Remerciements. Révision. Paul Bureau Directeur, Groupe Développement social Conférence régionale des élu(e)s de la Chaudière-Appalaches

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3 Remerciements Ce recueil a été réalisé grâce à la collaboration des organisateurs communautaires et des intervenants sociocommunautaires en HLM en Chaudière-Appalaches. Un merci spécial à Katy Lessard du Centre de santé et de services sociaux de Beauce, Marie- Josée Roy du Centre de santé et de services sociaux Alphonse-Desjardins. Merci également à Catherine Boudreault, coordonnatrice régionale de l Entente spécifique. Et merci à Sonia Poulin, agente administrative à la Direction de la santé publique de l Agence de la santé et des services sociaux de Chaudière-Appalaches pour la mise en page de la version préliminaire du document. Révision Paul Bureau Directeur, Groupe Développement social Conférence régionale des élu(e)s de la Chaudière-Appalaches Conception graphique Maryse Larouche, organisatrice communautaire Centre de santé et de services sociaux Alphonse-Desjardins Signification de l illustration de la page couverture La conception graphique de Mme Maryse Larouche représente le milieu de vie dynamique que peut être le HLM avec sa clientèle diversifiée : familles, personnes seules et personnes retraitées et âgées. La loupe pose un regard sur ce milieu de vie et met l accent sur les gens qui y habitent puisqu ils sont au cœur de la mobilisation vers l amélioration de leur qualité de vie. La couleur ajoutée aux personnages de l illustration signifie que ce sont les locataires qui mettent le HLM à leur couleur et l importance de leur implication dans LEUR milieu de vie. Et enfin la route, qui vient ici mettre l accent sur le processus collectif que comporte la démarche de mobilisation des différents acteurs de l OMH. Mise en page et révision linguistique Conférence régionale des élu(e)s de la Chaudière-Appalaches Sylvie Fortin, conseillère en communication Marie-Josée Nadeau, secrétaire, Groupe Développement social * Dans ce recueil, le masculin est employé sans discrimination et uniquement dans le but d alléger le texte.

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5 PRÉSENTATION L Entente spécifique portant sur l amélioration de l accessibilité, de la qualité de vie et des services offerts pour différentes clientèles vivant dans les HLM de la région de la Chaudière- Appalaches ( ) («l Entente»), est une initiative régionale unique au Québec et met de l avant une stratégie d action qui privilégie le soutien communautaire de différents réseaux impliqués dans le logement social, dans un esprit de partenariat et de concertation multisectorielle, afin de favoriser le suivi et l accompagnement des clientèles. La rédaction du Recueil des stratégies gagnantes (guide des meilleures pratiques d intervention) intervient après l expérience de trois ans de mise en œuvre de l Entente en Chaudière-Appalaches. Ce recueil est conçu en pensant non seulement aux partenaires signataires de l Entente, mais en particulier aux organisateurs communautaires et différents intervenants sociocommunautaires en logement social et communautaire. Il a pour finalité de : Répertorier les pratiques et méthodes développées; Reconnaître le travail et l expérience acquise dans les milieux de vie (HLM); Faciliter l intégration et l entrée en fonction de nouvelles ressources en soutien communautaire en logement social et communautaire; Partager avec les partenaires les expertises développées dans toute la région. Bonne lecture!

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7 SIGLES ET ACRONYMES ADL : Association des locataires ADOHQ : Association des directeurs d offices d habitation du Québec ASSS : Agence de la santé et des services sociaux CA : Conseil d administration CAB : Centre d action bénévole CCR : Comité consultatif de résidants et résidantes CFPO : Centre de formation et de perfectionnement des offices d habitation COOP : Coopérative d habitation CRÉ : Conférence régionale des élu(e)s de la Chaudière-Appalaches CSSS : Centre de santé et de services sociaux FECHAQC : Fédération des coopératives d habitation de Québec-Chaudière-Appalaches FJRCA : Forum jeunesse régional Chaudière-Appalaches FLHLMQ : Fédération des locataires d habitations à loyer modique du Québec FRAPRU : Front d action populaire en réaménagement urbain FROHQC : Fédération des OBNL d habitation Québec-Appalaches HLM : Habitation à loyer modique ID 2 EM : Initiative de développement durable, d entraide et de mobilisation MSSS : Ministère de la Santé et des Services sociaux OH/OMH: Office d habitation/office municipal d habitation OSBL/OBNL : Organisme sans but lucratif/organisme à but non lucratif PAICS : Programme d aide à l initiative communautaire et sociale (Retiré en 2010) ROHQ : Regroupement des offices d habitation du Québec SHQ : Société d habitation du Québec iii

