Faire de l activité physique après un cancer du sein
|
|
- Émilien Dubois
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Faire de l activité physique après un cancer du sein Pourquoi? Quand? Comment? Marine Mahieu
2 Plan : 1. Traitements et Effets secondaires 2. Prévention primaire 3. Activités physiques pendant les traitements 4. Activités physiques après les traitements 5. Effets sur la survie et sur la récidive 6. Guidelines 7. Programme proposé à Erasme + Résultats de notre expérience
3 1. Traitements et Effets secondaires Chirurgie Douleurs/tensions niveau cicatrice, perte mobilité et force membre supérieur, Chimio- et radiothérapie Affaiblissement de l état général Capacité à l effort et de la force générale Altération de la fonction cardiaque Fatigue Troubles cognitifs Troubles du sommeil Perturbation métaboliques (sensibilité à l insuline, ) Douleurs musculaires et articulaires Hormonothérapie Raideurs musculaires et articulaires Prise de poids ( masse grasse et masse musculaire) Risque d ostéoporose Bouffées de chaleur Qualité de vie Capacités physiques Vie sociale et prof Moral Risque de développer d autres pathologies et de récidive du cancer Psychologie : Dépression/anxiété, peur de la récidive, confiance en soi et estime de soi, perturbation de l image du corps,
4 2. Prévention primaire
5 Effets préventifs Selon l American Institute for Cancer Research (AICR, 2010), une diète saine, une activité physique régulière et un BMI 25 kg/m² pourraient prévenir annuellement : 70% cancer corps utérin 45% colorectal 38% cancer sein 36% cancer poumon 11% cancer prostate 39% cancer pancréas 47% cancer estomac Kruk and Czerniak,
6 Effets préventifs de l AP: Diminution du risque de développer un cancer chez les sujets les plus actifs / aux moins actifs du risque est dépendante de l intensité et de la quantité d AP pratiquée AP d intensité intense à modérée > légères (Kruk and Czerniak 2013, Lynch 2011, Monninkhof et al 2007) Effet préventif proportionnel à quantité d AP modérée à intense (Lynch et al 2011)
7 Intensités d exercice Ex: marche Ex: marche rapide, trottinement, (intense) Ex: courir,
8 Pour connaître l intensité d une AP: utiliser un cardiofréquence mètre (intensité en %FCmax) ou éventuellement compendium des APs Pour les exercices de renforcement musculaire: travail à un certain % de force max
9 3. AP pendant les traitements actifs (chimio-radiothérapie)
10 Effets pdt TT actifs (chimio-radio) (18 semaines) J clin oncol 28, 2007 Entraînement : Endurance: 3x/sem pdt15>45 min à 60%>80%VO2max Résultats: Renforcement: 3x/sem, 60-70% 1RM, 2x12 rép Entr. aérobie plus efficace/suivi classique pour améliorer condition physique, % de graisse, estime de soi Renforcement plus efficace/suivi classique pour améliorer force, masse maigre, estime de soi et adhérence à la chimiothérapie QoL, fatigue, dépression, anxiété tendent à être améliorés dans groupes entrainés (effet signif. rapporté par Mock et al 2001) Pas de développement de lymphœdèmes ou d autres effets négatifs
11 Conclusion: AP pendant TT actifs Plusieurs études rapportent des effets bénéfiques sur les paramètres physiques, psychologiques et la qualité de vie Amélioration de l adhérence au traitement Difficile de donner des guidelines généraux: Peu d études A cause de l hétérogénéité des protocoles et l absence d études randomisées comparant différentes interventions Besoin d adapter programme en fonction des effets secondaires des TT et du niveau de départ de chacun Améliorations de la qualité de vie, des capacités physiques, la diminution de l anxiété, de la fatigue, des troubles du sommeil tendent à être meilleures lors des programmes incluant des exercices d intensité modérée à intense par rapport aux ceux composés d exercices légers Mishra et al Cochrane Database Syst Rev Aug 15;8:CD008465
12 4. AP après les TT actifs (pendant hormonothérapie)
13 AP proposées dans la littérature Types Marche, vélo, tapis roulant, renforcement musculaire général, yoga, tai chi, relaxation, aquagym,. Séances supervisées, libres ou programme mixte Intensité variable Endurance: de 50 à 85% VO 2 max en entrainement continue ou en intervalle training Renforcement: pas clairement définie (souvent en fonction tolérance, 60-70% 1RM, 10-15RM, ) Durée et fréquence des séances 20 à 60 min pouvant augmenter au cours du programme 2 à 5 séances par semaine Durée des interventions Valeur médiane = 13 semaines (3-60 sem) (Fong et al 2012) Markes et al. 2006; Spence et al. 2010; Davies et al. 2011; Fong et al 2012
