DES INÉGALITÉS DEVANT LES RISQUES. I - Études de cas comparées : Une catastrophe naturelle aux États-unis et en Haïti.

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "DES INÉGALITÉS DEVANT LES RISQUES. I - Études de cas comparées : Une catastrophe naturelle aux États-unis et en Haïti."

Transcription

1 G2 thème 3 DES INÉGALITÉS DEVANT LES RISQUES Quelles sont les inégalités face aux risques entre les pays développés et les pays pauvres? I - Études de cas comparées : Une catastrophe naturelle aux États-unis et en Haïti. * 3 parties à ces études de cas comparées. * Les questions ont été préparées au préalable durant les vacances. * Correction en classe 2h à l aide du diaporama (diapo n 1 à ) 1 - Quelle a été la violence de ces deux aléas d intensité élevée? Questions 1 à bilan des deux aléas, pages Comparaison de deux aléas d intensité voisine. Chaque aléa est analysé, l intensité des deux aléas est comparée, un tableau fait un bilan qui pourra être réinvesti à la fin de l étude (p. 267). Décrire chaque aléa naturel. 1. Doc 1. Quelle est la violence de Katrina lorsqu il arrive sur la Nouvelle-Orléans? L ouragan Katrina atteint la Nouvelle-Orléans avec une force de catégorie 3. 2.Doc 2.Quels sont les premiers signes de l arrivée de l ouragan à la Nouvelle-Orléans? L arrivée de l ouragan se traduit par des vents violents qui ont atteint plus de 200 km/h. 3.Doc 3 et 4. Quelle est l intensité du séisme à Port-au-Prince? Le séisme à Port-au-Prince a été de magnitude Doc 3. Comment ont été ressenties les secousses autour de l épicentre et à Port-au-Prince? Les secousses ont été très violentes autour de l épicentre et sévères à Port-au-Prince. Comparer l intensité des deux aléas. 5.Doc 1. et 3. Montrez que ces deux phénomènes naturels ont été très violents. Ces deux phénomènes ont été très violents car leur intensité fut proche de l intensité maximale. 6. Doc 1 et 4. Quelle était la densité de peuplement dans les deux zones touchées par l ouragan et le séisme? Les deux zones touchées par l ouragan et le séisme étaient densément peuplées.

2 ! Faire un bilan des deux aléas 7. Doc 1. à 4. À l aide des documents, reproduisez et complétez le tableau. 2 - Quels ont été les dégâts provoqués par chacune des deux catastrophes? Questions 1 à bilan des dégâts causés par les deux catastrophes, pages Comparaison des dégâts matériels et du nombre de victimes des catastrophes, un tableau fait un bilan qui pourra être réinvesti à la fin de l étude (p. 267).» Comparer les dégâts matériels 1. Doc 1 et 2. Décrivez La Nouvelle-Orléans après le passage de Katrina et la rupture des digues des canaux. La Nouvelle-Orléans est inondée. Certains quartiers sont sous plusieurs mètres d eau. 2. Doc 4,5,6. quels dégâts le séisme a-t-il causés aux habitations? De nombreuses habitations sont totalement détruites ou endommagées (plus de 40 % dans les quartiers du centre-ville). 3.Doc 5 et 6. Quels sont les autres bâtiments détruits ) Port-au-Prince? Des bâtiments publics sont également détruits ou endommagés. Comparer les bilans humains 4. Doc 3. Quel est le nombre de morts à la Nouvelle-Orléans? Le nombre de morts est supérieur à à la Nouvelle-Orléans. Les habitants les plus pauvres sont les plus nombreux parmi les victimes. 5. Doc 6. Combien de morts aurait fait le séisme d après les premières estimations? Le gouvernement haïtien redoute plus de morts.

3 ! 6. Doc 6. Quelles sont les difficultés rencontrées par les survivants du séisme qui a touché Port-au-Prince? À Port-au-Prince, les survivants du séisme n ont plus de logement, ils manquent de nourriture, d eau, de soins et de médicaments Faire un bilan des dégâts causés par les deux catastrophes. 7. Doc 1 à 6. Reproduisez et complétez le tableau avec les propositions suivantes : quartiers inondés; bâtiments officiels détruits ; 10 milliard de dollars ; nombreuses habitations détruites ; 100 milliards de dollars ; 1400 morts ; les pauvres sont les plus touchés ; morts ; manque d eau, de nourriture et de médicaments. 3 - Pourquoi y-a-t-il une vulnérabilité différente aux États-Unis et en Haïti? Questions 1 à Bilan de la vulnérabilité des deux pays. + 7 bilan final des études de cas pour préparer la leçon, pages Comparaison de la capacité des deux pays à réduire les risques, à apporter les secours aux victimes et à réparer les dégâts causés par la catastrophe. Un tableau fait un bilan des éléments essentiel de la double page. Il est suivi d un bilan global qui peut être réinvesti dans la leçon. Comparer la capacité des deux pays à réduire le risque. 1. Doc 1 et 3. comment les autorités américaines ont-elles limité le nombre de personnes menacées par Katrina? La population a été informée de l arrivé du cyclone et un plan d évacuation avait été mis en place par les autorités. 2.Doc 2 et 3. Quelles ont été les difficultés rencontrées par une partie de la population de La Nouvelle-Orléans? Une partie de la population (souvent les plus pauvres) n a pas pu quitter la ville avant le passage du cyclone et s est trouvée bloquée par les inondations. 3. Doc 4. Pourquoi y a-t-il eu beaucoup de victimes lors du séisme à Port-au-Prince? Lors du séisme, il y a eu beaucoup de victimes à Port-au-Prince car les bâtiments en béton n étaient pas construits pour y résister et des bidonvilles ont été emportés par les glissements de terrain.

