Comment mettre en place un échange paille fumier (ou autres déjections)?
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- Eric Beauchamp
- il y a 7 ans
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1 04 6 Comment mettre en place un échange paille fumier (ou autres déjections)? LA PAILLE La valeur agronomique de la paille : Les pailles de céréales (blé tendre, orge ) sont, soit laissées sur les parcelles après broyage et enfouissement (restitutions des unités fertilisantes, entretien du stock d'humus), soit exportées en dehors des parcelles (litières, fourrage, combustible ou support de culture pour les champignonnières). L'enfouissement des pailles permet une restitution de carbone et des éléments minéraux prélevés par la plante. Il favorise l'activité biologique du sol, permet une réorganisation des reliquats d'azote minéral présents après la moisson, ce qui l'empêche d'être lessivé. La paille permet de protéger le sol contre l'érosion. La contribution des pailles à l'entretien organique des sols est faible, mais c'est un minimum qui est assuré dans des rotations céréalières. La valeur équivalent engrais de la paille : Une tonne de paille exporte environ 6 unités d'azote, 2 unités de phosphore et 12 unités de potasse avec quelques variations suivant les types de céréales : Teneurs en phosphore et potasse des pailles de céréales Espèces Phosphore (kg/t) Potasse (kg/t) Blé tendre et dur Orge Triticale 2 10 Seigle 3 12 Sa valeur équivalent engrais peut être estimée à 12.9 /T (1), avec peu de variations suivant le type de céréales. On peut estimer la production de paille à environ 60 kg/q de grain récolté, soit une production de paille de 3 5 T/ha pour des rendements de 50 à 80 q/ha (une partie est perdue sous forme de menues pailles et de chaumes). Les exportations en Ca0 sont d'environ 12 kg/t. Photo n 1 : stockage de paille au champ «Déchets» Version Septembre 2010
2 Les pailles des autres cultures : Le colza La production de paille de colza est assez faible de part une hauteur de coupe élevée (1 à 2 T/ha de paille selon le rendement). La paille de colza est une paille cassante, assez délicate à récolter et à presser. Elles sont le plus souvent restituées au sol, avec des fournitures en éléments fertilisants de : 7 kg d'azote 2.9 kg de phosphore Une tonne de paille de colza restitue au sol 20 kg de 1 kg de potasse magnésie 2 kg de soufre Elle peut intéresser des éleveurs en mélange avec des pailles plus nobles (céréales) pour certaines litières. Le tournesol Les pailles de tournesol sont restituées au sol, leur récolte est délicate avec une coupe haute du capitule en conditions parfois humides. La récolte peut porter sur 1 à 2 T/ha. Le maïs Les pailles de maïs peuvent se récolter après la moisson du maïs grain. Le rendement est de 1 à 2 T/ha, avec des pailles assez humides qu'il convient de ramasser en conditions sèches (délicat vu les périodes de récolte du maïs grain). Cette paille peut remplacer la paille de blé pour des espèces peu exigeantes (génisses). Les menues pailles Les menues pailles représentent 1 à 2 T de MS/ha avec des résidus du grain (glumes, ), des brindilles de pailles, des graines,. Cette récolte s'effectue avec un récupérateur spécifique derrière la moissonneuse. Elles peuvent intéresser des éleveurs (litières avicoles), des installations de méthanisation et être échangées contre du fumier ou du digestat. Photo n 2 : chantier de récolte de menues pailles LES DEJECTIONS La valeur agronomique des déjections : Cette valeur est très variable suivant les cheptels exploités, les modes de logements des animaux, leur paillage,. Les fumiers et les composts sont des amendements organiques, qui apportent de l'humus au sol, améliorent leur fonctionnement biologique et leur structure. L'apport d'éléments minéraux s'effectue sur le long terme (minéralisation des matières organiques). Les déjections liquides n'apportent pas d'humus au sol, mais elles sont source d'éléments minéraux rapidement disponibles pour les plantes (lisiers et fientes sans litières). Toutes les déjections sont aujourd'hui valorisées par épandage sur les terres agricoles ou utilisées comme matières premières pour la fabrication d'amendements ou d'engrais organiques, elles constituent la première source d'éléments fertilisants sur les exploitations d'élevage, voire l'unique source pour la potasse et le phosphore pour nombre d'exploitations d'élevage. Ces apports permettent de couvrir une partie des besoins des plantes en soufre et en calcium pour le sol.