14 Bénéfices après TT actifs (75% cancer du sein, durée programmes 3-60 sem) Effet + niveau métabolique Effet + niveau composition corporelle Effet + niveau condition physique de base et force -> plus de facilité dans les taches vie quotidienne et dans la reprise (travail,..) Fong et al BMJ 2012; 344:e70 Fong et al 2012, Mishra et al 2012
15 Bénéfices chez les patients sous hormonothérapie (cancer du sein-prostate) Rappel: hormonothérapie est associée à masse musculaire (MM), masse grasse (MG) et densité osseuse (DO) Conséquences: capacités physiques, fatigue, risque de fracture Effets de l AP rapportés: Ralentissement MG et MM (entr. endurance léger) MG, tour de taille (entr. endurance) MM (renforcement musculaire et entr. endurance) DO (surcharge -> renforcement musculaire) Important d associer entrainement de l endurance et renforcement musculaire (meilleur effet sur les différents paramètres) avec une intensité et quantité adaptées mais suffisantes Fong et al 2012, Hojan et al 2013; Schmitz et al 2005
16 Effets psychologiques et au niveau de la qualité de vie (1) Plusieurs études montrent que l AP a permis d améliorer A 12 sem et 6 mois de suivi: la qualité de vie, l estime de soi, le bien être émotionnel, les troubles du sommeil, la vie sociale, l état d anxiété, la fatigue A 12 sem: diminution de la douleur A 6 mois de suivi: amélioration de la sexualité Egalement, tendance à une amélioration de l image du corps et de l état dépressif (trop peu d études) Remarque des auteurs: ces résultats doivent être interprétés avec précaution étant donné l hétérogénéité des programmes d entrainement et des échelles utilisées pour évaluer la qualité de vie et les risques de biais des études Mishra et al Cochrane Database Syst Rev. 15;8:CD
17 Effet psychologiques et au niveau de la qualité de vie (2) Rogers et al (2009) associe un programme d AP de 12 semaines à un soutien psychologique basé sur la théorie sociale cognitive a obtenu résultats encourageant (MSSE 41:935-46): 99% d adhérence capacité à l effort, force, waist-to-hip ratio bien être social
18 5. Effets sur la survie Une AP suffisante et bien programmée diminue le taux de mortalité liée au cancer du sein et à toutes les causes (cardiovasculaires, ) (Chen et al. 2011; Irwin et al. 2011, Holmes et al. 2005, Fontein et al. 2013)
19 6. Au niveau pratique? Guidelines?
20 En pratique? Manque de recommandations d AP spécifiques Actuellement: 30 min par jour d activité modérée à intense, 5 jours par semaine (ACSM guidelines for cancer survivors, 2010) AP proposées très variées et pas toujours de programme structuré Effets bénéfiques plus marqués pour AP d intensité plus importante (>70%FCmax) par rapport à AP légère (<55%FCmax) (Mishra et al 2012) Devraient comprendre des AP de type endurance et renforcement étant donné la spécificité des adaptations Malgré les bénéfices démontrés (évidence A) peu de choses sont mises en place sur le terrain au niveau CF de Belgique
21 Recommandations de l ACSM et précautions
22 En résumé: S adapter au niveau de chacun sinon risque de se faire mal et de se décourager Tenir compte des effets secondaires des traitements et des autres limitations éventuelles (cardiaques, ostéo-articulaires, ) Type: travail endurance, renforcement musculaire et souplesse (+ coordination, équilibre,.) À déterminer en fonction goûts et environnement de la personne Intensité: augmenter progressivement mais elle doit être suffisante Fréquence: suffisante pour permettre des adaptations et les maintenir mais adapter aux possibilités de la personne Timing: commencer au début des traitements permet une meilleure compliance et réduit certains effets secondaires
23 7. Programme d Activités Physiques chez les patientes en rémission d un cancer du sein
24 Population : 35 patientes en rémission d un cancer du sein non métastatique : 11 patientes ont suivi le programme et les recommandations (âge moyen= 50,8 ans) => GROUPE ENTRAINE 8 patientes n ont pas suivi les recommandations (fréquence) (âge moyen= 48 ans) => GROUPE CONTRÔLE 7 patientes ont arrêté avant la fin du programme (raison personnel ou raison médical) 9 patientes en cours de programme
