ANALYSE DES PERFORMANCES DES DIRIGEANTS SUCCESSIFS DE PROCAPEC ET DE SON RESEAU DE SA CREATION AU ans d existence de ce réseau
|
|
- Bertrand Barrette
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ANALYSE DES PERFORMANCES DES DIRIGEANTS SUCCESSIFS DE PROCAPEC ET DE SON RESEAU DE SA CREATION AU ans d existence de ce réseau Expertise élaborée par Mr Robert P. 01/02/2011
2 2 ANALYSE DES PERFORMANCES DES DIRIGEANTS SUCCESSIFS DE PROCAPEC ET DE SON RESEAU DE SA CREATION AU L accès au capital financier étant une des conditions à satisfaire pour permettre la génération d activités économiques. Une des questions à résoudre était de faire favoriser des mécanismes institutionnels et opérationnels durables pour financer des opérations micro-économiques viables au niveau du secteur informel et des couches défavorisées de la population. Sur la base de cette réflexion, la BCM jugea opportun de solliciter l aide technique du groupe DID (Développement International Desjardins- caisses populaires d épargnes et du crédit canadiennes), pour la mise en place d un programme de financement de microprojets et de crédit au secteur informel afin de contribuer efficacement dans la lutte contre la pauvreté. D où la création de Procapec. L Agence de Promotion des Caisses Populaires d Epargne et de Crédit «PROCAPEC» créée en mars 1997 par l instruction 001/GR/97 du Gouverneur de la Banque Centrale de Mauritanie, a pour missions : Article 1 : la Procapec est chargée de faire émerger un réseau de caisses populaires d épargne et de crédit sur le territoire national. Article 2 : la Procapec a pour missions : - D implanter les Capecs sur le territoire national pour mobiliser l épargne et faire du crédit. - D appuyer la micro-entreprise du mouvement des Capecs en finançant son activité. - D apporter la logistique et l assistance technique et financière aux Capecs. - De donner aux Capecs les moyens de faire du crédit. - De vérifier le respect des dispositions règlementaires. - D organiser les opérations de refinancement des Capec. - De négocier pour le compte des Capecs des accords de partenariat avec des établissements externes. Article 3 : l Agence Procapec est sous l autorité d un directeur qui est placé sous la supervision d un comité d orientation. Article 4 : composition du comité de pilotage, présidé par la Bcm et 4 autres membres Depuis sa création en 1997, quatre directeurs se sont succédés à la tête de cette institution, il s agit de : Mr Ahmed Ould Boucheiba (son fondateur à partir de rien) de Juin 1997 à Décembre 2006 soit plus de 9 ans Mr Cheikh el Kébir Ould Chbih de Décembre 2006 à Mai 2007 soit moins 6 mois Mr Ahmed Khattry (cadre issu de son sérail et disciple du fondateur Mr Boucheiba) de Juin 2007 au 04 janvier 2009 soit 19 mois Mme Nebghouha Mint Tlamid De Janvier 2009 à ce jour 10 Février 2011 Soit plus 24 mois Cette analyse est basée à partir d un tableau s articulant sur 10 items différents, d importances différentes se rapporte à une période d activité globale de 14 années. Trois dirigeants se sont succédés à la tête de cette institution de micro-finance, placée sous la tutelle de la Banque Centrale de Mauritanie. La première partie, la plus longue : 10 ans a vu œuvrer Monsieur BOUCHEIBA, cadre de la BCM ; la seconde la plus courte : 19 mois a été marquée par Monsieur Ahmed KHATTRY, issu de ce réseau ; la dernière et actuelle est celle de Madame NEBGHOUBA, qui est à ce poste depuis un peu plus de deux ans. Robert P. Expert financier international robert-p2011@hotmail.fr 2
3 3 Les items retenus pour réalisés ce comparatifs : 1 Le nombre d adhérents ou sociétaires ; 2 L épargne globale collectée ; 3 L encours de crédits ; 4 Les résultats ; 5 Les comptes financiers ; 6 Les immobilisations nettes ; 7 Le nombre d ouverture de CAPEC (points de vente) ; 8 Les emplois créés ; 9 Les lignes de crédits obtenues de tiers ; 10 Les subventions obtenues de l Etat. Les états suivants ont été à la base de l élaboration de tableau. Ce sont les états consolidés des caisses établis par le service financier de la Procapec et dont copies sont adressées à la Banque Centrale de Mauritanie : Situation financière (regroupé des Capecs) en date du 31 mai 2007 Situation financière (regroupé des Capecs) en date du 31 décembre 2008 Situation financière (regroupé des Capecs) en date du 31 décembre Sociétariat : Dans un système coopératif le sociétariat est le socle indispensable d une institution de micro-finance. Surtout lorsqu il s agit dans l esprit d origine de la création par les pouvoirs publics mauritaniens de créer cet instrument avec pour but la lutte contre la pauvreté. C est une noble ambition dans un pays comme la Mauritanie. A ce niveau il est possible d affirmer que cet objectif a été réellement atteint, puisque le sociétariat est de l ordre de membres, chiffre à rapporter à la population adulte du pays, soit un taux de pénétration de plus de 10% de celle-ci. Cette pénétration a été constante mais longue dans les 10 premières années. Elle a connu une impulsion fulgurante sous l égide d Ahmed KHATTRY, qui voit le réseau s enrichir de nouveaux sociétaires. Par contre lors des deux dernières années ce mouvement s est anémié, puisque moins de nouveaux sociétaires ont rejoint les rangs des CAPEC. 