S'agissant d'ions une fois chargé (charge e) ; l'énergie coulombienne d'un tel cristal contenant 2N ions est donnée par :
|
|
- Clotilde Chabot
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Chapite : Liaison cistalline P M. Abd-Lefdil Chapite LIAISON CRISTALLIN Laboatoie de Physique des Matéiaux Intoduction Tous les cops qui nous entouent sont fomés d'atomes povenant d'éléments chimiques du tableau de Mandeliev. Les difféences d'aspect et des popiétés sont dues aux façons dont sont distibuées les électons et les noyaux de ces matéiaux. Pou ce qui nous concene, on se limitea aux matéiaux cistallins et on essayea d'énumée les difféents types de liaison cistalline ente entités fomant le cistal. Les théoies anciennes font la distinction ente plusieus types de liaison en établissant une distinction ente les liaisons chimiques fotes et les liaisons chimiques faibles. Aujoud'hui, ces distinctions sont dépassées ca la mécanique quantique nous offe une vue unitaie de la liaison chimique. Cependant, il este commode, pou des aisons puement didactiques de continue à faie la distinction ente liaison ionique, covalente et métallique. Les foces de liaison, qui sont essentiellement de natue électostatique, ésultent d'une edistibution plus ou moins impotante des électons de valence ente les noyaux atomiques impliqués dans la liaison. Ainsi, Les atomes sont capables de s'uni pou fome des agégats (composés polyatomiques) dont l'énegie est plus faible que celle des atomes sépaés. C'est la liaison chimique qui explique la cohésion de la matièe et joue un ôle pimodial dans les popiétés des matéiaux. I- Liaison ionique : lle ésulte de l'association d'ions positifs (cations) et d'ions négatifs (anions). C'est une liaison non oientée ca le champ d'attaction ente les ions a une symétie sphéique. On la enconte dans les cistaux ioniques suivants: - les halogénues alcalins : sel gemme Na + Cl -, sylvine K + Cl - ; - les halogénues alcalino-teeux : Mg + Cl --, Ba ++ Cl - ; - les oxydes : Ca + O --, Mg + O --,... Soit un cation (esp. anion) entoué de n 1 anions (esp. cations) à la distance ; puis de n cations (esp. anions) à la distance, n 3 cations (esp. cations) à la distance 3. Soit : distance minimale ente le cation et l'anion n 1 n n 3 S'agissant d'ions une fois chagé (chage e) ; l'énegie coulombienne d'un tel cistal contenant N ions est donnée pa : e e e coul = N - n1. + n. - n πε 4πε 4πε3 e n i coul = - N. M où M = ± 4πε i α i On a : 1 = soit α 1 = 1 et = α... i = α i
2 Chapite : Liaison cistalline P M. Abd-Lefdil Laboatoie de Physique des Matéiaux M est appelé constante de Madelung : C'est une caactéistique de la stuctue cistalline ionique et elle est indépendante des distances inte-ioniques. M est toujous positive, pa conséquent coul est négative : coul est donc une énegie d'attaction. Cas de NaCl : n 1 = 6 ; n = 1 ; n 3 = 8 ; n 4 = 6 ; n 5 = 4... d'où M = CsCl : M = ZnS (blende) : M = ces deux stuctues seont vue en T.P. ZnS (Wutzite): M = Si l'attaction coulombienne ci-dessus était la seule foce en pésence, le cistal s'effondeait ( ainsi que le volume spécifique pou baisse coul ), o il n'en est ien. Pou Madelung, il ne s'agit que d'une non pénétabilité des ions à laquelle il associe un teme de épulsion posée, de manièe phénoménologique égal à R = B avec B une constante positive et n > 1. n Il existe d'autes fomes d'énegie de épulsion R comme : R = λ e -/ρ où λ et ρ sont des paamètes empiiques. Remaque : La non pénétabilité évoquée pa Madelung (qui date d'avant la naissance de la mécanique quantique) n'est aute qu'une conséquence du pincipe de Pauli. * R a peu d'influence su la valeu de l'énegie totale : tot = coul + R total < * tot n'est aute que l'énegie de cohésion coh du cistal. Cas du NaCl distance Na + Cl - à l'équilibe : =.81 Å d'où coul = -8.9eV. = énegie de liaison = -7.9 ev (patiquement égale à coh ). Comme est l'énegie nécessaie pou dissocie le cistal en Na + et Cl -, coh ca coh est l'énegie de sublimation qui coespond à une dissociation en atomes Na et Cl. Comme la céation de Na + à pati de Na coûte l'énegie d'ionisation, et que la céation de Cl - à pati de Cl founit l'énegie d'affinité a, on a alos : coh = + i + a + i + a sont déteminées expéimentalement coh = -6.5 ev a = ev i = 5.14 ev D'où : = -7.9 ev e Ne B L'énegie totale est donnée pa : tot = - M + n 4πε à l'équilibe : et : d d tot = = n. B. 4πε = Ne M 1 n 1
3 Chapite : Liaison cistalline P M. Abd-Lefdil Laboatoie de Physique des Matéiaux coul ( ) n = coul ( ) - tot ( ) Cas de NaCl : n = 8.9 Cette valeu de n monte la caactèe abupt de la épulsion. Pou KCl : i) R = λ exp - avec λ = ev et ρ =.3 ρ ii) coul = 5. ev negie de épulsion Position d équilibe Tot épu negie de Coulomb negie pa molécule de KCl montant les contibutions de Madelung et de épulsion.