25 Au CRPP: 2 à 3 Séances / semaine Endurance (= 2/3 de séance) 30 minutes d intervalle training sur vélo 10 minutes de marche sur tapis roulant Rameur, stepper, cycloergomètre à bras, Renforcement musculaire (= 1/3 de séance) Travail spécifique des différents groupes musculaires sur appareils de musculation Charge de 10RM (adaptée en fonction des limitations ou plaintes) Travail au CRPP permet de rendre rapidement les patientes indépendantes dans la gestion de leur séance dans un environnement sécurisé
26 Entraînements extérieurs Encadrés par Margo Klass ou par les étudiants en dernière année d Education Physique ou Kinésithérapie Séances de marche rapide Travail par intervalles alternant marche normale et marche rapide ou marche rapide et trottinement A domicile (après 1-2 séances au CRPP + documents) Travail de renforcement et de gainage avec poids du corps ou bouteilles d eau Etirements
27 Évaluations : Mois 0 + Mois 3 Tests physiques: Épreuve d effort sur Cycloergomètre (ergospirométrie) Mesure de la force maximale du membre sup et inf. Test de marche de 6 min Evaluation de la composition corporelle: Poids => BMI Tours de taille et hanche Questionnaires: Questionnaire mondial sur la pratique d activités physiques (GPAQ) Questionnaires de qualité de vie (QLQ-C30 et -BR23)
28 Objectifs : Améliorer la condition physique et la qualité de vie Permettre une récupération plus rapide Réduire effets des TT: prise de poids, fatigabilité, qualité du sommeil, Rendre les participantes indépendantes par rapport à la gestion de leurs activités Déclencher un changement de comportement durable
29 Résultats : effets physiologiques Evolution de la VO2 (en ml/min/kg) 27,00 26,50 26,00 25,50 25,00 24,50 24,00 23,50 23,00 22,50 * Groupe entraîné pré post NS Groupe contrôle ml/min/kg Fong (méta-analyse, 2012) : +2.2 ml/min/kg, [1.0;3.4], S*** Cheema (2006) : +1.5 ml/min/kg, S** McNeely (2006) : ml/min/kg, S***
30 Résultats : effets physiologiques (2) Evolution de la Charge (en Watt) 140,00 120,00 ** NS pré post 100,00 80,00 60,00 40,00 20,00 0,00 Groupe entraîné Groupe contrôle +21 Watt Fong (méta-analyse, 2012) : +21 W, [13;29.1], S*** Herrero (2005): +25 W vs +3 W, S*
31 Résultats : effets physiologiques (3) Evolution de la distance de marche (test de 6 minutes- en mètre) 675,00 660,00 *** pré post 645,00 NS 630,00 615,00 600,00 585,00 Groupe entraîné Groupe contrôle + 49 m Fong (méta-analyse, 2012) : +29 m, [4;55], S** Nieman (1995) : m, S*
32 Résultats : effets physiques Evolution de la Force musclaire du membre supérieur (en kg) 5,60 pré 5,40 5,20 * post 5,00 4,80 NS 4,60 4,40 4,20 Groupe entraîné Groupe contrôle +19% Non comparable avec la littérature
33 Résultats : effets physiques (2) Evolution de la force musculaire du membre inférieur (en kg) 100,00 90,00 80,00 ** NS pré post 70,00 60,00 50,00 40,00 Groupe entraîné Groupe contrôle +20 kg soit +30% Fong (méta-analyse, 2012) : +19 kg, [9;28], S*** Kolden (2002) : +27 kg, S***
34 Résultats : effets psychologiques QLQ-C30 et BR23 Evolution des scores de fatigue et d'insomnie (en %) 0-5 groupe entraîné groupe contôle -10 * ** -35 Fatigue Insomnie
35 Résultats : effets psychologiques (2) QLQ-C30 et BR23 Evolution des scores d'activité sociale et état de santé global (en %) ** *** groupe entraîné groupe contrôle Activités Sociale Etat de santé global
36 Partique d'activités de loisirs (en MET-minutes/semaine) Résultats : GPAQ Evolution des Activités de loisirs d'intensité moyenne et forte ** groupe entraîné groupe contrôle
37 Conclusion : Amélioration de la capacité physique des patients (VO2 max; Charge max ; Force max des membres) Diminution des effets secondaires des traitements (fatigue, insomnie, bien être) Majoration des activités sociales ou de loisirs
38 A l avenir : Continuer à entraîner les patientes sur base du programme structuré, comme celui établie au CRPP Développer des cours collectifs pour permettre un échange entre participantes. Ouvrir le programme à d autres types de cancer (utérus, colon, prostate )
39 Merci pour votre attention!
Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux
Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux PF Plouin, ESH Hypertension Excellence Center, Hôpital Européen Georges Pompidou, Paris La prise en charge de l hypertendu l concerne
Plus en détailQUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES?
QUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES? Cliquez pour modifier le style des sous titres du masque MARIE CHRISTINE MERSCH MASSEUR KINESITHERAPEUTE Service de Réadaptation
Plus en détailINNOVATION De la rééducation au sport santé. LPG crée le Neuro
INNOVATION De la rééducation au sport santé LPG crée le Neuro Physical Training! Bouger pour sa santé, une évidence pour les français? Bien que Faire du sport soit, chaque année, une des résolutions prioritaires
Plus en détailTests d exploration à l effort
Tests d exploration à l effort chez le sportif handicapé P. Edouard, F. Degache, F. Roche, J. Castells, P. Calmels, X. Devillard Service de Médecine Physique et de Réadaptation Laboratoire de Physiologie
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailEvaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux. Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux
Evaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux Je déclare n avoir aucun conflit d intérêt en lien avec cette présentation
Plus en détailLes grandes études de télémédecine en France
Les grandes études de télémédecine en France Optimisation de la Surveillance ambulatoire des Insuffisants CArdiaques par Télécardiologie De Midi-Pyrénées au Sud de la France M Galinier, A Pathak Pôle Cardio-Vasculaire
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailTest de terrain ou test de laboratoire pour la performance en endurance?
Test de terrain ou test de laboratoire pour la performance en endurance? Ajaccio 12 mai 2012 F. Carré Université Rennes 1 Hopital Pontchaillou Inserm UMR 1099 Les «tests» chez le sportif Exploration performance
Plus en détailProgrammation des séances (Trêve de Noël 2013) Détail des séances. * gainage abdo-lombaire (voir planches D) * gainage abdo-lombaire (voir planches D)
Détail des séances Séance numéro 1: 1- Course PMA 1 : I- 10 minutes de jogging facile + stretching des jambes II- 3 blocs de 6 minutes en 30 course/30 repos sur 154m Prendre 1 30 de récupération entre
Plus en détailQUE SAVONS-NOUS DE LA RELATION ENTRE CANCER ET ACTIVITE PHYSIQUE? DR JACQUES LECOMTE Médecine du sport Pneumo-oncologie CHU CHARLEROI
QUE SAVONS-NOUS DE LA RELATION ENTRE CANCER ET ACTIVITE PHYSIQUE? DR JACQUES LECOMTE Médecine du sport Pneumo-oncologie CHU CHARLEROI La recherche contre le cancer a toujours suivi de nombreuses directions,
Plus en détailMention : STAPS. Sport, Prévention, Santé, Bien-être. Objectifs de la spécialité
Mention : STAPS Sport, Prévention, Santé, Bien-être Objectifs de la spécialité L'objectif de la spécialité «Sport, Prévention, Santé, Bien être» est de doter les étudiants de compétences scientifiques,
Plus en détailÉpidémiologie des maladies interstitielles diffuses
Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses 3 à 5/100 000 habitants Augmente avec l age 175 /100 000 >70 ans Notre file active toutes les maladies interstitielles confondues plus de 120 patients
Plus en détailProgramme de réhabilitation respiratoire
Programme de réhabilitation respiratoire Dr Jean-Marc Perruchini Service de Réhabilitation R respiratoire, Clinique de Médecine Physique Les Rosiers 45, Bd Henri Bazin, 21002 DIJON Cedex Mle Carine Lopez
Plus en détailLa déchirure. Les risques. Troubles périnéaux du post-partum. La déchirure
Troubles périnéaux du post-partum La déchirure T. Linet La déchirure Les risques Entre 2 et 6 % de périnée complet mais TRES sous diagnostiqué car ± rupture du sphincter interne sur périnée semblant intact
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailLe traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations
FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a
Plus en détailAthénée Royal d Evere
Athénée Royal d Evere Prévention des hernies discales en milieu scolaire et dans la vie de tous les jours Présenté par Didier Vanlancker LEVAGE DE CHARGES POSITION INITIALE Levage de charges Jambes légèrement
Plus en détailSommeil et sport Dr. Arnaud PRIGENT (Pneumologue à St LAURENT) sport et sommeil 01/06/2010
Sommeil et sport Structure du sommeil Au cours du sommeil, on repère 2 principaux types de sommeil : Le sommeil lent. Le sommeil paradoxal. Processus de régulation 3 processus: - circadienne (processus
Plus en détailTHEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE
THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE Introduction générale : L Homme, pour vivre, a besoin de se nourrir. La nutrition fait appel à différentes fonctions que sont l alimentation, la respiration
