Bioénergétique. Partie I : Dépenses énergétiques. Partie II : Rations alimentaires

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Bioénergétique. Partie I : Dépenses énergétiques. Partie II : Rations alimentaires"

Transcription

1 Bioénergétique Partie I : Dépenses énergétiques Partie II : Rations alimentaires

2 Bioénergétique 1- Définition - Généralités

3 Définition Etude des processus biologiques qui produisent et consomment de l'énergie.

4 Consommation d énergie 3 types de travail cellulaire Travail de synthèse chimique Travail osmotique Travail mécanique Interne Externe

5 Origine de l énergie Lavoisier Nutriments + O 2 CO 2 + H 2 O + Energie L'homme = transformateur d'énergie potentielle en d'autres formes d'énergie

6 6 catégories de nutriments Glucides Lipides Protides Energie Sels minéraux Vitamines Eau

7 Apport alimentaire discontinu et besoins énergétiques continus Stockage des substrats énergétiques et de l énergie

8 Stockage de substrats énergétiques Glucides (ou hydrates de carbone) sous forme de glycogène dans le foie et dans les muscles Lipides dans le tissu adipeux

9 Stockage de l énergie ATP : Adénosine triphosphate ATP + H 2 O ADP + Pi + H Kcal

10 Plan Bioénergétique 1- Définitions Généralités 1-1 Loi de l état initial et final 1-2 Loi de conservation de l énergie

11 1-1 Loi de l état initial et de l état final La quantité d'énergie libérée lors de la combustion des aliments dépend uniquement de l'état initial et de l'état final et pas des réactions intermédiaires

12 Exemple Combustion du glucose dans un calorimètre C 6 H 12 O 6 + O 2 6 CO H Kcal

13 Oxydation du glucose dans l organisme C 6 H 12 O 6 G 6P Fructose 6P CO H 2 O Kcal

14 1-2 Loi de la conservation de l énergie La quantité d'énergie contenue dans un système est constante L'énergie ne peut être ni créée ni détruite mais seulement convertie d'une forme en une autre Énergie fournie = énergie dépensée

15 Plan Bioénergétique 1- Définitions Généralités 1-1 Loi de l état initial et final 1-2 Loi de conservation de l énergie 2- Dépenses énergétiques: méthodes de mesure 2-1 Calorimétrie directe

16 2-1 Calorimétrie directe Repos énergie libérée = chaleur Mesure de la production de chaleur corporelle par calorimétrie directe

17 Plan Bioénergétique 2- Dépenses énergétiques: méthodes de mesure 2-1 Calorimétrie directe 2-2 Calorimétrie indirecte Thermochimie alimentaire

18 2-2 Calorimétrie indirecte Thermochimie alimentaire : principe Aliments + O 2 CO 2 + H 2 O + Energie Calcul de la dépense énergétique à partir de la nature et du poids des aliments ingérés

19 Deux difficultés Aliments ingérés ne sont pas totalement brûlés. Tenir compte de l énergie perdue dans les excreta (selles et urines) L apport alimentaire peut ne pas couvrir exactement les besoins : Excès Réserve de graisse Déficit Utilisation des réserves Poids stable pendant la mesure

20 Thermochimie alimentaire : application pratique Calorimétrie alimentaire mesure en 4 temps 1- Peser tous les aliments ingérés par le sujet pendant la période de mesure

21 2- On calcule la quantité de protides, de lipides et de glucides ingérée Pour 100 g d aliments Protides en g Lipides en g Glucides en g Beurre Bœuf Pommes de terre

22 3- Calcul de la quantité d énergie apportée par chaque catégorie de nutriments Chaleur de combustion moyenne des aliments 1 gramme de glucides = 4.2 Kcal 1 gramme de lipides = 9.4 Kcal 1 gramme de protides = 4.6 Kcal (1 Kcal = 4.18 KJ )

23 4- Calcul de la dépense énergétique Dépense énergétique (DE) = Energie ingérée - Energie excrétée si le poids du sujet est resté stable pendant la période de mesure

24 Plan Bioénergétique 2- Dépenses énergétiques: méthodes de mesure 2-1 Calorimétrie directe 2-2 Calorimétrie indirecte Thermochimie alimentaire Principe Application pratique Thermochimie respiratoire Principe

25 2-2-2 Thermochimie respiratoire : principe C 6 H 12 O O 2 6 CO H 2 O Kcal 6 x 22.4 L 673 Kcal 1 L 5 Kcal Coefficient thermique de l oxygène pour les glucides

26 Coefficients thermiques de l'o 2 1 litre d'o2 équivaut à: pour les glucides : 5.0 Kcal pour les lipides : 4.7 Kcal pour les protides : 4.6 Kcal Coefficient thermique moyen de l O 2 1 L d O 2 = 4.8 Kcal

27 Quotient respiratoire QR = V C0 2 /V O 2 Glucides purs QR =1 Protides purs QR = 0,8 Lipides purs QR = 0,7 Mélanges tables de coefficient thermique

28 Table de calcul des glucides et lipides utilisés en fonction du quotient respiratoire Mc Ardle, Katch and Katch 1996

29 2-2-1 Thermochimie respiratoire : Application pratique Définition de la consommation d oxygène ou débit d oxygène = V O 2 - Le V O 2 s exprime en L/min ou ml/min/kg

30 Plan Bioénergétique 2- Dépenses énergétiques: méthodes de mesure 2-1 Calorimétrie directe 2-2 Calorimétrie indirecte Thermochimie alimentaire Principe Application pratique Thermochimie respiratoire Principe Application pratique

31 2-2-1 Thermochimie respiratoire Mesures de la consommation d'o 2 Méthode en circuit fermé =spirométrie La cloche s abaisse progressivement Fixation du CO 2