4 Chapite : Liaison cistalline P M. Abd-Lefdil Laboatoie de Physique des Matéiaux Remaques : *Toute modification de la distance inteatomique pa appot à entaîne l'appaition d'une foce qui tend à eplace les atomes dans la position d'équilibe. *Les foces magnétiques ont un effet tès faible su la cohésion du cistal, alos que les foces de gavitation sont tout simplement négligeables. Vaiation de la coodination en fonction des ayons du cation et de l anion : On se placea dans le cas de cistaux ioniques fomés d'ions poteus de chages identiques en valeu absolue. La coodination des ions vaie en fonction de Rc R où R c est le ayon du cation et R a est le ayon de l'anion. * Si Rc R >.73, c'est la stuctue pimitive du CsCl qui est la plus stable ; le degé de a coodination est 8. * Si.41 < Rc R <.73, la fome cistalline la plus favoisé est un c.f.c. Le nombe de a coodination est égal à 6. C'est le cas de NaCl. * Si.3 < Rc R <.41, la coodination des ions dans la stuctue la plus favoisée est 4. C'est a le cas de ZnS. On poua véifie ces coodinations en séances de T. P. 1 V Compessibilité χ :lle est définie pa χ = - V P T où V étant le volume et P la pession. Le module de compession est donné pa 1 = B. C'est une mesue de l'énegie equise pou χ poduie une défomation donnée. A K, l'entopie est nulle ; d'où : d tot = - P dv D'où : 1 d tot. = V. χ dv d tot. A l'équilibe (V = V ) : = dv V= V B = dynes/cm pou NaCl. La igidité d'un cistal augmente avec son module de compession 1 χ. On appelle qu'une Dyne est la foce qu'il faut communique à 1 gamme de matièe pou avoi une accéléation de 1 cm/s -. C'est une unité C.G.S. a II- Liaison covalente : C'est une edistibution des électons, comme dans la liaison ionique, entaînant aussi une baisse de l'énegie globale du système.
5 Chapite : Liaison cistalline P M. Abd-Lefdil Laboatoie de Physique des Matéiaux Dans le cas d'une liaison ente deux atomes identiques, il n'y a aucune aison d'avoi un tansfet d'électons péféentiel ca les deux atomes ont la même énegie d'ionisation et la même électoaffinité. Dans ce cas, la liaison ésulte du patage des électons péiphéiques qui se déplacent su des obitales communes aux deux atomes. La liaison covalente est diectionnelle, c'est-à-die qu'elle ne se fome que dans des diections déteminées de l'espace. Cette paticulaité est liée à la fome des obitales pou les états p, d, f... Les obitales moléculaies (O.M) s'obtiennent pa combinaison linéaie d'obitales atomiques C.L.O.A (L.C.A.O. Linea Combination of Atomic Obitals) intoduite en 193 pa Mulliken et qui est toujous valable. Losque la liaison covalente intevient ente deux atomes difféents, la épatition électonique n'est pas symétique en aison des difféences d'énegie d'ionisation et d'électoaffinité. D'où l'appaition d'un moment dipolaie qui détemine l'asymétie de la épatition électonique. Dans ce cas, on a affaie à une liaison iono-covalente. D'une manièe généale, les liaisons iono-covalentes ne peuvent se fome que si les obitales atomiques ont appoximativement la même énegie. III- Liaison métallique : Les métaux, matéiaux fomant à peu pès 75% des éléments du tableau de Mandeliev, sont caactéisés pa une faible énegie d'ionisation et une faible électoaffinité. Les électons de valence sont tès faiblement liés au noyau d'un atome métallique. n patique, ces électons de valence ne sont pas liés à un atome déteminé, mais ils sont délocalisés et épatis dans l'ensemble du cistal : la liaison métallique est donc caactéisée pa une stuctue d'ions positifs noyés dans un gaz d'électons. Ce gaz d'électons assue la liaison ente les ions positifs. C'est une liaison fote et isotope. lle favoise la céation de stuctues cistallines simples, de gande symétie et tès compactes (h.c, cc, c.f.c) (voi tableau 3, chapite I). C'est la pésence du gaz d'électons qui explique les gandes conductivités électique et themique des métaux ions métalliques gaz d'électons Remaques : * Dans les métaux de tansition, des effets s'ajoutent dus aux inteactions ente les couches électoniques pofondes, d'où de fotes énegies d'ionisation qui peuvent avoi comme oigine des liaisons du type Van De Waals. * Le ayon atomique dépend du type de liaison.. n effet, l'ion métallique a toujous un ayon supéieu à celui de l'ion paticipant à une liaison ionique. a- Ion feeux Fe + (liaison ionique) ayon =.74 Å Ion métallique ayon = 1.4 Å b- Fluo covalent ayon =.71 Å Ion F - ayon = 1.35 Å
