La gestion dans le contexte de l économie mondiale. La veille concurrentielle : le meilleur des mondes pour les gestionnaires LE COIN DU GESTIONNAIRE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "La gestion dans le contexte de l économie mondiale. La veille concurrentielle : le meilleur des mondes pour les gestionnaires LE COIN DU GESTIONNAIRE"

Transcription

1 La veille concurrentielle : le meilleur des mondes pour les gestionnaires Jonathan L. Calof et William Skinner La VC, c est la collecte et l analyse de renseignements qui permettent de réaliser des percées sur le marché et de soutenir la concurrence. Les fonctionnaires sont des «travailleurs du savoir» et des gestionnaires de ce genre de travailleurs. Ils ont l habitude de gérer des questions complexes, de concilier plusieurs objectifs, de nouer des alliances stratégiques, de créer des consensus et d établir des réseaux. Ces compétences sont de plus en plus recherchées dans le secteur privé aujourd hui. La concurrence normale entre le secteur privé et le secteur public s est accentuée avec l émergence de la nouvelle économie mondiale 1. La gestion dans le contexte de l économie mondiale nécessitera des outils différents de ceux qui étaient utilisés auparavant. La veille concurrentielle (VC) pourrait offrir certains de ces outils. Le présent article décrit ce qu est la veille concurrentielle et la façon dont les gestionnaires peuvent en bénéficier au maximum. La veille concurrentielle peut être définie comme une série de recommandations d actions concrètes qui font suite Jonathan Calof est professeur agrégé au programme d études sur le commerce international, à l Université d Ottawa. Il a reçu le prix Catalyst de la Society of Competitive Intelligence Professionals lors de la conférence annuelle de cette société en 1997, en reconnaissance de sa contribution au domaine de la veille concurrentielle. à un processus systématique de planification, de collecte, d analyse et de diffusion de l information sur les divers intervenants de l extérieur, afin de trouver de nouveaux débouchés ou possibilités de marchés qui peuvent modifier la situation concurrentielle d une entreprise ou d un pays. Un grand nombre de gestionnaires croient qu ils exercent déjà des activités de veille concurrentielle et, dans une certaine mesure, ils le font. Lorry Hathaway, président de Best Foods Inc., parlait en ces termes de la veille concurrentielle dans une de ses allocutions : Cela ne veut pas dire que nous n avions pas de données sur les concurrents. Nous avions au contraire une grande quantité de renseignements sur les concurrents. Mais ces données étaient éparses, intéressantes certes, mais isolées. Elles William Skinner est consultant principal au Centre des conseils en gestion d Industrie Canada et il est membre de la Society of Competitive Intelligence Professionals. Il applique les principes de la veille concurrentielle depuis plus de 23 ans dans le cadre des divers emplois qu il a occupés au sein de ministères fédéraux. 42 Optimum, La revue de gestion du secteur public vol. 28, n o 2 (42-47)

2 manquaient de cohérence et provenaient de divers secteurs de la compagnie. Personne n en faisait la synthèse. Elles portaient le plus souvent sur les activités de commercialisation et de vente de nos concurrents, mais on ne s attachait pas à les intégrer ni à essayer de comprendre les motifs à la base de telle ou telle action de nos concurrents, à comprendre les liens entre ces actions et leur stratégie ou même plus grave encore, à comprendre les implications pour nous. D ailleurs, toutes ces questions ne nous préoccupaient guère. Enfin, lorsque nous finissions par réagir devant l information obtenue sur la concurrence, il était déjà trop tard. Il fallait être proactif et agir avant que le fait soit accompli 2. Lorry Hathaway dégage plusieurs principes importants de la VC : La VC est proactive. Son but est de prédire ce qui arrivera et non de remâcher ce qui s est passé. (Que va-t-il se passer et comment le gouvernement du Canada et l industrie vont-ils se positionner pour faire face à l évolution du marché dans cinq ans?) La VC se fonde sur l analyse de l information; il ne suffit pas de collecter l information et d exercer son jugement. Best Foods compare des états des résultats et utilise des jeux de stratégie militaire pour prédire les actions de ses concurrents. Le gouvernement du Japon dresse des profils psychologiques et, en France, on fait appel à l analyse de la reconnaissance des structures 3. Il existe plus de 120 techniques d analyse différentes. (Dans quelle mesure les lecteurs du présent article utilisent-ils ces techniques pour les aider à élaborer une politique?) La VC exige le recours à un processus systématique de collecte de renseignements et reconnaît que l information la plus précieuse se trouve à l interne. Des études sur la VC révèlent que, dans une grande organisation, on peut trouver sur place jusqu à 85 p. 100 de l information dont on a besoin. (Dans quelle mesure les lecteurs du présent article tirent-ils parti de l information présente dans leur propre organisation? Assimilent-ils cette information?) Le code d éthique de la Society of Competitive Intelligence Professionals (SCIP) exige que les membres respectent les lois locales et ne fassent pas de fausse déclaration lorsqu ils recueillent des renseignements 4. Même s ils peuvent obtenir l information dont ils ont besoin de sources non secrètes, l important dans le processus de VC est de savoir où la trouver. Les milieux nationaux du renseignement le savent depuis longtemps. En effet, une étude menée récemment auprès d organismes américains du renseignement (CIA, FBI, etc.) révèle qu environ 95 p. 100 de l information tirée de l analyse de questions économiques provient aujourd hui de sources non secrètes 5. La VC n a rien à voir avec les vues d ensemble, les généralisations, les tours d horizon ou les événements antérieurs. Les activités de VC touchent certaines mines de renseignements. La VC est un processus extrêmement détaillé. (Songez à la complexité de la question soulevée par Lorry Hathaway sur le pourquoi des agissements de la concurrence.) Dans la recherche de créneaux, il est essentiel de connaître le cadre de référence qu a utilisé le décideur pour l aider à prendre sa décision. C est ce qu il faut pour conquérir une clientèle. La VC, c est un programme systématique de collecte et d analyse de renseignements au sujet des principaux intervenants, tels que les clients, les concurrents, les législateurs et les fournisseurs, qui permet de réaliser des percées sur le marché et de soutenir la concurrence. Le cycle de la veille concurrentielle (figure 1) comprend plusieurs étapes, dont les suivantes : définition des besoins en renseignements; planification du projet de veille concurrentielle; collecte, analyse et diffusion des données. Pour replacer le processus dans son contexte, disons que dans un projet type de VC des entreprises internationales passent seulement de 30 à 35 p. 100 de leur temps à recueillir de l information et elles en consacrent davantage à l analyse et à la planification 6. Dans l exercice de leurs fonctions de collecte d information, la plupart des organismes accordent davantage d importance à la collecte de renseignements qu à la communication d une véritable information de qualité. Nombre d entre eux disposent d une multitude de données sur les règlements, les marchés, les possibilités commerciales, etc. La quantité d information disponible est tout à fait étonnante en raison de l expansion du réseau Internet et des bases de données commerciales. Mais sans une analyse pertinente, ces organismes sont pauvres en renseignements. En outre, si l information n est pas diffusée comme il se doit, les meilleurs renseignements ne seront jamais utilisés. Optimum, La revue de gestion du secteur public vol. 28, n o 2 43

