mise en place, renouvellement des marchés ou préparation de marchés non pilotés directement par le service santé et sécurité au travail.. Au cours de l année 2012, l ingénieur Santé et Sécurité au Travail a rédigé les CCTP des marchés suivants : - marché déchets Suite au changement d opérateur de téléphonie et les problèmes de couvertures réseaux rencontrés, l ingénieur santé et sécurité au travail a été amenée à participer à plusieurs réunions en vue de trouver une solution. ECHANGES AVEC LES COMPOSANTES/LABORATOIRES/ASSISTANTS DE PREVENTION. Au vu de la transversalité de la mission santé et sécurité au travail, l ingénieur santé et sécurité au travail est régulièrement sollicité par les composantes ou services. A titre d exemple, l ingénieur santé et sécurité a été sollicitée sur les points suivants - aide à la rédaction d un dossier d agrément pour l utilisation d OGM - problématiques stockage de cartons à l UFR sciences - aménagement de salles ou de poste de travail - demande de devis auprès de différents prestataires - projet pour la mise en place d équipements de recherche ou nouvelles manipulations - bilan social - commission accident du travail, - rédaction de plan de prévention, de permis feu - veille réglementaire.. Service Santé et Sécurité au Travail janvier

INSTRUCTION GENERALE. relative à l Hygiène, à la Sécurité et à l Environnement. Version initiale-1 1/14

INSTRUCTION GENERALE. relative à l Hygiène, à la Sécurité et à l Environnement. Version initiale-1 1/14 INSTRUCTION GENERALE relative à l Hygiène, à la Sécurité et à l Environnement. Version initiale-1 1/14 SOMMAIRE 1 - La réglementation 3 2 - Principes généraux 2.1 Principes fondamentaux en matière d hygiène

Plus en détail

Mél : Nom de l ACMO : Mél ACMO :

Mél : Nom de l ACMO : Mél ACMO : Etat des lieux en hygiène et sécurité dans un établissement scolaire Rectorat Inspection en Hygiène et sécurité Dossier suivi par M. Gilbert ROUSSEAU Téléphone 05 57 57 39 82 Fax 05 57 57 87 40 Mél: Gilbert.rousseau@acbordeaux.fr

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES GARDIENNAGE

CAHIER DES CHARGES GARDIENNAGE Association des Responsables de Services Généraux Facilities Managers Association CAHIER DES CHARGES GARDIENNAGE Avertissement : ce document est un exemple de cahier des charges Gardiennage établi pour

Plus en détail

CATALOGUE DE SERVICES DE LA DIRECTION DU SYSTEME D INFORMATION DE L UNIVERSITE DE LIMOGES

CATALOGUE DE SERVICES DE LA DIRECTION DU SYSTEME D INFORMATION DE L UNIVERSITE DE LIMOGES CATALOGUE DE SERVICES DE LA DIRECTION DU SYSTEME D INFORMATION DE L UNIVERSITE DE LIMOGES Sommaire Fiche 1 : Gestion des identités : annuaires et authentification Fiche 2 : Connectez-vous en toute sécurité

Plus en détail

ENQUÊTE SUR LA PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS

ENQUÊTE SUR LA PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS ENQUÊTE SUR LA PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS Cette étude a été réalisée auprès de six entreprises de transport urbain de voyageurs, sur le territoire de la CINOR, sur la base des déclarations des

Plus en détail

SOMMAIRE Thématique : Prévention des risques professionnels - Environnement

SOMMAIRE Thématique : Prévention des risques professionnels - Environnement SOMMAIRE Thématique : Prévention des risques professionnels - Environnement Rubrique : Fonctionnels de la prévention du ministère... 2... 4 Rubrique : Risques psychosociaux...12 1 SOMMAIRE Rubrique : Fonctionnels

Plus en détail

Édito. Bonne lecture! Catherine DI FOLCO, Présidente du Centre de gestion de la fonction publique territoriale du Rhône et de la Métropole de Lyon

Édito. Bonne lecture! Catherine DI FOLCO, Présidente du Centre de gestion de la fonction publique territoriale du Rhône et de la Métropole de Lyon Édito L année 2014 a constitué pour le Centre de gestion du Rhône et de la Métropole de Lyon une année forte d évolutions et de renouvellement avec en parallèle la poursuite des nombreuses activités qui

Plus en détail

CHSCT 93 Comité d'hygiène, de Sécurité et des Conditions de Travail de la Seine-Saint-Denis

CHSCT 93 Comité d'hygiène, de Sécurité et des Conditions de Travail de la Seine-Saint-Denis i i - DDFiP 93 - DGE - DIRCOFI - DNEF - DRESG - DVNI - ENFiP - DI de Roissy et du Bourget CHSCT 93 Comité d'hygiène, de Sécurité et des Conditions de Travail de la Seine-Saint-Denis GT du 15 décembre 2014

Plus en détail

PARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE

PARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE de en Martinik NOTICE HYGIENE ET SECURITE BUREAU VERITAS ASEM Dossier n 6078462 Révision 2 Octobre 2014 Page 1 de en Martinik SOMMAIRE 1. INTRODUCTION... 3 1.1 OBJET DE LA NOTICE... 3 1.2 CADRE REGLEMENTAIRE...