6 Chapite : Liaison cistalline P M. Abd-Lefdil Laboatoie de Physique des Matéiaux ion dans un cistal dans un métal ionique Na 1 Å 1.86 Å Al.5 Å 1.43 Å IV- Liaisons secondaies : A côté des liaisons ionique, covalente et métallique, il existe des liaisons faibles qui n'entaînent que des modifications minimes de la position des électons. n effet, dans le cas des atomes de gaz aes (qui sont neutes), il doit bien existe ente eux une attaction puisqu'ils peuvent se condense en liquides et même en solides Ne est solide jusqu'à 4 K. K est solide jusqu'à 117 K à pession odinaie. a) Liaison de Van De Waals : C'est en étudiant les inteactions ente les molécules neutes de gaz aes sous fote pession que Van De Waals (1873) a compis l'existence de foces d'attaction faibles et à coute potée ente ces molécules. Ces foces ont été pa la suite décits en temes quantiques pa London en 193. Dans ce cous, nous allons nous limite à une étude semi-quantitative classique en penant le cas de deux atomes neutes d'un même gaz ae. θ atome () >> ayons atomiques atome (1) P1 Pou un temps long : <P> = P : moment électique ou moment dipolaie Pa conte, à un instant donné, le mouvement obital des électons de l'atome (1) (pa exemple) donne naissance à un moment dipolaie électique P1. Ce denie va cée en () un champ électique lequel induit su () un moment dipolaie P tel que : P = P où P est la polaisabilité de l'atome (). Les deux dipôles inteagissent et l'énegie d'inteaction est donnée pa : P () = -P = - Rappels : Le potentiel cée en () pa le dipôle en (1) est :
7 Chapite : Liaison cistalline P M. Abd-Lefdil Laboatoie de Physique des Matéiaux Comme Soit : D'où : P θ 1 cos 1 V = = - P1 4πε 4πε = - V et = + 1 = - 4πε 1 P θ 1. 3 p ( 1+ 3 cos θ) = () 1 1 () = - P. 6 attactive 4 πε On emaque que () est toujous négative. Cette attaction ente atomes neute, à faible potée, engende les foces de Van De Waals et London qui pennent naissance dans des fluctuations momentanées et locales des moments dipolaies des atomes et des ions. ( 4πε ) att ( ) = - C 6 N. B. : 4P 1 P Si P1 // P ; att () = -. ; C = 6 ( 1+ 3 cos θ) ( 4πε ) L'énegie de épulsion dans les gaz aes peut-ête expimée pa l'une des deux fomes empiiques cités aupaavant dans I : B (1) R = où B = cte > 1 ou encoe () R = λ e -/ρ où ρ mesue le ayon d'action de R λ = cte > Dans le cas (1) : C B tot = - + connue sous le nom d'énegie de Lenmad-Jones 6 1 Remaque : On appelle que l'énegie cinétique des atomes du gaz ae est négligée. b) Liaison hydogène : L'hydogène n'a qu'un seul électon (Z = 1), il ne peut à pioi avoi qu'une seule liaison chimique. Poutant, il lui aive d'ête sollicité pa deux atomes à la fois. Une des deux liaisons est appelée liaison hydogène. n effet, cette liaison hydogène intevient losque H est lié à un atome "petit" et à fote électoaffinité comme (F, O, N) pa une liaison iono-covalente tès polaie. >