4 ! Comparer la capacité des deux pays à faire face à la catastrophe. 4. Doc 2. Comment sont secourues les victimes de Katrina? Les victimes de Katrina sont secourues par l armée américaine. 5.Doc 5. Quels sont les besoins des rescapés du séisme à Port-au-Prince? Par qui sont-ils secourus? Les rescapés du séisme à Port-au-Prince ont besoin de nourriture, d eau, de médicaments, de soins. Ils sont secourus par des pays du monde entier. 6 Doc 1 à 5. Reproduisez et complétez le tableau avec les propositions suivantes : Plan d évacuation; rescapés très démunis,; population secourue par l armée du pays ; aide internationale indispensable ; pas de constructions parasismiques. 7. Faire un bilan final pour préparer la leçon. Pages 262 à 267. À l aide des trois premiers bilans, rédigez un petit texte qui compare : - le niveau de richesse aux États-Unis et en Haïti. - la violence de l aléa qui touche la Nouvelle-Orléans et Port-au-Prince. - les dégâts matériels et le nombre de victimes à La Nouvelle-Orléans et à Port-au-Prince. - les mesures de prévention et les secours apportés aux victimes à la Nouvelle-Orléans et à Port-au-Prince - Les États-Unis sont un pays très développé. À l inverse, la pauvreté est très grande à Haïti. - Les deux villes sont touchées par un aléa violent: d intensité 3/5 pour l ouragan à la Nouvelle- Orléans et 7/10 pour le séisme à Port-au-Prince. - Les victimes sont beaucoup plus nombreuses à Port-au-Prince, où des milliers de bâtiments, qui n étaient pas parasismiques, sont détruits. Cependant le coût des dégâts matériels est moins élevé à Haïti qu aux Etats-Unis, car les constructions sont moins coûteuses. Le nombre de victimes est limité à La Nouvelle-Orléans grâce à l information transmise à la population et au plan d évacuation. - Les États-Unis ont pris en charge les secours, tandis qu Haïti a eu besoin d une aide internationale. Cette situation est-elle la même partout?

5 I I - Les sociétés face aux risques Comment les sociétés font-elles face aux risques naturels? 1 - Les principaux risques naturels dans le monde. Quels sont les grands risques naturels dans le monde? Définir les notions suivantes (abordées dans l étude de cas comparée) : aléas, risque, catastrophe, vulnérabilité Fiche n 1 : Exercice n 1 Aléa, risque et catastrophe. À quel aléa est exposée cette région? Quel est le risque? Quels sont les effets de cet aléa? Pourquoi peut-on parler de vulnérabilité des populations? Réponses fiche Le cyclone est un aléa qui menace cette région. Le risque est la présence de population dans cette région. Les effets de cet aléa, sont les dégâts humains et matériels causés par un cyclone dans une région peuplée. Les populations sont vulnérables car fragiles face aux risques. face aux risques. Définitions à copier. - Un aléa : événement imprévisible à l origine d un risque. - Un risque naturel : un phénomène naturel représentant un danger pour les hommes. - Une catastrophe naturelle : une catastrophe causée par un risque naturel, provoquant victimes et destructions. - La vulnérabilité : C est la fragilité d un espace face aux risques, notamment par la présence d être humains. Fiche n 1 : Exercice n 2 : Les principaux risques naturels. Identifiez ces risques naturels Planisphère doc 3 p 269 : les zones les plus peuplées et les principaux risques naturels dans le monde. à compléter ORAL : Quelles sont les régions du monde qui sont le plus affectées par les risques naturels? Les régions de la zone intertropicale sont les zones qui cumulent de nombreux types de risques naturels. Bilan : Les aléas naturels sont climatiques, sismiques, ou volcaniques. Ils deviennent des risques naturels quand ils représentent un danger pour les hommes. Ils peuvent toucher tous les espaces de la planète, mais la zone intertropicale est la plus exposée du fait de la variété des risques et de la fréquence des risques climatiques (cyclones, tornades, inondations) en particulier. Il existe donc une inégalité des populations face aux aléas. 2 - Les risques technologiques diapo n 35/37 Il existe aussi des risques autres que les risques naturels. En effet, les sociétés génèrent aussi des risques technologiques en transportant, stockant et utilisant des produits toxiques ou dangereux, ce qui peut occasionner des explosions d usines ( ex: l explosion de l usine AZF à Toulouse, France en 2001.), des pollutions aux gaz toxiques, des accidents de transports de produits dangereux ( Vidauban, Var, années 80 ), les accidents dans les centrales nucléaires (Tchernobyl en Russie, 26 avril 1986 ). Ces risques se produisent principalement dans les pays industrialisés Définition : Risques technologiques : risque lié au mauvais fonctionnement d une industrie ou au transport de produits dangereux.

6 III - Les inégalités devant les risques Existe-t-il des liens entre risques, répartition de la population et IDH? 1 - Risques et répartition Planisphère à étudier dans le livre les foyers de population dans le monde» p 222 Nous constatons que : - les êtres humains sont de plus en plus victimes des catastrophes naturelles. - elles font de plus en plus de destructions dans le monde. Pourquoi? il existe une forte croissance démographique des populations qui installées dans les zones à risques comme sur les littoraux ou dans les vallées inondables, très exposées aux risques. 2 - Risques et richesse Planisphère les inégalités de développement en 2009 et les conséquences des catastrophes. Nous constatons que tous les pays, quel que soit le niveau de développement, peuvent être touchés par des aléas naturels, mais il y a plus de victimes dans les pays pauvres et des dégâts matériels plus importants dans les pays riches. Nous pouvons dire que face à des risques naturels de même ampleur, les pays pauvres sont plus vulnérables que les pays développés car le nombre de victimes est plus élevé et les destructions plus nombreuses. Il existe donc une inégalité des dommages causés par les catastrophe. 3. Pourquoi ces inégalités? Les sociétés sont inégales face aux risques car les mesures de prévention et les moyens d observation des risques sont coûteux et que la gestion de la catastrophe dépend du niveau de développement. ainsi selon la richesses d un état les moyens d évacuation ou de secours diffèrent selon les pays, avec une plus ou moins grande efficacité. Par ailleurs, les pays pauvres se trouvent dans les zones à risques et sont donc soumis à des catastrophes fréquentes. Les risques peuvent aussi être aggravés par l action des hommes. Il faut donc tenir compte des aléas naturels avant de réaliser des aménagements. Il existe aujourd hui une coopération internationale pour limiter les risques : partage des techniques, surveillance et aide d urgence. C est la Prévention : ensemble des moyens permettant de limiter les conséquences d une future et éventuelle catastrophe. Evaluation : SAVOIR * Mobiliser des connaissances : -Définir et réemployer les mots de vocabulaire abordés : risque, catastrophe, vulnérabilité et prévention. -Définir ce que sont les aléas naturels et technologiques. -Localiser (planisphère leçon II.1) et nommer les différents types de risques naturels.

