LA MRC ET LE MG: LA MALADIE RENALE CHRONIQUE ET LE MEDECIN GENERALISTE
|
|
- Coraline Lebeau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LA MRC ET LE MG: LA MALADIE RENALE CHRONIQUE ET LE MEDECIN GENERALISTE Expert: DR EL ESPER Animatrices: Dr TSIN V. et Dr TURQUIER C. Marcelcave, mardi 18 octobre 2011
2 ENJEUX DE LA MRC MRC FREQUENTE et longtemps SILENCIEUSE DEPISTAGE CIBLE DS LES POPULATIONS A RISQUE: pour éviter ou retarder le passage au stade terminal nécessitant un traitement de suppléance (dialyse ou greffe rénale) pour réduire les complications associées principalement cardiovasculaires Sa progression peut être ralentie par un traitement réalisable dans le cadre de la médecine générale
3 La maladie rénale chronique Chiffres clés 9500 malades par an commencent un traitement de suppléance Actuellement en France malades dont: 54% dialyse 46% greffe fonctionnelle Incidence en augmentation de 4 à 5 % par an HTA et Diabète responsables dans 1 cas sur 2
4 DEFINITION DE LA MRC Elle est définie indépendamment de sa cause, par la présence, pendant plus de trois mois de marqueurs d atteinte rénale ou d une baisse du DFG < à 60 ml/min
5 DIAGNOSTIC DE L IRC INSUFFISANCE RENALE: DFG < 60 ml/min/1,73 m 2 vérifié sur une 2 e estimation du débit de filtration glomérulaire (DFG) par la formule de Cockcroft et Gault DFG (ml/min) = [(140-âge) x poids en kg /créatininémie en µmol/l] x k k = 1,23 pour les hommes, 1,04 pour les femmes, âge en années. Si la créatinine est exprimée en mg/l, il faut en multiplier le chiffre par 8,84 pour l'obtenir en µmol/l MAIS
6 DIAGNOSTIC DE L IRC La formule de Cockcroft-Gault est non utilisable chez : - l'enfant - la personne très âgée - L'obèse (IMC > 30 kg/m²) - La femme enceinte - Le cirrhotique en décompensation
7 DIAGNOSTIC DE L IRC Mesure du DFG par une méthode de référence : difficile et coûteuse en pratique de ville Différentes formules pour estimer le DFG En 2009, la société de Néphrologie a recommandé d abandonner la formule de Cockcroft-Gault et d utiliser l équation de l étude MDRD. Un calculateur est disponible sur le site suivant: Clairance de la créatinine estimée par la formule MDRD ClCr (ml/min/1,73 m2) = 170 x créatinine sérique 0,999 x âge 0,176 x Urée 0,170 x albumine 0,318 x 0,762 [pour une femme] x 1,180 [pour un Afro-américain] Creat [mg/dl]
8 LES MARQUEURS D ATTEINTE RENALE MORPHOLOGIQUES : échographie rénale asymétrie de taille, contours bosselés, reins de petites tailles ou gros reins polykystiques, néphrocalcinose, calcul, hydronéphrose HISTOLOGIQUES : sur une biopsie rénale BIOLOGIQUES Protéinurie des 24h > 0.5 g Hématurie pathologique GR > 10/mm 3 (25 selon les labos) Leucocyturie pathologique GB > 10/mm 3 Microalbuminurie pathologique de 30 à 300 mg/24 h C est un marqueur de risque de maladie rénale chronique chez le diabétique de type 1 ou de type 2
9 La MRC est classée en 5 stades de sévérité selon le DFG STADE DFG (ml min/1.73m²) DEFINITION 1 90 Marqueurs d atteinte rénale avec DFG normal ou augmenté 2 60 < > 89 Marqueurs d atteinte rénale avec DFG légèrement diminué 3 30 < > 59 Insuffisance rénale chronique modérée 4 15 < > 29 Insuffisance rénale chronique sévère 5 < 15 Insuffisance rénale chronique terminale
10 DEPISTER LA MRC DANS LES POPULATIONS A RISQUE Certaines personnes ont une probabilité importante d avoir une atteinte rénale et doivent donc être l objet d un dépistage systématique Le dépistage doit porter 2 indicateurs: dosage de la créatininémie recherche d une anomalie urinaire (hématurie, albuminurie)
11 FACTEURS DE RISQUE DE LA MRC Diabète HTA Obésité > 30 kg/m² Maladie cardiovasculaire Personnes âgées > 60 ans ATCD familiaux d IRC Uropathies obstructives Maladie de système Médicaments néphrotoxiques Bas poids de naissance (< 2.5 kg) Episodes d insuffisance rénale aigüe