3 Photo n 3 : épandage de fumier sur chaume La valeur équivalent engrais des fumiers et lisiers : Les fumiers et lisiers contiennent des éléments minéraux (N, P2O5, K2O, CaO, MgO, SO3), de la matière organique issue des déjections et des litières. Il est donc possible de calculer une valeur engrais de ces effluents, en fonction de leurs teneurs en éléments fertilisants : Type d'effluent Unités N/T ou m 3 Unités P2O5/T ou m 3 Unités K2O/T ou m 3 Taux de matière sèche Valeur engrais en /T de brut (1) Fumier de bovin étable % 9 entravée Fumier de bovin % 11 stabulation Lisier de bovin pur % 7.2 Fumier de mouton % Fumier de chèvre % 11 Lisier de porc % 9.5 engraissement Lisier de lapin % 19 Fumier de canard % 11.7 Fumier de volaille label % 34.8 Fumier de volaille de chair Fiente sèche de poules pondeuses % % 70.8 (1) avec les valeurs suivantes (juin 2010) : N = 0.75 /kg, P2O5 = 0.6 /kg, K2O = 0.6 /kg Il est difficile de donner une valeur humus aux déjections, compte tenu des vitesses de minéralisation de l'humus, variables suivant les types de sols, les périodes d'apport, les rotations et les types de déjections. Ces valeurs correspondent à des déjections fraîches, sorties bâtiment. Ces valeurs engrais sont à modérer compte tenu des disponibilités des éléments pour les plantes : suivant les déjections et les périodes d'apport, l'azote est mobilisable de 30 à 80% l'année de l'apport, la potasse est disponible à 100% pour les plantes (pour toutes les déjections), le phosphore est assimilable entre 60 et 100% suivant les déjections
4 Les fumiers compostés (fumiers de bovins, ovins, caprins, canards) ont une valeur fertilisante supérieure à 30% par rapport aux déjections brutes. Une plus value est à compter en plus (3 /T de compost). Les fumiers, les composts sont également des sources non négligeables de soufre (sous forme organique ou de sulfate, rapidement assimilable) et de calcium (de 10 à 100 kg/t suivant le type de déjections), donnant une valeur supplémentaire (fumiers et fientes de volaille riches en chaux). L EQUIVALENCE PAILLE FUMIER Photo n 4 : compostage de fumier avec un retourneur d'andain L'échange se fait sur les bases suivantes : paille en andains chez le céréalier, fumier ou lisier stocké chez l'éleveur (fumière ou stabulation). Un calcul simplifié peut s'effectuer de la façon suivante : Unités fertilisantes (kg/t ou m3) (A) Coût des unités ( ) (B) (coût à actualiser suivant le marché des engrais minéraux) Prix des unités fertilisantes ( /T ou m 3 ) (A)*(B) Prix de la fertilisation NPK Paille de céréales Vos déjections (fumiers, lisiers) N P2O5 K20 N P2O5 K N + P2O5 + K20 = valeur fertilisante de la paille (1) N + P2O5 + K20 = valeur fertilisante des déjections (2) Pour une tonne de paille ramassée, je dois restituer (1)/(2) tonnes de fumier ou m 3 lisier Sur la base d'une équivalence engrais entre la paille et le fumier ou le lisier, une tonne de paille peut s'échanger contre : 1,30 T de fumier de bovin étable entravée 1,10 T de fumier de bovin stabulation 1,40 m 3 de lisier de bovin pur 0,90 T de fumier de mouton Une tonne de paille prise en andain derrière la moissonneuse s'échange contre 0,90 T de fumier de chèvre 1,10 m 3 de lisier de porc engraissement 0,60 m 3 de lisier de lapin 1,10 T de fumier de canard 0,30 T de fumier de volaille label 0,25 T de fumier de volaille de chair 0,15 T de fiente sèche de poules pondeuses Un éleveur disposant de quantités importantes de fumier sur son exploitation pourra mieux le valoriser en exportant une partie contre de la paille. Un céréalier disposant de paille améliorera plus rapidement le niveau de matière organique de son sol par l'échange paille/fumier plutôt qu'en enfouissant simplement les pailles. L'augmentation des taux de matières organique des sols n'est pas judicieux au delà d'un taux de 2,50%, avec des risques accrus de lessivage par excès de minéralisation. Document conçu et réalisé par la Chambre d Agriculture des Deux-Sèvres Merci de ne pas jeter sur la voie publique Auteur : Thierry PELOQUIN Tél : ou