7 * Utiliser des capacités : -Décrire une catastrophe naturelle et ses conséquences. -Expliquer la différence entre les conséquences d une catastrophe entre un pays du Nord et un pays du Sud. -Expliquer pourquoi les pays pauvres sont plus fragiles (schéma) -Montrer que l action de l homme peut réduire ou aggraver les risques. -Chercher des informations dans un document. Evaluation couplée avec la leçon d EDC sur les risques

Information de l acquéreur ou du locataire. Obligations du vendeur ou du bailleur

Information de l acquéreur ou du locataire. Obligations du vendeur ou du bailleur Information de l acquéreur ou du locataire Obligations du vendeur ou du bailleur Introduction La loi du 30 juillet 2003 relative à la prévention des risques technologiques et naturels et à la réparation

Plus en détail

1. Titre du contrat. (si les travaux de montage se font en plusieurs tranches, indiquer quelle est la tranche ou les tranches à assurer)

1. Titre du contrat. (si les travaux de montage se font en plusieurs tranches, indiquer quelle est la tranche ou les tranches à assurer) FORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE ASSURANCE TOUS RISQUES MONTAGE - ESSAI 1. Titre du contrat (si les travaux de montage se font en plusieurs tranches, indiquer quelle est la tranche ou les tranches à

Plus en détail

Qui sont les migrants? Question 1. Qui sont les migrants?

Qui sont les migrants? Question 1. Qui sont les migrants? Question 1 Qu est-ce qu un immigré? Qu est-ce qu un réfugié? Question 3 Quel est le nombre de personnes qui quittent leur pays pour des raisons climatiques? -30 millions -1 million -250 millions Question

Plus en détail

Thématiques Questions possibles berufsfeld/fach

Thématiques Questions possibles berufsfeld/fach LEARNING FOR THE PLANET Liste des sujets Vous cherchez une inspiration pour votre sujet Vous pouvez lire la liste ci-dessous et voir quel thème éveille votre intérêt. Examinez les questions correspondantes.

Plus en détail

Mission des sociétés d assurances pour la connaissance et la prévention des risques naturels www.mrn-gpsa.org

Mission des sociétés d assurances pour la connaissance et la prévention des risques naturels www.mrn-gpsa.org Une association créée en 2000 entre : Mission des sociétés d assurances pour la connaissance et la prévention des risques naturels www.mrn-gpsa.org Le régime des catastrophes naturelles et technologiques

Plus en détail

III. Comment les nazis ont-ils organisé ces deux génocides?

III. Comment les nazis ont-ils organisé ces deux génocides? III. Comment les nazis ont-ils organisé ces deux génocides? Dans les régions occupées par l URSS, des divisions SS les Einsatzgruppen) massacrent systématiquement les Juifs à partir de 1941. Ils sont gazés

Plus en détail

QUESTIONNAIRE DE PRE-AUDIT. Rubrique n 1 : Présentation de l entreprise

QUESTIONNAIRE DE PRE-AUDIT. Rubrique n 1 : Présentation de l entreprise QUESTIONNAIRE DE PRE-AUDIT MISE A NIVEAU DE L ENTREPRISE PAR LE GENIE INDUSTRIEL Pré-audit réalisé le... Rédacteur(s). Rubrique n 1 : Présentation de l entreprise Renseignements généraux - Identité de

Plus en détail

TNS. BFM LE GRAND JOURNAL Le 14/01/2010 20:17:51 Invité : Thierry VANDEVELDE, fondateur VEOLIA FORCE

TNS. BFM LE GRAND JOURNAL Le 14/01/2010 20:17:51 Invité : Thierry VANDEVELDE, fondateur VEOLIA FORCE 15/01/10-08:01 - Page 1/3 Ref. Doc. : 2500-4318690-8 A : Service de presse / VEOLIA ENVIRONNEMENT Mot-Clé : VEOLIA BFM LE GRAND JOURNAL Le 14/01/2010 20:17:51 Invité : Thierry VANDEVELDE, fondateur VEOLIA

Plus en détail

État des RISQUES Naturels et Technologiques

État des RISQUES Naturels et Technologiques État des RISQUES Naturels et Technologiques Pays Basque : Résidence PHAROS 7 Bis, Rue du Pont de l Aveugle 64600 ANGLET Tél : 05.59.52.20.93 Fax : 05.59.42.05.65 Page 1 / 10 Art. L. 125-5 I du Code de

Plus en détail

Assurance et prévention des catastrophes naturelles et technologiques

Assurance et prévention des catastrophes naturelles et technologiques Assurance et prévention des catastrophes naturelles et technologiques Céline Grislain-Letrémy Résumé long - Thèse en sciences économiques sous la direction de Bertrand Villeneuve L objet de cette thèse

Plus en détail

DOSSIER DE DIAGNOSTIC TECHNIQUE

DOSSIER DE DIAGNOSTIC TECHNIQUE Dossier n 2011-02-120 Date : 21/02/2011 Propriétaire : STE BPM IMMOBILIER MR Patrick BEAUCHAMP SARL CERTIFICATIONS LUCOISES QUARTIER TAURELLES 83340 LE CANNET DES MAURES Tel : 04.94.609.295 - Fax : 04.94.734.050

Plus en détail

Etat des risques naturels et technologiques

Etat des risques naturels et technologiques Etat des risques naturels et technologiques En application des articles L125-5 et R125-26 du code de l'environnement. Commande n 3505 Date de réalisation : 23 septembre 2011 (Valable 6 mois) Mode COMMANDE

Plus en détail

Préparer votre famille à une situation d urgence Notes de l animateur

Préparer votre famille à une situation d urgence Notes de l animateur Diapositive 1 Préparer votre famille à une situation d urgence Notes de l animateur L animateur se présente; ensuite, il présente le thème ainsi que les membres du groupe. Diapositive 2 Après les présentations,

Plus en détail

DISPOSITIF FEMMES EN TRES GRAND DANGER BILAN D UNE ANNÉE D EXPÉRIMENTATION

DISPOSITIF FEMMES EN TRES GRAND DANGER BILAN D UNE ANNÉE D EXPÉRIMENTATION DISPOSITIF FEMMES EN TRES GRAND DANGER BILAN D UNE ANNÉE D EXPÉRIMENTATION 30 téléphones portables disponibles 27 femmes ont été admises au dispositif. Le bénéfice du TGD pendant une durée de 6 mois a

Plus en détail

Fiche Produit. Assurance AUTO

Fiche Produit. Assurance AUTO Fiche Produit Assurance AUTO Avec Toutpratique-assurances, l assurance auto devient plus simple. Notre rôle est de vous proposer un contrat avec toutes les garanties dont vous avez besoin pour rouler en

Plus en détail

CONGRES MONDIAL 2010 PARIS. Thème proposé par le groupe français. L assurance obligatoire Mythes et réalités juridiques et économiques

CONGRES MONDIAL 2010 PARIS. Thème proposé par le groupe français. L assurance obligatoire Mythes et réalités juridiques et économiques CONGRES MONDIAL 2010 PARIS Thème proposé par le groupe français L assurance obligatoire Mythes et réalités juridiques et économiques Jérôme Kullmann Président de l AIDA-France Vice-Président de l AIDA

Plus en détail

Questionnaire de vérification pour l implantation de la norme ISO 14001 dans une entreprise

Questionnaire de vérification pour l implantation de la norme ISO 14001 dans une entreprise Questionnaire de vérification pour l implantation de la norme ISO 14001 dans une entreprise Questionnaire de vérification pour l implantation de la norme ISO 14001 dans une entreprise La politique environnementale

Plus en détail

Mettre en œuvre son Plan de Gestion de Crise

Mettre en œuvre son Plan de Gestion de Crise GUIDE ADENIUM BUSINESS CONTINUITY 2015 Mettre en œuvre son Plan de Gestion de Crise Adenium SAS www.adenium.fr +33 (0)1 40 33 76 88 adenium@adenium.fr Sommaire Introduction... 3 Définitions et concepts...