12 Cas clinique 1 Mr A., âgé de 50 ans, bon vivant, tabagique de surcroît, est suivi pour une HTA depuis 3 ans pour laquelle il prend un béta-bloquant. Très occupé par son travail, il ne vient vous voir que 3 mois après sa visite de contrôle avec le médecin du travail qui a constaté lors de son examen une bandelette urinaire avec une protéinurie +, sa TA était à 130/80 mmhg. 1. Que faîtes-vous? Lors du bilan biologique de contrôle, la bandelette urinaire reste + pour la protéinurie et le DFG est estimé à 90ml/mn, 2. Y a-t-il une insuffisance rénale? A quel stade de maladie rénale est ce patient? Vous revoyez votre patient trois ans plus tard pour son suivi avec son bilan biologique de contrôle. Sa TA est à 140/90 et son bilan biologique montre un DFG à 70ml/mn 3. A quel stade de maladie rénale chronique est-on? 4. Que fait-on sur le plan thérapeutique? Quelques semaines plus tard, Mr A. se présente à votre cabinet avec une lombalgie accompagnée d une sciatalgie. Le paracétamol pris à doses correctes depuis 7 jours ne le soulage pas. 5. Pouvez vous lui prescrire un AINS? Quelles sont les précautions d emploi?
13 Cas clinique 1 1. Que faîtes-vous? un bilan biologique classique (glycémie, bilan lipidique) et surtout une créatininémie avec une clairance Et une analyse d urines sur 24 heures (protéinurie, Na, K..) Pour faciliter le travail du laboratoire, on note l âge et le poids du patient Lors du bilan biologique de contrôle, la bandelette urinaire reste + pour la protéinurie et le DFG est estimé à 90ml/mn, 2. Y a-t-il une insuffisance rénale? NON car le DFG est à 90 ml/mn Le dosage pondéral de la protéinurie sur 24 heures est souhaitable A quel stade de maladie rénale est ce patient? Présence d un marqueur rénal depuis plus de 3 mois avec un DFG à 90 ml/mn = MRC STADE 1 = Maladie rénale sans insuffisance rénale chronique
14 MESSAGE N 1 QUEL QUE SOIT LE DFG LA PERSISTANCE PENDANT PLUS DE 3 MOIS D UN OU PLUSIEURS MARQUEURS BIOLOGIQUES D ATTEINTE RENALE TEMOIGNE D UNE MALADIE RENALE
15 Cas clinique 1 Vous revoyez votre patient trois ans plus tard pour son suivi avec son bilan biologique de contrôle Sa TA est à 140/90 et son bilan biologique montre un DFG à 70ml/mn 3. A quel stade de maladie rénale chronique est-on? MRC stade 2 = maladie rénale avec insuffisance rénale chronique légère 4. Que fait-on sur le plan thérapeutique? Outre les RHD (perte de poids, arrêt du tabac, baisse de la consommation de sel, surveillance du cholestérol ) Il est préconisé d introduire un IEC ou un AA2 (même au stade 1)
16 MESSAGE N 2 MRC STADES 1 ET 2 HTA ou DIABETE : traitement par IEC ou AA2 (surtout si protéinurie +) Dans les autres groupes, surveiller les patients sur un rythme annuel sauf apparition d élément relevant d un avis spécialisé ou témoignant d une évolution de la maladie
17 Cas clinique 1 Quelques semaines plus tard, Mr A. se présente à votre cabinet avec une lombalgie accompagnée d une sciatalgie. Le paracétamol pris à doses correctes depuis 7 jours ne le soulage pas. 5. Pouvez vous lui prescrire un AINS? Quelles sont les précautions d emploi? La prescription d AINS est possible si nécessité absolue. Le nombre de jours sera limité à 1 semaine
18 Cas clinique 2 Mme D., 68 ans, est suivie pour un diabète de type 2 et une HTA pour laquelle elle prend un AA2. Elle présente une insuffisance rénale chronique légère avec un DFG à 62ml/mn depuis l année dernière. Quelques années plus tard, elle revient pour son contrôle habituel et vous montre son dernier bilan biologique. Celui-ci révèle un DFG à 40 ml/mn. Sa TA est à 145/90 1. A quel stade d insuffisance rénale chronique est-elle? Que demandez- vous sur le plan biologique? Que faîtes-vous sur le plan thérapeutique? 2. Sa protéinurie est à 0.60 g/j, et sa TA reste toujours à 145/90, adaptez-vous sa thérapeutique? 3. A quel rythme la surveillez-vous? 4. A ce stade de l insuffisance rénale, que devez-vous, en qualité de médecin généraliste, conseiller, rechercher, voire corriger?
