Bulletin. l'association Archéologique. Les Amis de Béruges. Le vitrail de l'église de Béruges. Année 2010

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1 Bulletin de l'association Archéologique Les Amis de Béruges Le vitrail de l'église de Béruges Année 2010 N 25

2 Table des matières Nos activités de l'année par Gérard Roy Instruments de toilette romains du musée de Béruges 10 par Élise Vigier Les mystères de Béruges (2) : du Moyen Âge à l époque contemporaine 15 par Gérard Roy Le pèlerinage du Sacré Cœur de Béruges 24 Par Pierre Kihm Une photographie de classe à Ferrières en par Joëlle Dumas Delage Les estampilles et graffiti sur céramiques sigillées et cachets d'amphores de Béruges Par Jean-Pierre Chabanne et Annie Ribardière. *** Association de recherches archéologiques, artistiques, historiques et scientifiques des Amis de Béruges MEMBRES DU BUREAU Président : Jean-Claude GUILBERT Vice-président : Jean-Pierre CHABANNE Secrétaire : Laurent BIARD Vice-présidente et trésorière : Hélène VINATIÉ ADRESSE POSTALE Mairie de Béruges Béruges - Tél Bulletin de l'association archéologique Les Amis de Béruges Directeur de publication : Jean-Claude GUILBERT Secrétaire de rédaction : Jean-François BILLAUD Mars

3 NOS ACTIVITÉS DE L'ANNÉE 2010 par Gérard Roy Même si les chantiers de fouilles comme ceux que nous faisions autrefois ne peuvent plus être envisagés désormais, des interventions variées ont eu lieu tout au long de l année. En début d année : nettoyage de la 2e partie du mur de soutènement. Rappel chronologique : 1962 : découverte à la bibliothèque municipale de Poitiers des manuscrits du général Martineau, avec notamment ce plan de Béruges qui aurait, à l époque gallo-romaine, été entouré d un mur présenté comme un rempart : découverte de ce mur sur le terrain, dans un secteur envahi par une végétation sauvage depuis des décennies et donc difficile d accès et 1992 : acquisition par la commune du mur ainsi que des terrains situés en contrebas et début de nettoyage qui se poursuivra les années suivantes : relevé du plan de ce mur par Jean-Claude COLIN, architecte, et visite (du mur) par les professeurs Pierre AUPERT et Louis MAURIN. De là, la dénomination «rempart» est abandonnée pour «mur de soutènement du Haut Empire». En août, les jeunes du centre socioculturel de Vouillé participent au dégagement partiel du redan (partie rentrante) de ce mur, comme l année suivante : restauration des parties dégagées de ce mur par l entreprise Antoine THOMAS : sondages et étude des parties hautes par F. BLANCHET, du service régional de l archéologie, avec la découverte de 2 murs accolés. Parallèlement, les terrains en contrebas ont été aménagés en pelouses, entretenus par la commune et un chemin menant à la rivière a été ouvert. Restait le redan qui, depuis les années 60, avait été comblé sur près de 2 m par des déblais venus d en haut, des gravats et des ordures ménagères ainsi que la seconde partie du mur, celle qui va du redan jusqu à la propriété BOURDIN. Ce nettoyage a donc été accompli sur plusieurs mois. Il a permis de mettre en valeur ce redan, car le mur y est pratiquement intact, et de constater que la partie suivante était bien abîmée, car le premier de ces 2 murs accolés, visible sur plus d'un mètre de haut encore, a subi la poussée des terres, ce qui explique la présence devant lui, d un muret de pierres sèches destiné à «caler» ce mur, désormais incliné et non vertical. Ce mur, bizarrement, ne semble pas assis sur des fondations. Beaucoup de terre a été remuée, ce qui a permis de constituer une terrasse bien horizontale dans le prolongement des zones déjà entretenues. Du matériel varié, allant de la période gallo-romaine à nos jours, a pu être récupéré. 3

