Sécurité incendie : note explicative
|
|
- Flavien Paradis
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Sécurité incendie : note eplicative Sommaire 1. Rappel des dispositions réglementaires et eigences liées au éléments de maçonnerie. 2. Caractéristiques des éléments de maçonnerie 2.1. Capacité portante R 2.2. Etanchéité E 2.3. Isolation thermique I. 3. Performances des éléments de maçonnerie 3.1. Maçonnerie et stabilité au feu (SF) 3.2. Maçonnerie et degré pare-flamme (PF) 3.3. Maçonnerie et degré coupe-feu (CF). 4. Essais de détermination de la résistance au feu des murs en maçonneries. 5. Scénario d incendie. 6. Essai des murs porteurs sous chargement mécanique (chargement centré/ecentré) 6.1. Note technique 6.2. vis CECMI. 1
2 1. Rappel des dispositions réglementaires et eigences liées au éléments de maçonnerie Les eigences essentielles pour la limitation des risques, en cas d incendie, sont énoncées par la Directive Produits de Construction (89/106/CCE) : "Les constructions doivent être conçues et réalisées de façon telle qu en cas d incendie : la capacité portante de la construction puisse être assurée pendant une durée déterminée ; la formation et la propagation du feu et de la fumée dans le bâtiment soient limitées ; la propagation du feu au constructions voisines soit limitée ; les occupants puissent quitter l ouvrage indemnes ou être secourus d une autre manière ; la sécurité des équipes de secours soit prise en considération". u plan national, l arrêté modifié du 31 janvier 1986 et l arrêté modifié et complété du 25 juin 1980 définissent les dispositions générales de sécurité contre l incendie respectivement dans les bâtiments d habitation et les établissements recevant du public. Ces tetes réglementaires fient notamment les niveau d eigence des éléments de maçonnerie. Les niveau d eigence varient selon l importance du bâtiment. Les tableau ci-après illustrent ces dispositions pour les bâtiments d habitation : 2
3 2. Caractéristiques des éléments de maçonnerie 2.1. Capacité portante R Les structures doivent être conçues et réalisées de façon qu elles conservent leur fonction de portance pendant l eposition au feu. Le critère R est supposé être satisfait tant que la fonction de portance est maintenue, pendant toute la durée requise d eposition au feu, c est à dire que l élément continue à maintenir sa capacité à soutenir la charge appliquée Etanchéité E Les structures doivent être conçues et réalisées de façon qu elles ne produisent aucune perte d étanchéité, afin de prévenir le passage des flammes et des ga chauds dans l élément, ainsi que l apparition de flammes sur le côté non eposé. Le critère E est supposé être violé dès le passage des flammes et des ga chauds au travers de l élément Isolation thermique I Les structures doivent être conçues et réalisées de façon qu elles ne produisent aucune perte d isolation, afin de limiter la montée en température de la face eposée, dans les limites de niveau spécifiées. Le critère I est supposé être satisfait tant que la température moenne de la face non eposée n augmente pas de plus de 140 K, et que la température maimale en tout point de cette surface n ecède pas 180 K, par rapport à la température initiale. Lorsque le critère d instabilité structurale est violé, les critères d isolation et d étanchéité sont automatiquement considérés comme violés aussi. 3. Performances des éléments de maçonnerie Selon les fonctions et le rôle qu est appelée à jouer une maçonnerie au cours d un incendie, son classement peut relever de trois catégories : 3.1. La maçonnerie doit être stable au feu (SF) : seul le critère 1 est requis Le degré de stabilité au feu est le temps pendant lequel un bâti conserve ses caractéristiques mécaniques. Le degré de stabilité au feu est nommé : SF (classement français), R (classement européen) La maçonnerie doit être pare-flamme (PF) : les critères 1 et 2 sont requis Le degré pare-flamme est défini par le temps pendant lequel un bâti est stable au feu, tout en étant étanche au flammes et au ga inflammables. Le degré de pare-flamme est nommé : PF (classement français), E ou RE (classement européen) La maçonnerie doit être coupe-feu (CF) : les critères 1, 2 et 3 sont requis (dans le cas des cloisons et murs non porteurs seuls les critères 2 et 3 sont requis). Le degré de stabilité au feu est défini par le temps pendant lequel un bâti est stable au feu, pareflamme, tout en assurant l isolation thermique lors de l incendie. Le degré de coupe-feu est nommé : CF (classement français), EI ou REI (classement européen). 3
4 < 140 C (en moenne) ou 180 C sur un seul point SF PF CF Chaleur Ga + Flammes Ga + Flammes + Chaleur Définition des critères de résistance au feu. Ces critères de performance peuvent être déterminés de trois manières : par essai, par calcul ou par valeurs tabulées selon l eurocode 6 partie 2 (NF EN ). En France, depuis l apparition des référentiels d essai et de classement en matière de résistance au feu (arrêtés du ministère de l intérieur du 5 janvier 1959, 21 avril 1983, 3 août 1999, 22 mars 2004), les justifications des performances des éléments de construction, utilisées par les professionnels du bâtiment, doivent être constituées par des procès-verbau de classement émis par les laboratoires agréés, en application des dispositions en vigueur (normes nationales et européennes NF EN , NF EN , NF EN et NF EN ). Chaque procès-verbal issu d un essai isolé spécifie une configuration de mur particulière : une composition et une forme géométrique de bloc, une composition de mortier, une largeur et une hauteur maimale, une configuration de charge, etc., Les valeurs de résistance au feu sont eprimées soit en heures (CF 1/2 à 3 h), soit en minutes (EI 30 à EI 180). 