19 Cas clinique 2 1. A quel stade d insuffisance rénale chronique est-elle? DFG à 40 ml/mn = MRC STADE 3 = INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE MODEREE Que demandez- vous sur le plan biologique? On demande une protéinurie (sur 24 heures) La stratégie thérapeutique proposée (reco HAS 2004) va s appuyer sur les 2 principaux facteurs modifiables de la progression de l IRC: la protéinurie > ou < à 0.5 g/j et la PA > ou < à 130/80 mmhg Que faîtes-vous sur le plan thérapeutique? Restriction sodée (6g/j) Et on augmente son AA2
20 MESSAGE N 3 DEVANT UNE IRC NE PAS OUBLIER DE DEMANDER LA PROTEINURIE DES 24 HEURES!!
21 Cas clinique 2 2. Sa protéinurie est à 0.60 g/j, et sa TA reste toujours à 145/90, adaptez-vous sa thérapeutique? Augmenter la dose de son AA2, car protéinurie > 0.5 g/j Adjonction d un diurétique ou d un calcium bloqueur si TA > 130/80 3. A quel rythme la surveillez-vous? La périodicité clinique et biologique doit être adaptée en fonction du niveau de la progression de l IRC. Elle peut s envisager en divisant le DFG estimé par 10 Donc ici tous les 4 mois En cas de changement de thérapeutique, on programme un contrôle 3 semaines après
22
23 Cas clinique 2 4. A ce stade de l insuffisance rénale, que devez-vous, en qualité de médecin généraliste,conseiller, rechercher, voire corriger? OBJECTIF: RALENTIR LA PROGRESSION DE L IRC CHEZ DES PATIENTS ATTEINTS DE MRC STADE 3 POUR EVITER OU AMENER LE PLUS TARD ET EN MEILLEUR ETAT POSSIBLE, LE PATIENT A LA DIALYSE ET/OU LA GREFFE EDUCATION THERAPEUTIQUE Information sur les traitements déconseillés: Médicaments déconseillés : AINS, lithium, aminosides.. Médicaments avec précautions d emploi : biguanides Adaptation de la posologie des médicaments à élimination rénale Eviter l automédication ( y compris la phytothérapie) Eviter ou surveiller étroitement toute imagerie avec injection de pdt de contraste Place capitale de la diététique Préservation du capital veineux en vue des futurs abords vasculaires
24 Cas clinique 2 ADAPTATION DU MODE DE VIE Activité physique régulière, adaptée au patient Réduction de l obésité ou du surpoids Suppression du tabac Apprentissage des règles nutritionnelles pour l adulte non dialysé Apport en sel limité à 6 g/j dans le cas d HTA Apport énergétique suffisant: 30 à 35 kcal/kg/jour Apport protidique limité à 0.8 g/kg/jour en stade 3 Apport liquidien: ni restreint, ni forcé, adapté à la soif, proche de 1.5l/j Apport potassique: limité en cas d hyperkaliémie (chocolat, légumes secs, bananes, fruits secs). Objectif: K 5.5 mmol/l Apport en phosphore si troubles phosphocalciques. Objectif P 1.45 mmol/l (phosphore essentiellement lié aux protéines et aux céréales) CONTRÔLE DE LA TA ET REDUCTION DE LA PROTEINURIE Par une stratégie thérapeutique (recommandations HAS)
25 Cas clinique 2 VACCINATIONS Vérification du statut sérologique et vaccination contre l hépatite B des patients séronégatifs à partir du stade 3 Vaccination contre la grippe et le pneumocoque à partir du stade 3 Mais le plus tôt est le mieux!!! TRAITEMENT DES COMPLICATIONS DE L INSUFFISANCE RENALE TRAITEMENT DE L ANEMIE: objectif Hb entre 11 et 13 g/100ml En cas d anémie avec Hb < 11.5 g/100ml, rechercher : carence en fer (objectif: ferritine > 100 ng/ml) carence en folates ou en vitamine B12 (macrocytose) syndrome inflammatoire (CRP) La prescription initiale d EPO est réservée aux praticiens hospitaliers (surveillance étroite), la prescription d un apport en fer est systématiquement associée. Les transfusions doivent être évitées si possible
26 Cas clinique 2 TRAITEMENT DES TROUBLES DU METABOLISME PHOSPHOCALCIQUE: Traitement des carences en vitamine D systématiquement (ex: 1 amp UVEDOSE ts les 2 mois ou 3 gttes DEDROGYL/jour) Lutte contre l hyperphosphorémie (restriction en protéines et en céréales) Le recours aux gels d aluminium doit être évité (ex: gelox, phosphalugel, moxydar..) TRAITEMENT DE L HYPERKALIEMIE Objectif: K < 5.5 mmol/l Régime diététique (éviter oléagineux, bananes, fruits secs) Sinon résines d échanges d ions Diurétiques épargneurs de potassium contre indiqués +++ Hospitalisation si K > 7 mmol/l TRAITEMENT DE LA MALNUTRITION PROTEINO ENERGETIQUE: Correction des erreurs diététiques, et si nécessaire prescription de produit de renutrition