4 Le redan après dégagement Vue partielle du musée 4

5 L ensemble est désormais plus présentable et les visiteurs ont apprécié cette amélioration. Au printemps 2010 : visites par les scolaires. Toutes les classes de l école de Béruges sont venues visiter le musée et le jardin archéologique. Cet intérêt manifesté par l équipe éducative et les enfants nous fait bien plaisir et nous récompense de nos efforts. Début d intervention sur le terrain Pierre. Ce terrain, situé derrière la maison de Marie-Thérèse PIERRE dans un secteur sensible du bourg, avait fait l objet l automne précédent d un diagnostic archéologique réalisé par l I.N.R.A.P. Ce travail, auquel l association des amis de Béruges avait participé, a permis de mettre en évidence la présence d un mur gallo-romain double de même épaisseur que le mur de soutènement (2,40 m), ce qui donne du crédit au plan de M. MARTINEAU. Un matériel important avait été récupéré, ce qui était prometteur. Quelques mois plus tard, le creusement des fondations avait été l occasion d approfondir les premières observations. Malheureusement, la propriétaire, Cécile PIERRE, a interdit l accès du terrain aux membres de l association, alléguant des raisons de sécurité, ce qui ne nous a pas permis de terminer nos interventions. Interventions dans des tranchées creusées sur la place. Ces tranchées, destinées à accueillir les canalisations de gaz, ont été ouvertes depuis l école jusqu au bas du jardin archéologique. Naturellement, la commune nous a invités à suivre les travaux et nous sommes donc intervenus à de nombreuses reprises car, encore une fois, des murs gallo-romains ont été coupés : une dizaine au total. Notre travail a simplement consisté en un nettoyage rapide, des photos, des mesures afin de reporter ces éléments nouveaux sur un plan. À l emplacement de la cuve, au bas du jardin archéologique, nous avons pu intervenir plus longuement et dégager la base d un mur gallo-romain orienté nord-sud et que nous ne connaissions pas. En juillet-août, réaménagement du musée. Rappelons qu il a été ouvert il y a 20 ans. Depuis, l abondance du matériel découvert justifiait un agrandissement du local. La pièce utilisée par les Anciens ne devant pas être abandonnée par ceux-ci, il fallait essayer de se débrouiller en aménageant différemment l espace. L achat de plusieurs vitrines par la commune et par notre association a permis d exposer un maximum d objets, la visite étant facilitée désormais par une présentation chronologique et de nombreuses informations écrites. En septembre, participation aux journées du patrimoine. Elles ont permis à nos visiteurs de découvrir le nouveau visage du mur de soutènement et du musée ainsi que les incontournables que sont le puits gallo-romain et le jardin archéologique. En même temps, l association a présenté dans la salle de la mairie une exposition sur FRANCOIS-ALBERT, notre ancien maire devenu ministre. 5

6 Les vitrines centrales Une des salles du dépot 6

7 Les visiteurs ont pu, sur des panneaux, découvrir les différentes facettes de la personnalité de cet homme politique ainsi que son œuvre. Cette exposition devrait en 2011 partir pour Adriers, le pays de sa mère Anne CHAUVET.. Réaménagement du dépôt de fouilles (1) Rappelons que le matériel archéologique conservé depuis 30 ans se trouve entreposé dans la cave située sous la maison Bourdin et au 1 er étage de l ancienne école religieuse. Dans la cave on a laissé les fragments de tuiles, briques, les pierres, mais aussi les ossements. Pour ces derniers, il serait urgent de concrétiser un des vœux de notre président, c est-à-dire leur dépôt dans un ossuaire que la commune pourrait faire construire ou creuser dans le cimetière. Au 1er étage, les nombreuses étagères murales sont pleines de caisses en plastique, cageots en bois et cartons. Leur contenu a déjà été globalement répertorié mais il est indispensable de faire un classement plus pointu, de changer les étiquettes et nombre de cageots ou cartons qui s abîment avec le temps. Nous attendons que Mme Séverine LEMAITRE, professeur d archéologie à l université de Poitiers (spécialiste des amphores) nous donne le résultat de ses démarches pour récupérer des caisses en plastique dans les dépôts poitevins. Ce travail est urgent car le temps presse, les bénévoles vieillissent ou sont démotivés, il faudra bien un jour passer la main ; or aucune équipe jeune n est là pour prendre le relais. Il n est pas impossible, malheureusement, qu une période de vacance s installe un jour avant qu une nouvelle génération de fous bénévoles ne reprenne le flambeau. Au moins facilitons-leur la tâche, laissons un classement clair et nous aurons fait notre boulot. En novembre : récupération de documents Le déménagement de la mairie s est effectué avec l aide ponctuelle d un des membres de notre association, ce qui a permis de mettre de côté un certain nombre de documents. C est d abord une partie de la bibliothèque de l école publique ainsi que de nombreux livres de classe utilisés au XXe siècle. Ils devraient être normalement récupérés par la municipalité, mais il convenait dans l urgence de les mettre à l abri, sinon ils partaient dans la benne. Ce sont ensuite des documents d archives, des tableaux, c est enfin un carton entier de livres du colonel BIZARD qui nous a été donné. Auparavant, Odile, une des filles de Camille ALLEAUME, nous avait donné une carte du centre-bourg réalisée sur papier calque par son père. Elle concerne des découvertes archéologiques faites à la suite du creusement d une tranchée par les P.T.T., les 6 et 7 janvier On peut y voir 4 sarcophages et 6 murs romains avec leur position précise. Le document est d autant plus intéressant que, d abord, l un des sarcophages est très excentré par rapport à la zone de découverte habituelle, qu ensuite 4 de ces murs sont dans le prolongement de ceux qui ont été dégagés dans le jardin de la poste. Accueil du groupe des retraités de la MGEN du Montmorillonnais Prévue de longue date, cette visite s est effectuée le 4 novembre en matinée avec présentation du mur de soutènement puis de la voie, du jardin archéologique et enfin du musée. Nos visiteurs étaient assez étonnés de la richesse du patrimoine local. Après un repas en commun à la briqueterie de Ferrières (excellent), le groupe est parti à Chiré-en-Montreuil pour y découvrir, sous la houlette de Pierre BERTIN, le château. 7