Plus en détail

Solutions pédagogiques interactives Santé, Sécurité & Qualité de Vie au Travail CATALOGUE DVD & USB 2015

Solutions pédagogiques interactives Santé, Sécurité & Qualité de Vie au Travail CATALOGUE DVD & USB 2015 Solutions pédagogiques interactives Santé, Sécurité & Qualité de Vie au Travail CATALOGUE DVD & USB 2015 www. CATALOGUE DVD & USB Solutions pédagogiques interactives Santé, Sécurité & Qualité de Vie au

Plus en détail

FORMATION DU PERSONNEL. Année. Plan prévisionnel 2015 des actions de formation du personnel de l Université du Havre

FORMATION DU PERSONNEL. Année. Plan prévisionnel 2015 des actions de formation du personnel de l Université du Havre DU PERSONNEL Année Plan prévisionnel 2015 des actions de formation du personnel de l Université du Havre 1. LE PLAN DE. L élaboration du plan de formation. La direction des ressources humaines est chargée

Plus en détail

La modernisation de la gestion publique au sein des EPSCP. Colloque des Agents Comptables. 05 juin 2015

La modernisation de la gestion publique au sein des EPSCP. Colloque des Agents Comptables. 05 juin 2015 La modernisation de la gestion publique au sein des Colloque des Agents Comptables 05 juin 2015 EPSCP Frédéric Dehan Directeur Général des Services Université de Strasbourg 1) Des éléments de contexte

Plus en détail

Pôle «Prévention et Santé au Travail» Service «Prévention et Conditions de Travail»

Pôle «Prévention et Santé au Travail» Service «Prévention et Conditions de Travail» Pôle «Prévention et Santé au Travail» Service «Prévention et Conditions de Travail» Titre II du décret n 85-603 du 10 juin 1985 modifié par le décret 2012-170 du 3 février 2012 (articles 6 à 9) Article

Plus en détail

Recours aux entreprises extérieures

Recours aux entreprises extérieures RECOMMANDATION R429 Recommandations adoptées par le Comité technique national de la chimie, du caoutchouc et de la plasturgie le 21 novembre 2006. Cette recommandation annule et remplace la recommandation

Plus en détail

CATALOGUE FORMATIONS Santé et Sécurité du Travail

CATALOGUE FORMATIONS Santé et Sécurité du Travail Prévention et Sécurité Incendie Jean-Baptiste PLAISANCE email : azur.secourisme@yahoo.fr AUDIT ASSISTANCE CONSEILS et FORMATIONS Tél : 06 99 97 18 18 www.formations-secourisme.fr Des formations interactives

Plus en détail

Livret d accueil. Notice - modèle type de livret d accueil Conseils pour assurer une intégration réussie. Livret d accueil.

Livret d accueil. Notice - modèle type de livret d accueil Conseils pour assurer une intégration réussie. Livret d accueil. 1 Notice - modèle type de livret d accueil Conseils pour assurer une intégration réussie Janvier 2014 2 NOTICE L intégration d un jeune embauché dans une entreprise et au sein d une équipe de travail est

Plus en détail

diplôme qualification insertion emploi diplôme qualification DUT Hygiène Sécurité Environnement

diplôme qualification insertion emploi diplôme qualification DUT Hygiène Sécurité Environnement diplôme qualification insertion emploi diplôme qualification DUT Hygiène Sécurité Environnement DUT Hygiène, sécurité et environnement Diplômes Données sur l emploi Offres d emploi Se documenter INFOS

Plus en détail

alarme incendie (feu non maîtrisable)

alarme incendie (feu non maîtrisable) INCIDENT N 1 alarme incendie (feu non maîtrisable) Vérification des matériels et systèmes de à disposition au - système de détection incendie (test lampe, signal sonore) - centrale d alarme intrusion(état

Plus en détail

Délibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012

Délibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012 Direction Générale Finances et Gestion Direction du Contrôle Interne Délibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012 Sociétés publiques locales et sociétés publiques locales d aménagement - Dispositif

Plus en détail

Formation initiale d agent des services de sécurité incendie et d assistance à personnes (SSIAP1)

Formation initiale d agent des services de sécurité incendie et d assistance à personnes (SSIAP1) Logo de l organisme de Formation Intitulé Formation initiale d agent des services de sécurité incendie et d assistance à personnes (SSIAP1) Public Tout public Pré-requis - aptitude physique à suivre la

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE : SANTE ET SECURTE AU TRAVAIL

FICHE TECHNIQUE : SANTE ET SECURTE AU TRAVAIL SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL Mesurer et prévenir les risques professionnels Liés aux conditions générales de travail, les risques professionnels font peser sur les salariés la menace d une altération de

Plus en détail

Budget participatif des lycées. Règlement d intervention

Budget participatif des lycées. Règlement d intervention 3 CR 72-12 Budget participatif des lycées Règlement d intervention Préambule : La mise en œuvre du budget participatif des lycées manifeste la volonté de la région de poursuivre la démarche de dialogue

Plus en détail

Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1.

Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1. Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1 Juin 2015 NOTICE D HYGIENE ET DE SECURITE P. 2 sur 8 SOMMAIRE 1 Hygiène...