4. Essais de détermination de la résistance au feu des murs en maçonneries La méthode généralement utilisée pour déterminer la résistance au feu consiste à faire un essai normalisé soit sur un échantillon représentatif de l ensemble de construction, soit sur la structure. Des fours spéciau ont été conçus pour évaluer les différents tpes d éléments de construction : planchers et toits, poteau structurau, murs, cloisons Les dimensions de l échantillon doivent être de grandeurs réelles. Ce procédé d évaluation n est utilisable que pour les éléments de petites dimensions, i.e. inférieures à 3 m pour chaque côté, à cause des limites des fours standards. Dans le cas des grands éléments dont la dimension linéique dépasse 3 m, il convient de réaliser le test sur un segment réduit, dont la dimension linéique est inférieure à 3 m. Pour les murs en maçonnerie, sauf eigences particulières, les éléments représentatifs ont des dimensions de 3 3 m 2. La maquette est insérée dans un cadre métallique ou en béton, la face eposée du mur étant celle faisant face au flammes. 4
5 Mur Face non eposée Face eposée Four Schéma de l essai au feu : four et élément testé. Dans le cas des murs non porteurs, qui assurent seulement une fonction de séparation entre les différentes pièces de l appartement, le cadre d essai est fermé. La maquette se trouve à l intérieur du cadre, au contact duquel elle est maintenue par le biais de couches de mortier appliquées sur les trois bords (supérieur, inférieur et latéral). Un des bords latérau est isolé du cadre par une couche isolante (laine de roche, par eemple). Mortier Isolant - Mur testé Cadre de support Schéma d essai d un mur non porteur Dans le cas des murs porteurs, une charge verticale est appliquée sur le bord supérieur de la maquette, selon une configuration déterminée. Les deu bords latérau sont isolés, par rapport au support, par des couches isolantes d épaisseur suffisamment importante pour que ses déformations, au cours de l eposition au feu, soient libres (épaisseur de l ordre 40 mm, le plus souvent). 5
6 Poutre distribution de charge verticale - Mortier Mur testé Cadre de support Isolant Schéma d essai d un mur porteur Sur la face non eposée et dans les briques, des thermocouples et des capteurs de déplacement sont installés, pour mesurer et enregistrer les données permettant de quantifier les critères de résistance au feu. Les procédures détaillées sont données dans les normes NF EN , NF EN et NF EN Scénario d incendie Pendant l essai au feu, la température dans le four est réglée de telle façon que celle mesurée par un thermocouple situé à 10 cm devant la face eposée du mur, satisfasse à un scénario spécifique. En effet, les eigences sont différentes, selon la fonction du mur. Des "modèles feu" sont proposés dans la norme NF EN Pour les éléments utilisés dans les bâtiments, et dans le cas de l incendie pleinement développé dans un compartiment, l évolution de la température peut être simulée par la relation suivante, appelée "courbe normalisée température/temps" selon la norme NF EN T 345log10 8t 1 20 où : T est la température moenne du four, en degré Celsius ; t est la durée d eposition, en minutes. 6. Essai des murs porteurs sous chargement mécanique (chargement centré/ecentré) 6.3. Note technique Dans le cas des charges centrées, le déplacement horiontal à mi hauteur du mur est dû centrée th essentiellement à la dilatation thermique u u. 6
7 N N M th u M u th u centrée ecentrée Dans le cas des charges ecentrées, le déplacement horiontal à mi-hauteur du mur est égal à la combinaison du déplacement dû à la dilatation thermique et celui dû au moment fléchissant ecentrée M th u u u. Sous chargement ecentré, le mur a tendance à se déformer vers l etérieur (tant qu il n est pas soumis au feu). En situation d incendie, il s incurve vers le côté feu (à l intérieur, dans ce cas). De la sorte, les déplacements u et u ont des signes opposées. On peut donc déduire que u ecentrée u centrée M configuration la plus défavorable. th. insi, pour le cas du feu situé à l intérieur, l essai avec charge centrée constitue la 6.2. vis CECMI Etrait du procès-verbal de la réunion du 14 juin 2011 du Comité d Etude et de Classification des Matériau et Eléments de Construction par rapport au danger d Incendie : «La procédure d essai NF EN ne préjuge pas de l usage final qui sera fait du mur testé et la position des charges est laissée à l initiative du demandeur de l essai. Jusqu à présent, la plupart des essais sont faits avec charge centrée. Si les faits sont avérés, la DSC* s étonne que des bureau de contrôle formulent des eigences avec charges ecentrées, qui ne lui semblent pas fondées en droit». * Direction de la Sécurité Civile 7
Réglementation incendie en ERP
R. ARTERO, Chef de produits Réglementation incendie en ERP à respecter pour la pose d un bâti-support WC Rappel de vocabulaire et réglementation Résistance au feu La résistance au feu caractérise le comportement
Plus en détailVade-mecum Règles Pratiques
Vade-mecum Règles Pratiques En matière de sécurité incendie conformément à la réglementation belge Arrêté royal (normes de base 994-997 - 2003-2007 - 2009) Et nouvelles annexes, 2, 3, 4 et 6 approuvées
Plus en détailNOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL
1 NOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL NOM DE L ETABLISSEMENT : Atelier 1 menuiserie, Ateliers 2, 3 et 4 non connu à ce jour NATURE DE L EXPLOITATION : Ateliers
Plus en détailMur Hybride, bien plus qu un simple mur
Mur Hybride, bien plus qu un simple mur Correction des ponts thermiques Maçonnerie de type a RT 2012 Mur Hybride R = 1,45 Pose rapide Porotherm GF R20 Th+ Mur Hybride énergie économie écologie émotion
Plus en détailGuide de conception. Sécurité incendie des halls industriels
Projet mené grâce au financement du programme de recherche Research Fund for Coal & Steel RFS2 CR 2007 00032 Sécurité incendie des halls industriels Guide de conception Sommaire 1. Introduction... 2 2.