32 La pente du tracé est due à la consommation d O 2 Inspiration Expiration en cm 1 cm = 0,2 L

33 Spiromètrie V O 2 (L/min) = H (cm/min) x 0.2 (L/cm) V O 2 en conditions STPD D.E = V O 2 (L/min) x 4.8 (Kcal)

34 2-2-2 Thermochimie respiratoire Mesures de la consommation d'o 2 Méthode en circuit ouvert V O 2 = Volume d'o 2 inspiré/min - Volume d'o 2 expiré/min (Volume d'air insp./min x F I O2) - (Volume d'air exp./ min x F E O2) V O 2 = V E x (F I O 2 - F E O 2 )

35 Mesures de la consommation d'o2 Méthode en circuit ouvert Mesure de la ventilation V e Mesure des gaz expirés FE0 2, FE CO 2

36 Exemple V e air = 20 L/min F I O 2 = 21 % F E O 2 = 17 % V O 2 =20 x (0.21-0, 17) = 0.8 L/ min D.E = 0.8 x 4.8 Kcal = 3.8 Kcal

37 Plan Bioénergétique 1- Définitions Généralités 1-1 Loi de l état initial et final 1-2 Loi de conservation de masse 2- Dépenses énergétiques : méthodes de mesure 2-1 Calorimétrie directe 2-2 Calorimétrie indirecte Thermochimie alimentaire Thermochimie respiratoire 3- Dépenses énergétiques : résultats

38 3 - Dépenses énergétiques : résultats 3-1- Dépense énergétique minimale Métabolisme de base

39 Métabolisme de base correspond à une dépense irréductible Trois conditions de mesure: 1- A jeun depuis 12 heures 2- Au repos complet 3 - A la température de neutralité thermique

40 Métabolisme de base 1 Kcal/min 3,5 ml/min/kg d O 2 = 1 M.E.T.

41 Métabolisme de base Chez l adulte jeune 1500 Kcal par 24 heures

42 Facteurs de variation du M.B Le sexe H > F L âge jeune > âgé La morphologie : taille et poids 3.6 Kcal/j pour la souris Kcal/J pour l'éléphant

43 Loi des surfaces La dépense énergétique par unité de surface est sensiblement la même pour tous les homéothermes

44 Taille Surface Poids

45 Métabolisme de base Adulte jeune : Homme = 37 Kcal par m 2 et par heure Femme = 35 Kcal par m 2 et par heure

46 Dépenses énergétiques : résultats 3-1- Dépense énergétique minimale 3-2- Dépenses énergétiques supplémentaires Le travail musculaire

47 Dépenses énergétiques supplémentaires Le travail musculaire Elle dépend de l intensité et de la durée de l exercice musculaire

48 Dépense énergétique lors d'activités variées Ecrire assis : 2 Kcal/min Nettoyer les vitres: 3.5 Kcal/min Faire un lit : 6 Kcal/min Marche (4 km/h) : 4 Kcal/min Course (10 km/h) : 11 Kcal/min Bicyclette (15 km/h): 7 Kcal/min

49 Le V O 2 augmente proportionnellement à l intensité de l exercice musculaire V O 2 L/min 2,5 2,1 1,70 1,30 DE = 2,5 x 4, 8 x durée d effort 0, Energie chimique Energie mécanique + chaleur 25% 75% Vitesse (Km/h)

50 Dépenses énergétiques : résultats 3-1- Dépense minimale 3-2- Dépenses supplémentaires Le travail musculaire La thermorégulation

51 Homéotherme Adaptation au froid Adaptation à la chaleur Dépense énergétique

52 D après Giaja Dépense énergétique Métabolisme de sommet Température de neutralité thermique = 25 C Hypothermie Zone d'homéothermie Hyperthermie T ambiante

53 Dépenses énergétiques : résultats 3-1- Dépense minimale 3-2- Dépenses supplémentaires Le travail musculaire La thermorégulation L assimilation des aliments

54 Action dynamique spécifique des aliments ADS est de: 30% pour les protides 12-15% pour les lipides et les glucides

55 Action dynamique spécifique des aliments ADS due à assimilation des aliments au niveau du foie Rôle majeur de la désamination des protéines

56 Dépenses énergétiques : résultats 3-1- Dépense minimale 3-2- Dépenses supplémentaires Le travail musculaire La thermorégulation L assimilation des aliments La croissance

57 Dépense énergétique liée à la croissance Synthèse protéique majeure Besoins énergétiques enfant > adulte

Le Test d effort. A partir d un certain âge il est conseillé de faire un test tous les 3 ou quatre ans.

Le Test d effort. A partir d un certain âge il est conseillé de faire un test tous les 3 ou quatre ans. Le Test d effort L'épreuve du test d'effort est un examen effectué en général par un cardiologue ou un médecin du sport. Le test d'effort permet de mesurer le rythme cardiaque, la pression artérielle,

Plus en détail

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin

Plus en détail

L équilibre alimentaire.