Plus en détail

FORMATIONS EN MATIERE DE SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL

FORMATIONS EN MATIERE DE SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL FORMATIONS EN MATIERE DE SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL Prévention et Sécurité au Travail Fiche Santé et Travail n 111 Date : 01/09/2014 "Un homme averti en vaut deux" Ce proverbe souligne que l on est plus

Plus en détail

Responsabilités juridiques et sécurité dans les accueils collectifs de mineurs

Responsabilités juridiques et sécurité dans les accueils collectifs de mineurs Responsabilités juridiques et sécurité dans les accueils collectifs de mineurs La responsabilité d une personne est toujours définie par le juge sur la base de faits précis et circonstanciés. Direction

Plus en détail

10.B. Les obligations légales et réglementaires. 1. Gestion des documents de l entreprise. A. Les affichages obligatoires

10.B. Les obligations légales et réglementaires. 1. Gestion des documents de l entreprise. A. Les affichages obligatoires Les obligations légales et réglementaires 1. Gestion des documents de l entreprise A. Les affichages obligatoires L affichage est un élément essentiel de la communication dans l entreprise et cela peut

Plus en détail

Santé et sécurité des adjoints techniques territoriaux des établissements d enseignement (ATTEE)

Santé et sécurité des adjoints techniques territoriaux des établissements d enseignement (ATTEE) Point réglementation N 1 Santé et sécurité des adjoints techniques territoriaux des établissements d enseignement (ATTEE) (anciennement TOS, exerçant dans les lycées et collèges) Mis à jour en septembre

Plus en détail

Guide du mémoire de fin d études

Guide du mémoire de fin d études Guide du mémoire de fin d études à destination des enseignants et des étudiants Septembre 2011 AVERTISSEMENT Ce document rassemble les dispositions réglementaires d une part, le cadre des dispositions

Plus en détail

L organisation interne et la gestion des ressources humaines. Un outil d aide à la structuration

L organisation interne et la gestion des ressources humaines. Un outil d aide à la structuration L organisation interne et la gestion des ressources humaines Un outil d aide à la structuration Sommaire 1 L organisation interne de l association 2 1.1. Clarifier les rôles et missions de chacun 2 1.2.

Plus en détail

«Donnons envie aux entreprises de faire de la Formation continue à l Université!» (Stand D07) La formation continue à l Université Fiche expérience

«Donnons envie aux entreprises de faire de la Formation continue à l Université!» (Stand D07) La formation continue à l Université Fiche expérience «Donnons envie aux entreprises de faire de la Formation continue à l Université!» (Stand D07) La formation continue à l Université Fiche expérience UNIVERSITE PARIS 8 ENTREPRISE FNAIM Monter les salariés

Plus en détail

Prévention LES ENJEUX DE LA PREVENTION. Infos INTRODUCTION : SOMMAIRE :

Prévention LES ENJEUX DE LA PREVENTION. Infos INTRODUCTION : SOMMAIRE : Centre de Gestion de la Fonction Publique Territoriale de la Dordogne - Infos Prévention n 15 Octobre 2010 Infos Prévention LES ENJEUX DE LA PREVENTION SOMMAIRE : LES ENJEUX DE LA PREVENTION Introduction

Plus en détail

REGLEMENT INTERIEUR 3 ème étage - bâtiment A Du Guesclin

REGLEMENT INTERIEUR 3 ème étage - bâtiment A Du Guesclin REGLEMENT INTERIEUR 3 ème étage - bâtiment A Du Guesclin PREAMBULE En application des objectifs de soutien aux arts visuels et aux musiques actuelles, un espace mutualisé de travail est ouvert par la Ville

Plus en détail

Le fonctionnement du CHSCT

Le fonctionnement du CHSCT Le fonctionnement du CHSCT La personnalité civile du CHSCT La qualité à agir du CHSCT La capacité d ester en justice La prise en charge des frais de justice La capacité d acquérir et de contracter La responsabilité

Plus en détail

Introduction NOTE D ETONNEMENT CONSEIL DES TEMOINS FABRIQUE CITOYENNE JANVIER 2015

Introduction NOTE D ETONNEMENT CONSEIL DES TEMOINS FABRIQUE CITOYENNE JANVIER 2015 NOTE D ETONNEMENT CONSEIL DES TEMOINS FABRIQUE CITOYENNE JANVIER 2015 Introduction La fabrique citoyenne initiée par la Ville de Rennes va conduire à la rédaction d une charte de la démocratie locale.

Plus en détail

LA COMPTABILITÉ DU COMITÉ D ENTREPRISE : DE NOUVELLES OBLIGATIONS DE TRANSPARENCE À PARTIR DU 1 er JANVIER 2015

LA COMPTABILITÉ DU COMITÉ D ENTREPRISE : DE NOUVELLES OBLIGATIONS DE TRANSPARENCE À PARTIR DU 1 er JANVIER 2015 Groupement des Métiers de l Imprimerie -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- DÉCEMBRE 2014 NOTE N 24 LA

Plus en détail

LES PROCEDURES DE LA POLITIQUE D ARCHIVAGE

LES PROCEDURES DE LA POLITIQUE D ARCHIVAGE LES PROCEDURES DE LA POLITIQUE D ARCHIVAGE La mise en place d une politique d archivage offre des solutions pour assurer une gestion pérenne des archives. Ce guide de procédure doit : - servir de base

Plus en détail

Consignes de sécurité incendie Éléments de rédaction et de mise en œuvre dans un établissement

Consignes de sécurité incendie Éléments de rédaction et de mise en œuvre dans un établissement Consignes de sécurité incendie Éléments de rédaction et de mise en œuvre dans un établissement Introduction La formation à la sécurité, prévue par la réglementation, doit comprendre les dispositions qui

Plus en détail

Activités. Boîte à idées pour remplir la fiche de poste * Direction. Animation d équipe et organisation du travail. Conduite de projets

Activités. Boîte à idées pour remplir la fiche de poste * Direction. Animation d équipe et organisation du travail. Conduite de projets Boîte à idées pour remplir la fiche de poste * Activités 1. 1. Pilotage, management Direction Informer et aider les élus à la décision Définir (ou participer à la définition de) la stratégie de la direction