8 Le plan de Camille Alléaume La partie haute de la voie 8

9 Intervention sur la voie (présumée) romaine Elle n était pas prévue mais a été provoquée par les travaux effectués en limite du terrain de notre ancien maire, M. Christian BILLAULT. L évacuation des eaux pluviales en provenance de sa propriété et de la place nécessitant la pose de tuyaux perpendiculaires à la voie, il fallait creuser une tranchée et percer le mur de clôture du jardin archéologique pour une évacuation des eaux de l autre côté. Devant les risques qu aurait engendré le travail d une mini-pelle et sur proposition de la municipalité, l association a effectué ce creusement mais après avoir numéroté, photographié et déposé avec précaution les pierres de calage. Nous en avons profité pour faire le relevé de la coupe, ce qui a permis de constater à cet endroit la présence de 6 niveaux, dont un radier bien plus large que la voie proprement dite. De là, un nettoyage a été entrepris car le précédent, superficiel, datait déjà de 20 ans. Effectué dans la 1re partie de la voie, il est apparu qu à l extérieur des blocs de calage, existait un prolongement pierreux d environ 50 cm de large de chaque côté et incliné vers l extérieur pour l écoulement des eaux. En haut de la voie le revêtement est fait de petits cailloux peu stables puisqu en certains endroits ils ont complètement disparu (sans doute ont-ils été étalés lors des réparations de 1860 et 1909). Par contre, dans la partie inférieure de cette première zone, des blocs plus gros et rendus lisses par des passages nombreux subsistent. Ils pourraient dater de l époque de la construction. Laquelle? On pense évidemment à la période gallo-romaine étant donné le mode de construction, les mesures effectuées et la tradition orale bérugeoise qui désignait cet axe sous les noms de «grippé» (gripet) ou de «chemin des Romains». En 1969, un article de la Nouvelle République signale son existence sous cette appellation tandis qu en 1963, ce même journal indique la présence d une «voie romaine». On peut s interroger sur l origine de cette dénomination, on peut se demander qui a informé le journaliste. Compte tenu des dates, le nom de Camille Alléaume, instituteur et membre de la société des antiquaires de l Ouest, vient à l esprit pour Mais en 1969, il était en retraite à Poitiers, alors qui a donné l information? Ce pourrait être Raoul MOINE, ancien secrétaire de mairie, mais aussi l abbé DUBRULLE, ces deux personnes étant à plusieurs reprises mentionnées. Pour le premier, d une vieille famille bérugeoise, il y a peut-être la transmission d une information donnée dans le passé par deux érudits. C est d abord le père de la Croix, archéologue, qui était venu notamment en 1906 diriger l exhumation des sarcophages du Verger Bonnet. C est aussi éventuellement le général MARTINEAU dès la fin du XIXe siècle. M. Jean-Claude PAPINOT, ancien directeur de l archéologie départementale, est venu «expertiser» cette voie qui lui semble bien antique par de nombreux aspects. Par prudence néanmoins, il va effectuer des vérifications livresques et, si son diagnostic se confirme, nous aurons là indiscutablement l axe de circulation antique le mieux conservé du département, ce qui entraînera alors forcément certaines précautions lorsqu il s agira d effectuer des réparations indispensables. *** 9

10 INSTRUMENTS DE TOILETTE ROMAINS DU MUSÉE DE BÉRUGES par Élise Vigier Cette présentation des instruments de toilette ne prend pas en compte les éléments de parure tels que les épingles à cheveux ou à vêtements, les fibules et autres bijoux présents dans le musée. Les instruments décrits ici sont issus des découvertes bérugeoises et leurs notices figurent pour certains dans l étude d Isabelle BERTRAND parue dans 30 ans de découvertes archéologiques à Béruges. Au-delà des gestes élémentaires d hygiène, les soins du corps sont destinés à embellir l apparence physique. La double vocation de la toilette est perçue dès le Ve s. av. J.-C. chez les Grecs qui distinguent l art de la toilette (κοσμητική τέχνη ou kosmêtikê technê) de l art de se parer et de se maquiller (κομμωτικη τέχνη ou kommôtikê technê). La finalité de la toilette de «soin du corps» était autant médicale qu esthétique, puisqu elle cherchait à protéger la peau des impuretés et infections souvent dues aux composants nocifs du maquillage. Par exemple, on sait que le plomb contenu dans les fards entraînait maladies et empoisonnement par la peau. «L art de la toilette, qui est partie de la médecine, diffère de l art du maquillage ; le but du maquillage est de réaliser une beauté étrangère, et celui de la toilette, partie de la médecine, est de conserver au corps tout son naturel, il s ensuit une beauté naturelle». Galien (De compositione medicamentorum, LXII, 434) Ier s. ap. J.-C. Aujourd hui, le sens du terme «cosmétique» a dérivé de telle sorte qu il est devenu générique et associe les deux techniques : la toilette (à l aide de crèmes, pommades, masques, onguents et soins) et le maquillage (dont les produits sont également appelés cosmétiques). L art du maquillage, notamment l usage de fards, réprouvé par la morale grecque antique - puisqu associé aux courtisanes - est devenu le symbole du passage au statut d épousée pour la jeune fille. Les soins du corps donnent la possibilité de modifier, d améliorer et de donner la meilleure image / représentation de soi aux autres. Ils révèlent l identité sociale et culturelle de l individu. Au sein de la panoplie antique, certains instruments sont clairement attribuables au domaine de la toilette et des soins du corps. Les miroirs, les peignes, les strigiles, les nécessaires de toilette et les rasoirs ont une appartenance qui n est pas sujette à controverse. D autres instruments 1 appartiennent à un domaine dit «mixte» : ils peuvent être aussi destinés à un usage pharmaceutique ou médico-chirurgical (préparation de remèdes, examen et traitement des 1 Par exemple : les cuillères-sondes, les spatules-sondes, les instruments à petit cuilleron ou à extrémité lenticulaire. 10