L équilibre alimentaire. L équilibre alimentaire. Une bonne nutrition est un incontestable facteur de bonne santé. Dans la médecine traditionnelle chinoise, certains aliments bien utilisés servent de remèdes pour prévenir et traiter

Plus en détail

Mesure de la dépense énergétique

Mesure de la dépense énergétique Mesure de la dépense énergétique Bioénergétique L énergie existe sous différentes formes : calorifique, mécanique, électrique, chimique, rayonnante, nucléaire. La bioénergétique est la branche de la biologie

Plus en détail

LA A RESPIRATION CELLULAIRE

LA A RESPIRATION CELLULAIRE Instructions aux professeurs Domaine : 1.1 Le transport de substances, réaction chimique de la respiration cellulaire, p. 6 Travail à réaliser : Les élèves répondent aux questions. Matériel : Feuilles

Plus en détail

d importantes quantités de CO,. Summary. Influence of diet on respiratory quotients and fat deposition in growing pigs.

d importantes quantités de CO,. Summary. Influence of diet on respiratory quotients and fat deposition in growing pigs. Influence du régime sur les quotients respiratoires chez le porc en croissance Geneviève CHARLET-LERY Marie-Thérèse MOREL Laboratoire de Physiologie de la Nutrition LN.R.A., 78350 Jouy-en-Josas Summary.

Plus en détail

Sport et alpha ANNEXES

Sport et alpha ANNEXES Sport et alpha ANNEXES Edition 2013 TABLE DES MATIERES Table des matières 1 Alimentation 2 Boire, Boire, Boire... 2 Et à l approche des «20 km de Bruxelles»? 3 Et pendant l épreuve? 3 Stretching 4 Avant

Plus en détail

BASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE

BASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE BASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE І) INTRODUCTION II) BASES PHYSIOLOGIQUES III) PRINCIPES GENERAUX DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE IV) ENTRAINEMENT DANS LES DIFFERENTES FILIERES V) LA PLANIFICATION

Plus en détail

Utilisation des substrats énergétiques

Utilisation des substrats énergétiques Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...

Plus en détail

Comment bien s hydrater pendant l été?

Comment bien s hydrater pendant l été? Comment bien s hydrater pendant l été? C est bien connu, il faut boire davantage en été pour ne pas se déshydrater, notamment en cas de forte chaleur. Il faut en effet être vigilant dès que la température

Plus en détail

CORRECTION EVALUATION FORMATIVE TEST DE NIVEAU Date : PROMOTION :

CORRECTION EVALUATION FORMATIVE TEST DE NIVEAU Date : PROMOTION : CORRECTION EVALUATION FORMATIVE TEST DE NIVEAU Date : PROMOTION : OJECTIFS : 1/ Evaluer le degré des connaissances acquises nécessaires à l administration des médicaments à diluer. 2/ Evaluer les capacités

Plus en détail

SP. 3. Concentration molaire exercices. Savoir son cours. Concentrations : Classement. Concentration encore. Dilution :

SP. 3. Concentration molaire exercices. Savoir son cours. Concentrations : Classement. Concentration encore. Dilution : SP. 3 Concentration molaire exercices Savoir son cours Concentrations : Calculer les concentrations molaires en soluté apporté des solutions désinfectantes suivantes : a) Une solution de 2,0 L contenant

Plus en détail

Indications pédagogiques B2 / 32

Indications pédagogiques B2 / 32 à la Communication Objectif général Indications pédagogiques B2 / 32 B : S INFORMER / SE DOCUMENTER Degré de difficulté 2 Objectif intermédiaire Objectif opérationnel Pré-requis Nombre d exercices proposés

Plus en détail

LES BASES PHYSIOLOGIQUES DE L EXERCICE MUSCULAIRE

LES BASES PHYSIOLOGIQUES DE L EXERCICE MUSCULAIRE LES BASES PHYSIOLOGIQUES DE L EXERCICE MUSCULAIRE Introduction Le joueur de tennis ou le lutteur réalise une multitude d actions individuelles ou combinées que l on peut résumer comme suit : il court,

Plus en détail

Quoi manger et boire avant, pendant et après l activité physique

Quoi manger et boire avant, pendant et après l activité physique Quoi manger et boire avant, pendant et après l activité physique (comparaison entre athlètes et non-athlètes; nouvelles tendances comme le jus de betteraves) Comme vous le savez, l'alimentation de l'athlète

Plus en détail

LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE

LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Jean-Paul BLANC Diététicien-Nutritionniste Neuilly sur Seine www.cabinet-de-nutrition-et-dietetique.eu LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Au cours de la dernière décennie

Plus en détail

Boughanmi Hajer. JAOUA Noureddine. Membre du bureau exécutif de l OTEF

Boughanmi Hajer. JAOUA Noureddine. Membre du bureau exécutif de l OTEF Organisation Tunisienne pour L Éducation et de la Famille Elaboré par Diabète infantile Boughanmi Hajer Encadré par : Licence appliquée en Biotechnologie JAOUA Noureddine Membre du bureau exécutif de l

Plus en détail

lire les Étiquettes et trouver les sucres cachés

lire les Étiquettes et trouver les sucres cachés lire les Étiquettes et trouver les sucres cachés Objectif : Sensibiliser les élèves à ce qui se trouve dans leur nourriture et les aider à se méfi er des sucres cachés. Matériel Feuille à imprimer : Chaîne

Plus en détail

Chapitre II La régulation de la glycémie

Chapitre II La régulation de la glycémie Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique

Plus en détail

Qui sont-ils? D où viennent-ils? Où sont-ils?

Qui sont-ils? D où viennent-ils? Où sont-ils? Qui sont-ils? D où viennent-ils? Où sont-ils? Les glucides sont des éléments nutritifs indispensables au bon fonctionnement de l organisme. Ils sont présents dans les aliments aux côtés des protéines (viande,

Plus en détail

L eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %

L eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 % 24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.