2 Collecte d épargne : Le pilier d une IMF est constitué par sa capacité à recueillir l épargne de ses sociétaires. Ces ressources lui permettant ensuite de pouvoir faire des crédits à ses sociétaires et donc de percevoir des produits financiers, qui assureront son fonctionnement. Au cours des 10 premiers exercices l épargne gérée par ce réseau atteindra millions d ouguiyas. En moins de 2 ans le dirigeant suivant accumulera une épargne supplémentaire de près de millions. Par contre l actuelle dirigeante a perdu environ millions d épargne. Ce qui est le signe d un affaiblissement de ce réseau et d une perte de confiance de son sociétariat. Si cette tendance n est pas rapidement inversée, il est craindre pour l avenir de cette IMF! 3 Encours de crédits : L essentiel des produits financiers d une IMF relève de son portefeuille de crédits, notamment de crédits sains, qui assure une rotation indispensable des fonds investis en crédits. A ce niveau il serait utile d avoir des précisions sur le niveau des créances douteuses, ainsi que sur celles qui ont d ores et déjà été provisionnés, car non recouvrables. Lors des 10 premières années, la progression de l encours a été assez lente, pour atteindre millions d ouguiyas et représenter près de 50% du total de l épargne. Au cours de ses 19 mois d exercice Mr KHATTRY a fait nettement progresser cet encours de plus de 964 millions d ouguiyas et représente 43 % du total de l épargne. Les deux derniers exercices se caractérisent par une forte Robert P. Expert financier international robert-p2011@hotmail.fr 3
4 4 chute de l encours qui perd millions, avec un solde d encours brut de 884 millions, affecté de 415 millions de provisions. Ce montant d encours est à corréler avec la chute de la collecte de l épargne. 4 Résultats : S il est vrai que cette IMF a la particularité d être né d un projet de coopération, avec une vision première de lutte contre la pauvreté. Il apparaît que l obtention de résultats n a pas été la motivation première de ses trois dirigeants successifs. Son positionnement dans la sphère publique pourrait expliquer cela. En 10 ans le premier dirigeant a globalement équilibré sa gestion, puisqu il a généré un résultat positif de près de 44 millions d ouguiyas, mais qu il y a lieu de nuancer par le niveau des subventions reçues. A partir de là ce sont des pertes qui seront enregistrées 126 Millions par Ahmed KHATTRY, dues à un fort investissement et un doublement des effectifs. Peut être qu avec le temps ces investissements humains et matériels auraient pu générer des résultats, mais celui-ci ne lui a pas été accordé. Au cours des deux dernières années les résultats sont devenus catastrophiques, puisque la perte a atteint millions, de même niveau que la perte d épargne. Ceci en dépit d une très importante subvention. A ce train là on risque d aboutir très prochainement à la disparition des fonds propres (subventions cumulées depuis l origine + capital des sociétaires). 5 Comptes financiers : Ces comptes, qui cumulent les actifs monétaires en caisse, dans les banques et les prêts inter-capec, sont intimement liés au niveau de l épargne gérée, mais ne sont pas très significatifs d une gestion, sauf en matière de placements de trésorerie, qui se retrouvent au niveau des résultats. 6 Investissements : Ceux-ci ont été très frugaux au cours des 10 premiers exercices. Par contre ils ont littéralement explosés lors de la gestion du second dirigeant. Ceci s explique par : Le doublement du nombre de Capecs Le renouvellement des équipements des Capecs existantes et de Procapec Informatisation de toutes les Capecs de Nktt, Ndb et Zouerate. Acquisition de véhicules de seconde main pour chaque Capecs (nécessaire au recouvrement). L encouragement de l acquisition de terrains pour construction de siège au lieu de la location Le lancement d un méga projet «Epargne logement», (Achat de terrains et constructions de 6 villas témoins, étude et mise en place d une direction autonome dédiée). Ils ont connu une diminution de près de 195 millions occasionnée par la réalisation d une partie de l actif (vente de plus de 20 véhicules, d un lot important de matériel et mobilier de bureau, de la sortie pour dégradation exceptionnelle d immobilisations et des dotations aux amortissements) au cours des deux derniers exercices. 7 Ouvertures de CAPEC : Une des ambitions originelles de cette IMF était d être présente dans toutes les préfectures du pays, afin d atteindre toute la population mauritanienne. Ces ouvertures ont été progressives dans les 10 premiers exercices pour atteindre un total de 28. Ahmed KHATTRY en a ouvert presque autant (26) en 19 mois d activité. Ce qui explique en partie les investissements précités. Cette politique d ouverture a cessé depuis. 8 Emplois créés : Dans un pays en développement, où le chômage est endémique, la création de toute entité économique est un espoir de travail, pour beaucoup de personnes, quelque soit son niveau de qualification. 400 emplois ont été créés les 10 premières années. Autant l ont été sous l égide du second dirigeant. Ils sont à rapporter au quasi doublement du nombre de CAPEC, du sociétariat, de l épargne recueillie et de l encours de crédits. Depuis les effectifs ont été réduits de 170 unités (ouverture d un plan de départs volontaires). Robert P. Expert financier international robert-p2011@hotmail.fr 4
