Prise en charge nouveau-né en salle de naissance. Soins d yeux

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Prise en charge nouveau-né en salle de naissance. Soins d yeux"

Transcription

1 Prise en charge nouveau-né en salle de naissance Soins d yeux Elisabeth Laprugne-Garcia Cadre supérieur de santé en hygiène CClin Sud-Est Journée du réseau Maternité - 10 octobre 2013 Connaître et identifier les risques Rapport annuel du réseau de surveillance 2012 Taux de nouveaux nés infectés : 0,13% (69 / ) des bébés surveillés ont développé au moins une des infections nosocomiales surveillées. Taux d infections par site chez les bébés inclus dans la surveillance du réseau Infections oculaires : 76 % Infections cutanées : 1 % Infections du cordon : 16 % Infections graves* : 7 % * Infection ostéoarticulaire, méningite ou septicémie

2 Infections oculaires Facteurs de risque Centralisation des soins aux bébés en un seul local Hygiène des mains insuffisante Désinfection environnement et matériel insuffisante entre deux enfants Une des mesures protectrices Collyre antiseptique unidose à la naissance Nature du collyre - Instillation oculaire avec un collyre unidose - Prophylaxie de la conjonctivite en systématique? - Nature du collyre : - nitrate d argent 1% Faure en récipient unidose : arrêt de commercialisation pour des raisons industrielles en décembre antibiotique : rifamycine?

3 Un peu d histoire Au XIXe siècle : Infection à gonocoque chez le nouveau-né très répandue et séquelles redoutables : atteintes cornéennes et cécité dans 20 % à 3 % des cas Utilisation systématique d un collyre à base de nitrate d argent : réduction notable du nombre d endophtalmies gonococciques néo-natales (passage de 10 à 0.3 %) Jusqu à nos jours

4 Collyre Nitrate d argent 1% Faure En 1981 AMM : Traitement préventif de l infection conjonctivale des nouveau-nés, en administration unique après la naissance Seul collyre en France présentant une indication ciblée sur la prévention de l infection gonococcique A noter que l instillation entrainait une conjonctivite chimique dans 50 à 90 % des cas Facteur de risque Infection Sexuellement Transmissible (IST) contamination au cours de l accouchement par voie basse ou lors d une césarienne (en cas de rupture prématurée de la poche des eaux) Aujourd hui, 2 bactéries : Neisseria gonorrhoeae et Chlamydia trachomatis

5 Facteur de risque Nouveau-né contaminé lors de l'accouchement Survenu entre le 1 e et le 5 ème jour Atteinte oculaire bilatérale très grave conjonctivite purulente entrainant rapidement des ulcérations de la cornée pouvant mener à la cécité Prophylaxie des infections conjonctivales à gonocoque?? Faible nombre de données de littérature évaluant l intérêt d une prophylaxie des infections conjonctivales à gonocoque du nouveau-né Pas de preuve scientifique établie Afssaps a réalisé une enquête de prescriptions à partir d un questionnaire simple adressé à des maternités françaises et en européennes

6 Enquête Afssaps: en France - 1/3 des 68 maternités interrogées ne pratique pas d antibioprophylaxie systématique - pour les 2/3 restants, lorsqu une antibioprophylaxie est mise en œuvre, la rifamycine est la plus souvent utilisée Les autres produits cités sont : la ciprofloxacine, la gentamicine, la picloxydine et la tobramycine Enquête Afssaps: en Europe - 1/3 des 22 pays ayant répondu, ne pratique pas d antibioprophylaxie systématique - pour 4 pays, l antibioprophylaxie est mise en œuvre dans certaines maternités ou en cas de facteurs de risque - pour les autres pays, le nitrate d argent est le plus souvent utilisé Les autres produits cités sont : ampicilline, ciprofloxacine, érythromycine, povidone iodée, tétracyclines et tobramycine Il existe un net gradient Nord/Sud avec une absence d antibioprophylaxie dans les pays nordiques

7 Il n existe pas de donnée pour recommander de mettre en œuvre une antibioprophylaxie (ATBp) conjonctivale néonatale systématique Par mesure de précaution, une ATBp conjonctivale néonatale est recommandée en cas d antécédents et/ou de facteurs de risque d IST chez les parents c est-à-dire ayant des antécédents et/ou des facteurs de risque Les grossesses mal ou non suivies sont considérées comme à risque d IST Il est recommandé d instiller une goutte de collyre à base de rifamycine (actif sur Chlamydia et Neisseiria) Instillation du collyre En raison de l absence d une présentation pharmaceutique unidose, l utilisation itérative d un même flacon pour plusieurs enfants expose au risque de transmission croisée de microorganismes Il est donc hautement souhaitable d utiliser un flacon de collyre pour chaque enfant

8 Soin des yeux du nouveau-né Une groupe de travail du CClin Ouest propose : Matériel Collyre antibiotique en dosette à usage unique Compresses stériles Soin Pratiquer un traitement hygiénique des mains par friction Disposer une goutte de collyre dans chaque œil Essuyer avec une compresse du coin propre vers le coin moins propre Références Afssaps. Prophylaxie des infections conjonctivales du nouveau-né SFHH. Guide de la surveillance et la prévention des infections nosocomiales en maternité SFHH. Guide des bonnes pratiques de l antisepsie chez l enfant CClin Ouest. Hygiène en maternité : recommandations - grilles d'auto évaluation. 2005