8 Chapite : Liaison cistalline P M. Abd-Lefdil Laboatoie de Physique des Matéiaux H O H (Z = 1) O (Z = 8) liaison hydogène Les liaisons secondaies jouent un ôle impotant dans les popiétés des matéiaux oganiques (qui sont des matéiaux moléculaies). n effet, des liaisons covalentes assuent les liens inta-moléculaies. Pa conte les liaisons secondaies assuent la cohésion intemoléculaie. La liaison hydogène assue la cohésion ente les chaînes du nylon (polyamide 6-6) et elle est esponsable de son point de fusion impotant. La liaison hydogène maintient les molécules de potéines dans leu configuation géométique nomale. Remaque : Liaison negie de liaison (ev) Distance (nm) Chimique Hydogène Van De Waals < La liaison Van De Waals est susceptible d'uni faiblement des patenaies non actifs chimiquement (atomes ou molécules stables) et de fome ainsi une entité dite complexe de Van De Waals. L'énegie de liaison est <.1 ev et elle est même souvent inféieue à l'énegie themique ambiante (.3 ev). Plusieus centaines de complexes de Van De Waals sont connus à ce jou comme Ca-HCl ou Xe-Cl. Des techniques telle que la détente supesonique d'un mélange gazeux pemet de poduie à volonté des complexes de Van De Waals. n ésumé, on peut desse le tableau suivant :
9 Chapite : Liaison cistalline P M. Abd-Lefdil Laboatoie de Physique des Matéiaux métallique covalente ionique Liaison Métallique isotope Homopolaie diectionnelle Hétéopolaie isotope Satuation des Délocalisée Inte atomique Locale liaisons Coodination 6 ou plus 4 6 ou plus Densité levée Basse levée Mécanique Ductile Du Cassant T de fusion Basse levée Basse negie de cohésion Petite Gande Petite Conductivité électique Conductivité gande Semi-conducteu Isolant
M F. F O Unité: [m. N] La norme du moment de force peut se calculer en introduit le bras de levier d
Chapite 2: But: connaîte les lois auxquelles doit obéi un cops solide en équilibe. Ceci pemet de décie la station debout ainsi que les conditions nécessaies pou teni une tasse dans la main, souleve une
Plus en détailBTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1
BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on
Plus en détailMolécules et Liaison chimique
Molécules et liaison chimique Molécules et Liaison chimique La liaison dans La liaison dans Le point de vue classique: l approche l de deux atomes d hydrogd hydrogènes R -0,9-1 0 0,5 1 1,5,5 3 3,5 4 R
Plus en détailoù «p» représente le nombre de paramètres estimés de la loi de distribution testée sous H 0.
7- Tests d austement, d indépendance et de coélation - Chapite 7 : Tests d austements, d indépendance et de coélation 7. Test d austement du Khi-deux... 7. Test d austement de Kolmogoov-Sminov... 7.. Test
Plus en détailCONSTANTES DIELECTRIQUES
9 E7 CONTANTE DIELECTRIQUE I. INTRODUCTION Dans cette expéience, nous étuieons es conensateus et nous éiveons les popiétés e iélectiques tels que l'ai et le plexiglas. II. THEORIE A) Conensateus et iélectiques
Plus en détailFINANCE Mathématiques Financières
INSTITUT D ETUDES POLITIQUES 4ème Année, Economie et Entepises 2005/2006 C.M. : M. Godlewski Intéêts Simples Définitions et concepts FINANCE Mathématiques Financièes L intéêt est la émunéation d un pêt.
Plus en détailCIRCULAIRE N 02/04. Elle précise les méthodes de valorisation des titres de capital et des titres de créances contenus dans les actifs de l OPCVM.
Rabat, le 02 juillet 2004 CIRCULIRE N 02/04 RELTIVE UX CONDITIONS D ÉVLUTION DES VLEURS PPORTÉES À UN ORGNISME DE PLCEMENT COLLECTIF EN VLEURS MOBILIÈRES OU DÉTENUES PR LUI La pésente ciculaie vient en
Plus en détailTRAVAUX DIRIGÉS DE M 6
D M 6 Coection PCSI 1 013 014 RVUX DIRIGÉS DE M 6 Execice 1 : Pemie vol habité (pa un homme) Le 1 avil 1961, le commandant soviétique Y Gagaine fut le pemie cosmonaute, le vaisseau spatial satellisé était
Plus en détailCHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules
CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules I. La liaison covalente 1) Formation d une liaison covalente Les molécules sont des assemblages d atomes liés par des liaisons chimiques résultant d interactions
Plus en détailCHAPITRE VI : Le potentiel électrique
CHPITRE VI : Le potentiel électiue VI. 1 u chapite III, nous avons vu ue losu'une foce est consevative, il est possible de lui associe une énegie potentielle ui conduit à une loi de consevation de l'énegie.
