La hausse des prix de l'immobilier est-elle associée à une "bulle" de crédit en France? Séminaire Fourgeaud 20 mars 2013
|
|
- Danièle Gauvin
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La hausse des prix de l'immobilier est-elle associée à une "bulle" de crédit en France? Séminaire Fourgeaud
2 Introduction Les prix de l immobilier ont plus que doublé depuis la fin des années 90 2 La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France
3 Introduction La hausse des prix de l'immobilier est-elle excessive? La hausse des prix de l'immobilier est-elle associée à une bulle de crédit? Encours de crédits immobiliers (source : BdF, statistiques monétaires) Endettement des ménages rapporté au revenu disponible (sources : BdF, INSEE comptes trim.) 3 La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France
4 Plan Evolution de la capacité d'achat des ménages depuis 2003 Evaluation du risque associé aux évolutions de la capacité d'achat Typologie de la population d emprunteurs «risqués» 4 La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France
5 Evolution de la capacité d'achat des ménages depuis 2003 La capacité d'achat d'un ménage évolue en fonction de : son revenu (Y ) la part du revenu consacrée au remb. du crédit contracté (taux d effort, ) son apport initial (taux d apport, ) les conditions de crédit (taux d intérêt, r et maturité initiale du prêt, T ) Pour un prêt à taux fixe, à annuités constantes*, un ménages peut acheter une quantité de logement K à un prix P : * En France, la très grande majorité des crédits immobiliers (hors prêts relais) sont des emprunts à taux fixe à annuité constantes 5 La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France
6 Evolution de la capacité d'achat des ménages depuis 2003 L ensemble des ces déterminants ont été globalement à la hausse depuis 2003: Le revenu moyen des ménages a augmenté de +19% entre 2003 et 2012 Evolution du revenu (Y) : revenu disponible brut moyen mesuré par la Compta. nat. (INSEE) 6 La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France
7 Evolution de la capacité d'achat des ménages depuis 2003 Le taux d effort moyen est resté proche de 30%, conformément à une pratique de place Le taux d apport est passé de 20% en 2003 à 25% en 2008 avant de baisser assez nettement Evolution du taux d effort ( ) : taux d effort moyen de la nouvelle production mesuré par l enquête ann. sur le fin. de l habitat (ACP) Evolution du taux d apport ( ) : taux d apport moyen de la nouvelle production mesuré par l enquête ann. sur le fin. de l habitat (ACP) 7 La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France
8 Evolution de la capacité d'achat des ménages depuis 2003 Le taux d intérêt, en baisse jusqu en remonte ensuite jusqu en 2008 avant de baisser rapidement Parallèlement, la maturité initiale augmente significativement jusqu en 2007, passant de 15 ans à 20 ans Evolution du taux d intérêt (r) : taux d intérêt du prêt statistiques monétaires (BdF) Evolution de la maturité initiale du prêt (T) : durée initiale moyenne du prêt principal mesuré par l enquête ann. sur le fin. de l habitat (ACP) 8 La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France
9 Evolution de la capacité d'achat des ménages depuis 2003 Au total, une augmentation très significative de la capacité d achat : +50% entre 2003 et 2010 Décomposition de l évolution de la capacité d achat pour un «emprunteur moyen» 9 La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France
10 Evaluation du risque associé aux évolutions de la capacité d'achat Quels risques? Risques pour les banques : risque de crédit des ménages pas d exposition directe aux prix aussi, risque de taux, refinancement, etc.. Risques pour les ménages (qui nous occupe par la suite) : risque de négative equity Certains des déterminants de la capacité d achat sont : des facteurs «non risqués» : revenu (Y ), taux d apport ( ), taux d intérêt (r ) des facteurs «risqués» : taux d effort ( ) des facteurs pour partie «risqués» : maturité initiale (T ) Distinction entre : l allongement de la maturité initiale permise par la baisse des taux (T RC ) l allongement «au-delà du risque constant» 10 La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France
11 Evaluation du risque associé aux évolutions de la capacité d'achat Calcul de l allongement de la maturité initiale permise par la baisse des taux (T RC ) Baisse des prix de [x %] durée critique (d C ) avant sortie d une situation de negative equity Choix d une référence en 2003 pour mesurer le niveau de risque accepté par les banques : L allongement de la maturité initiale permise par la baisse des taux est définie comme la maturité initiale maintenant constante la durée critique pour une même hypothèse de baisse des prix : 11 La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France
12 Evaluation du risque associé aux évolutions de la capacité d'achat En retenant une hypothèse de baisse des prix, on peut donc décomposer les évolutions de la capacité d achat en fonction de : facteurs sans risques revenu (Y ) taux d apport ( ) taux d intérêt (r ) allongement de la maturité à risque constant (T RC ) facteurs risqués taux d effort ( ) allongement observé de la maturité au-delà du risque constant (T ) Le choix d une «métrique» de risque est toujours arbitraire 12 La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France
13 Evaluation du risque associé aux évolutions de la capacité d'achat Au total, en retenant une hypothèse de baisse des prix de 30%, on constate une augmentation du risque limitée jusqu en 2008, plus significative par la suite Décomposition de l évolution de la capacité d achat pour un «emprunteur moyen» 13 La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France