9 Je vous remercie

SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES

SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES M. BERLAND Université Claude Bernard Lyon 1 Faculté de Médecine et de Maïeutique Lyon Sud Charles Mérieux 1 METHODES

Plus en détail

Guide informatique AUDIT EVALUATION DE LA PRATIQUE DE L ANTIBIOPROPHYLAXIE EN MATERNITE

Guide informatique AUDIT EVALUATION DE LA PRATIQUE DE L ANTIBIOPROPHYLAXIE EN MATERNITE Guide informatique AUDIT EVALUATION DE LA PRATIQUE DE L ANTIBIOPROPHYLAXIE EN MATERNITE CCLIN Sud-Est Hôpital Henry Gabrielle - Villa Alice 20 Route de Vourles 69 230 Saint-Genis Laval Secrétariat réseau

Plus en détail

AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON

AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON JOURNEE DU «RESEAU MATER» Jeudi 18 novembre 2010 C. Brunet M.P. Veuillet Sage-femme cadre I.D.E. hygiéniste PRESENTATION DU SERVICE MATERNITE CH MACON niveau 2B PERSONNELS

Plus en détail

Des soins après avortement : Amis des Jeunes. Cartes à conseils 1-6

Des soins après avortement : Amis des Jeunes. Cartes à conseils 1-6 Des soins après avortement : Amis des Jeunes Cartes à conseils 1-6 SAA: Avant l intervention Accueillir cordialement la cliente et la mettre à l aise Garantir la confidentialité et l intimité Prendre les

Plus en détail

Item 95 Maladies sexuellement transmissibles : infections urogénitales à gonocoque et Chlamydia trachomatis (en dehors de la maladie de Nicolas-Favre)

Item 95 Maladies sexuellement transmissibles : infections urogénitales à gonocoque et Chlamydia trachomatis (en dehors de la maladie de Nicolas-Favre) Annales de dermatologie et de vénéréologie (2012) 139, A57 A61 Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com I. MODULES TRANSDISCIPLINAIRES Module 7 : Santé et environnement, maladies transmissibles Item

Plus en détail

Hygiène et prévention du risque infectieux en cabinet médical ou paramédical

Hygiène et prévention du risque infectieux en cabinet médical ou paramédical RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Hygiène et prévention du risque infectieux en cabinet médical ou paramédical Recommandations Juin 2007 Avec le partenariat méthodologique et le concours financier de la

Plus en détail

Recommandations des experts de la Société de réanimation de langue française, janvier 2002 Prévention de la transmission croisée en réanimation

Recommandations des experts de la Société de réanimation de langue française, janvier 2002 Prévention de la transmission croisée en réanimation Réanimation 2002 ; 11 : 250-6 2002 Éditions scientifiques et médicales Elsevier SAS. Tous droits réservés S1624069302002414/FLA RECOMMANDATIONS Recommandations des experts de la Société de réanimation

Plus en détail

Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes. Contrat-élève 3 ème

Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes. Contrat-élève 3 ème Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes Mais, que dois-je savoir? Pour rattraper un cours manquant, retrouve-le sur le site du collège dans la rubrique «enseignements» : http://colleges.acrouen.fr/courbet/spipuser/

Plus en détail

PEUT ON PRESCRIRE HORS AMM? LE POINT DE VUE DU CLINICIEN

PEUT ON PRESCRIRE HORS AMM? LE POINT DE VUE DU CLINICIEN PEUT-ON PRESCRIRE HORS AMM 17 PEUT ON PRESCRIRE HORS AMM? LE POINT DE VUE DU CLINICIEN P. Albaladejo, B. Caillet, Département d Anesthésie-Réanimation de Bicêtre Hôpital de Bicêtre, 78, rue du Gal Leclerc,

Plus en détail

Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées

Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Bon usage Mise au point Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Actualisation Octobre 2008 MESSAGES CLÉS L évolution de la résistance du gonocoque aux quinolones

Plus en détail

GESTION DU RISQUE INFECTIEUX D ORIGINE ALIMENTAIRE DANS LES UNITES DE SOINS

GESTION DU RISQUE INFECTIEUX D ORIGINE ALIMENTAIRE DANS LES UNITES DE SOINS GESTION DU RISQUE INFECTIEUX D ORIGINE ALIMENTAIRE DANS LES UNITES DE SOINS C. DECADE -Dr L. MARTY -D. DEMONTROND Dr C.MANUEL - Dr R.CABRIT - Dr G.MANN Centre Médical de Forcilles 77150 FEROLLES-ATTILLY

Plus en détail

Chapitre IV : Gestion des soins

Chapitre IV : Gestion des soins Chapitre IV : Fiche n IV.1 : Actes infirmiers et de nursing : Soins respiratoires - Aérosolthérapie Injections : IV/IM/SC Soins respiratoires - Oxygénothérapie Hygiène des mains professionnels et résidents

Plus en détail

Bulletin d information du CCLIN Sud-Est L origine endogène d une infection n exonère pas l hôpital de sa responsabilité

