TRAITEMENT CHIRURGICAL DE L OBESITE J.P. MARMUSE
|
|
- Émilie Bibeau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 TRAITEMENT CHIRURGICAL DE L OBESITE J.P. MARMUSE
2 FAUT ' IL OPERER LES OBESES?
3 CHIRURGIE DE L OBESITE DEFINITION DE L OBESITE Excès de masse grasse délétère pour la santé IMC > 30 kg / m² CLASSIFICATION DES OBESITES IMC obésité modérée IMC obésité sévère IMC > 40 obésité massive ou morbide EPIDEMIOLOGIE Prévalence croissante dans tous les pays En France : 11.7 % de la population adulte
4 CHIRURGIE DE L OBESITE CONSEQUENCES EN TERME DE SANTE Cause de nombreuses complications ( comorbidités )» Cardio-vasculaires» Métaboliques» Respiratoires» Osteo-articulaires Altération de la qualité de vie Diminution de l espérance de vie
5 CHIRURGIE DE L OBESITE CONSEQUENCES POUR LA SOCIETE Coût économique considérable» Frais médicaux : 2 % des dépenses de santé en France en 1996» Coûts indirects : Perte de productivité Pension d invalidité
6 CHIRURGIE DE L OBESITE LES OBJECTIFS THERAPEUTIQUES OBTENIR UNE PERTE DE POIDS STABLE ET DURABLE A LONG TERME SUFFISANTE POUR ENTRAINER : L amélioration ou la guérison des comorbidités associées L amélioration de la qualité de vie L augmentation de l espérance de vie
7 CHIRURGIE DE L OBESITE LES METHODES DONT ON DISPOSE Les approches conventionnelles ; diète, exercice, médication» Perte pondérale limitée ; 5 à 10 % du poids initial» Reprise de poids quasi constante après l arrêt du traitement» Plus de 95% d échec en cas d obésité morbide Les méthodes chirurgicales» Perte pondérale plus importante et plus durable» Mais risque à court terme plus élevé
8 CHIRURGIE DE L OBESITE LES DIFFERENTES INTERVENTIONS
9 LES METHODES CHIRURGICALES (1) LES METHODES MALABSORPTIVES - by pass jejuno ileal - by pass bilio intestinal LES METHODES RESTRICTIVES - gastroplastie verticale bandée - gastroplastie par anneau ajustable - gastrectomie parietale (sleeve gastrectomie) LES METHODES RESTRICTIVES ET MALABSORPTIVES - derivations gastro-jejunale ( by pass gastrique) - diversions bilio pancreatique avec gastrectomie distale ( SCOPINARO ) avec switch duodenal
10 LES METHODES CHIRURGICALES (2) AUCUNE N EST L INTERVENTION IDEALE Normalisation du poids constante et rapide Maintien d un poids stable à long terme Absence de contraintes alimentaires Absence de complications à long terme Intervention facilement réversible Risque péri-opératoire minime
11 LES METHODES CHIRURGICALES (3) AUCUNE N EST EXEMPTE DE RISQUE Risques liés à l intervention elle même Difficulté technique Complications digestives ( anastomotique ) Complications nutritionnelles Risques liés au terrain (obésité) Complications pulmonaires Complications thrombo emboliques Complications pariétales ; - infections ( 5%) - éventrations ( 25-30%)
12 BY-PASS JEJUNO-ILEAL TERMINO-TERMINAL ( type SCOTT )
13 BY-PASS JEJUNO-ILEAL TERMINO-LATERAL ( type PAYNE )
14 GASTRIC BANDING AJUSTABLE (LAP BAND)
15 ANNEAUX GASTRIQUES - I - DIFFICULTES TECHNIQUE = + - RISQUE PERI-OPERATOIRE :. Mortalité : 0,2 % - embolie - plaie gastrique. Morbidité: < 5 % - plaie gastrique - infection anneau - infection du boitier J.P.M. RESULTATS COMPARES ANO GASTRO BP DIVERSION 12/O2