Plus en détailJean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers
Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER Laure Delaporte ConstruirAcier Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc SCHAFFNER des Ateliers SCHAFFNER chef de file du GT4 Jérémy TROUART de l Union des Métalliers
Plus en détail75 PARIS. Unité Construction Saint Denis Pleyad 2-3ème étage 39-47 Boulevard d'ornano 93285 Saint Denis Cédex Tél. : 01.49.21.66.00 www.apave.
CPCU Direction de l'ingénierie et du Développement 185, rue de Bercy 75012 PARIS À l'attention de Mme Sarah JOYCE-ERMOLLI ASSISTANCE TECHNIQUE EVALUATION TENUE AU FEU MURS PERIPHERIQUES CHAUFFERIE CPCU
Plus en détailLes solutions support d enduit mince avec isolation
Les solutions support d enduit avec isolation Th38 SE Th38 SE FM+ Dimensions : Th38 SE : 1200 x 600 x épaisseurs 20 à 300 mm Th38 SE FM+ : 500 x 500 x épaisseurs 60 à 120 mm (autres dimensions sur consultation)
Plus en détailN 5 SUPERSTRUCTURE. Enveloppe Seconde œuvre. Arezou MONSHIZADE MOBat
N 5 SUPERSTRUCTURE Enveloppe Seconde œuvre Arezou MONSHIZADE MOBat SUPERSTRUCTURE: Eléments constructifs SUPERSTRUCTURE Murs et baies Plancher Toiture Couverture +Seconde oeuvre INFRASTRUCTURE Sol Semelles
Plus en détailAttestation d'utilisation AEAI n 20743
Attestation d'utilisation AEAI n 20743 Groupe 401 Gaines techniques pour l'installation de conduits de fumée Fermacell GmbH FERMACELL AESTUVER EI 90-RF1 Description Système de gaine continue à 4 côtés,
Plus en détailVoie Romaine F-57280 Maizières-lès-Metz Tél : +33 (0)3 87 51 11 11 Fax : +33 (0 3 87 51 10 58
Voie Romaine F-57280 Maizières-lès-Metz Tél : +33 (0)3 87 51 11 11 Fax : +33 (0 3 87 51 10 58 PROCES-VERBAL PROCES-VERBAL DE CLASSEMENT n 13 A - 789 Résistance au feu des éléments de construction selon
Plus en détailB1 Cahiers des charges
B1 Cahiers des charges B1 cahiers des charges 35 B.1 Cahiers des charges Ce chapitre contient les cahiers des charges. Pour plus d informations, nous réfèrons au paragraphe B.3. Mise en oeuvre et B.4 Détails
Plus en détailGUIDE DE DISPOSITIONS CONSTRUCTIVES POUR LE BATI NEUF SITUE EN ZONE D ALEA DE TYPE FONTIS DE NIVEAU FAIBLE
GUIDE DE DISPOSITIONS CONSTRUCTIVES POUR LE BATI NEUF SITUE EN ZONE D ALEA DE TYPE FONTIS DE NIVEAU FAIBLE Document établi par : CSTB 84, avenue Jean Jaurès Champs-sur-Marne F-77447 Marne-la-Vallée Cedex
Plus en détailRéglementation ERP et IGH
PENSE Bête : Réglementation ERP et IGH Réalisé par Alexandre MOREAU 01.69.45.73.06 06.99.44.60.36 Mail : securiteincendie.idf@gmail.com Site : securiteincendie-idf.com A) DEFINITION : (R 123.2) 1 ) Définition
Plus en détailMaison unifamiliale : Définition
Maison unifamiliale : Définition Une maison unifamiliale est considérée comme étant un bâtiment indépendant essentiellement affecté au logement d une seule famille. La portée des différents aspects tirés
Plus en détailB 67. Murs séparatifs coupe-feu et façades à fonction d écran thermique en béton. ConCeption des bâtiments d activités en béton
ColleCtion t e C h n i q u e C i m b é t o n B 67 ConCeption des bâtiments d activités en béton Murs séparatifs coupe-feu et façades à fonction d écran thermique en béton ConCeption des bâtiments d activités
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES A. INTRODUCTION B. LIGNES DIRECTRICES C. COMMENTAIRES
TABLE DES MATIÈRES A. INTRODUCTION A-1 Domaine d application 1 A-2 Principes généraux 1 A-3 Contenu du Guide d application 2 A-4 Référence au chapitre I, Bâtiment 3 A-5 Entretien et réparation 4 A-6 Mise
Plus en détailPage 2/32 Page 3/32 Page 4/32 Page 5/32 Page 6/32 Imp PARMENTIER - La Wantzenau Certification Page 7/32 Page 8/32 Page 9/32 Page 10/32 Page 11/32 Page 12/32 Imp PARMENTIER - La Wantzenau Certification
Plus en détailACOUSTIQUE REGLEMENTATION ISOLEMENT AUX BRUITS AÉRIENS ISOLEMENT AUX BRUITS DE CHOCS
ACOUSTIQUE REGLEMENTATION Dans les exigences réglementaires, on distingue l isolement aux bruits aériens (voix, télévision, chaîne-hifi...) et l isolement aux bruits d impact (chocs). ISOLEMENT AUX BRUITS