27 MESSAGE N 4 MRC stade 3 Facteurs modifiables: HTA Protéinurie Régimes Périodicités de la surveillance : DFG/10 Protéger le capital vasculaire Vaccins +++
28 Cas clinique 3 Mme K., âgée de 38 ans, vient vous consulter après la découverte fortuite lors d un bilan échographique d une polykystose rénale. 1. Quelle est la conduite à tenir? Suite à un déménagement, vous perdez de vue cette patiente pendant 10 ans. Revenue dans la région, elle vient vous voir pour un renouvellement d ordonnance, car elle prend maintenant un IEC pour son HTA. Sa TA est à 150/95, et le bilan biologique montre une clairance de la créatinine à 35ml/mn. 2. Que pouvez-vous faire en attendant la consultation du néphrologue?
29 Cas clinique 3 1. Quelle est la conduite à tenir? Contrôler sa TA Demander un bilan biologique avec Créatinine avec clairance Ionogramme Bilan hépatique ECBU 2. Que pouvez-vous faire en attendant la consultation du néphrologue? Une échographie hépatique et rénale pour visualiser l évolution des kystes Renforcer son traitement anti hypertenseur Revoir au niveau de ses vaccins (hépatite B, grippe, pneumocoque)
30 LA POLYKYSTOSE RENALE DEUX TYPES: la polykystose rénale récessive : rare, concernant l enfant Autosomique dominante : la plus fréquente (1 naissance sur 1000) Deux gènes peuvent être mutés dans la Polykystose Rénale autosomique Dominante (PKRAD) PKD1 est localisé sur le chromosome 16 (16p13) : 85% des cas PKD2 est localisé sur le chromosome 4 (4q21) : 15% des cas DEUX FORMES CLINIQUES: l anévrysme cérébral la polykystose hépatique
31 MANIFESTATIONS RENALES Hypertension artérielle: 60% - 100% Hématurie macroscopique: 50% Protéinurie : 50% Infection : 30-50% Douleurs Lithiase : 10% à 35% Insuffisance rénale : 50% à 60 ans Néoplasie : 1 à 2 %
32 HTA ET PKRAD Fréquente et précoce (60% des patients avant toute altération de la fonction rénale) La maîtrise de l HTA : un des points essentiels de la prise en charge du patient Objectifs: - prévention des complications cardiovasculaires classiques, qui restent la première cause de décès de ces patients - réduction du risque de rupture d un éventuel anévrysme intracérébral - ralentissement de la progression de l atteinte rénale On utilise les antagonistes du SRA et/ou les antagonistes calciques PA < 130/80 mmhg recommandée
33 IRC terminale et PKRAD Recours à un traitement substitutif (dialyse ou transplantation) chez 60% des patients. PKAD1: 50% en IRC TERMINALE au-delà de 54 ans La fréquence de cette complication s'accroît ensuite avec l'âge PKD2: sévérité moins grande car 50% des patients en dialyse à 74 ans Le degré de l'insuffisance rénale est fortement corrélé avec la taille des reins
34 Nouvelles perspectives thérapeutiques ANTAGONISTES DE LA VASOPRESSINE Tolvaptan (échec ) SOMATOSTATINE (espoir..) Octréotide (un analogue de la somatostatine) RAPAMYCINE (échec )
35 MRC STADES 4 ET 5 Avis du NEPHROLOGUE afin de préparer au mieux les patients au démarrage du traitement de suppléance (dialyse ou greffe) Le néphrologue devra informer les patients et leur entourage sur les différentes modalités de traitement Démarrage du traitement de suppléance indiqué si DFG < 10ml/mn ou si premières manifestations cliniques du syndrome d insuffisance rénale terminale 97% des cas : dialyse (hémodialyse ou dialyse péritonéale) la fistule artério-veineuse ou le cathéter pour la dialyse péritonéale doivent être posés plusieurs semaines avant le début de la dialyse La transplantation rénale doit être envisagée précocement si pas de CI Bilan médical complet et inscription sur une liste d attente pour une greffe à partir d un donneur vivant ou décédé Encore 1 malade/4 arrive au stade terminal sans être préparé