16 ANNEAUX GASTRIQUES - II - EFFICACITE : Perte d excès de poids: % Taux de succès : BMI < % BMI > % Dépend du comportement alimentaire:+++ Maintient à long terme:????? - EFFETS SUR LES COMORBIDITES Fonction de la perte de poids J.P.M. RESULTATS COMPARES ANO GASTRO BP DIVERSION 12/O2
17 ANNEAUX GASTRIQUES - III - EFFETS SECONDAIRES DIGESTIFS : - Contraintes alimentaires: Vomissements fréquents: - Aliments solides - Repas rapides - CONSEQUENCES NUTRITIONNELLES : - Pas de carences en théorie - Sauf si: Vomissements persistants Alimentation carencée (choix des patients) J.P.M. RESULTATS COMPARES ANO GASTRO BP DIVERSION 12/O2
18 ANNEAUX GASTRIQUES - IV - COMPLICATIONS SECONDAIRES : ( 5 20 %) - Dilatation de poche gastrique: 5 à 15 % - Migration intra gastrique : 1 à 2 % - Complications boîtier : 5 à 10 %. Rotation. Rupture du cathéter. Infection. Ulcération à la peau - REVISIONS CHIRURGICALES : ( %) - Complications - Echecs ou reprise de poids J.P.M. RESULTATS COMPARES ANO GASTRO BP DIVERSION 12/O2
19 GASTROPLASTIE VERTICALE BANDEE
20 SLEEVE GASTRECTOMIE
21 SLEEVE GASTRECTOMIE - I - DIFFICULTES TECHNIQUES = ++ - RISQUES PERI-OPERATOIRES :. Mortalité : < 0,5 % - embolie - fistule. Morbidité: < 10 % - abcès - fistule gastrique - hémorragie J.P.M. RESULTATS COMPARES ANO GASTRO BP DIVERSION 12/O2
22 SLEEVE GASTRECTOMIE - III - EFFICACITE : - Perte d excès de poids : % à 1 an - Taux de succès : BMI < 50?? BMI > 50?? - Dépend du comportement alimentaire - Maintient à long terme :???? - EFFETS SUR LES COMORBIDITES - Fonction de la perte de poids J.P.M. RESULTATS COMPARES ANO GASTRO BP DIVERSION 12/O2
23 SLEEVE GASTRECTOMIE - IV - EFFETS SECONDAIRES DIGESTIFS : - Contrainte alimentaire modérée - Pas de vomissements - Pas d intolérance aux solides - Pas de dumping syndrome - CONSEQUENCES NUTRITIONNELLES : - Respect du circuit digestif - Pas de carences nutritionnelles J.P.M. RESULTATS COMPARES ANO GASTRO BP DIVERSION 12/O2
24 SLEEVE GASTRECTOMIE - V - COMPLICATIONS SECONDAIRES : - Ulcère marginal ( ligne d agrafe ) - Sténose gastrique - Dilatation gastrique - RGO - REVISIONS CHIRURGICALES :??? - Complications - Echecs ou reprise de poids J.P.M. RESULTATS COMPARES ANO GASTRO BP DIVERSION 12.02
25 SLEEVE GASTRECTOMIE - VI INDICATIONS: Chirurgie en un temps Chirurgie en deux temps» Obésités massives IMC > 60» Patients à risque +++
26 SLEEVE GASTRECTOMIE - VII Sleeve gastrectomie Perte de poids Insuffisante By-pass gastrique Diversion duodenale
27 BY-PASS GASTRIQUE PAR LAPAROSCOPIE ( ANSE EN Y )
28 BY-PASS GASTRIQUE LONG ( ANSE EN Y )
29 BY-PASS GASTRIQUE - I - DIFFICULTES TECHNIQUES = RISQUE PERI-OPERATOIRE : - Mortalité : 0,5-1 % - embolies - fistules - Morbidité : 10 % - Fistules ( 5 % ) - Hémorragies - Dilatation aiguë estomac exclu - Complications médicales J.P.M. RESULTATS COMPARES ANO GASTRO BP DIVERSION 12.02
30 BY-PASS GASTRIQUE - II - EFFICACITE :. Perte d excès de poids %. Taux de succès : BMI < % : BMI > %. Dépend moins du comportement alimentaire. Maintient à long terme souvent - EFFETS SUR LES COMORBIDITES :. Diabète: ( guérison 85% ) J.P.M. RESULTATS COMPARES ANO GASTRO BP DIVERSION 12/O2