Plus en détailProgramme. Programme Activ. Dossier de presse Juin 2013. Dossier de presse Programme Activ 1
Programme Programme Activ Dossier de presse Juin 2013 Dossier de presse Programme Activ 1 01 UN DISPOSITIF AMBITIEUX POUR RÉDUIRE LES RISQUES DE RÉCIDIVE DE CANCERS DU SEIN 2 Une phase pilote a été menée
Plus en détailESMO 14. L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie
ESMO 14 L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie Cancer du SEIN Taxotere hebdo pas mieux et plus toxique Perrone F et al Ann Oncol 2014 Phase III : CMF vs Taxotere hebdo
Plus en détailDIPLÔME UNIVERSITAIRE
CANCER QUALITE DE VIE Université Montpellier 1 UFR STAPS Montpellier Centre d accueil et de bien-être pour les femmes atteintes de cancer ET DIPLÔME UNIVERSITAIRE Activité physique et nutrition Etincelle
Plus en détailActivité physique et diabète de type 2
Activité physique et diabète de type 2 D après le référentiel de la Société francophone du diabète : Duclos M et al, Médecine des maladies Métaboliques. 2011; 6 : 80-96 Forum Santé Vertolaye Le 10/10/2013
Plus en détailDr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008. Mise à jour 24-06-08
Diabète de type 2 et Sport Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008 Mise à jour 24-06-08 L activité physique est recommandée depuis longtemps aux patients diabétiques Dès la fin du 19 ème siècle,
Plus en détailPeut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant
Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie
Plus en détailRééducation de la rééducation de l Incontinence Urinaire de l homme : Résultats. Guy Valancogne
Rééducation de la rééducation de l Incontinence Urinaire de l homme : Résultats Guy Valancogne Depuis la fin des années 90 : études pour le cas spécifique de l incontinence masculine, - certaines d entre
Plus en détailRAVIVA L activité physique contre le cancer. Dr. Jacques LECOMTE
RAVIVA L activité physique contre le cancer Dr. Jacques LECOMTE RaViva bouger pour se sentir mieux Le pronostic de beaucoup de cancers s est amélioré tant au niveau de la guérison que de la survie et des
Plus en détailo Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre
Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des
Plus en détailL influence du sport sur le traitement du diabète de type 1
L influence du sport sur le traitement du diabète de type 1 Contenu 1. Bénéfice du sport pour patients avec diabète de type 1 2. Aspects physiologiques du sport en rapport avec la glycémie en général 3.
Plus en détailPréfaces... 6. Introduction... 8
Préfaces... 6 Introduction... 8 Comment aborder une problématique musculosquelettique chronique?... 10 Termes importants... 12 La douleur... 14 Repérage anatomique... 24 Les principaux syndromes musculosquelettiques...
Plus en détail2010 DJO - 00-0936-FR - Rev A
DJO France S.A.S Centre Européen de Fret 3 rue de Béthar 64990 Mouguerre FRANCE Tel: +33 (0)5 59 52 80 88 Fax: +33 (0)5 59 52 62 99 Email: physio@djoglobal.com www.djoglobal.fr a brand 2010 DJO - 00-0936-FR
Plus en détailLe concept de qualité de vie est très subjectif, multidimensionnel et dépend des
Quality of life: what are the assessment instruments? Mots-clés : Qualité de vie, Questionnaires, Cancer du sein, Mesure. Keywords: Quality of life, Questionnaires, Breast cancer, Assessment. M. Mercier
Plus en détailPLAN ENTRAINEMENT TRAIL LONG (>60 KM) FORTE DÉNIVÉLATION (>2 KM D+)
PLAN ENTRAINEMENT TRAIL LONG (>60 KM) FORTE DÉNIVÉLATION (>2 KM D+) 6 semaines de préparation générale + 5 semaines de préparation spécifique 4 séances par semaine Préambule: Toutes les données que vous
Plus en détailLes soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les
Plus en détailBASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE
BASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE І) INTRODUCTION II) BASES PHYSIOLOGIQUES III) PRINCIPES GENERAUX DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE IV) ENTRAINEMENT DANS LES DIFFERENTES FILIERES V) LA PLANIFICATION
Plus en détailOBESITE ET EPS. Cf www.sante.fr.(programme national, nutrition santé, courbe de corpulence)
OBESITE ET EPS DEFINITION L obésité se définit comme un excès de poids pouvant retentir sur la santé. La mesure générale acceptée de l obésité est l Indice de Masse Corporelle (IMC : poids en kg / taille
Plus en détailLe Test d effort. A partir d un certain âge il est conseillé de faire un test tous les 3 ou quatre ans.
