CONVERGENCES ET DIVERGENCES INTERNATIONALES DES PROBLEMES AUTOUR DE L ENTREPRENARIAT FAMILIAL - CAS DES ENTREPRISES FAMILIALES AU JAPON -

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "CONVERGENCES ET DIVERGENCES INTERNATIONALES DES PROBLEMES AUTOUR DE L ENTREPRENARIAT FAMILIAL - CAS DES ENTREPRISES FAMILIALES AU JAPON -"

Transcription

1 CONVERGENCES ET DIVERGENCES INTERNATIONALES DES PROBLEMES AUTOUR DE L ENTREPRENARIAT FAMILIAL - CAS DES ENTREPRISES FAMILIALES AU JAPON - SHINATO Teruo Professeur, Université Nihon, Graduate School of Social and Cultural Studies, 4-25 Nakatomi minami, Tokorozawa , Saitama, Japon : shinato@gssc.nihon-u.ac.jp : (0) KAMEI Katsuyuki Professeur, Université Kansaï, Campus Takatsuki (Faculté d Informatique), Ryozenji, Takatsuki , Osaka, Japon : kamei@res.kutc.kansai-u.ac.jp GFG04104@nifty.com : (0) KURASHINA Toshiki Professeur, Université Konan, Faculté de Gestion Okamoto, Higashinada ku, Kobe , Hyogo, Japon : toshikikura@yahoo.co.jp :

2 CONVERGENCES ET DIVERGENCES INTERNATIONALES DES PROBLEMES AUTOUR DE L ENTREPRENARIAT FAMILIAL - CAS DES ENTREPRISES FAMILIALE AU JAPON - Résumé : Dans cette étude nous démontrons l état actuel des entreprises familiales au Japon. Nous présentons le contexte au Japon, en abordant notamment la question de la longévité des entreprises familiales et la problématique de leur transmission. Malgré l existence d»entreprises de longue tradition qui ont traversé les siècles, la recherche sur l entreprise familiale commence à peine au Japon. Nous nous appuyons sur les rares exemples de recherches menées, telles que celles de Kurashina (2003) et Nomura (2007). La particularité du Japon pourrait apporter des éléments de réflexion dans le domaine de l entreprise familiale. A partir de notre étude, nous essaierons donc de proposer un autre point de vue de la recherche dans ce domaine. Notre étude va contribuer aux points suivants : 1) reconsidération de la définition de l entreprise familiale, 2) analyse du status quo basé sur l approche de la comparaison du Japon et l Occident. 3) état des lieux des entreprises centenaires au Japon, 4) typologie des problèmes des entreprises familiales, notamment la transmission. Mots clés : entreprise familiale, longévité, Japon, transmission Abstract: This study analyses the actual situation of Japanese Family Firms. In Japan there exist many traditional family firms that are more than 100 years old. In spite of their existence, the academic research on family firms has just begun in Japan. Through our study based on the rare Japanese research in this field like Kurashina (2003) and Saito (2007), we try to bring some new aspects in family business research. Thus we contribute to the following points: 1) reconsideration of the definition, 2)analysis du stats-quo of family firms in Japan, 3)analysis of Japanese traditional enterprises and 4)classification of the problem of succession. Keywords: family firm, longevity, Japan, succession 1

3 Introduction Le livre des records, Guinness Book a reconnu l existence des deux plus anciennes entreprises du monde au Japon. La première est Kongo Gumi fondée en 578 et la deuxième Houshi en 717. La deuxième est la plus ancienne parmi les membres de l association Hénokiens (association des entreprises qui ont plus de deux cents ans). Selon l Association Académique Japonaise de la pratique de Gestion (Nihon Jissen Keiei Gakkai se trouvent au Japon plus de trois mille entreprises de plus de deux cents ans et plus de quinze mille entreprises de plus de cent ans. La plupart sont des entreprises familiales qui ont leurs caractéristiques propres. Malgré l existence de telles entreprises de longue tradition qui ont traversé les siècles, la recherche sur l entreprise familiale au Japon a à peine commencé. Par exemple, la transmission des entreprises est un sujet peu traité au niveau académique au Japon par rapport aux pays européens comme la France. La multitude d entreprises familiales centenaires, voire bicentenaires au Japon, pourrait apporter des éléments de réflexion dans le domaine de l entreprise familiale. Dans le même temps, les recherches menées sur le sujet en Occident pourraient enrichir les données et réflexions de pays dont les recherches sont encore à l état d ébauche pour certains pays comme le Japon. Cette étude présente les rares exemples recherches menées tels que Kurashina (2003), Goto (2007), Nomura (2007) et Saito (2007). Dans cette étude, premièrement, nous démontrerons donc l état actuel de l entreprenariat familial et sa problématique en mettant en parallèle l approche occidentale et japonaise. Deuxièmement, nous présenterons le contexte des entreprises familiales au Japon et leur comparaison avec le système occidental. Nous analyserons le problème que rencontrent les entreprises familiales au Japon. Dernièrement, à partir de notre étude qui démontre un aspect différent des entreprises familiales Japonaises, nous essaierons de proposer un autre point de vue de la recherche dans ce domaine. 2

4 1. La Définition de l Entreprise Familiale Quelle est l entreprise familiale? Comme le soulignent Amann et Allouche (2000), il existe la difficulté d élaboration d une définition dans le domaine des recherches sur les entreprises familiales. Les entreprises familiales sont définies selon les auteurs soit par monocritère, c est-à-dire selon degré de contrôle de gestion ou celle de patrimoine, soit par pluri critère, c est-à-dire la combinaison des deux contrôles. Ceux qui suivent sont les exemples de celles par pluri critères : La définition de la Stockholm School of Economics (SSE) : L entreprise familiale est une société contrôlée par une famille au minimum une des trois caractéristiques suivantes : 1) au moins trois membres de la famille sont actifs dans l entreprise, 2) l entreprise est sous contrôle familial depuis deux générations au moins, 3) les membres de la famille qui possèdent actuellement l entreprise ont l intention d en céder le contrôle à la génération suivante La définition de l Université de Bocconi, L entreprise familiale remplit au moins une des deux conditions ci-dessous : 1) Critère managériale : la majorité des administrateurs de conseil d administration sont issus d une famille 2) Critère patrimoniale : une famille détient la majorité des actions avec droit de vote de l entreprise Reconsidération sur la définition de l entreprise familiale : la définition des auteurs japonais. Au Japon, les entreprises familiales ont une caractéristique particulière par rapport à leurs homologues occidentaux : la minorité de la participation dans le capital. Cette infériorité de taux de participation de la famille fondatrice dans le capital s explique par deux principales raisons traditionnelles : (1) existence de taux le plus élevé du monde de la taxe de succession (la couche la plus élevée était de 70% avant la réforme de 2002, qui l a baissée à 50%) et (2) système de participations croisées autour des institutions financières majeures que constituait le keiretsu (groupe). Notamment l imposition sur la succession est beaucoup plus 3

5 élevée au Japon que dans les pays occidentaux. Ce qui fait qu au bout de plusieures générations, le taux de détention en capital par la famille fondatrice diminue considérablement dans les entreprises familiales japonaises. Si la famille ne possède pas de patrimoine suffisant outre que les titres pour payer l impot de succession, elle obligée de les vendre pour cette taxe de succession. Cette particularité des entreprises familiales a amené les auteurs japonais à apporter et une définition multicritères différentes de leurs collègues occidentaux. La définition de Kurashina (2003) est basée sur ses quatre catégorisation des entreprises comme montrées ci-dessus. Selon Kurashna, les entreprises familiales sont les entreprises de type B, C et D. Type A : Entreprise non familiale dont les investisseurs institutionnels sont détenteurs principaux des titres et dont le manager possède le nombre limité des titres. Type B : Membres de famille de fondateur restent actionnaires majeurs et ils gardent le siège à la direction (président, vice-président, directeur général). Type C : Famille du fondateur reste actionnaire majeur, mais personne de la famille occupe le plus haut niveau de la direction. Membre de la famille occuperait le poste de simple administrateur. Type D : Famille du fondateur n est pas actionnaire majeur. Mais ils participent à la direction en tant que le top management. Par la suite, un des deux grands auteurs dans le domaine de la recherche sur les entreprises japonaises au Japon, Goto (2007) a présenté la définition comme suit : Les entreprises familiales sont les entreprises où les membres de la famille du fondateur s engagent non seulement dans la gestion mais aussi dans la propriété jusqu au niveau de posséder deux ou plus de deux membres de la famille, soit comme président-directeur et propriétaire de capital soit seulement comme propriétaire de capital. Mais Saito (2007) a présente là une définition plus claire et plus concrète : Les entreprises familiales sont les entreprises qui remplissent tous les deux conditions suivantes : (1) Le taux de détention du capital par la famille est supérieur à 5 %. (2) Un membre de la famille occupe : soit la position de «président», soit la position du «chairman» du conseil d administration dans le sens anglais du terme. 4

6 2. Caractéristique des entreprises familiales au Japon 2.1. Multitude des anciennes entreprises qui ont plus de cent ans au Japon Le Japon est marqué par l existence des très anciennes entreprises. Ce pays surpasse des autres pays du monde par la longévité de ses entreprises.le livre des records, Guinness Book a reconnu l existence des deux plus anciennes entreprises du monde comme étant au Japon. La première, Kongo Gumi est fondée en 578 et la deuxième Houshi en 717. Selon l Agence Tokyo Shoko Research, il existe au Japon 15 mille entreprises qui ont plus de 100ans. Et selon l Association Académique Japonaise de la pratique de Gestion (Nihon Jissen Keiei Gakkai), se trouvent au Japon, plus de trois mille entreprises de plus de deux cents ans. Cette supériorité en nombre des anciennes entreprises au Japon s illustre dans les tableaux 3, 4 et aussi dans l Annexe 1 à la fin de cette présentation. La plupart de ces anciennes entreprises sont familiales et possèdent leurs propres leurs caractéristiques propres. En langue japonaise, les anciennes entreprises dites «shinise», signifie littéralement la vieille maison ou la vénérable maison Pourquoi existe-t-elles autant des entreprises centenaires au Japon? Alors pourquoi existe-t-il autant d entreprises centenaires au Japon? Goto (2007) cite trois raisons à cette longévité des entreprises japonaises. 1) Croissance stable pendant la période d Edo de Shogunat Tokugawa ( ) qui a permis de nombreuses créations des entreprises. 2) Compétence de gestion de la famille qui a fondé son entreprise pendant la période d Edo. Leur compétence a atteint le niveau de perfection avant le dix-huitième siècle. 3) Le contexte philosophique qui avec l éducation de «Shingaku» aux écoles des enfants de marchands a permis au peuple de respecter des notions comme l unité de famille, le sens de l engagement, la volonté de s impliquer dans le travail, l obligation envers la société, etc. Japon. Quant à Nomura (2007), il évoque les points suivants sur la longévité des shinises au 1) La plupart des shinises sont les entreprises familiales non cotées en bourse. 5