31 BY-PASS GASTRIQUE - III - EFFETS SECONDAIRES DIGESTIFS :. Contrainte modérée (comme gastrectomie totale). Vomissements rares. Guérison RGO: +++ (analogue diversion duodénale). DUMPING SYNDROME 30 %. Intolérance au lactose J.P.M. RESULTATS COMPARES ANO GASTRO BP DIVERSION 12/O2
32 BY-PASS GASTRIQUE - IV - CONSEQUENCES NUTRITIONNELLES : - Exclusion Gastro-duodénal Carences potentielles :. CALCIUM. Vit B1 (Thiamine ) - Exclusion jéjunale proximale. FER, Folates. Vit B12 ( Fact intrinseque ) Carences potentielles :. Vit Hydrosolubles ( B1,B6 ). Protéines - Conséquence ; - Surveillance à vie - Supplémentation à vie J.P.M. RESULTATS COMPARES ANO GASTRO BP DIVERSION 12/O2
33 BY-PASS GASTRIQUE - V - COMPLICATIONS SECONDAIRES : - Sténose anastomose 5-10 % - Ulcère peptique 2-5 % - Occlusions % ( hernies internes ) - Fistule gastro gastrique < 1 % - REVISIONS CHIRURGICALES : ( 2-15 %) ) - Complications - Echecs par désagrafage ( technique ancienne ) - Reprise de poids secondaire ( Sweet eaters J.P.M. RESULTATS COMPARES ANO GASTRO BP DIVERSION 12/O2
34 DIVERSION BILIO-PANCREATIQUE AVEC GASTRECTOMIE DISTALE ( SCOPINARO )
35 DIVERSION BILIO-PANCREATIQUE AVEC GASTRECTOMIE PARIETALE ( DUODENAL SWITCH )
36 DIVERSION BILIO-PANCREATIQUE - I - DIFFICULTES TECHNIQUES : RISQUE PERI-OPERATOIRE : - Mortalité : 0,5 % - 2 % - Embolie - Fistule - Morbidité : 10 % - 15 % - Fistules ( 5 % ) - Hémorragie - Troubles vidange gastrique - Occlusions J.P.M. RESULTATS COMPARES ANO GASTRO BP DIVERSION 12/O2
37 DIVERSION BILIO-PANCREATIQUE - II - EFFICACITE :. Perte d excès de poids 73% - 90 %. Taux de succès : BMI > % : BMI < %. Indépendant du comportement alimentaire ++. Maintient à long terme toujours ++ - EFFETS SUR LES CORMORBIDITES :. Diabète ( 90 % guérison). Dyslipémie ( 90 % guérison) J.P.M. RESULTATS COMPARES ANO GASTRO BP DIVERSION 12/O2
38 DIVERSION BILIO-PANCREATIQUE - III - EFFETS SECONDAIRES DIGESTIFS :. Pas de contrainte alimentaire. Vomissements exceptionnels. Pas de DUMPING SYNDROME. Transit : 2-4 selles par jour. Selles malodorantes : 30 %. Distension abdominale douloureuse : 30 % J.P.M. RESULTATS COMPARES ANO GASTRO BP DIVERSION 12./O2
39 DIVERSION BILIO-PANCREATIQUE - IV CONSEQUENCES NUTRITIONNELLES : (1) 1 - Exclusion gastro-duodénale : ( carences potentielles ) - Fer : Anémie - Vit B12 - Calcium : Déminéralisation osseus - Folates 2 Exclusion du jéjunum : ( carences potentielles ) - Vitamines hydrosolubles - Vit B1, B6, troubles neurologiques: - Vit C J.P.M. RESULTATS COMPARES ANO GASTRO BP DIVERSION 12/O2
40 DIVERSION BILIO-PANCREATIQUE - V CONSEQUENCES NUTRITIONNELLES : (2) 3 Diversion bilio pancréatique : ( carences potentielles ) - Vitamines liposolubles : A D E K. Vit D : Déminéralisation osseuse. Vit A : troubles visuelles - Malnutrition protéique : 5 à 10 % Conséquences : Surveillance à vie Supplémentation à vie
41 DIVERSION BILIO-PANCREATIQUE - VII - COMPLICATIONS SECONDAIRES : - Ulcère peptique : 5-10 % (0 si switch) - Sténose : 1-2 % - Occlusion +++ : 2-4 % - Défaillance hépatique : 2/1000? - alcool - médicaments - REVISIONS CHIRURGICALES : ( 3 5 %) - Malnutrition protéique J.P.M. RESULTATS COMPARES ANO GASTRO BP DIVERSION 12/O2