Plus en détailPHYSIQUE DES SEMI-CONDUCTEURS
Dépatement Mico-électonique et télécommunications Pemièe année 004/005 PHYSIQUE DES SEMI-CONDUCTEURS Rouge Violet Infa-Rouge Visible Ulta-Violet Cd x Hg 1-x Te InSb Ge Si GaAs CdSe AlAs CdS GaP SiC GaN
Plus en détailEnseignement secondaire
Enseignement secondaire Classe de IIIe Chimie 3e classique F - Musique Nombre de leçons: 1.5 Nombre minimal de devoirs: 4 devoirs par an Langue véhiculaire: Français I. Objectifs généraux Le cours de chimie
Plus en détailEXERCICES SUPPLÉMENTAIRES
Questionnaire EXERCICES SUPPLÉMENTAIRES SCP 4010-2 LE NUCLÉAIRE, DE L'ÉNERGIE DANS LA MATIÈRE /263 FORME C Version corrigée: Équipe sciences LeMoyne d'iberville, septembre 2006. QUESTION 1 (5 pts) 1. La
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailServeur vidéo IP. caméras analogiques PC serveur. PC Client 1. Serveur de stockage ( optionnel )
Sony RealShot Manage V3 Info Poduit Mas 2005 RealShot Manage V3.0 Logiciel de gestion des caméas IP MJPEG, MPEG-4, Audio, il sait tout enegiste! Une nouvelle vesion du logiciel RealShot Manage de Sony
Plus en détailChapitre 6: Moment cinétique
Chapite 6: oment cinétique Intoduction http://www.youtube.com/watch?v=vefd0bltgya consevation du moment cinétique 1 - angula momentum consevation 1 - Collège éici_(360p).mp4 http://www.youtube.com/watch?v=w6qaxdppjae
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailMécanique du point : forces Newtoniennes (PCSI)
écanique du oint : foces Newtoniennes (PCSI Question de cous On admet que, losqu'il est soumis à une foce Newtonienne F K u, la tajectoie d'un cos est lane et décite a mc K +e cosθ où C θ est une constante
Plus en détailCHAPITRE VI : HYBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES
CAPITRE VI : YBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES VI.1 : YBRIDATION DES ORBITALES ATOMIQUES. VI.1.1 : Introduction. La théorie d hybridation a été développée au cours des années 1930, notamment par le chimiste
Plus en détailDiaDent Group International
www.diagun.co.k DiaDent Goup Intenational Dispositif de compactage sans fil à chaleu intégée Copyight 2010 DiaDent Goup Intenational www.diadent.com Dispositif de compactage sans fil à chaleu intégée w
Plus en détailPanorama de l astronomie
Panorama de l astronomie 7. Les étoiles : évolution et constitution des éléments chimiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gaël Cessateur & Gilles Theureau, Lab Phys. & Chimie de l Environnement
Plus en détail11.5 Le moment de force τ (tau) : Production d une accélération angulaire
11.5 Le moment de foce τ (tau) : Poduction d une accéléation angulaie La tige suivante est soumise à deux foces égales et en sens contaie: elle est en équilibe N La tige suivante est soumise à deux foces
Plus en détailAtelier : L énergie nucléaire en Astrophysique
Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement
Plus en détailInformations Techniques A7 A141. Roulements à Billes à Gorge Profonde. Roulements à Billes à Contact Oblique. Roulements à Billes Auto-Aligneurs
ROULEMENTS Pages Infomations Techniques A7 A141 Infos Tech. Roulements à Billes à Goge Pofonde B4 B45 Roulements à Billes à Contact Oblique Roulements à Billes Auto-Aligneus Roulements à Rouleaux Cylindiques
Plus en détailPlan du chapitre «Milieux diélectriques»
Plan du chapitre «Milieux diélectriques» 1. Sources microscopiques de la polarisation en régime statique 2. Etude macroscopique de la polarisation en régime statique 3. Susceptibilité diélectrique 4. Polarisation
Plus en détailStructure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide
Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:
Plus en détailLES ELEMENTS CHIMIQUES
LES ELEMENTS CHIMIQUES.LA CLASSIFICATION PERIODIQUE DE MENDELEÏEV En 869, le chimisme russe Dimitri Ivanovitch Mendeleïev rangea les 63 éléments chimiques connus à son époque dans un tableau. Il les disposa
Plus en détailChapitre 1.5a Le champ électrique généré par plusieurs particules
hapte.5a Le chap électque généé pa pluseus patcules Le chap électque généé pa pluseus chages fxes Le odule de chap électque d une chage ponctuelle est adal, popotonnel à la chage électque et neseent popotonnel
Plus en détailPermis de feu. Travail par point chaud. r Soudage r Brasage. r Découpage r Tronçonnage. r Meulage r Autres. r Poste à souder r Tronçonneuse
Pemis de feu Tavail pa point chaud Patage vote engagement Ce document doit ête établi avant tout tavail pa point chaud (soudage, découpage, meulage, ) afin de péveni les isques d incendie et d explosion
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailChap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?