Bulletin d information du CCLIN Sud-Est L origine endogène d une infection n exonère pas l hôpital de sa responsabilité Bulletin d information du CCLIN Sud-Est L origine endogène d une infection n exonère pas l hôpital de sa responsabilité Yves CLAPOT Avocat, cabinet CLAPOT-LETTAT, Lyon Tribunal administratif de Paris,

Plus en détail

Présentation générale du Programme

Présentation générale du Programme Contexte Le Propias fait suite à Plan stratégique national 2009-2013 de prévention des infections associées aux soins Programme national de prévention des infections nosocomiales 2009-2013 (Propin) Programme

Plus en détail

Infections nosocomiales

Infections nosocomiales Infections nosocomiales NOUVELLES RECOMMANDATIONS 2001-2002 NORD-AMÉRICAINES CONCERNANT LA PRÉVENTION DES INFECTIONS SUR CATHÉTER Aux États-Unis, environ 145 millions de cathéters périphériques et 5 millions

Plus en détail

Les Solutions Hydro-Alcooliques en 43 questions

Les Solutions Hydro-Alcooliques en 43 questions LES ETAPES DE LA FRICTION HYDRO-ALCOOLIQUE ❶ Paume contre paume ❼ Poignets ❷ Paume / Dos main Etapes à renouveler jusque séchage complet ❻ Ongles Friction de 30 secondes Dose suffisante* ❸ Doigts entrelacés

Plus en détail

DE QUALITE GESTION DES RISQUES DEVELOPPEMENT DURABLE

DE QUALITE GESTION DES RISQUES DEVELOPPEMENT DURABLE PROJET DE QUALITE / GESTION DES RISQUES / DEVELOPPEMENT DURABLE

Plus en détail

ÊTES-VOUS SÛRS DE TOUT SAVOIR sur le VIH

ÊTES-VOUS SÛRS DE TOUT SAVOIR sur le VIH ÊTES-VOUS SÛRS DE TOUT SAVOIR sur le VIH et le SIDA? ÉDITION 2014 FRANÇAIS SOMMAIRE SAVOIR PAGE 5 Qu est-ce que LE VIH? PAGE 6 Qu est-ce que LE SIDA? PAGE 7 Comment peut se transmettre le VIH? PAGE 8 Lors

Plus en détail

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion

Plus en détail

Sommaire de la séquence 7

Sommaire de la séquence 7 Sommaire de la séquence 7 De tout temps, l Homme a été frappé par des maladies mortelles qui décimaient des populations entières lors d épidémies connues comme la peste ou le choléra. Malgré ces fléaux,

Plus en détail

ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL. Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble

ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL. Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble Définition d un AES Sang ou liquide biologique potentiellement contaminant Sécrétions vaginales / sperme

Plus en détail

EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD

EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Dr. Nathalie MAUBOURGUET Lundi 24 novembre 2008 Ministère de la Santé, Salle Laroque Séminaire National sur l Organisation de la Prévention des Infections

Plus en détail

Mise au point sur le bon usage des aminosides administrés par voie injectable : gentamicine, tobramycine, nétilmicine, amikacine

Mise au point sur le bon usage des aminosides administrés par voie injectable : gentamicine, tobramycine, nétilmicine, amikacine Mise au point mars 2011 MAP Mise au point sur le bon usage des aminosides administrés par voie injectable : gentamicine, tobramycine, nétilmicine, amikacine Sommaire ~ ~ ~ ~ ~ ~ d un traitement par aminosides

Plus en détail

Simulation en aviation

Simulation en aviation Hôpitaux Universitaires de Genève Intérêt de la simulation en pharmacotechnie Pr Pascal BONNABRY Pharmacien-chef JFSPH 23 avril 2015 Etre les premiers pour vous Simulation en aviation 2 1 Simulation en

Plus en détail

Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.

Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,

Plus en détail

PROTOCOLE SONDAGE VESICAL

PROTOCOLE SONDAGE VESICAL DOMAINE : SOINS N version : 1 PROTOCOLE SONDAGE VESICAL Date application : 18/09/2009 8page(s) (R/V) Rédaction / date Validation / date Approbation / date Diffusion / date Actualisation / date A LECOQ/

Plus en détail

Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles

Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles sommaire Qu est-ce qu une IST? p. 5 La blennorragie gonococcique p. 7 La chlamydiose p. 8 L hépatite B p. 9 L herpès génital p. 10 Les mycoplasmes et

Plus en détail

Fiche d animation n 1 : Pêle-mêle

Fiche d animation n 1 : Pêle-mêle Fiche d animation n 1 : Pêle-mêle Cette animation permet au participants de découvrir les différents pièges du crédit à la consommation et plus particulièrement des ouvertures de crédit. Elle suscite également

Plus en détail

ALIMENTATION DE L IMMUNODEPRIME. I Rappel des risques liés à l alimentation de l immunodéprimé

ALIMENTATION DE L IMMUNODEPRIME. I Rappel des risques liés à l alimentation de l immunodéprimé Alimentation ALIMENTATION DE L IMMUNODEPRIME GARDES E, Toulouse Octobre 2009 Objectifs Fournir aux malades immunodeprimés une alimentation aussi dépourvue que possible de germes, de façon à ce qu'elle

