COURGETTE de printemps sous abri en sol Fiche culturale Janvier Calendrier de culture et rendement
|
|
- Norbert Gauvin
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Le 13 des Serres les Faits de Serre 84 1 COURGETTE de printemps sous abri en sol Fiche culturale Janvier 2005 La courgette est la première culture qui peut être plantée sous tunnel froid au printemps : du 15 février au 15 mars selon les zones de production. Elle entre en production assez rapidement, 5 à 6 semaines après plantation. Etant une culture assez courte, elle permet de libérer les serres en été, notamment pour divers travaux tels que solarisation, engrais vert, culture d'été Une contrainte importante : la récolte, qui devient rapidement quotidienne. Si la courgette revient trop souvent sur la même parcelle, il y a des risques de graves maladies du sol (Fusarium solani) Calendrier de culture et rendement TYPE DE RENDEMENT EN PERIODES CULTURE kg/m 2 (2) (1) semis plantation récolte Fin mai Fin juin Chapelle ou tunnel chauffé 1 au 15/1 1 au 15/2 10/3 au 30/6 6 à 8 9 à 12 Tunnel non chauffé 20/1 au 20/2 15/2 au 15/3 25/3 au 30/6 4 à 7 7 à 12 (1) Pour les plantations précoces, sous abri froid ou chauffé basse température, une protection temporaire (chenille) est nécessaire en début de culture. (2) Il s agit de rendement commercial total. A certaines périodes, la part de 2 ème choix peut être importante. Le rendement moyen hebdomadaire fluctue entre 0,5 kg/m² et 1kg/m². Le potentiel de production est variable selon : - les conditions de culture : calendrier de production, climat, état du sol, état sanitaire, palissage - la variété et le calibre de récolte.
2 2 Variétés Consulter la fiche sur les variétés actualisée chaque année et diffusée en novembre - décembre dans les bulletins des CETA Le 13 des serres ou Les Faits de serre 84. Pépinière Durée d'élevage du plant : environ 3 semaines. Semis : un semis direct en mottes est déconseillé. Semer en terrine, à une température de 25 C. Repiquage : en mottes de 6 ou 7,5 au stade cotylédons déployés (soit 4 à 5 jours après semis). Conduite du plant : Irrigation : ne pas arroser avec une eau à température inférieure à 16 C. Eviter les à-coups d'irrigation et le dessèchement des mottes. Températures : D abord à 20 C puis abaissement progressif à la température de culture : 10 à 12 C (tunnels chauffés) ou 6 à 8 C (tunnels non chauffés). Pour renforcer le plant et faciliter la plantation, on peut supprimer la première feuille quand apparaît la 3 ème feuille. Culture Densité et dispositif de plantation Densité de plantation : 1,5 à 1,6 plants/m 2 avec un écartement minimum entre plantes de 40 cm. Dispositif de plantation : Pour exprimer tout son potentiel, la courgette a besoin de beaucoup de lumière.
3 3 L intérêt des rangs simples par rapport aux rangs doubles se confirme en culture comme dans les essais. Les rangs simples assurent de meilleures conditions d ensoleillement et d aération des plantes. Mais les densités obtenues peuvent être un peu plus faibles et donc pénaliser le rendement précoce. La disposition des rangs et la largeur des allées doivent aussi être raisonnées en fonction des techniques de récolte (chariots, seaux) et de traitement. Exemples de dispositif de plantation pour une densité voisine de 1,5 1,6 plants/m 2 : Type de serre Nombre de rangs Distance entre plantes Densité Tunnel 8 M 5 rangs simples 40 cm 1,55/m 2 Tunnel 8 M 6 rangs* 45 cm 1,65/m 2 Tunnel 7 M 5 rangs simples 45 cm 1,6/m 2 Tunnel 7 M 6 rangs* 50 cm 1,7/m 2 Chapelle 6.40 M 5 rangs simples 50 cm 1,55/m 2 Tunnel ou chapelle 9.60 M 6 rangs simples 40 cm 1,55/m 2 *3 rangs doubles ou 2 rangs simples + 2 rangs doubles Préparation du sol et plantation Préparation du sol : elle doit permettre de planter dans un sol chaud et bien travaillé pour assurer un développement optimal des racines et une bonne circulation de l'eau : - travail en profondeur pour obtenir un sol meuble, fin en surface et sans semelle de labour, - apport d une fertilisation organique et minérale raisonnée en fonction de l analyse de sol, La réalisation de buttes favorise le réchauffement du sol, la circulation de l'eau et l'implantation du système racinaire. Paillage du sol : il a pour but de réchauffer le sol et/ou de lutter contre les mauvaises herbes.