3 FIGURE 1 Le cycle de la veille concurrentielle Planification et orientation Diffusion des renseignements Collecte de données Analyse de l information Le Canada et la veille concurrentielle Par rapport à d autres pays, le Canada consacre très peu d énergie aux activités de VC de classe internationale formation, partenariats, culture. Il y a un dicton qu on aime à répéter dans le milieu de la VC : 50 p. 100 des grandes sociétés américaines se livrent à des activités de VC, de 60 à 80 p. 100 des entreprises européennes en font autant, et 150 p. 100 des entreprises japonaises et coréennes font de la VC. Cela se rapproche probablement de la réalité! L Amérique du Nord se classe loin derrière l Europe et l Asie dans le domaine de la VC. Une étude réalisée par le Conference Board de New York révèle qu en 1991, moins de 5 p. 100 des sociétés américaines disposaient de systèmes de veille dûment constitués, ce qui représente une faible amélioration de 3 p. 100 par rapport à Aujourd hui, quelque 60 p. 100 des grandes entreprises des États-Unis ont intégré la VC à leurs activités, sous une forme ou une autre 8. On estime qu au Canada le pourcentage est encore plus bas. Une étude récente de Calof et Miller 9 révèle que les entreprises canadiennes consacrent beaucoup moins de temps à la VC que les entreprises américaines, européennes et asiatiques. Elles consacrent comparativement moins de temps à l analyse, ont moins souvent instauré des départements chargés de la VC et font état d un plus grand nombre de problèmes de base dans leurs activités de VC. En ce qui concerne les activités de veille concurrentielle dans le domaine de la technologie (VCT), toutes les multinationales japonaises ont organisé leurs fonctions de VCT depuis Plus de 50 p. 100 des entreprises allemandes ont un programme de VCT depuis le début des années Ces pays, qui sont cités en exemple pour leurs compétences dans le domaine de la VC, ont généralement une culture qui privilégie l information et le renseignement, et un mode de fonctionnement à tendance collectiviste. La plupart peuvent compter sur l appui des organismes gouvernementaux traditionnels et des services de renseignements nationaux. 44 Optimum, La revue de gestion du secteur public vol. 28, n o 2

4 Au Canada, peu d entreprises ont des services de VCT. Téléglobe Canada a déclaré qu elle faisait officiellement de la VCT depuis trois ans seulement, alors que Noranda annonçait récemment qu elle avait tout juste commencé à encourager ce type d initiative 11. Quelques autres entreprises ont des capacités reconnues dans ce domaine. La loi interdit la communication d information stratégique, et notre culture considère l information comme une source de pouvoir quelque chose qu on ne partage pas. Chez les dirigeants d entreprise, on ne voit guère la valeur d un système intégré de renseignements sur la concurrence, et les Nord-Américains ne dévorent pas l information comme on le fait dans d autres civilisations. Aucune université ici n offre de diplôme en VC. Bill De Genaro fait observer que : Le secteur privé des États-Unis (et du Canada d ailleurs aussi) se distingue nettement de celui des autres pays par le fait qu il ne peut compter sur une école nationale de formation en veille concurrentielle, et que les écoles d administration n offrent que quelques cours dans ce domaine 12. Caractéristiques de la VC de classe internationale Un grand nombre d études sur les exigences de fonctionnement de la VC présentent des résultats remarquablement uniformes. Elles font ressortir les éléments qui caractérisent une VC efficace. Les voici : L information est acheminée vers une seule destination. L information est régulièrement transformée en renseignements stratégiques. La société accorde à ceux qui travaillent au service du renseignement le temps d étoffer et d analyser les données. La direction permet aux employés d acquérir les connaissances qui leur permettront d utiliser les renseignements efficacement. Le processus de VC est organisé et mis en place comme il se doit. Les employés reçoivent de la formation. La VC est axée sur les besoins des clients. La VC est axée sur l avenir. La liste, qui figure en appendice, énumère les qualités requises pour mener des activités de VC de classe internationale 13. Rares sont les personnes qui possèdent toutes ces qualités. Par conséquent, lorsque vous définirez les compétences de votre organisation en matière de VC, pensez plutôt à une équipe de VC et évaluez dans quelle mesure l équipe choisie réunit ces compétences. (Vous pouvez utiliser la liste en appendice pour vérifier les capacités de votre organisation au titre de la VC.) Plan d action (gestionnaires) Avant que votre organisation mette en application sa structure de VC avec les exigences qu elle suppose, il lui faut d abord définir clairement les objectifs de la VC. L information obtenue grâce aux activités de VC peut être classée en trois catégories : Ces renseignements sont communiqués à la haute direction. La haute direction les utilise. Les renseignements sont utilisés pour percer des secrets, aussi inviolables soient-ils. Les renseignements sont utilisés pour donner une liberté d action à tous les employés. La haute direction prend la VC au sérieux. Les meilleures sources de renseignements se trouvent au sein même de l organisation. Selon l importance de la décision qu elle servira à prendre. L information sera-t-elle utilisée pour prendre une décision où les enjeux sont importants pour l entreprise (son avenir se joue, par exemple) ou simplement dans le cadre de l attribution des tâches courantes? Selon l importance que l information revêt dans le processus décisionnel. Certains types de renseignements sont plus importants que d autres, quelle que soit l importance de la décision à prendre. Par exemple, lorsque vous tentez de percer un marché international, le décideur est important, mais le Optimum, La revue de gestion du secteur public vol. 28, n o 2 45

5 processus décisionnel (critères et préjugés) l est davantage. Selon l importance de sa valeur ajoutée. À un extrême, ceux qui pratiquent la VC diffusent une information nouvelle et précieuse directement aux clients. À l autre extrême, l information est analysée rigoureusement, et des recommandations d actions concrètes sont formulées. Le plan d action en matière de VC doit être établi à partir d une décision claire, à savoir quelle sorte d information vous voulez pour votre organisation parmi les trois catégories susmentionnées, car c est ce qui déterminera les compétences nécessaires, de même que les exigences. Par exemple, si pour prendre une décision, vous avez besoin d une information à forte valeur ajoutée, alors des compétences en analyse seront essentielles. Si l on met l accent sur le caractère hautement important de l information, alors l organisation doit être dotée de compétences et de processus qui accélèrent la collecte et la diffusion de l information, l accès aux renseignements importants et la capacité de recenser et de confirmer ce qu est un renseignement important. Les qualités recensées par la Commission de la fonction publique dans le document Ressources et suggestions de perfectionnement : Compétences en leadership pour les sous-ministres adjoints et les cadres supérieurs, de même que dans les documents de La Relève et le Programme : emploi et croissance 14, semblent favoriser la création d une fonction publique où l information communiquée est riche sur les trois plans susmentionnés. Par exemple, la capacité cognitive, la créativité, la capacité d avoir de la vision et la gestion orientée vers l action sont toutes des compétences essentielles pour que l information ait une grande valeur ajoutée. Selon le document Programme : emploi et croissance, «les entreprises ont besoin de renseignements stratégiques sur les investissements étrangers, la technologie et les débouchés commerciaux. La transmission de ces renseignements stratégiques en temps opportun sera l une des priorités du gouvernement 15.» Voilà qui montre l importance des décisions et de l information. Par conséquent, toutes les qualités et les compétences d une organisation qui ont été énumérées précédemment sont nécessaires. La création de ce type d organisation nécessite l engagement et la participation de ses dirigeants, qui devront fournir un effort concerté pour acquérir les compétences nécessaires et se doter des structures et des processus grâce auxquels l organisation pourra faire de la VC de classe internationale. Notes 1. Jocelyne Bourgon. Quatrième rapport annuel au Premier ministre sur la fonction publique du Canada, Bureau du Conseil privé, Voir le site 2. Extrait d une allocution prononcée par L. Hathaway devant la Society of Competitive Intelligence Professionals. Voir Society of Competitive Intelligence Professionals. Understanding the competition: The CEO s perspective (vidéo), Alexandria, VA., 1996; Larry Kahaner, Competitive Intelligence, New York, NY, Simon & Schuster, Jean Bonthous. «Understanding intelligence across cultures», Competitive Intelligence Review, été-automne 1992, p Voir le site Internet de la Society of Competitive Intelligence Professionals, à l adresse 5. Report of the Commission on the Roles and Capabilities of the U.S. Intelligence Community (mars 1996). 6. Jonathan L. Calof et Jerry Miller. «The Status of Competitive Intelligence Across the Globe», Society of Competitive Intelligence Professionals (mai 1997). 7. Bill De Genaro. «The care and cultivation of corporate main brains», Journal of Business Strategy (septembre-octobre 1991), p Jonathan L. Calof. «Competitive Intelligence activities around the world», Competitive Intelligence and Analysis, International Communications for Management, Toronto, Calof et Miller, Brad Ashton et Richard Klavans. «Keeping Abreast of Science And Technology», Boston, MA, Rutledge Press, Voir The Globe and Mail, édition du jeudi 20 novembre 1997, p. B De Genaro, Adapté d une liste de compétences dressée par la SCIP, le document complet est diffusé sur le site web de la SCIP, à l adresse Canada. Industrie Canada, Programme : emploi et croissance. L innovation : La clé de l économie moderne, 1994, p. 44; pour des documents sur La Relève et la CFP, visiter le site Programme : emploi et croissance, p Optimum, La revue de gestion du secteur public vol. 28, n o 2