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Équipements de sécurité et de premiers soins d urgence INDUSTRIE - BTP - COLLECTIVITÉS - BUREAUX - SERVICES - SANTÉ - LOISIRS - SPORTS

Équipements de sécurité et de premiers soins d urgence INDUSTRIE - BTP - COLLECTIVITÉS - BUREAUX - SERVICES - SANTÉ - LOISIRS - SPORTS Équipements de sécurité et de premiers soins d urgence INDUSTRIE - BTP - COLLECTIVITÉS - BUREAUX - SERVICES - SANTÉ - LOISIRS - SPORTS catalogue 2011/2012 Trousses de secours Soins des yeux Sécurité et

Plus en détail

Précautions standard et complémentaires : quelles mesures pour quels patients?

Précautions standard et complémentaires : quelles mesures pour quels patients? 5 ème journée des référents en antibiothérapie Précautions standard et complémentaires : quelles mesures pour quels patients? Philippe Berthelot, Unité d hygiène inter hospitalière, Service des Maladies

Plus en détail

GESTION DES RISQUES EN MILIEU HOSPITALIER : LE POINT DE VUE DE L HYGIÉNISTE Bizerte, le 3 décembre 2005 Prof. Njah Mansour Service d hygiène hospitalière CHU F. Hached Sousse. Plan Introduction Définitions

Plus en détail

Situation Agent Schéma posologique*

Situation Agent Schéma posologique* Le besoin d une antibioprophylaxie pour la prévention d une endocardite infectieuse et d une infection hématogène à la suite d une arthroplastie doit être envisagé sur une base individuelle et en collaboration

Plus en détail

Ministère des affaires sociales, de la sante et des droits des femmes

Ministère des affaires sociales, de la sante et des droits des femmes Ministère des affaires sociales, de la sante et des droits des femmes Direction générale de l offre de soins Personne chargée du dossier : Valérie Salomon mél. : valerie.salomon@sante.gouv.fr Sous-direction

Plus en détail

NOTIONS DE BASE SUR LES MEDICAMENTS

NOTIONS DE BASE SUR LES MEDICAMENTS NOTIONS DE BASE SUR LES MEDICAMENTS Objectif général : Au terme de ce module, les participants doivent connaître les différentes sortes de médicaments qu ils doivent gérer et dispenser. Objectifs spécifiques

Plus en détail

Il est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut

Il est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la

Plus en détail

OUTILS DE SENSIBILISATION : L INFO-TRI POINT VERT

OUTILS DE SENSIBILISATION : L INFO-TRI POINT VERT OUTILS DE SENSIBILISATION : L INFO-TRI POINT VERT Juillet 2014 1 Suivi des mises à jour du Guide MAI 2012 : JUIN 2012 : Précision concernant la consigne à donner pour les opercules. - Précisions concernant

Plus en détail

Les Infections Associées aux Soins

Les Infections Associées aux Soins Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999

Plus en détail

De ces considérations résulte l importance de la gestion du risque infectieux dans les EHPAD du fait de la grande fragilité des résidents.

De ces considérations résulte l importance de la gestion du risque infectieux dans les EHPAD du fait de la grande fragilité des résidents. INTRODUCTION Il y aurait en France environ 650 000 résidents hébergés, répartis dans une dizaine de milliers d EHPAD. Environ 40% des résidents ont au moins 85 ans avec une majorité de femmes (70%) [résultats

Plus en détail

Mai Thanh LE - Pôle Hygiène

Mai Thanh LE - Pôle Hygiène Sodexo Le Better Tomorrow Plan Nos actions de progrès en bio nettoyage Mai Thanh LE - Pôle Hygiène Présentation de l entreprise Sodexo Depuis la création de l entreprise en 1966, Sodexo est le partenaire

Plus en détail

LES SOINS D HYGIENE l hygiène bucco dentaire. Formation en Hygiène des EMS de la Somme EOH CH ABBEVILLE JUIN 2015

LES SOINS D HYGIENE l hygiène bucco dentaire. Formation en Hygiène des EMS de la Somme EOH CH ABBEVILLE JUIN 2015 LES SOINS D HYGIENE l hygiène bucco dentaire Formation en Hygiène des EMS de la Somme EOH CH ABBEVILLE JUIN 2015 1 SOINS DE BOUCHE ENTRETIEN DES PROTHESES DENTAIRES L état bucco-dentaire est souvent préoccupant

Plus en détail

Bio nettoyage au bloc opératoire

Bio nettoyage au bloc opératoire Bio nettoyage au bloc opératoire Béatrice CROZE Infirmière hygiéniste Service d hygiène et d épidémiologie novembre 2012 Le bio nettoyage au bloc L impression omniprésente de travailler dans l urgence

Plus en détail

2. HYGIENE ET PREVENTION DU RISQUE INFECTIEUX

2. HYGIENE ET PREVENTION DU RISQUE INFECTIEUX Hygiène des soins infirmiers en ambulatoire - C.CLIN-Ouest 2002 2. HYGIENE ET PREVENTION DU RISQUE INFECTIEUX LES PRECAUTIONS STANDARD Objectif : Protéger systématiquement tous les patients et tous les