5 5 9 Lignes de crédits reçues : L épargne recueillie par les IMF est quasiment uniquement constituée d épargne à vue, très volatile et qui nécessite le respect de ratios de liquidité. Les lignes de crédits permettent de surmonter pour partie ces difficultés. Il est à noter que 600 millions ont été obtenus au cours des 10 premières années. 500 millions l ont été au cours des 19 mois suivants, ce qui est insuffisant au regard de l augmentation significative des encours concomitants. Enfin millions l ont été lors des deux derniers exercices. L on peut s interroger sur leurs finalités au vu de la baisse sensible des encours de crédit, puisque cette ligne est supérieure aux encours au 31/12/2010!!! 10 Subventions versées par l Etat : PROCAPEC étant un projet à l origine créée avec l appui de la coopération canadienne, il a été convenu entre les parties du versement d une subvention annuelle par l Etat mauritanien à cette IMF, afin d équilibrer son exploitation. Ce qui était nécessaire dans les premières années d activité, mais cet apport à perdurer au fil des ans. C est ce qui a conduit les dirigeants successifs de ce réseau à se désintéresser de leurs résultats. 180 millions ont été en moyenne versés par l Etat à PROCAPEC au cours des 10 premières années. 138 millions l ont été au cours des 19 mois suivants, soit une moyenne annuelle de 87 millions d ouguiyas, c est une nette régression par rapport à la période précédente ; mais bien moins que les 300 millions annuels versés lors des deux dernières années. Conclusion Les 10 premières années, peuvent se résumer à une gestion administrative de ce réseau, sans réelle prise de risques, mais sans véritable capacité de développement. Le dynamisme commercial impulsé par son second dirigeant a boosté les données économiques du réseau, lui permettant d engranger des résultats très significatifs en matière de sociétariat, d épargne, d encours de crédits, de nombre de CAPEC, d emplois, mais sans que cela ne se traduise par des résultats financiers. Depuis son départ on assiste à la décadence de ce réseau dans tous les domaines analysés. Ce qui fait craindre pour l avenir des CAPEC et de PROCAPEC. Robert P. Robert-p2011@hotmail.fr Consultant international Expert en évaluation d affaires, Comptabilité Micro Finance et gestion bancaire. Robert P. Expert financier international robert-p2011@hotmail.fr 5
6 6 ETAT COMPARATIF DES PERFORMANCES DES DIFFERENTS DIRIGEANTS DE PROCAPEC DE SA CREATION AU 31/12/2010 ADHERENTS EPARGNE GLOBALE ENCOURS DE CREDIT Résultat Comptes Financiers (Caisses, banques et Fonds de liquidité). Total investissements (Immobilisations nettes) REALISE SUR 10 ANS Par BOUCHEIBA et CH.Kébir Moyenne Mensuelle de BOUCHEIBA REALISE EN 19 MOIS PAR AHMED KHATTRY Moyenne Mensuelle DE A.KHATTRY Réalisé par Nebghouha en 24 mois Moyenne Mensuelle de Nebghouha OUVERTURES DE CAPEC 28 1 chaque 5 mois EMPLOIS CREES LIGNE DE CREDIT RECUES SUBVENTIONS VERSEES PAR L'ETAT Robert P. Expert financier international robert-p2011@hotmail.fr 6
Etude : «Identification des IMF partenaires pour la mise en place de la ligne de crédit pour le financement des AGR (Activité 37)».
Ministère du Commerce, de l Artisanat et du Tourisme (MCAT). Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD). UNDAF 2009-2010 Programme conjoint «Patrimoine, tradition et créativité au service
Plus en détailSecrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles
République Islamique de Mauritanie Honneur Fraternité - Justice Secrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles Communication de Madame la Secrétaire d Etat Fatimetou Mint
Plus en détailStratégie Nationale de la
REPUBLIQUE ISLAMIQUE DE MAURITANIE Honneur Fraternité - Justice Stratégie Nationale de la Microfinance Stratégie adoptée lors du Conseil des Ministres du 19 novembre 2003 SOMMAIRE LISTE DES ABREVIATION...
Plus en détailGuide du Consommateur
Guide du Consommateur Les Forfaits et Comptes de banque étudiants Nous avons évalué des forfaits de banques pour 3 banques Canadiennes. Nous vous présenterons la qualité de leurs services, leur taux d'intérêts
Plus en détailMesure et Contrôle des Impayés. Calcul et Fixation de Taux d Intérêt GROUPE COUNSULTATIF POUR L ASSISTANCE AUX PLUS PAUVRES
A I D E - M E M O I R E Mesure et Contrôle des Impayés ET Calcul et Fixation de Taux d Intérêt GROUPE COUNSULTATIF POUR L ASSISTANCE AUX PLUS PAUVRES NOTE Cet aide-mémoire est constitué des messages et
Plus en détailAssociations et micro crédit social : Comment développer un bénévolat spécifique?
Associations et micro crédit social : Comment développer un bénévolat spécifique? Document élaboré sous la responsabilité de Dominique Thierry, Vice-président de France Bénévolat, à partir des contributions
Plus en détail3- TABLEAU DES CASH FLOW
0 3- TABLEAU DES CASH FLOW 2002 Créances de l'actif circulant 212 564 112 536 168 337 Dettes du passif circulant (2 632) (1 634) (909) Provisions cumulées Besoin en fond de roulement 209 932 110 902 167
Plus en détailBanque Zag. Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation. 31 décembre 2013
Banque Zag Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation 31 décembre 2013 Le présent document présente les informations au titre du troisième pilier que la Banque Zag (la «Banque») doit communiquer
Plus en détailSituation financière des ménages au Québec et en Ontario
avril Situation financière des ménages au et en Au cours des cinq dernières années, les Études économiques ont publié quelques analyses approfondies sur l endettement des ménages au. Un diagnostic sur
Plus en détailATELIER Les mutuelles de santé comme acteur et partenaire de la couverture santé universelle
FORMATION SUR LE DEVELOPPEMENT DE L ASSURANCE MALADIE UNIVERSELLE www.coopami.org ATELIER Les mutuelles de santé comme acteur et partenaire de la couverture santé universelle Projet d Appui Institutionnel
Plus en détailLa mesure et la gestion des risques bancaires : Bâle II et les nouvelles normes comptables
La mesure et la gestion des risques bancaires : Bâle II et les nouvelles normes comptables Cycle de Conférence à la Cour de Cassation 21 février 2005 Alain Duchâteau Directeur de la Surveillance Générale
Plus en détailDISPOSITIF CO.RAIL PRET A TAUX ZERO-DOSSIER TYPE
DISPOSITIF CO.RAIL PRET A TAUX ZERO-DOSSIER TYPE Le plan CO.RAIL (Contrat de Reprise d Activité et d Initiative Locale) a été initié fin mars 2009 par le Secrétariat d Etat chargé de l Outre-mer (SEOM),
Plus en détailLa mutuelle de santé, une alternative crédible de couverture du secteur informel?