42 CONCLUSIONS I METHODES RESTRICTIVES CLASSIQUES - Efficacité comparable - > 50 % d échecs chez les super-obèses - Maintien à long terme? - Risque opératoire mineur SLEEVE GASTRECTOMIE - Risque opératoire?? - Efficacité initiale supérieure aux techniques restrictives classique - Maintien à long terme?? - Interet pour la chirurgie en 2 temps METHODES RESTRICTIVES ET MALABSORPTIVES - Risque opératoire plus élevé - Meilleure efficacité - Maintien de la perte de poids - Risque de carences nutritionnelles J.P.M. RESULTATS COMPARES ANO GASTRO BP DIVERSION 12/O2
43 EXPECTED WEIGHT LOSS DS RYGB SLEEVE GASTRIC BANDING MORBIDITY-MORTALITY
44 CHIRURGIE DE L OBESITE Les plus gros et les plus malades sont ceux qui en bénéficient le plus mais ce sont également ceux chez qui le risque est le plus élevé Cela souligne l importance de l évaluation préopératoire et du choix d une intervention adaptée à chaque cas particulier
LA CHIRURGIE BARIATRIQUE Aspects techniques
LA CHIRURGIE BARIATRIQUE Aspects techniques Dr D.Nocca, Dr C. de Seguin de Hons,Dr V.Salsano, Dr PM.Blanc, Dr E.Deneve, Dr S.Faure, Dr R.Altwegg, Dr M.Veyrac, Dr P.Bauret, Dr JC Valats, Pr D.Larrey, V.Harivel,
Plus en détailGastric Bypass, Mini-Gastric Bypass et Sleeve Gastrectomy
Service de Chirurgie Viscérale Centre Hospitalier de Saint Malo Gastric Bypass, Mini-Gastric Bypass et Sleeve Gastrectomy Chère Patiente, Cher Patient, Vous devez être opéré(e) en raison de votre forte
Plus en détailChirurgie de l obésité. Ce qu il faut savoir avant de se décider!
Chirurgie de l obésité Ce qu il faut savoir avant de se décider! Consultez le site Internet de la HAS : www.has-sante.fr Vous y trouverez des informations complémentaires et des outils pour bien préparer
Plus en détailL Organisation mondiale de la Santé (OMS) définit le surpoids comme un IMC égal ou supérieur à 25 l obésité comme un IMC égal ou supérieur à 30
Introduction L obésité est une maladie susceptible d entraîner de multiples complications altérant la qualité et l espérance de vie des patients. Sa fréquence est en augmentation et elle constitue désormais
Plus en détailObésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition
Obésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition Emilie MONTASTIER, Carle PAUL Endocrinologie, Nutrition, Dermatologie Université Paul Sabatier, Hôpital Larrey UMR CNRS 5165,
Plus en détailschémas du by-pass gastrique pour obésité morbide
Femme de 58 ans, opérée d un by-pass gastrique 2 ans auparavant. Depuis 10jours, nausées et vomissements. Quels sont les éléments sémiologiques significatifs à retenir sur ls images scanographiques après
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailLA CHIRURGIE BARIATRIQUE ET LA GROSSESSE
Université d Angers, UFR des sciences Médicales, Ecole de Sages-Femmes René ROUCHY, Diplôme d Etat de Sage-Femme LA CHIRURGIE BARIATRIQUE ET LA GROSSESSE Etude rétrospective réalisée au CHU d Angers. Soutenue
Plus en détailLa chirurgie bariatrique est actuellement reconnue comme une procédure
REVUES GENERALES 25 A. SALLE Département d Endocrinologie, Diabétologie, Nutrition, CHU, ANGERS. La chirurgie bariatrique est actuellement le traitement de choix de l obésité morbide. Cette chirurgie n
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailMutuelle et Santé L OBÉSITÉ DE L ADULTE LA REVUE DE LA MTRL. Quelles solutions chirurgicales?