Plus en détailProtection des structures et constructions à ossature bois par plaques de plâtre
D01 Protection au feu des structures Protection des structures et constructions à ossature bois par plaques de plâtre Généralités et principes La stabilité au feu des structures évite, en cas d incendie,
Plus en détailSAUVEGARDE DES PERSONNES ET LUTTE CONTRE L INCENDIE DANS LES BATIMENTS D HABITATION DE LA 3ème FAMILLE INC/HAB COL 3/1986-2
1. CLASSEMENT ET GENERALITES : 1.1. Classement Sont classées dans la 3ème famille les habitations collectives dont le plancher bas du logement le plus haut est situé à 28 mètres au plus au-dessus du sol
Plus en détailIntroduction à la sécurité incendie :
LES ESSENTIELS DE L HABITAT 6 Introduction à la sécurité incendie : Le classement des matériaux et systèmes ÉDITION 2012 LES ESSENTIELS DE L HABITAT 6 Introduction à la sécurité incendie En France, en
Plus en détailDocument Technique d Application
Document Technique d Application Référence Avis Technique 5/12-2304 Annule et remplace l Avis Technique 5/09-2066 Système d isolation composée (EPS + MW) non porteur support d étanchéité Isolant thermique
Plus en détailVoies d évacuation et de sauvetage
Institut de Sécurité Voies d évacuation et de sauvetage Jean-Paul Bassin Institut de Sécurité Institut de Sécurité INSTITUT SUISSE DE PROMOTION DE LA SÉCURITÉ Evacuation_Lignum_2010 1 Histoire 1995 1945
Plus en détailINSCRIPTION, CLASSEMENT ET EMBALLAGE. Communication de l expert de l Afrique du Sud
NATIONS UNIES ST Secrétariat Distr. GÉNÉRALE ST/SG/AC.10/C.3/2005/47 13 septembre 2005 FRANÇAIS Original: ANGLAIS COMITÉ D EXPERTS DU TRANSPORT DES MARCHANDISES DANGEREUSES ET DU SYSTÈME GÉNÉRAL HARMONISÉ
Plus en détailMur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat. 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat
Détails 1. Mur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat Crochet type mur sec Mortier Membrane d'étanchéite Chaînage béton Brique
Plus en détailMODE D EMPLOI DÉTECTEURS DE FUMÉE. Bien équipé, bien préparé, je suis en sécurité. MARS 2015. Obligatoire à compter du
DÉTECTEURS DE FUMÉE MODE D EMPLOI FNSPF 2014. Firethinktank.org / Photo : Sébastien Mousnier. Bien équipé, bien préparé, je suis en sécurité. Obligatoire à compter du 8 MARS 2015 LES DÉTECTEURS AUTONOMES
Plus en détailCe guide se divise en six chapitres, dont quatre sont dédiés à une catégorie de bâtiment :
INTRODUCTION Constructions de pointe et d usage courant, les escaliers métalliques doivent répondre à d autres exigences, que celle de pouvoir passer d un niveau à un autre. L un des principaux points
Plus en détailDESCRIPTIF SOMMAIRE DES TRAVAUX
LYCÉE LYCÉE GÉNÉRAL TECHNOLOGIQUE G ÉNÉRAL TECHNOLOGIQUE PIERRE BROSSOLETTE 161 cours Émile Zola - 69628 VILLEURBANNE Cedex CRÉATION DE LOCAUX DE STOCKAGE ANCIEN SANITAIRES DESCRIPTIF SOMMAIRE DES TRAVAUX
Plus en détailCommission pour la technique de construction
Vereinigung Kantonaler Feuerversicherungen Association des établissements cantonaux d assurance incendie Commission pour la technique de Récapitulation des concordances admissibles entre la classification
Plus en détailEtablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil
Notice de sécurité Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil Cette notice a été établie à l'attention des exploitants d Etablissements Recevant du Public (ERP), afin
Plus en détailmode d emploi PROTÉGEZ LA VIE DE CEUX QUE VOUS AIMEZ 18 Sapeurs-Pompiers 15 Samu 112 N d urgence européen d urgence gratuits
PROTÉGEZ LA VIE E CEUX QUE VOUS AIMEZ mode d emploi 18 Z Z Z 18 Sapeurs-Pompiers 15 Samu 112 N d urgence européen Les numéros d urgence gratuits Cette brochure peut vous sauver la vie, ne la jetez pas,
Plus en détailCloisons de distribution Caroplatre
04 Cloisons de distribution en carreaux de plâtre Cloisons de distribution Caroplatre Description Les carreaux de plâtre Caroplatre sont des éléments en plâtre 100% naturel fabriqués en usine. Leur coloration
Plus en détailCONSTRUCTION. QUELLES SONT les NORmES ET LES REGLES POUR CONSTRUIRE UN BATIMENT?