Thème 2 La sécurité Chap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?! Il faut deux informations Le temps écoulé La distance parcourue Vitesse= distance temps > Activité
Plus en détailRESOLUTION PAR LA METHODE DE NORTON, MILLMAN ET KENNELY
LO 4 : SOLUTO P L MTHO OTO, MLLM T KLY SOLUTO P L MTHO OTO, MLLM T KLY MTHO OTO. toductio Le théoème de oto va ous pemette de éduie u cicuit complexe e gééateu de couat éel. e gééateu possède ue souce
Plus en détailInteractions des rayonnements avec la matière
UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailLa physique nucléaire et ses applications
La physique nucléaire et ses applications I. Rappels et compléments sur les noyaux. Sa constitution La représentation symbolique d'un noyau est, dans laquelle : o X est le symbole du noyau et par extension
Plus en détailChapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les
Plus en détailCréer un observatoire de la concurrence. Créer un observatoire de la concurrence. Démarche. ntérêt. C aractéristiques.
Cée un obsevatoie de la concuence poblématique I Quelle est l'étendue d'un maché? Quelle pat du maché, une entepise peut-elle espée pende? Quels sont les atouts des entepises pésentes su le maché? ntéêt
Plus en détailA la mémoire de ma grande mère A mes parents A Mon épouse A Mes tantes et sœurs A Mes beaux parents A Toute ma famille A Mes amis A Rihab, Lina et
Remeciements e tavail a été effectué au sein du laboatoie optoélectonique et composants de l univesité Fehat Abbas (Sétif, Algéie) en collaboation avec le goupe MALTA consolido du Dépatement du Physique
Plus en détailRoulements à billes et à rouleaux
Fo New Technology Netwok R copoation Roulements à billes et à ouleaux CAT. NO. 222-VIII/F Manuel technique A- Roulements à billes à goges pofondes B- Roulements miniatues B- 1 Roulements à billes à contact
Plus en détailSynthèse et propriétés des savons.
Synthèse et propriétés des savons. Objectifs: Réaliser la synthèse d'un savon mise en évidence de quelques propriétés des savons. I Introduction: 1. Présentation des savons: a) Composition des savons.
Plus en détailétude d agrégats d oxydes de terres rares
étude d agrégats d oxydes de terres rares David Nicolas To cite this version: David Nicolas. étude d agrégats d oxydes de terres rares. Physics. Université Claude Bernard - Lyon I, 2007. French.
Plus en détailProfesseur Eva PEBAY-PEYROULA
3-1 : Physique Chapitre 8 : Le noyau et les réactions nucléaires Professeur Eva PEBAY-PEYROULA Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Finalité du chapitre
Plus en détailTP N 3 La composition chimique du vivant
Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre
Plus en détailPhysique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -,
Document du professeur 1/5 Niveau 3 ème Physique Chimie Programme A - La chimie, science de la transformation de la matière Connaissances Capacités Exemples d'activités Comment reconnaître la présence
Plus en détail1 ère Partie : Concepts de Base
1 ère Partie : Concepts de Base 7 8 J-89 COURS 2. Qu est ce que la Chimie? Ce chapitre ainsi que le suivant sont des rappels de concepts que vous êtes censés avoir appris en Terminale S. Néanmoins, il
Plus en détailRoulements à rotule sur deux rangées de rouleaux en deux parties
Roulements à otule su deux angées de ouleaux en deux paties Réduction des coûts gâce au changement apide du oulement difficilement accessible Contenu Changement apide du oulement 2 Réduction des coûts
Plus en détailSOMMAIRE. ATRACOM-Centrafrique Manuel de Procédures Administratives Financiers et Comptables
ATRACOM-Centafique Manuel de Pocédues Administatives Financies et Comptables G MODULE G GESTION DE LA TRESORERIE SOMMAIRE G MODULE G GESTION DE LA TRESORERIE... 1 G.1 COMPOSANTES DE LA TRESORERIE... 2
Plus en détailA retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE
CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4
Plus en détailTECHNIQUES: Principes de la chromatographie
TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases
Plus en détailINTRODUCTION A LA FUSION THERMONUCLEAIRE
INTRODUCTION A LA FUSION THERMONUCLEAIRE I) PRINCIPE Considérons l'énergie de liaison par nucléons pour différents noyaux (Fig. I.1). En examinant la figure I-1, nous constatons que deux types de réactions
Plus en détailDe la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I)
De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) Collaboration: - Laboratoire de Radiotoxicologie et Oncologie (L. Sabatier) CEA, DSV - Laboratoire de Génotoxicité et Modulation de l Expression
Plus en détailTransformations nucléaires
Transformations nucléaires Stabilité et instabilité des noyaux : Le noyau d un atome associé à un élément est représenté par le symbole A : nombre de masse = nombre de nucléons (protons + neutrons) Z :
Plus en détailContenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière
Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Algèbre 1 : (Volume horaire total : 63 heures) UE1 : Analyse et algèbre
Plus en détail( Mecanique des fluides )
INSTITUT NTION GRONOMIUE ERTEMENT U GENIE RUR SECTION YRUIUE GRICOE YRUIUE GENERE ( Mecanique des fluides ) TRONC COMMUN ème NNEE atie : Statique des Fluides ( ydostatique ) atie : ynamique des Fluides
Plus en détailEnergie nucléaire. Quelques éléments de physique
Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par
Plus en détailValidation CFD axisymétrique de modèle zonal des écoulements gazeux de chambre de combustion de moteur Diesel
CONSERVATOIRE NATIONAL DES ARTS ET METIERS Cente d enseignement de Genoble Mémoie Mécanique des stuctues et des systèmes Validation CFD axisymétique de modèle zonal des écoulements gazeux de Auditeu: Jean-Michel
Plus en détailTS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire. DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée
TS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée EXERCICE I : PRINCIPE D UNE MINUTERIE (5,5 points) A. ÉTUDE THÉORIQUE D'UN DIPÔLE RC SOUMIS À UN ÉCHELON DE TENSION.