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9 TABLE DES MATIÈRES 1. L ENTENTE Origine de l Entente Partenaires de l Entente Objectifs Clientèle cible Déploiement dans les milieux et approche préconisée Concepts de base 5 2. DÉFINITIONS, RÔLES ET MANDATS DES GROUPES ET INDIVIDUS Comité de gestion de l Entente Coordinatrice régionale Conseiller en gestion SHQ Organisateur communautaire Intervenant sociocommunautaire Conseil d administration de l OMH Direction de l OMH Association des locataires Comité de locataires Comité consultatif de résidents Représentants des locataires au conseil d administration de l OMH PRÉMISSES À L INTERVENTION Attitudes de l intervenant pour une approche gagnante en soutien communautaire en HLM Éléments à considérer avant l intervention La clientèle La taille L environnement L association de locataires Le climat L historique La gestion COMMENT ACCOMPAGNER LES INDIVIDUS ET LES GROUPES VERS L AUTONOMIE Approche d intervention en individuel, en groupe et collectif Approches inspirantes Outils de mobilisation et d animation de milieu EXEMPLES D ACTIVITÉS ET DE PROJETS RÉALISÉS FINANCEMENT DISPONIBLE Programmes gouvernementaux Fondations/Sociétés Autres partenaires 29 v

10 7. PARTENARIAT Entre OMH Entre organismes du territoire BILAN DE L ENTENTE SPÉCIFIQUE Retombées dans les milieux Défis et enjeux Défis et enjeux liés aux premières interventions en HLM Défis et enjeux liés à l Entente CONCLUSION 39 BIBLIOGRAPHIE ET MÉDIAGRAPHIE 41 ANNEXES 43 ANNEXE A Groupe-conseil Développement social et communautaire : liste des membres en 2005 ANNEXE B Modèle de présentation des services ANNEXE C Enquête mobilisante ANNEXE D Modèle accroche-portes ANNEXE E Modèle de lettre de présentation ANNEXE F Organismes partenaires et comités existants ANNEXE G Dépliant des locataires Bilan du projet et quelques pistes de poursuites ANNEXE H Problématiques rencontrées et types d intervention possibles ANNEXE I Coordonnées des organisateurs communautaires et des intervenants ANNEXE J Formation et perfectionnement ANNEXE K Documents de consultation vi