4 4 Type de paillage Fumé ou opaque thermique Transparent Noir Réchauffement du sol Lutte contre les mauvaises herbes Pour les plantations précoces, la pose d'un paillage transparent ou opaque thermique au moins une semaine avant plantation sur le sol (ou sur les buttes) préalablement humidifié permet de le réchauffer. A la plantation : ne pas enterrer le collet. Conduite du climat Pour les cultures chauffées, la technique la plus adaptée est le chauffage basse-température avec une protection temporaire ("chenille") en début de culture. Pour les cultures précoces non chauffées, installer impérativement une protection temporaire ("chenille"). Des mois de février et mars particulièrement froids peuvent même imposer des protections supplémentaires (aspersion antigel ou P17). La reprise du plant exige une forte hygrométrie pendant quelques jours. Attention au risque de climat trop chaud et trop sec sous la chenille (ou dans la serre après plantation s il n y a pas de chenille), surtout si le sol est paillé. Pratiquer des bassinages si nécessaire. Ensuite, il faut bien aérer pour assurer un développement équilibré des plantes. Températures de l'air - Croissance : minimale 7-10 C maximale 35 C optimale C - Floraison : minimale 10 C. En dessous, risque de coulure des fleurs et de fruits déformés. optimale 20 C la nuit, 25 C le jour - Température létale : - 1 C
5 5 Température du sol - minimum 12 C - Avec le chauffage basse température, chauffer le sol à 18 à 20 pour la reprise puis à 16 C. Hygrométrie optimum : 60 à 80%. Irrigation Attention aux excès d eau ou aux à-coups d'irrigation responsables de dépérissements racinaires et de pourritures de collet. Arroser régulièrement. L'arrosage au goutte à goutte est indispensable et les apports doivent être fractionnés. Le nombre et la dose des apports sont fonction du type de sol. Jusqu'à la reprise, le goutteur peut être laissé près des mottes puis il doit être éloigné d'environ 20 cm pour éviter les problèmes sanitaires au collet. Ajuster les apports en contrôlant l'humidité du sol (tarière, tensiomètres...) Besoins indicatifs : - De la floraison au grossissement des 1 ers fruits : 60 % de l ETP serre. - En récolte : 80 à 100 % de l ETP serre. Fertilisation La fertilisation raisonnée est fondée sur un suivi analytique. Les données qui suivent sont donc indicatives. Elles doivent être vérifiées à chaque stade par des analyses. Fertilisation starter : Eventuellement, en sol calcaire, on peut apporter à la plantation une fumure starter dans le goutte à goutte, avec 2 apports de 50 Kg/ ha de phosphate monoammonique (12-61), espacés d'une semaine. Fertilisation d'entretien : à partir du début de la récolte avec des apports selon l'équilibre : N P2 05 K2 0 Mg 0 1 0,6 1,5 0,3
6 6 à raison de 10 à 20 unités d'azote par hectare par semaine à moduler selon le comportement et la charge de la plante et selon les résultats d'analyse (nitratests). Faire régulièrement des nitratests pour ajuster la fertilisation azotée. L'objectif est de se situer au résultat du test dans une zone autour de 50 unités d'azote par hectare. Certaines variétés peu vigoureuses peuvent demander une conduite poussée avec une fertilisation plus précoce et plus soutenue. Dans le cas de variétés très vigoureuses, la fertilisation d entretien devra être réduite. Amélioration de la nouaison Les fleurs de courgette sont unisexuées, mâle ou femelle. Chaque plante porte à la fois des fleurs mâles et des fleurs femelles Pour améliorer la nouaison : Installer des ruches ou ruchettes d'abeilles à l intérieur des serres, surtout en culture précoce. Plus tard en saison, quand les serres sont ouvertes et le temps plus clément, des ruches à l'extérieur suffisent. Les fleurs femelles apparaissent avant les fleurs mâles. Pour compenser ce décalage et favoriser la pollinisation des premières fleurs, il peut être intéressant de planter quelques plants plus avancés (semés quelques jours plus tôt). En début de culture, toutes les variétés ont suffisamment de fleurs mâles. Par la suite, elles se raréfient et peuvent même disparaître à certaines périodes. Certaines variétés conservent mieux leurs fleurs mâles que d'autres. C est pourquoi il peut être intéressant de mettre dans la culture 5 à 10% d'une variété "pollinisatrice" (voir fiche APREL sur les variétés), dont les fruits devront dans certains cas être commercialisés à part. Si les conditions ne sont pas favorables au travail des abeilles (absence de fleurs mâles ou mauvaises conditions climatiques), appliquer Tonifruit à demi dose soit 30 g/hl (voir conditions d'emploi). Les conditions climatiques, notamment les températures trop basses ou trop hautes, les écarts importants de températures entre le jour et la nuit, les hygrométries trop faibles ou trop hautes ont une influence importante sur la floraison, la nouaison et la déformation des fruits.