Plus en détail

Note informative. Table des matières SOMMAIRE. Agence d évaluation des technologies et des modes d intervention en santé

Note informative. Table des matières SOMMAIRE. Agence d évaluation des technologies et des modes d intervention en santé VERSION PRÉLIMINAIRE Note informative Agence d évaluation des technologies et des modes d intervention en santé Évaluation du rapport coûts/bénéfices de la prévention et du contrôle des infections nosocomiales

Plus en détail

Présentation des intervenants et modérateurs

Présentation des intervenants et modérateurs «NOSOPICARD 2015», 20 ème Rencontre d Hygiène Hospitalière, de Prévention et de Lutte contre les Infections Associées aux Soins Présentation des intervenants et modérateurs Roland GORI est : Professeur

Plus en détail

A - Nomenclature des préjudices de la victime directe

A - Nomenclature des préjudices de la victime directe ANNEXE NOMENCLATURE DES PREJUDICES RESULTANT D UNE ATTEINTE A LA PERSONNE A - Nomenclature des préjudices de la victime directe 1 ) Préjudices patrimoniaux a) Préjudices patrimoniaux temporaires (avant

Plus en détail

L oxygénothérapie à long terme

L oxygénothérapie à long terme L oxygénothérapie à long terme Ce que vous devez savoir sur l oxygène à domicile Les bienfaits L oxygène est un traitement médical qui doit être utilisé de façon sécuritaire et selon les recommandations

Plus en détail

DISPOSITIONS RELATIVES AUX ETABLISSEMENTS PHARMACEUTIQUES DE FABRICATION ET DE DISTRIBUTION DE GAZ MEDICINAL

DISPOSITIONS RELATIVES AUX ETABLISSEMENTS PHARMACEUTIQUES DE FABRICATION ET DE DISTRIBUTION DE GAZ MEDICINAL DISPOSITIONS RELATIVES AUX ETABLISSEMENTS PHARMACEUTIQUES DE FABRICATION ET DE DISTRIBUTION DE GAZ MEDICINAL Ces dispositions s appliquent spécifiquement aux établissements fabriquant ou distribuant des

Plus en détail

Résumé des modifications intervenues : simplification et clarification des actions descriptives

Résumé des modifications intervenues : simplification et clarification des actions descriptives Référence : PT/RES/006-B Page :Page 1 sur 5 Objet : Maîtriser les dangers microbiologiques, biologiques, chimiques et physiques lors des opérations d épluchage, lavage et désinfection des légumes terreux,

Plus en détail

GESTION DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD 1, MAS 2 et FAM 3. Référentiels des pratiques

GESTION DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD 1, MAS 2 et FAM 3. Référentiels des pratiques GESTION DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD 1, MAS 2 et FAM 3 Référentiels des pratiques Juillet 2009 EHPAD 1 = Etablissement d Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes MAS 2 = Maison d accueil spécialisé

Plus en détail

Évaluation 1ère, 2ième année, 3ième année

Évaluation 1ère, 2ième année, 3ième année TM Évaluation 1ère, 2ième année, 3ième année Mis sur pied par Parachute Mis sur pied par Prévenir La Fondation les Pensez blessures. d abord Sauvez du Canada des vies. Avec l'appui du Congrès canadien

Plus en détail

Comment les pauvres gèrent-ils le risque?

Comment les pauvres gèrent-ils le risque? Comment les pauvres gèrent-ils le risque? Le présent dossier donne un aperçu de la manière dont les ménages pauvres gèrent les risques. Fondé sur les recherches effectuées via les journaux financiers dont

Plus en détail

Hygiène des véhicules de transport sanitaire

Hygiène des véhicules de transport sanitaire 2 0 0 4 Hygiène des véhicules 2 0 0 4 de transport sanitaire Sommaire Les fiches d enregistrement sont insérées dans le rabat en 3 ème de couverture. Préambule... 3 Étude préliminaire, objectifs... 3 Recommandations

Plus en détail

Implication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA

Implication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA Implication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA Réunion Icône 2015 STRASBOURG Laurence Boyer - PH -SMIT- CHU Nancy Contexte Plan VIH/Sida/IST- 2010/14: Augmenter le dépistage:

Plus en détail

COMPAGNIE DES EXPERTS MARITIMES

COMPAGNIE DES EXPERTS MARITIMES COMPAGNIE DES EXPERTS MARITIMES QUI SOMMES NOUS? CÔTE D IVOIRE GHANA TOGO BURKINA FASO Une équipe d experts qualifiés et expérimentés Un réseau de sociétés présent dans les principaux ports de l Afrique

Plus en détail

La Pharmacie Clinique en Belgique : Pratique et Formation

La Pharmacie Clinique en Belgique : Pratique et Formation La Pharmacie Clinique en Belgique : Pratique et Formation Céline Michel, pharmacien hospitalier clinicien Charline Artoisenet, pharmacien hospitalier clinicien Université Catholique de Louvain, Cliniques

Plus en détail

ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE

ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE 562 ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE 563 TABLE DES MATIÈRES ANNEXE J... 562 POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS

Plus en détail

Stratégies de dépistage des bactéries multirésistantes. Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA

Stratégies de dépistage des bactéries multirésistantes. Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA Stratégies de dépistage des bactéries multirésistantes à l hôpital et en MRS: Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA Prof. Dr. Youri Glupczynski Unité d Hygiène hospitalière & Laboratoire de

Plus en détail

INFECTIONS URINAIRES CHEZ L ENFANT

INFECTIONS URINAIRES CHEZ L ENFANT INFECTIONS URINAIRES CHEZ L ENFANT Chantal LOIRAT Service de Néphrologie Pédiatrique Hôpital Robert Debré DIU Stratégies Thérapeutiques anti-infectieuses Jan 2007 AFS 2006-2007 1 INFECTION URINAIRE CHEZ

Plus en détail

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

Plus en détail

Ophtalmologie. Nouvelles tendances dans la chirurgie de la cataracte. nouveautés en médecine 2010. H. Abouzeid

Ophtalmologie. Nouvelles tendances dans la chirurgie de la cataracte. nouveautés en médecine 2010. H. Abouzeid nouveautés en médecine 2010 Ophtalmologie Nouvelles tendances dans la chirurgie de la cataracte Rev Med Suisse 2011 ; 7 : 128-32 H. Abouzeid Dr Hana Abouzeid Responsable de la Policlinique Hôpital ophtalmique

Plus en détail

Étape 1 La séance d information... p. 2. Étape 2 La préparation de votre dossier... p. 3. Étape 3 Le dépôt de votre demande... p.

Étape 1 La séance d information... p. 2. Étape 2 La préparation de votre dossier... p. 3. Étape 3 Le dépôt de votre demande... p. Document d information Faire une demande d admission en 5 étapes 1 Le processus d admission présenté dans ce document s applique aux programmes suivants, offerts à l Institut :: AEC en Techniques de procédés

Plus en détail

recommandations Prévention de la transmission croisée : précautions complémentaires contact Recommandations nationales

recommandations Prévention de la transmission croisée : précautions complémentaires contact Recommandations nationales recommandations Recommandations nationales Prévention de la transmission croisée : précautions complémentaires contact Consensus formalisé d experts Avril 2009 2009 - Volume XVII - n 2 - ISSN 1249-0075

Plus en détail

DECOUVRIR PARTAGER Et SE FAIRE PLAISIR

DECOUVRIR PARTAGER Et SE FAIRE PLAISIR Organisation pédagogique du séjour de vacances de La Marmotane 2015 DECOUVRIR PARTAGER Et SE FAIRE PLAISIR I. Descriptif Le séjour de vacances de l association La Marmotane (6 rue de la Fontaine 67 870

Plus en détail

Bisnode. au mois de Mai 2013. Étude sur les faillites et créations d entreprises 25.6.2013

Bisnode. au mois de Mai 2013. Étude sur les faillites et créations d entreprises 25.6.2013 Bisnode Faillites et créations arrêtées au mois de Mai 2013 Étude sur les faillites et créations d entreprises 25.6.2013 731b du CO: dissolutions d entreprises aux dépens de la collectivité. Entre janvier

Plus en détail

RENOLIT ALKORPLAN. Instructions de Pose

RENOLIT ALKORPLAN. Instructions de Pose RENOLIT ALKORPLAN Instructions de Pose Index Introduction... 3 Préparation du Chantier... 4 Chantier... 5 Membranes et accessoires... 6 Outils requis pour l installation de la membrane... 8 Équipements

Plus en détail

Pharmacovigilance. Brèves en

Pharmacovigilance. Brèves en Brèves en Pharmacovigilance Centre Régional de Pharmacovigilance Nord Pas de Calais C.H.R.U. Place de Verdun 59037 Lille Cedex Ligne directe : 03 20 96 18 18 Ligne CHRU : 03 20 44 54 49 Fax : 03 20 44

Plus en détail

Définition de l Infectiologie

Définition de l Infectiologie Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage

Plus en détail

Analyse prospective des risques: application de la méthode AMDEC

Analyse prospective des risques: application de la méthode AMDEC Analyse prospective des risques: application de la méthode AMDEC Prof. Pascal BONNABRY Certificat qualité des soins Genève, 14 avril 2011 Agenda Introduction: analyse de risques Exemple d application de

Plus en détail

Les solutions. Chapitre 2 - Modèle. 1 Définitions sur les solutions. 2 Concentration massique d une solution. 3 Dilution d une solution

Les solutions. Chapitre 2 - Modèle. 1 Définitions sur les solutions. 2 Concentration massique d une solution. 3 Dilution d une solution Chapitre 2 - Modèle Les solutions 1 Définitions sur les solutions 1.1 Définition d une solution : Une solution est le mélange homogène et liquide d au moins deux espèces chimiques : Le soluté : c est une

Plus en détail

Analyse Financière Les ratios

Analyse Financière Les ratios Analyse Financière Les ratios Présenté par ACSBE Traduit de l anglais par André Chamberland andre.cham@sympatico.ca L analyse financière Les grandes lignes Qu est-ce que l analyse financière? Que peuvent