Le Test d effort L'épreuve du test d'effort est un examen effectué en général par un cardiologue ou un médecin du sport. Le test d'effort permet de mesurer le rythme cardiaque, la pression artérielle,
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailProgramme «DoSanté Lycée» Présentation et évaluation
Programme «DoSanté Lycée» Présentation et évaluation 1 1 Contexte - Public ciblé 1/3 des accidents du travail sont dus à des manutentions. Coût annuel : 1,5 milliards d euros. Les lombalgies représentent
Plus en détail& BONNES POSTURES TMS TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES. Le guide. Guide offert par la MNT
A5-MNTrefonte.indd 1 28/07/2011 08:28:01 & BONNES S TMS TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES Le guide Guide offert par la MNT A5-MNTrefonte.indd 2 28/07/2011 08:28:02 SOULEVER UN OBJET LOURD OU UNE PERSONNE
Plus en détail«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?»
«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?» Dr Adeline Paris Unité de Pharmacologie Clinique Centre d Investigation Clinique
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailPlan de travail ERGONOMIE COUT DE L ERGONOMIE. Définitions. Définitions
ERGONOMIE PLAN DE TRAVAIL Plan de travail Définitions Plan d analyse, Réalisation d une étude : les outils, Exemples d études ADERF Barette, Dufour, Maison 2 Définitions COUT DE L ERGONOMIE Ergonomie de
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailSommeil, fatigue au volant et jeunes conducteurs
06 NOVEMBRE 2014 Sommeil, fatigue au volant et jeunes conducteurs Roger Godbout, Ph.D. Laboratoire et Clinique du sommeil, Hôpital Rivière-des-Prairies Département de psychiatrie, Université de Montréal
Plus en détailPROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé
PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique
Plus en détailEtirements des chaînes musculaires postérieure et antérieure.
Interprétation des tests sécuritaires Document réalisé par Jean Marc Blanc responsable de la préparation physique sur le pôle France d Antibes Mars 2002 Ratio abdominaux / psoas : Trois cas se présentent
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailVertiges et étourdissements :
: comment être à la hauteur? Anthony Zeitouni, MD, FRCSC Présenté à la 71 e édition du Programme scientifique de l Association des médecins de langue française du Canada. Est-ce bien des vertiges? Il n
Plus en détailDépistage et gestion du diabète
Dépistage et gestion du diabète Plateforme du diabète Table des matières > Dépistage du diabète 32 millions de diabétique en Europe... 5 Le diabète, ça n arrive pas qu aux autres 6 Les Mutualités Libres
Plus en détailInformations sur le cancer de l intestin
Informations sur le cancer de l intestin Le cancer de l intestin fait partie des affections malignes les plus fréquentes et représente la deuxième cause de mortalité par cancer en Suisse. Cette maladie
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailDiplôme Personal Trainer et spécialisations FORMATION AGREEE PAR LE DISPOSITIF CHEQUES FORMATION DE LA REGION WALLONNE. www.leaderfit.
Diplôme Personal Trainer et spécialisations FORMATION AGREEE PAR LE DISPOSITIF CHEQUES FORMATION DE LA REGION WALLONNE www.leaderfit.be 0494.61.81.04. (de Belgique) - 621.24.99.48. (du Luxembourg) - 06.24.65.06.18.
Plus en détailTable des matières. Première partie : Énergie et Polarité... 23 REMERCIEMENTS... 11 NOTE DE L AUTEURE... 13 COMMENT UTILISER CE GUIDE...