7 7 Palissage Il s impose d autant plus que la culture est longue et que la variété a des entre-noeuds longs. Il procure une meilleure qualité de fruits, une facilité accrue de récolte en culture prolongée et un meilleur rendement. Il est pratiqué sur 1 à 3 ficelles attachées au pied avec un crochet. Les plantes sont ensuite régulièrement enroulées ou fixées par des crochets, ou simplement redressées entre les 2 ou 3 ficelles. Récolte Elle débute 35 à 40 jours après la plantation. Le délai entre 2 récoltes est de 36 heures au début, en période de faible croissance, puis de 24 heures. On récolte en général des fruits de 18 à 21 cm (peut varier selon le circuit commercial). Protection phytosanitaire Voir la fiche APREL "Protection de la courgette". Bibliographie La courgette - Ctifl - septembre 2002 Optimiser la production des légumes sous abris - Chambre d'agriculture des Bouches du Rhône - septembre 2002 Comptes-rendus d'essais APREL Rédaction : A. Terrentroy (Chambre d'agriculture 13) Groupe de travail : M. Chaix (CETA d'eyguières), T. Corneille (CETA de Chateaurenard)), F. Delcassou (CETA d'eyragues, J.L Delmas (CETA Durance Alpilles), S. Gasq (Chambre d'agriculture 84 ), C. Goillon (CETA de St-Martin de Crau), H. Ernout (CETA des serristes de Vaucluse), D. Izard (Chambre d'agriculture 84- APREL)), J. Odet (Ctifl -APREL), F. Petitjean (CETA du Soleil), R. Tisiot (GRCETA de l Etoile), F. Veyrier (CETA d' Aubagne).
VITICULTURE 2012 V 12 / PACA 02 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE
VITICULTURE 212 V 12 / PACA 2 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse 1- Identification de l action a. Responsables techniques et partenaires :
Plus en détailInformations techniques sur la culture de l ananas
Informations techniques sur la culture de l ananas Conditions de culture favorables (choix de la parcelle) : Sol drainant et plutôt acide. Terrain exposé au soleil. Accès à l eau pour l irrigation durant
Plus en détailLa culture de la fraise à jours neutres
La culture de la fraise à jours neutres INTRODUCTION : Introduite en 1985 par l'université Laval à titre d'essai, la culture de la fraise à jour neutre est restée une production marginale au Québec. Le
Plus en détailFiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008
Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel
Plus en détailFiche technique n 1 : le logement construction des boxes.
Bâtiments d élevage : Pourquoi? Aspects climatiques : Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes. - le porc est sensible aux brusques changements du climat, - surexposition au soleil : déshydratation
Plus en détailSorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses
Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au
Plus en détailLe séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA
Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA Séchage du foin en grange Séchage en grange Technique originaire des zones de montagnes Suisse Autriche Jura
Plus en détailFICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE
FICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE 2 I- JUSTIFICATION La consommation de la pastèque est en nette expansion en réponse à une forte demande nationale et régionale ; Cependant la production
Plus en détailBibliothèque Royale Albert 1er
Bibliothèque Royale Albert 1er Description du projet Ce projet a pour but de valoriser des espaces plats et inutilisés (toit, terrasse ou autre) par la création de potagers écologique (sans pesticide,
Plus en détailInfluence du changement. agronomiques de la vigne
Influence du changement climatique sur les résultatsr agronomiques de la vigne à l'aide du modèle STICS Iñaki García a de Cortázar Atauri Unité CSE - Avignon Réunion Protection du Vignoble Changement Climatique
Plus en détailPlacettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr
Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» 13 PROTOCOLE 1/2 Les vers de terre sont de bons indicateurs de la qualité du sol. Ils sont également des acteurs indispensables de sa fertilité
Plus en détailAssociation des. Objectifs. convivialité, réunir les habitants autour du jardinage. action sociale, action environnementale,
Objectifs Association des convivialité, réunir les habitants autour du jardinage action sociale, création de jardins familiaux action environnementale, promouvoir un jardinage respectueux de l environnement
Plus en détailCOMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS?
COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS? Par Philippe et Marie-Noëlle LENOIR Un couple du Volontaires du Progrès qui travaille à GALIM Département des Bamboutos, Province de l Ouest, nous adresse cette fiche
Plus en détailEvaluation de cépages résistants ou tolérants aux principales maladies cryptogamiques de la vigne
VITICULTURE 27 Evaluation de cépages résistants ou tolérants aux principales maladies cryptogamiques de la vigne Marc Chovelon Grab Mathieu Combier Chambre d Agriculture du Var Gilles Masson Centre du
Plus en détailNOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine
NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine «Capteur autonome eau chaude» Choix de la gamme ECOAUTONOME a retenu un capteur solaire
Plus en détailGUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger
GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger SOMMAIRE GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger o o o o o o o o o o o o
Plus en détailProduire avec de l'herbe Du sol à l'animal
GUIDE PRATIQUE DE L'ÉLEVEUR Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal avril 2011 BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE SOMMAIRE Paroles d éleveurs 4 Quelle place donner à l herbe Le choix d un système fourrager 8
Plus en détailGrandes cultures Engrais liquides ou granulaires?