Plus en détail

Bilan décennal des catastrophes naturelles en France

Bilan décennal des catastrophes naturelles en France Bilan décennal des catastrophes naturelles en France SOMMAIRE BILAN DÉCENNAL EN TERMES DE NOMBRE ET DE TYPE DE CATASTROPHES NATURELLES BILAN EN TERME DE VICTIMES.. 2 5 BILAN DÉCENNAL EN TERMES ÉCONOMIQUES

Plus en détail

Questionnaire Lycée SALLE DES EAUX DU MONDE

Questionnaire Lycée SALLE DES EAUX DU MONDE Questionnaire Lycée Ce musée vous offre une approche de l Eau dans toute sa grandeur. A vous de faire connaissance avec cet élément naturel. 1) Origine de l eau SALLE DES EAUX DU MONDE Vous vous aiderez

Plus en détail

6. Assurance automobile et assurance multirisques habitation : une année riche en actualité

6. Assurance automobile et assurance multirisques habitation : une année riche en actualité 6. Assurance automobile et assurance multirisques habitation : une année riche en actualité Comité consultatif du secteur financier Rapport 2010-2011 77 Au cours des années 2010 et 2011, le CCSF a porté

Plus en détail

GESTION DES RISQUES Méthode d optimisation globale

GESTION DES RISQUES Méthode d optimisation globale Bernard Barthélemy et Philippe Courrèges GESTION DES RISQUES Méthode d optimisation globale Deuxième édition augmentée, 2000, 2004 ISBN : 2-7081-3041-2 SOMMAIRE SOMMAIRE Introduction.....................................................

Plus en détail

Sommaire de la séquence 5

Sommaire de la séquence 5 Sommaire de la séquence 5 t t t t Education civique : La sécurité et les risques majeurs Séance 1 L île de la Réunion et le cyclone Dina Séance 2 Identifier et connaître les risques majeurs Séance 3 Prévention

Plus en détail

Qu est-ce que l adaptation au changement climatique?

Qu est-ce que l adaptation au changement climatique? Note de position de CARE sur le changement climatique Qu est-ce que l adaptation au changement climatique? Le changement climatique représente une menace sans précédent pour les populations des pays en

Plus en détail

«Une heure pour savoir»

«Une heure pour savoir» PLAN CYCLONE. ORGANISATION DÉPARTEMENTALE ET ZONALE DE LA GESTION DE CRISE «Une heure pour savoir» LE 8 JUILLET 2011 E.FONTANILLE/ J. VINCENT Les CYCLONES aux ANTILLES Depuis 1986 le Cyclone (en Grec Dieu

Plus en détail

DANS QUELLE MESURE LA CROISSANCE ECONOMIQUE PERMET-ELLE LE DEVELOPPEMENT?

DANS QUELLE MESURE LA CROISSANCE ECONOMIQUE PERMET-ELLE LE DEVELOPPEMENT? DANS QUELLE MESURE LA CROISSANCE ECONOMIQUE PERMET-ELLE LE DEVELOPPEMENT? Notions Celles que vous devez déjà connaître : Liste page 12 du manuel : si vous ne les connaissez pas, il faut reprendre vos cours

Plus en détail

Travailler avec le site INA Rhône-Alpes ou l intérêt d une approche locale

Travailler avec le site INA Rhône-Alpes ou l intérêt d une approche locale ACADEMIE DE GRENOBLE Géographie Programme de Troisième, partie II, thème 1 LES ESPACES PRODUCTIFS Travailler avec le site INA Rhône-Alpes ou l intérêt d une approche locale alexandre.bouineau@ac-grenoble.fr

Plus en détail

SITUATION GENERALE Description du phénomène

SITUATION GENERALE Description du phénomène BULLETIN N 007 REPOBLIKAN I MADAGASIKARA Fitiavana Tanindrazana Fandrosoana ------------------- MINISTERE DE L INTERIEUR ------------------ BUREAU NATIONAL DE GESTION DES RISQUES ET DES CATASTROPHES -----------------

Plus en détail

Le réchauffement climatique, c'est quoi?

Le réchauffement climatique, c'est quoi? LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE Le réchauffement climatique, c'est quoi? Le réchauffement climatique est l augmentation de la température moyenne à la surface de la planète. Il est dû aux g az à effet de serre

Plus en détail

Présentation au Comité permanent des finances de la Chambre des communes Mémoire prébudgétaire 2015 31 juillet 2014

Présentation au Comité permanent des finances de la Chambre des communes Mémoire prébudgétaire 2015 31 juillet 2014 Présentation au Comité permanent des finances de la Chambre des communes Mémoire prébudgétaire 2015 31 juillet 2014 Ingénieurs Canada 1100-180, rue Elgin Ottawa (Ontario) K2P 2K3 Au sujet d Ingénieurs

Plus en détail

Spécimen de formulaire : Plan de préparation aux situations d urgence de La ferme

Spécimen de formulaire : Plan de préparation aux situations d urgence de La ferme Extrait tiré du Plan de SécuriFerme Canada Spécimen de formulaire : Plan de préparation aux situations d urgence de La ferme Les personnes suivantes sont formées et actualisées dans le travail d intervention

Plus en détail

Tiken Jah Fakoly : Je dis non!

Tiken Jah Fakoly : Je dis non! Tiken Jah Fakoly : Je dis non! Paroles et musique : Tiken Jah Fakoly / Tiken Jah Fakoly Barclay / Universal Music Thèmes L Afrique et ses problèmes. Objectifs Objectifs communicatifs : Repérer les rimes

Plus en détail

REGISTRE DE LA MÉMOIRE DU MONDE. Journal d Anne Frank

REGISTRE DE LA MÉMOIRE DU MONDE. Journal d Anne Frank REGISTRE DE LA MÉMOIRE DU MONDE Journal d Anne Frank Réf. N 2008-42 PARTIE A - INFORMATIONS ESSENTIELLES 1. RÉSUMÉ Le Journal d Anne Frank porte l attention du monde entier l histoire de cette jeune fille.