11 malades). Il s avère parfois difficile de tracer une limite nette 2 entre ces attributions. Les instruments sont alors utilisés par des «profanes» ou par des médecins spécialistes. C est le cas notamment des cuillères-sondes, ou cyathiscomele3, dont Béruges possède un exemplaire. La forme de cet instrument est caractéristique car il associe une cuillère allongée et une extrémité en forme de noyau d olive sur une longue tige plus ou moins moulurée ou décorée. Utilisée dans les domaines de la cosmétique, de la pharmacie et de la chirurgie, l olive, de forme plus ou moins allongée, pouvait servir de specillum pour sonder une blessure ou une fistule, appliquer profondément une préparation, mais également de cautère dans le domaine médical. Dans une configuration pharmaceutique ou domestique, comme c est vraisemblablement le cas pour l exemplaire de Béruges, en l absence de mobilier associé, elle servait à extraire, broyer et appliquer substances cosmétiques ou médicamenteuses solides. La cuillère servait à extraire des petits contenants, à manipuler, à doser et mélanger ces substances, ainsi que dans un cadre strictement chirurgical, à nettoyer les plaies profondes, guider la lame du scalpel lors d une incision. Les peintres ont pu également s en servir pour pulvériser les pigments avec l olive et mélanger les couleurs sur la palette avec la cuillère Parfois, seul le contexte de découverte, le matériau, la taille, l éventuel décor, le type de l objet, le mobilier associé peuvent fournir des indications. Les typologies sont encore à préciser pour certains d entre eux. Nom latin issu du grec kyathisko : cuillère et mèlè : sonde. Selon le relief funéraire de la peinture de Saint-Médard-des-Prés (Vendée) MONTEAGUDO GARCIA L., 2000, p

12 L exemplaire de Béruges, découvert en octobre 1999 dans Le Bourg sur la propriété Rousseau, est datable par son type du Ier au IIIe siècle ap. J.-C. Il mesure 134,1 mm. Les cuillères-sondes sont moulées et semblent faites plus soigneusement que les simples «cuillères à fard». Il existe pour celles-ci5 deux grands types de cuilleron : petit et rond (type cochlear), ovale, en forme de langue (type ligula). Les «cuillères à fard» sont généralement interprétées comme appartenant au domaine culinaire 6. Cependant, leur association avec des bijoux et des objets de toilette suggère que ces cuillères pouvaient aussi avoir servi dans la toilette féminine 7 : extraction, application sur le visage et le corps des cosmétiques (fards, pommades et onguents)8 et dosage de quantités précises9. «Leur attache est plus forte que celle des cuillères à usage Latin : cochlear ou ligula, grec : kyathiskos. Notamment la consommation des œufs et des escargots, grâce à leur manche pointu servant à percer la coquille. Voir BEAL J.-C., 1983, p. 253, note 2. ECKARDT H., CRUMMY N., 2008, p. 40 ; COOL H. E. M., 2004, p. 28. Leur occurrence dans les contextes domestiques a conduit E. RIHA à proposer le fait qu elles aient été utilisées de façon prédominante pour la toilette. ECKARDT H., CRUMMY N., 2008, p. 39 ; MILNE J. S., 1907, p. 63, ; CRUMMY N., 1983, p. 59 ; RIHA E., 1986, p. 56. MONTEAGUDO GARCIA L., 2000, p