5 L'échange paille fumier peut faire intervenir d'autres éléments comme les aspects travail (échange du fumier/pressage de la paille), culturaux (volume de paille, qualité pour certains élevages, distance et regroupement parcellaire), réglementaires (contrats de reprise). L ANALYSE DES EFFLUENTS Cette analyse permet de connaître la valeur fertilisante des fumiers et lisiers. Elle doit comprendre au minimum : la matière sèche, la matière organique, le ph, l'azote total, l'azote ammoniacal, le phosphore, la potasse, la chaux, la magnésie et le soufre. Des kits de prélèvement et des fiches de renseignements pour l'analyse sont disponibles auprès de la Chambre d'agriculture. Le coût de ces analyses est d'environ 50 HT (résultats sous 15/20 jours). Cette analyse est la plus fiable pour donner une valeur engrais à un lisier ou un fumier. L'expédition des échantillons doit être rapide. Ces analyses sont à réaliser au plus près des épandages pour connaître les produits épandus et intégrer l'évolution de la qualité des déjections (compostage, stockage au champ, pertes d'azote ammoniacal, dilution ). L'analyse permettra d'affiner la valeur engrais des déjections. LE TONNAGE DE FUMIER PRODUIT SUR UNE EXPLOITATION Cette estimation est nécessaire pour toute transaction. Le plus juste est d'avoir des pesées de bennes ou d'épandeurs de fumier pour connaître le tonnage produit pour un atelier. Le Dexel réalisé sur l'exploitation (mise aux normes) permet d'avoir aussi des estimations des tonnages de fumier produit et de paille consommée (kg de paille/jour/animal). Pour mémoire on peut citer les chiffres suivants : fumier de volaille de chair : production de 150 à 200 kg/m²/an (dindes, poulets, pintades) fumier de chèvre ou de mouton : 1 T/chèvre/an en bâtiment fumier de bovin : 15 T/UGB en bâtiment sur un an. LA DENSITE DES FUMIERS PRODUITS Cette densité est variable d'un fumier à l'autre et des conditions de stockage (sèches ou humides). Par exemple : Fumier pailleux sortie bâtiment Stockage fumière couverte ou champ 3 mois Stockage au champ longue durée Fumier de bovin kg/m kg/m kg/m 3 Fumier de volaille kg/m kg/m kg/m 3 La densité des fumiers stockés au champ augmente facilement de 50 à 60% suivant les conditions de stockage et les types de fumier. Photo n 5 : stockage de fumier au champ
6 VALEUR DE VENTE DES EFFLUENTS En cas de besoins en paille satisfaits sur une exploitation d'élevage, la valeur de vente est à moduler compte tenu de la proximité du repreneur : un éleveur pourra vendre plus facilement son fumier à un tiers, si celui-ci est proche de son exploitation (faibles coûts de transport permettant d'approcher une valeur de vente proche de la valeur engrais) ou si la valeur ajoutée réalisée par le repreneur est élevée (certaines cultures spécialisées dégagent des marges plus élevées comme le maraîchage, les intrants organiques ont une place importante pour ces cultures). les lisiers (porcs, canards, veaux, bovins) sont en général repris gratuitement au départ de l'élevage, une valeur engrais peut être négociée pour des lisiers de porcs en engraissement, sans eaux parasites (lisiers concentrés en fosses couvertes) les fumiers de volailles (labels ou industriels) et les fientes sèches sont les fumiers qui se transportent le plus facilement de part leur valeur intrinsèque et leur intérêt agronomique. La vente est préférable à l'échange de part le transport et les besoins spécifiques des volailles (paille broyée, copeaux ) au-delà de la valeur engrais, peuvent être intégrés les frais de transport (paille et fumier), de pressage de paille, de stockage, d'épandage, de mise à disposition de matériel Pour un éleveur en hors-sol pur, une vente de fumier est préférable à un échange contre de la paille : les modalités de gestion sont plus simples entre les deux parties, ces transactions feront l'objet d'une facturation. L'équipement de l'éleveur fait souvent défaut pour le pressage et le transport de la paille. L EXPORATION DE DEJECTIONS Au-delà des transactions réalisées entre l'éleveur et le céréalier, il est important d'avoir une situation réglementaire à jour (notamment pour l'éleveur) avec : pour l'éleveur : un plan d'épandage à jour avec ses repreneurs (si l'élevage est soumis à déclaration ou autorisation suivant ses effectifs), une convention d'épandage co-signée par les deux parties, des bordereaux d'exportation de déjections à jour (ces bordereaux comprennent l'identification du producteur de l'effluent et le destinataire, la nature du produit exporté et sa teneur en azote, les tonnages livrés, la quantité totale d'azote reprise, les dates de livraison et les parcelles réceptrices (n d'îlots), pour le céréalier (repreneur) : un double de la convention d'épandage et des bordereaux co-signés (documents en annexe). Pour plus de renseignements vous pouvez contacter vos conseillers habituels sur les bureaux de Bressuire, Parthenay, Thouars ou les Ruralies, ainsi que le site Internet de la Chambre d'agriculture des Deux Sèvres : où vous trouverez un tableur excel permettant d'établir une base d'échange en intégrant plus de paramètres. Document conçu et réalisé par la Chambre d Agriculture des Deux-Sèvres Merci de ne pas jeter sur la voie publique Auteur : Thierry PELOQUIN Tél : ou
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