Plus en détail

ASSURANCES DES COLLECTIVITES LOCALES

ASSURANCES DES COLLECTIVITES LOCALES ANNEXE N 1 ASSURANCES DES COLLECTIVITES LOCALES DETERMINATION ET EXPRESSION DES BESOINS Ce document est un outil d aide à la détermination et à l expression des besoins d assurances. SOMMAIRE : I Renseignements

Plus en détail

Inégalités sociales de santé et accès aux soins. Inégalités sociales de santé et protection sociale 2006-07 Psychomot 1 UPMC/VHF

Inégalités sociales de santé et accès aux soins. Inégalités sociales de santé et protection sociale 2006-07 Psychomot 1 UPMC/VHF Inégalités sociales de santé et accès aux soins INEGALITES SOCIALES DE SANTE Définition : Inégalités/ sociales /de santé Inégalités face à la mort Comparaisons européennes Les maladies inégalitaires Inégalités

Plus en détail

WEB et Industries de Santé Industrie Pharmaceutique, Dispositifs Médicaux, Imagerie, Diagnostic in vitro et Matériel Médical

WEB et Industries de Santé Industrie Pharmaceutique, Dispositifs Médicaux, Imagerie, Diagnostic in vitro et Matériel Médical WEB et Industries de Santé Industrie Pharmaceutique, Dispositifs Médicaux, Imagerie, Diagnostic in vitro et Matériel Médical Votre activité est spécifique et vous cherchez des réponses concrètes Stratégie

Plus en détail

Sondage sur le climat. scolaire. Guide d utilisation à l attention des administratrices et des administrateurs

Sondage sur le climat. scolaire. Guide d utilisation à l attention des administratrices et des administrateurs Sondage sur le climat scolaire Guide d utilisation à l attention des administratrices et des administrateurs SONDAGE EN LIGNE Table des matières Introduction...2 Instructions étape par étape à l intention

Plus en détail

Etat des risques naturels, miniers et technologiques

Etat des risques naturels, miniers et technologiques Etat des risques naturels, miniers et technologiques En application des articles L125-5 et R125-26 du code de l'environnement. Référence : 15/IMO/0204 Date de réalisation : 16 avril 2015 (Valable 6 mois)

Plus en détail

Questionnaire à transmettre aux employés de la commune. Communication interne. I ) Relations interservices.

Questionnaire à transmettre aux employés de la commune. Communication interne. I ) Relations interservices. Questionnaire sur la communication interne Mairie de Pont de l Arche. Questionnaire à transmettre aux employés de la commune. Communication interne Dénomination du service : Domaine d intervention : I

Plus en détail

SECTION 5. Élaboration d un plan de sécurité. Sachez où aller et quoi faire si vous êtes victime de mauvais traitements. Un guide pour les aînés

SECTION 5. Élaboration d un plan de sécurité. Sachez où aller et quoi faire si vous êtes victime de mauvais traitements. Un guide pour les aînés SECTION 5. Élaboration d un plan de sécurité Sachez où aller et quoi faire si vous êtes victime de mauvais traitements Un guide pour les aînés 43 SECTION 5. Élaboration d un plan de sécurité Les violences

Plus en détail

EVALUATION DE LA COMMUNICATION DES BÉNÉFICIAIRES

EVALUATION DE LA COMMUNICATION DES BÉNÉFICIAIRES Fédération Internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge EVALUATION DE LA COMMUNICATION DES BÉNÉFICIAIRES Résumé Executif / Haiti / 2011 Avant-propos d Eduard Tschan, directeur de

Plus en détail

RISQUES NATURELS ET TECHNOLOGIQUES FORMATION A LA REALISATION DES DOSSIERS D INFORMATION REGLEMENTAIRE DES ACQUEREURS ET LOCATAIRES

RISQUES NATURELS ET TECHNOLOGIQUES FORMATION A LA REALISATION DES DOSSIERS D INFORMATION REGLEMENTAIRE DES ACQUEREURS ET LOCATAIRES RISQUES NATURELS ET TECHNOLOGIQUES FORMATION A LA REALISATION DES DOSSIERS D INFORMATION REGLEMENTAIRE DES ACQUEREURS ET LOCATAIRES SOMMAIRE MODALITES DES FORMATIONS...3 Modalités pratiques...3 Modalités

Plus en détail

Assurance & Réassurance des risques de Catastrophes Naturelles L EXPERIENCE ALGERIENNE. Par Mr. Abdelmadjid OULMANE Chargé Des CAT NAT

Assurance & Réassurance des risques de Catastrophes Naturelles L EXPERIENCE ALGERIENNE. Par Mr. Abdelmadjid OULMANE Chargé Des CAT NAT Assurance & Réassurance des risques de Catastrophes Naturelles Par Mr. Abdelmadjid OULMANE Chargé Des CAT NAT L EXPERIENCE NNE Àla Compagnie Centrale de Réassurance -Algérie ALGERI E I- Brève présentation

Plus en détail

S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée

S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée Rapport de situation 2013 RÉSUMÉ L UNICEF s est engagé à publier des rapports annuels de situation relatifs à la survie de l enfant en soutien

Plus en détail

Activité 45 : La responsabilité de l Homme sur son environnement géologique

Activité 45 : La responsabilité de l Homme sur son environnement géologique 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie : Géologie externe, évolution des paysages (16 heures) Notions. contenus Compétences Exemples d activités L procure à l Homme des ressources. [Thèmes : Environnement,

Plus en détail

Qu est ce qu un gaz comprimé?