13 domestique : elles devaient être assez résistantes pour malaxer»10. Elles existent dans divers matériaux : alliage cuivreux, argent, os. La plupart sont simples, mais certains exemplaires possèdent des manches avec un décrochement, qui portent torsades, moulures ou décors incisés. Le musée de Béruges en possède deux exemplaires. Le premier, en alliage cuivreux mesure 85,5 mm. Le second, en os, est incomplet et mesure 49 mm de long pour un diamètre de 22,5 mm. Il s agit du type Béal AXXV111. Dans la même vitrine, une tige métallique pointue à une extrémité et aplatie à l autre a pu servir de cure-dents - cure-ongles. La proposition de cette identification se base sur le fait que tout objet assez fin pour passer sous l ongle ou assez pointu pour passer entre les dents peut servir à ces usages. Par ailleurs, les dimensions de cet objet approchent celles d un cure-ongles à palette circulaire identifié par Isabelle BERTRAND12. L exemplaire exposé à Béruges, en alliage cuivreux, mesure 53 mm. L usage exact de certains instruments demeure assez flou : c est le cas des instruments à extrémité lenticulaire. Ils possèdent une petite palette en forme de lentille, plus ou moins inclinée par rapport à l axe de leur tige de section variable 13, parfois pointue, laissée lisse, ou plus travaillée (facettée et/ou moulurée). La variété de la terminologie qui les désigne reflète le flou concernant leur usage : il est possible de les voir dénommés «spatule», «palette», «curette» ou «cure-oreilles», terme plus neutre entre toilette et médecine. Ils ont pu servir entre autres d applicateur de fards, d onguents et de khôl sur le visage, les yeux 14 ou le corps. Un emploi en ophtalmologie est possible mais reste incertain. L exemplaire exposé dans le musée, en alliage cuivreux, mesure 139,3 mm. Souvent appelés «agitateurs à parfum», des bâtonnets-agitateurs étaient aussi utilisés pour piler, broyer et mélanger les produits liquides ou semi-liquides (parfums, onguents, cosmétiques et médicaments), probablement dans des petits contenants ou sur les tablettes à broyer. Outre les exemplaires en verre torsadés ou lisses, il existe des exemplaires en os ou en métal. Les terminaisons sont de formes variables (bouton aplati, anneau). Dans le cas des bâtonnets munis d un anneau, une interprétation comme quenouille à doigt est également possible. Les agitateurs à parfum se trouvent le plus souvent dans des contextes datés du Ier au IIe s. ap. J.-C. et leur production culminerait Cat. Lons-le-Saunier, DE COHËN S.A., BEAL J.-C., 1983, p BERTRAND I., Sections circulaires ou pseudo-circulaires. BERTRAND I., 2003, p. 99 ; Cat. Lons-le-Saunier, DE COHËN A. S., 1994, p

14 dans la 1re moitié du Ier s. L exemplaire exposé à Béruges appartenant au type Isings 79, daté de cette période, est incomplet et mesure 172 mm. Il a été découvert en 1979 sur la propriété Déliot dans Le Bourg de Béruges. De petits récipients de formes et de contenances variables : aryballes, balsamaires et flacons de toilette, servant à contenir parfums et onguents sont également visibles. La fouille de la salle des Fêtes communale avait également livré un rasoir du début de la période romaine (niveau augustéen). Selon Isabelle BERTRAND, «Dès le Ier s., au contact de la civilisation romaine, la population de Béruges, comme celle des autres agglomérations pictonnes, introduit de nouveaux objets dans plusieurs domaines de sa vie quotidienne (vêtement, parure, toilette, alimentation, ameublement, écriture, )». Les instruments de toilette romains sont à la fois les témoins et les «vecteurs» de la romanisation15 de nouveaux territoires, certains objets étant plus adoptés que d autres. Les soins du corps varient en effet beaucoup au sein de l Empire en fonction du genre et du statut de l individu, des pratiques culturelles locales, du groupe social et du milieu rural ou urbain. Pour en savoir plus, observer ces objets et en découvrir de nouveaux, nous vous invitons à visiter ou revisiter le musée ainsi qu à lire l étude du petit mobilier publiée par Isabelle BERTRAND dans 30 ans de découvertes archéologiques à Béruges. Bibliographie sélective : BEAL J.-C : BEAL J.-C., Catalogue des objets de tabletterie du musée de la civilisation galloromain de Lyon, Centre d Etudes Romaines et Gallo-Romaines de l Université Jean Moulin de Lyon III, nouvelle série n 1, Lyon, BERTRAND I : BERTRAND I., Objets de parure et de soins du corps d époque romaine dans l Est picton (Deux-Sèvres, Vienne), Mémoire de l Association des Publications Chauvinoises XXIII (Chauvigny), : BERTRAND I. «Petit mobilier en bronze, fer et os», in : Bertrand (I.) coord. scient., Chabanne (J.-P.), Vidonne-Lebrun (S.), 30 ans de découvertes archéologiques à Béruges (86). De la Protohistoire au début du Moyen Âge, éd. A.P.C., Chauvigny 2008 (Cahier n 36), p ECKARDT H., CRUMMY N : ECKARDT H., CRUMMY N., Styling the body in the Late Iron Age and Roman Britain : a contextual approach to toilet instruments, Montagnac, M. Mergoil, RIHA E : RIHA E., Römisches Toilettgerät und medizinische Instrumente aus Augst und Kaiseraugst, Forschungen in Augst, Band 6, *** 15 Ce phénomène de «romanisation» serait moins systématique qu il n y paraîtrait : «l apparence et le changement des formes des instruments de toilette exemplifient les complexités de l adoption de nouvelles formes de cultures matérielles» selon H. ECKARDT et N. CRUMMY, à propos du phénomène de romanisation de la Bretagne. 14