14 Evaluation du risque associé aux évolutions de la capacité d'achat une hypothèse de baisse des prix de 50%, on constate une augmentation du risque en début de période, stable par la suite Décomposition de l évolution de la capacité d achat pour un «emprunteur moyen» 14 La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France
15 Evaluation du risque associé aux évolutions de la capacité d'achat Alternativement, on peut recalculer la baisse de prix nécessaire pour conduire à une situation de negative equity à [x ans]. On constate en début de période, une réduction de la baisse absorbable à moyen terme et en fin de période, un réduction de la baisse absorbable à court terme cf. rôles différents du taux d apport (critique à court terme) et de la maturité (essentiel à long terme). Evolutions de la baisse des prix conduisant à une situation de negative equity à 1, 5 et 10 ans 15 La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France
16 Typologie de la population d emprunteurs «risqués» L analyse de solvabilité en moyenne ne permet pas de prendre en compte la diversité des situations des emprunteurs (taux d apport, maturité initiale, taux d effort) Une augmentation des taux d apport «minimaux» Un décalage des standards de maturité initiale Evolution de la distribution des taux d'apport ( ) mesurée par l enquête ann. sur le fin. de l habitat (ACP) hors investisseurs locatifs Evolution de la distribution des maturités initiale (T ) mesurée par l Observatoire Crédit Logement 16 La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France
17 Typologie de la population d emprunteurs «risqués» L allongement des maturités est allé de pair avec une augmentation des taux d effort «significatifs» Evolution de la distribution des taux d effort ( ) mesurée par l enquête ann. sur le fin. de l habitat (ACP) 17 La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France
18 Typologie de la population d emprunteurs «risqués» Evaluation de la population d emprunteurs «fragiles» situation de negative equity en cas de revente à 5 ans dans un scénario de retournement des prix de 15% fonction du taux d apport (-), du taux d intérêt (+), de la maturité initiale du prêt (+) Données utilisées : Enquête Logement 2006 (INSEE) permet de décrire à un niveau microéconomique le plan de financement des ménages accédants Méthode de projection : calibrage sur la période prolongement (conditions de taux, maturité, taux d apport, etc.) limites fortes (pas d équation de comportements, pas d évolution de la structure des ménages accédants) 18 La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France
19 Typologie de la population d emprunteurs «risqués» Une population risquée en augmentation, caractérisée par des taux d apport quasi nuls, des maturités plus longues et un niveau de revenu plus faible 30% 25% % des nouveaux accédants % des nouveaux encours 25% 20% 20% 15% 10% 5% 15% 10% 5% moyenne "non risquée" moyenne "risquée" 0% % moyenne "risquée" moyenne "non risquée" moyenne "non risquée" moyenne "risquée" La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France
20 Conclusion Les standards de distribution de crédit immobilier en France très différents des standards US, UK, etc. prêts à taux fixe, taux d effort maitrisé décision basée sur la solvabilité de l emprunteur exposition directe à la situation de l emprunteur et exposition indirecte au prix (seulement conditionnellement à un évènement de crédit pour l emprunteur et jamais nécessairement) encours de crédit structurellement plus sûrs Néanmoins forte augmentation des encours depuis le milieu des années 2000 augmentation du risque moyen (avant 2008, allongement des maturités, depuis , baisse des taux d apport) augmentation de la population «en risque» (i.e. exposée à une forte baisse des prix) jusqu en 2008 mais ce risque reste objectivement modéré 20 La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France
Corefris RAPPORT ANNUEL 2011. Annexe 3 : La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France?
Annexe 3 : La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France? (DGTrésor) 1. Indépendamment de facteurs d offre et de demande, qui jouent indéniablement sur les prix,
Plus en détailRésultats annuels 2014 23 janvier 2015
Sommaire Points clés Résultats financiers 2014 Marché et perspectives 2 Points clés Résultats 2014 en ligne avec les objectifs annoncés «chiffre d affaires sensiblement comparable à celui de 2013 et marge
Plus en détailLes durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes
Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse
Plus en détail4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009
LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes
Plus en détailL équilibre Ressources Emplois de biens et services schématisé par une balance
IV) l équilibre ressources - emplois et son interprétation Cet article fait suite à ceux du 19 janvier et du 18 février 2013. Il en est le complément logique sur les fondamentaux macro- économiques d un
Plus en détailL ASSURANCE DE PRÊT? Les clés pour faire le bon choix
particuliers PROFESSIONNELS professionnels entreprises entreprises GÉNÉRATION RESPONSABLE Être un assureur responsable, c est donner à chacun les moyens de faire les bons choix pour protéger ce qui lui
Plus en détailCORRIGES DES CAS TRANSVERSAUX. Corrigés des cas : Emprunts
CORRIGES DES CAS TRANSVERSAUX Corrigés des cas : Emprunts Remboursement par versements périodiques constants - Cas E1 Objectifs : Construire un échéancier et en changer la périodicité, Renégocier un emprunt.