Qu est ce qu un gaz comprimé? Qu est ce qu un gaz comprimé? Il existe plusieurs produits à base de gaz ou de mélanges de gaz sous pression conservés dans des bouteilles 1. La plupart de ces gaz sont classés dans la catégorie des «gaz

Plus en détail

Information sur l Assurance CAMPING-CAR

Information sur l Assurance CAMPING-CAR Information sur l Assurance CAMPING-CAR Avec Assurances France-Loisirs, l assurance Camping-Car devient plus simple. Notre rôle est de vous proposer un contrat avec toutes les garanties dont vous avez

Plus en détail

L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN 2003 : UNE ANALYSE TERRITORIALISÉE DES PROFILS D OCCUPATION DES PARCS ET DES QUARTIERS

L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN 2003 : UNE ANALYSE TERRITORIALISÉE DES PROFILS D OCCUPATION DES PARCS ET DES QUARTIERS ATELIER PARISIEN D URBANISME - 17, BD MORLAND 75004 PARIS TÉL : 01 42 71 28 14 FAX : 01 42 76 24 05 http://www.apur.org Observatoire de l'habitat de Paris L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN

Plus en détail

Etat des Risques Naturels et Technologiques

Etat des Risques Naturels et Technologiques Etat des Risques Naturels et Technologiques Articles L 125-5 et R 125-26 du code de l environnement 1. Cet état des risques est établi sur la base des informations mises à disposition par arrêté préfectoral

Plus en détail

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin

Plus en détail

S initier aux probabilités simples «Un jeu de cartes inédit»

S initier aux probabilités simples «Un jeu de cartes inédit» «Un jeu de cartes inédit» 29-31 Niveau 3 Entraînement 1 Objectifs S entraîner à estimer une probabilité par déduction. Applications (exemples) En classe : tout ce qui réclame une lecture attentive d une

Plus en détail

THEME : CLES DE CONTROLE. Division euclidienne

THEME : CLES DE CONTROLE. Division euclidienne THEME : CLES DE CONTROLE Division euclidienne Soit à diviser 12 par 3. Nous pouvons écrire : 12 12 : 3 = 4 ou 12 3 = 4 ou = 4 3 Si par contre, il est demandé de calculer le quotient de 12 par 7, la division

Plus en détail

modèle d atelier de LECTURE-ÉCRITURE

modèle d atelier de LECTURE-ÉCRITURE modèle d atelier de LECTURE-ÉCRITURE à partir du tableau SIMDUT et des fiches signalétiques Les commissions scolaires, les experts de la formation en entreprise. Durée : 3 heures Les étapes de l atelier

Plus en détail

Les principaux thèmes liés à cette cause sont :

Les principaux thèmes liés à cette cause sont : S engager pour l environnement Les hommes sont dépendants de leur environnement : c est leur lieu de vie. C est pourquoi lutter contre la pollution et le gaspillage est important. La défense de l environnement,

Plus en détail

Bienvenue auprès de l Assurance immobilière Berne (AIB) Entreprise

Bienvenue auprès de l Assurance immobilière Berne (AIB) Entreprise Bienvenue auprès de l Assurance immobilière Berne (AIB) Entreprise Nous assurons ce que vous avez construit sans pourquoi ni comment. Ainsi, l ensemble des propriétaires immobiliers des environ 400 000

Plus en détail

CONVENTIONS SPECIALES ANNULATION. 2) SINISTRE La réalisation de l événement susceptible de mettre en jeu la garantie de l assureur.

CONVENTIONS SPECIALES ANNULATION. 2) SINISTRE La réalisation de l événement susceptible de mettre en jeu la garantie de l assureur. CONVENTIONS SPECIALES ANNULATION A- DEFINITIONS 1) AUTORITE MEDICALE Toute personne titulaire, à la connaissance de l assuré, d un diplôme de médecin ou de chirurgien en état de validité dans le pays où

Plus en détail

1 ère partie - Avant la libération, le contexte historique

1 ère partie - Avant la libération, le contexte historique A l'est - En janvier 1944, débute l'offensive soviétique qui entraîne la retraite de la Wehrmarcht de ses alliés. En juillet 1944, l'armée rouge, désormais supérieure en effectifs et en armements, pénètre

Plus en détail

Concours citoyen international «Agite Ta Terre!»

Concours citoyen international «Agite Ta Terre!» Concours citoyen international «Agite Ta Terre!» «Mon climat aujourd hui, mon climat dans 20 ans, et moi?» Qu est-ce que «Agite Ta Terre!»? Lancée en 2012 par l association ENERGIES 2050, l initiative

Plus en détail

alarme incendie (feu non maîtrisable)

alarme incendie (feu non maîtrisable) INCIDENT N 1 alarme incendie (feu non maîtrisable) Vérification des matériels et systèmes de à disposition au - système de détection incendie (test lampe, signal sonore) - centrale d alarme intrusion(état

Plus en détail

AVANT-PROPOS CREATIVITE, FEMMES ET DEVELOPPEMENT L'EXEMPLE QUI VIENT DES AUTRES...

AVANT-PROPOS CREATIVITE, FEMMES ET DEVELOPPEMENT L'EXEMPLE QUI VIENT DES AUTRES... AVANT-PROPOS CREATIVITE, FEMMES ET DEVELOPPEMENT L'EXEMPLE QUI VIENT DES AUTRES... Tellement à la mode depuis quelques années, le mot de créativité est peut-être déjà démodé. La publicité, la médiatisation,

Plus en détail

APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE. 3. Elaboration des recommandations de pratique. 4. Diffusion au personnel des recommandations.

APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE. 3. Elaboration des recommandations de pratique. 4. Diffusion au personnel des recommandations. PROCESSUS D ASSURANCE QUALITE MIS EN ŒUVRE APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE 1. Identification des circonstances déclenchantes de l acte de maltraitance. 2. Définition des objectifs correctifs. 3. Elaboration

Plus en détail

Titre : POLITIQUE AFIN DE CONTRER LE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE OU TOUTE AUTRE FORME DE VIOLENCE EN MILIEU DE TRAVAIL

Titre : POLITIQUE AFIN DE CONTRER LE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE OU TOUTE AUTRE FORME DE VIOLENCE EN MILIEU DE TRAVAIL Titre : POLITIQUE AFIN DE CONTRER LE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE OU TOUTE AUTRE FORME DE VIOLENCE EN MILIEU DE TRAVAIL Numéro : 1. Objet général La présente politique vise à établir les règles applicables

Plus en détail

PRODUCTION DE L ENERGIE ELECTRIQUE

PRODUCTION DE L ENERGIE ELECTRIQUE PRODUCTION DE L ENERGIE ELECTRIQUE Fiche Élève i Objectifs Connaître le principe de production de l électricité par une génératrice de vélo. Savoir quelle est la partie commune à toutes les centrales électriques.