Rencontre d échanges d expériences entre acteurs sociopolitiques sur les défis et la portée de la protection sociale dans un contexte de grande pauvreté : cas des pays en développement Bamako, 17 & 18/11/2011
Plus en détail[ les éco_fiches ] Situation en France :
Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d
Plus en détailStratégies de mobilisation de l épargne : leçons tirées de l expérience de quatre institutions
Introduction Stratégies de mobilisation de l épargne : leçons tirées de l expérience de quatre institutions Partout dans le monde, les ménages pauvres épargnent sous des formes et à des fins diverses.
Plus en détailIl existe un certain nombre d activités qui sont interdites par l Islam, ou haram en arabe.
Qu est ce que la finance islamique (FI)? La Finance Islamique est l ensemble des instruments financiers qui ont été adoptés suivant les principes de l islam. La FI généralement réduite à l interdiction
Plus en détailManuel des Politiques du Programme de Garanties Partielles du Risque de Crédit (post-séisme)
1 Manuel des Politiques du Programme de Garanties Partielles du Risque de Crédit (post-séisme) Novembre 2010 2 Table des matières Introduction... 3 Politique générale de garantie de crédit... 5 Les grandes
Plus en détailPROPOSITION DE CONTRAT CONCERNANT LA MISE EN PLACE D UN SYSTEME DE MICRO-CREDIT AU VILLAGE DE ZIGLA KOULPELE
PROPOSITION DE CONTRAT CONCERNANT LA MISE EN PLACE D UN SYSTEME DE MICRO-CREDIT AU VILLAGE DE ZIGLA KOULPELE Entre Le C.V.G.T ou le C.V.D, instance représentative du village, et dénommée dans ce contrat
Plus en détailLa surveillance prudentielle des institutions de dépôt
La surveillance prudentielle des institutions de dépôt Journée des carrières de PRMIA Montréal Présentée par : Gouro Sall Diagne Mardi 17 mars 2015 Autorité des marchés financiers AGENDA L AUTORITÉ DES
Plus en détailPRESENTATION AFD- juin 2004
PRESENTATION AFD- juin 2004 Présentation de FINADEV Bénin- Groupe FINANCIAL AFD Paris - juin 2004 1 1. PRESENTATION GENERALE Si vous le permettez, avant de vous exposer la situation de FINADEV BENIN, première
Plus en détailAVIS. Vu le décret n 2011-1388 du 28 octobre 2011 modifiant le décret n 2006-1267 du 16 octobre 2006 instituant un Conseil de l'immobilier de l'état ;
2013-29 Séance du 13 novembre 2013 AVIS Sur le suivi et la mise en œuvre du schéma pluriannuel de stratégie immobilière de l Agence de l environnement et de la maîtrise de l énergie (ADEME) Vu le décret
Plus en détailCHAPITRE VI : INTERMEDIATION DU SECTEUR BANCAIRE
CHAPITRE VI : INTERMEDIATION DU SECTEUR BANCAIRE L ordonnance n 10-04 du 26 août 2010, modifiant et complétant l ordonnance n 03-11 relative à la monnaie et au crédit, stipule que la Banque d Algérie est
Plus en détailMicro crédit-bail et l'expérience de la Grameen Bank
Micro crédit-bail et l'expérience de la Grameen Bank BIM n 114-3 avril 2001 Karin BARLET Le crédit-bail ou leasing est une opération simple, pratiquée depuis longtemps dans de nombreux pays. Aujourd hui
Plus en détailSolution et services associés aux Cartes Multi-commerce
Solution et services associés aux Cartes Multi-commerce Notre savoir-faire : augmenter votre chiffre d affaires Notre métier : Optimiser les stratégies client par des actions marketing à fort impact Spécialiste
Plus en détailPartage des coûts vs gratuité
Assurance maladie et gratuité des soins en Afrique subsaharienne : quelles bases pour une couverture universelle? Alain Letourmy (CNRS et animateur du réseau RAMUS (Réseau d appui aux mutuelles de santé))
Plus en détailBrochure. Programme de prêts REE LA BANQUE AU SERVICE DES CONSEILLERS. Réservé aux conseillers à titre d information
Brochure Réservé aux conseillers à titre d information Programme de prêts REE LA BANQUE AU SERVICE DES CONSEILLERS Prêt REE C est un concept simple : le plutôt vous commencez à épargner, plus vos placements
Plus en détailProgramme de prêts REER
Brochure Programme de prêts REER Réservé aux conseillers à titre d information Page 1 de 10 À propos de B2B Banque Un chef de file canadien parmi les fournisseurs de prêts investissement et REER offerts
Plus en détailCarte MasterCard BMO pour voyage prépayé La carte de paiement pour vos voyages
GUIDE DES AVANTAGES Carte MasterCard BMO pour voyage prépayé La carte de paiement pour vos voyages BIENVENUE! PRÉPAREZ-VOUS À UTILISER VOTRE CARTE AVEC UNE PARFAITE TRANQUILLITÉ D ESPRIT. Vous venez de
Plus en détailLogistique et transport de marchandises au Maroc : État des lieux et enjeux. Professeur Mustapha EL KHAYAT
Logistique et transport de marchandises au Maroc : État des lieux et enjeux. Professeur Mustapha EL KHAYAT Président de l Association Marocaine pour la logistique ( AMLOG) I- Le coût de la logistique au
Plus en détailNormes Mauritaniennes de l Action contre les Mines (NMAM) Inclus les amendements Janvier 2014