36 CONCLUSION: Place du MG dans la PKRAD Traitement précoce et rigoureux de l HTA bénéfique pour prévention des complications cardiovasculaires, y compris le risque de rupture d un Anévrysme intra cérébral ralentissement de la dégradation de la fonction rénale. Demander un angio-irm si atcd familiaux d anévrysmes cérébraux, même si TA normale et si pas de céphalées
37 MESSAGE N 5 TRAITEMENT PRECOCE ET RIGOUREUX DE L HTA dans la PKRAD
38
39
40 MESSAGE N 1 QUEL QUE SOIT LE DFG LA PERSISTANCE PENDANT PLUS DE 3 MOIS D UN OU PLUSIEURS MARQUEURS BIOLOGIQUES D ATTEINTE RENALE TEMOIGNE D UNE MALADIE RENALE
41 MESSAGE N 2 MRC STADES 1 ET 2 HTA ou DIABETE : traitement par IEC ou AA2 (surtout si protéinurie +) Dans les autres groupes, surveiller les patients sur un rythme annuel sauf apparition d élément relevant d un avis spécialisé ou témoignant d une évolution de la maladie
42 MESSAGE N 3 DEVANT UNE IRC NE PAS OUBLIER DE DEMANDER LA PROTEINURIE DES 24 HEURES!!
43 MESSAGE N 4 MRC stade 3 Facteurs modifiables: HTA Protéinurie Régimes Périodicités de la surveillance : DFG/10 Protéger le capital vasculaire Vaccins +++
44 MESSAGE N 5 TRAITEMENT PRECOCE ET RIGOUREUX DE L HTA dans la PKRAD
45 POST TEST 1. La clairance de la créatinine estimée par la formule MDRD est préférable à celle de Cockcroft-Gault VRAI 2. Quelque soit le DFG, la persistance de marqueurs d atteinte rénale pendant plus de 6 mois témoigne d une maladie rénale FAUX 3 mois
46 POST TEST 3. La MRC est classée en 5 stades de sévérité VRAI 4. En stade 1 et 2 de la MRC, il est préférable d introduire un traitement par ß- en cas d HTA FAUX IEC ou AA2
47 POST TEST 5. En stade 3 de la MRC, on peut envisager une surveillance avec une périodicité biologique de DFG/10 VRAI 6. Le traitement d une carence en vitamine D est essentiel dans le cadre d une insuffisance rénale chronique VRAI
48 POST TEST 7. La polykystose rénale se complique d une IRC dans 50% des cas dès l âge de 60 ans VRAI 8. 1 malade sur 4 arrive au stade terminal d une IRC sans avoir été préparé VRAI
chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailLa maladie de Berger Néphropathie à IgA
Néphropathie à IgA La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer
Plus en détailAlgorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
Algorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) Édition Conseil du médicament www.cdm.gouv.qc.ca Coordination Anne Fortin, pharmacienne Élaboration Conseil du médicament Fédération
Plus en détailTraitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant
Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Pr Maryvonne Hourmant Service de Néphrologie-Immunologie clinique. CHU de Nantes Le constat Coût du traitement
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES DANS LE DIABETE DE TYPE 2. Docteur R.POTIER
ACTUALITES THERAPEUTIQUES DANS LE DIABETE DE TYPE 2 Docteur R.POTIER DEFINITION DU DIABETE soit : Syndrome polyuro-polydipsique + amaigrissement + 1 glycémie > 2g/L 2 glycémies à jeun > 1,26g/l 1 glycémie
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détaildabigatran ou rivaroxaban, au long cours présentant une hémorragie ou nécessitant une chirurgie urgente
dabigatran ou rivaroxaban, au long cours présentant une hémorragie ou nécessitant une chirurgie urgente Gilles Pernod et Pierre Albaladejo, pour le Mise en garde Ce texte concerne la prise en charge des
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détailLes Nouveaux AntiCoagulants Oraux
Les Nouveaux AntiCoagulants Oraux (NACO) Emmanuel HAZARD/Jean-loup HERMIL Chronologie Héparine non fractionnée 1950 HBPM 1980 NACO >2008 AVK 1960 Fondaparinux 2002 2 Les indications des NACOs En médecine
Plus en détailInformation pour les patients dialysés qui prennent du chlorhydrate de sévélamer (RENAGEL)
Les autorités de santé de l Union Européenne ont assorti la mise sur le marché du médicament RENAGEL de certaines conditions. Le plan obligatoire de minimalisation des risques en Belgique, dont cette information
Plus en détailProfesseur Diane GODIN-RIBUOT
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailCas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème?