11 1. L ENTENTE 1.1 Origine de l Entente En 2004 et en 2005, les membres du Groupe-conseil (GC) Développement social et communautaire de la Conférence régionale des élu(e)s (CRÉ) de la Chaudière-Appalaches considéraient préoccupante la situation du logement social, et ce, particulièrement en milieu rural 1. Ils recommandèrent donc d en faire une priorité en développement social. En 2006, le portrait du logement social en Chaudière-Appalaches fut entrepris. Bien que ce portrait n était pas exhaustif, il réunissait néanmoins un ensemble d information permettant d orienter d éventuelles actions propres à améliorer la situation en habitation à logement modique (HLM). L Agence de la santé et des services sociaux (ASSS) déposait en 2007 le Portrait de l habitation à loyer modique dans Chaudière-Appalaches. Cette étude soulignait notamment les difficultés suivantes : Capacité limitée des milieux ruraux à se doter de services adaptés; Difficultés d intégration des clientèles ayant des problèmes de santé mentale, des familles ou des personnes seules avec des besoins spécifiques qui nécessitent une nouvelle approche et du support des différents réseaux; Absence de participation des locataires à la vie communautaire dans plusieurs HLM; Besoins grandissants de logements avec services. L étude a été discutée à la CRÉ avec ses partenaires au sein du GC Développement social et communautaire. Des travaux ont été entrepris afin d élaborer une entente spécifique de régionalisation. Parallèlement à la rédaction du projet d entente, une consultation provinciale a conduit à l adoption par le ministère de la santé et des services sociaux (MESS) et par la Société d habitation du Québec (SHQ) du «Cadre de référence sur le soutien communautaire en logement social» 2. Ce cadre reconnaît la responsabilité partagée d une part, des réseaux de la santé et des services sociaux et d autre part, du réseau de l habitation à l égard des clientèles communes habitant un logement social et communautaire. En 2008, l Entente était signée. 1.2 Partenaires de l Entente L Entente réunit les partenaires signataires suivants : Agence de la santé et des services sociaux (ASSS) de Chaudière-Appalaches Centre de santé et de services sociaux (CSSS) de Beauce Centre de santé et de services sociaux (CSSS) de la région de Thetford Centre de santé et de services sociaux (CSSS) des Etchemins Centre de santé et de services sociaux (CSSS) Alphonse-Desjardins Centre de santé et de services sociaux (CSSS) de Montmagny-L Islet 1 2 L annexe A présente la liste des membres du GC. Odette PERRON et Claude ROY, Cadre de référence sur le soutien communautaire en logement social : Une intervention intersectorielle des réseaux de la santé et des services sociaux et de l'habitation. Ministère de la santé et des services sociaux et Société d habitation du Québec, 2007, 57 p.

12 Commission scolaire (CS) des Navigateurs Commission scolaire (CS) de la Côte-du-Sud Commission scolaire (CS) de la Beauce-Etchemin Commission scolaire (CS) des Appalaches Conférence régionale des élu(e)s (CRÉ) de la Chaudière-Appalaches Forum jeunesse régional Chaudière-Appalaches (FJRCA) Ministère de l Emploi et de la Solidarité sociale (Emploi-Québec) Ministère des Affaires municipales, Régions et Occupation du territoire (MAMROT) Société d habitation du Québec (SHQ) Table de concertation des aînés de Chaudière-Appalaches 1.3 Objectifs Les objectifs de l Entente sont comme suit : L amélioration des services dans les HLM Soutenir les différents milieux afin d améliorer l accès aux différentes catégories d âge aux logements sociaux; Sensibiliser les différents milieux au respect des critères d admissibilité et aux règles d attribution des loyers modiques pour les diverses clientèles; Répondre aux besoins des diverses clientèles dans les HLM, notamment dans les familles, en adaptant les interventions aux réalités locales; Mettre en place des mesures de concertation entre les OMH, les CSSS et les différents partenaires des MRC afin de renforcer le soutien aux clientèles vulnérables. L intégration et la participation sociale des résidents dans les HLM Sensibiliser les différents milieux à l importance et aux avantages de l approche communautaire en logement social pour l amélioration de la qualité de vie; Promouvoir la participation des résidents à la gestion de leur milieu de vie et mettre en place des mesures facilitantes pour renforcer cette participation; Donner la parole aux résidents en HLM leur permettant d exprimer leurs besoins; Offrir le support et l accompagnement aux projets du milieu, à l exercice de la pleine citoyenneté, au maintien dans la communauté, à l entraide, au rapprochement interculturel et intergénérationnel; Mettre en place, au besoin, des groupes de support en lien avec les besoins exprimés par les résidents; Maintenir des actions durables dans chaque territoire de MRC afin d améliorer la qualité de vie en HLM. Ce modèle comporte également un aspect d accompagnement et de soutien aux projets émanant des milieux en collaboration avec les directeurs d OMH, les partenaires de la santé, les milieux communautaires et municipaux et les centres locaux d emploi. Au moment d entreprendre l Entente, les retombées suivantes sont anticipées : Une plus grande rétention des personnes visées dans leur MRC; Un meilleur taux d occupation des immeubles; L accessibilité en HLM pour diverses clientèles dans un plan d intégration; L implication accrue du directeur d OMH dans son milieu; Une meilleure réputation de certains HLM; 2