6 Appendice Compétences requises dans les activités de veille concurrentielle Demandes de services de VC Comprendre la façon de déterminer avec exactitude les besoins en renseignements des décideurs. Améliorer ses techniques de communication, d entrevue et de présentation d exposés. Comprendre les principaux profils psychologiques pour être en mesure d évaluer les différentes orientations des décideurs. Connaître la structure, la culture et le milieu de l organisation ainsi que les principales sources d information. Demeurer objectif. Présenter les besoins en renseignements dans le cycle de veille concurrentielle. Connaître les ressources internes et externes. Analyser les lacunes sur le plan des ressources d information. Recueillir l information Connaître les sources principales et secondaires. Connaître les diverses méthodes de consultation des sources internes et externes, principales et secondaires. Gérer les sources principales et secondaires comme il se doit. Savoir comment utiliser la triangulation, l approche fondée sur plusieurs méthodes et sur plusieurs sources. Établir un niveau de confiance en garantissant la fiabilité et la validité des sources. Reconnaître les irrégularités dans l information. Savoir différencier une hypothèse d une supposition ouverte et comprendre cette différence. Acquérir des compétences formelles en recherche. Reconnaître les méthodes de collecte de l information et les suivre. Connaître les règles d éthique associées à la collecte d information. Analyser et résumer l information Reconnaître l interaction entre les étapes de collecte et d analyse de l information. Analyser de façon créative. Appliquer un raisonnement inductif et déductif. Utiliser l analyse de réseaux, le raisonnement alternatif. Obtenir une vue d ensemble des modèles d analyse de base. Présenter des modèles stimulants et attrayants d abord, afin de faire ressortir l aspect découverte de l analyse, au lieu d utiliser la vieille méthode de recherche. Savoir quand et pourquoi utiliser les profils de la personnalité, l analyse financière, l analyse économique, l analyse comptable, l analyse des tendances, l évaluation des risques, l analyse quantitative et qualitative, les diagrammes d influence, l analyse des occasions favorables, l analyse des principaux facteurs de vulnérabilité, l analyse des événements, l analyse de la cheville ouvrière, etc. Reconnaître qu il existe toujours des données manquantes et des renseignements secrets. Savoir quand cesser l analyse. Communiquer les renseignements Utiliser des techniques de persuasion dans la présentation de l information. Faire preuve d empathie et utiliser des compétences en counseling, au besoin. Organiser les conclusions des recherches et les présenter avec conviction et diplomatie. Utiliser la présentation ou le médium approprié pour chaque utilisateur. Reconnaître, sur le plan des renseignements à communiquer, quels seront la quantité et le degré de diffusion efficaces. Réaliser que l écoute peut aussi être une forme d exposé. Contexte Définir la fonction de veille. Expliquer comment le cycle de veille concurrentielle transforme l information en renseignement. Expliquer le rôle de la veille concurrentielle dans le processus décisionnel, la planification stratégique et la recherche de débouchés. Établir une distinction entre concurrentiel, concurrent, activités commerciales, technologie et contre-ingérence. Discuter de l importance d une organisation d apprentissage, axée sur les connaissances. Comprendre comment repérer les forces, les faiblesses et les partis pris en ce qui concerne la communication de l information au sein d une organisation. Présenter des modèles de structure et d organisation d un service de veille concurrentielle et les pièges des diverses solutions de rechange. Offrir des structures de rechange selon la taille de l organisation. Gestion Traiter de la façon d effectuer une vérification des décisions, une vérification de l information et une vérification des connaissances et de l importance de ces vérifications. Présenter des moyens de se tenir au courant des progrès dans la technologie de l information. Présenter des méthodes pour créer une culture de veille concurrentielle. Expliquer l importance d analyser constamment le milieu (SWOT) et présenter des méthodes pour y arriver. Présenter des moyens de promouvoir le processus de veille concurrentielle au sein de l organisation. Source : Society of Competitive Intelligence Professionals. Optimum, La revue de gestion du secteur public vol. 28, n o 2 47

Le M.B.A. professionnel

Le M.B.A. professionnel Le M.B.A. professionnel Un M.B.A. à temps partiel pour les professionnels qui travaillent un programme unique Le nouveau M.B.A. professionnel de la Faculté de gestion Desautels de l Université McGill est

Plus en détail

SECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES

SECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES Compétences pour les intervenants canadiens en toxicomanie SECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES Cette documentation est publiée

Plus en détail

COMMISSARIAT À LA PROTECTION DE LA VIE PRIVÉE DU CANADA. Vérification de la gestion des ressources humaines

COMMISSARIAT À LA PROTECTION DE LA VIE PRIVÉE DU CANADA. Vérification de la gestion des ressources humaines COMMISSARIAT À LA PROTECTION DE LA VIE PRIVÉE DU CANADA Vérification de la gestion des ressources humaines 13 mai 2010 Préparée par le Centre de gestion publique Inc. TABLE DES MATIÈRES 1.0 Sommaire...

Plus en détail

PLAN DE COURS. Pierre G. Bergeron, La gestion dynamique : concepts, méthodes et applications, 3 e édition, Boucherville, Gaëtan Morin, 2001.