Grandes cultures Engrais liquides ou granulaires? Louis Robert, agronome, M. Sc. Conseiller régional en grandes cultures Même s ils ne sont pas nouveaux sur le marché, les engrais de démarrage liquides
Plus en détailDROUHIN Bernard. Le chauffe-eau solaire
DROUHIN Bernard Le chauffe-eau solaire DROUHIN Bernard Le chauffe-eau solaire Principe de fonctionnement Les Capteurs Les ballons Les organes de sécurité Les besoins L ensoleillement dimensionnement Comment
Plus en détailDomosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage
Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Tc Le système solaire combiné (SSC) Domosol de ESE est basé sur le Dynasol 3X-C. Le Dynasol 3X-C est l interface entre les
Plus en détailFiche Technique. sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de terre. (Solanum tuberosum L.) au Cameroon
Fiche Technique sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de terre (Solanum tuberosum L.) au Cameroon I. JUSTIFICATION La pomme de terre est une culture importante qui participe à la sécurité alimentaire
Plus en détailMODÈLE C Électronique
MODÈLE C Électronique MANUEL D UTILISATION ET D ENTRETIEN www.valtherm.ca Tél. 514.880.5012 Fax. 450.735.0935 info@valtherm.ca TABLE DES MATIÈRES CARACTÉRISTIQUES GÉNÉRALES MISE EN GARDE COMMENT DÉTERMINER
Plus en détailProduire en grand tunnel multichapelle ou en serre froide individuelle Quelle structure choisir?
Produire en grand tunnel multichapelle ou en serre froide individuelle Quelle structure choisir? Christine Villeneuve, agr. MAPAQ, Ste-Martine 25 janvier 2012 Impact des changements climatiques sur l'agroclimat
Plus en détailL EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les
L EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les deuxièmes plus grands consommateurs d eau potable, juste
Plus en détailCOMMUNE DE PONT A MARCQ CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES
COMMUNE DE PONT A MARCQ CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Objet du Marché : Procédure adaptée pour «entretien des espaces verts de la commune de Pont à Marcq» Année 2013 Maître d ouvrage : Commune
Plus en détailFiche-conseil C5 Production d eau chaude sanitaire
Service d information sur les économies d énergie Fiche-conseil C5 Production d eau chaude sanitaire 1 Préparation de l eau chaude sanitaire 2 1) Différents systèmes de production A Chaudière combinée
Plus en détailTout au long de l année
Objectifs Familiariser les élèves avec le relevé d informations sur un journal de bord. Apprendre aux élèves à utiliser des instruments d observation scientifiques. Réaliser des dessins d observations
Plus en détailSemis direct du maïs
Département fédéral de l'économie DFE Station de recherche Agroscope Reckenholz-Tänikon ART Semis direct du maïs Etude comparative de différents semoirs pour semis direct Bernhard Streit Journée d information
Plus en détailCoûts des pratiques viticoles dans le Sud-Ouest en fonction de la typologie de production. Damien AMELINE, CER France Midi-Pyrénées
Coûts des pratiques viticoles dans le Sud-Ouest en fonction de la typologie de production Damien AMELINE, CER France Midi-Pyrénées 10 Damien décembre Ameline 2010 (CER France Toulouse Midi-Pyrénées) Compétitivité
Plus en détailGrêle : précipitation de glace avec un diamètre de quelque cm Grésil : grêlon avec un diamètre <5mm peu de dégâts
1. 2 CHAPITRE 2 : PROTECTION DES CULTURES CONTRE LES ACCIDENTS CLIMATIQUES 2.1 Grêle Grêle : précipitation de glace avec un diamètre de quelque cm Grésil : grêlon avec un diamètre
Plus en détailValérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015
Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Mise en contexte Résultats des essais du CETAB+ Méthodologie; Biomasse et facteurs de variation; Rendements en maïs et corrélations avec l azote apporté;
Plus en détail36% T.Flow VMC hygroréglable & chauffe eau thermodynamique QUAND LA VENTILATION RÉINVENTE L EAU CHAUDE. BÉNÉFICIEZ DE
T.Flow VMC hygroréglable & chauffe eau thermodynamique QUAND LA VENTILATION RÉINVENTE L EAU CHAUDE. BÉNÉFICIEZ DE 36% DE CRÉDIT D'IMPÔTS Loi de finance 2011 T.Flow Un système révolutionnaire 2 en 1 Seul
Plus en détailBancs publics. Problématiques traitées : FICHE
Bancs publics Pour un piéton dont les ressources de mobilité sont limitées, le banc public n est pas uniquement un lieu de détente, mais il lui sert également à retrouver des forces pour poursuivre son
Plus en détailUne gamme d outils qui s étoffe
Une gamme d outils qui s étoffe 1 Une gamme d outils à la disposition de tous Tous ces outils sont disponibles sur www.cetiom.fr Gratuits et sans inscription Nouveautés : les 2 premières applications smartphone
Plus en détailSTRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE
STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE JM.DEUMIER, B.LACROIX, A.BOUTHIER, JL.VERDIER, M.MANGIN Les cultures irriguées bénéficient
Plus en détailAu revoir, l été! Auteur inconnu
Compréhension de lecture Andrée Otte Au revoir, l été! Auteur inconnu Voilà trois semaines que nous sommes rentrés à l école. Au calendrier, nous lisons : 20 septembre. Demain commence l automne. Au revoir
Plus en détailPrésentation du projet
Présentation du projet «L énergie solaire, un moteur pour le centre de santé de Dioumanzana» au Mali Pays Lieu d intervention Début du projet Durée du projet Objectif : Nombre de bénéficiaires Budget :