Table des matières su REMERCIEMENTS... 11 NOTE DE L AUTEURE... 13 COMMENT UTILISER CE GUIDE... 15 À QUI S ADRESSE CE LIVRE... 17 INTRODUCTION... 19 Première partie : Énergie et Polarité... 23 CHAPITRE
Plus en détailDOSSIER DE SOINS INFIRMIERS
DOSSIER DE SOINS INFIRMIERS Débuté le Terminé le. FICHE ADMINISTRATIVE PATIENT Nom Prénom Date de naissance / / Téléphone. ADRESSE...... N SS / / / / / // ENTOURAGE-PERSONNE RESSOURCE NOM QUALITE..TEL...
Plus en détailI. Le test d Astrand-Ryhming (1954) avec nomogramme
TP U 42 ntraînement valuation de la consommation maximale d oxygène (VO 2 max) par une épreuve sous-maximale indirecte en laboratoire : le test d strand-yhming (1954) sur ergocycle. Le test d strand-yhming
Plus en détailL ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS
L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE Vincent de PARADES PARIS INTRODUCTION L incontinence anale du post-partum partum relève de deux mécanismes : la déchirure de l
Plus en détailNeurologiques gq Centrales EMPR LE NORMANDY GRANVILLE
La Marche dans les Affections Neurologiques gq Centrales S Injeyan JL Isambert Y Bebin S Le Doze M Cano P Fages W Loisel La Marche Fonction complexe Organisée hiérarchiquement au niveau spinal Contrôlée
Plus en détailL arthrose, ses maux si on en parlait!
REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une
Plus en détailLes facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims
Les facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims 12 2014 HEMATOPOIESE Progéniteurs puis précurseurs Stimulation par facteur : activation spécifique de leur récepteur Moelle
Plus en détailAssurance maladie grave
ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès
Plus en détailDépistage du cancer colorectal :
Dépistage du cancer colorectal : Quels enjeux? Robert Benamouzig Gastro-entérologie Hôpital Avicenne Bobigny Le cancer colorectal dans le monde 3ème cause de cancer Augmentation 1975 : 500 000 cas 1990
Plus en détailVade-mecum. Tableau de bord wallon des maisons médicales. Encodage, extraction, analyse. Tout ce que vous devez savoir pour participer au projet
Vade-mecum Tableau de bord wallon des maisons médicales Encodage, extraction, analyse Tout ce que vous devez savoir pour participer au projet n 3 - juin 2013 Page 2 Table des matières PREAMBULE 5 TABLEAU
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailL ostéopathie au service des professionnels
L ostéopathie au service des professionnels Parce que la performance de votre entreprise passe avant tout par la santé de vos collaborateurs info@proosteo.fr Les Troubles Musculo-Squelettiques Les TMS
Plus en détailLA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE
Jean-Paul BLANC Diététicien-Nutritionniste Neuilly sur Seine www.cabinet-de-nutrition-et-dietetique.eu LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Au cours de la dernière décennie
Plus en détailTroubles de la vigilance au travail. Tests d aide à la décision d aptitude et structures de dépistage du syndrome d apnées du sommeil à Grenoble
Troubles de la vigilance au travail Tests d aide à la décision d aptitude et structures de dépistage du syndrome d apnées du sommeil à Grenoble Sandrine Launois-Rollinat Patrick Lévy, Jean-Louis Pépin,
Plus en détailOFFRE EN STAGE SIP POUR LES ETUDIANT(E)S D ANNEE PROPEDEUTIQUE SANTE ET LES ETUDIANTS BACHELOR FILIERE SOINSINFIRMIERS
OFFRE EN STAGE SIP POUR LES ETUDIANT(E)S D ANNEE PROPEDEUTIQUE SANTE ET LES ETUDIANTS BACHELOR FILIERE SOINSINFIRMIERS Filière : APS et Bachelor en soins infirmier Nom de l institution : CHUV Nom de l
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailLa hernie discale Votre dos au jour le jour...
La hernie discale Votre dos au jour le jour... Votre dos est fragile. Ce document va vous aider à le préserver au jour le jour. Si vous venez de vous faire opérer, certaines activités vous sont déconseillées
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE
Plus en détailBouger, c est bon pour la santé!