15 LES MYSTÈRES DE BÉRUGES 2e partie : du Moyen Âge à l époque contemporaine 1. D où viennent les sarcophages mérovingiens? On connaissait depuis le siècle dernier l existence d une zone d inhumation en avant de l ancienne église romane, c est-à-dire dans l espace situé devant l atelier de dorure, sous la route et au-delà avec une répartition géographique des sépultures en fonction du niveau de vie des défunts. C est ainsi que fut trouvé au siècle dernier le couvercle de sarcophage aux colombes sous l ancienne église et plus tard une dizaine de sarcophages à proximité de l édifice religieux. Audelà, sur les côtés, d autres tombes ont été dégagées comme, par exemple, à l emplacement de la boulangerie ou de la salle Claudette mais en pleine terre cette fois avec un simple calage de pierres, le défunt étant sans doute enveloppé dans un linceul, si l on en juge par le nombre important d épingles qui ont été retrouvées et qui devaient servir à maintenir l étoffe enveloppant le corps. Ces sarcophages dont certains ont un couvercle très décoré, montrent la persistance dans notre village d une classe aisée à côté du petit peuple, entre le VIe et le VIIIe siècle environ. Il en a été «sauvé» une dizaine, entreposés actuellement dans le jardin archéologique, mais beaucoup d autres, exhumés au XIXe siècle notamment, ont disparu, comme par exemple ceux qui portaient sur leur couvercle un nom gravé (celui du défunt, sans doute). Ainsi, MARIA, ULFINU, PIANTIA, AMADA, SANCIA nous interpellent quelque peu. Qui étaient-ils ces Bérugeois et Bérugeoises d il y a ans? Et que sont devenus leurs tombeaux? Quoi qu il en soit, deux cimetières mérovingiens conséquents existaient. Dès le XIXe siècle, une quinzaine d autres nécropoles avaient été également découvertes à Anché, Antigny, Béthines, Cenon, Persac, Poitiers, Saint-Cyr, Saint-Julien-l Ars, Saint-Pierre-d lé, SaintPierre-les-Églises, Savigné, Loudun, Chiré-en-Montreuil notamment, et bien sûr Civaux avec peut-être sarcophages. Une des explications à ce nombre énorme, c est que l église locale dédiée à saints Gervais et Protais contenait peut-être des reliques de ces saints populaires, ce qui aurait attiré les fidèles. Saints Gervais et Protais comme pour l ancienne église de Béruges. Il est aujourd hui admis que ces sarcophages étaient façonnés dans les carrières calcaires d extraction comme à Saint-Pierre-d lé, et acheminés notamment par voie fluviale. On voit bien que les villages à cimetières mérovingiens sont situés à proximité de la Gartempe, de la Vienne et du Clain, mais ce raisonnement ne tient pas pour Béruges situé trop loin des carrières des bords de la Gartempe et dont la rivière (la Boivre) n aurait pu être remontée par des embarcations alourdies. On sait peu de choses sur les circuits commerciaux, mais il est probable que ces sarcophages étaient fabriqués en permanence par des équipes de tailleurs de pierre et que leur 15

16 commercialisation passait par l autorité religieuse régissant le cimetière où serait inhumé le défunt. Il est aussi probable que la distance entre la carrière et le lieu d inhumation n excédait pas la quarantaine de kilomètres, mais on ne sait pas si ces sarcophages étaient «en attente» ou s ils étaient achetés dès le décès et transportés immédiatement, la première option semblant la plus probable. Pour Béruges, on ne peut pas penser raisonnablement que ces sarcophages venaient des carrières de l est du département, d autant que le sous-sol local est aussi calcaire et que nos vallées (la Boivre, les ruisseaux de la Torchaise et de Recullon) présentent encore aujourd hui nombre de sites où l on a extrait autrefois la pierre. Parmi ceux-ci, n y aurait-il pas une carrière où l on aurait pu fabriquer ces sarcophages? Celles que l on peut voir à l abandon sont de trop petite taille sauf une, comblée, qui mériterait une étude attentive : c est celle qui sépare la tour, du plateau des Cours. Aménagée en fossé sans doute à l époque de la tour ( XIIe XIIIe s.), elle mesure 100 m de long sur 40 m de large, ses bords ont été taillés verticalement, mais il faudrait une étude comparative d échantillons issus de cette carrière et des cuves conservées pour en savoir plus. Une carrière de fabrication sur place, voilà qui permettrait de comprendre la présence de tous ces sarcophages devant l ancienne église mais aussi au Verger Bonnet, puisque le père de la Croix en avait dégagé une bonne dizaine au siècle dernier et que notre association a pu mettre au jour sur ce site plus de 70 sépultures mérovingiennes en pleine terre. Par contre, pourquoi une seconde nécropole a-t-elle été installée en dehors du village, loin de l église alors que les coutumes de l époque plaçaient le cimetière devant et autour du sanctuaire? Les sépultures du bourg et celles du Verger Bonnet sont contemporaines alors, bien évidemment, on se demande pourquoi. La seule explication logique consiste à penser qu il y a eu, à un moment donné, un afflux de décès dus à des causes diverses : famine, épidémie, guerre et qu on a installé une seconde nécropole dans l urgence, ce qui n a pas empêché les familles aisées de continuer d enterrer leurs morts dans des sarcophages, ce que l on comprendrait mieux si on admettait l existence d un site de fabrication sur place. Conclusion Cette seconde nécropole reste énigmatique et, pour trancher sur la possibilité d existence d une carrière locale, une analyse comparative de calcaires serait nécessaire (et suffisante) mais coûteuse ; quant au vidage de cette carrière, qui fut encore il n y a pas si longtemps un des endroits où les Bérugeois jetaient les ordures ménagères, c est du domaine du rêve. 2. Un souterrain part-il de la tour? Cette hypothèse a pour origine une tradition orale bérugeoise selon laquelle un souterrain relierait la tour de Béruges au château de Montreuil-Bonnin, les 2 forteresses étant au Moyen Âge propriété des seigneurs de Lusignan. Naturellement, c est invraisemblable et ce, pour au moins 2 raisons. La première concerne le type de souterrain que cela nécessiterait, c est-à-dire un boyau creusé sur plus de 4 km de 16