Plus en détail

CHAPITRE 2. Population, ménages et familles

CHAPITRE 2. Population, ménages et familles CHAPITRE 2 Population, ménages et familles Les faits saillants Enquête sur les conditions de vie en Haïti Distribution spatiale, structure par âge et par sexe de la population Le taux d urbanisation de

Plus en détail

Epidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA

Epidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA Epidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA Claude SAEGERMAN Département des maladies infectieuses et parasitaires, Service d épidémiologie et analyse de risques appliquées aux

Plus en détail

Diagnostic et antibiothérapie. des infections urinaires bactériennes. communautaires de l adulte

Diagnostic et antibiothérapie. des infections urinaires bactériennes. communautaires de l adulte SPILF 2014 Mise au point Texte court Diagnostic et antibiothérapie des infections urinaires bactériennes communautaires de l adulte dans son intégralité sans ajout ni retrait. 1 GROUPE DE TRAVAIL Pr François

Plus en détail

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE SOLIDARITÉS

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE SOLIDARITÉS SOLIDARITÉS ETABLISSEMENTS SOCIAUX ET MÉDICO-SOCIAUX MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE Direction générale de la cohésion sociale Service

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE avril 2014. Un excellent point de départ pour un séjour d affaires ou touristique

FICHE TECHNIQUE avril 2014. Un excellent point de départ pour un séjour d affaires ou touristique FICHE TECHNIQUE avril 2014 Un excellent point de départ pour un séjour d affaires ou touristique positionnement Situé sur la côte nord ouest de l Ile Maurice, en bordure de mer, l hôtel Cocotiers est un

Plus en détail

Direction générale de la Santé. Infections liées aux soins réalisés en dehors des établissements de santé >> guide de prévention

Direction générale de la Santé. Infections liées aux soins réalisés en dehors des établissements de santé >> guide de prévention Direction générale de la Santé Infections liées aux soins réalisés en dehors des établissements de santé >> guide de prévention Janvier 2006 1 SOMMAIRE INTRODUCTION... 7 1. LA RESPONSABILITÉ DES PROFESSIONNELS

Plus en détail

AUDIT 2009 des UCPC de Lorraine

AUDIT 2009 des UCPC de Lorraine AUDIT 2009 des UCPC de Lorraine Nom de l'établissement Date Nombre de préparations / an : Date d'installation: Personnes présentes Nom / Prénom Fonction Signature Réseau Oncolor 2010 1 SOMMAIRE Page I

Plus en détail

Conseil International d Ophtalmologie Livret d ophtalmologie pour étudiants en Médecine

Conseil International d Ophtalmologie Livret d ophtalmologie pour étudiants en Médecine Conseil International d Ophtalmologie Livret d ophtalmologie pour étudiants en Médecine 2009 Compilé par le comité pour l enseignement Universitaire du Conseil International d Ophtalmologie. Cher étudiant

Plus en détail

Loi 41. GUIDE D EXERCICE Les activités réservées aux pharmaciens

Loi 41. GUIDE D EXERCICE Les activités réservées aux pharmaciens Loi 41 GUIDE D EXERCICE Les activités réservées aux pharmaciens AVIS Ce guide ne se substitue pas aux lois, aux règlements ou au jugement des professionnels de la santé. Il représente l état actuel du

Plus en détail

Annexes jointes Annexe 1 : Fiches d entretien par zone Annexe 2 : Fiche de traçabilité

Annexes jointes Annexe 1 : Fiches d entretien par zone Annexe 2 : Fiche de traçabilité Référence : PT/HYG/003-C Page :Page 1 sur 15 Objet : - Permettre de dispenser des soins de qualité dans un environnement maîtrisé (garantie de propreté visuelle et bactériologique). - Eviter la propagation

Plus en détail

Hygiène en Cuisine et Restauration

Hygiène en Cuisine et Restauration Guide Hygiène en Cuisine et Restauration Notre démarche de sécurité alimentaire PURODOR - MAROSAM Désinfection sols et surfaces ND 0 Nettoyant désinfectant ph : Bactéricide, levuricide et virucide*. Efficacité

Plus en détail

THESE Pour l obtention du Doctorat En Sciences Médicales MALADIES INFECTIEUSES

THESE Pour l obtention du Doctorat En Sciences Médicales MALADIES INFECTIEUSES République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique UNIVERSITE ABOUBEKR BELKAID TLEMCEN Faculté de Médecine B. Benzerdjeb THESE Pour l

Plus en détail

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES

Plus en détail

Références et partenaires :

Références et partenaires : Eric RIPERT, 49 ans, Formateur - Consultant depuis 1995 dans les domaines HYGIENE SECURITE ENVIRONNEMENT. (H.S.E) Formateur et coordinateur de pôle en 2010 dans un centre de formation de premier plan sur

Plus en détail

Transactions de l agriculteur 1.5 /kilo 2.0 /kilo 2.5 /kilo Vente de la récolte 187 500 250 000 312 500. l agriculteur

Transactions de l agriculteur 1.5 /kilo 2.0 /kilo 2.5 /kilo Vente de la récolte 187 500 250 000 312 500. l agriculteur Chapitre 11, assurance et diversification Réponses aux Questions et problèmes 1. Transactions de 1.5 /kilo 2.0 /kilo 2.5 /kilo Vente de la récolte 187 500 250 000 312 500 62 500 payés à 0 62 500 payés