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détail1.2 Coordinence. Notion de liaison de coordinence : Cas de NH 3. et NH 4+ , 3 liaisons covalentes + 1 liaison de coordinence.
Règle de l octet : tendance qu on les atomes à s entourer de 8 électrons dans l édifice moléculaire. Ce n est pas une règle générale. Composés respectant la règle de l octet Composés ne respectant pas
Plus en détailQuelques éléments d écologie utiles au forestier
BTSA Gestion Foestièe Module D41 V.1.1. Avil 1997 Quelques éléments d écologie utiles au foestie Paysage vosgien : un exemple d écocomplexe divesifié. Sylvain Gaudin CFPPA/CFAA de Châteaufaine E 10 ue
Plus en détailPo ur d o nne r un é lan à vo tre re traite
Po u d o nne un é lan à vo te e taite ez a p é P aite t e e vot joud'hui dès au E N EN T TR RE E N NOOUUSS,, CC EESSTT FFAA CC I I LL EE DD EE SS EE O M M PP RR EE NN DDRRE E CC O Toutes les gaanties de
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE DANS LA CUISINE Chapitre 3 : Chimie et lavage
PHYSIQUE-CHIMIE DANS LA CUISINE Chapitre 3 : Chimie et lavage I) Qu'est-ce qu'un savon et comment le fabrique-t-on? D'après épreuve BAC Liban 2005 Physique-Chimie dans la cuisine Chapitre 3 1/6 1- En vous
Plus en détailGuide de l acheteur de logiciel de Paie
Note pespicacité Pivilégie les essouces humaines Guide de l acheteu de logiciel de Paie Table des matièes Intoduction Tendances écentes de Paie L automation de Paie avec libe-sevice pou employés Analyse
Plus en détailLycée français La Pérouse TS. L énergie nucléaire CH P6. Exos BAC
SVOIR Lycée français La Pérouse TS CH P6 L énergie nucléaire Exos BC - Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. - Définir et calculer l'énergie de liaison par nucléon. - Savoir
Plus en détailEnergie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015
Energie Nucléaire Principes, Applications & Enjeux 6 ème - 2014/2015 Quelques constats Le belge consomme 3 fois plus d énergie que le terrien moyen; (0,56% de la consommation mondiale pour 0,17% de la
Plus en détailTransformations nucléaires
I Introduction Activité p286 du livre Transformations nucléaires II Les transformations nucléaires II.a Définition La désintégration radioactive d un noyau est une transformation nucléaire particulière
Plus en détailBAC BLANC SCIENCES PHYSIQUES. Durée : 3 heures 30
Terminales S1, S2, S3 2010 Vendredi 29 janvier BAC BLANC SCIENCES PHYSIQUES Durée : 3 heures 30 Toutes les réponses doivent être correctement rédigées et justifiées. Chaque exercice sera traité sur une
Plus en détailLa gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche
La gravure Après avoir réalisé l étape de masquage par lithographie, il est alors possible d effectuer l étape de gravure. L étape de gravure consiste à éliminer toutes les zones non protégées par la résine
Plus en détailChapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire
Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie
Plus en détail( Codes : voir verso du feuillet 3 ) SPECIMEN
Aide demandeu d emploi Pojet pesonnalisé d accès à l emploi Pesciption de Pô emploi RFPE AREF CRP - CTP ou d un patenaie de Pô emploi Pécisez : N d AIS Concene de naissance Pénom Né(e) Inscit(e) depuis
Plus en détailLA MESURE DE MASSE POUR LA DÉTERMINATION DE PÉRIODES RADIOACTIVES
LA EURE DE AE POUR LA DÉTERINATION DE PÉRIODE RADIOACTIVE CEA ACLAY, DEN/DAN/DPC ervice d Études Analytiques et de Réactivité des urfaces Laboratoire de développement Analytique Nucléaire Isotopique et
Plus en détailIntroduction à la physique nucléaire et aux réacteurs nucléaires
Introduction à la physique nucléaire et aux réacteurs nucléaires Nassiba Tabti A.E.S.S. Physique (A.E.S.S. Physique) 5 mai 2010 1 / 47 Plan de l exposé 1 La Radioactivité Découverte de la radioactivité
Plus en détailChapitre 3: TESTS DE SPECIFICATION
Chapitre 3: TESTS DE SPECIFICATION Rappel d u c h api t r e pr é c é d en t : l i de n t i f i c a t i o n e t l e s t i m a t i o n de s y s t è m e s d é q u a t i o n s s i m u lt a n é e s r e p o
Plus en détailViandes, poissons et crustacés