Bouger, c est bon pour la santé! Tous concernés! De quoi s agit-il? Il s agit de toute activité physique, dès lors que nous bougeons. Ainsi tous les pas comptent, comme ceux que nous faisons chez nous
Plus en détailSurpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours
Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours Septembre 2011 Pourquoi repérer l excès de poids? Que faire chez les sujets ayant un âge physiologique avancé? Quand diagnostiquer
Plus en détailActivité physique et diabète non insulinodépendant
8 Activité physique et diabète non insulinodépendant L activité physique est aussi importante pour le traitement du diabète de type 2 que l équilibre alimentaire. L activité physique, ce n est pas seulement
Plus en détailUn danger vous guette Soyez vigilant
Un danger vous guette Soyez vigilant Vous prenez un sédatif-hypnotique Alprazolam (Xanax ) Chlorazépate Chlordiazépoxide Chlordiazépoxideamitriptyline Clidinium- Chlordiazépoxide Clobazam Clonazépam (Rivotril,
Plus en détailL analyse documentaire : Comment faire des recherches, évaluer, synthétiser et présenter les preuves
L analyse documentaire : Comment faire des recherches, évaluer, synthétiser et présenter les preuves Cet atelier portera sur 1. la recherche dans la documentation de sources pertinentes; 2. l évaluation
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailProgramme Gym Après Cancer Fédération Française d Education Physique et Gymnastique Volontaire
11-056-060 article LOPEZ_Donnadieu 18/09/13 16:30 Page56 Programme Gym Après Cancer Fédération Française d Education Physique et Gymnastique Volontaire Elodie LOPEZ*, Charlène FALZON 1, Marie-Christine
Plus en détailL ALCOOL ET LE CORPS HUMAIN
L ALCOOL ET LE CORPS HUMAIN TABLE DES MATIÈRES Présentation 1 L alcool, différent des autres aliments 2 Différent au moment de l absorption 3 Différent au moment de l élimination 4 Différent dans les conséquences
Plus en détailSANTÉ. E-BOOK équilibre. stop. cholesterol diabete hypertension. Réduire le cholestérol, l hypertension et le diabète SANS MEDICAMENT!
SANTÉ stop cholesterol diabete hypertension E-BOOK équilibre Réduire le cholestérol, l hypertension et le diabète SANS MEDICAMENT! un peu d histoire... Il y a 200 ans, un Français faisait en moyenne entre
Plus en détailERGOMÉTRIE ERGOMÉTRIE
Ergo = travail; métrie = mesure Une quantification précise du travail est essentielle si l on désire reproduire une charge identique pour fins de comparaisons ou d entrainement Calibration des ergomètres
Plus en détailRapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa
Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Au titre de son initiative de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux médicaments brevetés effectués par les membres
Plus en détailL exercice à la retraite. Dr. Bich-Han Nguyen Résidente II, Physiatrie Université de Montréal
L exercice à la retraite Dr. Bich-Han Nguyen Résidente II, Physiatrie Université de Montréal Buts de la conférence Vous renseigner sur les changements du corps qui avance en âge, avec emphase sur le système
Plus en détailProtocole de rééducation des syndromes fémoro-patellaires
1 Protocole de rééducation des syndromes fémoro-patellaires Dans la grande majorité des cas, les syndromes fémoro-patellaires (SFP) guérissent avec un traitement médical bien conduit. Pour être efficace,
Plus en détailAPS résumé partie III
1 APS résumé partie III Les outils d évaluation de l activité physique Le but est de quantifier/ évaluer les activités physiques habituelles (non-structurées).on a plusieurs méthodes : - Indirectes (subjectives)
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailDATE LIMITE DE RECEPTION DU DOSSIER: Jeudi 2 AVRIL 2015
NOM :... Prénom(s) :... Age :...ans Adresse :... Ville :...Code postal :... Mobile :. /. /. /. /. Fixe :. /. /. /. /. Email :... Date de naissance:. /. / Lieu :.. Département (code postal) :. NATIONALITE
Plus en détailDiabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques
Diabète Type 2 Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Épidémiologie 90% de tous les cas de diabètes Environ 1 personne sur 20 est atteinte Diabète gras Facteur de risque majeur pour les
Plus en détailDécouvrez un nouveau métier :
Institut Français de Coaching en Sport - Santé - Bien-Être Découvrez un nouveau métier : 1 er Formation de coaching* réunissant 3 domaines : La Prévention Santé (prévenir les principales maladies de civilisation)
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailEVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME
EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME Docteur Jean PERRIOT Dispensaire Emile Roux Clermont-Ferrand jean.perriot@cg63.fr DIU Tabacologie Clermont-Ferrand - 2015 NOTIONS GENERALES INTRODUCTION.
Plus en détailLe dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence
Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,
Plus en détailPrésentation: Aline Mendes
Présentation: Aline Mendes Définition et aspects épidémiologiques; Parcours d un aidant et survenue du fardeau; Modalités d intervention; Institutionnalisation; L aidant professionnel; Réseau à Genève.
Plus en détail