Plus en détailTABLE RONDE MISE EN PLACE DE RECOURS EFFECTIFS VISANT A CONTESTER LES CONDITIONS DE DETENTION
TABLE RONDE MISE EN PLACE DE RECOURS EFFECTIFS VISANT A CONTESTER LES CONDITIONS DE DETENTION organisée dans le cadre du projet financé par le Fonds fiduciaire «droits de l homme» (HRTF) Conseil de l Europe,
Plus en détailLa lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures. Geneviève Labrie
La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures Geneviève Labrie La lutte intégrée Portrait des dommages au Québec Financière agricole du Québec 880 avis de dommages depuis 2008 224 avis
Plus en détailBilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes
ATMO Poitou-Charentes, centre régional de surveillance de la qualité de l air Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes Crédit-photo : Gérard Sulmont (RNSA) Référence : POLN_EXT_12_193
Plus en détailMODÈLE C MANUEL D UTILISATION ET D ENTRETIEN
MODÈLE C MANUEL D UTILISATION ET D ENTRETIEN www.valtherm.ca Tél. 514.262.5010 Fax. 450.735.0935 info@valtherm.ca TABLE DES MATIÈRES CARACTÉRISTIQUES GÉNÉRALES MISE EN GARDE COMMENT DÉTERMINER LA PUISSANCE
Plus en détailL offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC)
L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC) SSC signifie : Système Solaire Combiné. Une installation SSC, est une installation solaire qui est raccordée au circuit de chauffage de la maison,
Plus en détailfréquentation des sites Move Your Alps
fréquentation des sites Move Your Alps Une hausse globale de 30 % et un été exceptionnel! Statistiques globales Du 1 er Janvier au 31 Août 2014 # Sessions 367 660 # Pages vues 1 497 020 # Utilisateurs
Plus en détailMaïs Inoculants LE CATALOGUE PIONEER 2015
Maïs Inoculants LE CATALOGUE PIONEER 2015 LA GAMME MAIS ET LE GUIDE DES SOLS PIONEER 2015 Choisissez la variété adaptée à vos besoins PRECOCITE VARIETE MAIS ENSILAGE TYPE DE SOL Rendement énergétique Densité
Plus en détailMur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat. 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat
Détails 1. Mur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat Crochet type mur sec Mortier Membrane d'étanchéite Chaînage béton Brique
Plus en détailRESULTATS DE L ESSAI VARIETES D ORGES D HIVER EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAMPAGNE 2007-2008
C.R.E.A.B. MIDI-PYRENEES CENTRE REGIONAL DE RECHERCHE ET D EXPERIMENTATION EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE MIDI-PYRENEES RESULTATS DE L ESSAI VARIETES D ORGES D HIVER EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAMPAGNE 2007-2008
Plus en détailCONSTRUIRE VOTRE EVENEMENT
CONSTRUIRE VOTRE EVENEMENT 15 DOCUMENTATION TECHNIQUE PARIS www.jaulin.com +33 (0)1 69 79 20 20 commercial@jaulin.com Du rêve à la réalité, De la conception à la réalisation Conception et production Auditoire
Plus en détail«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»
Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.
Plus en détailVers le renouveau du logement social Un besoin impératif A.DE HERDE
Vers le renouveau du logement social Un besoin impératif A.DE HERDE 1 Le nombre de logements dont la SWL et ses sociétés agréées sont propriétaires s élève à 101.242 ; le montant annuel des investissements
Plus en détailMoyens de production. Engrais
Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement
Plus en détailUn expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale
Le développement du semis-direct sous couverture végétale pour les agriculteurs des exploitations familiales des biomes Cerrados (2005-2009) et Amazonia (2008-2013) Un expérience pluridisciplinaire de
Plus en détailConseil Spécialisé fruits et légumes
Conseil Spécialisé fruits et légumes Proposition d axes pour l expérimentation pour 2013/2015 dans la filière fruits et légumes frais (hors pomme de terre) 18 décembre 2012 FranceAgriMer Préparation de
Plus en détailTCS, strip-till et semis direct
Témoignage dethierry Lesvigne Polyculture Elevage Bovin Lait La Bernaudie 24 480 ALLES- SUR-DORDOGNE Depuis 2008, Thierry Lesvigne a choisi repenser l ensemble de son système agronomique et a arrêté définitivement
Plus en détailRotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul
Colloque sur la pomme de terre Une production à protéger 13 novembre 2009, Québec Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul Marc F. CLÉMENT., agronome, conseiller
Plus en détailSOMMAIRE. 1 Le contexte et les objectifs 1-1 Les enjeux environnementaux 1-2 La démarche locale 1-3 Les principes retenus
2 SOMMAIRE 1 Le contexte et les objectifs 1-1 Les enjeux environnementaux 1-2 La démarche locale 1-3 Les principes retenus 2 Les exigences techniques 2-1 La gestion de l énergie 2-2 L eau et les déchets
Plus en détailRésidence des Badinières
Résidence des Badinières Bienvenue à la 2 ème réunion d information et d échange «chauffage et eau chaude sanitaire» 22 janvier 2010 Réunion "chauffage" des Badinières 1 Sommaire Le contexte général (national)
Plus en détailALFÉA HYBRID DUO FIOUL BAS NOX
ALFÉA HYBRID BAS NOX POMPE À CHALEUR HYBRIDE AVEC APPOINT FIOUL INTÉGRÉ HAUTE TEMPÉRATURE 80 C DÉPART D EAU JUSQU À 60 C EN THERMODYNAMIQUE SOLUTION RÉNOVATION EN REMPLACEMENT DE CHAUDIÈRE FAITES CONNAISSANCE
Plus en détailFiche technique. Comment lutter contre les nématodes parasites des cultures maraichères par la solarisation?