NMAM 11.10 Normes Mauritaniennes de l Action contre les Mines (NMAM) Inclus les amendements Gestion de l information et rédaction de rapports en Mauritanie Coordinateur Programme National de Déminage Humanitaire
Plus en détail2 ième AG de MAGMET Article de presse 2 ième AG of MAGMET Press article
2 ième AG de MAGMET Article de presse 2 ième AG of MAGMET Press article Le Réseau Maghrébin de Métrologie MAGMET a tenu sa 2 ième Assemblée Générale à Rabat les 31 Mai et 01 Juin 2011. Ont pris part à
Plus en détailArgumentaire du Développement de la Couverture Universelle en Santé au Niger
Argumentaire du Développement de la Couverture Universelle en Santé au Niger Dr HIM & AGK Niamey, avril 2014 P a g e 1 Introduction La Constitution nigérienne du 25 Novembre 2010 dispose, en son article
Plus en détailL activité financière des sociétes d assurances
L activité financière des sociétes d assurances Les marchés boursiers ont repris au cours de l année 2003. Par conséquent, les plus-values latentes sur actifs des sociétés d assurances augmentent. Les
Plus en détailVille de Schiltigheim. Audit financier version définitive
Ville de Schiltigheim Audit financier version définitive 10 octobre 2014 Préliminaire Le présent document vise à présenter les conclusions de l audit financier réalisé entre les mois de juillet 2014 et
Plus en détailLA SOCIÉTÉ D'ASSURANCE-DÉPÔTS DES CAISSES POPULAIRES
LA SOCIÉTÉ D'ASSURANCE-DÉPÔTS DES CAISSES POPULAIRES États financiers Pour l'exercice terminé le 31 décembre 2008 Table des matières Rapport des vérificateurs 2 États financiers Bilan 3 État des résultats
Plus en détailEffectifs : 3 personnes
DÉLÉGATION RÉGIONALE AU COMMERCE ET À L'ARTISANAT Déléguée : Mme Dominique DURAND (depuis janvier 2007) Madame Joselyne FORTEA SANZ (jusqu en décembre 2006) 39 boulevard de la Trémouille 21 000 DIJON Tél.
Plus en détailNickel. Fiche d information. Introduction. Trading sur nickel
Nickel Fiche d information Introduction Trading sur nickel Les usages du nickel, en tant que métal d alliage, sont extraordinairement variés. Son point de fusion élevé et sa résistance à la corrosion font
Plus en détailCOMMUNICATION FINANCIèRE Des Banques Populaires Régionales
COMMUNICATION FINANCIèRE Des Banques Populaires Régionales AU 30 JUIN 2011 Banque Populaire du centre sud Valeurs en caisse, Banques centrales, Trésor public, Service des chèques postaux 182 505 183 673
Plus en détailINSTRUCTION N 009 AUX COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT ET AUX INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE RELATIVE A LA TRANSMISSION DES SITUATIONS PERIODIQUES
INSTRUCTION N 009 AUX COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT ET AUX INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE RELATIVE A LA TRANSMISSION DES SITUATIONS PERIODIQUES La Banque Centrale du Congo, Vu la Loi n 005/2002 du
Plus en détailEpargne : définitions, formes et finalités.
Epargne : définitions, formes et finalités. 1) Définitions de l épargne. Le dictionnaire Larousse définit l épargne comme une «fraction du revenu individuel ou national qui n est pas affectée à la consommation»,
Plus en détailLe compte administratif 2012 de la Région Alsace. Avis
Le compte administratif 2012 de la Région Alsace Avis 24 juin 2013 Avis Le compte administratif 2012 de la Région Alsace Avis du 24 juin 2013 Vu la Loi n 82-213 du 2 mars 1982 relative aux droits et libertés
Plus en détailLES NOUVEAUX INDICATEURS STATISTIQUES DU FMI
LES NOUVEAUX INDICAEURS SAISIQUES DU FI À la fin de 1994 et au début de l année 1995, la répétition et la sévérité des désordres sur les marchés de capitaux, et récemment la crise financière du exique
Plus en détailProgramme de prêts REE
Brochure Programme de prêts REE Réservé aux conseillers à titre d information LA BANQUE AU SERVICE DES CONSEILLERS Page 1 de 10 Prêt REE C'est un concept simple : le plutôt vous commencez à épargner, plus
Plus en détailTRANSFOLIO version 2.05. Introduction
TRANSFOLIO version 2.05 Introduction TABLE DES MATIERES 1 OBJECTIF... 2 2 DEMARRER TRANSFOLIO... 2 3 CREER SON PREMIER PORTEFEUILLE... 3 3.1 ETAPE 1 : DEFINITION DU PORTEFEUILLE... 3 3.2 ETAPE 2 : OUVERTURE
Plus en détailL ENCADREMENT JURIDIQUE POUR LA PROTECTION DES ÉPARGNES ET LA CONSTITUTION D INSTITUTIONS COOPÉRATIVES PÉRENNES
L ENCADREMENT JURIDIQUE POUR LA PROTECTION DES ÉPARGNES ET LA CONSTITUTION D INSTITUTIONS COOPÉRATIVES PÉRENNES Le présent positionnement de Développement international Desjardins (DID) a été élaboré en
Plus en détailAssurance épargne avec participation au rendement transparente
Réalisez votre objectif d épargne à coup sûr. Assurance épargne avec participation au rendement transparente Vous souhaitez vous constituer un capital d épargne conséquent pour financer un beau voyage,
Plus en détailE 6221 TEXTE SOUMIS EN APPLICATION DE L ARTICLE 88-4 DE LA CONSTITUTION PAR LE GOUVERNEMENT, À L ASSEMBLÉE NATIONALE ET AU SÉNAT.