PLAN DE COURS. Pierre G. Bergeron, La gestion dynamique : concepts, méthodes et applications, 3 e édition, Boucherville, Gaëtan Morin, 2001. PLAN DE COURS OBJECTIFS DU COURS Ce cours vise deux objectifs. Premièrement, fournir à l étudiant une base de connaissances concernant la façon dont une organisation peut fonctionner efficacement ; deuxièmement,

Plus en détail

Université d Ottawa. ÉCOLE de GESTION TELFER. La haute performance. Ça part d ici : le MBA Telfer

Université d Ottawa. ÉCOLE de GESTION TELFER. La haute performance. Ça part d ici : le MBA Telfer Université d Ottawa ÉCOLE de GESTION TELFER La haute performance Ça part d ici : le MBA Telfer La haute performance À propos de l École de gestion Telfer de l Université d Ottawa L École de gestion Telfer

Plus en détail

CFC 450 PROGRAMME DES CADRES DIRIGEANTS SYLLABUS

CFC 450 PROGRAMME DES CADRES DIRIGEANTS SYLLABUS CFC 450 PROGRAMME DES CADRES DIRIGEANTS SYLLABUS AVANT-PROPOS 1. Le Programme des cadres dirigeants (PCD) est un programme de séminaire en résidence de quatre jours et demi à l intention des officiers

Plus en détail

devant le Conseil de surveillance de la normalisation comptable

devant le Conseil de surveillance de la normalisation comptable VERSION DÉFINITIVE Allocution prononcée par Anthony Ariganello, CGA Président-directeur général CGA-Canada devant le Conseil de surveillance de la normalisation comptable Toronto (Ontario) Le 20 octobre

Plus en détail

ÉNERGISER L AVENIR Étude d information sur le marché du travail 2008

ÉNERGISER L AVENIR Étude d information sur le marché du travail 2008 Construire un avenir brillant ÉNERGISER L AVENIR Étude d information sur le marché du travail 2008 www.avenirbrillant.ca Financé par le gouvernement du Canada par l entremise du Programme des conseils

Plus en détail

Points de vue 2002 Contenu

Points de vue 2002 Contenu Points de vue 2002 Contenu Environ 1 200 gestionnaires et dirigeants syndicaux des secteurs et ont participé à l enquête Points de vue 2002. Cette enquête particulière est menée par le CSPC tous les deux

Plus en détail

La situation financière des Canadiens

La situation financière des Canadiens La situation financière des Canadiens 1 Approche client Microsoft Advertising Hiver 2015 LA SITUATION FINANCIÈRE DES CANADIENS 2 Des décisions financières difficiles et importantes doivent être prises

Plus en détail

Devenir un gestionnaire de personnes

Devenir un gestionnaire de personnes Devenir un gestionnaire de personnes SÉRIE PARTENAIRES EN AFFAIRES Déterminer vos besoins Trouver les bonnes personnes Conserver les bons employés SÉRIE PARTENAIRES EN AFFAIRES Le passage de personne d

Plus en détail

Bureau du commissaire du Centre de la sécurité des télécommunications

Bureau du commissaire du Centre de la sécurité des télécommunications Bureau du commissaire du Centre de la sécurité des télécommunications 2009-2010 Rapport sur les plans et les priorités L honorable Peter Gordon MacKay, C.P., député Ministre de la Défense nationale TABLE

Plus en détail

Appel à l action relativement au chômage, au sous-emploi et à la pénurie de main-d œuvre qualifiée

Appel à l action relativement au chômage, au sous-emploi et à la pénurie de main-d œuvre qualifiée Appel à l action relativement au chômage, au sous-emploi et à la pénurie de main-d œuvre qualifiée Introduction Les diplômés des universités et des collèges du Canada sont confrontés à des taux inacceptables

Plus en détail

PRÉPARER LA RELÈVE DANS LE MONDE DE L ÉVALUATION: LE CONCOURS DE SIMULATION DU POINT DE VUE DES COMMANDITAIRES

PRÉPARER LA RELÈVE DANS LE MONDE DE L ÉVALUATION: LE CONCOURS DE SIMULATION DU POINT DE VUE DES COMMANDITAIRES LA REVUE The Canadian CANADIENNE Journal of D'ÉVALUATION Program EvaluationDE Vol. PROGRAMME 18 No. 1 Pages 133 137 133 ISSN 0834-1516 Copyright 2003 Canadian Evaluation Society Research and Practice Note

Plus en détail

Transaction proposée entre Groupe TMX inc. et London Stock Exchange Group plc

Transaction proposée entre Groupe TMX inc. et London Stock Exchange Group plc Transaction proposée entre Groupe TMX inc. et London Stock Exchange Group plc Position de la FCCQ dans le cadre de la consultation publique tenue par l Autorité des marchés financiers 29 juin 2011 555,

Plus en détail

Ceci permettra de modifier la façon dont les cadres supérieurs dirigeront leurs entreprises

Ceci permettra de modifier la façon dont les cadres supérieurs dirigeront leurs entreprises Ceci permettra de modifier la façon dont les cadres supérieurs dirigeront leurs entreprises Préparé pour le Bureau des aliments par Jonothan Calof, Université d Ottawa Préface Le présent manuel fait suite

Plus en détail

Le talent redéfini en fonction de l économie mondiale. Points de vue sur la situation des talents en finances au Canada. kpmg.ca/lafonctionfinances

Le talent redéfini en fonction de l économie mondiale. Points de vue sur la situation des talents en finances au Canada. kpmg.ca/lafonctionfinances Le talent redéfini en fonction de l économie mondiale Points de vue sur la situation des talents en finances au Canada kpmg.ca/lafonctionfinances Le talent redéfini en fonction de l économie mondiale

Plus en détail

Les gestionnaires d actifs Actions

Les gestionnaires d actifs Actions Les gestionnaires d actifs Actions La réussite d Investissements Standard Life inc. repose sur une recherche méticuleuse et une approche rigoureuse axée sur le travail d équipe. Dans le cas des fonds à

Plus en détail

August 2014. ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances

August 2014. ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances August 2014 ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances Résumé L Association canadienne de la construction (ACC) représente 20 000 entreprises membres

Plus en détail

La vie est plus radieuse sous le soleil. La Financière Sun Life et vous

La vie est plus radieuse sous le soleil. La Financière Sun Life et vous La vie est plus radieuse sous le soleil. La Financière Sun Life et vous Lorsqu il est question de votre avenir financier, nous pouvons vous aider. Lorsqu il s agit de votre argent, vous désirez être certain

Plus en détail

Liste de vérification de la mise en œuvre d une équipe de santé familiale

Liste de vérification de la mise en œuvre d une équipe de santé familiale Équipes de santé familiale Améliorer les soins de santé familiale Liste de vérification de la mise en œuvre d une équipe de santé familiale Juillet 2009 Version 2.0 Table des matières Introduction...3

Plus en détail

Compétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe

Compétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe Compétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe Un cadre d action commun des partenaires sociaux européens du secteur de l électricité I. Introduction

Plus en détail

Recherche et relations internationales (RRI) Elisa Pylkkanen Directrice adjointe, partenariats internationaux

Recherche et relations internationales (RRI) Elisa Pylkkanen Directrice adjointe, partenariats internationaux Recherche et relations internationales (RRI) Elisa Pylkkanen Directrice adjointe, partenariats internationaux ADARUQ - Novembre 2013 RRI : Un aperçu «Habiliter, faciliter, créer des liens» Habiliter les

Plus en détail

Personne-ressource : Geoff Smith Directeur des Relations gouvernementales Tél. : 613-688-2064 Téléc. : 613-852-9696 smith@electricity.