7 2) Trois raisons à cette longévité des shinises au Japon peuvent être citées. (a) Le Japon n a jamais été envahi par les pays étrangers dans l histoire. Ce pays n a pas connu de guerre civile menaçant l ensemble de son territoire. (b) Il existe le sens du respect qui accorde plus d importance à la pérennité de l entreprise plutôt qu au lien de parenté. Ce qui fait que souvent dans les entreprises familiales, il existe une époque où quelqu un en dehors de la famille est désigné comme président pour faire la liaison avec le successeur de la famille et il existe aussi le cas où le président issu de la famille cède son siège au mari de sa fille, ce qui est souvent le cas dans les entreprises de la région d Osaka. (c) Il existe la culture et la tradition qui respectent la fabrication. 3) Les points communs parmi les shinises qui ont plus de cent ans sont suivants : (a) La faculté de s adapter aux changements d environnement. (b) La faculté de comprendre le changement d environnement. (c) La faculté de garder leur cæur de métier. («Core Competence») L analyse de Yokozawa (2000) démontre les facteurs de la pérennité des entreprises dites «shinise» : Il en évoque les éléments comme l amélioration et développement des produits existants adaptant au besoin des clients comme le montre Tableau1. Tableau 1 : Facteurs du maintien du pouvoir managérial chez les anciennes entreprises au Japon A : Facteurs jusqu à présent 1 : Maintien de la gestion et de la qualité basé sur le tronc d origine (75.5%) 2 : Amélioration et développement des produits existants adaptant au besoin des clients (69%) 3 : Education des personnels (57%) 4 : Amélioration et développement des techniques (48.5%) Colonne5 : Développement au centre des canaux de distribution existant (46%) Colonne6 : Financement (43%) B. Facteurs à respecter pour le futur 1 : Education des personnels (70.5%) 2 : Maintien de la gestion et de la qualité basé sur le tronc d origine (68%) 3 : Occupation de problème de l environnement (63%) 4 : Développement des nouveaux canaux de distribution (62%) 5 : Aménagement de la base des données des clients (57%) 6 : Développement des produits adaptant au besoin des clients dans le domaine nouveau (59%) (Source) Yokozawa (2000), p.39. 6

8 2.3. Légitimité territoriale des entreprises centenaires au Japon Une autre caractéristique des anciennes entreprises au Japon est leur forte légitimité territoriale. Cette tendance se vérifie aussi chez les entreprises familiales en général. Le taux des entreprises familiales est plus élevé en dehors de la capitale. constater l existence d entreprises familiales reconnues dans le territoire régional. On peut donc Par exemple, la ville de Kyôto, ancienne capitale historique du Japon, est célèbre comme lieu de naissance d entreprises familiales qui connaissent un succès de dimension internationale. Les exemples sont Kyocera, Murata, Horiba, Nihon Densan, Nintendo, Omron, etc. Bien entendu cette ancienne capitale est le cœur des «shinises» traditionnels.kamei (2007) explique l ambiance entreprenariale de Kyoto comme indiqué au Tableau 2. Tableau 2 : The Kyoto Way of Entrepreneurship selon Kamei ( 2007) 1. The Coexistence of Tradition and High-Tech In addition to most traditional Japanese industries, Kyoto has a higher share of manufacturers than the national average. Within manufacturing, high-tech and electronics-related industries have become prominent. This coexistence of tradition and high-tech is a rare particularity of this city. 2. Traditional Industries as a Source of High-Tech The existence of traditional industries in this ancient capital of Japan has given birth to several technological revolutions. The Kimono industry has been the source of numerous evolutions in technology. The traditional pottery and porcelain industry, Kyo yaki or Kiyomizu yaki, has been the root of ceramic businesses such as Kyocera or Murata. Technology in the production of sake has led to innovation in biotechnology. 3. Respect for Honmamon (something with real value) Manufacturers at Kyoto are said to be honmamon-oriented. They esteem the quality of their products. They scorn imitating others in preferring differentiation to low pricing. 4. The Spirit of Shinise (traditional families of merchants and craftsmen) Within traditional families of merchants and craftsmen or Shinise, which literally means old shop we can note the following tendencies: survival rather than profit, quality rather than quantity, respect for relationships with customers, sound business practices, anti-conservatism, a spirit of entrepreneurship, management without debt, cash flow-based management and horizontal networks with other firms. Kyoto does not have any big capitalists. Thus, enterprises in Kyoto are independent of large-scale capitalists (zaibatsu), and therefore, are unlikely to become subcontractors (shita-uke). 5. Small Market Kyoto itself is a small market compared with Tokyo. New enterprises with little legitimacy have difficulty in cultivating the domestic market outside Kyoto. They often look to overseas markets. Thus, Kyoto ventures such as Horiba, Kyocera and Murata went to the US market first and then returned to exploit the domestic market. 6. An Academic Town much like a Juku Embracing the Whole City The city of Kyoto has the highest percentage of academics per capita in Japan, with more than 40 universities and 50 research organizations. Seven out of 12 Japanese Nobel Prizes have been awarded to researchers from Kyoto University. The cooperative atmosphere between industry and academia in this city can be considered as a big Juku (private school) embracing the entire city. Many student entrepreneurs started their enterprises from this academic centre. The first student venture was by Mr. Masao Horiba, who founded the enterprise named after him in

9 3. Recherches menées sur les entreprises familiales au Japon 3.1. Pourquoi la recherche académique sur les entreprises familiales est-elle peu avancée au Japon? Japon. La recherche du point de vue de «l entreprise familiale» reste quasi inexistante au Malgré l existence de la supériorité en nombre des anciennes entreprises, les entreprises familiales n ont pas fait l objet de recherches académiques jusqu à Kurashina (2003). La recherche du point de vue de «l entreprise familiale» est quasi inexistante. Surtout depuis les années 1990, à la suite de l éclatement de la bulle financière, les notions et les pratiques du capitalisme à l américaine se sont introduites massivement au Japon. La gestion basée sur «financial corporate value» est devenu très appréciée. Ce qui fait que les entreprises familiales détenues par la famille fondatrice sont considérées comme les institutions démodées. En plus, la série des scandales commis par les entreprises familiales ont affecté l image sur ce type des firmes. Il existe les leçons à tirer du status quo au Japon où les entreprises familiales sont mal vues en général Pourquoi a-t-on commencé à s intéresser de plus en plus à l entreprise familiale? La recherche de Kurashina (2003) a démontré la particularité générale et la performance financière des entreprises familiales au Japon. Kurashina (2003) a constaté le résultat des recherches occidentales dans le contexte du Japon. Il s agit de la supériorité marquée de la performance financière des entreprises à contrôle familial par rapport aux entreprises non familiales. Les résultats de Kurashina (2003) sont bien constatés par le monde académique occidental avec notamment le travaux de Allouche, Amann, Jaussard et Kurashina (présenté au Japon sous forme de l article dans la revue Nikkei Venture, avril 2007). C est la recherche menée par Kurashina en collaboration avec les chercheurs français sur la structure des entreprises familiales en France et au Japon ( Do Ownership and Family Control influence Financial Characteristics and Performances? ) Un autre précurseur en recherche sur les entreprises familiales au Japon est Goto. Goto (2007) sur la longévité des entreprises familiales au Japon, publié comme un chapitre dans le livre occidental, Handbook of Research on Family Business publié en Tout dernièrement, avec les efforts de ces précurseurs, le public et le monde académique au Japon se sont enfin mis à s intéresser aux entreprises dont le capital et la 8

10 direction sont sous la main de la famille du fondateur. La revue Nikkei Venture a publié le numéro spécial consacré au «Family Business» en avril La Family Business Conference a eu lieu à Okinawa en Un ouvrage collectif sur les entreprises familiales est en préparation sous la direction de Kurashina en Nous pouvons constater cette tendance. Cet intérêt tout récent sur l entreprise familiale au Japon peut s expliquer par le changement de la société selon Sakaiya (2007). La société industrielle jusqu aux années 1980 mettait l accent sur la richesse matérielle. Dans cette société axée sur la production de masse, les entreprises de grande dimension dirigées par les managers professionnels dits technocrates étaient appréciées. Tandis que la société du 21 ème siècle respecte la richesse spirituelle qui met l accent sur la qualité de satisfaction et plutôt que la richesse matérielle en nombre. Il s agit du temps de la personnalité des managers. Dans un tel temps, les entreprises familiales dont la prise de décision est agile, sont à leur avantage comme le montre le tableau 3 selon Sakaiya (2007) Tableau 3: Changement de la Valeur de la Société Société de Valeur de Connaissance (après les années 1980s) Bonheur en «qualité de satisfaction» Subjectif Social Flexible Impasse du dirigisme de l état Avantage aux entreprises familiales Retour de la religion Société Industrielle (jusqu aux années 1980s) Bonheur en «quantité de possession matérielle» Objectif Scientifique Généralisation Dirigisme de l état Avantage aux grandes entreprises Déclin de la religion Source : Sakaiya (2007), pp Recherche de Saito (2007), nouvel aperçu des entreprises familiales au Japon 9