Plus en détailBaisse de l autofinancement et des investissements : un défi pour l action publique locale
Serge Bayard Président du conseil d administration La Banque Postale Collectivités Locales Jean-Pierre Balligand Président du Comité d orientation des finances locales La Banque Postale Thomas Rougier
Plus en détailDIAGNOSTIC SOCIO-ÉCONOMIQUE ET FINANCIER LE BILAN-SANTÉ DES COMMUNES
LE BILAN-SANTÉ DES COMMUNES EYSINES FÉVRIER 214 POPULATION Population 1999 (sans double compte) Population 26 (municipale) Population 211 (municipale) Classement en fonction de la population (211) Rangs
Plus en détailRegard financier sur les petites villes (3 000 à 20 000 habitants) Juin 2014
( 20 000 habitants) Juin 2014 Sommaire Les petites en France 3 Les volumes d intervention 4 Les principales ressources courantes 5-6 L épargne brute 7 Les dépenses d investissement 8 L encours de dette
Plus en détailGUIDE PRATIQUE. Du provisionnement des emprunts à risques
Ministère de l Égalité des territoires et du Logement Ministère de l Économie et des Finances GUIDE PRATIQUE Du provisionnement des emprunts à risques Application aux Offices Publics de l Habitat à comptabilité
Plus en détailLES ENSEIGNEMENTS DE L OBSERVATOIRE DE L ENDETTEMENT DES MENAGES. LES CREDITS DE TRESORERIE AUX PARTICULIERS EN FRANCE
LES ENSEIGNEMENTS DE L OBSERVATOIRE DE L ENDETTEMENT DES MENAGES. LES CREDITS DE TRESORERIE AUX PARTICULIERS EN FRANCE Michel MOUILLART Directeur Scientifique de l Observatoire de l Endettement des Ménages
Plus en détailChapitre 4 : cas Transversaux. Cas d Emprunts
Chapitre 4 : cas Transversaux Cas d Emprunts Échéanciers, capital restant dû, renégociation d un emprunt - Cas E1 Afin de financer l achat de son appartement, un particulier souscrit un prêt auprès de
Plus en détailPROSPECTUS. PROSPECTUS 14 valable à compter du 01.01.2010
20 PROSPECTUS PROSPECTUS 14 valable à compter du 01.01.2010 Article 47 2 de la loi du 4 août 1992 relative aux Crédits Hypothécaires et l article 4 de l Arrêté royal du 5 février 1993 portant diverses
Plus en détailDIAGNOSTIC SOCIO-ÉCONOMIQUE ET FINANCIER LE BILAN-SANTÉ DE L'INTERCOMMUNALITÉ
DIAGNOSTIC SOCIO-ÉCONOMIQUE ET FINANCIER LE BILAN-SANTÉ DE L'INTERCOMMUNALITÉ FÉVRIER 214 IDENTIFICATION / POPULATION Commune siège : Pau Type de fiscalité : Fiscalité professionnelle unique (FPU) Commune
Plus en détailL immobilier est il encore un placement intéressant? Wavre, le jeudi 03 avril 2014
L immobilier est il encore un placement intéressant? Wavre, le jeudi 03 avril 2014 SOMMAIRE Comportement de l immobilier belge Qui sommes-nous? Structure et méthodologie L investissement immobilier en
Plus en détailLatitude 49.37 N Longitude 06.13 E Altitude 376 m RÉSUMÉ MENSUEL DU TEMPS DE JANVIER 2014
RÉSUMÉ MENSUEL DU TEMPS DE JANVIER 2014 Valeurs moyennes: Valeur Jour Valeur (en C) (en C) (en C) gazon (en C) 11,4 7 13,9 1975 3,6 0,8 4,9 2007-6,3 1963-3,0 29-17,8 1979-2,8 12-24,6 1985 37,1 50,3 95,5
Plus en détailINITIATION À LA COMPTABILITÉ GÉNÉRALE
Comptabilité 155 INITIATION À LA COMPTABILITÉ GÉNÉRALE Etre capable d assurer le suivi quotidien des opérations courantes dans une entreprise afin de faciliter les échanges avec son expert comptable. Assistante
Plus en détailEnquête annuelle sur le financement de l habitat en 2011
Enquête annuelle sur le financement de l habitat en 2011 n 8 juillet 2012 1 Résumé : Selon l Enquête annuelle sur le financement de l habitat, l encours total de prêts à l habitat des 16 établissements
Plus en détailLES FACTEURS DE FRAGILITE DES MENAGES
Enquête complémentaire mentaire de mars 2009 LES FACTEURS DE FRAGILITE DES MENAGES présentée par Michel MOUILLART Professeur d Economie à l Université de Paris X - Nanterre - Mercredi 22 juillet 2009 -
Plus en détailExercices & cours de Gestion en vidéo - BTS MUC. Liste des formules. (Consultez également «Liste des tableaux»)
Liste des formules (Consultez également «Liste des tableaux») Table des matières LES CALCULS COMMERCIAUX... 4 Le coefficient multiplicateur... 4 Montant de TVA... 4 TVA collectée... 4 TVA déductible...