Personne-ressource : Geoff Smith Directeur des Relations gouvernementales Tél. : 613-688-2064 Téléc. : 613-852-9696 smith@electricity. Proposition prébudgétaire 2015 de l Association canadienne de l électricité (ACÉ) présentée au Comité permanent des finances de la Chambre des communes Personne-ressource : Geoff Smith Directeur des Relations

Plus en détail

Auditer son environnement Telecom Un des fondements du projet TEM

Auditer son environnement Telecom Un des fondements du projet TEM Auditer son environnement Telecom Un des fondements du projet TEM Sommaire Introduction... 3 Les éléments internes essentiels à auditer... 4 Le dimensionnement de l infrastructure... 4 Les factures...

Plus en détail

Bulletin de l ACFM. Politique. Aux fins de distribution aux personnes intéressées de votre société

Bulletin de l ACFM. Politique. Aux fins de distribution aux personnes intéressées de votre société Personne-ressource : Paige Ward Avocate générale, secrétaire générale et vice-présidente, Politiques Téléphone : 416 943-5838 Courriel : pward@mfda.ca Bulletin de l ACFM Politique BULLETIN N o 0656 P Le

Plus en détail

Les 10 grands principes de l utilisation du data mining pour une gestion de la relation client réussie

Les 10 grands principes de l utilisation du data mining pour une gestion de la relation client réussie Les 10 grands principes de l utilisation du data mining pour une gestion de la relation client réussie Découvrir les stratégies ayant fait leurs preuves et les meilleures pratiques Points clés : Planifier

Plus en détail

Charte de la Société suisse de la sclérose en plaques

Charte de la Société suisse de la sclérose en plaques Charte de la Société suisse de la sclérose en plaques Préambule La présente charte tend à rassembler l essentiel des principes, valeurs et visions qui sont chères à la Société suisse de la sclérose en

Plus en détail

Mise en place et consolidation de la fonction de vérification interne dans les ministères et organismes Guide

Mise en place et consolidation de la fonction de vérification interne dans les ministères et organismes Guide Mise en place et consolidation de la fonction de vérification interne dans les ministères et organismes Guide Réalisation du guide Secrétariat du Conseil du trésor Le présent document est disponible dans

Plus en détail

Allocution de Mme Françoise Bertrand Présidente directrice générale Fédération des chambres de commerce du Québec

Allocution de Mme Françoise Bertrand Présidente directrice générale Fédération des chambres de commerce du Québec Allocution de Mme Françoise Bertrand Présidente directrice générale Fédération des chambres de commerce du Québec Comment les entreprises devraient-elles entrevoir l avenir en matière de régime de retraite

Plus en détail

BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la gouvernance ministérielle. Rapport final

BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la gouvernance ministérielle. Rapport final BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ Vérification de la gouvernance ministérielle Division de la vérification et de l évaluation Rapport final Le 27 juin 2012 Table des matières Sommaire... i Énoncé d assurance...iii

Plus en détail

Gestionnaires. Parcoursd apprentissage

Gestionnaires. Parcoursd apprentissage Gestionnaires Parcoursd apprentissage V2 VOTRE PARTENAIRE EN APPRENTISSAGE L École de la fonction publique du Canada offre des produits d apprentissage et de formation qui contribuent au renouvellement

Plus en détail

Communiqué - Pour diffusion immédiate MEGA BRANDS COMMUNIQUE SES RÉSULTATS DU QUATRIÈME TRIMESTRE ET DE L EXERCICE 2012

Communiqué - Pour diffusion immédiate MEGA BRANDS COMMUNIQUE SES RÉSULTATS DU QUATRIÈME TRIMESTRE ET DE L EXERCICE 2012 Communiqué - Pour diffusion immédiate MEGA BRANDS COMMUNIQUE SES RÉSULTATS DU QUATRIÈME TRIMESTRE ET DE L EXERCICE 2012 Chiffre d affaires net consolidé en hausse de 18 % au T4 et 12 % pour l exercice

Plus en détail

La gestion des ressources humaines, un enjeu incontournable

La gestion des ressources humaines, un enjeu incontournable Petit-Matin RH Adecco : «Les défis d avenir de la gestion des ressources humaines» par Florent Francoeur, CRHA Le premier Petit-Matin RH 2013 organisé par Adecco s est déroulé le 21 février dernier au

Plus en détail

LA COLLABORATION INTERPROFESSIONNELLE

LA COLLABORATION INTERPROFESSIONNELLE Dans ce document, les mots de genre féminin appliqués aux personnes désignent les femmes et les hommes, et vice-versa, si le contexte s y prête. LA COLLABORATION INTERPROFESSIONNELLE POSITION DE L AIIC

Plus en détail

PROGRAMME DE FORMATION DE NORTHBRIDGE. À propos de Northbridge

PROGRAMME DE FORMATION DE NORTHBRIDGE. À propos de Northbridge PROGRAMME DE FORMATION DE NORTHBRIDGE À propos de Northbridge Northbridge est l une des plus importantes compagnies d assurance générale commerciale au pays avec des primes souscrites d une valeur de 1,3

Plus en détail

Favoriser la création d emplois et la croissance dans l industrie et l innovation

Favoriser la création d emplois et la croissance dans l industrie et l innovation Un leadership fort Favoriser la création d emplois et la croissance dans l industrie et l innovation Le gouvernement Harper tient sa promesse de rétablir l équilibre budgétaire en 2015. Le Plan d action

Plus en détail

Certification du secteur privé pour orienter les activités de surveillance réglementaire fondée sur les risques : Document de travail

Certification du secteur privé pour orienter les activités de surveillance réglementaire fondée sur les risques : Document de travail Certification du secteur privé pour orienter les activités de surveillance réglementaire fondée sur les risques : Document de travail 1 Table des matières INTRODUCTION... 3 CONTEXTE... 4 PLANS DE CERTIFICATION

Plus en détail

Programme des courtiers directeurs Compétences et programme de formation

Programme des courtiers directeurs Compétences et programme de formation Programme des courtiers directeurs Compétences et programme de formation Le Conseil canadien des autorités de réglementation des courtiers hypothécaires (CCARCH) entend définir des normes nationales touchant

Plus en détail

pas de santé sans ressources humaines

pas de santé sans ressources humaines Résumé Une vérité universelle : pas de santé sans ressources humaines + alliance mondiale pour les personnels de santé Résumé Objectif Le présent rapport est destiné à éclairer les débats du troisième

Plus en détail

Écoutez ce qui se dit sur l épargne-retraite au Canada

Écoutez ce qui se dit sur l épargne-retraite au Canada MARS 2014 ÉCHEC ET MAT! LES RÉGIMES D ÉPARGNE EN MILIEU DE TRAVAIL : UNE SOLUTION GAGNANTE POUR LES CANADIENS EN VUE DE LA RETRAITE Notre 6 e sondage annuel Indice canadien de report de la retraite montre

Plus en détail

Plan de cours Programme de leadership en entreprise pour les conseillers juridiques d entreprise

Plan de cours Programme de leadership en entreprise pour les conseillers juridiques d entreprise Plan de cours Programme de leadership en entreprise pour les conseillers juridiques d entreprise Un juriste typique qui assume un rôle de juriste d entreprise est armé d une solide formation et expérience