Institut National de la Recherche Agronomique du Niger Réseau National des Chambres d'agriculture du Niger Fiche technique RECA Réseau National des Chambres N d Agriculture du Niger iger Comment lutter
Plus en détailInstructions d'utilisation
U22 K 7208 5500 0/2003 FR (FR) Pour l'opérateur Instructions d'utilisation Chaudière à condensation à gaz Logamax plus GB22-24/24K Prière de lire ces instructions avec soin avant l'utilisation Avant-propos
Plus en détailHerrebout-Vermander N.V. S.A.
Pag. 1/5 Herrebout-Vermander N.V. S.A. Kuurne, mai 2002 rev. Janvier 2005 Le parquetteur est parti, et qu'est-ce qu'on fait maintenant Félicitations avec votre nouveau Le parquet est un revêtement de sol
Plus en détailNOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis
TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son
Plus en détailGRENADE / GARONNE 30 janvier 2014. Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne
LA RESTAURATION SCOLAIRE GRENADE / GARONNE 30 janvier 2014 Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne LES OBJECTIFS Apporter aux enfants une alimentation de Qualité pour répondre à leurs
Plus en détailSERRICULTURE MARAÎCHÈRE BIOLOGIQUE QUE SE PASSE-T-IL DANS LE SOL? Par : ANDRÉ CARRIER, agronome LE SOL IDÉAL?! Les livres de pédologie parlent souvent en ces termes : 45% de matières minérales; 5% de matière
Plus en détailBILAN HYDRIQUE ET BESOIN D IRRIGATION DE LA CEREALICULTURE EN REGION SEMI-ARIDE.
Résumé Des travaux de recherches combinant les précipitations annuelles et les températures, classent la zone d étude dans le climat méditerranéen de l étage semi-aride (Seltzer, 1949; Emberger, 1955).
Plus en détailINFLUENCE OP DIFFERENT AERATION SYSTEMS ON THE CLIMATE AND THE FRUITSET OF A MUSKMELON UNLER PE GREENHOUSE
INFLUENCE OP DIFFERENT AERATION SYSTEMS ON THE CLIMATE AND THE FRUITSET OF A MUSKMELON UNLER PE GREENHOUSE H. Verlodt J. Triki N. Ennabli Projet de Cooperation Belge Laboratoire de Génie Rural Institut
Plus en détailCM41. Honeywell THERMOSTAT D'AMBIANCE PROGRAMMABLE JOURNALIER NOTICE D'UTILISATION. Table des matières
Honeywell CM41 THERMOSTAT D'AMBIANCE PROGRAMMABLE JOURNALIER NOTICE D'UTILISATION Table des matières INTRODUCTION 2 CARACTERISTIQUES 2 MISE A L'HEURE CORRECTE 2 PROGRAMMATION DES NIVEAUX DE TEMPERATURE
Plus en détailInfo.pl@ine STRATEGIE AGRONOMIQUE
Info.pl@ine N 453 20 février 203 5 pages CEREALES BLE Priorité au désherbage STRATEGIE AGRONOMIQUE Les conditions météo idéales sont une forte hygrométrie, des températures dces et un sol suffisamment
Plus en détailYwood Les Docks Libres à Marseille
Ywood Les Docks Libres à Marseille S. Bouquet 1 Ywood Les Docks Libres à Marseille Stéphane Bouquet NEXITY / YWOOD FR-Paris, Marseille 2 Ywood Les Docks Libres à Marseille S. Bouquet 5 ème Forum International
Plus en détailMARCHES PUBLICS DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES. VILLE DE COUILLY PONT AUX DAMES Hôtel de Ville 46 rue Eugène Léger 77860 COUILLY PONT AUX DAMES
MARCHES PUBLICS DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES VILLE DE COUILLY PONT AUX DAMES Hôtel de Ville 46 rue Eugène Léger 77860 COUILLY PONT AUX DAMES ENTRETIEN DES INSTALLATIONS DE CHAUFFAGE ET DE PRODUCTION
Plus en détailGESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS
GESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS Stockage et Epandage Etude réalisée pour le compte de l ADEME par : SOLAGRO : M. Christian COUTURIER AQUASOL : M. Thierry BRASSET Coordination technique
Plus en détailComment utiliser les graines de soja à la cuisine
Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Auteur : Renate Schemp Box 90612 Luanshya Zambie Traduction : SECAAR Service Chrétien d Appui à l Animation Rurale 06 BP 2037 Abidjan 06 Côte d Ivoire
Plus en détail4. Verdissement, une PAC plus verte
4. Verdissement, une PAC plus verte Aides Couplées JA Verdissement Paiement redistributif DPB Trois obligations à respecter : 1. Diversification des assolements 2. Maintien des prairies permanentes 3.