Plus en détailInvestissez indirectement dans l immobi
SCPI PRIMO 1 Investissez indirectement dans l immobi PRIMO 1 a pour objectif de constituer un patrimoine immobilier résidentiel, permettant l accès aux avantages fiscaux du nouveau dispositif Scellier.
Plus en détailBANQUE POPULAIRE GESTION PRIVÉE SCPI SCELLIER BBC FRUCTIRESIDENCE BBC. BANQUE & ASSURANCE www.banquepopulaire.fr
BANQUE POPULAIRE GESTION PRIVÉE SCPI SCELLIER BBC FRUCTIRESIDENCE BBC BANQUE & ASSURANCE www.banquepopulaire.fr Avertissement - Facteurs de risques Lorsque vous investissez dans une SCPI de type «Scellier
Plus en détailLE CRÉDIT A LA CONSOMMATION Au-delà des idées reçues
LE CRÉDIT A LA CONSOMMATION Au-delà des idées reçues Juillet 2013 SOMMAIRE I. L utilité du crédit à la consommation Quel est le rôle du crédit dans l économie? Le marché du crédit à la consommation. A
Plus en détailPOURQUOI LES ETATS ET LES ENTREPRISES ONT NORMALEMENT UNE TRESORERIE NETTE NEGATIVE OU POURQUOI LES ETATS SONT NORMALEMENT EN «DEFICIT»
POURQUOI LES ETATS ET LES ENTREPRISES ONT NORMALEMENT UNE TRESORERIE NETTE NEGATIVE OU POURQUOI LES ETATS SONT NORMALEMENT EN «DEFICIT» Bernard Vallageas Faculté Jean Monnet Université Paris-Sud 54 boul.
Plus en détail«Regroupement de crédits : halte aux idées reçues» C O N F E R E N C E D E P R E S S E, 1 7 d é c e m b r e 2 0 1 3
«Regroupement de crédits : halte aux idées reçues» C O N F E R E N C E D E P R E S S E, 1 7 d é c e m b r e 2 0 1 3 INTRODUCTION : RAPPELS SUR LE REGROUPEMENT DE CREDITS 1 LE REGROUPEMENT DE CRÉDITS, QUAND?
Plus en détailFICHE PRATIQUE SCPI QU EST-CE QU UNE SCPI? AVANTAGES DE L INVESTISSEMENT IMMOBILIER CONTRAINTES DE LA GESTION «EN DIRECT» LES ATOUTS DES SCPI
FICHE PRATIQUE SCPI QU EST-CE QU UNE SCPI? La Société Civile de Placement Immobilier est un organisme de placement collectif qui a pour objet l acquisition et la gestion d un patrimoine immobilier locatif
Plus en détailLA CONNAISSANCE DES COMPTES FINANCIERS ET NON FINANCIERS DES ACTEURS FINANCIERS
LA CONNAISSANCE DES COMPTES FINANCIERS ET NON FINANCIERS DES ACTEURS FINANCIERS Fabrice LENGLART INSEE Comptes nationaux Bruno LONGET - Banque de France - SESOF CNIS 22 juin 2009 Plan I Place des activités
Plus en détailLe build-up est-il la solution?
Développement des Entreprises de Taille Intermédiaire (ETI) en France Le build-up est-il la solution? Paris - 10 janvier 2012 Oliver Gottschalg Pierre Mestchersky Stéphane Gilet Dominique Degand Observatoire
Plus en détailVILLAGE DE CABANE PERCHEE www-cabanes-ardeche.com
1 VILLAGE DE CABANE PERCHEE www-cabanes-ardeche.com DOSSIER DE CANDIDATURE LICENCE DE MARQUE LES CABANES DE LABROUSSE REILLER 07440 BOFFRES RCS ANNONAY : 512 361 973 - Code APE : 9329 Z Copyright LES CABANES
Plus en détailNouveau Barème W.B.F. de points de victoire 4 à 48 donnes
Nouveau Barème W.B.F. de points de victoire 4 à 48 donnes Pages 4 à 48 barèmes 4 à 48 donnes Condensé en une page: Page 2 barèmes 4 à 32 ( nombre pair de donnes ) Page 3 Tous les autres barèmes ( PV de
Plus en détailEuropimmo LFP. SCPI d entreprise, immobilier européen AVERTISSEMENT
LFP Europimmo SCPI d entreprise, immobilier européen AVERTISSEMENT Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine.