CONCEption CONSTRUCTION QUELLES SONT les NORmES ET LES REGLES POUR CONSTRUIRE UN BATIMENT? quelles sont les REGLES urbaines quelles sont les REGLES DE SECURITE incendie quelles sont les REGLES D accessibilite
Plus en détailMurs poutres & planchers
Murs poutres & planchers Henri RENAUD Deuxième édition Groupe Eyrolles, 2002, 2005, ISBN 2-212-11661-6 8. Structure porteuse : murs, planchers, charpente Eléments porteurs ou de liaisons qui contribuent
Plus en détailFICHES PRODUITS DIMENSIONS. FINITIONS Volées droites. Escaliers hélicoïdaux. Escaliers hélicoïdaux avec palier. tournant
FICHES PRODUITS Volées droites Escaliers hélicoïdaux Escaliers hélicoïdaux avec palier Escaliers balancés sur voile de 15cm ½ tournant Escaliers balancés sur voile de 15cm ¾ tournant Escaliers balancés
Plus en détailCloisons séparatives Placostil SAA et SAD
01 Cloisons sur ossature métallique Placostil Cloisons séparatives Placostil SAA et SAD Description Les cloisons séparatives de logements Placostil SAA (Séparative d Appartements à ossature Alternée) et
Plus en détailSUJETS DE LA FICHE-CONSEILS
SUJETS DE LA FICHE-CONSEILS 1. Lignes directrices 2. Issue extérieure au niveau du sol Accès et aire de manœuvre Sécurité fonctionnelle 3. Étages desservis par un Bâtiment protégé par des extincteurs automatiques
Plus en détailLouis-Philippe Gagnon Auditeur De Système D Alarme LABORATOIRES DES ASSUREURS DU CANADA 12 Novembre, 2014
Louis-Philippe Gagnon Auditeur De Système D Alarme LABORATOIRES DES ASSUREURS DU CANADA 12 Novembre, 2014 UL and the UL logo are trademarks of UL LLC 2012 2 OBJECTIFS DE LA MISE À L'ESSAI ET INSPECTION
Plus en détailDIRECTIVE DE PROTECTION INCENDIE
Vereinigung Kantonaler Feuerversicherungen Association des établissements cantonaux d assurance incendie Associazione degli istituti cantonali di assicurazione antincendio Distances de sécurité incendie,
Plus en détailLe chantier compte 4 étapes :
02 Bien mettre en place le 03 béton désactivé La technique du béton désactivé consiste à mettre en valeur les granulats en éliminant la couche superficielle du mortier en surface. Un chantier de béton
Plus en détail>I Maçonnerie I ESCALIERS MAISON INDIVIDUELLE
ESCALIERS >I Maçonnerie I Sommaire Terminologie Textes de référence Mise en œuvre Conception Finition Produits Cahier des Clauses Techniques Particulières Terminologie Ouvrage de circulation verticale
Plus en détailConstruction. Catalogue de détails. L habitat sain, naturellement. Produits pour la construction saine issus de matériaux naturels renouvelables
Catalogue de détails Produits pour la construction saine issus de matériaux naturels renouvelables Construction CONTENU Détails de raccords Maison très basse consommation Systèmes bois massif Support maçonné
Plus en détailPartie 5 : Outils de calcul informatiques. Partie 5 : Outils de calcul informatiques 0/ 46
Partie 5 : Outils de calcul informatiques Partie 5 : Outils de calcul informatiques 0/ 46 Objectif du calcul au feu R Résistance de la structure soumise au feu R req Résistance requise pour la tenue au
Plus en détailArrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative
Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative A n n e x e 1 Annexe 1 1.2.1 hauteur d un bâtiment La hauteur h d'un
Plus en détailPCB 20 Plancher collaborant. Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678
Plancher collaborant Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678 V1/2011 caractéristiques du profil DÉTAIL GÉOMÉTRIQUE DU 22 728 104 épaisseur (mm) 0,5 0,7 poids (dan/m 2 ) 5,3 7,4 APPLICATION CONSEILLÉE
Plus en détailD30 / C30. La sécurité selon votre style
/ C30 La sécurité selon votre style La sécurité selon votre style Les portes blindées C 30 et D 30 constituent un choix particulièrement indiqué pour les bâtiments neuf parce qu elles offrent des particularitées
Plus en détailUn pavillon se compose de murs et d'un toit qui peuvent être réalisés de différentes façons suivant le budget donné :
Un pavillon se compose de murs et d'un toit qui peuvent être réalisés de différentes façons suivant le budget donné : l'assemblage de parpaings le moulage dans un coffrage donnant une forme circulaire