Plus en détail

Décision du Haut Conseil du Commissariat aux Comptes

Décision du Haut Conseil du Commissariat aux Comptes DECISION 2007-01 Décision du Haut Conseil du Commissariat aux Comptes Relative aux contrôles périodiques auxquels sont soumis les commissaires aux comptes Séance du 6 juillet 2007 Lors de la séance du

Plus en détail

PERSONNEL RETRAITE AYANT UNE ACTIVITE BENEVOLE A L UNIVERSITE PIERRE ET MARIE CURIE

PERSONNEL RETRAITE AYANT UNE ACTIVITE BENEVOLE A L UNIVERSITE PIERRE ET MARIE CURIE PERSONNEL RETRAITE AYANT UNE ACTIVITE BENEVOLE A L UNIVERSITE PIERRE ET MARIE CURIE Dossier à transmettre à la Direction des Affaires Générales A l attention de Mme Valérie Guillet Tour Zamansky- 19 ème

Plus en détail

Charte de l Evaluation des Formations par les étudiants

Charte de l Evaluation des Formations par les étudiants Charte de l Evaluation des Formations par les étudiants 1 Charte de l Evaluation des Formations par les étudiants I. Le contexte institutionnel La démarche de l UdS en matière de qualité des formations

Plus en détail

H1302 - Management et ingénierie Hygiène Sécurité Environnement -HSE- industriels

H1302 - Management et ingénierie Hygiène Sécurité Environnement -HSE- industriels Appellations Adjoint / Adjointe au responsable environnement-hygiène-sécurité en industrie Ingénieur / Ingénieure en traitement des déchets industriels Chargé / Chargée de l'hygiène et de la sécurité du

Plus en détail

Guide de création d une maison d assistants maternels (MAM)

Guide de création d une maison d assistants maternels (MAM) 2013 (MAM) Édito Le Conseil général et la Caisse d allocations familiales du Finistère favorisent le développement des modes d accueil de la petite enfance Le Conseil général du Finistère et la Caisse

Plus en détail

LE PLAN DE PREVENTION

LE PLAN DE PREVENTION 1 Association des Directeurs et Responsables de Services Généraux Facilities Manag ers Association LE PLAN DE PREVENTION Avertissement : ce document est un exemple établi pour un besoin particulier. Il

Plus en détail

MARCHE PUBLIC DE SERVICES. «PRESTATION DE SURVEILLANCE et GARDIENNAGE DES LOCAUX D AGROCAMPUS OUEST, CENTRE DE RENNES»

MARCHE PUBLIC DE SERVICES. «PRESTATION DE SURVEILLANCE et GARDIENNAGE DES LOCAUX D AGROCAMPUS OUEST, CENTRE DE RENNES» MARCHE PUBLIC DE SERVICES «PRESTATION DE SURVEILLANCE et GARDIENNAGE DES LOCAUX D AGROCAMPUS OUEST, CENTRE DE RENNES» PROCEDURE ADAPTEE (Article 28 du Code des Marchés Publics) CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES

Plus en détail

Les obligations de l'exploitant

Les obligations de l'exploitant Guide technique : Sécurité > Les obligations de l'exploitant > Les obligations de l'exploitant Les obligations de l'exploitant L exploitant assiste aux visites de la commission de sécurité, ou s y fait

Plus en détail

LES FORMATIONS OBLIGATOIRES EN HYGIENE ET SECURITE

LES FORMATIONS OBLIGATOIRES EN HYGIENE ET SECURITE Circulaire d'informations n 2009/17 du 15 septembre 2009 LES FORMATIONS OBLIGATOIRES EN HYGIENE ET SECURITE Références : - Loi n 84-594 du 12 juillet 1984 modifiée relative à la formation des agents de

Plus en détail

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion

Plus en détail

APPEL A PROJETS SERVICE REGIONALE DE L APPRENTISSAGE

APPEL A PROJETS SERVICE REGIONALE DE L APPRENTISSAGE APPEL A PROJETS SERVICE REGIONALE DE L APPRENTISSAGE L apprentissage dans l enseignement supérieur a pour mission de faciliter l accès à des formations de haut niveau et de permettre à des étudiants de

Plus en détail

Nouveau jeune collaborateur

Nouveau jeune collaborateur Insérez le logo de l'entreprise LIVRET D'ACCUEIL Nouveau jeune collaborateur Livret d accueil de : Prénom NOM ACCUEIL ACCOMPAGNEMENT Nous sommes heureux de vous accueillir au sein de notre entreprise.

Plus en détail

Présentation du réseau documentaire régional en éducation pour la santé. Jeudi 4 juin 2009 BLOIS

Présentation du réseau documentaire régional en éducation pour la santé. Jeudi 4 juin 2009 BLOIS Présentation du réseau documentaire régional en éducation pour la santé Jeudi 4 juin 2009 BLOIS Programme de la journée 10h30 10h50 11h30 12h00 12h30 Etat des lieux 2008 des centres de ressources en éducation

Plus en détail

Décret du 27 décembre 2013 : précisions sur les délais de consultation du CE et la base de données économiques et sociales

Décret du 27 décembre 2013 : précisions sur les délais de consultation du CE et la base de données économiques et sociales Décret du 27 décembre 2013 : précisions sur les délais de consultation du CE et la base de données économiques et sociales La Loi «relative à la sécurisation de l emploi» du 14 juin 2013 a introduit plusieurs