Plus en détailSTEAMY MINI. Nous vous félicitons pour l acquisition de l appareil «STEAMY - MINI», un appareil de grande qualité.
REITEL Feinwerktechnik GmbH Senfdamm 20 D 49152 Bad Essen Allemagne Tel. (++49) 5472/94 32-0 Fax: (++49) 5472/9432-40 Mode d emploi STEAMY MINI Cher client, Nous vous félicitons pour l acquisition de l
Plus en détailCalculs Computional fluide dynamiques (CFD) des serres à membrane de Van der Heide
Calculs Computional fluide dynamiques (CFD) des serres à membrane de Van der Heide J.B. Campen Wageningen UR Glastuinbouw, Wageningen xxx 2007 Rapport xxx 2007 Wageningen, Wageningen UR Glastuinbouw Tous
Plus en détailLa lettre électronique du service économie agricole de l'essonne n 3 juillet 2012
La lettre électronique du service économie agricole de l'essonne n 3 juillet 2012 Cette lettre du service d'économie agricole (SEA) de la DDT de l'essonne est gratuite. Elle peut librement être recopiée
Plus en détailBilan Carbone des interventions viticoles
Chambre d agriculture de Vaucluse Bilan Carbone des interventions viticoles Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse Tél : 04.90.23.65.65 fax : 04.90.23.65.40 email : accueil@vaucluse.chambagri.fr
Plus en détailLes ouvriers du sol et les pratiques agricoles de conservation
COLLOQUE EN AGROENVIRONNEMENT «Des outils d intervention à notre échelle» Le 23 février 2005, Drummondville Les ouvriers du sol et les pratiques agricoles de conservation Odette MÉNARD, M.Sc. Génie, ing.,
Plus en détailJournal du «Rucher de Félix», Jean. Sébastien. Gros (Mons 83) Rucher «Terre Sauvage» depuis novembre 2009. Le mot de L apiculteur : La météo Varoise
Journal du «Rucher de Félix», Jean Sébastien Gros (Mons 83) Rucher «Terre Sauvage» depuis novembre 2009 1 er Semestre 2011 -----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Plus en détailNourrir les oiseaux en hiver
les oiseaux en hiv Nourrir les oiseaux en hiver Sommaire : Pourquoi les nourrir...page 1 Comment les nourrir...page1 Quels ravitaillement pour quel oiseaux?...page2 Recette «pain de graisse»...page 3 Les
Plus en détailÉvaluation du potentiel du semis direct en agriculture biologique au Québec : construction d un «rouleur-crêpeur de couvre-sols» et essais à la ferme
Évaluation du potentiel du semis direct en agriculture biologique au Québec : construction d un «rouleur-crêpeur de couvre-sols» et essais à la ferme Projet du Syndicat des producteurs de grains biologiques
Plus en détailFICHE INFORMATION. Répartition individuelle des frais de chauffage. Guide d'information à l'usage des occupants
FICHE INFORMATION Répartition individuelle des frais de chauffage Guide d'information à l'usage des occupants LE RÉPARTITEUR ÉLECTRONIQUE TECHEM Compter une énergie précieuse Vos répartiteurs de chauffage
Plus en détailPLONGEZ AUX SOURCES DU CONFORT... Chauffe-eau électrique Chauffe-eau thermodynamique Chauffe-eau solaire ÉDITION 2013-2014
PLONGEZ AUX SOURCES DU CONFORT... Chauffe-eau électrique Chauffe-eau thermodynamique Chauffe-eau solaire ÉDITION 2013-2014 2 atlantic Avec ATLANTIC, Fabriqué en France vous trouverez toujours le chauffe-eau
Plus en détailDes systèmes de chauffage avec pompe à chaleur et accumulateur de chaleur pour les construction dans les zones de montagne.