Mutuelle et Santé REVUE TRIMESTRIELLE D INFORMATION DE LA MTRL N 74 JUIN 2012 1 LA REVUE DE LA MTRL L OBÉSITÉ DE L ADULTE Quelles solutions chirurgicales? La Revue de la MTRL Mutuelle et Santé n 74 VIE
Plus en détailFCC 10. Prise en charge des complications de la. chirurgie de l obésité
Congrès de l Association Française de Chirurgie Paris du 30 septembre au 2 octobre 2009 Séance de Formation Chirurgicale Continue FCC 10 Prise en charge des complications de la chirurgie de l obésité Organisateur
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailChirurgie bariatrique : que doit savoir un pharmacien?
pharmacothérapie Chirurgie bariatrique : que doit savoir un pharmacien? Isabelle Giroux Résumé Objectifs : Revoir la littérature scientifique concernant les déficiences en vitamines et minéraux et les
Plus en détailFCC 8. Les perturbations endocriniennes après. chirurgie de l obésité
Congrès de l Association Française de Chirurgie Paris du 30 septembre au 2 octobre 2009 Séance de Formation Chirurgicale Continue FCC 8 Les perturbations endocriniennes après chirurgie de l obésité Organisateur
Plus en détailepm > nutrition Formation & Conseil
CATALOGUE FORMATIONS THEME : NUTRITION et SANTE Septembre 2011 Juin 2012 Journée Spéciale pour les Pharmaciens «Conseils Nutritionnels en Officine» Journées de Formation sur Paris «Nutrition de l Adulte»
Plus en détailInformation pour les patients dialysés qui prennent du chlorhydrate de sévélamer (RENAGEL)
Les autorités de santé de l Union Européenne ont assorti la mise sur le marché du médicament RENAGEL de certaines conditions. Le plan obligatoire de minimalisation des risques en Belgique, dont cette information
Plus en détailInformations sur la chirurgie de l obésité
Service de chirurgie digestive du CHR de la Citadelle Informations sur la chirurgie de l obésité Pour être en bonne santé, il faut manger sainement et bouger. La perte de poids suivra. La chirurgie n est
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailLE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE
LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE Le psoriasis est apparu longtemps comme une maladie de peau isolée mais des études épidémiologiques internationales ces dernières années ont
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailAprès chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse
Après chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse Généralités / Contexte La chirurgie bariatrique: pas de relation quantitative claire entre
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailTraitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées
BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des
Plus en détailda Vinci Pontage gastrique
da Vinci Pontage gastrique Une nouvelle approche de la chirurgie bariatrique Êtes-vous intéressé par la dernière option de traitement de l'obésité? Votre docteur peut vous proposer une nouvelle procédure
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailepm > nutrition Formation & Conseil
CATALOGUE FORMATIONS THEME : Nutrition et Santé Septembre 2014 Décembre 2015 Vous exercez déjà une profession ou souhaitez le faire et vous voulez vous former en Nutrition pour donner des Conseils en Nutrition,
Plus en détailSurpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours
Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours Septembre 2011 Pourquoi repérer l excès de poids? Que faire chez les sujets ayant un âge physiologique avancé? Quand diagnostiquer
Plus en détailAtelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale
Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement
Plus en détailSystème d anneau gastrique ajustable LAP-BAND AP avec la conception OmniForm. Directives d utilisation
Système d anneau gastrique ajustable LAP-BAND AP avec la conception OmniForm Directives d utilisation Système d anneau gastrique ajustable LAP-BAND AP avec la conception OmniForm TM DESCRIPTION Réf. B-2260
Plus en détailIMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES
DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailLA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE
LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE Une technique chirurgicale Pour vous, pour la vie Qu est-ce que la cholécystectomie? C est l intervention chirurgicale pratiquée pour enlever la vésicule biliaire.