Plus en détailConseil Spécialisé Horticole
Conseil Spécialisé Horticole Observatoire économique et financier des exploitations horticoles et pépinières CER France 6 juin 2014 Observatoire économique des exploitations Horticoles et pépinières exercice
Plus en détailFRANCE Immobilier résidentiel Évolutions récentes et perspectives 2015-2016
Trimestriel n /231 17 juillet 2 FRANCE Immobilier résidentiel Évolutions récentes et perspectives 2-216 Reprise ou stabilisation? Des signaux de reprise du marché sont apparus ces derniers mois. Il ne
Plus en détailThéorie Financière 3. Tableau de financement et planning financier
Théorie Financière 3. Tableau de financement et planning financier Objectifs de la session 1. Montrer comment les informations comptables permettent de déterminer les cash flows 2. Comprendre le concept
Plus en détailPrêts hypothécaires INFORMATIONS GÉNÉRALES RÉSUMÉ MÉTHODOLOGIQUE
Prêts hypothécaires INFORMATIONS GÉNÉRALES Statistiques voisines Périodicité Ponctualité Propriété Ce fichier reprend les informations concernant les prêts hypothécaires accordés par la SWCS aux personnes
Plus en détailLes crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 2014
Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 214 Gwenaëlle FEGAR Direction des Statistiques monétaires et financières Service d Analyse des financements nationaux Après une forte progression
Plus en détailEvolution du pouvoir d'achat du point d'indice net majoré (INM) depuis le 1er janvier 2000
Evolution du pouvoir d'achat du net majoré (INM) depuis le 1er janvier 2000 Indices INSEE : Valeur du au 1er juillet 2010 = 4,6303 perte de pouvoir d'achat depuis le 1er janvier 2000 du sur l'indice des
Plus en détailLe budget 2014 du Département Chiffres Clés LE DÉPARTEMENT S ENGAGE AUPRÈS DES NORDISTES
Le budget 2014 du Département Chiffres Clés LE DÉPARTEMENT S ENGAGE AUPRÈS DES NORDISTES Éditorial Le budget primitif 2014 s inscrit dans un contexte économique et social encore difficile. Aussi, avec
Plus en détailEvolution des risques sur les crédits à l habitat
Evolution des risques sur les crédits à l habitat n 5 février 2012 1/17 SOMMAIRE 1. PRINCIPALES CARACTÉRISTIQUES DE LA PRODUCTION... 4 2. ANALYSE DÉTAILLÉE DES INDICATEURS DE RISQUE... 8 2.1 Montant moyen
Plus en détailAccès au crédit des PME : quelles leçons tirer du rapprochement des données d enquête et des données de bilan?
Direction générale des Statistiques Direction des Enquêtes et statistiques sectorielles Direction générale des Études et des Relations internationales Direction des Études microéconomiques et structurelles
Plus en détailINDEMNISATION VOUS REPRENEZ UNE ACTIVITÉ POLE-EMPLOI.FR
INDEMNISATION VOUS REPRENEZ UNE ACTIVITÉ POLE-EMPLOI.FR REPRENDRE UNE ACTIVITÉ PROFESSIONNELLE SANS PERTE DE REVENU Ce dispositif concerne les bénéficiaires de l allocation d aide au retour à l emploi
Plus en détailLes perspectives économiques
Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois
Plus en détailETABLISSEMENT DE CREDIT AGREE EN QUALI TE DE SOCI ETE FINANCIERE Société Anonym e à Directoire et Conseil de Surveillance au capital de ¼175 000 000
qph 75,0(675( 5$33257'8',5(&72,5( $8&216(,/'(6859(,//$1&( &2037(675,0(675,(/6 ETABLISSEMENT DE CREDIT AGREE EN QUALI TE DE SOCI ETE FINANCIERE Société Anonym e à Directoire et Conseil de Surveillance au
Plus en détailDans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude
localnova OBS Observatoire des finances locales des Petites Villes de France novembre # Dans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude financière prospective
Plus en détailEpargne et investissement
Epargne et investissement Nature du sujet : Sujet de type «mise en relation». Mots-clés / Définitions : Tous! «Epargne» : Part du revenu qui n est pas consommée Epargne des ménages : - Concept le plus
Plus en détailPER Convergence Le Guide de l épargnant
Comment choisir vos supports de placement? PER Convergence Le Guide de l épargnant Avec PER Convergence, votre entreprise met à votre disposition deux dispositifs d épargne au service de vos projets dans
Plus en détail4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010
LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes
Plus en détailQu est-ce qu une banque?
Qu est-ce qu une banque? Nathalie Janson 1 Financement de l Activité économique Développement des entreprises nécessite apport de fonds Les entreprises peuvent se financer de façon interne ou externe Les
Plus en détailGUIDE FONCTIONNEL. Réaliser une analyse prospective à l aide du tableau financier de Mairie-conseils
GUIDE FONCTIONNEL Réaliser une analyse prospective à l aide du tableau financier de Mairie-conseils SOMMAIRE I - Objectifs 1 - Calculer des indicateurs financiers 2 - Animer la réflexion prospective II
Plus en détailLES ASSURANCES DE BIENS ET DE RESPONSABILITÉ. Données clés 2010
LES ASSURANCES DE BIENS ET DE RESPONSABILITÉ Données clés 2010 Sommaire Sauf indications contraires, toutes les données ont pour origine les enquêtes de la Direction des études et des statistiques FFSA-GEMA.