Plus en détail

Vingt-cinq questions posées lors d une entrevue

Vingt-cinq questions posées lors d une entrevue Vingt-cinq questions posées lors d une entrevue Cette section vous propose une synthèse des questions les plus susceptibles d être posées en entrevue de sélection. Cette section peut vous aider lors de

Plus en détail

Fonds Jantzi RBC. Investissement. Des choix socialement responsables pour votre portefeuille de placements

Fonds Jantzi RBC. Investissement. Des choix socialement responsables pour votre portefeuille de placements Investissement Pour plus de renseignements sur les fonds Jantzi RBC, veuillez vous adresser à votre conseiller ou visiter www.rbc.com/jantzifonds Fonds Jantzi RBC Des choix socialement responsables pour

Plus en détail

Impartition réussie du soutien d entrepôts de données

Impartition réussie du soutien d entrepôts de données La force de l engagement MD POINT DE VUE Impartition réussie du soutien d entrepôts de données Adopter une approche globale pour la gestion des TI, accroître la valeur commerciale et réduire le coût des

Plus en détail

ÉTUDES PROFESSIONNELLES ET TECHNOLOGIQUES

ÉTUDES PROFESSIONNELLES ET TECHNOLOGIQUES ÉTUDES PROFESSIONNELLES ET TECHNOLOGIQUES RAISON D ÊTRE ET PHILOSOPHIE DU PROGRAMME Par son programme d Études professionnelles et technologiques (ÉPT), l enseignement au secondaire en Alberta relève de

Plus en détail

GOUVERNEMENT DES TERRITOIRES DU NORD-OUEST PLAN STRATÉGIQUE SUR LES COMMUNICATIONS ET LES SERVICES EN FRANÇAIS

GOUVERNEMENT DES TERRITOIRES DU NORD-OUEST PLAN STRATÉGIQUE SUR LES COMMUNICATIONS ET LES SERVICES EN FRANÇAIS GOUVERNEMENT DES TERRITOIRES DU NORD-OUEST PLAN STRATÉGIQUE SUR LES COMMUNICATIONS ET LES SERVICES EN FRANÇAIS Octobre 2012 TABLE DES MATIÈRES PARTIE A : MESURES ET CADRES LÉGISLATIFS ET RÉGLEMENTAIRES

Plus en détail

DÉMYSTIFICATION DE L AUTO-ASSURANCE

DÉMYSTIFICATION DE L AUTO-ASSURANCE POURQUOI L AUTOASSURANCE? Une chaîne de casinos canadiens offre l expérience client idéale. Dès l arrivée des clients et jusqu à leur départ, c est satisfaction garantie! Leurs chambres offrent tous les

Plus en détail

Bureau du surintendant des institutions financières. Audit interne des Services intégrés : Services de la sécurité et de l administration

Bureau du surintendant des institutions financières. Audit interne des Services intégrés : Services de la sécurité et de l administration Bureau du surintendant des institutions financières Audit interne des Services intégrés : Services de la sécurité et de l administration Avril 2014 Table des matières 1. Contexte... 3 2. Objectif, délimitation

Plus en détail

LES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT?

LES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT? LES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT? Élisabeth Mazalon et Sylvain Bourdon Université de Sherbrooke

Plus en détail

DIRIGEZ MIEUX. AMÉLIOREZ VOTRE COACHING AUPRÈS DES LEADERS. INSTAUREZ UNE MEILLEURE CULTURE DE LEADERSHIP.

DIRIGEZ MIEUX. AMÉLIOREZ VOTRE COACHING AUPRÈS DES LEADERS. INSTAUREZ UNE MEILLEURE CULTURE DE LEADERSHIP. DIRIGEZ MIEUX. AMÉLIOREZ VOTRE COACHING AUPRÈS DES LEADERS. INSTAUREZ UNE MEILLEURE CULTURE DE LEADERSHIP. MOBILIS PERFORMA PRÉSENTE LE PROGRAMME DE FORMATION PROFESSIONNELLE EN, UNE FORMATION ÉLABORÉE

Plus en détail

Protection des renseignements personnels, publicité ciblée et médias sociaux : Ampleur du problème : certaines observations déconcertantes

Protection des renseignements personnels, publicité ciblée et médias sociaux : Ampleur du problème : certaines observations déconcertantes Protection des renseignements personnels, publicité ciblée et médias sociaux : Ampleur du problème : certaines observations déconcertantes Avner Levin * * Professeur agrégé et directeur, Privacy and Cyber

Plus en détail

LIMITED PREVIEW VERSION. Mini-guide de la. Par Dr. Richard Paul Et Dr. Linda Elder

LIMITED PREVIEW VERSION. Mini-guide de la. Par Dr. Richard Paul Et Dr. Linda Elder Mini-guide de la Pensée Critique Con c e p t s et In s t r u m e n t s Par Dr. Richard Paul Et Dr. Linda Elder The Foundation for Critical Thinking www.criticalthinking.org 707-878-9100 cct@criticalthinking.org

Plus en détail

Une vision d avenir. Il était deux petits navires. Mise en contexte. Rapport Perrault. Forum des générations (2004) En bref...

Une vision d avenir. Il était deux petits navires. Mise en contexte. Rapport Perrault. Forum des générations (2004) En bref... Une vision d avenir Il était deux petits navires Alain Poirier, directeur national de santé publique et sous-ministre adjoint février 200 En bref... Mise en contexte Une mise en contexte Quelques données

Plus en détail

Présentation au Comité permanent des finances de la Chambre des communes Mémoire prébudgétaire 2015 31 juillet 2014

Présentation au Comité permanent des finances de la Chambre des communes Mémoire prébudgétaire 2015 31 juillet 2014 Présentation au Comité permanent des finances de la Chambre des communes Mémoire prébudgétaire 2015 31 juillet 2014 Ingénieurs Canada 1100-180, rue Elgin Ottawa (Ontario) K2P 2K3 Au sujet d Ingénieurs

Plus en détail

À propos de Co operators

À propos de Co operators Co-operators est heureuse de présenter un mémoire en réponse au document de réflexion du Groupe de travail sur les pointages de crédit du CCRRA sur l utilisation des pointages de crédit par les assureurs,

Plus en détail

L ASSOCIATION DES TRAVAILLEURS SOCIAUX DU NOUVEAU-BRUNSWICK

L ASSOCIATION DES TRAVAILLEURS SOCIAUX DU NOUVEAU-BRUNSWICK L ASSOCIATION DES TRAVAILLEURS SOCIAUX DU NOUVEAU-BRUNSWICK NORMES SUR L EMPLOI DE LA TECHNOLOGIE DANS LA PRATIQUE DU TRAVAIL SOCIAL 2010 Adopté le 5 juin 2010 Table des matières Remerciements p. 3 Préface

Plus en détail

Association canadienne de la construction. Mémoire prébudgétaire 2015

Association canadienne de la construction. Mémoire prébudgétaire 2015 Association canadienne de la construction Mémoire prébudgétaire 2015 Synopsis L Association canadienne de la construction (ACC) représente 20 000 entreprises de construction non résidentielle au Canada.