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES DANS LE DIABETE DE TYPE 2. Docteur R.POTIER
ACTUALITES THERAPEUTIQUES DANS LE DIABETE DE TYPE 2 Docteur R.POTIER DEFINITION DU DIABETE soit : Syndrome polyuro-polydipsique + amaigrissement + 1 glycémie > 2g/L 2 glycémies à jeun > 1,26g/l 1 glycémie
Plus en détailet l utilisation des traitements biologiques
et l utilisation des traitements biologiques Choisir le meilleur traitement pour retrouver la qualité de vie que vous êtes en droit d avoir Les agents biologiques (biothérapies) Étant les plus récents
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailInformations sur le rivaroxaban (Xarelto md ) et l apixaban (Eliquis md )
Informations sur le rivaroxaban (Xarelto md ) et l apixaban (Eliquis md ) Préambule Ce document présente plusieurs informations utiles pour les prescripteurs afin de les aider lors de l utilisation du
Plus en détailPsoriasis et travail dans le BTP. Pr E. Delaporte
Psoriasis et travail dans le BTP Pr E. Delaporte 30 Mai 2013 Janvier 2013 : File active de 335 malades traités (293) ou ayant été traités (42) par immunosupp./ modulateurs (MTX CyA biomédicaments) 214
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailVers une approche managériale des tarifs T2A
Vers une approche managériale des tarifs T2A Contribution de CAHPP Consultant Juin 2013 Page 1 sur 35 SOMMAIRE SOMMAIRE... Page 2 PRÉAMBULE... Page 3 PARTIE I : MÉTHODOLOGIE... Page 5 PARTIE II : IMPACT
Plus en détailContrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques
Contrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques B. Dureuil, PG. Yavordios, A. Steib Collège Français des Anesthésistes Réanimateurs (Absence de conflits d intérêts sur le sujet)
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 19 octobre 2011
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 19 octobre 2011 PEDIAVEN AP-HP G15, solution pour perfusion 1000 ml de solution en poche bi-compartiment, boîte de 4 (CIP: 419 999-0) PEDIAVEN AP-HP G20, solution pour
Plus en détailPrise en charge du nouveau-né prématuré «attendu» atteint d un syndrome de Bartter
Prise en charge du nouveauné prématuré «attendu» atteint d un syndrome de Bartter Docteur JeanFrançois Magny Institut de Puériculture et de Périnatalogie Problématique double Prise en charge de la prématurité
Plus en détailPharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux
Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailSITUS INVERSUS ET MESENTERE COMMUN : A PROPOS D UN CAS REVELE PAR UNE INVAGINATION INTESTINALE AIGUE CHEZ UN GARÇON DE 15 ANS
SITUS INVERSUS ET MESENTERE COMMUN : A PROPOS D UN CAS REVELE PAR UNE INVAGINATION INTESTINALE AIGUE CHEZ UN GARÇON DE 15 ANS CHARDOT C., LECOEUR J., HABINEZA C., RUDAKUBANA C., HITIMANA L., HUSSEIN A.
Plus en détailTRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND
TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules
Plus en détailMieux informé sur la maladie de reflux
Information destinée aux patients Mieux informé sur la maladie de reflux Les médicaments à l arc-en-ciel Mise à jour de l'information: septembre 2013 «Maladie de reflux» Maladie de reflux La maladie de
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait
Plus en détailLe traitement en effet est, au début, une épreuve pour tout le monde : la malade d abord, les parents ensuite et même les thérapeutes.