Plus en détail

DOSSIER DE PRESENTATION

DOSSIER DE PRESENTATION N DOSSIER. 19 rue de Metz BP 50006 54150 BRIEY DOSSIER DE PRESENTATION (Nom de la personne ou de la structure et intitulé du projet) SOMMAIRE 1. PRESENTATION DU OU DES PORTEURS DE PROJET... 2 2. PRESENTATION

Plus en détail

BILAN D ACTIVITE DU PÔLE DE SOUTIEN PSYCHOLOGIQUE Année 2010

BILAN D ACTIVITE DU PÔLE DE SOUTIEN PSYCHOLOGIQUE Année 2010 Formation préventive et accompagnement psychologique des agents 51 11 46 / 01 53 33 11 46 victimologie@sncf.fr BILAN D ACTIVITE DU PÔLE DE SOUTIEN PSYCHOLOGIQUE Année 2010 Permanence Téléphonique Prise

Plus en détail

ENQUETE ACCES AUX SOINS

ENQUETE ACCES AUX SOINS ENQUETE ACCES AUX SOINS Attention!! Cette liste des questions posées dans l enquête est présentée à titre d information : la saisie doit se faire en ligne sur le site de l UNCCAS (www.unccas.org) PAGE

Plus en détail

La Fondation Schneider Electric reçoit l Oscar ADMICAL du Mécénat d entreprise 2011

La Fondation Schneider Electric reçoit l Oscar ADMICAL du Mécénat d entreprise 2011 Dossier de presse 09 mai 2011 La Fondation Schneider Electric reçoit l Oscar ADMICAL du Mécénat d entreprise 2011 Communiqué de Presse La Fondation Schneider Electric reçoit l Oscar ADMICAL du Mécénat

Plus en détail

Animer un débriefing

Animer un débriefing Animer un débriefing Introduction Dans une démarche de retour d expérience, le processus mis en place par l organisation est important. Le débriefing peut être parfois négligé alors qu il est un moment

Plus en détail

MATHÉMATIQUES APPLIQUÉES S4 Exercices

MATHÉMATIQUES APPLIQUÉES S4 Exercices Unité D Probabilité Exercice 1 : Chemins 1. Aline habite la maison illustrée ci-dessous. Le diagramme illustre les murs et les portes. a) Combien existe-t-il de chemins possibles entre la pièce A et la

Plus en détail

Thèmes et situations : Renseignements et orientation. Fiche pédagogique

Thèmes et situations : Renseignements et orientation. Fiche pédagogique Ressources pour les enseignants et les formateurs en français des affaires Activité pour la classe : CFP Crédit : Joelle Bonenfant, Jean Lacroix Thèmes et situations : Renseignements et orientation Objectifs

Plus en détail

QUESTIONNAIRE D ASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE DES ENTREPRISES INDUSTRIELLES ET COMMERCIALES

QUESTIONNAIRE D ASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE DES ENTREPRISES INDUSTRIELLES ET COMMERCIALES QUESTIONNAIRE D ASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE DES ENTREPRISES INDUSTRIELLES ET COMMERCIALES PROPOSANT : Code client.. Nom ou raison sociale Adresse du siège social (localisation).. Ville. Téléphone..

Plus en détail

L évolution des techniques d information

L évolution des techniques d information Les automates d appel en masse : quel système pour ma collectivité? Marion Hébert, ingénieur à l Institut des Risques Majeurs L évolution des techniques d information a vu naître dès le début des années

Plus en détail

1) Le fait de gérer et de proposer une solution élimine 75% des comportements compulsifs.

1) Le fait de gérer et de proposer une solution élimine 75% des comportements compulsifs. V2.2 Service de débordement des appels & gestion de nuit VOS CLIENTS VOUS Clients gérés par le service de débordement. Ils seront rappelés pour devenir de futurs clients satisfaits Clients en attente Clients

Plus en détail

Indicateur : population présente tout au long de l année dans les départements littoraux métropolitains

Indicateur : population présente tout au long de l année dans les départements littoraux métropolitains Indicateur : population présente tout au long de l année dans les départements littoraux métropolitains Contexte Les communes littorales métropolitaines hébergent plus de 6 millions d habitants et ont

Plus en détail

LUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER?

LUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER? LUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER? Résumé des trois enjeux présentés lors de l Assemblée publique du comité de lutte en santé de la Clinique communautaire de Pointe-Saint-Charles

Plus en détail

Note Conflagration. Janvier 2010

Note Conflagration. Janvier 2010 Janvier 2010 Note Conflagration De nombreux sinistres de caractère événementiel dans le monde mettent en jeu plusieurs risques en Dommages, sans qu il s agisse d évènements naturels. On parle en général

Plus en détail

Ce guide est dédié à la mémoire de Zaza et à toutes les autres mères du monde

Ce guide est dédié à la mémoire de Zaza et à toutes les autres mères du monde Myriam Robert-César est née en 1941. Après des études supérieures en Suisse et en Italie, elle se maria et se consacra exlusivement à sa famille. A 40 ans, elle débuta sa rapide carrière pour les Encyclopaedia

Plus en détail

CHAPITRE 8 ORGANISATION DE LA COMMUNICATION

CHAPITRE 8 ORGANISATION DE LA COMMUNICATION ORGANISATION DE LA COMMUNICATION Pour toute communication, il est important de bien cibler l objectif à atteindre. Sans une démarche de planification et d organisation de celle-ci, les probabilités de

Plus en détail

Chap. 5 : la 2 nd guerre mondiale : une guerre d anéantissement Pourquoi parle-t-on de la 2 nd guerre mondiale comme d une guerre d anéantissement

Chap. 5 : la 2 nd guerre mondiale : une guerre d anéantissement Pourquoi parle-t-on de la 2 nd guerre mondiale comme d une guerre d anéantissement Chap. 5 : la 2 nd guerre mondiale : une guerre d anéantissement Pourquoi parle-t-on de la 2 nd guerre mondiale comme d une guerre d anéantissement Chanson : Nuit et brouillard de Jean Ferrat http://www.youtube.com/watch?v=94yoxycqo6s

Plus en détail

La région Nord-Pas-de-Calais

La région Nord-Pas-de-Calais La région Nord-Pas-de-Calais A Quelle est l identité de ma région? Quelles sont ses activités? 1 La région Nord-Pas-de-Calais en France 1 2 Les chiffres-clés de la région Nord-Pas-de-Calais Nord-Pas-de-Calais

Plus en détail

Réussir l ouverture d un commerce de restauration rapide

Réussir l ouverture d un commerce de restauration rapide 2015 Réussir l ouverture d un commerce de restauration rapide Figure 1 Assistant-juridique.fr Sommaire I Conditions d installation... 5 A) Pour ouvrir un restaurant fixe... 5 1) Obtenir un permis d exploitation...