Cas clinique n 1 Michel que vous suivez de longue date a l impression depuis quelques jours, d entendre des battements irréguliers le soir en se couchant ; il va parfaitement bien par ailleurs et rapporte
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailepm > nutrition Formation & Conseil
CATALOGUE FORMATIONS THEME : NUTRITION et SANTE Septembre 2011 Juin 2012 Journée Spéciale pour les Pharmaciens «Conseils Nutritionnels en Officine» Journées de Formation sur Paris «Nutrition de l Adulte»
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT Les étapes du don de rein DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT concerner CHACUN le don du vivant 3 /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailProgramme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie
Programme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie (PEACE) Médecins réviseurs : Dr Steve Brulotte, cardiologue, CSSSAD-Lévis Dr Daniel D Amours, cardiologue, CHU Dr Guy Boucher, cardiologue,
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détailNouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV
Nouveaux Anticoagulants Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Plan Petit rappel d hémostase Anticoagulant oraux classiques Les nouveaux anticoagulants (NAC) Dosage? Comment passer de l'un à l'autre
Plus en détailHémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX
Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailAnémie et maladie rénale chronique. Phases 1-4
Anémie et maladie rénale chronique Phases 1-4 Initiative de qualité en matière d issue des maladies rénales de la National Kidney Foundation Saviez-vous que l initiative de qualité en matière d issue des
Plus en détailLa prise en charge de votre insuffisance cardiaque
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailLa prise en charge des insuffisants rénaux chroniques au stade terminal État des lieux
La prise en charge des insuffisants rénaux chroniques au stade terminal État des lieux Pr. Larbi ABID La maladie rénale chronique que l on nomme insuffisance rénale chronique (IRC) se définit soit par
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailLE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE
LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE Le psoriasis est apparu longtemps comme une maladie de peau isolée mais des études épidémiologiques internationales ces dernières années ont
Plus en détailCours 3 : Python, les conditions
Cours 3 : Python, les conditions Conditions Permet d'exécuter des ordres dans certaines conditions : if condition1: code exécuté si condition1 est vraie code exécuté si condition1 est vraie... elif condition2:
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailInsuffisance rénale. Définition. o Insuffisance rénale aiguë
Insuffisance rénale Définition o Insuffisance rénale aiguë Se traduit par un brusque arrêt de la filtration des déchets du sang et de la production d urine. Associée à un déséquilibre de l organisme en
Plus en détailNEPHROGRAMME ISOTOPIQUE EXPLORATION DE L HYPERTENSION RENO-VASCULAIRE
NEPHROGRAMME ISOTOPIQUE EXPLORATION DE L HYPERTENSION RENO-VASCULAIRE D r Eric OUHAYOUN Service de Médecine Nucléaire - P r J.P. Esquerré CHU Purpan Toulouse - France Néphrogramme isotopique Principe :
Plus en détailContraception après 40 ans
Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailDr Marie-Pierre CRESTA. Agence de la biomédecine SRA Sud-Est/Océan Indien. Juin 2014
Dr Marie-Pierre CRESTA Agence de la biomédecine SRA Sud-Est/Océan Indien Juin 2014 Que savoir en tant que citoyen? Les LBE La greffe, ça marche Que savoir en tant que professionnel? Pénurie, contexte épidémiologique
Plus en détailntred 2007 Résultats de l étude Description des personnes diabétiques
Résultats de l étude ntred 2007 EÉCHANTILLON NATIONAL TÉMOIN REPRÉSENTATIF DES PERSONNES DIABÉTIQUES Le diabète est une maladie chronique de plus en plus fréquente, qui touche en France plus de 2 millions
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailPLACE DES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS ORAUX CHEZ LE SUJET AGE
Journée Club NeuroVasculaire Ile-de-France 27 mai 2014 PLACE DES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS ORAUX CHEZ LE SUJET AGE Eric PAUTAS Hôpital Charles Foix UFR Médecine G.H. Pitié-Salpêtrière-Ch.Foix Inserm U765
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie
Plus en détailControverse UDM télésurveillée Pour. P. Simon Association Nationale de Télémédecine
Controverse UDM télésurveillée Pour P. Simon Association Nationale de Télémédecine Controverse Peut-on être en 2013 opposé au développement de la télémédecine? Pourquoi les patients en insuffisance rénale
Plus en détailEVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet
Plus en détailFiche Produit Profils Médicalisés PHMEV
Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques
Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Christelle MARQUIE CHRU de Lille Clinique de Cardiologie L i l l e 2 Université du Droit et de la Santé Les NOAG: QCM 1. ont les mêmes indications que
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailDr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008. Mise à jour 24-06-08
Diabète de type 2 et Sport Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008 Mise à jour 24-06-08 L activité physique est recommandée depuis longtemps aux patients diabétiques Dès la fin du 19 ème siècle,
Plus en détailDr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon)
Dr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon) Intervention personnalisée à tous les stades de la Maladie Rénale Chronique Prévention de la progression de la maladie rénale Consultation
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détail1 - Que faut-il retenir sur les anticoagulants oraux?