E 6221 ASSEMBLÉE NATIONALE TREIZIÈME LÉGISLATURE SÉNAT SESSION ORDINAIRE DE 2010-2011 Reçu à la Présidence de l Assemblée nationale le 4 mai 2011 Enregistré à la Présidence du Sénat le 4 mai 2011 TEXTE
Plus en détailMobiliser l épargne pour l investissement productif. Pistes de réflexion stratégique en matière de fiscalité de l épargne individuelle
Mobiliser l épargne pour l investissement productif Pistes de réflexion stratégique en matière de fiscalité de l épargne individuelle 18 Juin 2014 1. Introduction La frilosité de l épargnant belge suite
Plus en détailNote de Présentation Contacts : Avril 2007
Note de Présentation Contacts : Adresse: Socogim TVZ N 20 / BP 41 74 Tel : (222) 529 30 54 / GSM : (222) 631 46 09 Fax : (222) 529 04 12 E-mail: ecoqualite@toptechnology.mr Site Web: www.ecoqualite.com
Plus en détailComment les pauvres gèrent-ils le risque?
Comment les pauvres gèrent-ils le risque? Le présent dossier donne un aperçu de la manière dont les ménages pauvres gèrent les risques. Fondé sur les recherches effectuées via les journaux financiers dont
Plus en détailÉthique et banques coopératives : les occasions manquées de la sphère financière mutualiste française!
Éthique et banques coopératives : les occasions manquées de la sphère financière mutualiste française! «Éthique et responsabilité sociale des banques : aux confins de leur responsabilité juridique» (Colloque
Plus en détailCIRCULAIRE N 1668 DU 27/10/2006. Tous réseaux
CIRCULAIRE N 1668 DU 27/10/2006 OBJET : Intégration des nouvelles technologies de l information et de la communication : création pour toutes les écoles d une adresse mail publique. Réseaux : Niveaux et
Plus en détailDossier d information. DROITS RECHARGEABLES Elargissement de l accès au droit d option pour prendre en compte les difficultés d application
DROITS RECHARGEABLES Elargissement de l accès au droit d option pour prendre en compte les difficultés d application MARS 2015 DROITS RECHARGEABLES Mars 2015 SOMMAIRE Une application problématique dans
Plus en détailwww.assuranceintel.ca
AUGMENTEZ VOS VENTES ET GAGNEZ DU TEMPS GRÂCE À DE L INFORMATION AU BOUT DE VOS DOIGTS AssuranceINTEL : Un outil essentiel dans un marché en constante évolution CARACTÉRISTIQUES DES PRODUITS DISPONIBLES
Plus en détailCaisse du Régime de retraite des cadres de la Ville de Québec. États financiers 31 décembre 2007
Caisse du Régime de retraite des cadres de la Ville de Québec États financiers Le 26 mai 2008 PricewaterhouseCoopers LLP/s.r.l./s.e.n.c.r.l. Comptables agréés Place de la Cité, Tour Cominar 2640, boulevard
Plus en détailConseil National de Financement Populaire (KNFP) Programme pour la Relance de l économie en transition (PRET/DAI/USAID) CADRE JURIDIQUE
Conseil National de Financement Populaire (KNFP) Programme pour la Relance de l économie en transition (PRET/DAI/USAID) CADRE JURIDIQUE DES INSTITUTIONS DE MICRO-FINANCE NON-COOPERATIVES Claude FALGON,
Plus en détailLES GARANTIES DU REGIME CONVENTIONNEL DES CADRES DE LA PRODUCTION AGRICOLE
LES GARANTIES DU REGIME CONVENTIONNEL DES CADRES DE LA PRODUCTION AGRICOLE Dernière mise à jour : avril 2010 CPCEA 1 2 Préambule Le régime conventionnel des cadres de la production agricole est institué
Plus en détailUniversité d Oran / Faculté des Sciences Commerciales Spécialité : 4 eme. Fiche N 2 : Banque et Monnaie
Université d Oran / Faculté des Sciences Commerciales Spécialité : 4 eme Finance / Module : Les Techniques Bancaires Fiche N 2 : Banque et Monnaie I)- Principes Généraux : 1)- Définition du Terme Monnaie
Plus en détailMaster Comptabilité, Contrôle, Audit. Situation générale des diplômés 2007/2008 au 1er mars 2010
007/008 Faculté des Sciences Economiques et de Gestion Master Comptabilité, Contrôle, Audit Lieu de formation : Clermont-Ferrand Situation générale des diplômés 007/008 au er mars 00 Au er mars 00 Total
Plus en détailA. Le contrôle continu
L audit d achat est une action volontaire décidée par l entreprise avec pour objet d apprécier la qualité de l organisation de sa fonction achats et le niveau de performance de ses acheteurs. L audit achat
Plus en détailBanque nationale suisse Résultat de l exercice 2014
Communication Case postale, CH-8022 Zurich Téléphone +41 44 631 31 11 communications@snb.ch Zurich, le 6 mars 2015 Banque nationale suisse Résultat de l exercice 2014 La Banque nationale suisse (BNS) a
Plus en détailCONVENTION DE COMPTE DE DEPOT EN DEVISES
La convention de compte de dépôt en devise, ci-après dénommée la «Convention», se compose des présentes Conditions Générales, des Conditions Particulières et des Conditions tarifaires applicables à la
Plus en détailMarketing III. Calcul du prix & Indicateurs. Contenu
Calcul du prix & Indicateurs Pour la gestion économique de l'entreprise, il est essentiel que les prix des biens et services soient soigneusement calculés en tenant compte de tous les facteurs internes
Plus en détailMÉMO. Des solutions en cas de coup dur ou de coup de cœur SOMMAIRE
Édition : décembre 13 MÉMO Des solutions en cas de coup dur ou de coup de cœur 1. Optimiser l utilisation des livrets défiscalisés 2. Épargner sans plafond 3. Placer une somme importante sur quelques mois