Plus en détail

Programme de réhabilitation respiratoire

Programme de réhabilitation respiratoire Programme de réhabilitation respiratoire Dr Jean-Marc Perruchini Service de Réhabilitation R respiratoire, Clinique de Médecine Physique Les Rosiers 45, Bd Henri Bazin, 21002 DIJON Cedex Mle Carine Lopez

Plus en détail

GRENADE / GARONNE 30 janvier 2014. Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne

GRENADE / GARONNE 30 janvier 2014. Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne LA RESTAURATION SCOLAIRE GRENADE / GARONNE 30 janvier 2014 Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne LES OBJECTIFS Apporter aux enfants une alimentation de Qualité pour répondre à leurs

Plus en détail

THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE

THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE Introduction générale : L Homme, pour vivre, a besoin de se nourrir. La nutrition fait appel à différentes fonctions que sont l alimentation, la respiration

Plus en détail

La prévention des intoxications dans les silos à fourrage

La prévention des intoxications dans les silos à fourrage La prévention des intoxications dans les silos à fourrage Ali Bahloul, Brigitte Roberge et Nicole Goyer / IRSST Mauricio Chavez et Marcelo Reggio / École polytechnique de Montréal Avec la collaboration

Plus en détail

2 C est quoi la chimie?

2 C est quoi la chimie? PARTIE 1 AVANT LA CHIMIE VERTE... 2 C est quoi la chimie? L inconnu étant source d angoisse, nous allons essayer de définir les grands domaines de la chimie pour mieux la connaître, l appréhender et donc

Plus en détail

de faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance.

de faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance. 9.5. PRODUCTION D EAU CHAUDE sanitaire Les équipements doivent être dimensionnés au plus juste en fonction du projet et une étude de faisabilité doit être réalisée pour les bâtiments collectifs d habitation

Plus en détail

Ecole d été des spectroscopies d électrons.

Ecole d été des spectroscopies d électrons. Lundi 08 juin 2015 16h00 16h30 Principe et fondements de la technique - Les interactions photon-matière, l émission des photoélectrons - l analyse chimique par XPS Jean-Charles DUPIN Appareillage et instrumentation

Plus en détail

«Peut-on jeûner sans risque pour la santé?»

«Peut-on jeûner sans risque pour la santé?» Le FIGARO du 21/10/2013, page 13 : Cet article est un document culturel qui témoigne à quel degré l establishment médical français ignore le jeûne. À mettre au frigo, pour le ressortir le jour où l'essai

Plus en détail

SPECIALITE : RESTAURATION À LIRE ATTENTIVEMENT AVANT DE TRAITER LE SUJET

SPECIALITE : RESTAURATION À LIRE ATTENTIVEMENT AVANT DE TRAITER LE SUJET AGENT DE MAÎTRISE TERRITORIAL Concours interne et de 3 ème voie Centre Interdépartemental de Gestion de la Grande Couronne de la Région d Île-de-France SESSION 2015 Epreuve écrite d admissibilité Vérification

Plus en détail

FONC N T C IONN N E N L E S

FONC N T C IONN N E N L E S BONBONS FONCTIONNELS SOLPIDIS est une entreprise espagnole située en Valence. Elle née avec l objectif d offrir a ses clients des produits innovants et fonctionnels. On est constamment en mouvement pour

Plus en détail

APS résumé partie III

APS résumé partie III 1 APS résumé partie III Les outils d évaluation de l activité physique Le but est de quantifier/ évaluer les activités physiques habituelles (non-structurées).on a plusieurs méthodes : - Indirectes (subjectives)

Plus en détail

Allégations relatives à la teneur nutritive

Allégations relatives à la teneur nutritive Allégations relatives à la teneur nutritive Mots utilisés dans les allégations relatives à la teneur nutritive Ce que le mot signifie Exemples Sans Faible Réduit Source de Léger Une quantité insignifiante

Plus en détail

Quelques chiffres clés de l énergie et de l environnement

Quelques chiffres clés de l énergie et de l environnement Quelques chiffres clés de l énergie et de l environnement GSE 2011-2012 I.1 Que représente : - 1 kcal en kj? : 1 kcal = 4,187 kj - 1 frigorie (fg) en kcal? : 1 fg = 1 kcal - 1 thermie (th) en kcal? : 1

Plus en détail

L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon

L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît

Plus en détail

Définition : On appelle : rapport de deux nombres, "a" et "b" le quotient exact (résultat de la division) de ces deux nombres :

Définition : On appelle : rapport de deux nombres, a et b le quotient exact (résultat de la division) de ces deux nombres : A) LES RAPPORTS Définition : On appelle : rapport de deux nombres, "a" et "b" le quotient exact (résultat de la division) de ces deux nombres : a b = q ; 36 / 15 = 2,4 ; 8 10 = 0,8 ; 10 = 50 / 5 ; 12,5

Plus en détail

ne définition de l arbre.

ne définition de l arbre. LA PHYSIOLOGIE DES ARBRES. U ne définition de l arbre. L es arbres sont des êtres vivants qui occupent une place à part dans le monde végétal. Ils sont indispensables à la vie sur terre et ils ont largement

Plus en détail

Livret de formules. Calcul Professionnel Boulangère-Pâtissière-Confiseuse AFP Boulanger-Pâtissier-Confiseur AFP

Livret de formules. Calcul Professionnel Boulangère-Pâtissière-Confiseuse AFP Boulanger-Pâtissier-Confiseur AFP Version 2: 13.11.2014 Livret de formules Calcul Professionnel Boulangère-Pâtissière-Confiseuse AFP Boulanger-Pâtissier-Confiseur AFP Economie d entreprise Boulangère-Pâtissière-Confiseuse CFC Boulanger-Pâtissier-Confiseur

Plus en détail

HACCP et hygiène. Titre du cours/durée Date N o groupe Lieu. 22 octobre 2011 5 mars 2012. La Pocatière. 22 et 29 octobre 2011 5 et 6 mars 2012