13 Une dynamisation de la vie communautaire et une plus grande participation sociale et citoyenne; Une diminution des hospitalisations, des tentatives de suicide et un désencombrement des urgences; Une diminution des signalements à la police ou à la Direction de la Protection de la Jeunesse (DPJ) en provenance des HLM familles; Une plus grande intégration des services pour cette clientèle; Une plus grande efficience par des interventions regroupées dans un même endroit sécuritaire; La participation à des activités visant la lutte à la pauvreté ou à l exclusion sociale et potentiellement un retour à de la formation ou à l emploi. Le soutien communautaire est retenu comme stratégie à privilégier, en complémentarité avec : Cueillette de renseignements sur les besoins des locataires; Mobilisation et sensibilisation pour l amélioration de la qualité de vie en HLM; Animation de milieu; Réseautage entre les partenaires; Intégration de services et optimisation des ressources; Promotion des droits des locataires. 1.4 Clientèle cible L Entente vise tous les résidents en HLM ainsi que ceux pouvant y avoir accès et, d une façon plus précise, les personnes avec des besoins particuliers : Personnes à faible revenu, prestataires d aide de dernier recours, aînés, jeunes, personnes seules, familles et familles monoparentales; Ayant des difficultés financières; Avec des problèmes de santé mentale, déficience physique ou intellectuelle; Alcoolisme, toxicomanie et autres dépendances; Victimes de violence; Avec des difficultés d adaptation sociale et affective; Vivant de l exclusion sociale, l isolement; Victimes d abus et de négligence; Vieillissantes et en perte d autonomie. 1.5 Déploiement dans les milieux et approche préconisée À prime abord, il faut savoir que la région de la Chaudière-Appalaches compte 85 OMH et approximativement logements sociaux. Plus des deux tiers, soit 68 %, sont occupés par des personnes âgées, 27 % par des familles et 5 % par des personnes seules. Les OMH sont en grande majorité de petites tailles et situés en milieu rural. La mise en œuvre de l Entente a été initiée comme suit : Tournée de sensibilisation auprès des partenaires signataires; Rencontres de partenaires potentiels; Tournée régionale des OMH dans toutes les MRC (62 OMH rejoints sur 85); Tournée individuelle par les ressources terrain : prise de contact avec les OMH (79 OMH contactés); état de situation OMH/MRC; amorce du travail de milieu. 3

14 Un modèle d intervention de soutien communautaire en HLM a été expérimenté. Conformément à ce modèle, les organisateurs communautaires et intervenants sociocommunautaires, face aux différentes situations, s engagent dans un processus d accompagnement d un milieu et agissent en tant qu interface entre l OMH et les ressources impliquées, comme le montre les deux illustrations suivantes 3 : 3 Céline BERNIER, Présentation au Forum Centres de services le 1 er décembre 2010 créée dans le cadre de l Entente spécifique portant sur l amélioration de l accessibilité, de la qualité de vie et des services offerts pour différentes clientèles dans les HLM de la région de la Chaudière-Appalaches , diapositives no 9 et 10. 4

15 1.6 Concepts de base Deux concepts sous-tendent le déploiement de l Entente et sont cruciaux dans la compréhension du travail sur le terrain en HLM : Soutien communautaire «Il recouvre un ensemble d actions qui peuvent aller de l accueil à la référence, en passant par l accompagnement auprès des services publics, la gestion des conflits entre locataires, l intervention en situation de crise, l intervention psychosociale, le support au comité de locataires et aux autres comités et l organisation communautaire. De plus, il présente un caractère préventif, favorise une intervention précoce et constitue une passerelle essentielle aux personnes vulnérables. En fait, la notion de support communautaire «désigne : ( ) ce qui relève de l accompagnement social des individus et/ou des groupe s» incluant la gestion du bail.» 4 Logement social et communautaire «Le logement social et communautaire correspond à une formule de propriété collective qui a une mission sociale et ne poursuit aucune finalité de profit. Aux fins de l application du présent cadre, le type d habitation retenu est le logement permanent avec bail, géré par les offices d habitation, les OBNL et les Coopératives d'habitation. Le logement social et communautaire permet d offrir un toit aux personnes vulnérables, mais il représente aussi un levier susceptible d encourager le maintien des personnes dans leur milieu, dans un contexte d inclusion sociale lorsqu il est accompagné de services, ce qui représente pour ces personnes l occasion d exercer concrètement leur droit au logement.» 5 4 Odette PERRON et Claude ROY, Cadre de référence sur le soutien communautaire en logement social : Une intervention intersectorielle des réseaux de la santé et des services sociaux et de l'habitation. Ministère de la santé et des services sociaux et Société d habitation du Québec, 2007, p Ibid, p. 6. 5