Plus en détail

Plan de Prévention des Risques Naturels sur les Bas-Champs du Sud de la Baie de Somme Rencontre Nationale IFFORME Dimanche 23 octobre 2011

Plan de Prévention des Risques Naturels sur les Bas-Champs du Sud de la Baie de Somme Rencontre Nationale IFFORME Dimanche 23 octobre 2011 Plan de Prévention des Risques Naturels sur les Bas-Champs du Sud de la Baie de Somme Rencontre Nationale IFFORME Dimanche 23 octobre 2011 D.D.T.M de la Somme SOMMAIRE Les risques majeurs sur le littoral

Plus en détail

DICRIM. Document d Information Communale sur les Risques Majeurs. Commune de BEINHEIM

DICRIM. Document d Information Communale sur les Risques Majeurs. Commune de BEINHEIM DICRIM Document d Information Communale sur les Risques Majeurs Commune de BEINHEIM 1 L information préventive : un droit du citoyen Face aux risques recensés sur notre commune et afin d assurer à la population

Plus en détail

L outillage du Plan de Continuité d Activité, de sa conception à sa mise en œuvre en situation de crise

L outillage du Plan de Continuité d Activité, de sa conception à sa mise en œuvre en situation de crise Auteur : Robert BERGERON Consultant en Sécurité des Systèmes d Information et Management de la Continuité d Activité Quel outil pour le PCA? de sa conception à sa mise en œuvre en situation de crise Introduction

Plus en détail

Service de presse 15 20 novembre 2014

Service de presse 15 20 novembre 2014 Service de presse 15 20 novembre 2014 40 ans après la ratification de la Convention européenne des droits de l homme (CEDH) Les droits fondamentaux remis en question Isabelle Bindschedler Un soutien pour

Plus en détail

Demande de financement

Demande de financement Demande de financement Nom de la société : Nom de l entrepreneur : I. PRESENTATION DE L ENTREPRISE I.1 Présentez votre société : Nom de la société, statut juridique Capital social Nom et fonction du représentant

Plus en détail

Corporate Travel Insurance CTI. Quelle importance accordez-vous à votre directrice du service informatique?

Corporate Travel Insurance CTI. Quelle importance accordez-vous à votre directrice du service informatique? Corporate Travel Insurance CTI Quelle importance accordez-vous à votre directrice du service informatique? Vos collaborateurs sont votre capital. Un capital que vous devez protéger le mieux possible. En

Plus en détail

Analyse Combinatoire

Analyse Combinatoire Analyse Combinatoire 1) Équipes On dispose d un groupe de cinq personnes. a) Combien d équipes de trois personnes peut-on former? b) Combien d équipes avec un chef, un sous-chef et un adjoint? c) Combien

Plus en détail

PARTICULIERS professionnels entreprises. Caravaning. Assurance Loisirs. Partez en vacances l esprit tranquille

PARTICULIERS professionnels entreprises. Caravaning. Assurance Loisirs. Partez en vacances l esprit tranquille PARTICULIERS professionnels entreprises Caravaning Assurance Loisirs Partez en vacances l esprit tranquille Choisissez la formule adaptée à vos besoins Caravane, mobil home, camping car Pour répondre à

Plus en détail

Des cartes pour comprendre un monde complexe

Des cartes pour comprendre un monde complexe Des cartes pour comprendre un monde complexe Propositions de séquences en TES/L et en TS sur le cours introductif de géographie par Damien LOQUAY, EEMCP2 en Tunisie Ce que disent les programmes Terminale

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE : SANTE ET SECURTE AU TRAVAIL

FICHE TECHNIQUE : SANTE ET SECURTE AU TRAVAIL SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL Mesurer et prévenir les risques professionnels Liés aux conditions générales de travail, les risques professionnels font peser sur les salariés la menace d une altération de

Plus en détail

MISSING. Le moteur de recherche mondial des disparus de catastrophes naturelles. En partenariat avec :

MISSING. Le moteur de recherche mondial des disparus de catastrophes naturelles. En partenariat avec : MISSING Le moteur de recherche mondial des disparus de catastrophes naturelles En partenariat avec : DES DISPARUS LAISSES A L ABANDON Chaque catastrophe humanitaire majeure entraîne la disparition de nombreux

Plus en détail

1. Pourquoi Anne et George s embarquent-ils à bord d un bateau?

1. Pourquoi Anne et George s embarquent-ils à bord d un bateau? 1 re Arrêt Événement A 1. Pourquoi Anne et George s embarquent-ils à bord d un bateau? 2. Où vont-ils? 3. Que doivent-ils s exercer à faire? 4. Qui les aide pendant qu ils sont à bord du bateau? Événement

Plus en détail

LA SÉCURITÉ DE VOTRE ÉDIFICE S APPUIE DÉSORMAIS SUR UNE DORSALE RENFORCÉE

LA SÉCURITÉ DE VOTRE ÉDIFICE S APPUIE DÉSORMAIS SUR UNE DORSALE RENFORCÉE LA SÉCURITÉ DE VOTRE ÉDIFICE S APPUIE DÉSORMAIS SUR UNE DORSALE RENFORCÉE É T U D E DE C A S Voyez les obstacles se transformer en points de départ Besoin du locataire : Installer une caméra de sécurité

Plus en détail

Questions générales sur le stationnement

Questions générales sur le stationnement Questions générales sur le stationnement Quelles sont les différences entre les zones de stationnement? Les zones P1 à P3 diffèrent surtout par la distance qui les sépare du terminal. La zone P1 est la

Plus en détail

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version

Plus en détail

* Extraits d'un entretien effectué dans le Karyassa 'supres de membres d'un clan Tamashek, les Kel Taddak. Document présenté par Etienne Le Roy.

* Extraits d'un entretien effectué dans le Karyassa 'supres de membres d'un clan Tamashek, les Kel Taddak. Document présenté par Etienne Le Roy. (< Le chez soi pour nous, c'est l'eau 11 Cet entretien a été réalisé chez les Tamashek par J.-M. Yung le 30 novembre 1988, et traduit U au pied de la dune n. Il nous a impressionné. Le choix des extraits

Plus en détail

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version

Plus en détail

Autorité cantonale de la transparence et de la protection des données ATPrD Kantonale Behörde für Öffentlichkeit und Datenschutz ÖDSB

Autorité cantonale de la transparence et de la protection des données ATPrD Kantonale Behörde für Öffentlichkeit und Datenschutz ÖDSB Autorité cantonale de la transparence et de la protection des données ATPrD Kantonale Behörde für Öffentlichkeit und Datenschutz ÖDSB Rue des Chanoines 2, 1700 Fribourg Autorité cantonale de la transparence

Plus en détail

Enquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques

Enquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques Enquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques Les résultats de l enquête sont analysés d après le nombre de variables explicatives pouvant influencer le comportement,

Plus en détail