Les troubles du comportement alimentaire (TCA) sont l expression d un mal-être et d un manque de confiance en soi. Anorexie et boulimie sont des maladies douloureuses et il faut du temps pour s en sortir.
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Service de Chirurgie orthopédique et Traumatologique Hôpital Beaujon 100, boulevard du général Leclerc 92110 CLICHY Accueil : 01 40 87 52 53 Consultation : 01 40 87 59 22 Feuillet d information complémentaire
Plus en détailChirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients?
HigHligHts 2012: CHiRURgiE Chirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients? Lukasz Filip Grochola a, Hubert John b, Thomas Hess c, Stefan Breitenstein d a Clinique de chirurgie
Plus en détailQue savoir sur la chirurgie de LA HERNIE DE LA LIGNE BLANCHE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE en hospitalisation AMBULATOIRE?
Que savoir sur la chirurgie de LA HERNIE DE LA LIGNE BLANCHE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE en hospitalisation AMBULATOIRE? VOUS ALLEZ ETRE OPERE(E) A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE D UNE CURE DE HERNIE DE LA LIGNE
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailOBESITE ET EPS. Cf www.sante.fr.(programme national, nutrition santé, courbe de corpulence)
OBESITE ET EPS DEFINITION L obésité se définit comme un excès de poids pouvant retentir sur la santé. La mesure générale acceptée de l obésité est l Indice de Masse Corporelle (IMC : poids en kg / taille
Plus en détailComprendre la MALADIE COELIAQUE
Comprendre la Qu est-ce que la maladie cœliaque? La maladie cœliaque est un trouble des intestins causé par une réaction à l ingestion de gluten, une protéine que l on retrouve dans le blé, le seigle et
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailRÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES
CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailVille : Province : Code postal : Date de naissance : jour mois année Date de naissance : jour mois année
Assurance médicale Choix du voyageur L assurance est souscrite auprès de la Compagnie d Assurance Générale CUMIS, l une des sociétés du Groupe Co-operators. Proposition d assurance page 1 2015-2016 Bureau
Plus en détailLe diabète en pédiatrie
Le diabète en pédiatrie Dre Isabelle Bouchard Pédiatre Clinique de diabète pédiatrique du CHUL Janvier 2012 Objectifs 1) Connaître les différences physiopathologiques entre le diabète type 1 et type 2
Plus en détailVous et votre traitement anticoagulant par AVK (antivitamine K)
Ce carnet a été réalisé sous la coordination de l Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps). Vous et votre traitement anticoagulant par AVK (antivitamine K) Carte à découper
Plus en détailSOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat
SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014 Psoriasis Rapport du Secrétariat 1. Le Conseil exécutif, à sa cent trente-troisième session,
Plus en détailSport et maladies métaboliques (obésité, diabète)
Sport et maladies métaboliques (obésité, diabète) Chef du service de médecine du sport, CHU de Clermont-Ferrand Monsieur Julien AUCOUTURIER Maître de conférences STAPS 60 % des diabétiques de type 2 sont
Plus en détailREMBOURSEMENTS DES MUTUALITES DES PRESTATIONS DU DIETETICIEN
REMBOURSEMENTS DES MUTUALITES DES PRESTATIONS DU DIETETICIEN En Belgique, chaque mutuelle est libre de choisir sa "politique de remboursement". Tout dépend donc de la mutualité à laquelle vous (votre patient)
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailEvaluer le risque fracturaire: l outil FRAX (Fracture Risk Assessment Tool)
Evaluer le risque fracturaire: l outil FRAX (Fracture Risk Assessment Tool) F. FLAISLER Service de Rhumatologie Groupe Hospitalo-Universitaire CAREMEAU, Nîmes OSTÉOPOROSE DEFINITION AFSSAPS «Maladie diffuse
Plus en détailMONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE. Dary Croft 9 mai 2013
MONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE Dary Croft 9 mai 2013 Plan Épidémiologie en chir. non-cardiaque Aspects techniques de l ECG Rappel critères ECG de l'ischémie Principe de monitoring per-op
Plus en détailORDONNANCE COLLECTIVE