Plus en détailCIRCULAIRE N 19 RELATIVE A LA CLASSIFICATION DES CREANCES ET A LEUR COUVERTURE PAR LES PROVISIONS
1 sur 9 30/05/2007 09:42 BANK AL-MAGHRIB -------------------- LE GOUVERNEUR Circulaire n 19/G/2002 Rabat, le 18 Chaoual 1423 23 Décembre 2002 CIRCULAIRE N 19 RELATIVE A LA CLASSIFICATION DES CREANCES ET
Plus en détailwww.assuranceintel.ca
UNE VEILLE CONCURRENTIELLE EN QUELQUES CLICS! AssuranceINTEL : un outil essentiel dans un marché en constante évolution CARACTÉRISTIQUES DES PRODUITS DISPONIBLES DANS LES TABLEAUX COMPARATIFS Abonnements
Plus en détailDISPOSITIF CO.RAIL PRET A TAUX ZERO-DOSSIER TYPE
DISPOSITIF CO.RAIL PRET A TAUX ZERO-DOSSIER TYPE Le plan CO.RAIL (Contrat de reprise d activité et d initiative locale) a été initié fin mars 2009 par Yves Jégo, secrétaire d Etat chargé de l Outre-mer
Plus en détailLe présent chapitre porte sur l endettement des
ENDETTEMENT DES MÉNAGES 3 Le présent chapitre porte sur l endettement des ménages canadiens et sur leur vulnérabilité advenant un choc économique défavorable, comme une perte d emploi ou une augmentation
Plus en détailL importance de la monnaie dans l économie
L importance de la monnaie dans l économie Classes préparatoires au Diplôme de Comptabilité et Gestion UE 13 Relations professionnelles Etude réalisée par : Marina Robert Simon Bocquet Rémi Mousseeff Etudiants
Plus en détailRenforcer la mobilisation du droit commun
Dossier ressources Comprendre le droit commun pour le renforcer dans les quartiers Dans son article 1 er, la loi pour la ville et la cohésion urbaine précise : «La politique de la ville mobilise et adapte,
Plus en détailTableaux de bord de gestion du risque Rapport d audit permanent
www.coopami.org Tableaux de bord de gestion du risque Rapport d audit permanent TUNIS 17 décembre 2013 Michel Vigneul Conseiller Actuaire La bonne gestion financière d un système d assurance de soins de
Plus en détailBanque le Choix du Président
Page 1 de 15, Banque le Choix du Président INFORMATIONS À FOURNIR AU TITRE DU 3 e PILIER DE L ACCORD DE BÂLE III 30 septembre 2014 Page 2 de 15 Table des matières Table des matières... 2 TABLEAU 1 APERÇU
Plus en détailBurkina Faso Profil pays EPT 2014
Burkina Faso Profil pays EPT 14 Contexte général Situé au cœur de l Afrique occidentale, dans la boucle du Niger, le Burkina Faso est l un pays des pays les plus peuplés de la sous-région Ouest-africaine
Plus en détailAugmenter votre Chiffre d Affaires.
Augmenter votre Chiffre d Affaires. Notre histoire 1993 : création de CEV en Normandie : Programme de fidélité sur carte à puce pour les commerçants de proximité 2005 : CEV crée Alios, pour répondre aux
Plus en détailSIDI SOLIDARITE INTERNATIONALE POUR LE DEVELOPPEMENT ET L INVESTISSEMENT
SIDI SOLIDARITE INTERNATIONALE POUR LE DEVELOPPEMENT ET L INVESTISSEMENT La mobilisation de l'épargne solidaire au Nord pour l offre de services financiers de proximité au Sud Anne-sophie Bougouin - Chargée
Plus en détailFrais de gestion s appliquant aux comptes commerciaux / Déclaration de renseignements
Frais de gestion s appliquant aux comptes commerciaux / Déclaration de renseignements Comptes Ensemble lié au compte HSBC AvantageAffaires MD2 Ce compte-chèques, offert en dollars canadiens ou en dollars
Plus en détailPrésentation des 6 projets financés sur le FED via le PESCC
Présentation des 6 projets financés sur le FED via le PESCC 6projets financés couvrant 7 régions pour un montant total 106 594 738 MRO dont 95 588 077MRO sur contribution FED. Un projet mis en œuvre par
Plus en détailFINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC
FINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC Rabat, 19 octobre 21 M. Ahmed HAJOUB Adjoint au Directeur du Trésor et des Finances Extérieures chargé du pôle macroéconomie I- Consolidation budgétaire: expérience
Plus en détailConférence XBRL France. Projet Reporting S2 Groupe CNP Assurances 3 Avril 2014. Olivier BOYER et Aurélia MULLER
Conférence XBRL France Projet Reporting S2 Groupe CNP Assurances 3 Avril 2014 Olivier BOYER et Aurélia MULLER 1 2 1- Présentation du Groupe CNP Assurances Un métier, la protection des personnes Assureur
Plus en détailDr Sidi Mohamed Ould Mustapha, Université de. Mauritanie. En collaboraion avec : Mauritel S.A &
Sfp982620 Wind Monitoring platform in Mauritania Dr Sidi Mohamed Ould Mustapha, Université de Nouakchott, Mauritanie En collaboraion avec : Mauritel S.A & APAUS Présentation du Système de mesure Éléments
Plus en détailAvancées dans le domaine des performances sociales en microfinance, et applications en Europe. Cécile Lapenu, Cerise
Avancées dans le domaine des performances sociales en microfinance, et applications en Europe Cécile Lapenu, Cerise Septembre 2008 1 Cécile Lapenu, CERISE Dans le secteur de la microfinance, les performances
Plus en détailJOURNAL OFFICIEL DU SENEGAL
1 sur 6 12.11.2010 16:41 JOURNAL OFFICIEL DU SENEGAL LOI D ORIENTATION n 2008-29 du 28 juillet 2008 LOI D ORIENTATION n 2008-29 du 28 juillet 2008 relative à la promotion et au développement des petites
Plus en détailÉcoute. Coopérative. Partenaire régional. Projets. Service. Engagement. Conseil. Proximité. Chiffres. Innovation. Territoire. Clés. Mutualisme.