Plus en détail

IBM SPSS Direct Marketing

IBM SPSS Direct Marketing IBM SPSS Statistics 19 IBM SPSS Direct Marketing Comprenez vos clients et renforcez vos campagnes marketing Points clés Avec IBM SPSS Direct Marketing, vous pouvez : Comprendre vos clients de manière plus

Plus en détail

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.277/ESP/4 (Add.1) 277 e session Conseil d administration Genève, mars 2000 Commission de l'emploi et de la politique sociale ESP QUATRIÈME QUESTION À L ORDRE DU JOUR

Plus en détail

ISBN-13 : 978-2-922325-43-0 Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2009

ISBN-13 : 978-2-922325-43-0 Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2009 REMERCIEMENTS AUX PARTENAIRES Cette étude a été réalisée grâce à la participation financière de la Commission des partenaires du marché du travail et du ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport.

Plus en détail

Conseil de recherches en sciences humaines du Canada

Conseil de recherches en sciences humaines du Canada Conseil de recherches en sciences humaines du Canada Annexe à la Déclaration de responsabilité de la direction englobant le contrôle interne en matière de rapports financiers (non vérifiée) Exercice 2011-2012

Plus en détail

Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive

Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive Transcription et traduction de la communication de Verity DONNELLY colloque Éducation inclusive, la question

Plus en détail

Compétences de gestion et leadership transformationnel : les incontournables liés au nouveau contexte environnemental

Compétences de gestion et leadership transformationnel : les incontournables liés au nouveau contexte environnemental Compétences de gestion et leadership transformationnel : les incontournables liés au nouveau contexte environnemental Natalie Rinfret, Ph.D. Colloque de l Association des directeurs généraux des services

Plus en détail

Sondage sur la volonté d améliorer la gouvernance

Sondage sur la volonté d améliorer la gouvernance Sondage sur la volonté d améliorer la gouvernance Ce Sondage sur la volonté d améliorer la gouvernance a été adapté, avec la permission de Quantum Transformation Technologies, de son Governance & Managerial

Plus en détail

Quand le bâtiment va, tout va

Quand le bâtiment va, tout va Quand le bâtiment va, tout va Citation de Martin Nadeau en 1849 à l Assemblée législative de la France Martin Nadeau Ancien ouvrier maçon Député à l Assemblée législative Les sots font bâtir les maisons

Plus en détail

Une école adaptée à tous ses élèves

Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves PLAN D'ACTION EN MATIÈRE D'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS

Plus en détail

Synthèse accompagnée d une évaluation critique Processus

Synthèse accompagnée d une évaluation critique Processus Synthèse accompagnée d une évaluation critique Processus Mise à jour : avril, 2015 Version 1.0 HISTORIQUE DES RÉVISIONS Le présent document sera régulièrement révisé dans le cadre des activités d amélioration

Plus en détail

Les bases de l informatique en nuage : revaloriser les technologies de l information

Les bases de l informatique en nuage : revaloriser les technologies de l information Les bases de l informatique en nuage : revaloriser les technologies de l information 2 mai 2011 2 Les bases de l informatique en nuage : revaloriser les technologies de l information Introduction Sur un

Plus en détail

Programme des Sociétés de capital de démarrage

Programme des Sociétés de capital de démarrage Programme des Sociétés de capital de démarrage Bourse de croissance TSX Programme des Sociétés de capital de démarrage Êtes-vous prêt pour l inscription en Bourse? L entrepreneuriat est en pleine effervescence

Plus en détail

UPS est inégalée. Découvrez TOUT ce que nous pouvons faire pour vous.

UPS est inégalée. Découvrez TOUT ce que nous pouvons faire pour vous. est inégalée. Découvrez TOUT ce que nous pouvons faire pour vous. Misez sur et bénéficiez d un avantage concurrentiel Le monde des affaires évolue à un rythme effréné. C est pourquoi vous devez pouvoir

Plus en détail

Le rôle du courtier principal

Le rôle du courtier principal AIMA CANADA SÉRIE DE DOCUMENTS STRATÉGIQUES Le rôle du courtier principal Le courtier principal (ou courtier de premier ordre) offre aux gestionnaires de fonds de couverture des services de base qui donnent

Plus en détail

Perspectives sur les Politiques Voyages en Europe

Perspectives sur les Politiques Voyages en Europe Perspectives sur les Politiques Voyages en Europe Synthèse de l étude Réalisé par TRW Travel & Expense Management LLC Synthèse de l étude Egencia, la Fondation NBTA et les consultants de TRW Travel and

Plus en détail

Guide du programme Transition vers l'après-secondaire

Guide du programme Transition vers l'après-secondaire Guide du programme Juin 2008 Attributs du diplômé de la Colombie-Britannique Au cours de consultations qui se sont échelonnées sur toute une année dans l ensemble de la province, des milliers de citoyens

Plus en détail

Évaluation périodique du programme MBA coop Résumé Faculté d administration

Évaluation périodique du programme MBA coop Résumé Faculté d administration Évaluation périodique du programme MBA coop Résumé Faculté d admini istration Mai 2012 1 Le programme de maîtrise en administration des affaires, cheminement coopératif (MBA Coop) de la Faculté d administration

Plus en détail

www.rbcassurances.com

www.rbcassurances.com Pour de plus amples renseignements, veuillez visiter le site www.rbcassurances.com CROISSANCE SOLIDITÉ INTÉGRATION APERÇU DE LA SOCIÉTÉ 2004 Marques déposées de la Banque Royale du Canada. Utilisées sous

Plus en détail

Déterminer quelle somme dépenser en matière de sécurité des TI

Déterminer quelle somme dépenser en matière de sécurité des TI Déterminer quelle somme dépenser en matière de sécurité des TI Un InfoDossier d IDC 2015 Introduction Les organisations peinent à déterminer quelle somme dépenser en matière de sécurité des TI, un investissement

Plus en détail

LE PROGRAMME D APPRENTISSAGE ET DE LEADERSHIP DU PERSONNEL ENSEIGNANT Résumé : Rapport de recherche 2013-2014

LE PROGRAMME D APPRENTISSAGE ET DE LEADERSHIP DU PERSONNEL ENSEIGNANT Résumé : Rapport de recherche 2013-2014 LE PROGRAMME D APPRENTISSAGE ET DE LEADERSHIP DU PERSONNEL ENSEIGNANT Résumé : Rapport de recherche 2013-2014 Carol Campbell, Ann Lieberman et Anna Yashkina avec Nathalie Carrier, Sofya Malik et Jacqueline

Plus en détail

Vos données sont-elles adaptées à l informatique en nuage?

Vos données sont-elles adaptées à l informatique en nuage? ÉTUDE TECHNIQUE Vos données sont-elles adaptées à l informatique en nuage? De toutes les questions à se poser avant de migrer vers le nuage, la suivante est la plus pertinente : mes données sont-elles

Plus en détail

Direction des bibliothèques. Sondage Ithaka S+R. Questionnaire français Université de Montréal

Direction des bibliothèques. Sondage Ithaka S+R. Questionnaire français Université de Montréal Direction des bibliothèques Sondage Ithaka S+R Questionnaire français Université de Montréal Décembre 2014 Modules retenus Découverte Activités de recherche numérique Compétences informationnelles des

Plus en détail

Evaluation du cursus «Marketing» 2010-2011

Evaluation du cursus «Marketing» 2010-2011 Evaluation du cursus «Marketing» 2010-2011 RAPPORT FINAL DE SYNTHESE Ecole Supérieure des Affaires - Namur Comité des experts : M. Jean TONDEUR, président M. Laurent ARNONE, M. Alain PIEKAREK, M. Michel

Plus en détail

Surtout, Données de recherche Canada salue le leadership dont le Groupe 3+ a fait preuve en mettant en branle l actuel processus de consultation.