11 La recherche de Saito (2007) a présenté un nouveau point de vue sur les entreprises familiales au Japon. Il a présenté une définition plus claire et plus concrète que Kurashina (2003) et Goto (2007). D abord, il a précisé le taux précis de la participation dans le capital de la firme et ensuite il a limité à la présidence soit «shachô»(président) soit «kaichô»(chairman) pour caractériser la présence de la famille au pouvoir de direction. Selon Saito (2007), les entreprises familiales sont donc les entreprises qui remplissent conjointement les deux conditions suivantes : (1) Le taux de détention du capital par la famille est supérieur à 5 %. (2) Un membre de la famille occupe : soit la position de «Président», soit la position de «Chairman» du Conseil d Administration dans le sens anglais du terme. Une autre clarté dans sa recherche est la distinction entre l entreprise familiale gérée par le fondateur et l entreprise gérée par une génération d ordre deux ou plus. Dans sa recherche en 2007, premièrement, Saito a recensé 1823 entreprises des principaux marchés : premier marché de la Bourse de Tôkyô, Deuxième marché de la Bourse de Tôkyô, Premier marché de la Bourse d Osaka, Deuxième marché de la Bourse d Osaka et Marchés régionaux. Son échantillon ne comprend pas les entreprises à caractère public comme les entreprises d électricité ni les institutions financières. Il a répertorié les données de 1990 et la période d observation de la performance financière est comprise entre 1990 et Comme Saito a pris en considération les entreprises qui sont cotées uniquement dans les marchés régionaux, ses données reflètent plus exactement la réalité des entreprises familiales au Japon. Comme le montre Tableau 4, parmi entreprises, Saito (2007) a recensé 477 (26%) entreprises familiales qui remplissent les deux conditions de sa définition. D abord, dans 738 (40%) entreprises, la famille du fondateur est parmi les 20 premiers actionnaires en taux de participation en capital et dans 545 (30%) entreprises, la détention par la famille est supérieur à 5% tandis que dans 194 (11%) entreprises, ce taux supérieur à 20%. Ensuite, dans 758 (42%) entreprises, au moins un membre de la famille du fondateur participe au conseil d administration et dans 657 (36%) entreprises les membres de la famille occupent la présidence. Le Tableau 6 montre la tendance selon laquelle le taux moyen de détention du capital par la famille est bien inférieur chez les entreprises familiales au Japon, comparé à la situation dans le même domaine dans l occident. 10

12 Quant à la performance, la recherche de Saito (2007) a aussi constaté la supériorité des entreprises familiales comme le montre Tableau 5 La différence est vérifiée significative selon sa recherche. Tableau 4. Distribution de la Propriété de Famille et la Présidence en 1990 de la recherche de Saito (2007) Participation de la Famille(F) en capital (%) Participation de Famille en Direction Aucun membre en Simple Président Total conseil administrateur dans le conseil F= <F< =<F< =<F< =<F (Famille est la première propriétaire de capital ) (13) (24) (418) (455) Total *Le chiffre souligné est celui des entreprises familiales selon la définition de Saito (2007) : à la fois (1) le taux de participation en capital est supérieur à 5% et (2) la présidence est occupée par un membre de la famille. Source : Saito (2007), p.175. Table 5 : Données descriptives des Entreprises Familiales et des Entreprises Non- Familiales dans la recherche de Saito (2007) Number of Firms 477 Family Firm Nonfamily Firm Mean Median Max Mean Median Family Ownership(%) Family Director Family Director Ratio(%) ROA (Return on Asset) Source : Saito (2007), p

13 Le Tableau 6 montre la distinction des entreprises familiales dont la présidence est assurée par le fondateur et celles qui sont gérées par d autre membre de la famille ou par ses descendants selon Saito (2007). Parmi les 477 entreprises familiales, 215(45%) entreprises sont gérées par le fondateur en tant que président, 11(2%) par un membre de sa famille de la même génération tel que frère, 187(39%) par la génération des enfants du fondateur et 64(13%) par la troisième génération ou plus. Et Tableau 7 démontre la supériorité de performance chez les entreprises familiales du fondateur par rapport aux entreprises de non fondateur. Cet écart est vérifié significatif dans la recherche de Saito (2007) Tableau 6 : Répartition des Entreprises Familiales au Japon dans la recherche de Saito (2007) Number Ratio over 477 Family Firms Founder Firm Family 1st Generation (i.e. brother of founder) Family 2 nd Generation Family 3rd Generation Modifié de Saito (2007), p.178. Table7 : Comparaison des entreprises du fondateur et des entreprises des descendants selon la recherche de Saito (2007) Fouder Firm Descendant Firm Mean Median Mean Median Number of Firms Family Ownership(%) Family Director Family Director Ratio(%) ROA (Return on Asset) Source : Saito (2007), p Problèmes des Entreprises Familiales 4.1. Quels sont les problèmes que l on rencontre dans les entreprises familiales? 12

14 Tout comme les chercheurs occidentaux, Kurashina (2003) précise qu il existe trois catégories de problèmes particuliers dans les entreprises familiales. (a) Problème en tant qu entreprise : Question du gouvernement d entreprise. Question de «Compliance». Conflit entre directeur familial et non familial. Transmission des biens intangibles. (b) Problème en tant que propriétaire : Transmission d entreprise. Transmission du patrimoine. (c) Problème en tant que famille : Conflit entre les générations. Conflit entre les frères et les soeurs. Parmi les points ci-dessus, Kurashina considère que la transmission est le problème majeur des entreprises familiales Transmission comme problème majeur des entreprises familiales, commun aux pays occidentaux et au Japon Le vieux continent et le Japon envisagent tous les deux les préoccupations concernant la transmission et la reprise des entreprises. Mais au Japon, la recherche académique sur ce sujet est quasi inexistante. Quelle leçon le monde académique au Japon doit-il tirer de la recherche académique bien établie en la matière dans un pays comme la France? (Kamei, 2006a) Gestion du risque dans la transmission des entreprises familiales Nous essayons ici d appliquer le cadre de la gestion du risque décrit ci-dessus à la succession de PME familiale de l entreprise du point de vue d un successeur. comme suit: La typologie des risques dans la transmission des entreprises familiales se décrit 13

15 (1)Risque interne du manager de la deuxième génération: -risque de la personnalité inapte à la gestion -risque d incompétence (Haddadj et D Andria, 2001 ; Kamei, 2006a) -risque psychologique : jalousie, complexe et rivalité face à son parent prédécesseur qui tarde souvent son départ (Gueye et Bah, 2002; Haddadj et D Andria, 2001; Mouline, 2000) -risque du conflit avec son parent prédécesseur -risque de mauvaise transmission du savoir-faire (2)Risque externe par rapport aux clients: -risque de la comparaison avec son parent/cédant -risque de la perte des clients attachés à son parent/cédant (3)Risque interne par rapport aux employés: -risque de la comparaison avec son parent/cédant -risque de la perte des employés attachés à son parent/cédant (jalousie et hostilité des employés) (4)Risque financier de la succession patrimoniale: -risque financier concernant la taxe sur la succession -risque financier concernant la reprise des actions (5)Risque directement lié à la succession: -risque sur la succession de l actionnariat (risque financier) -risque sur la succession du management (risque relationnel) (6)Risque du conflit familial après la mort de l ex-président: -risque du conflit sur la succession patrimoniale (le patrimoine immobilier, financier, l actionnariat) -risque du conflit concernant le pouvoir dans l entreprise (Brionne, 2005; Cassanet, 2004) (7)Risques selon le processus de succession: -risques avant la succession (formation et initiation) -risques pendant la succession (intégration et reprise) -risques après la succession (manœuvre de sa propre stratégie) Et la typologie des modalités de gestion des risques chez successeur de la deuxième génération se décrit comme suit: 14

16 (a)formation de carrière en tant que successeur (le métier du management, l entrepreneurship et le leadership), (b)entraînement de la capacité à décider face aux risques: promotion de la sensibilité au risque(élargissement de perspective) (c)communication (avec son parent cédant, avec les autres membres de famille, avec les clients, avec les employés) En résumé, par rapport à la reprise et la vente au tiers, les risques de la succession familiale sont plus compliqués en termes de (1)inséparabilité des aspects financiers et humains avec la forte possibilité d un conflit fratricide sur la succession, et de (2)nécessité de préparation à long terme. Les risques potentiels du facteur humain sont difficiles à "identifier". Quant à "l évaluation", la possibilité de disparition du prédécesseur étant absolue et l impact financier énorme, la préparation tend à tarder avec le tabou de la succession familiale: l impossibilité de formuler, le dialogue implicite et la discrétion.(cassanet, 2004) Tant qu une succession parent/enfant est poursuivie, il n est pas possible de l "éviter"et il faut "prendre" ces risques. En termes de "réduction" et de "transfert" des risques, pour l aspect financier, il existe des aides institutionnelles et professionnelles certes, mais pas pour l aspect psychologique et humain, pour lequel les accompagnateurs tels que consultants, avocats et experts-comptables sont réticents. Enfin, la "communication" relative aux risques dans chaque processus et l accompagnement psychologique du dialogue entre générations est important Transmission et succession d entreprise au Japon: différence culturelle Vieillissement accéléré des dirigeants de PME Au Japon, le vieillissement de la population est une réalité bien connue et la décroissance démographique a déjà commencé. Les dirigeants de PME sont déjà âgés. 18% d entre eux ont plus de 70ans en 2002, trois fois plus qu en (METI, 2004). La transmission de PME est donc devenue une préoccupation majeure dans ce pays comme en France. 15

17 La nécessité de l aménagement de la reprise d entreprise Selon une étude sur la retraite des propriétaires de TPE au Japon (METI, 2005), quand un entrepreneur quittait une entreprise cela se traduisait par une liquidation dans 81,9 % des cas et dans une transmission à un autre entrepreneur dans 18,1% des cas seulement. Ces PME auraient pu continuer leur activité, si elles avaient trouvé un successeur ou un repreneur. Vu la situation actuelle où le taux de sortie dépasse celui d entrée et dans la nécessité de revitaliser l économie, il devient vital de maintenir les entreprises qui auraient pu survivre si un successeur ou un repreneur avait été trouvé. Le gouvernement commence à s interroger sur des modalités visant à résoudre ce type de problèmes rencontrés par les PME Transmission familiale Au Japon, comme en France, le taux de transmission familiale diminue et la reprise par un tiers s accroît. Au début des années 1980, la transmission à l enfant de l entrepreneur s élevait à près de 80%, celle qui est à un autre parent à 14% et Celle qui est à un tiers à 6%. Ces taux entre 1999 et 2003 sont de 42%, 20% et 38%.(TSR, 2003) Tableau 8: Raisons de ne pas prendre la suite de l entreprise (multiples réponses possibles) Fils Fille moyen Manque d espérance de croissance 50.3% 42.8% 45.8% Manque de compétence 22.2% 45.3% 36.0% Confort du travail actuel 23.8% 12.3% 16.9% Insuffisance du niveau de vie 21.1% 9.1% 13.9% Stabilité en restant salarié(e) 9.2% 15.2% 12.8% Désaccord de la famille 10.3% 6.5% 8.0% Autres 13.5% 15.9% 15.0% (METI, 2005, p.190) Les raisons pour lesquelles les enfants des entrepreneurs ne veulent pas prendre la suite de l entreprise familiale sont décrites avec les facteurs tels dont (1) la situation économique défavorable depuis la crise des années 1990, (2) la possibilité plus ouverte de choisir d autres professions, (3) la diminution de la valeur de la succession patrimoniale auprès de la jeune génération se situent à l arrière-plan des réticences. (Voir Tableau 8) Réforme de