Des systèmes de chauffage avec pompe à chaleur et accumulateur de chaleur pour les construction dans les zones de montagne. Formation à la promotion des énergies renouvelables à CEFIDEC Vatra Dornei Dănuţ
Plus en détailAttention vague. de très grand froid
Attention vague VAGUE DE TRÈS GRAND FROID COMPRENDRE & AGIR de très grand froid Les conseils du Ministère de la Santé et de l Inpes Comprendre ce qui se passe dans mon corps en cas de vague de très grand
Plus en détailDéveloppement d un modèle de simulation des coûts de production
ARBORICULTURE 2010 A10 PACA / 10 (fiche action 3.02.02.21 AB) Développement d un modèle de simulation des coûts de production Remco SCHREUDER, Peter ROELFOS (LEI, Wageningen), François WARLOP (GRAB), Esther
Plus en détailLUTTE CONTRE LES ADVENTICES ANNUELLES QUI POSENT PROBLÈME. Période d application. Pré-levée ou sur adventice jeune (FA < 3 f)
LUTTE CONTRE LES ADVENTICES ANNUELLES QUI POSENT PROBLÈME Folle avoine La lutte chimique est la méthode qui donne le plus de résultat. Les faux semis ont peu d intérêt avant culture d automne. Le labour
Plus en détailLa vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures»
Donner à la nature les moyens d exprimer son potentiel! La vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures» BIO3G : 3 rue Basse Madeleine - BP 22-22230 MERDRIGNAC Tél : 02 96 67 41 41 - Fax :
Plus en détailRAPPORT COMPLET D'ETUDE DUALSYS
RAPPORT COMPLET D'ETUDE DUALSYS 1 SITUATION DE L ÉTUDE Les données météorologiques sont des données primordiales pour le bon déroulement des calculs et pour avoir des résultats les plus proches de la réalité.
Plus en détailPréface. Betterave fourragère, un concentré de fourrage
Préface Les anciens le diront tous, la betterave fourragère a des atouts incontestables pour l alimentation des animaux d élevage. En production bovine de lait ou de viande ou pour la production ovine
Plus en détailPrésenté par : Dr Asmae Nouira. Novembre Hanoi -2007. Journées Scientifiques Inter-Réseaux AUF
Efficacité du semis direct à contrer l érosion hydrique en milieu agricole : mise en évidence à l'aide des techniques de radioéléments, de modélisation et de mesures aux champs (MAROC-CANADA) Présenté
Plus en détailApplicable à partir de l année d assurance 2014 Assurance récolte Apiculture Section 13,2 - Admissibilité
Section 13,2 - Admissibilité Page 1 Les normes générales à toutes les protections d assurance concernant l application des normes d admissibilité se retrouvent à la procédure générale. Cependant, les normes
Plus en détailProfitez au mieux de votre logement économe en énergie. Bâtiment basse consommation. Ce qu il faut savoir et comment vous adapter
CONSEILS AUX PARTICULIERS Bâtiment basse consommation Profitez au mieux de votre logement économe en énergie Ce qu il faut savoir et comment vous adapter Que vous apporte un bâtiment économe en énergie?
Plus en détailComment concevoir son lit biologique
santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique
Plus en détailles nouveaux espaces publics des quartiers nord
les nouveaux espaces publics des quartiers nord Comité de suivi du 7 avril 2006 SEM SEM Amiens Amiens Aménagement _ 7 _ avril 7 avril 2006 2006 _ ESE _ ESE bet bet ingénierie Charles VICARINI concepteur
Plus en détailNote récapitulative : culture de Taillis à très Courte Rotation (TtCR) de saules
Convention de production et de vente de TtCR de saule Note récapitulative : culture de Taillis à très Courte Rotation (TtCR) de saules 1. Généralités Le taillis à très courte rotation (TtCR) est une culture
Plus en détailSommaire. Sommaire. 1. Mon établissement 1.1 Pourquoi rendre mon établissement accessible? 1.2 Formation et sensibilisation du personnel
Sommaire Sommaire 1. Mon établissement 1.1 Pourquoi rendre mon établissement accessible? 1.2 Formation et sensibilisation du personnel 2. La réglementation 2.1 Quelles sont mes obligations en tant qu hôtelier?
Plus en détailSystème d énergie solaire et de gain énergétique
Système d énergie solaire et de gain énergétique Pour satisfaire vos besoins en eau chaude sanitaire, chauffage et chauffage de piscine, Enerfrance vous présente Néo[E]nergy : un système utilisant une
Plus en détailFICHE TECHNIQUE MARIE PAULE BELLE COMME AU CABARET
FICHE TECHNIQUE MARIE PAULE BELLE COMME AU CABARET Février 2015 Dimension de la scène :(voir plan joint) Ouverture au manteau environ 10 mètres. Profondeur avant scène au rideau du fond environ 8,50 mètres.
Plus en détailLa référence qualité
Couvertures automatiques de sécurité toutes saisons pour piscines extérieures et intérieures COUVERTURES AUTOMATIQUES CONFORMES À LA NORME NF P 90-308 Attestations de conformité délivrées par le Laboratoire
Plus en détailCONFÉRENCE. Grande culture biologique et semis direct. Les essais Rodale. Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013
Club CDA CONFÉRENCE Grande culture biologique et semis direct Les essais Rodale Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013 Projet 12-INNO2-04 Jeff Moyer1, Denis La France 2, Fin
Plus en détail