Plus en détailLes acteurs français du crédit à la consommation : maturité ou nouvel élan? Étude - Janvier 2005. Banque et Finances
Les acteurs français du crédit à la consommation : maturité ou nouvel élan? Étude - Janvier 2005 Banque et Finances 1 SOMMAIRE PANORAMA DU MARCHÉ FRANÇAIS CLÉS D'ÉVOLUTION LE MARCHÉ AMÉRICAIN COMME REPÈRE
Plus en détailProtection du budget. Prévoyance
L offre CACI Forte de son expertise acquise sur son cœur de métier historique, l assurance, Caci a développé une gamme complète de produits d assurance à tination de ses partenaires et de leurs clients
Plus en détailDossier de demande de subvention
Nous sommes là pour vous aider Association Loi du 1 er juillet 1901 relative au contrat d association N 12156*02 Dossier de demande de subvention Veuillez cocher la case correspondant à votre situation
Plus en détailCompte consolidé de la Confédération
Compte consolidé de la Confédération Expériences avec la première élaboration Association pour les finances et la comptabilité publiques Colloque du 3 septembre 2010 Markus Stöckli, chef du service comptabilité,
Plus en détailLFP Opportunité Immo RISQUES ASSOCIES
LFP Opportunité Immo RISQUES ASSOCIES Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. La durée de placement
Plus en détailSCPI FONCIA PIERRE RENDEMENT
CONSEIL EN GESTION DE PATRIMOINE INDEPENDANT Bordeaux, le 21 Mars 2013 SCPI FONCIA PIERRE RENDEMENT 9 è m e AUGMENTATION DE CAPITAL Nous avons une nouvelle fois l opportunité de vous proposer de participer
Plus en détailXXXXXX. Information préalable au 31.12.2002. Base individuelle / Entreprise. Cochez la case appropriée d'une X
Banque nationale suisse Direction de la statistique Saisie des données Case postale Bon de livraison pour disquettes (FRIN) A imprimer et joindre à la disquette Raison sociale Adresse NPA Localité Collaborateur
Plus en détailAnalyse Financière Les ratios
Analyse Financière Les ratios Présenté par ACSBE Traduit de l anglais par André Chamberland andre.cham@sympatico.ca L analyse financière Les grandes lignes Qu est-ce que l analyse financière? Que peuvent
Plus en détailB - La lecture du bilan
8.2 La lecture des comptes annuels B - La lecture du bilan Référence Internet Saisissez la «Référence Internet» dans le moteur de recherche du site www.editions-tissot.fr pour accéder à ce chapitre actualisé
Plus en détailLES BANQUES. I. Les différents services proposés par les banques :
LES BANQUES I. Les différents services proposés par les banques : Les services bancaires représentent l ensemble des produits proposés par une banque. Les services bancaires les plus connus sont : Epargne
Plus en détailSCPI Amundi DEFI Foncier
SCPI Amundi DEFI Foncier SCPI de Déficit Foncier à capital fixe Souscription ouverte jusqu au 16 décembre 2015 - Pour bénéficier du dispositif fiscal de déficit foncier en 2014, souscription jusqu au 16
Plus en détailLe marché des logiciels en France Perspectives d évolution pour le channel
Le marché des logiciels en France Perspectives d évolution pour le channel Le nouveau paradigme de l IT IDC Visit us at IDC.com and follow us on Twitter: @IDC 2 L arrivée de nouvelles technologies insuffle
Plus en détailRAPPELS DU COURS PRÉCÉDENT
RAPPELS DU COURS PRÉCÉDENT PIB + M = CF+ FBCF + S + X Demande intérieure Valeur 2006 en milliard s d'euros ) Évolutions en volume au prix de l'année précédente Évolutions en volume au prix de l'année précédente
Plus en détailÉtude : Épargne nationale au Canada et aux États-Unis, 1926 à 2011 Diffusé à 8 h 30, heure de l'est dans Le Quotidien, le jeudi 26 juin 2014
Étude : Épargne nationale au Canada et aux États-Unis, 1926 à 11 Diffusé à 8 h 3, heure de l'est dans Le Quotidien, le jeudi 26 juin 14 Le taux d'épargne s'entend du rapport entre l'épargne brute et le
Plus en détailAnalyse nancière : quelques ratios
Analyse nancière : quelques ratios Eric Vansteenberghe 18 février 2014 Une application aux achats dans le secteur spatial Table des matières 1 Introduction 2 2 La solvabilité de l'entreprise 2 2.1 Ratio
Plus en détailSCPI Renovalys 5. Communication à caractère promotionnel
SCPI Renovalys 5 Communication à caractère promotionnel A V E R T I S S E M E N T F ACTEURS DE RISQUES Vous investissez dans une SCPI de type fiscal «déficit foncier», qui permet au porteur de parts de
Plus en détailUNE FISCALITE DEFAVORABLE AU FINANCEMENT DES ENTREPRISES ET QUI AFFECTE LEUR COMPETITIVITE
UNE FISCALITE DEFAVORABLE AU FINANCEMENT DES ENTREPRISES ET QUI AFFECTE LEUR COMPETITIVITE Partant d une situation déjà défavorable au financement des entreprises par fonds propres, les mesures fiscales
Plus en détailTotal Sélection Période de souscription : Durée d investissement conseillée Éligibilité
Total Sélection Instrument financier émis par Natixis SA (Moody s : A2, Fitch : A, Standard & Poor s : A au 20 novembre 2014) dont l investisseur supporte le risque de crédit. Total Sélection est une alternative
Plus en détailRoyaume-Uni : Le modèle de crédit habitat est-il risqué?