18 Après les discussions des différents comités sur le sujet, la réforme de la taxe prévue en 2009 devrait entrer en application plus tôt que prévu. La loi sur la simplification de la transmission pour les PME familiales est entrée en débat parlementaire en février 2008 et devrait entrer en vigueur dès octobre Elle propose l allègement de la taxe de succession pour les titres non côtés, en acceptant un délai de paiement de ces taxes. Plus précisément, ce délai s applique pour 80 % des titres avec droit de vote dont le successeur hérite. La partie non-imposable de ces titres devrait passée de 10 à 80%. Au Japon, les conditions d application resquiert que pendant 5ans à compter de la succession : - le successeur reste représentant de la société - le successeur garde 80% des effectifs - qu il continue à posséder la société. Tant qu il possède ses titres, le successeur bénéficie du report de cette taxe. S il vient à décéder, ces taxes seront effacées. Conclusion En guise de conclusion, à partir de notre étude qui démontre un aspect différent des entreprises familiales Japonaises, nous essaierons de faire les propositions suivantes à la recherche académique dans ce domaine : Nécessité d exiger l évolution des entreprises familiales qui ont trois axes à respecter : 1) gouvernement d entreprise, 2) «compliance», et 3) transparence. Nécessité de faire l échantillonnage plus précis et plus clair des entreprises familiales comme dans Saito (2007) : distinction de la présidence et de la simple position d administrateur qu occupent les membres de la famille, un chiffre plus précis du taux de participation en capital par la famille et la distinction entre les entreprises du fondateur et celles qui sont transmises aux descendants. Considération des PME familiales non cotées en bourse. Leçon à tirer de la longévité des entreprises familiales au Japon. Aide aux pays comme le Japon qui est en retard en recherche dans le domaine des entreprises familiales 17

19 Bibliographie Nécessité de faire la coopération entre le monde académique et les entrepreneurs Nécessité de procéder l étude comparative internationale sur les entreprises familiales. Allouche J.,& Amann B.( 1995), Le retour triomphant du capitalisme familial, in De Jacques Coeur à Renault: Gestionnaires et Organisations, Presses de l Univeresité des Sciences Sociales de Toulouse. Allouche J.,& Amann B.( 1998), La confiance, une explication aux performances des entreprises familiales, Economie et Société, série sciences de gestion, 25, Allouche J.,& Amann B.( 2000), L entreprise familiale : un état de l art, Finance Contrôle Stratégie, 3(1), Amann Bruno, Allouche José,& Garaudel Pierre(2007), Performances et caractéristiques financières comparées des entreprises familiales et non familiales : le rôle modérateur de la cotation en bourse et du degré de contrôle actionnarial. Le cas français, Colloque AIMS, Montréal/Canada, Juin 2007 Brionne J.L. (2005), "L entreprise patrimoniale socle de la richesse d un pays", L art du management, Les Echos, le 15 décembre, p.4-5. Caby J., & Hirigoyen G.(2007), La Gestion des Enreprises Familiales, Economica Corstjens M., Maxwell K., & Van der Heyden L.(2005), Family Ownership and Firm Performance : Evidence from the French Stock Market, INSEAD Working Paper, 2005/05/WICFE Deschamps B. et Paturel R. (2005), Reprendre une entreprise, Dunod. Goto, T. (2006), Longevity of Japanese Family Firm, in Poutziouris, Smyrnios et Klein ed.(2007), Handbook of Research on Family Business, Edward Elgar Publishing. Gueye C. et Bah T.(2002), "Environnement psychologique et transfert des connaissances dans le cadre d une transmission d entreprise familiale", Actes du colloque «Les enjeux de la transmission d entreprise», les 5 et 6 décembre, Université Montpellier I, p Haddaj S. et D Andria A.(2001), "Mesurer les phénomènes agissant sur la transmission des PME familiales", Revue Française de Gestion, janvier-février, p Kamei, K.(2006a) «Gestion des risques liés au management par la deuxième génération -Cadre théorique et Cas au Japon -», 1ères Journées Georges Doriot, «Les conduites de repreneuriat : réussir la reprise et la transmission de l entreprise» Deauville, 16 et 17 mars 2006, CD-ROM. Kamei, K.(2006b)«Risque et Esprit d entreprise -Essai de comparaison franco-japonaise du point de vue du facteur humain dans la gestion des risques-», 18èmes Journées Nationales des IAE, Congrès du Cinquantenaire : «Les Sciences de Gestion, acquis & perspectives», Montpellier, 3 et 4 avril 2006, CD-ROM. Kamei, K.(2007) Kyoto way of Entrepreneurship The 5th Interdisciplinary European Conference on Entrepreneurship Research (IECER) Entrepreneurship and the Region, Montpellier Management School,March 1, Kenyon-Rouvinez D., & Gabs(2005), La succession dans l entreprise familiale, Éditions d Organisation Kurashina, T.(2003), Family Kigyo no Keieigaku (Gestion des Entreprises Familiales), Toyo 18

20 Keizai Shinpo Sha (en japonais). Marchesnay M. (2000), "L entreprenuer face à ses risques", Innovations, Cahiers d économie de l innovation, no12, , p METI(2005), White Paper on SMEs in Japan. Mouline J.P. (2000), "Dynamique de la succession managériale dans la PME familiale non cotée", Revue Finance Contrôle Stratégie, Volume3 numéro1, p Nomura, S.(2007), Chozyu Kigyo wa Nihon ni Ari (Existence des Anciennes Entreprises au Japon), Nihon Hoso Shuppan Kyokai (en japonais). Sakaiya, T. (2007), Family Kigyo ga Attotekini Yuri na Jidai (Le Temps Favorable pour les Entreprises Familiales), Nikkei Venture, avril 2007 (en japonais). Saito, T.(2007), Family Kigyo no Riekiritsu ni kansuru Jissho kenkyu (Etude sur la Profitabilité des Entreprises Familiales), Bulletin of Center of Excellence Waseda Institute for Corporation Lawa and Society, Vol.7 (en japonais). Tokyo Shoko Research(TSR)(2003), Kokeisha Kyoiku ni kansuru Jittaichosa (Formation du successeur) (en japonais) Torres O.(2007), La recherche académique française en PME, Regards sur le PME, No.14, OSEO. Viénot P., Blondel C., Colatrella T., Gautier S., & Touraine A.(2007), La gouvernance de l entreprise familiale, Groupe Eyrolles Yokozawa, T. (2000) Shinise Kigyo no Kenkyu (Etude sur les Entreprises Traditionelles), Seisansha shuppan (en japonais). 19

Celine BARREDY, PhD Associate Professor of Management Sciences

Celine BARREDY, PhD Associate Professor of Management Sciences Celine BARREDY, PhD Associate Professor of Management Sciences PUSG, UFR 413 35, avenue Abadie 33072 Bordeaux Cedex celine.barredy@u-bordeaux4.fr TEL +33(0)685431233 Education 2005: PhD in Management Sciences

Plus en détail

Improving the breakdown of the Central Credit Register data by category of enterprises

Improving the breakdown of the Central Credit Register data by category of enterprises Improving the breakdown of the Central Credit Register data by category of enterprises Workshop on Integrated management of micro-databases Deepening business intelligence within central banks statistical

Plus en détail

Présentation par François Keller Fondateur et président de l Institut suisse de brainworking et M. Enga Luye, CEO Belair Biotech

Présentation par François Keller Fondateur et président de l Institut suisse de brainworking et M. Enga Luye, CEO Belair Biotech Présentation par François Keller Fondateur et président de l Institut suisse de brainworking et M. Enga Luye, CEO Belair Biotech Le dispositif L Institut suisse de brainworking (ISB) est une association

Plus en détail

MSO MASTER SCIENCES DES ORGANISATIONS GRADUATE SCHOOL OF PARIS- DAUPHINE. Département Master Sciences des Organisations de l'université Paris-Dauphine

MSO MASTER SCIENCES DES ORGANISATIONS GRADUATE SCHOOL OF PARIS- DAUPHINE. Département Master Sciences des Organisations de l'université Paris-Dauphine MSO MASTER SCIENCES DES ORGANISATIONS GRADUATE SCHOOL OF PARIS- DAUPHINE Département Master Sciences des Organisations de l'université Paris-Dauphine Mot du directeur Le département «Master Sciences des

Plus en détail

ETABLISSEMENT D ENSEIGNEMENT OU ORGANISME DE FORMATION / UNIVERSITY OR COLLEGE:

ETABLISSEMENT D ENSEIGNEMENT OU ORGANISME DE FORMATION / UNIVERSITY OR COLLEGE: 8. Tripartite internship agreement La présente convention a pour objet de définir les conditions dans lesquelles le stagiaire ci-après nommé sera accueilli dans l entreprise. This contract defines the

Plus en détail

RULE 5 - SERVICE OF DOCUMENTS RÈGLE 5 SIGNIFICATION DE DOCUMENTS. Rule 5 / Règle 5

RULE 5 - SERVICE OF DOCUMENTS RÈGLE 5 SIGNIFICATION DE DOCUMENTS. Rule 5 / Règle 5 RULE 5 - SERVICE OF DOCUMENTS General Rules for Manner of Service Notices of Application and Other Documents 5.01 (1) A notice of application or other document may be served personally, or by an alternative

Plus en détail

Natixis Asset Management Response to the European Commission Green Paper on shadow banking

Natixis Asset Management Response to the European Commission Green Paper on shadow banking European Commission DG MARKT Unit 02 Rue de Spa, 2 1049 Brussels Belgium markt-consultation-shadow-banking@ec.europa.eu 14 th June 2012 Natixis Asset Management Response to the European Commission Green

Plus en détail

PIB : Définition : mesure de l activité économique réalisée à l échelle d une nation sur une période donnée.