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17 2. RÔLES ET MANDATS DES GROUPES ET INDIVIDUS Cette section présente succinctement les rôles et mandats de différents groupes et individus, ceci de manière à comprendre la complémentarité des interventions dans le cadre de l Entente. 2.1 Comité de gestion de l Entente Le comité de gestion est composé de membres signataires de l Entente. Son rôle est le suivant : S assurer du respect des clauses générales et spécifiques de l Entente; Réaliser un devis d évaluation de l Entente en y incluant des indicateurs quantitatifs et qualitatifs qui permettront d évaluer annuellement la qualité des résultats entourant la réalisation de l Entente spécifique en logement social; S assurer de la mise en place d un plan d action permettant d atteindre les objectifs de l Entente; Assurer la vérification de la conformité administrative quant aux processus visant la mise en œuvre et le suivi de l Entente; Recevoir et approuver le rapport final d activités et le devis d évaluation élaboré; Formuler les recommandations appropriées à la bonne marche du projet à l un ou à l autre des partenaires concernés. 2.2 Coordonnatrice régionale La personne engagée à titre de coordonnatrice régionale, sous la supervision du comité de gestion, voit à la mise en œuvre de l Entente. Ses responsabilités sont : La sensibilisation à l approche communautaire auprès des directeurs d OMH et de leur conseil d administration par le biais du Cadre de référence sur le soutien communautaire en logement social; Le développement d outils permettant de mobiliser les locataires et les directeurs d OMH; La concertation entre les partenaires; La gestion du projet avec le comité de gestion; La supervision et le soutien des animateurs locaux. 2.3 Conseiller en gestion SHQ Le conseiller en gestion assume une intervention de type «conseil» : Sensibiliser la direction de l OMH à la prise en charge des locataires; Favoriser la formation des gestionnaires du personnel; Mise en lien avec des personnes ressources; Accompagner les directions dans l identification des besoins en soutien communautaire en logement social; Faire des suggestions à l organisateur communautaire du CSSS dans l ordonnancement des cibles prioritaires d intervention du territoire, en concertation avec les directeurs du milieu; Informer les directeurs des possibilités de financement en soutien communautaire provenant de la SHQ; 7

18 Approuver et superviser la gestion des budgets attribués aux OMH par la SHQ; Recevoir les besoins en logements pour les clientèles spécifiques et faire le point avec les OMH. 2.4 Organisateur communautaire L organisateur communautaire intervient selon une approche collective : Mobiliser les locataires par : le support / l animation de rencontres avec les locataires (information, formation, sensibilisation, etc.); l évaluation de besoins collectifs; le support et l implication des locataires au sein de leur milieu de vie et leur communauté; le support à l organisation et la participation aux activités communautaires ainsi qu aux projets collectifs des locataires; Soutenir les directions et les conseils d administration en lien avec la vie démocratique et autres; Favoriser le réseautage entre les partenaires; Encourager la médiation lors de conflits étendus; Faire connaître les besoins des locataires aux équipes du CSSS. 2.5 Intervenant sociocommunautaire L intervenant sociocommunautaire intervient selon une approche individuelle (orientation court terme) : Prise de contact, dépistage, écoute, information, références; Faire une première évaluation sommaire de la situation du locataire (intervention ponctuelle, information, promotion des services selon les besoins) facilitant ainsi l orientation et la référence au CSSS-CLSC et à d autres organismes pouvant intervenir; Effectuer des visites de suivi de certains locataires démontrant des besoins particuliers (quelques rencontres); Soutenir la direction des OMH lors de situations particulières avec des locataires; Encourager la médiation lors de conflits individuels ou de groupes; Organiser des activités de prévention, d information, de sensibilisation et de promotion. 2.6 Conseil d administration de l OMH Le conseil d administration (CA) est formé de cinq à neuf membres dont deux sont des représentants élus par les locataires. Ils assument ensemble l autorité complète de l office. Les responsabilités du CA sont entre autres : Prendre collectivement des décisions administratives en vue d atteindre la mission et les objectifs visés par l office; Démontrer une administration efficace; Assumer un leadership dynamique et participatif; S assurer que les droits de la clientèle soient respectés tout en étant attentifs à ses attentes et ses besoins. 8