Plus en détailCours de Structures en béton
Cours de Structures en béton Chapitre 12 DETAILS DE CONSTRUCTION Section 12.3 Les murs 12.3.1 Le mur extérieur en béton armé 12.3.2 Le mur extérieur en maçonnerie traditionnelle 12.3.3 Le mur extérieur
Plus en détailFiche Technique pour un bâtiment modulaire à ossature en bois de 54 m²
Fiche Technique pour un bâtiment modulaire à ossature en bois de 54 m² Cahier de charge NON définitif. Adaptations possibles selon l arrivée de nouveaux matériaux bois ou la mise en œuvre de techniques
Plus en détailISOLATION EN SOUS FACE DES PLANCHERS BAS
P R O G R A M M E D A C C O M P A G N E M E N T D E S P R O F E S S I O N N E L S www.reglesdelart-grenelle-environnement-2012.fr RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES ISOLATION EN SOUS FACE DES PLANCHERS BAS
Plus en détailSERRURIER.COM - 01.40.29.44.68
L huisserie LE TRANSLUCIDE 2T ou 2P L étanchéité Joint isophonique à coller (option) La porte 2 FACES acier 20/10 ème + 4 omégas sur le périmètre 4 paumelles de 140 mm sur butée à billes L oculus Oculus
Plus en détailMACONNERIE/GROS OEUVRE
GIDE AVANT METRE MACONNERIE/GROS OEVRE MET 2 ORDRE D EXECTION Infrastructure Maçonnerie soubassement : murs, poteaux, poutres, chaînages, enduit d étanchéité, escaliers Maçonnerie superstructure : Dallage
Plus en détail2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).
SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,
Plus en détailConstruction. Catalogue de détails. L habitat sain, naturellement. Produits pour la construction saine issus de matériaux naturels renouvelables
Catalogue de détails Produits pour la construction saine issus de matériaux naturels renouvelables Construction CONTENU Détails de raccords Maison très basse consommation Systèmes bois massif Support maçonné
Plus en détailMARCHE A PROCEDURE ADAPTEE
MARCHE A PROCEDURE ADAPTEE Pouvoir adjudicateur : Centre Hospitalier de Béziers 2 rue Valentin Haüy BP 740 34525 BEZIERS Libellé de la consultation* : SITE MONTIMARAN SERVICE RADIOLOGIE (objet du marché)
Plus en détailfire-line DE COENE Securité anti-incendie certifiée! De Coene Products Europalaan 135 BE-8560 Gullegem www.decoeneproducts.be
DE COENE PRODUCTS Securité anti-incendie certifiée! fire-line L incendie de l Innovation à Bruxelles (1967) a entraîné une législation incendie innovante et extrêmement rigoureuse pour les bâtiments publiques
Plus en détailZone Industrielle. Kehlen... 1
Zone Industrielle Kehlen VALERES Konstruktioun SA 1 L o c a l i s a t i o n Le terrain se situe dans la zone industrielle de et à 8287 Kehlen Parcelle no 2946/5744 lot 1 La superficie du terrain sur lequel
Plus en détailCREATION D UN GROUPE SCOLAIRE
S.I.C.A. HABITAT RURAL DE LA SAVOIE 40, rue du Terraillet 73190 SAINT BALDOPH Tél. 04 79 33 06 94 Fax 04 79 85 69 92 E-mail : info@sica-hr.com Dossier 1918-2011 SYNDICAT INTERCOMMUNAL DE ST OFFENGE CREATION
Plus en détailColle époxydique multi usages, à 2 composants
Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,
Plus en détailAnnexe A. Annexe A. Tableaux et données relatifs à la vérification par Eurocode 3 A.3
Annexes Annexe A : Tableaux et données relatifs à la vérification par Eurocode 3... A.2 Annexe B : Format des fichiers générés et utilisés par CADBEL... A.11 Annexe C : Calcul de la résistance au flambement
Plus en détailConstruire en zone sismique - Conception et bonnes pratiques
La construction face au risque sismique Nouvelle réglementation Auch 27 novembre 2012 Construire en zone sismique - Conception et bonnes pratiques Albane RAMBAUD Sandrine MARNAC CETE du Sud Ouest / DALET
Plus en détailLa nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments
La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments dont le permis de construire est déposé à partir du 1 er mai 2011 Janvier 2011 Ministère de l'écologie, du Développement durable, des Transports
Plus en détailQuels travaux confier à un professionnel?
CONSEILS AUX PARTICULIERS Travaux dangereux dans votre logement Quels travaux confier à un professionnel? Vous voulez réaliser des travaux chez vous, attention, certains présentent des risques importants!