Plus en détail

Exemple de PV en compte rendu amélioré : Projet de procès-verbal de la réunion du Comité d Établissement Séance du 29 septembre 2011

Exemple de PV en compte rendu amélioré : Projet de procès-verbal de la réunion du Comité d Établissement Séance du 29 septembre 2011 Exemple de PV en compte rendu amélioré : Projet de procès-verbal de la réunion du Comité d Établissement Séance du 29 septembre 2011 Etaient présents : La Direction Roland, Président du Comité d Etablissement

Plus en détail

POLITIQUE DE GESTION ET DE CONSERVATION DES DOCUMENTS (Adoptée le 12 juin 2013)

POLITIQUE DE GESTION ET DE CONSERVATION DES DOCUMENTS (Adoptée le 12 juin 2013) POLITIQUE DE GESTION ET DE CONSERVATION DES DOCUMENTS (Adoptée le 12 juin 2013) Le générique masculin est utilisé sans discrimination uniquement dans le but d alléger le texte. 1. OBJECTIFS Gérer efficacement

Plus en détail

CHARTE DES ASSOCIATIONS ETUDIANTES DE L UNIVERSITE DE MONTPELLIER

CHARTE DES ASSOCIATIONS ETUDIANTES DE L UNIVERSITE DE MONTPELLIER CHARTE DES ASSOCIATIONS ETUDIANTES DE L UNIVERSITE DE MONTPELLIER Vu le Code de l'éducation Vu les statuts de l'université de Montpellier Vu le Règlement Intérieur de l'université de Montpellier PREAMBULE

Plus en détail

C ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats

C ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats C ) Détail volets A, B, C, D et E Actions Objectifs Méthode, résultats VOLET A : JUMELAGE DE 18 MOIS Rapports d avancement du projet. Réorganisation de l administration fiscale Rapports des voyages d étude.

Plus en détail

Les commissions antistress sont-elles légales?

Les commissions antistress sont-elles légales? Les commissions antistress sont-elles légales? Face aux risques psychosociaux, le Ministère du travail préconise une démarche concertée pour concevoir un plan de prévention adapté mais surtout accepté.

Plus en détail

Circulaire du 5 janvier 2012 Relative au Règlement intérieur type des comités techniques NOR : MFPF1200536C

Circulaire du 5 janvier 2012 Relative au Règlement intérieur type des comités techniques NOR : MFPF1200536C RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de la fonction publique Circulaire du 5 janvier 2012 Relative au Règlement intérieur type des comités techniques NOR : MFPF1200536C Le ministre de la fonction publique à

Plus en détail

LICENCE PROFESSIONNELLE

LICENCE PROFESSIONNELLE LICENCE PROFESSIONNELLE Composante : UFR SHS Domaine : Droit Economie Gestion Mention : Organisation et gestion des établissements hôteliers et de restauration Parcours : Management des entreprises de

Plus en détail

Principales autorisations d absence. Référence : circulaire n 2002-168 du 02 août 2002 r elative aux autorisations d absence de droit et facultatives

Principales autorisations d absence. Référence : circulaire n 2002-168 du 02 août 2002 r elative aux autorisations d absence de droit et facultatives Principales autorisations d absence Référence : circulaire n 2002-168 du 02 août 2002 r elative aux autorisations d absence de droit et facultatives Les autorisations d'absence de droit Travaux d'une assemblée

Plus en détail

RECOMMANDATIONS DÉPARTEMENTALES. Pour les Maisons d assistants maternels (MAM)

RECOMMANDATIONS DÉPARTEMENTALES. Pour les Maisons d assistants maternels (MAM) RECOMMANDATIONS DÉPARTEMENTALES Pour les Maisons d assistants maternels (MAM) Edition 2008 2013 CDAJE 38 Commission départementale de l accueil des jeunes enfants CDAJE 38 1 Par dérogation à l article

Plus en détail

La formation en matière de santé et de sécurité au travail

La formation en matière de santé et de sécurité au travail Guide pratique 6 / 6 MINISTÈRE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS, MINISTÈRE MINISTÈRE DU BUDGET, DE DU LA BUDGET, FONCTION DES COMPTES DES COMPTES PUBLIQUE PUBLICS, PUBLICS, ET DE LA RÉFORME DE L ETAT DE

Plus en détail

QU'EST-CE QU'UNE MAISON D ASSISTANTS MATERNELS (MAM)? QUI EST L EMPLOYEUR DES ASSISTANTS MATERNELS?

QU'EST-CE QU'UNE MAISON D ASSISTANTS MATERNELS (MAM)? QUI EST L EMPLOYEUR DES ASSISTANTS MATERNELS? Mise à jour Septembre 2011 Un assistant maternel est agréé par le Conseil général. Il peut moyennant rémunération, accueillir habituellement et de façon non permanente des mineurs : - à son domicile (art.