19 2.7 Direction de l OMH La direction de l OMH assume une intervention de type «formelle». Voici ses différents rôles : Fournir des logements de qualité et voir au respect des différentes règlementations qui prévalent en HLM; Reconnaître et soutenir les associations de locataires (ADL) ainsi que les comités consultatifs de résidents (CCR); Soutenir et encourager la participation des locataires aux instances décisionnelles; Faire connaître les besoins prioritaires du milieu en soutien communautaire en lien avec les ADL et les CCR; Encourager l organisation d activités communautaires; Collaborer avec les locataires pour trouver des moyens d assurer la sécurité, le respect et les bonnes relations de voisinage; S impliquer dans la médiation lors de conflits individuels; Offrir sa collaboration aux partenaires du milieu dans la réalisation d activités et/ou projets impliquant les locataires; Favoriser la circulation d informations entre tous les acteurs de l OMH (CA, intervenants, locataires ). 2.8 Association des locataires Une association de locataires (ADL) regroupe tous les locataires d un ou de plusieurs immeubles. Pour prendre des décisions, les locataires se réunissent en assemblée générale. Ils élisent aussi un comité de locataires, formé d un minimum de trois locataires. Le comité de locataires est formé d au moins trois membres de l association de locataires pour organiser les activités et gérer l association. Une association peut : Voir au bien-être et à l amélioration de la qualité de vie des locataires; Représenter et défendre les intérêts et les droits des locataires; Favoriser la participation et la prise en charge des locataires dans la gestion des habitations à loyer modique; Offrir des services récréatifs, d entraide, éducatifs, culturels et sociaux; Élire ou nommer les représentants des locataires au comité consultatif des résidents, ou au comité de secteur lorsque cela est applicable. Il appartient aux locataires de décider comment ils souhaitent s organiser. Pour plus d information, il est possible de consulter le site de la Fédération des locataires HLM du Québec : Comité de locataires Le comité de locataires est élu par les locataires réunis en assemblée générale pour organiser les activités et gérer l association. C est le conseil d administration de l association. Il est élu pour s occuper des tâches qui ne peuvent être accomplies par tous les membres réunis en assemblée. Il s occupe également des questions dont les membres lui ont confié la responsabilité; il est le porte-parole des résidents; il se préoccupe de la qualité de vie et il amorce des projets. Il 9