PIB : Définition : mesure de l activité économique réalisée à l échelle d une nation sur une période donnée. PIB : Définition : mesure de l activité économique réalisée à l échelle d une nation sur une période donnée. Il y a trois approches possibles du produit intérieur brut : Optique de la production Optique

Plus en détail

Francoise Lee. www.photoniquequebec.ca

Francoise Lee. www.photoniquequebec.ca Francoise Lee De: Francoise Lee [francoiselee@photoniquequebec.ca] Envoyé: 2008 年 11 月 17 日 星 期 一 14:39 À: 'Liste_RPQ' Objet: Bulletin #46 du RPQ /QPN Newsletter #46 No. 46 novembre 2008 No. 46 November

Plus en détail

UNIVERSITE DE YAOUNDE II

UNIVERSITE DE YAOUNDE II UNIVERSITE DE YAOUNDE II The UNIVERSITY OF YAOUNDE II INSTITUT DES RELATIONS INTERNATIONALES DU CAMEROUN INTERNATIONAL RELATIONS INSTITUTE OF CAMEROON B.P. 1637 YAOUNDE -CAMEROUN Tél. 22 31 03 05 Fax (237)

Plus en détail

SCHOLARSHIP ANSTO FRENCH EMBASSY (SAFE) PROGRAM 2015-2 APPLICATION FORM

SCHOLARSHIP ANSTO FRENCH EMBASSY (SAFE) PROGRAM 2015-2 APPLICATION FORM SCHOLARSHIP ANSTO FRENCH EMBASSY (SAFE) PROGRAM 2015-2 APPLICATION FORM APPLICATION FORM / FORMULAIRE DE CANDIDATURE Note: If there is insufficient space to answer a question, please attach additional

Plus en détail

IDENTITÉ DE L ÉTUDIANT / APPLICANT INFORMATION

IDENTITÉ DE L ÉTUDIANT / APPLICANT INFORMATION vice Direction des Partenariats Internationaux Pôle Mobilités Prrogrramme de bourrses Intterrnattiionalles en Mastterr (MIEM) Intterrnattiionall Mastterr Schollarrshiip Prrogrramme Sorrbonne Parriis Ciitté

Plus en détail

The impacts of m-payment on financial services Novembre 2011

The impacts of m-payment on financial services Novembre 2011 The impacts of m-payment on financial services Novembre 2011 3rd largest European postal operator by turnover The most diversified European postal operator with 3 business lines 2010 Turnover Mail 52%

Plus en détail

L ESPACE À TRAVERS LE REGARD DES FEMMES. European Economic and Social Committee Comité économique et social européen

L ESPACE À TRAVERS LE REGARD DES FEMMES. European Economic and Social Committee Comité économique et social européen L ESPACE À TRAVERS LE REGARD DES FEMMES 13 European Economic and Social Committee Comité économique et social européen 13 This publication is part of a series of catalogues published in the context of

Plus en détail

INDIVIDUALS AND LEGAL ENTITIES: If the dividends have not been paid yet, you may be eligible for the simplified procedure.

INDIVIDUALS AND LEGAL ENTITIES: If the dividends have not been paid yet, you may be eligible for the simplified procedure. Recipient s name 5001-EN For use by the foreign tax authority CALCULATION OF WITHHOLDING TAX ON DIVIDENDS Attachment to Form 5000 12816*01 INDIVIDUALS AND LEGAL ENTITIES: If the dividends have not been

Plus en détail

MSO MASTER SCIENCES DES ORGANISATIONS GRADUATE SCHOOL OF PARIS- DAUPHINE. Département Master Sciences des Organisations de l'université Paris-Dauphine

MSO MASTER SCIENCES DES ORGANISATIONS GRADUATE SCHOOL OF PARIS- DAUPHINE. Département Master Sciences des Organisations de l'université Paris-Dauphine MSO MASTER SCIENCES DES ORGANISATIONS GRADUATE SCHOOL OF PARIS DAUPHINE Département Master Sciences des Organisations de l'université ParisDauphine Mot du directeur Le département «Master Sciences des

Plus en détail

Nouveautés printemps 2013

Nouveautés printemps 2013 » English Se désinscrire de la liste Nouveautés printemps 2013 19 mars 2013 Dans ce Flash Info, vous trouverez une description des nouveautés et mises à jour des produits La Capitale pour le printemps

Plus en détail

Instructions Mozilla Thunderbird Page 1

Instructions Mozilla Thunderbird Page 1 Instructions Mozilla Thunderbird Page 1 Instructions Mozilla Thunderbird Ce manuel est écrit pour les utilisateurs qui font déjà configurer un compte de courrier électronique dans Mozilla Thunderbird et

Plus en détail

Bill 69 Projet de loi 69

Bill 69 Projet de loi 69 1ST SESSION, 41ST LEGISLATURE, ONTARIO 64 ELIZABETH II, 2015 1 re SESSION, 41 e LÉGISLATURE, ONTARIO 64 ELIZABETH II, 2015 Bill 69 Projet de loi 69 An Act to amend the Business Corporations Act and the

Plus en détail

RETHINKING JACQUES ELLUL AND THE TECHNOLOGICAL SOCIETY IN THE 21ST CENTURY REPENSER JACQUES ELLUL ET LA SOCIETE TECHNICIENNE AU 21EME SIECLE

RETHINKING JACQUES ELLUL AND THE TECHNOLOGICAL SOCIETY IN THE 21ST CENTURY REPENSER JACQUES ELLUL ET LA SOCIETE TECHNICIENNE AU 21EME SIECLE CALL FOR PAPERS / APPEL A COMMUNICATIONS RETHINKING JACQUES ELLUL AND THE TECHNOLOGICAL SOCIETY IN THE 21ST CENTURY REPENSER JACQUES ELLUL ET LA SOCIETE TECHNICIENNE AU 21EME SIECLE The Conference Rethinking

Plus en détail

Private banking: après l Eldorado

Private banking: après l Eldorado Private banking: après l Eldorado Michel Juvet Associé 9 juin 2015 Toutes les crises génèrent de nouvelles réglementations Le tournant de 2008 Protection des clients MIFID, UCITS, FIDLEG Bilan des banques

Plus en détail

Comprendre l impact de l utilisation des réseaux sociaux en entreprise SYNTHESE DES RESULTATS : EUROPE ET FRANCE

Comprendre l impact de l utilisation des réseaux sociaux en entreprise SYNTHESE DES RESULTATS : EUROPE ET FRANCE Comprendre l impact de l utilisation des réseaux sociaux en entreprise SYNTHESE DES RESULTATS : EUROPE ET FRANCE 1 Objectifs de l étude Comprendre l impact des réseaux sociaux externes ( Facebook, LinkedIn,

Plus en détail

Miroir de presse. International Recruitment Forum 9-10 mars 2015

Miroir de presse. International Recruitment Forum 9-10 mars 2015 Miroir de presse International Recruitment Forum 9-10 mars 2015 Contenu 1. L Agefi, 9'510 ex., 02.03.2015 2. Market, online, 12.3.2015 3. Studyrama, online, 13.3.2015 4. Venture Magazine, online, 15.3.2015

Plus en détail

Formulaire de candidature pour les bourses de mobilité internationale niveau Master/ Application Form for International Master Scholarship Programme

Formulaire de candidature pour les bourses de mobilité internationale niveau Master/ Application Form for International Master Scholarship Programme Formulaire de candidature pour les bourses de mobilité internationale niveau Master/ Application Form for International Master Scholarship Programme Année universitaire / Academic Year: 2013 2014 A REMPLIR

Plus en détail

CONVENTION DE STAGE TYPE STANDART TRAINING CONTRACT

CONVENTION DE STAGE TYPE STANDART TRAINING CONTRACT CONVENTION DE STAGE TYPE STANDART TRAINING CONTRACT La présente convention a pour objet de définir les conditions dans lesquelles le stagiaire ci-après nommé sera accueilli dans l entreprise. This contract

Plus en détail

The assessment of professional/vocational skills Le bilan de compétences professionnelles

The assessment of professional/vocational skills Le bilan de compétences professionnelles The assessment of professional/vocational skills Le bilan de compétences professionnelles 03/06/13 WHAT? QUOI? Subject Sujet The assessment of professional/vocational skills (3 hours) Bilan de compétences

Plus en détail

Application Form/ Formulaire de demande

Application Form/ Formulaire de demande Application Form/ Formulaire de demande Ecosystem Approaches to Health: Summer Workshop and Field school Approches écosystémiques de la santé: Atelier intensif et stage d été Please submit your application

Plus en détail

Bourses d excellence pour les masters orientés vers la recherche

Bourses d excellence pour les masters orientés vers la recherche Masters de Mathématiques à l'université Lille 1 Mathématiques Ingénierie Mathématique Mathématiques et Finances Bourses d excellence pour les masters orientés vers la recherche Mathématiques appliquées

Plus en détail

Le passé composé. C'est le passé! Tout ça c'est du passé! That's the past! All that's in the past!

Le passé composé. C'est le passé! Tout ça c'est du passé! That's the past! All that's in the past! > Le passé composé le passé composé C'est le passé! Tout ça c'est du passé! That's the past! All that's in the past! «Je suis vieux maintenant, et ma femme est vieille aussi. Nous n'avons pas eu d'enfants.