La nouvelle convention pharmaceutique offre l opportunité aux pharmaciens d accompagner les patients traités par anticoagulants oraux au long cours afin de prévenir les risques iatrogéniques. Les anticoagulants
Plus en détailPas anodine, la créatinine!
Pas anodine, la créatinine! F O R M A T I O N C O N T I N U E M. Rinfret se présente à votre cabinet pour son premier examen. «À 50 ans, j ai encore les reins solides!», vous dit-il. Isabelle Chapdelaine
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailDiatélic DP : télémédecine pour la prévention des aggravations de santé des dialysés à domicile
DP : télémédecine pour la prévention des aggravations de santé des dialysés à domicile Jacques CHANLIAU, François CHARPILLET, Pierre-Yves DURAND, Robert HERVY, Jean-Pierre THOMESSE, Luis VEGA Résumé. DP
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailSuivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation
SYNTHESE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation Novembre 2007 OBJECTIF Assurer une qualité optimale du suivi et de
Plus en détailLe VIH et votre apparence physique
Le VIH et votre apparence physique Le VIH et votre apparence physique Les personnes séropositives subissent-elles souvent des changements de l apparence physique? Il est difficile de dire avec exactitude
Plus en détailLes Nouveaux Anticoagulants Oraux (NAC) Société STAGO -HOTEL MERCURE 22 Novembre 2012 - Troyes
Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NAC) Société STAGO -HOTEL MERCURE 22 Novembre 2012 - Troyes 1 Marché global des anticoagulants Un Marché en explosion: 6 milliards de $ en 2008 9 milliards de $ attenduen
Plus en détailEthique, don d organe et Agence de la Biomédecine
Ethique, don d organe et Agence de la Biomédecine Patrick Niaudet Président du Conseil d Orientation de l ABM Servie de Néphrologie Pédiatrique Hôpital Necker-Enfants Malades, Paris Mon intervention ne
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailRIVAROXABAN ET TESTS DE BIOLOGIE MEDICALE
RIVAROXABAN ET TESTS DE BIOLOGIE MEDICALE Ce texte est une mise au point d Octobre 2012, dont le contenu sera revu en fonction de l avancement des connaissances Rédacteurs : Isabelle Gouin-Thibault 1,
Plus en détailRÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES
CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme
Plus en détailCRPP. Syndrome MYH9. Centre de Référence des Pathologies Plaquettaires. Livret destiné au patient
CRPP Centre de Référence des Pathologies Plaquettaires Syndrome MYH9 Macrothrombocytopénies constitutionnelles liées à MYH9 (Anomalie de May-Hegglin, Syndrome de Sebastian, d Epstein, de Fechtner, d Alport-like
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailDémarrage du prélèvement d organes et de Tissus sur donneurs décédés au Maroc
Démarrage du prélèvement d organes et de Tissus sur donneurs décédés au Maroc B.Ramdani Président du coneil consultatif de Transplantation d'organes et de tissus humains benyounsramdani@gmail.com 1 INTRODUCTION
Plus en détailTRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND
TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules
Plus en détailProgramme cantonal Diabète une réponse de santé publique au service des patients
Programme cantonal Diabète une réponse de santé publique au service des patients Dr Isabelle Hagon- Traub Mme Léonie Chinet Direc:on Programme cantonal Diabète Maladies chroniques: préoccupations partagées
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences?