20 suscite aussi la participation du plus grand nombre possible de locataires dans l organisation des activités et dans la vie associative : il n a pas à tout faire seul. Le comité des locataires administre et gère les biens et les fonds de l association. En consultation avec les membres, il organise la vie communautaire, c est-à-dire qu il coordonne les activités de l association. Pour plus d information, il est possible de consulter le site de la Fédération des locataires HLM du Québec : Comité consultatif de résidents Le comité consultatif de résidant(e)s (CCR) est une instance qui permet aux locataires de HLM de participer à la gestion de leurs logements et de faire des recommandations à la direction de l OMH sur toutes les questions qui les touchent. Les offices sont tenus d avoir un CCR et de le soutenir. C est un outil précieux pour éclairer les décisions que doit prendre un office, tout en permettant aux locataires de prendre des initiatives pour créer un milieu de vie dynamique et harmonieux. Tel qu il est défini dans la Loi de la Société d habitation du Québec (SHQ), à l article 58.5, le CCR a trois grands rôles : Étudier les politiques touchant l ensemble des locataires pour formuler des recommandations à la direction et au conseil d administration de l office; Promouvoir la participation des locataires aux activités sociales et communautaires et favoriser la vie associative; Organiser l assemblée d élections des représentant-e-s des locataires au conseil d administration de l office et au comité de sélection lorsque leurs mandats viennent à échéance. Pour plus d information, il est possible de consulter le site de la Fédération des locataires HLM du Québec : Représentants des locataires au conseil d administration de l OMH Chaque OMH est dirigé par un conseil d administration au sein duquel deux postes sont obligatoirement réservés aux locataires. Les administrateurs représentant les locataires sont élus lors d une assemblée à laquelle tous les locataires sont convoqués à cette fin. Les administrateurs locataires sont des administrateurs à part entière. Ils ont les mêmes droits et les mêmes responsabilités que tous les autres administrateurs : droit de parole, droit de participer à toutes les discussions, droit de représenter l office dans des colloques, etc. Ils ont le droit d occuper les fonctions exécutives du conseil d administration tels la présidence, la viceprésidence, la trésorerie ou le secrétariat. Pour plus d information, il est possible de consulter le site de la Fédération des locataires HLM du Québec : 10

21 3. PRÉMISSES À L INTERVENTION Pour avancer et s accomplir dans la vie, on a besoin de croire, d être compris, de sentir que quelqu un a confiance en nous. - Reine Malouin, extrait de Profonds destins - L organisateur communautaire et l intervenant sociocommunautaire interviennent dans un milieu caractérisé par une clientèle aux prises avec des besoins particuliers multiples, une clientèle souvent bien connue des CSSS. Dans ce type d intervention, l organisateur communautaire et l intervenant sociocommunautaire approchent les gens dans leur milieu et partagent avec eux des joies comme des peines, des réussites comme des échecs. Voilà où tout commence. L intervention sociocommunautaire en HLM existe depuis longtemps déjà, mais elle est relativement nouvelle en Chaudière-Appalaches et encore plus dans les milieux ruraux. Le but ici n est pas de faire un historique de cette pratique, mais plutôt de savoir comment l intervenant doit se préparer à bien débuter ses interventions. Deux aspects majeurs doivent être pris en considération avant de se lancer. En premier lieu, l intervenant doit savoir qu il a du pouvoir sur sa personne. Il doit être en mesure de développer des attitudes qui faciliteront le premier contact avec les locataires favorisant la création d un lien de confiance, pour finalement les mobiliser individuellement ou collectivement afin d amorcer une démarche de changement. En second lieu, le contexte d intervention dans le milieu est un élément sur lequel l intervenant n a aucun contrôle, mais qui est tout aussi important. Que doit-il faire avant de se lancer dans une intervention auprès de cette clientèle? Prendre le temps d analyser le milieu s avère primordial. 3.1 Attitudes de l intervenant pour une approche gagnante en soutien communautaire en HLM Tout d abord, l intervention sociocommunautaire en HLM se fait sur le terrain et l outil principal de l intervenant s avère être lui-même. C est pourquoi il doit posséder un bon nombre de qualités. Comme le mentionne Martin Charland dans Des maux qui enferment, des mots qui libèrent : «La condition première est la volonté des gens d être en proximité; c est le désir d engagement et de responsabilité qu elle suppose.» 6 Il sera donc engagé avec eux dans leurs démarches de changement. Le travail de proximité qui requiert d être disponible auprès de la clientèle s avère être la clé gagnante pour le travail en milieu HLM. Les organisations institutionnelles ont beaucoup à gagner à s ouvrir à cette nouvelle optique de travail «terrain». Dans cette mesure, le lien particulier qui se créera entre l intervenant et les locataires est indispensable pour toutes interventions tant individuelles que collectives. La proximité une perte de temps? Au contraire! Il s agit même d un moment bien 6 Martin CHARLAND et Bernard ROY, Des maux qui enferment, des mots qui libèrent, Manuel pour une prise de parole et de pouvoir dans un HLM, PUL, 2009, p

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