HACCP et hygiène. Titre du cours/durée Date N o groupe Lieu. 22 octobre 2011 5 mars 2012. La Pocatière. 22 et 29 octobre 2011 5 et 6 mars 2012 Hygiène et salubrité alimentaires pour manipulateurs d aliments 6 heures Cette formation mène à l obtention du certificat délivré par le MAPAQ. 22 octobre 2011 5 mars 2012 212024 212052 La Pocatière Hygiène

Plus en détail

«Boire est un besoin, mais c est aussi un plaisir, un acte social lors d évènements ou de bons moments»

«Boire est un besoin, mais c est aussi un plaisir, un acte social lors d évènements ou de bons moments» 1 «Boire est un besoin, mais c est aussi un plaisir, un acte social lors d évènements ou de bons moments» Magali Marchand, Chef de service Diététique RHMS Diététicienne agréée ABD 12.01.2012 - Maison du

Plus en détail

Le KARITe. equitable. & biologique. Bon pour. vous. bon pour. elles

Le KARITe. equitable. & biologique. Bon pour. vous. bon pour. elles equitable & biologique Bon pour vous bon pour elles Tendances >>> Découvrez le beurre de karité équitable & biologique, richesse de la nature africaine L engouement des consommateurs pour les produits

Plus en détail

ERGOMÉTRIE ERGOMÉTRIE

ERGOMÉTRIE ERGOMÉTRIE Ergo = travail; métrie = mesure Une quantification précise du travail est essentielle si l on désire reproduire une charge identique pour fins de comparaisons ou d entrainement Calibration des ergomètres

Plus en détail

Remeha ZentaSOL. La nouvelle norme en matière de simplicité, design et rendement

Remeha ZentaSOL. La nouvelle norme en matière de simplicité, design et rendement Remeha ZentaSOL La nouvelle norme en matière de simplicité, design et rendement ZentaSOL Système de chauffe-eau solaire Remeha ZentaSOL L'énergie solaire est la source de chaleur la plus écologique et

Plus en détail

Apport hydrique et boissons

Apport hydrique et boissons Besoin hydrique de l organisme L eau représente chez l homme adulte 60% de la masse corporelle, 50% chez la femme adulte et jusqu à 80% chez le nouveau-né. Par exemple un homme qui pèse 80 kilos est constitué

Plus en détail

École secondaire Mont-Bleu Biologie générale 035-534

École secondaire Mont-Bleu Biologie générale 035-534 École secondaire Mont-Bleu Biologie générale 035-534 I. Rappel sur anatomie du système digestif Unité 3 La vie une question d adaptation 2 Unité 3 La vie une question d adaptation 3 Unité 3 La vie une

Plus en détail

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR QUALITÉ DANS LES INDUSTRIES ALIMENTAIRES ET LES BIO-INDUSTRIES

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR QUALITÉ DANS LES INDUSTRIES ALIMENTAIRES ET LES BIO-INDUSTRIES ~--------------~~-----~- ----~-- Session 2009 BREVET DE TECNICIEN SUPÉRIEUR QUALITÉ DANS LES INDUSTRIES ALIMENTAIRES ET LES BIO-INDUSTRIES U22 - SCIENCES PYSIQUES Durée: 2 heures Coefficient : 3 Les calculatrices

Plus en détail

TP N 3 La composition chimique du vivant

TP N 3 La composition chimique du vivant Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre

Plus en détail

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les

Plus en détail

Mairie de SAINT DIDIER SOUS RIVERIE 69440. Téléphone : 04 78 81 84 26 Télécopie : 04 78 81 87 57 MARCHE PUBLIC DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES

Mairie de SAINT DIDIER SOUS RIVERIE 69440. Téléphone : 04 78 81 84 26 Télécopie : 04 78 81 87 57 MARCHE PUBLIC DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES Mairie de SAINT DIDIER SOUS RIVERIE 69440 Téléphone : 04 78 81 84 26 Télécopie : 04 78 81 87 57 MARCHE PUBLIC DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Maître d ouvrage

Plus en détail

Acides et bases. Acides et bases Page 1 sur 6

Acides et bases. Acides et bases Page 1 sur 6 Acides et bases Acides et bases Page 1 sur 6 Introduction Sont réputés acides et bases au sens des règles de sécurité en vigueur en Suisse, les solides ou liquides qui ont une réaction acide ou alcaline

Plus en détail

I. Le test d Astrand-Ryhming (1954) avec nomogramme

I. Le test d Astrand-Ryhming (1954) avec nomogramme TP U 42 ntraînement valuation de la consommation maximale d oxygène (VO 2 max) par une épreuve sous-maximale indirecte en laboratoire : le test d strand-yhming (1954) sur ergocycle. Le test d strand-yhming

Plus en détail

DIABETE ET SPORT. Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS

DIABETE ET SPORT. Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS DIABETE ET SPORT Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS DIABETE TYPE 1#TYPE 2 Jeunes sportifs Risque hypoglycémie Adaptation schémas Autosurveillance +++ Sports souvent sources de difficultés Contre

Plus en détail

TESTS D'EVALUATION DE LA PUISSANCE MAXIMALE AEROBIE ET ANAEROBIE. {LICENCE 98-99. H. VANDEWALLE et F. FRIEMEL. Sport et Vie, 1989} INTRODUCTION...