17 longueur, aménagement qui n est signalé nulle part en France où la plupart des souterrains découverts sont des souterrains-refuges. La seconde concerne la profondeur à laquelle il aurait fallu descendre pour creuser cette galerie souterraine en direction de l ouest. En effet, au pied de la motte qui porte la tour se trouve la carrière signalée dans l article précédent et dont la profondeur n est pas connue mais sous laquelle il aurait fallu passer, sans compter pour terminer la vallée sèche des Bruères aussi profonde que la vallée de la Boivre et qui ferme l accès vers Montreuil-Bonnin. Mais, dit-on, parfois une légende part d un fait véritable qui a été déformé, modifié, arrangé, embelli avec le temps. Examinons donc la situation en gardant à l esprit qu il existe en France quelques châteaux qui, lorsqu ils ont été érigés sur une hauteur et protégés par un fossé, ont pu se doter d un réseau de petits souterrains débouchant dans la douve, comme à Arques la Bataille (62) ou à LathusSaint-Rémy (86 château du Cluzeau). Et chacun connaît le petit réseau souterrain du château de Chiré-en-Montreuil. Offrir la possibilité de s échapper ou de prendre à revers l adversaire, voilà qui expliquerait le creusement de ces réseaux souterrains réduits. La tour de Béruges qui s élève entre 2 vallées profondes, celle de la Boivre et celle du ruisseau de Recullon, distantes d une centaine de mètres seulement à un endroit, aurait naturellement pu convenir pour ce genre d installation qui n aurait nécessité que de creuser sur une soixantaine de mètres, travail tout à fait réalisable évidemment. Dans ses notes datant de la 2e moitié du XIXe siècle, le général Martineau confirme cette hypothèse en écrivant «on aurait trouvé au même endroit un souterrain qui se dirigeait vers la tour sous la propriété de Brunet père, ancien sacristain de Béruges, et avait sa sortie sous le mur d enceinte romain». Resterait à en localiser les extrémités. Pour l entrée dans la tour, la salle du bas ne présente apparemment rien actuellement, mais aucune recherche n y a été faite depuis les travaux menés par le propriétaire, M. Caillard, au début du XXe siècle, travaux qui avaient permis notamment de découvrir un puits qui fut ensuite rebouché. Quant aux tours nord et sud qui encadraient la porte d entrée, leur base est totalement comblée, ce qui rend évidemment impossible tout diagnostic actuel à partir de la forteresse, mais ne détruit pas pour autant l hypothèse de départ. Par contre, des témoignages et des observations ont pu être recueillis auprès de Bérugeois qui étaient encore vivants il y a 50 ans. C est d abord un ancien, M. DELAVAULT, habitant aux Loges de Tallent qui a prétendu que, lorsqu il était jeune, il avait vu l entrée d un «souterrain» sur le flanc sud de la vallée de Recullon (donc côté tour). Mais rien n a pu être vérifié à l époque de ce témoignage (la fin des années 60) et le témoin, qui a peut-être confondu avec une anfractuosité, est décédé. Cette piste s arrête donc pour le moment. Le second témoignage vient de M. CROCHU, le maçon qui a construit la maison la plus proche de la tour (propriété ESCOFFIER) : «M. Raoul MOINE ou son père cultivait une vigne à proximité de la tour de Guyenne, sur l actuelle propriété de M. Louis-Marie QUINTARD (le propriétaire précédent). Il avait l habitude de creuser de profonds sillons qu il bourrait de litière, de manière à apporter de l humus à la vigne. En creusant un de ces sillons, ils ont trouvé une grotte où ils ont vu une statue (une vierge?). Ils ont recouvert l édifice de tôles ondulées.» 17