Plus en détail

La Poste choisit l'erp Open Source Compiere

La Poste choisit l'erp Open Source Compiere La Poste choisit l'erp Open Source Compiere Redwood Shores, Calif. Compiere, Inc, leader mondial dans les progiciels de gestion Open Source annonce que La Poste, l'opérateur postal français, a choisi l'erp

Plus en détail

BASE DE DONNÉES DES ASPECTS SOCIOÉCONOMIQUES EN MÉDITERRANÉE OCCIDENTALE

BASE DE DONNÉES DES ASPECTS SOCIOÉCONOMIQUES EN MÉDITERRANÉE OCCIDENTALE BASE DE DONNÉES DES ASPECTS SOCIOÉCONOMIQUES EN MÉDITERRANÉE OCCIDENTALE CETMO-ASE Version 08.01 Année de référence 2008 Février 2013 BASE DE DONNÉES DES ASPECTS SOCIOÉCONOMIQUES EN MÉDITERRANÉE OCCIDENTALE

Plus en détail

First Nations Assessment Inspection Regulations. Règlement sur l inspection aux fins d évaluation foncière des premières nations CONSOLIDATION

First Nations Assessment Inspection Regulations. Règlement sur l inspection aux fins d évaluation foncière des premières nations CONSOLIDATION CANADA CONSOLIDATION CODIFICATION First Nations Assessment Inspection Regulations Règlement sur l inspection aux fins d évaluation foncière des premières nations SOR/2007-242 DORS/2007-242 Current to September

Plus en détail

Les doutes et les questions des économistes face au système des brevets

Les doutes et les questions des économistes face au système des brevets Les doutes et les questions des économistes face au système des brevets Dominique Foray Réunion du Groupe français de l AIPPI Octobre 2003 1 Nous nous intéressons. non pas à la PI en soi mais à l innovation

Plus en détail

MELTING POTES, LA SECTION INTERNATIONALE DU BELLASSO (Association étudiante de lʼensaparis-belleville) PRESENTE :

MELTING POTES, LA SECTION INTERNATIONALE DU BELLASSO (Association étudiante de lʼensaparis-belleville) PRESENTE : MELTING POTES, LA SECTION INTERNATIONALE DU BELLASSO (Association étudiante de lʼensaparis-belleville) PRESENTE : Housing system est un service gratuit, qui vous propose de vous mettre en relation avec

Plus en détail

Règlement sur le télémarketing et les centres d'appel. Call Centres Telemarketing Sales Regulation

Règlement sur le télémarketing et les centres d'appel. Call Centres Telemarketing Sales Regulation THE CONSUMER PROTECTION ACT (C.C.S.M. c. C200) Call Centres Telemarketing Sales Regulation LOI SUR LA PROTECTION DU CONSOMMATEUR (c. C200 de la C.P.L.M.) Règlement sur le télémarketing et les centres d'appel

Plus en détail

Small Businesses support Senator Ringuette s bill to limit credit card acceptance fees

Small Businesses support Senator Ringuette s bill to limit credit card acceptance fees For Immediate Release October 10, 2014 Small Businesses support Senator Ringuette s bill to limit credit card acceptance fees The Senate Standing Committee on Banking, Trade, and Commerce resumed hearings

Plus en détail

Networking Solutions. Worldwide VSAT Maintenance VSAT dans le Monde Entretien. Satellite Communications Les Communications par Satellite

Networking Solutions. Worldwide VSAT Maintenance VSAT dans le Monde Entretien. Satellite Communications Les Communications par Satellite www.dcs-eg.com DCS TELECOM SAE is an Egyptian based Information Technology System Integrator company specializes in tailored solutions and integrated advanced systems, while also excelling at consulting

Plus en détail

Frequently Asked Questions

Frequently Asked Questions GS1 Canada-1WorldSync Partnership Frequently Asked Questions 1. What is the nature of the GS1 Canada-1WorldSync partnership? GS1 Canada has entered into a partnership agreement with 1WorldSync for the

Plus en détail

Université de XY University of XY. Faculté XY Faculty of XY

Université de XY University of XY. Faculté XY Faculty of XY Université de XY University of XY Faculté XY Faculty of XY Le présent supplément au diplôme suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil d'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise

Plus en détail

Catella Asset Management

Catella Asset Management Catella Asset Management Asset management immobilier Catella Asset Management se consacre aux activités d investissement, asset et property management immobiliers pour le compte de tiers Investisseurs

Plus en détail

Resident Canadian (Insurance Companies) Regulations. Règlement sur les résidents canadiens (sociétés d assurances) CONSOLIDATION CODIFICATION

Resident Canadian (Insurance Companies) Regulations. Règlement sur les résidents canadiens (sociétés d assurances) CONSOLIDATION CODIFICATION CANADA CONSOLIDATION CODIFICATION Resident Canadian (Insurance Companies) Regulations Règlement sur les résidents canadiens (sociétés d assurances) SOR/92-284 DORS/92-284 Current to August 4, 2015 À jour

Plus en détail

INSCRIPTION MASTER / MASTER S APPLICATION

INSCRIPTION MASTER / MASTER S APPLICATION Section : Section Française English Section INSCRIPTION MASTER / MASTER S APPLICATION Choix du programme de Master à l Université La SAGESSE / Choice of Master s program at SAGESSE UNIVERSITY Programme

Plus en détail

CURRENT UNIVERSITY EDUCATION SYSTEM IN SPAIN AND EUROPE

CURRENT UNIVERSITY EDUCATION SYSTEM IN SPAIN AND EUROPE CURRENT UNIVERSITY EDUCATION SYSTEM IN SPAIN AND EUROPE 1 st Cycle (1 Ciclo) (I livello) DEGREE (Grado) 240 ECTS (European Credit Transfer System) credits* over four years of university study). The equivalent

Plus en détail

The new consumables catalogue from Medisoft is now updated. Please discover this full overview of all our consumables available to you.

The new consumables catalogue from Medisoft is now updated. Please discover this full overview of all our consumables available to you. General information 120426_CCD_EN_FR Dear Partner, The new consumables catalogue from Medisoft is now updated. Please discover this full overview of all our consumables available to you. To assist navigation

Plus en détail

Frank LASCK. Courriel : f.lasch@montpellier-bs.com Fonction : Professeur. Biographie

Frank LASCK. Courriel : f.lasch@montpellier-bs.com Fonction : Professeur. Biographie Frank LASCK Courriel : f.lasch@montpellier-bs.com Fonction : Professeur Biographie Frank Lasch, professeur en entrepreneuriat, a rejoint le Groupe Sup de Co Montpellier Business School en septembre 2003

Plus en détail

1.The pronouns me, te, nous, and vous are object pronouns.

1.The pronouns me, te, nous, and vous are object pronouns. 1.The pronouns me, te, nous, and vous are object pronouns.! Marie t invite au théâtre?!! Oui, elle m invite au théâtre.! Elle te parle au téléphone?!! Oui, elle me parle au téléphone.! Le prof vous regarde?!!!

Plus en détail

La solution idéale de personnalisation interactive sur internet

La solution idéale de personnalisation interactive sur internet FACTORY121 Product Configurator (summary) La solution idéale de personnalisation interactive sur internet FACTORY121 cité comme référence en «Mass Customization» au MIT et sur «mass-customization.de» Specifications

Plus en détail

46 000 Alumni. 15 Double Degrees. ESSEC Business School Global key figures. Founded in1907 AACSB, EQUIS. 4 400 Fulltime. BBA, Masters, MBA, PhD

46 000 Alumni. 15 Double Degrees. ESSEC Business School Global key figures. Founded in1907 AACSB, EQUIS. 4 400 Fulltime. BBA, Masters, MBA, PhD ESSEC s value MSc in Management vs. MBA Campus / Location & Transportation Courses Accommodation Events Places to visit in Paris Contacts Today s Agenda ESSEC Business School Global key figures Founded

Plus en détail

UNIVERSITE LYON 3 (JEAN MOULIN) Référence GALAXIE : 4140

UNIVERSITE LYON 3 (JEAN MOULIN) Référence GALAXIE : 4140 UNIVERSITE LYON 3 (JEAN MOULIN) Référence GALAXIE : 4140 Numéro dans le SI local : Référence GESUP : 0202 Corps : Professeur des universités Article : 51 Chaire : Non Section 1 : 01-Droit privé et sciences

Plus en détail

8. Cours virtuel Enjeux nordiques / Online Class Northern Issues Formulaire de demande de bourse / Fellowship Application Form

8. Cours virtuel Enjeux nordiques / Online Class Northern Issues Formulaire de demande de bourse / Fellowship Application Form F-8a-v1 1 / 7 8. Cours virtuel Enjeux nordiques / Online Class Northern Issues Formulaire de demande de bourse / Fellowship Application Form Nom de famille du candidat Langue de correspondance Français

Plus en détail

www.machpro.fr : Machines Production a créé dès 1995, le site internet

www.machpro.fr : Machines Production a créé dès 1995, le site internet www.machpro.fr : www.machpro.fr Machines Production a créé dès 1995, le site internet www.machpro.fr destiné à fournir aux lecteurs de la revue et aux mécanautes un complément d'information utile et régulièrement

Plus en détail

SEMINAIRE SAS VISUAL ANALYTICS LAUSANNE, MARCH 18 : JÉRÔME BERTHIER VALERIE AMEEL

SEMINAIRE SAS VISUAL ANALYTICS LAUSANNE, MARCH 18 : JÉRÔME BERTHIER VALERIE AMEEL SEMINAIRE SAS VISUAL ANALYTICS LAUSANNE, MARCH 18 : JÉRÔME BERTHIER VALERIE AMEEL AGENDA 14:15-14:30 Bienvenue & Introduction Jérôme Berthier et Manuel Fucinos 14:30-14:45 Le concept de la Data Viz et

Plus en détail

Tier 1 / Tier 2 relations: Are the roles changing?

Tier 1 / Tier 2 relations: Are the roles changing? Tier 1 / Tier 2 relations: Are the roles changing? Alexandre Loire A.L.F.A Project Manager July, 5th 2007 1. Changes to roles in customer/supplier relations a - Distribution Channels Activities End customer

Plus en détail

Formulaire de candidature pour les bourses de mobilité internationale niveau Master/ Application Form for International Master Scholarship Program

Formulaire de candidature pour les bourses de mobilité internationale niveau Master/ Application Form for International Master Scholarship Program Formulaire de candidature pour les bourses de mobilité internationale niveau Master/ Application Form for International Master Scholarship Program Année universitaire / Academic Year: 2013 2014 INTITULE

Plus en détail

ADHEFILM : tronçonnage. ADHEFILM : cutting off. ADHECAL : fabrication. ADHECAL : manufacturing.