TESTS D'EVALUATION DE LA PUISSANCE MAXIMALE AEROBIE ET ANAEROBIE. {LICENCE 98-99. H. VANDEWALLE et F. FRIEMEL. Sport et Vie, 1989} INTRODUCTION... TESTS D'EVALUATION DE LA PUISSANCE MAXIMALE AEROBIE ET ANAEROBIE Le 08 Février 1999 {LICENCE 98-99. H. VANDEWALLE et F. FRIEMEL. Sport et Vie, 1989} RESUME...3 INTRODUCTION...3 1. MESURE DE LA PUISSANCE

Plus en détail

AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE TABLE DES MATIERES

AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE TABLE DES MATIERES Collège Voltaire, 2014-2015 AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE http://dcpe.net/poii/sites/default/files/cours%20et%20ex/cours-ch2-thermo.pdf TABLE DES MATIERES 3.A. Introduction...2 3.B. Chaleur...3 3.C. Variation

Plus en détail

Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage

Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Tc Le système solaire combiné (SSC) Domosol de ESE est basé sur le Dynasol 3X-C. Le Dynasol 3X-C est l interface entre les

Plus en détail

Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes.

Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes. Bâtiments d élevage : Pourquoi? Aspects climatiques : Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes. - le porc est sensible aux brusques changements du climat, - surexposition au soleil : déshydratation

Plus en détail

Formation Bâtiment Durable :

Formation Bâtiment Durable : Formation Bâtiment Durable : Rénovation à haute performance énergétique: détails techniques Bruxelles Environnement LE SYSTÈME DE CHAUFFAGE ET LA PRODUCTION D EAU CHAUDE SANITAIRE François LECLERCQ et

Plus en détail

Quad 110 cc - 4 temps - 60 Km/h - QUAD1101 (Lot 10 pcs)

Quad 110 cc - 4 temps - 60 Km/h - QUAD1101 (Lot 10 pcs) Catalogue Quads et motos - Quads 125 cc Grossiste Chinois Import Votre grossiste en ligne Edition 06/07/2015 Higoods Co. Ltd. Room 1001 Chuangxin Building,Chuangye Garden Minzhi Streets, Longhua District

Plus en détail

Fiches techniques Alimentation par sonde Nutrison

Fiches techniques Alimentation par sonde Nutrison Fiches techniques Alimentation par sonde Nutrison 2 Fiches techniques Alimentation par sonde Nutrison Renseignements téléphoniques : 0844 844 802 Commandes téléphoniques : 0844 844 808 Version : juillet

Plus en détail

Tout sur le sucre Octobre 2012

Tout sur le sucre Octobre 2012 1 2 Tout sur le sucre Par Jérémy Anso Extrait 3 Disclaimer A lire 4 Vous êtes en train de lire un extrait du futur guide «Tout sur le sucre» qui sera disponible sur le site à partir du 31 octobre. Ce petit

Plus en détail

DIRECTIVES POUR L EMPLOI DES ALLÉGATIONS RELATIVES À LA NUTRITION ET À LA SANTÉ

DIRECTIVES POUR L EMPLOI DES ALLÉGATIONS RELATIVES À LA NUTRITION ET À LA SANTÉ 1 CAC/GL 23-1997 DIRECTIVES POUR L EMPLOI DES ALLÉGATIONS RELATIVES À LA NUTRITION ET À LA SANTÉ CAC/GL 23-1997 Les allégations relatives à la nutrition devraient être compatibles avec la politique nationale

Plus en détail

Compléments - Chapitre 5 Spectroscopie

Compléments - Chapitre 5 Spectroscopie ompléments - hapitre 5 Spectroscopie Spectroscopie par résonance magnétique nucléaire (RMN 13 ) Tandis que la spectroscopie RMN 1 H fournit des données sur la disposition des atomes d'hydrogène dans une

Plus en détail

Comment concevoir son lit biologique

Comment concevoir son lit biologique santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique

Plus en détail

Test de terrain ou test de laboratoire pour la performance en endurance?

Test de terrain ou test de laboratoire pour la performance en endurance? Test de terrain ou test de laboratoire pour la performance en endurance? Ajaccio 12 mai 2012 F. Carré Université Rennes 1 Hopital Pontchaillou Inserm UMR 1099 Les «tests» chez le sportif Exploration performance

Plus en détail

Dénomination de l installation : Adresse du système de refroidissement :

Dénomination de l installation : Adresse du système de refroidissement : 1 Carnet de suivi du système de refroidissement Dénomination de l installation : Adresse du système de refroidissement : 2 Mode d emploi du carnet de suivi Le carnet de suivi du système de refroidissement

Plus en détail

L énergie de l air extérieur pour une eau chaude sanitaire naturellement moins chère

L énergie de l air extérieur pour une eau chaude sanitaire naturellement moins chère LE CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE L énergie de l air extérieur pour une eau chaude sanitaire naturellement moins chère LES PERFORMANCES DE TANÉO C EST L ASSURANCE : > DE 75 % D ÉNERGIE GRATUITE > D UN FONCTIONNEMENT

Plus en détail

Bilan des émissions de gaz à effet de serre de la société Fromageries BEL SA

Bilan des émissions de gaz à effet de serre de la société Fromageries BEL SA Bilan des émissions de gaz à effet de serre de la société Fromageries BEL SA 1. Description de la société Fromageries Bel SA : Code NAF : 1051C Code SIREN : 542.088.067, les numéros SIRET associés sont

Plus en détail

Table des matières Introduction Chapitre*1*:*De*la*matière*sérieuse Chapitre*2*:*Clair*comme*de*l eau*de*roche

Table des matières Introduction Chapitre*1*:*De*la*matière*sérieuse Chapitre*2*:*Clair*comme*de*l eau*de*roche Table des matières Introduction! *! Chapitre*1*:*De*la*matière*sérieuse! 1.1!Les!matériaux! 1.2!Solides,!liquides!et!gaz 1.3!Gaspiller!de!l énergie! 1.4!Le!carburant!du!corps! Chapitre*2*:*Clair*comme*de*l

Plus en détail

LA QUALITE DE LA PRODUCTION

LA QUALITE DE LA PRODUCTION LA QUALITE DE LA PRODUCTION ET DES SERVICES Leçon 1 : Présenter le concept qualité Leçon 2 : Présenter le système HACCP Leçon 3 : Caractériser les autocontrôles C.M.P Chapitre : 1/17 Objectif 1 : Identifier

Plus en détail

Présentation générale des principales sources d énergies fossiles.