Surtout, Données de recherche Canada salue le leadership dont le Groupe 3+ a fait preuve en mettant en branle l actuel processus de consultation. Réponse de Données de recherche Canada au document de consultation Tirer profit des données massives : Vers un nouveau cadre stratégique pour l évolution de la recherche numérique au Canada Novembre 2013

Plus en détail

Rapport sommaire. Table ronde sur la mobilité des étudiantes et étudiants dans l hémisphère occidental

Rapport sommaire. Table ronde sur la mobilité des étudiantes et étudiants dans l hémisphère occidental Rapport sommaire Table ronde sur la mobilité des étudiantes et étudiants dans l hémisphère occidental Buenos Aires, Argentine 1-3 décembre 2000 Au cours des dix dernières années, le Canada a joué un rôle

Plus en détail

MODÈLE D ÉVALUATION DU LEADERSHIP CCPE

MODÈLE D ÉVALUATION DU LEADERSHIP CCPE MODÈLE D ÉVALUATION DU LEADERSHIP CCPE Le processus d octroi du titre de médecin gestionnaire certifié du Canada (Canadian Certified Physician Executive CCPE) oblige à évaluer les compétences en leadership

Plus en détail

Stratégies gagnantes pour les prestataires de services : le cloud computing vu par les dirigeants Dossier à l attention des dirigeants

Stratégies gagnantes pour les prestataires de services : le cloud computing vu par les dirigeants Dossier à l attention des dirigeants Dossier à l attention des dirigeants Centres d évaluation de la technologie inc. Le cloud computing : vue d ensemble Les sociétés de services du monde entier travaillent dans un environnement en pleine

Plus en détail

Le volleyball est notre sport, notre passion, notre communauté nous inspirons les Canadiens à embrasser le volleyball pour la vie

Le volleyball est notre sport, notre passion, notre communauté nous inspirons les Canadiens à embrasser le volleyball pour la vie Le volleyball est notre sport, notre passion, notre communauté nous inspirons les Canadiens à embrasser le volleyball pour la vie Révision du plan stratégique de Volleyball Canada février 2009 Table des

Plus en détail

BUREAU DE LA SÉCURITÉ DES TRANSPORTS DU CANADA

BUREAU DE LA SÉCURITÉ DES TRANSPORTS DU CANADA BUREAU DE LA SÉCURITÉ DES TRANSPORTS DU CANADA Vérification de la disponibilité d outils de travail bilingues Le 25 avril 2007 TABLE DES MATIÈRES 1. RÉSUMÉ... 2 2. CONTEXTE... 3 3. OBJECTIF ET CRITÈRES...

Plus en détail

Rapport d évaluation de la licence professionnelle

Rapport d évaluation de la licence professionnelle Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence professionnelle Entrepreneuriat de l Université Paris 13 - Paris-Nord Vague D 2014-2018 Campagne d évaluation 2012-2013 Section

Plus en détail

L assurance qualité N 4. Décembre 2014

L assurance qualité N 4. Décembre 2014 N 4 L assurance qualité Décembre 2014 L es investissements dans les systèmes et services d orientation tout au long de la vie (OTLV) doivent démontrer le bénéfice pour les individus, les communautés et

Plus en détail

F é d é r a t i o n d e l h a b i t a t i o n c o o p é r a t i v e d u C a n a d a. Choisir un modèle de gestion pour votre coopérative

F é d é r a t i o n d e l h a b i t a t i o n c o o p é r a t i v e d u C a n a d a. Choisir un modèle de gestion pour votre coopérative F é d é r a t i o n d e l h a b i t a t i o n c o o p é r a t i v e d u C a n a d a Choisir un modèle de gestion pour votre coopérative À propos de ce guide 1 Introduction 1 À propos de ce guide... 1

Plus en détail

Affaires autochtones et Développement du Nord Canada. Rapport de vérification interne

Affaires autochtones et Développement du Nord Canada. Rapport de vérification interne Affaires autochtones et Développement du Nord Canada Rapport de vérification interne Vérification du cadre de contrôle de gestion pour les subventions et contributions de 2012-2013 (Modes de financement)

Plus en détail

Profil des compétences du CFP professionnel

Profil des compétences du CFP professionnel Profil des compétences du CFP professionnel 1 Publié par le Conseil des normes de planification financière (FPSC ) Déni de responsabilité : Le FPSC ne fournit pas de services professionnels de planification

Plus en détail

Le système d accréditation n est pas un système basé sur la conformité à la. de ce fait, il se différencie

Le système d accréditation n est pas un système basé sur la conformité à la. de ce fait, il se différencie Système d accreditation des organismes de formation Origine, objectifs et méthodologie du système d accréditation Carlos Capela Coordinateur du projet INOFOR - Institut pour l innovation dans la formation

Plus en détail

DESCRIPTION DE POSTE. Directeur, Intégrité des programmes (IP)

DESCRIPTION DE POSTE. Directeur, Intégrité des programmes (IP) DESCRIPTION DE POSTE Titre du poste Directeur, Intégrité des programmes (IP) Composante organisationnelle Finances, gestion du risque et administration et bureau du Dirigeant principal des finances Titre

Plus en détail

McMaster Health Forum

McMaster Health Forum McMaster Health Forum Résumé du dialogue : L intégration des infirmières cliniciennes spécialisées et des infirmières praticiennes dans les milieux de soins actifs au Canada Le 7 juillet 2011 1 L intégration

Plus en détail

Note de mise en œuvre

Note de mise en œuvre Note de mise en œuvre Objet : appliquant l approche standard ou une AMA Catégorie : Fonds propres N o : A & A-1 Date : Mai 2006 I. Introduction L objectif de cette note de mise en œuvre est de présenter

Plus en détail

CAMPUS DU MARKETING MULTICANAL

CAMPUS DU MARKETING MULTICANAL CAMPUS DU MARKETING MULTICANAL de Postes Canada EDUCATION, ATELIERS À AWARENESS L INTENTION & DES HANDS-ON PROFESSIONNELS TRAINING FOR AGENCY PROFESSIONALS DE LA PUBLICITÉ Fundamentals Pour des campagnes

Plus en détail

pareils! Katherine Marshall

pareils! Katherine Marshall Les gestionnaires gestionnaires : pas tous pareils! : pas tous pareils! Katherine Marshall Qui sont les directeurs et que font-ils? La réponse à cette question n est pas aussi simple qu elle le paraît

Plus en détail

médicale canadienne, l Institut canadien d information sur la santé, Santé Canada et le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada.

médicale canadienne, l Institut canadien d information sur la santé, Santé Canada et le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada. DEPUIS PLUSIEURS ANNÉES, la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) interroge ses membres sur plusieurs aspects touchant leur pratique professionnelle à l aide de sondages, de groupes de

Plus en détail

Série «Connaissances et employabilité» Préparation au milieu de travail, 8 e et 9 e années

Série «Connaissances et employabilité» Préparation au milieu de travail, 8 e et 9 e années Série «Connaissances et employabilité» Préparation au milieu de travail, 8 e et 9 e années Les cours de la série «Connaissances et employabilité» du secondaire premier cycle sont axés sur l exploration.

Plus en détail