Plus en détail8 LES AMÉNAGEMENTS INTÉRIEURS ET LA SERRURERIE
8 LES AMÉNAGEMENTS INTÉRIEURS ET LA SERRURERIE De nombreux produits en acier (plats, tubes, barres, tiges, câbles, cornières ) sont utilisés pour les aménagements intérieurs et dans les éléments annexes
Plus en détailTravaux de rénovation partielle de bureaux et de laboratoires
Travaux de rénovation partielle de bureaux et de laboratoires Centre de recherche Saint Antoine UMR-S 893 Site de l Hôpital Saint Antoine Bâtiment Inserm Raoul KOURILSKY 6 ème étage Equipe 13 Alex DUVAL
Plus en détailEmprisonnons la chaleur 7 L isolation des murs
Emprisonnons la chaleur 7 L isolation des murs 7.1 Isolant soufflé 7.2 Rénovation de l intérieur 7.3 Rénovation de l extérieur 7.4 Endroits divers : garages attenants et autres espaces 7.5 Ajouts et nouvelles
Plus en détailEnvironnement Contrôlé. Nos solutions. Systèmes de Cloisons de Salles Propres. Construire Votre Environnement. A division of Dagard SAS
Ultra Propre Environnement Contrôlé High Tech Nos solutions Systèmes de Cloisons de Salles Propres A division of Dagard SAS Construire Votre Environnement Gamme Ultra Propre Les surfaces lisses et bi-affleurantes
Plus en détailANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE
562 ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE 563 TABLE DES MATIÈRES ANNEXE J... 562 POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS
Plus en détailLe maçon à son poste de travail
Fiche Prévention - E2 F 03 14 Le maçon à son poste de travail Partie 2 : la protection face au vide La réalisation de murs en maçonnerie est une opération courante sur les chantiers du bâtiment (maison
Plus en détailPhase avant-projet : Liste de vérification pour la protection incendie d'appartements multi-étagés
Phase avant-projet : Liste de vérification pour la protection incendie d'appartements Ce document présente une vue d'ensemble des principales questions à envisager en matière de sécurité incendie dans
Plus en détailNe brûle pas. La laine de pierre : naturellement incombustible. www.flumroc.ch
Ne brûle pas. La laine de pierre : naturellement incombustible. www.flumroc.ch Plus de 50 alarmes incendie chaque jour Page 4 Pour stopper la propagation du feu Page 7 Combustible ou incombustible? Page
Plus en détailRèglementation incendie : des évolutions pour le bois
Deux nuveaux arrêtés prtant sur la sécurité incendie dans les établissements recevant du public, l un sur les aménagements intérieurs, l autre sur la prpagatin du feu par les façades, nt quelque peu mdifié
Plus en détailInstitut technologique FCBA : Forêt, Cellulose, Bois - construction, Ameublement
Renforcer la compétitivité des entreprises françaises des secteurs forêt, bois, pâte à papier, bois construction, ameublement face à la mondialisation et à la concurrence inter-matériaux Institut technologique
Plus en détailForum Bois Construction Beaune 2011 Construction modulaire Peio Gorroño 1
Forum Bois Construction Beaune 2011 Construction modulaire Peio Gorroño 1 Conception et réalisation de 45 logements d habitat type modulaire par empilement de modules en 3 niveaux réalises avec des panneaux
Plus en détailRencontre des Responsables de copropriétés de Neuilly sur Seine, le 14 octobre 2014. Focus sur quelques obligations applicables aux copropriétés
Rencontre des Responsables de copropriétés de Neuilly sur Seine, le 14 octobre 2014 Focus sur quelques obligations applicables aux copropriétés Sommaire Domaine Sécurité et sanitaire Mise en sécurité des
Plus en détaildescription du système
description du système a. conception technique système constructif Le projet proposé est un système modulaire industrialisé d'assemblage d'éléments préfabriqués tridimensionnels. Il est basé sur un module
Plus en détailContenu de la présentation Programme 28.10.2010
Fire Safety Day 2010 28 octobre 2010 - Leuven Note d information technique NIT 238 L application de systèmes de peinture intumescente sur structures en acier Source: Leighs Paints ir. Y. Martin CSTC/WTCB
Plus en détailIsolation de conduites à base d'amiante
*F01 Cordons, anneaux d'étanchéité et bandes d'isolation électrique en amiante Des cordons à haute teneur en amiante ont souvent été utilisés comme joints anti feu dans des poêles à mazout ou en aïence,
Plus en détailETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE
1 ENSA Paris-Val de Seine Yvon LESCOUARC H ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE Architecte : Norman FOSTER 2 LES BUREAUX EDF A TALENCE Ce bâtiment de bureaux conçu par l'agence de
Plus en détailDes solutions acoustiques simples et efficaces pour tout le logement
Des solutions acoustiques simples et efficaces pour tout le logement L acoustique : une attente majeure pour les Français. Le bruit concerne tout le monde, il est omniprésent dans votre vie. Les bruits
Plus en détailRéhabilitation de la Maison de Radio France LA MISE EN SECURITE INCENDIE DE LA MAISON DE RADIO FRANCE