Plus en détail

Le Quai-Sécurité Sûreté-CCTP - Annexes V3

Le Quai-Sécurité Sûreté-CCTP - Annexes V3 LE QUAI 17, rue de la Tannerie 49101 ANGERS MARCHE DE PRESTATIONS DE SECURITE / SURETE Cahier des Clauses Techniques Particulières (CCTP) ANNEXES Le Quai-Sécurité Sûreté-CCTP - Annexes V3 16/03/2015 LE

Plus en détail

SCOP Dynamic FCE. www.dynamic-fce.fr

SCOP Dynamic FCE. www.dynamic-fce.fr SCOP Dynamic FCE FORMATIONS 2014 GUIDE DES FORMATIONS 2014 Formations «Secrétariat & Accueil» "... P.3 Réussir son Parcours d'assistante Généraliste - Se Spécialiser dans un Métier S'organiser - Communiquer

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC

FICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC METTRE EN PLACE UNE GPEC Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences Cette fiche technique aborde la mise en place d une démarche GPEC sous l angle de la description d un processus. Elle présente

Plus en détail

DIVISION DE LILLE Lille, le 29 décembre 2011

DIVISION DE LILLE Lille, le 29 décembre 2011 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE LILLE Lille, le 29 décembre 2011 CODEP-DOA-2011-071487 SS/NL Centre Hospitalier de Roubaix 35, rue de Barbieux BP 359 59056 ROUBAIX CEDEX Objet : Inspection de la radioprotection

Plus en détail

Présentation de l entreprise l postes de travail. Illustration du guide SOBANE Risques d incendie d. Présentation des postes de travail: Bureau

Présentation de l entreprise l postes de travail. Illustration du guide SOBANE Risques d incendie d. Présentation des postes de travail: Bureau Illustration du guide SOBANE Risques d incendie d ou d explosiond Caroline Pirotte Ergonome Présentation de l entreprise l et des postes de travail Hôtel situé à Bruxelles Ville +/- 90 travailleurs +/-

Plus en détail

LE DOCUMENT UNIQUE d'évaluation des risques professionnels

LE DOCUMENT UNIQUE d'évaluation des risques professionnels LE DOCUMENT UNIQUE d'évaluation des risques professionnels FICHE # A Le Code du Travail définit l obligation, pour tout employeur, sans seuil minimal d effectif salarié, de rassembler dans un document

Plus en détail

Annexe - document CA 118/9. Termes de référence. Audit fonctionnel et organisationnel de l OTIF

Annexe - document CA 118/9. Termes de référence. Audit fonctionnel et organisationnel de l OTIF Annexe - document CA 118/9 Termes de référence Audit fonctionnel et organisationnel de l OTIF Index 1 Description de l organisation... 3 2 Contexte de la mission... 4 3 Objet de la mission... 4 3.1 Objectif

Plus en détail

S T A T U T S LA QUADRATURE DU NET

S T A T U T S LA QUADRATURE DU NET S T A T U T S LA QUADRATURE DU NET Association loi 1901 Article 1 - Constitution I DENOMINATION OBJET - SIEGE Il est fondé entre les adhérents aux présents statuts une Association régie par la loi du 1er

Plus en détail

REGLEMENT DU DIPLOME DE MASTER DROIT ECONOMIE GESTION MENTION "ECONOMIE APPLIQUEE"

REGLEMENT DU DIPLOME DE MASTER DROIT ECONOMIE GESTION MENTION ECONOMIE APPLIQUEE REGLEMENT DU DIPLOME DE MASTER DROIT ECONOMIE GESTION MENTION "ECONOMIE APPLIQUEE" SPECIALITE FINANCE DE MARCHE, EPARGNE INSTITUTIONNELLE ET GESTION DE PATRIMOINE (Dispositions générales Contrôle des connaissances

Plus en détail

CHARTE DE LA VIE ASSOCIATIVE ETUDIANTE : REGLEMENT SUR LES LIBERTES POLITIQUES, ACTIVITES CULTURELLES ET ASSOCIATIVES

CHARTE DE LA VIE ASSOCIATIVE ETUDIANTE : REGLEMENT SUR LES LIBERTES POLITIQUES, ACTIVITES CULTURELLES ET ASSOCIATIVES CHARTE DE LA VIE ASSOCIATIVE ETUDIANTE : REGLEMENT SUR LES LIBERTES POLITIQUES, ACTIVITES CULTURELLES ET ASSOCIATIVES Vu le code de l éducation et notamment ses articles L.715-5, L123-1 et suivants, L.141-6

Plus en détail

AMICALE DE LA RETRAITE SPORTIVE D'OLONNE-SUR-MER A.R.S.O. REGLEMENT INTERIEUR

AMICALE DE LA RETRAITE SPORTIVE D'OLONNE-SUR-MER A.R.S.O. REGLEMENT INTERIEUR Page 1 sur 8 AMICALE DE LA RETRAITE SPORTIVE D'OLONNE-SUR-MER A.R.S.O. REGLEMENT INTERIEUR Article 1 - Définition et objet Le Règlement Intérieur précise les modes de fonctionnement administratif de l'association

Plus en détail

Editorial Elus de CE, délégués du personnel, membres

Editorial Elus de CE, délégués du personnel, membres Sommaire Le droit à formation 1 - Droit à la formation 2 des représentants du personnel Des élus titulaires du CE................................ 2 Des membres du CHSCT............................... 2

Plus en détail

1. ANTÉCÉDENTS ET JUSTIFICATION

1. ANTÉCÉDENTS ET JUSTIFICATION REPUBLIQUE DU NIGER MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE SECRETARIAT GENERAL DIRECTION DES ARCHIVES INFORMATION DOCUMENTATION ET RELATIONS PUBLIQUES TERMES DE RÉFÉRENCE POUR LE RECRUTEMENT D UN ASSISTANT TECHNIQUE

Plus en détail

LICENCE PROFESSIONNELLE

LICENCE PROFESSIONNELLE LICENCE PROFESSIONNELLE Composante : IUT d EVRY Département Génie Thermique et Energie Domaine : DEG / STS Mention : Métiers de l'immobilier : gestion et développement de patrimoine immobilier Parcours

Plus en détail

Collectivité : ANIMATEUR JEUNESSE

Collectivité : ANIMATEUR JEUNESSE ANIMATEUR JEUNESSE Missions du poste : Accueillir et accompagner les jeunes de 11 à 17 ans dans leurs projets. Proposer et conduire des activités dans le cadre du projet pédagogique de la collectivité.