Les nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences? Emmanuel Andrès Service de Médecine Interne Diabète et Maladies métabolique Clinique Médicale B - CHRU de Strasbourg Remerciements au Professeur
Plus en détailIMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES
DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs
Plus en détailLa transplantation rénale avec donneur vivant Aspects particuliers dans le cadre des maladies rénales transmises génétiquement
La transplantation rénale avec donneur vivant Aspects particuliers dans le cadre des maladies rénales transmises génétiquement n Professeur Michel Broyer. Hôpital Necker Enfants malades, Paris Membre du
Plus en détailTélésurveillance à domicile de patients chroniques et pratiques collaboratives : arrêt sur image vu d un Industriel
Télésurveillance à domicile de patients chroniques et pratiques collaboratives : arrêt sur image vu d un Industriel Colloque Tic Santé,11 février 2010 Dr France Laffisse, Orange Healthcare Plan Télésurveillance
Plus en détailAutomesure de la tension artérielle
Automesure de la tension artérielle Pour mieux surveiller votre santé Illustration Imothep M.-S. Être bien informé, mieux se prendre en charge Souhaitez-vous mesurer vous-même votre tension? Comprendre
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailL ORDONNANCE CHEZ L IRC: PIEGES ET BALISES. Dr Parotte M-C Néphrologue CHPLT Verviers 27 Avril 2013
L ORDONNANCE CHEZ L IRC: PIEGES ET BALISES Dr Parotte M-C Néphrologue CHPLT Verviers 27 Avril 2013 => QUELLE EST LA FONCTION RENALE DE MON PATIENT? MDRD: COCKROFT: Clairance créatinine ml/min = [140-âge
Plus en détailPharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux
Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailPharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux
Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Dr A.Lillo-Le Louët, Centre Régional de Pharmacovigilance (CRPV) Paris-HEGP Avec avec Dr P.Lainé, CRPV - Angers Préambule Directeur du Centre Régional
Plus en détailUn diabète de type 2. Vers un programme Sport Santé pour les personnes vivant avec. Atelier animé par :
Vers un programme Sport Santé pour les personnes vivant avec Un diabète de type 2 Atelier animé par : Pr Martine Duclos CHU Montpied, Clermont-ferrand Dr Julien Aucouturier UFR STAPS, Lille Séminaire interactif
Plus en détailLe diabète en France L épidémie silencieuse du XXI ème siècle. Optimiser la prise en charge du diabète afin de limiter son expansion et son coût
Le diabète en France L épidémie silencieuse du XXI ème siècle Optimiser la prise en charge du diabète afin de limiter son expansion et son coût Le diabète est une véritable épidémie. Cette maladie chronique
Plus en détailsoins va changer et quelle est la place des TIC?
Pourquoi l organisation des soins va changer et quelle est la place des TIC? Docteur Pierre Simon Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL) Luxembourg 15 avril 2010 UN RAPPORT «La place
Plus en détailSuivi Biologique des Nouveaux Anticoagulants
Suivi Biologique des Nouveaux Anticoagulants M.M. Samama, M-H. Horellou, C. Flaujac, J. Conard Groupe Hémostase-Thrombose Hôtel-Dieu L. Le Flem, C. Guinet, F. Depasse Biomnis - Ivry sur Seine TFPI TFPI
Plus en détailL eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %
24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.
Plus en détailTRAITEMENT DE L ANÉMIE AU COURS DE L INSUFFISANCE RÉNALE CHRONIQUE DE L ADULTE
TRAITEMENT DE L ANÉMIE AU COURS DE L INSUFFISANCE RÉNALE CHRONIQUE DE L ADULTE RECOMMANDATIONS Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé, mai 2005 Afssaps - 143/ 147, bd Anatole France
Plus en détailLIGNE MÉTIER RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET BIOTECHNOLOGIE DES SERVICES POUR RÉPONDRE À VOS ENJEUX MÉTIER
LIGNE MÉTIER RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET BIOTECHNOLOGIE DES SERVICES POUR RÉPONDRE À VOS ENJEUX MÉTIER Le secteur de la Recherche scientifique et de la biotechnologie connaît un fort dynamisme, attesté par
Plus en détailjournées chalonnaises de la thrombose
Nos connaissances certaines et notre pratique journalière : Les Nouveaux Anticoagulants dans la thromboprophylaxie de la chirurgie prothétique du MI Benoit Cots et Jean Marc Royer le 29/11/12-1 Recommandations
Plus en détailOrdonnance collective
Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant
Plus en détail