ADHEFILM : tronçonnage. ADHEFILM : cutting off. ADHECAL : fabrication. ADHECAL : manufacturing. LA MAÎTRISE D UN MÉTIER Depuis plus de 20 ans, ADHETEC construit sa réputation sur la qualité de ses films adhésifs. Par la maîtrise de notre métier, nous apportons à vos applications la force d une offre

Plus en détail

Lean approach on production lines Oct 9, 2014

Lean approach on production lines Oct 9, 2014 Oct 9, 2014 Dassault Mérignac 1 Emmanuel Théret Since sept. 2013 : Falcon 5X FAL production engineer 2011-2013 : chief project of 1st lean integration in Merignac plant 2010 : Falcon 7X FAL production

Plus en détail

LOI SUR LA RECONNAISSANCE DE L'ADOPTION SELON LES COUTUMES AUTOCHTONES ABORIGINAL CUSTOM ADOPTION RECOGNITION ACT

LOI SUR LA RECONNAISSANCE DE L'ADOPTION SELON LES COUTUMES AUTOCHTONES ABORIGINAL CUSTOM ADOPTION RECOGNITION ACT ABORIGINAL CUSTOM ADOPTION RECOGNITION ACT ABORIGINAL CUSTOM ADOPTION RECOGNITION REGULATIONS R-085-95 In force September 30, 1995 LOI SUR LA RECONNAISSANCE DE L'ADOPTION SELON LES COUTUMES AUTOCHTONES

Plus en détail

PRESENTATION. CRM Paris - 19/21 rue Hélène Boucher - ZA Chartres Est - Jardins d'entreprises - 28 630 GELLAINVILLE

PRESENTATION. CRM Paris - 19/21 rue Hélène Boucher - ZA Chartres Est - Jardins d'entreprises - 28 630 GELLAINVILLE PRESENTATION Spécialités Chimiques Distribution entreprise créée en 1997, a répondu à cette époque à la demande du grand chimiquier HOECHTS (CLARIANT) pour distribuer différents ingrédients en petites

Plus en détail

TARIFS PIETONS SAISON PEDESTRIAN RATES SEASON 2014/2015 TARIFS ASSURANCE CARRE NEIGE CARRE NEIGE INSURANCE RATES 2014/2015

TARIFS PIETONS SAISON PEDESTRIAN RATES SEASON 2014/2015 TARIFS ASSURANCE CARRE NEIGE CARRE NEIGE INSURANCE RATES 2014/2015 FORFAITS PIETONS PEDESTRIAN PASSES TARIFS PIETONS SAISON PEDESTRIAN RATES SEASON 2014/2015 Adulte / Adult 14 à 64 ans inclus 14 to 64 years old Réduit / Reduced 5 à 13 ans inclus / 65 à 74 ans inclus 5

Plus en détail

ICA Congress, Brisbane 2012 Thème général : Les temps qui changent. La confiance et les archives*

ICA Congress, Brisbane 2012 Thème général : Les temps qui changent. La confiance et les archives* ICA Congress, Brisbane 2012 Thème général : Les temps qui changent. La confiance et les archives* Titre : Un résumé de la pratique archivistique internationale adaptée au niveau local : manuel pratique

Plus en détail

Must Today s Risk Be Tomorrow s Disaster? The Use of Knowledge in Disaster Risk Reduction

Must Today s Risk Be Tomorrow s Disaster? The Use of Knowledge in Disaster Risk Reduction Must Today s Risk Be Tomorrow s Disaster? The Use of Knowledge in Disaster Risk Reduction Website: https://dce.yorku.ca/crhn/ Submission information: 11th Annual Canadian Risk and Hazards Network Symposium

Plus en détail

RISK-BASED TRANSPORTATION PLANNING PRACTICE: OVERALL METIIODOLOGY AND A CASE EXAMPLE"' RESUME

RISK-BASED TRANSPORTATION PLANNING PRACTICE: OVERALL METIIODOLOGY AND A CASE EXAMPLE' RESUME RISK-BASED TRANSPORTATION PLANNING PRACTICE: OVERALL METIIODOLOGY AND A CASE EXAMPLE"' ERTUGRULALP BOVAR-CONCORD Etwiromnental, 2 Tippet Rd. Downsviel+) ON M3H 2V2 ABSTRACT We are faced with various types

Plus en détail

Cloud Computing: de la technologie à l usage final. Patrick CRASSON Oracle Thomas RULMONT WDC/CloudSphere Thibault van der Auwermeulen Expopolis

Cloud Computing: de la technologie à l usage final. Patrick CRASSON Oracle Thomas RULMONT WDC/CloudSphere Thibault van der Auwermeulen Expopolis Cloud Computing: de la technologie à l usage final Patrick CRASSON Oracle Thomas RULMONT WDC/CloudSphere Thibault van der Auwermeulen Expopolis ADOPTION DU CLOUD COMPUTING Craintes, moteurs, attentes et

Plus en détail

JSIam Introduction talk. Philippe Gradt. Grenoble, March 6th 2015

JSIam Introduction talk. Philippe Gradt. Grenoble, March 6th 2015 Introduction talk Philippe Gradt Grenoble, March 6th 2015 Introduction Invention Innovation Market validation is key. 1 Introduction Invention Innovation Market validation is key How to turn a product

Plus en détail

The space to start! Managed by

The space to start! Managed by The space to start! Managed by ESA Business Incubation Centers (ESA BICs) : un programme de soutien à la création d entreprises L Agence Spatiale Européenne (ESA) dispose d un programme de transfert de

Plus en détail

that the child(ren) was/were in need of protection under Part III of the Child and Family Services Act, and the court made an order on

that the child(ren) was/were in need of protection under Part III of the Child and Family Services Act, and the court made an order on ONTARIO Court File Number at (Name of court) Court office address Applicant(s) (In most cases, the applicant will be a children s aid society.) Full legal name & address for service street & number, municipality,

Plus en détail

Institut français des sciences et technologies des transports, de l aménagement

Institut français des sciences et technologies des transports, de l aménagement Institut français des sciences et technologies des transports, de l aménagement et des réseaux Session 3 Big Data and IT in Transport: Applications, Implications, Limitations Jacques Ehrlich/IFSTTAR h/ifsttar

Plus en détail

AOC Insurance Broker Compare vos Assurances Santé Internationale Economisez jusqu à 40 % sur votre prime

AOC Insurance Broker Compare vos Assurances Santé Internationale Economisez jusqu à 40 % sur votre prime Compare vos Assurances Santé Internationale Economisez jusqu à 40 % sur votre prime aide les expatriés et les voyageurs à construire l assurance santé expatrié avec le meilleur prix, garantie et service

Plus en détail

Mise en place d un système de cabotage maritime au sud ouest de l Ocean Indien. 10 Septembre 2012

Mise en place d un système de cabotage maritime au sud ouest de l Ocean Indien. 10 Septembre 2012 Mise en place d un système de cabotage maritime au sud ouest de l Ocean Indien 10 Septembre 2012 Les défis de la chaine de la logistique du transport maritime Danielle T.Y WONG Director Logistics Performance

Plus en détail

Exemple PLS avec SAS

Exemple PLS avec SAS Exemple PLS avec SAS This example, from Umetrics (1995), demonstrates different ways to examine a PLS model. The data come from the field of drug discovery. New drugs are developed from chemicals that

Plus en détail

INVESTMENT REGULATIONS R-090-2001 In force October 1, 2001. RÈGLEMENT SUR LES INVESTISSEMENTS R-090-2001 En vigueur le 1 er octobre 2001

INVESTMENT REGULATIONS R-090-2001 In force October 1, 2001. RÈGLEMENT SUR LES INVESTISSEMENTS R-090-2001 En vigueur le 1 er octobre 2001 FINANCIAL ADMINISTRATION ACT INVESTMENT REGULATIONS R-090-2001 In force October 1, 2001 LOI SUR LA GESTION DES FINANCES PUBLIQUES RÈGLEMENT SUR LES INVESTISSEMENTS R-090-2001 En vigueur le 1 er octobre

Plus en détail

Credit Note and Debit Note Information (GST/ HST) Regulations

Credit Note and Debit Note Information (GST/ HST) Regulations CANADA CONSOLIDATION CODIFICATION Credit Note and Debit Note Information (GST/ HST) Regulations Règlement sur les renseignements à inclure dans les notes de crédit et les notes de débit (TPS/ TVH) SOR/91-44

Plus en détail

CALCUL DE LA CONTRIBUTION - FONDS VERT Budget 2008/2009

CALCUL DE LA CONTRIBUTION - FONDS VERT Budget 2008/2009 Société en commandite Gaz Métro CALCUL DE LA CONTRIBUTION - FONDS VERT Budget 2008/2009 Taux de la contribution au Fonds vert au 1 er janvier 2009 Description Volume Coûts Taux 10³m³ 000 $ /m³ (1) (2)

Plus en détail

THE EVOLUTION OF CONTENT CONSUMPTION ON MOBILE AND TABLETS

THE EVOLUTION OF CONTENT CONSUMPTION ON MOBILE AND TABLETS THE EVOLUTION OF CONTENT CONSUMPTION ON MOBILE AND TABLETS OPPA investigated in March 2013 its members, in order to design a clear picture of the traffic on all devices, browsers and apps. One year later

Plus en détail

Face Recognition Performance: Man vs. Machine

Face Recognition Performance: Man vs. Machine 1 Face Recognition Performance: Man vs. Machine Andy Adler Systems and Computer Engineering Carleton University, Ottawa, Canada Are these the same person? 2 3 Same person? Yes I have just demonstrated

Plus en détail

Présentation de Deloitte Un acteur de référence. Thierry de Gennes Associé. Conférence UFE: Tokyo - lundi 11 juin 2013

Présentation de Deloitte Un acteur de référence. Thierry de Gennes Associé. Conférence UFE: Tokyo - lundi 11 juin 2013 Présentation de Deloitte Un acteur de référence Thierry de Gennes Associé Conférence UFE: Tokyo - lundi 11 juin 2013 Deloitte dans le monde Un réseau mondial de premier plan Une couverture géographique

Plus en détail

BNP Paribas Personal Finance

BNP Paribas Personal Finance BNP Paribas Personal Finance Financially fragile loan holder prevention program CUSTOMERS IN DIFFICULTY: QUICKER IDENTIFICATION MEANS BETTER SUPPORT Brussels, December 12th 2014 Why BNPP PF has developed

Plus en détail

SMALL CITY COMMERCE (EL PEQUEÑO COMERCIO DE LAS PEQUEÑAS CIUDADES)

SMALL CITY COMMERCE (EL PEQUEÑO COMERCIO DE LAS PEQUEÑAS CIUDADES) CIUDADES) ES/08/LLP-LdV/TOI/149019 1 Project Information Title: Project Number: SMALL CITY COMMERCE (EL PEQUEÑO COMERCIO DE LAS PEQUEÑAS CIUDADES) ES/08/LLP-LdV/TOI/149019 Year: 2008 Project Type: Status:

Plus en détail

Stéphane Lefebvre. CAE s Chief Financial Officer. CAE announces Government of Canada participation in Project Innovate.