Apériodique n 14/68 24 octobre 14 Royaume-Uni : Le modèle de crédit habitat est-il risqué? Le marché immobilier britannique est caractérisé par une volatilité élevée, résultat d une faible élasticité de
Plus en détailAuto-entrepreneur. Ce qui change en 2015. Janvier 2015 1
2014 2015 2016 Auto-entrepreneur Ce qui change en 2015 Janvier 2015 1 9 points à suivre en 2015 Immatriculation au RCS et au RM Stage de préparation a l'installation obligatoire Taxe pour frais de chambre
Plus en détailImmobilier en France : Léger mieux dans le neuf en 2015
Trimestriel n 42 Octobre 214 Immobilier en France : Léger mieux dans le neuf en 21 Le marché résidentiel continue à se corriger lentement. La baisse reste modérée, beaucoup plus que dans la plupart des
Plus en détailQuels enseignements de l expérience française (1983-1990)
Développement des marchés de capitaux Quels enseignements de l expérience française (1983-1990) Séminaire de clôture Tunis, le 23 mai 2013 Françoise Drumetz Directeur de la coopération extérieure CONTEXTE
Plus en détailDurée d investissement recommandée de 8 ans. Lorsque vous investissez dans une SCPI, vous devez tenir compte des éléments et risques suivants :
SCPI Rivoli Avenir Patrimoine investir INDIRECTEMENT dans l immobilier d entreprise et bénéficier de revenus potentiels réguliers Durée d investissement recommandée de 8 ans AVERTISSEMENT Lorsque vous
Plus en détailFinancer Entretenir Garantir Assurer
*Des utilitaires conçus pour durer. Financer Entretenir Garantir Assurer Bénéficiez d un accompagnement sur mesure pour votre véhicule utilitaire Mercedes-Benz * Vous avez choisi l utilitaire qui répond
Plus en détailRendement Air France :
Rendement Air France : brochure commerciale Indexé à la signature de l Entité de Référence Société Air France I EUR Titre de créance non garanti en capital, émis par Société Générale Durée d investissement
Plus en détailproduits non garantis en capital Négocier en direct vos Warrants, Turbos et Certificats
Nouveau Négocier en direct vos Warrants, Turbos et Certificats négocier en direct vos Warrants, Turbos et Certificats Pour la première fois en France, il est possible de négocier en direct les Warrants,
Plus en détailCRÉER SON ENTREPRISE AVEC L UMM
CRÉER SON ENTREPRISE AVEC L UMM PLAN DE FINANCEMENT ET D AFFECTATION Le schéma de réponse ci-après vous permettra de préciser dans la première partie, la nature et le montant de vos investissements. Dans
Plus en détailL accession sociale à la propriété. Une étude du Crédit Foncier
L accession sociale à la propriété Une étude du Crédit Foncier SYNTHÈSE L encouragement de l accession à la propriété des ménages aux revenus modestes constitue depuis plusieurs décennies une priorité
Plus en détailPrincipes de Finance
Principes de Finance 9 et 10. Politique de financement Daniel Andrei Semestre de printemps 2011 Principes de Finance 9 & 10. Financement Printemps 2011 1 / 62 Plan I Introduction II La structure financière
Plus en détailÉtudes. Y a-t-il un risque de bulle immobilière en France?
Selon la définition de Joseph Stiglitz, on peut qualifier de «bulle spéculative» un état du marché dans lequel «la seule raison pour laquelle le prix est élevé aujourd hui est que les investisseurs pensent
Plus en détailL assurance des travaux d installation d une
L assurance des travau d installation d une centrale photovoltaïque Etes-vous bien assurés? Quel est l enjeu du photovoltaïque pour le promoteur?. Toute l attention se porte sur les conditions de rachat
Plus en détailRecherches mises en valeur
Recherches mises en valeur Résumé hebdomadaire de nos meilleures idées et développements au sein de notre univers de couverture La Meilleure Idée Capital One va fructifier votre portefeuille 14 février
Plus en détailLa situation financière des SNF françaises Quelques éléments de diagnostic élaborés à partir des comptes nationaux
La situation financière des SNF françaises Quelques éléments de diagnostic élaborés à partir des comptes nationaux 21 novembre 2014 Gilbert Cette 1. Définitions et sources Valeur ajoutée aux coûts des
Plus en détailLES SOCIETES DE GESTION DE PATRIMOINE FAMILIAL
LES SOCIETES DE GESTION DE PATRIMOINE FAMILIAL (SPF) www.bdo.lu 2 Les Sociétés de Gestion de Patrimoine Familial (SPF) TABLE DES MATIERES AVANT-PROPOS 3 1. INTRODUCTION 4 2. ACTIVITES D UNE SPF 2.1 Activités
Plus en détailQu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs?