Plus en détail

Questionnaire destiné aux parents Médiation

Questionnaire destiné aux parents Médiation Questionnaire destiné aux parents Médiation Si vous êtes intéressé/e par une médiation ou si vous souhaitez en savoir plus sur ce que peut vous apporter une médiation, les informations suivantes vous concernant

Plus en détail

E8 - Faire l exercice d entraînement : Surveillance des infections nosocomiales en maternité : Produire les résultats avec des programmes

E8 - Faire l exercice d entraînement : Surveillance des infections nosocomiales en maternité : Produire les résultats avec des programmes E8 - Faire l exercice d entraînement : Surveillance des infections nosocomiales en maternité : Produire les résultats avec des programmes Temps estimé nécessaire à l entraînement 1 H 30 Objectifs à consolider

Plus en détail

Omar veut décider comment utiliser l octroi de 5000 $ qu il vient de recevoir. But ultime

Omar veut décider comment utiliser l octroi de 5000 $ qu il vient de recevoir. But ultime La prise de décision Il existe de nombreuses techniques efficaces de prise de décision. Sans le savoir, vous utilisez ces techniques tous les jours. La technique que vous utilisez dépendra probablement

Plus en détail

Les maladies ou infections sexuellement transmissibles (MST)

Les maladies ou infections sexuellement transmissibles (MST) Les maladies ou infections sexuellement transmissibles (MST) MST est le terme utilisé pour décrire toute maladie, toute infection transmise par un rapport sexuel avec une personne déjà contaminée, et qui

Plus en détail

Il existe 2 types de café sur le marché: Le Robusta, corsé, avec un goût puissant et L Arabica, délicat et aromatique.

Il existe 2 types de café sur le marché: Le Robusta, corsé, avec un goût puissant et L Arabica, délicat et aromatique. LA MARQUE Il existe 2 types de café sur le marché: Le Robusta, corsé, avec un goût puissant et L Arabica, délicat et aromatique. Les cafés sont issus d une sélection 100% ARABICA afin d avoir un café aromatique

Plus en détail

Ne tournez plus en rond...

Ne tournez plus en rond... Ne tournez plus en rond... Préparez vos études en France à partir du Maroc! En partenariat en France avec Plus simple, plus vite, plus pratique Vous souhaitez étudier en France? Attention, un tel projet

Plus en détail

Solutions pour le calibrage et l entretien Gamme complète d accessoires indispensables

Solutions pour le calibrage et l entretien Gamme complète d accessoires indispensables Solutions laboratoires Solutions pour les laboratoires Tampons ph Étalons de conductivité Solutions de mesure redox et O 2 dissous Solutions de mesure ISE Solutions de maintenance Solutions pour le calibrage

Plus en détail

direct serve EN DE NI ES PT CZ SK www.moulinex.com

direct serve EN DE NI ES PT CZ SK www.moulinex.com FR direct serve EN DE NI ES PT CZ SK www.moulinex.com 4 3 2 1 71mm 5 6 7 1 2 3 4 5 6 OK Click NO 7 8 9 150ml 10 Nous vous remercions d avoir choisi un appareil de la gamme Moulinex. CONSIGNES DE SECURITE

Plus en détail

CANADA PROVINCE DU QUÉBEC MUNICIPALITÉ DE BOLTON-OUEST

CANADA PROVINCE DU QUÉBEC MUNICIPALITÉ DE BOLTON-OUEST CANADA PROVINCE DU QUÉBEC MUNICIPALITÉ DE BOLTON-OUEST La séance ordinaire de la municipalité de Bolton-Ouest a été tenue le lundi 5 août 2013 à 19h30 à l Hôtel de Ville. PRÉSENTS: Maire Donald Badger

Plus en détail

BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents

BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents L. Grolier-Bois - Médecin hygiéniste Centre Hospitalier de Bretagne-Sud (56) Centre Hospitalier de Quimperlé (29) ARLIN BRETAGNE Journée Régionale de Formation

Plus en détail

Voici des réponses aux questions que vous vous posez:

Voici des réponses aux questions que vous vous posez: Bourse aux livres 2014: Mode d emploi Chaque année, vous achetez nombre de manuels scolaires pour vos enfants. Ces manuels coûtent cher: entre 7 et 25 en moyenne, mais certains peuvent aller jusqu à 60!

Plus en détail

N Facture : 2102867544 Client : 300020392039 Date : 10 03 2010. Récapitulatif du 01 02 2010 au 31 03 2010 RUE DU VILLAGE 456-4000 LIEGE

N Facture : 2102867544 Client : 300020392039 Date : 10 03 2010. Récapitulatif du 01 02 2010 au 31 03 2010 RUE DU VILLAGE 456-4000 LIEGE VOO Service Client/BRUTELE Rue Turenne, 65 6000 CHARLEROI Fax : 071/96 71 55 N ENTR. : BE0205.954.655 Dexia : 096-3226415-22 Créancier domiciliation : 00 205 954 655 Mr. VOO 6000 CHARLEROI VOO Service

Plus en détail