ORDONNANCE COLLECTIVE Assurer le suivi des personnes recevant un Page 1 de 12 O.C. 6.5 Professionnels visés : Les infirmières qui possèdent la formation, les connaissances et les compétences nécessaires,
Plus en détailLA HERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l attention du patient LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée, il faudrait
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailL eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %
24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailEn considérant que l effet anticoagulant du dabigatran débute dans les 2 heures suivant la prise du médicament :
Informations sur le dabigatran (Pradaxa md ) Préambule : Ce document présente plusieurs informations utiles pour les prescripteurs afin de les aider lors de l utilisation du dabigatran (Pradaxa md ). L
Plus en détailLes maladies valvulaires
CENTRE CARDIO-THORACIQUE DE MONACO information du patient Les maladies valvulaires Maladies, diagnostic et traitements 1 Les maladies valvulaires ou valvulopathies Elles désignent l ensemble des maladies
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détail1 - Que faut-il retenir sur les anticoagulants oraux?
La nouvelle convention pharmaceutique offre l opportunité aux pharmaciens d accompagner les patients traités par anticoagulants oraux au long cours afin de prévenir les risques iatrogéniques. Les anticoagulants
Plus en détailGuide à l intention des patients et des familles. Le don d un rein. www.nshealth.ca
Guide à l intention des patients et des familles 2015 Le don d un rein www.nshealth.ca Le don d un rein Programme de transplantation rénale avec donneur vivant Il n y a jamais assez de dons de reins pour
Plus en détailLa maladie de Still de l adulte
La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée
Plus en détailURGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor
URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor Coup d envoi Définition de l urgence Fonction des personnes : Pour les patients : «ça ne va pas», «il n est pas comme d habitude», «il
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailIl importe de noter que ce guide émet des recommandations conformes aux informations scientifiques disponibles au moment de sa publication, soit au
Il importe de noter que ce guide émet des recommandations conformes aux informations scientifiques disponibles au moment de sa publication, soit au 15 août 2011. Toutefois, ces recommandations n ont aucunement
Plus en détailLE POINT TOX. N 7 - Juillet 2013. Bulletin du réseau de toxicovigilance de La Réunion L ÉVOLUTION TEMPORELLE DU NOMBRE D INTOXICATIONS
LE POINT TOX Bulletin du réseau de toxicovigilance de La Réunion N - Juillet 213 Dans ce bulletin d information, nous vous présentons l évolution temporelle du nombre d intoxications à la Réunion recensées
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailINTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE
INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE Informations générales pour la convalescence Pour vous, pour la vie Ce feuillet est destiné à mieux vous renseigner sur les points à observer après une opération
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 10 mars 2010
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 10 mars 2010 ARIXTRA 1,5 mg/0,3 ml, solution injectable en seringue pré-remplie - Boîte de 2 (CIP : 363 500-6) - Boîte de 7 (CIP : 363 501-2) - Boîte de 10 (CIP : 564
Plus en détailAu programme. Les blessures fréquentes chez les coureurs de fond
Au programme Les blessures fréquentes chez les coureurs de fond Club La Foulée 5 août 2004 Dre Mireille Belzile La lombo-sciatalgie Inflammation du périoste au site d insertion des muscles du mollet Erreur
Plus en détailGreffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner?
Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Malika Benkerrou Site de référence pédiatrique national sur la drépanocytose Hôpital Robert Debré, Paris 3èmes Journées de la Drépanocytose en Martinique
Plus en détailwww.programmeaccord.org
LA DOULEUR, JE M EN OCCUPE! NUTRITION ET DOULEUR CHRONIQUE CHRONIQUE De nos jours, l importance d adopter de saines habitudes alimentaires ne fait plus aucun doute. De plus, il est très facile d obtenir
Plus en détail