Présentation générale des principales sources d énergies fossiles. Présentation générale des principales sources d énergies fossiles. Date : 19/09/2012 NOM / Name SIGNATURE Etabli / Prepared Vérifié / Checked Approuvé /Approved G J-L & R-SENE R.SENE R.SENE Sommaire 1.

Plus en détail

TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR. confort = équilibre entre l'homme et l'ambiance

TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR. confort = équilibre entre l'homme et l'ambiance TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR Tâche T4.2 : Mise en service des installations Compétence C1.2 : Classer, interpréter, analyser Thème : S5 : Technologie des installations frigorifiques

Plus en détail

Activité physique et diabète non insulinodépendant

Activité physique et diabète non insulinodépendant 8 Activité physique et diabète non insulinodépendant L activité physique est aussi importante pour le traitement du diabète de type 2 que l équilibre alimentaire. L activité physique, ce n est pas seulement

Plus en détail

Tâche : Comparer l étiquette de produits alimentaires afin de connaître leur valeur nutritive.

Tâche : Comparer l étiquette de produits alimentaires afin de connaître leur valeur nutritive. 13 aliments pour une bonne santé Valeurs nutritives Grande compétence A Rechercher et utiliser de l information Groupe de tâches A2 : Interpréter des documents Grande compétence C Comprendre et utiliser

Plus en détail

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction

Plus en détail

MAÎTRISER LA LECTURE DES ÉTIQUETTES NUTRITIONNELLES

MAÎTRISER LA LECTURE DES ÉTIQUETTES NUTRITIONNELLES MAÎTRISER LA LECTURE DES ÉTIQUETTES NUTRITIONNELLES Par Marie-Christine Parent, stagiaire en diététique AU MENU Retour sur le sondage Vision de la saine alimentation Qu est-ce que l étiquetage nutritionnel?

Plus en détail

Diabète et exercice physique

Diabète et exercice physique excer.phys_062004 13-07-2004 10:52 Pagina 1 Diabète et exercice physique un service de excer.phys_062004 13-07-2004 10:52 Pagina 2 2 Diabète et exercice physique La présente brochure a pu être réalisée

Plus en détail

Ac#vité Physique et Diabète

Ac#vité Physique et Diabète Ac#vité Physique et Diabète DIAPASON 36 MSA Châteauroux 2012 Dr Thierry KELLER 27 & 28 septembre 2012 Quels Constats? L inac#vité TUE!! "30% Mortalité totale 9% Risque Cardio-Vasculaire (coronaropathie)

Plus en détail

PROPRIETES DES SUCRES DANS LES ALIMENTS

PROPRIETES DES SUCRES DANS LES ALIMENTS PROPRIETES DES SUCRES DANS LES ALIMENTS Nouvelles tendances & Objectifs nutritionnels Mathieu Delample (Responsable Unité de Recherche), Martine Crépin (Responsable Pôle Produit), Emmanuel Corfias (Ingénieur

Plus en détail

36% T.Flow VMC hygroréglable & chauffe eau thermodynamique QUAND LA VENTILATION RÉINVENTE L EAU CHAUDE. BÉNÉFICIEZ DE

36% T.Flow VMC hygroréglable & chauffe eau thermodynamique QUAND LA VENTILATION RÉINVENTE L EAU CHAUDE. BÉNÉFICIEZ DE T.Flow VMC hygroréglable & chauffe eau thermodynamique QUAND LA VENTILATION RÉINVENTE L EAU CHAUDE. BÉNÉFICIEZ DE 36% DE CRÉDIT D'IMPÔTS Loi de finance 2011 T.Flow Un système révolutionnaire 2 en 1 Seul

Plus en détail

Le VIH et votre cœur

Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,

Plus en détail

Préparation Physique CPLM Gabriel Currat 1/7

Préparation Physique CPLM Gabriel Currat 1/7 1/7 Avant la compétition Détends-toi, le soir avant la compétition, avec de la relaxation (voir fiche en annexe) Le matin mange un petit déjeuner équilibré: Fruits, Laitage, Pain ou céréales (ex: crème

Plus en détail

Titre : «CYCLISME ET DIABETE DE TYPE 1» Auteur(s) : Docteur Karim BELAID. Catégorie : Médecine du Sport - Diaporama, 20 vues.

Titre : «CYCLISME ET DIABETE DE TYPE 1» Auteur(s) : Docteur Karim BELAID. Catégorie : Médecine du Sport - Diaporama, 20 vues. Titre : «CYCLISME ET DIABETE DE TYPE 1» Auteur(s) : Docteur Karim BELAID Catégorie : Médecine du Sport - Diaporama, 20 vues. Date de présentation : 2014 Lieu : Roubaix. Mis à disponibilité sur le site

Plus en détail

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples. Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste

Plus en détail

Groupe ROQUETTE. Usine de BEINHEIM. Chaufferie Biomasse

Groupe ROQUETTE. Usine de BEINHEIM. Chaufferie Biomasse Groupe ROQUETTE Usine de BEINHEIM Chaufferie Biomasse Congrès «Eco-technologies pour le futur» - Lille - 14 juin 2012 Plan de la présentation Le groupe ROQUETTE Notre site de BEINHEIM Nos motivations environnementales