Plus en détail

AFFECTATION. ETABLISSEMENT : Université Blaise Pascal COMPOSANTE : Institut Universitaire de Formation des Maîtres d Auvergne VILLE : Chamalières

AFFECTATION. ETABLISSEMENT : Université Blaise Pascal COMPOSANTE : Institut Universitaire de Formation des Maîtres d Auvergne VILLE : Chamalières VILLE : Chamalières Fonctions : Contribuer aux missions de l institut en assurant l entretien et le nettoyage des locaux et en veillant à les maintenir accueillants. Aider à la restauration. Compétences

Plus en détail

PPMS. Ce recueil de tableaux vous guidera dans la conception et dans la présentation du PPMS de l établissement. Plan Particulier de Mise en Sureté

PPMS. Ce recueil de tableaux vous guidera dans la conception et dans la présentation du PPMS de l établissement. Plan Particulier de Mise en Sureté PPMS Ce recueil de tableaux vous guidera dans la conception et dans la présentation du PPMS de l établissement Page 1 1 IDENTIFICATION DE L ETABLISSEMENT Année de réalisation du PPMS Nom de l établissement

Plus en détail

Relevé de Décisions Conseil d Administration Réunion du 27 septembre 2010 CHATENAY-MALABRY

Relevé de Décisions Conseil d Administration Réunion du 27 septembre 2010 CHATENAY-MALABRY Présidence - Bureau des Conseils Orsay, le 28 septembre 2010 Bât. 300 91405 ORSAY cedex 01.69.15.61.02. 01.69.15.43.32. e-mail : service.conseils@u-psud.fr N/Réf. : MC/CD n 196/10 Relevé de Décisions Conseil

Plus en détail

REGLEMENT DU CONTRÔLE DES CONNAISSANCES FORMATION EN INITIAL, APPRENTISSAGE, FORMATION CONTINUE

REGLEMENT DU CONTRÔLE DES CONNAISSANCES FORMATION EN INITIAL, APPRENTISSAGE, FORMATION CONTINUE UNIVERSITE D EVRY VAL D ESSONNE IUT d EVRY-BRETIGNY-ATHIS MONS Département TC Arrêté d habilitation : 20014028 LICENCE PROFESSIONNELLE COMMERCE Spécialité : MARKETING ET COMMERCE SUR INTERNET Les métiers

Plus en détail

Bilan annuel 2012 Dépôt Pétrolier de Lespinasse. CSS Nord de TOULOUSE 14 décembre 2012

Bilan annuel 2012 Dépôt Pétrolier de Lespinasse. CSS Nord de TOULOUSE 14 décembre 2012 Bilan annuel 2012 Dépôt Pétrolier de Lespinasse CSS Nord de TOULOUSE 14 décembre 2012 Formation et sensibilisation Personnel du site : extrait des formations suivies en 2012 (12 personnes) : Nb de personnes

Plus en détail

Commission Hygiène et Sécurité du 23/01/2014. Commission Hygiène et Sécurité. Date : 23/01/2014

Commission Hygiène et Sécurité du 23/01/2014. Commission Hygiène et Sécurité. Date : 23/01/2014 Collège François Rabelais 107 route de coulonges 79 000 NIORT Commission Hygiène et Sécurité Date : 23/01/2014 Présents : Mme Feuillet, M. Cousin, M. Gestin, Mme Danioux, Mme Ménard, Mme Rochaud Tarnaud,

Plus en détail

Qualité Sécurité Environnement

Qualité Sécurité Environnement Qualité Sécurité Environnement FORMATION AUDIT CONSEIL EXPERTISE >> Catalogue 2014 Nos innovations: e-learning, évaluation des compétences personnalisation Formation Hygiène Alimentaire ISO 9001 : 2008...

Plus en détail

CHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES

CHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES CHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES Formalisation des engagements réciproques entre l EPS Ville-Evrard et les internes Ressources humaines médicales Delphine LEBIGRE AAH NOVEMBRE 2012 Objectifs L établissement

Plus en détail

REGLES D ATTRIBUTION ET DE SUIVI DE LA CERTIFICATION AMIANTE 1552

REGLES D ATTRIBUTION ET DE SUIVI DE LA CERTIFICATION AMIANTE 1552 REGLES D ATTRIBUTION ET DE SUIVI DE LA CERTIFICATION AMIANTE 1552 Date d application : 4 février 2013 DOC-PC 024 version 02 1/13 SOMMAIRE PAGES 1 OBJET 3 2 TERMINOLOGIE 3 et 4 3 DOCUMENTS DE REFERENCE

Plus en détail

Diagnostic entreprise

Diagnostic entreprise PREDURA PREvention DURAble des Troubles Musculo-Squelettiques Programme de suivi des entreprises exposées au risque de TMS Diagnostic entreprise Modalités à lire avant de remplir ce questionnaire : Ce

Plus en détail

Programme des épreuves des concours externes de recrutement des personnels techniques et administratifs de recherche et de formation