Qu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs? En ces temps de crise économique et de crise des dettes souveraines (ou publiques), tous les hommes politiques de gauche comme de droite
Plus en détailCOURS Nº7 : LES OBLIGATIONS
COURS Nº7 : LES OBLIGAIONS DÉFINIION E CARACÉRISIQUES LES PRINCIPALES CLAUSES DU CONRA DU PRÊ ÉVALUAION DES OBLIGAIONS LES OBLIGAIONS ZÉRO-COUPON E LES COUPONS DÉACHÉS : CONSÉQUENCES FISCALES LES MESURES
Plus en détailChamp d application. Sont visées par la présente Recommandation, les publicités :
PUBLICITE DES PRODUITS FINANCIERS ET D INVESTISSEMENT ET, SERVICES LIÉS Le Code consolidé sur les pratiques de publicité et de communication commerciale de l ICC (Chambre de commerce internationale) contient
Plus en détailLes clés de l évaluation. Hervé Bardin
Les clés de l évaluation Hervé Bardin Evaluation d entreprise : principes généraux Evaluation d entreprise : principes généraux Que veut-on évaluer? Contexte de l évaluation Typologie des méthodes d évaluation
Plus en détailEdissimmo. Valorisez votre patrimoine en investissant indirectement dans de l immobilier d entreprise avec la SCPI Edissimmo
Edissimmo SCPI Immobilier d Entreprise classique diversifiée à capital variable Valorisez votre patrimoine en investissant indirectement dans de l immobilier d entreprise avec la SCPI Edissimmo Comporte
Plus en détailLa Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes. Le Ministre des finances et des comptes publics
Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Direction Générale de l Offre de Soins Sous-direction du pilotage de la performance des acteurs de l offre de soins Bureau de l efficience
Plus en détailLes tableaux de flux de trésorerie en règles françaises et internationales : essai de synthèse
Synthèse // Réflexion // Une entreprise/un homme // Références Les tableaux de flux de trésorerie en règles françaises et internationales : essai de synthèse Particulièrement utiles pour évaluer la capacité
Plus en détailLa dette des ménages canadiens demeure très élevée
12 septembre 2014 La dette des ménages canadiens demeure très élevée Faits saillants États Unis : accélération bienvenue des ventes au détail. Forte hausse du crédit à la consommation en juillet aux États
Plus en détailobservatoire du Transport Sanitaire 2014 kpmg.fr
observatoire du Transport Sanitaire 2014 kpmg.fr Edito Marc Basset, Associé, Responsable du secteur Transport sanitaire C est avec un grand plaisir que nous vous présentons l Observatoire du Transport
Plus en détailRevenu national avant impôts: 2 800 (100%) Revenu disponible: 2 100 (74%) Revenu après impôts: 1 500 (51%)
Séance n 8. TD Tableau n 1. La décomposition du revenu national en 2009 Montant (milliards d euros) Part (%) Revenus d activité salariaux 1014,3 73% Revenus de la propriété 281,1 20% Revenu d activité
Plus en détailDurée d investissement recommandée de 8 ans. SCPI à capital variable.
SCPI Rivoli Avenir Patrimoine Valorisez votre patrimoine en investissant indirectement dans de l immobilier d entreprise, avec la SCPI Rivoli Avenir Patrimoine Durée d investissement recommandée de 8 ans.
Plus en détailvalant Descriptif du programme de rachat par la Société de ses propres actions soumis à l autorisation de l Assemblée Générale Mixte du 29 juin 2007
BRICORAMA Société anonyme au capital de 27.919.115 Euros Siège social : FONTENAY SOUS BOIS (94120) 21, avenue du Maréchal de Lattre de Tassigny RCS CRETEIL 957 504 608 N INSEE : 957 504 608 00515 RAPPORT
Plus en détailDans la plupart des économies avancées, les prix immobiliers ont fortement
Les prix immobiliers en France : une évolution singulière Mickaël Clévenot Division Synthèse conjoncturelle Dans la plupart des économies avancées, les prix immobiliers ont fortement augmenté entre 2000
Plus en détailISATIS Antin FCPI 2014. Fonds Commun de placement dans l innovation Document à caractère promotionnel. Commissaire aux comptes
ISATIS Antin FCPI 2014 Fonds Commun de placement dans l innovation Document à caractère promotionnel Commissaire aux comptes Le capital investissement un enjeu majeur : pour notre économie, l emploi et
Plus en détail