Réhabilitation de la Maison de Radio France LA MISE EN SECURITE INCENDIE DE LA MAISON DE RADIO FRANCE ETUDE DE L EXISTANT CONSTRUCTION STRUCTURE (Références photos du chantier- 1960) LA GRANDE COURONNE
Plus en détailFermetures antipaniques Fermetures d urgence
Fermetures antipaniques Fermetures d urgence 8 plates-formes régionales à votre entière disposition : - une équipe de professionnels à votre écoute - un stock près de chez vous BORDEAUX.............................124/126
Plus en détailModifications principales des prescriptions de protection incendie 2015. Débat urbanités. Nous protégeons l essentiel
Modifications principales des prescriptions de protection incendie 2015 Débat urbanités Didier Guignard, 6 octobre 2014 Sommaire Modifications principales des prescriptions AEAI 1. Allègements, simplifications,
Plus en détailCONCEPTION DES LOCAUX DE TRAVAIL : LE RISQUE INCENDIE
BARREAU Nicolas LOUBOUTIN Nathalie VAUGIER Pauline MASTER PRNT PROJET UE 5 : FACTEURS D AMBIANCE CONCEPTION DES LOCAUX DE TRAVAIL : LE RISQUE INCENDIE T. ATHUYT Janvier 2005 Projet Facteurs d ambiance
Plus en détailRéalisation Responsable de projet Nathalie Lessard, architecte Rédaction et validation des textes Claire Bélanger, architecte Suzel Bourdeau,
Cahier explicatif Réalisation Responsable de projet Nathalie Lessard, architecte Rédaction et validation des textes Claire Bélanger, architecte Suzel Bourdeau, ingénieure Ginette Dupont, architecte Éric
Plus en détailContrôle thermographique Tarifs et prestations :
20 rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN technimursdeveloppement@gmail.com Tél : 02.54.98.50.15 Mr et Mme DUPONT 20 Rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN Contrôle thermographique Tarifs et prestations : Habitations
Plus en détailF.I.C. n 2013/AI TH PS 01-B
F.I.C. n 2013/AI TH PS 01-B Fiche d interprétation et / ou complément aux référentiels Qualitel et Habitat & Environnement Objet : Rubrique AI Acoustique Intérieure Rubrique TH Niveau de consommation d
Plus en détailNOUVELLES POUR LE STOCKAGE DES
NOUVELLES RÈGLES SOMMAIRES POUR LE STOCKAGE DES PRODUITS PÉTROLIERS Depuis septembre 2006, suivant le décret de Juillet 2004 STOCKAGE AU REZ-DE-CHAUSSEE OU EN SOUS-SOL D'UN BATIMENT Les réservoirs et équipements
Plus en détailFiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti
.0 RISQUES GEOLOGIQUES DU SITE NOTES. LIQUÉFACTION : On ne doit pas trouver de sols granulaires liquéfiables, lâches, saturés, ou qui pourraient compromettre la performance sismique du bâtiment, dans des
Plus en détailPRENDRE EN COMPTE LA SÉCURITÉ DES OCCUPANTS
RÉHABILITATION ET AMÉLIORATION DE L'HABITAT EXISTANT PRENDRE EN COMPTE LA SÉCURITÉ DES OCCUPANTS Septembre 2008 MINISTÈRE DU LOGEMENT ET DE LA VILLE Avertissement Les informations contenues dans le présent
Plus en détailLes Fibres naturelles pour les architectes - La réaction au feu des matériaux à base de fibres naturelles
Don t let the market leave without you Our know-how makes your success Les Fibres naturelles pour les architectes - La réaction au feu des matériaux à base de fibres naturelles Mardi 27 Mai 2014 - Namur
Plus en détailSTANDARD DE CONSTRUCTION CONDUITS, ATTACHES ET RACCORDS DE
, ATTACHES ET RACCORDS DE PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS 1.1 EMPLACEMENT DES 1.1.1 Les conduits posés devraient être indiqués sur les plans. Ils devraient être installés perpendiculairement aux lignes du bâtiment.
Plus en détailACCESSIBILITÉ AFEB COMMISSION PROFESSIONNELLE RECAPITULATIF DES EXIGENCES APPLICABLES AUX ESCALIERS EN BOIS
ACCESSIBILITÉ RECAPITULATIF DES EXIGENCES APPLICABLES AUX ESCALIERS EN BOIS Le présent document établi par la Commission Professionnelle de l'afeb récapitule et précise certaines exigences applicables
Plus en détailConception parasismique des diaphragmes de toit selon la norme CSA-S16
Conception parasismique des diaphragmes de toit selon la norme CSA-S16 Robert Tremblay École Polytechnique, Montréal, Canada SCGC - Québec Québec, 16 Avril 2009 Plan 1. Information générale 2. Exemple
Plus en détailDocument Technique d Application BERLIMUR
Document Technique d Application Référence Avis Technique 3/14-767 Annule et remplace l Avis Technique 3/10-657 Mur à coffrage intégré une face Incorporated shuttering wall one side Wand mit integrierter
Plus en détail>I Maçonnerie I Escaliers
ESCALIERS >I Maçonnerie I Sommaire Terminologie Textes de référence Mise en œuvre Conception Finition Produits Cahier des Clauses Techniques Particulières g Terminologie n Ouvrage de circulation verticale
Plus en détailYwood Les Docks Libres à Marseille
Ywood Les Docks Libres à Marseille S. Bouquet 1 Ywood Les Docks Libres à Marseille Stéphane Bouquet NEXITY / YWOOD FR-Paris, Marseille 2 Ywood Les Docks Libres à Marseille S. Bouquet 5 ème Forum International
Plus en détailLes immeubles résidentiels et commerciaux disposent
LES AMÉNAGEMENTS USUELS DES IMMEUBLES Les immeubles résidentiels et commerciaux disposent normalement d installations et d aménagements relativement similaires qui répondent aux normes applicables et aux
Plus en détail