Programme des épreuves des concours externes de recrutement des personnels techniques et administratifs de recherche et de formation G1 Recrutements des assistants de recherche et de formation...2 G1.1 Assistant gestion de données patrimoniales...2 G1.2 Assistant technique en génie climatique...2 G1.3 Assistant technique en électricité...2

Plus en détail

Introduction à l enquête 2012 «Organisation fonctionnelle des équipes». ADBU

Introduction à l enquête 2012 «Organisation fonctionnelle des équipes». ADBU Introduction à l enquête 2012 «Organisation fonctionnelle des équipes». ADBU NB : les notes font référence au diaporama de synthèse de l enquête en ligne sur le site de l'adbu Comment les SCD tentent-ils

Plus en détail

Pour la gestion du personnel Norme simplifiée n 46

Pour la gestion du personnel Norme simplifiée n 46 Pour la gestion du personnel Norme simplifiée n 46 1. Les finalités suivantes : La gestion administrative des personnels : gestion du dossier professionnel des employés, tenu conformément aux dispositions

Plus en détail

HSE MONITOR GESTION DU SYSTÈME DE MANAGEMENT. 8 modules de management intégrés. www.red-on-line.net

HSE MONITOR GESTION DU SYSTÈME DE MANAGEMENT. 8 modules de management intégrés. www.red-on-line.net HSE MONITOR GESTION DU SYSTÈME DE MANAGEMENT 8 modules de management intégrés www.red-on-line.net www.red-on-line.net HSE MONITOR GESTION DU SYSTÈME DE MANAGEMENT 1. 2. 3. 1. 4. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 5. 1.

Plus en détail

Adaptation de l organigramme à des clubs de diverses importances. Avantages de l organigramme modèle. Clubs à effectif limité

Adaptation de l organigramme à des clubs de diverses importances. Avantages de l organigramme modèle. Clubs à effectif limité 1 Organisation d un club Organigramme du club Description des fonctions des officiers et autres responsables désignés Activités des comités du club Méthode de travail des comités Rapports des comités Une

Plus en détail

ASSOCIATION HISTORIQUE DU TEMPLE DE PARIS. www.templedeparis.fr

ASSOCIATION HISTORIQUE DU TEMPLE DE PARIS. www.templedeparis.fr ASSOCIATION HISTORIQUE DU TEMPLE DE PARIS 40 rue des Blancs Manteaux - 75004 Paris www.templedeparis.fr STATUTS DE L ASSOCIATION Article 1 Titre Il est constitué entre les adhérents aux présents statuts

Plus en détail

APPROUVE l acte constitutif du groupement de commandes pour l achat d électricité coordonné par le Syndicat d Energie des Yvelines.

APPROUVE l acte constitutif du groupement de commandes pour l achat d électricité coordonné par le Syndicat d Energie des Yvelines. PROCÈS VERBAL DE LA RÉUNION DU 12 FÉVRIER 2015 - Approbation du procès-verbal de la séance du 20 janvier 2015 - Adhésion au groupement de commande d électricité - Adhésion au groupement de commande pour

Plus en détail

GUIDE PRATIQUE DES VACATIONS D ENSEIGNEMENT. Université de Nîmes

GUIDE PRATIQUE DES VACATIONS D ENSEIGNEMENT. Université de Nîmes GUIDE PRATIQUE DES VACATIONS D ENSEIGNEMENT Université de Nîmes I Les conditions de recrutement 1 - Les catégories d intervenants pouvant effectuer des vacations d enseignement Les chargés d'enseignement

Plus en détail

LICENCE PROFESSIONNELLE ASSURANCE BANQUE - FINANCE

LICENCE PROFESSIONNELLE ASSURANCE BANQUE - FINANCE LICENCE PROFESSIONNELLE ASSURANCE BANQUE - FINANCE Spécialité: Gestion Clientèle Particuliers Arrêté d habilitation : 20090979 REGLEMENT DU CONTRÔLE DES CONNAISSANCES 2013-2015 VU la loi 84-52 du 26 janvier

Plus en détail

Décret 2002-628 du 25 Avril 2002 modifié pris pour l application de la loi 2002-5 du 4 Janvier 2002 relative aux musées de France

Décret 2002-628 du 25 Avril 2002 modifié pris pour l application de la loi 2002-5 du 4 Janvier 2002 relative aux musées de France Décret 2002-628 du 25 Avril 2002 modifié pris pour l application de la loi 2002-5 du 4 Janvier 2002 relative aux musées de France TITRE I er : HAUT CONSEIL DES MUSEES DE FRANCE Art. 1 er. - Le Haut Conseil

Plus en détail

ARTICLE 5 : SIEGE SOCIAL Le siège social est à Nantes. Il peut être transféré sur simple décision du conseil d administration.

ARTICLE 5 : SIEGE SOCIAL Le siège social est à Nantes. Il peut être transféré sur simple décision du conseil d administration. Association loi 1901 ARTICLE 1 : CONSTITUTION Création Il est fondé, entre les adhérents aux présents statuts, une association régie par la loi du 1er juillet 1901, et le décret du 16 août 1901 ayant pour

Plus en détail

Fonctionnalités HSE PILOT. Groupe QFI www.hse-pilot.com

Fonctionnalités HSE PILOT. Groupe QFI www.hse-pilot.com Fonctionnalités HSE PILOT Groupe QFI www.hse-pilot.com Module produit chimique RECENSEMENT DES PRODUITS Les produits chimiques sont omniprésents dans les entreprises. La gestion qui leur est associée peut

Plus en détail