Plus en détail

Volvo FE hybride Pour la distribution et la collecte des ordures

Volvo FE hybride Pour la distribution et la collecte des ordures Volvo FE hybride Pour la distribution et la collecte des ordures Avec des PTR jusqu à 26 tonnes, le Volvo FE hybride réunit tous les atouts pour la collecte des ordures et la distribution. Le moteur électrique

Plus en détail

DEFINITION DU DATACENTER

DEFINITION DU DATACENTER INFRASTRUCTURE INFORMATIQUE DATA CENTER DEFINITION DU DATACENTER Pour un hébergeur professionel l'organisation de l'espace réservé à l'accueil des machines a une importance capitale. Quel que soit le type

Plus en détail

Proposition de la Commission sur les allégations nutritionnelles et de santé en vue de mieux informer les consommateurs et d'harmoniser le marché

Proposition de la Commission sur les allégations nutritionnelles et de santé en vue de mieux informer les consommateurs et d'harmoniser le marché IP/03/1022 Bruxelles, le 16 juillet 2003 Proposition de la Commission sur les allégations nutritionnelles et de santé en vue de mieux informer les consommateurs et d'harmoniser le marché Aujourd'hui la

Plus en détail

ÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER

ÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER ÉDUCATION Côtes d Armor Collèges publics DIRECTION ÉDUCATION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER Charte de la restauration collective Préambule Dans le cadre de l article 82 de la loi du 13 août 2004, le Département

Plus en détail

France Telecom SA. Bilan d émissions de Gaz à effet de Serre (GES) Décembre 2012

France Telecom SA. Bilan d émissions de Gaz à effet de Serre (GES) Décembre 2012 France Telecom SA Bilan d émissions de Gaz à effet de Serre (GES) Décembre 2012 1. Description de la personne morale concernée Raison sociale : France Telecom SA Code NAF : 6110Z / Télécommunications filaires

Plus en détail

Rentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne

Rentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne Rentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne L alimentation : partie intégrante de la prise en charge de l enfant et de l adolescent diabétique base du traitement avec l insulinothérapie et l activité

Plus en détail

En avant! FJR1300A www.yamaha-motor.fr

En avant! FJR1300A www.yamaha-motor.fr 1300A En avant! Au cours des dix dernières années, cette moto extrêmement fiable a permis à des milliers d'utilisateurs de profiter de performances supersport et d'un exceptionnel confort pour le conducteur

Plus en détail

CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES

CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES FOURNITURE ET LIVRAISON DE REPAS EN LIAISON FROIDE DESTINES AU SERVICE DE LA RESTAURATION SCOLAIRE DE LA COMMUNE DE SEMBLANÇAY N MARCHE : CANT.2009 CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Personne

Plus en détail

Variantes du cycle à compression de vapeur

Variantes du cycle à compression de vapeur Variantes du cycle à compression de vapeur Froid indirect : circuit à frigoporteur Cycle mono étagé et alimentation par regorgement Cycle bi-étagé en cascade Froid direct et froid indirect Froid direct

Plus en détail

Que manger le jour de la compétition (Athlétisme - concours)?

Que manger le jour de la compétition (Athlétisme - concours)? Que manger le jour de la compétition (Athlétisme - concours)? La veille au soir Les buts de l alimentation sont de maintenir les réserves en glycogène (réserve de sucre pour l effort) tant au niveau du

Plus en détail

Les compléments alimentaires dans l alimentation sportive

Les compléments alimentaires dans l alimentation sportive 22 COMPLÉMENTS ALIMENTAIRES L ALIMENTATION DU JOUEUR DE FOOTBALL L ALIMENTATION DU JOUEUR DE FOOTBALL COMPLÉMENTS ALIMENTAIRES 23 Les compléments alimentaires dans l alimentation sportive La consommation

Plus en détail

Dextro Energy gel Liquid Apple

Dextro Energy gel Liquid Apple Dextro Energy gel Liquid Apple Un concentré glucidique pour les sportifs d endurance. Au parfum pomme. Eau, dextrose, sirop de sucre inverti, acidifiant (acide citrique), arôme, colorant (E 150c). 809

Plus en détail

CLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE

CLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE CLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE BAXTER_CLINIMIX N9G15 E et N12G20E_Avis CT_14-02-2007.pdf BAXTER_CLINIMIX N9G15E N12G20E N14G30 N17G35_Avis CT_12-12-2001.pdf BAXTER_CLINIMIX changement

Plus en détail

Quel sirop choisir pour le nourrissement d hiver.

Quel sirop choisir pour le nourrissement d hiver. Syndicat des apiculteurs de Thann et environs Quel sirop choisir pour le nourrissement d hiver. Auteurs : R.Hummel & M.Feltin Octobre 2014 Les sirops de nourrissement : La qualité des sirops utilisés pour

Plus en détail

LA RENOVATION ENERGETIQUE. atelier o

LA RENOVATION ENERGETIQUE. atelier o LA RENOVATION ENERGETIQUE LA RENOVATION ENERGETIQUE 1. DIAGNOSTIC Pourquoi rénover? Que faut-il rénover? Comment s y prendre? 2. SOLUTIONS Remplacement du chauffage Capteurs solaires Isolation de l enveloppe

Plus en détail

Transition énergétique Les enjeux pour les entreprises

Transition énergétique Les enjeux pour les entreprises Transition énergétique Les enjeux pour les entreprises Alain Grandjean Le 26 novembre 2014 Contact : alain.grandjean@carbone4.com Le menu du jour L énergie dans l économie : quelques rappels Les scénarios

Plus en détail