Coopérative Service Engagement Utilité Solidarité Territoire Projets Conseil Chiffres Clés Écoute 2 0 1 4 Innovation Proximité Mutualisme Partenaire régional Santé Crédit Agricole du Languedoc Près de
Plus en détailLEVET COMMUNE DE LEVET
LEVET COMMUNE DE LEVET Conseil Municipal du 4 juin 2015 Le Compte Administratif présenté aujourd hui découle de la gestion de l exercice 2014 : il constitue notre socle de gestion pour l avenir. Compte
Plus en détailDirect Ecureuil Pro : votre banque par Internet. Janvier 2010
GUIDE UTILISATEUR Direct Ecureuil Pro : votre banque par Internet Janvier 2010 Plan du site Cliquez sur la loupe pour accédez directement à l item de votre choix. Connectez vous menu principal Accédez
Plus en détailDocument d information n o 4 sur les pensions
Document d information n o 4 sur les pensions Épargnes privées de retraite Partie 4 de la série La série complète des documents d information sur les pensions se trouve dans Pensions Manual, 4 e édition,
Plus en détailProtection individuelle
Protection individuelle Franchise annuelle Ce plan n'est plus offert 200 $ 900 $ depuis le 1er mars 2015 1 006 $ / / 18-24 87,88 $ 71,71 $ - 39,35 $ 37,08 $ 63,91 $ 25-29 91,38 $ 74,47 $ - 41,04 $ 38,86
Plus en détailLe FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détailINFORMATION CONFIDENTIELLE NE DOIT PAS SERVIR À DES FINS DE CRÉDIT OBJET : NUMÉRO UNIQUE À EQUIFAX : 3140123054
RELATIONS AVEC LES CONSOMMATEURS C. P. 190 STATION JEAN-TALON MONTREAL QUEBEC H1S 2Z2 MARIO NETTE 10 PLEASANT ST. MONTREAL QUEBEC M2N 1A2 Monsieur, INFORMATION CONFIDENTIELLE NE DOIT PAS SERVIR À DES FINS
Plus en détailLe rôle de la société civile
Le rôle de la société civile Bruxelles 15 décembre 2011 Les mutuelles de santé au Burkina Faso Inégalité d accès aux soins de santé au Burkina Faso La majorité de la population vit en dessous du seuil
Plus en détailThèmes et situations : Personnel et législation sociale dans l entreprise. Fiche pédagogique
Ressources pour les enseignants et les formateurs en français des affaires Activité pour la classe : DFA1 Crédit : Joelle Bonenfant, Jean Lacroix Thèmes et situations : Personnel et législation sociale
Plus en détailRéseau national de courtage en travaux immobiliers Création d ambiances et vente de biens d équipement
C r é e z v o t r e e n t r e p r i s e e n t o u t e c o n f i a n c e DEVENEZ COURTIER ACTIV TRAVAUX Une activité commerciale valorisante, d hommes et de femmes d action! DEVENEZ DISTRIBUTEUR ACTIV TENDANCES
Plus en détailORGANISME CANADIEN DE RÉGLEMENTATION
ORGANISME CANADIEN DE RÉGLEMENTATION DU COMMERCE DES VALEURS MOBILIÈRES AFFAIRE INTÉRESSANT : LES RÈGLES DE L ORGANISME CANADIEN DE RÉGLEMENTATION DU COMMERCE DES VALEURS MOBILIÈRES LES STATUTS DE L ASSOCIATION
Plus en détailCe mini guide a pour objectif de vous faire part de quelques bonnes pratiques dans la gestion de votre budget.
BUDGET MAÎTRISE CONSEILS DEPENSES EPARGNE REVENUS SOLUTIONS Les bonnes pratiques pour maîtriser son budget Ce mini guide a pour objectif de vous faire part de quelques bonnes pratiques dans la gestion
Plus en détailC EST TOUTE UNE ÉQUIPE D EXPERTS QUI APPUIE VOTRE ENTREPRISE.
C EST TOUTE UNE ÉQUIPE D EXPERTS QUI APPUIE VOTRE ENTREPRISE. NOTRE MISSION La mission du Centre financier aux entreprises Desjardins Est de l Ontario est de contribuer à la croissance des entreprises
Plus en détailLe tableau de bord d une agence ou d une activité bancaire
Le tableau de bord d une agence ou d une activité bancaire Mme ASKRI Leila Mrs ZHIOU Hamza HAMDI Mourad JELIZI Walid Les thèmes 1. Définitions et concepts 2. Les composantes et la Conception d'un tableau
Plus en détailLaure DELAHOUSSE Directrice Epargne Retraite. Epargne Retraite, l heure des choix FIER Paris avril 2012
Laure DELAHOUSSE Directrice Epargne Retraite Epargne Retraite, l heure des choix FIER Paris avril 2012 Epargne retraite, l heure des choix > L épargne retraite en France : l histoire d un non choix l exception
Plus en détailLe financement de l économie dans le nouvel environnement réglementaire
16 juin 2015 Séminaire Sc Po / Banque de France Le financement de l économie dans le nouvel environnement réglementaire Lorenzo Bini Smaghi Président du Conseil d Administration Régulation bancaire en
Plus en détaildu 23 mars 2001 (Etat le 10 décembre 2002)
Loi fédérale sur le crédit à la consommation (LCC) 221.214.1 du 23 mars 2001 (Etat le 10 décembre 2002) L Assemblée fédérale de la Confédération suisse, vu les art. 97 et 122 de la Constitution 1, vu le
Plus en détail