18 18

19 C est déjà plus précis et permet de retenir l idée d une excavation trouvée sous la maison. Cette dernière, rectangulaire et orientée est-ouest, est exactement dans l alignement de la tour. Plus étrange, sur la moitié de cette maison dans le sens de la longueur, le sous-sol a été comblé. Une cinquantaine de mètres plus loin, c est le flanc de la vallée bloqué par le mur de soutènement gallo-romain, épais de 2,40 m environ. Il y a 50 ans, lorsque ce secteur à l abandon depuis longtemps fut exploré, on remarqua la présence d une arche creusée dans le mur mais obturée par des pierres sèches empilées. De cette arche partait un sentier limité par un muret et qui menait à un terrain situé plus bas. Bizarre! L-arche creusée dans le mur gallo-romain Il y a 20 ans, le tas de pierres sèches s est écroulé, ce qui a permis de voir derrière, en coupe, les niveaux de terre. Nous pensions évidemment pouvoir «explorer» des niveaux galloromains ou gaulois à la base de cette coupe où, chance supplémentaire, nous avions pu prélever pour analyse du charbon de bois. Espérance déçue, ces niveaux, pourtant situés tout en bas, étaient du XIXe siècle. Interprétation personnelle : la maison située au-dessus (allée de la Tour) avec le terrain jusqu au mur et un des terrains situés en contrebas appartenaient à la même famille (FORGET). Pour des raisons pratiques, une ouverture a été pratiquée dans le mur, ouverture à laquelle on devait accéder par un escalier, ce qui permettait d aller facilement au jardin d endessous Puis, le temps a passé, le jardin situé au pied du mur n a plus été utilisé, alors on a obturé l arche avec des pierres et on a comblé l escalier, ce qui expliquerait pourquoi les charbons de bois analysés sont aussi récents. QUEL RAPPORT AVEC NOTRE SUJET? Le mortier romain est très solide, le mur fait 2,40 m d épaisseur Un vrai travail de Romain pour le percer sauf si une ouverture existait 19

20 déjà, plus petite mais qu il aurait alors été beaucoup plus facile d élargir et cette petite ouverture, pourquoi ne serait-ce pas la sortie du souterrain que nous cherchons? CONCLUSION : Beaucoup de suppositions, d hypothèses Seuls les dégagements du porche aménagé dans le mur et de la base des tours permettraient de conclure, mais ces travaux ne sont pas d actualité. 3. Quelles sont les origines familiales de François-Albert? Officiellement né de «parents non nommés», François-Albert a néanmoins alimenté de nombreuses rumeurs plus ou moins fantaisistes concernant sa famille. 1re hypothèse : il serait le fils de Georges Clemenceau. C est du moins ce qui se dit du côté d Adriers (Vienne), le village d où est originaire sa mère. Certes, Georges Clemenceau, né en 1841, lui avait mis le pied à l étrier au sein du journal l Aurore dont il était le directeur. Alors père spirituel sans doute, mais père biologique, c est autre chose car pour cela il aurait quand même fallu qu il ait rencontré la mère. Or, lui était vendéen puis parisien et elle poitevine, ce qui rend cette hypothèse peu probable bien que «techniquement» possible. 2e hypothèse : il serait issu d une vieille famille poitevine. En 1960, les Presses Universitaires de France ont publié, sous la signature de Jean JOLLY, le dictionnaire des parlementaires où il est simplement écrit que «François-Albert appartenait à une vieille famille poitevine.» Cette appréciation, tout en restant vague, exclut la piste Clémenceau, vendéen de naissance puis parisien. 3e hypothèse : il serait le fils des gardiens du château de Béruges. C est en 1975 qu une étudiante en histoire, Françoise NOBLETZ, a rédigé son mémoire de maîtrise sur FrançoisAlbert, avec pour directeur de travail le professeur B. MICHEL. Dans ce mémoire, en effet, elle indique, sans citer ses sources, que «ses parents sont les gardiens de la propriété du château de Béruges», avec donc l accord implicite de ce professeur d université. 4e hypothèse : il n aurait pas de parents connus (de père au moins). C est par exemple ce que la compagne de François-Albert, la journaliste Marguerite Prévost, écrit en 1933 dans le journal «l œil de Paris» : «Qu un François-Albert, pupille de l assistance, puisse» De son côté sa fille, Françoise Albert, m écrit en 1996 : «mon père est né de père inconnu et je n en sais pas plus». À partir de là, tous les auteurs d articles ou d ouvrages concernant François-Albert vont reprendre les informations soit en choisissant une hypothèse, soit en en associant deux. Ainsi en 2004, dans le dictionnaire des communes de la Vienne, il est qualifié de «fils de gardiens du château de Béruges». En 2007, dans le livre des héros de la Vienne au 20è siècle, il est à la fois «issu d une vieille famille poitevine, fils des gardiens du château de Béruges». Enfin en 2010, sur Internet, on peut lire «il est le fils d un gardien de château à Béruges ; il appartenait à une vieille famille poitevine, en particulier attachée au village de Béruges. C est donc la grande variété pour ce qui est de l origine biologique du ministre. Mais quand on sait que le dictionnaire des parlementaires le fait mourir d une grippe intestinale alors que sa fille assure qu il est décédé d une crise cardiaque, on se rend compte d un besoin d harmonisation. 20

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