Stéphane Lefebvre. CAE s Chief Financial Officer. CAE announces Government of Canada participation in Project Innovate. Stéphane Lefebvre CAE s Chief Financial Officer CAE announces Government of Canada participation in Project Innovate Montreal, Canada, February 27, 2014 Monsieur le ministre Lebel, Mesdames et messieurs,

Plus en détail

PHOTO ROYAUME DE BELGIQUE /KINDOM OF BELGIUM /KONINKRIJK BELGIE. Données personnelles / personal data

PHOTO ROYAUME DE BELGIQUE /KINDOM OF BELGIUM /KONINKRIJK BELGIE. Données personnelles / personal data 1 ROYAUME DE BELGIQUE /KINDOM OF BELGIUM /KONINKRIJK BELGIE Service Public Fédéral Affaires Etrangères, Commerce et Coopération au développement Federal Public Service Foreign Affairs, External Trade and

Plus en détail

NORME INTERNATIONALE INTERNATIONAL STANDARD. Dispositifs à semiconducteurs Dispositifs discrets. Semiconductor devices Discrete devices

NORME INTERNATIONALE INTERNATIONAL STANDARD. Dispositifs à semiconducteurs Dispositifs discrets. Semiconductor devices Discrete devices NORME INTERNATIONALE INTERNATIONAL STANDARD CEI IEC 747-6-3 QC 750113 Première édition First edition 1993-11 Dispositifs à semiconducteurs Dispositifs discrets Partie 6: Thyristors Section trois Spécification

Plus en détail

CANDIDAT JAPONAIS AU POSTE DE SECRÉTAIRE GÉNÉRAL

CANDIDAT JAPONAIS AU POSTE DE SECRÉTAIRE GÉNÉRAL CANDIDAT JAPONAIS AU POSTE DE SECRÉTAIRE GÉNÉRAL Dr. Sawako TAKEUCHI Docteur es Ingénierie, l Université de Tokyo et Docteur es Sciences économiques Ancien conseiller du Premier Ministre du Japon sur la

Plus en détail

Préparation / Industrialisation. Manufacturing Engineering/ On-site Industrialisation. Qualité, contrôle et inspection. On-site quality and Inspection

Préparation / Industrialisation. Manufacturing Engineering/ On-site Industrialisation. Qualité, contrôle et inspection. On-site quality and Inspection AAA travaille dans le secteur aéronautique sur l'industrialisation, l'ingénierie de fabrication, la production, les activités d'inspection des appareils et la formation, sur appareil, sous-ensemble ou

Plus en détail

Discours du Ministre Tassarajen Pillay Chedumbrum. Ministre des Technologies de l'information et de la Communication (TIC) Worshop on Dot.

Discours du Ministre Tassarajen Pillay Chedumbrum. Ministre des Technologies de l'information et de la Communication (TIC) Worshop on Dot. Discours du Ministre Tassarajen Pillay Chedumbrum Ministre des Technologies de l'information et de la Communication (TIC) Worshop on Dot.Mu Date: Jeudi 12 Avril 2012 L heure: 9h15 Venue: Conference Room,

Plus en détail

Bill 204 Projet de loi 204

Bill 204 Projet de loi 204 3RD SESSION, 37TH LEGISLATURE, ONTARIO 51 ELIZABETH II, 2002 3 e SESSION, 37 e LÉGISLATURE, ONTARIO 51 ELIZABETH II, 2002 Bill 204 Projet de loi 204 An Act to amend the Ontario Energy Board Act, 1998 to

Plus en détail

Qualité et ERP CLOUD & SECURITY (HACKING) Alireza MOKHTARI. 9/12/2014 Cloud & Security

Qualité et ERP CLOUD & SECURITY (HACKING) Alireza MOKHTARI. 9/12/2014 Cloud & Security Qualité et ERP CLOUD & SECURITY (HACKING) Alireza MOKHTARI 9/12/2014 Cloud & Security Sommaire Rappel court de Cloud Pour quoi cette sujet est important? Données sensibles dans le Cloud Les risques Top

Plus en détail

Les Entretiens Jacques Cartier. Session 1 : De la naissance du connectivisme à la satisfaction des besoins éducatifs

Les Entretiens Jacques Cartier. Session 1 : De la naissance du connectivisme à la satisfaction des besoins éducatifs Les Entretiens Jacques Cartier Colloque 1 : Cours massifs et ouverts en ligne adaptés aux besoins du 21ème siècle. Un défi pour l enseignement supérieur des pays du nord et du sud. Session 1 : De la naissance

Plus en détail

Le MDM (Master Data Management) Pierre angulaire d'une bonne stratégie de management de l'information

Le MDM (Master Data Management) Pierre angulaire d'une bonne stratégie de management de l'information Darren Cooper Information Management Consultant, IBM Software Group 1st December, 2011 Le MDM (Master Data Management) Pierre angulaire d'une bonne stratégie de management de l'information Information

Plus en détail

Women s State of the Media Democracy 2012 L observatoire international des usages et interactions des médias

Women s State of the Media Democracy 2012 L observatoire international des usages et interactions des médias Women s State of the Media Democracy 2012 L observatoire international des usages et interactions des médias Women s Forum - Deauville - Octobre 2012 Présentation de l étude Women s State of the Media

Plus en détail

Life Companies Borrowing Regulations. Règlement sur les emprunts des sociétés d assurance-vie CONSOLIDATION CODIFICATION

Life Companies Borrowing Regulations. Règlement sur les emprunts des sociétés d assurance-vie CONSOLIDATION CODIFICATION CANADA CONSOLIDATION CODIFICATION Life Companies Borrowing Regulations Règlement sur les emprunts des sociétés d assurance-vie SOR/92-277 DORS/92-277 Current to August 4, 2015 À jour au 4 août 2015 Published

Plus en détail

COUNCIL OF THE EUROPEAN UNION. Brussels, 18 September 2008 (19.09) (OR. fr) 13156/08 LIMITE PI 53

COUNCIL OF THE EUROPEAN UNION. Brussels, 18 September 2008 (19.09) (OR. fr) 13156/08 LIMITE PI 53 COUNCIL OF THE EUROPEAN UNION Brussels, 18 September 2008 (19.09) (OR. fr) 13156/08 LIMITE PI 53 WORKING DOCUMENT from : Presidency to : delegations No prev. doc.: 12621/08 PI 44 Subject : Revised draft

Plus en détail

Innovation in Home Insurance: What Services are to be Developed and for what Trade Network?

Innovation in Home Insurance: What Services are to be Developed and for what Trade Network? Brochure More information from http://www.researchandmarkets.com/reports/40137/ Innovation in Home Insurance: What Services are to be Developed and for what Trade Network? Description: Consumer needs in

Plus en détail

Discours de Eric Lemieux Sommet Aéro Financement Palais des congrès, 4 décembre 2013

Discours de Eric Lemieux Sommet Aéro Financement Palais des congrès, 4 décembre 2013 Discours de Eric Lemieux Sommet Aéro Financement Palais des congrès, 4 décembre 2013 Bonjour Mesdames et Messieurs, Je suis très heureux d être avec vous aujourd hui pour ce Sommet AéroFinancement organisé

Plus en détail

AUTUMN/WINTER 2013-2014 PARIS COLLECTION

AUTUMN/WINTER 2013-2014 PARIS COLLECTION AUTUMN/WINTER 2013-2014 PARIS COLLECTION RED CARPET/Realistic Style Collection Automne-Hiver 2013-2014 Rynshu, avec cette nouvelle collection, veut permettre à chacun de se révéler par un style qui lui

Plus en détail

Module Title: French 4

Module Title: French 4 CORK INSTITUTE OF TECHNOLOGY INSTITIÚID TEICNEOLAÍOCHTA CHORCAÍ Semester 2 Examinations 2010 Module Title: French 4 Module Code: LANG 6020 School: Business Programme Title: Bachelor of Business Stage 2

Plus en détail

Quatre axes au service de la performance et des mutations Four lines serve the performance and changes

Quatre axes au service de la performance et des mutations Four lines serve the performance and changes Le Centre d Innovation des Technologies sans Contact-EuraRFID (CITC EuraRFID) est un acteur clé en matière de l Internet des Objets et de l Intelligence Ambiante. C est un centre de ressources, d expérimentations

Plus en détail

PLAN DIRECTEUR DES PARCS, MILIEUX NATURELS ET ESPACES VERTS PARKS, NATURAL HABITATS AND GREEN SPACES MASTER PLAN

PLAN DIRECTEUR DES PARCS, MILIEUX NATURELS ET ESPACES VERTS PARKS, NATURAL HABITATS AND GREEN SPACES MASTER PLAN PLAN DIRECTEUR DES PARCS, MILIEUX NATURELS ET ESPACES VERTS PARKS, NATURAL HABITATS AND GREEN SPACES MASTER PLAN Présentation publique du jeudi 10 septembre, 2009 Public presentation of Thursday, September

Plus en détail

«Rénovation des curricula de l enseignement supérieur - Kazakhstan»

«Rénovation des curricula de l enseignement supérieur - Kazakhstan» ESHA «Création de 4 Ecoles Supérieures Hôtelières d'application» R323_esha_FT_FF_sup_kaza_fr R323 : Fiche technique «formation des enseignants du supérieur» «Rénovation des curricula de l enseignement

Plus en détail

INSTITUT MARITIME DE PREVENTION. For improvement in health and security at work. Created in 1992 Under the aegis of State and the ENIM

INSTITUT MARITIME DE PREVENTION. For improvement in health and security at work. Created in 1992 Under the aegis of State and the ENIM INSTITUT MARITIME DE PREVENTION For improvement in health and security at work Created in 1992 Under the aegis of State and the ENIM Maritime fishing Shellfish-farming Sea transport 2005 Le pilier social

Plus en détail

Relions les hommes à l entreprise Linking people to companies

Relions les hommes à l entreprise Linking people to companies Relions les hommes à l entreprise Linking people to companies Concevoir et commercialiser des logiciels d infrastructure Designing and selling infrastructure software CORPORATE «La capacité de MediaContact

Plus en détail