4C la Tannerie BP 30 055 St Julien-lès-Metz F - 57072 METZ Cedex 3 url : www.techlab.fr e-mail : techlab@techlab.fr Tél. 03 87 75 54 29 Fax 03 87 36 23 90 Viandes, poissons et crustacés Caractéristiques
Plus en détailStabilité et Réactivité Nucléaire
Chapitre 1 Stabilité et Réactivité Nucléaire Les expériences, maintes fois répétées, montraient chaque fois que les déflexions subies par les particules chargées en interaction avec les noyaux ne correspondaient
Plus en détail- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation
U t i l i s a t i o n d u n s c i n t i l l a t e u r N a I M e s u r e d e c o e ffi c i e n t s d a t t é n u a t i o n Objectifs : Le but de ce TP est d étudier les performances d un scintillateur pour
Plus en détailChapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre)
Chapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre) 1. A la découverte de la radioactivité. Un noyau père radioactif est un noyau INSTABLE. Il se transforme en un noyau fils STABLE
Plus en détailThéorie des multiplets! appliquée à! la spectroscopie d ʼabsorption X!
Théorie des multiplets! appliquée à! la spectroscopie d ʼabsorption X! Marie-Anne Arrio, Amélie Juhin! Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés, Paris! 1! Rappel : défini-on des seuils
Plus en détailA. Énergie nucléaire 1. Fission nucléaire 2. Fusion nucléaire 3. La centrale nucléaire
Énergie Table des A. Énergie 1. 2. 3. La centrale Énergie Table des Pour ce chapitre du cours il vous faut à peu près 90 minutes. A la fin de ce chapitre, vous pouvez : -distinguer entre fission et fusion.
Plus en détailLES SUBSTITUTIONS NUCLÉOPHILES EN SÉRIE ALIPHATIQUE S N 1 ET S N 2
Pr atem BEN ROMDANE LES SUBSTITUTIONS NUCLÉOPILES EN SÉRIE ALIPATIQUE S N 1 ET S N 2 3 - LE MÉCANISME S N 2 a - Constatations expérimentales Cinétique : l'étude des réactions de substitution nucléophile
Plus en détailC4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C C4 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 30 C4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les nucléons:
Plus en détailLABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage
LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage Un dosage (ou titrage) a pour but de déterminer la concentration molaire d une espèce (molécule ou ion) en solution (généralement aqueuse). Un réactif de concentration
Plus en détailMoments partiels crédibilistes et application à l évaluation de la performance de fonds spéculatifs
Moments patiels cédibilistes et application à l évaluation de la pefomance de fonds spéculatifs Alfed MBAIRADJIM M. 1 & Jules SADEFO K. 2 & Michel TERRAZA 3 1 LAMETA- Univesité Montpellie 1 et moussa alf@yahoo.f
Plus en détailMouvement d'une particule chargée dans un champ magnétique indépendant du temps
Moueent d'une patiule hagée dans un hap agnétique indépendant du teps iblio: Pee elat Gaing Magnétise Into expéientale: Dispositif: On obsee une déiation du faseau d'életons losqu'il aie ae une itesse
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailC3. Produire de l électricité
C3. Produire de l électricité a. Electricité : définition et génération i. Définition La matière est constituée d. Au centre de l atome, se trouve un noyau constitué de charges positives (.) et neutres
Plus en détailChapitre 5 : Noyaux, masse et énergie
Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Connaissances et savoir-faire exigibles : () () (3) () (5) (6) (7) (8) Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. Définir et calculer l énergie
Plus en détailTHE SEPARATION OF A TRACER FOR THE RADIOCHEM1CAL ANALYSIS OF RADIUM 226.
CEA-R 2419 - BUTAYE Michel ISOLEMENT D'UN TRACEUR POUR L'ANALYSE RAJDIOCHIMIQUE DU RADIUM 226. 223 Sommaire.- Ce rapport décrit une méthode d'isolement du Ra à partir d'un minerai d'uranium et son utilisation
Plus en détailÉvaluation de l'incertitude de mesure par une méthode statistique ("méthode de type A") Voir cours d'instrumentation
G. Pinson - Physique ppliquée Mesues - 16 / 1 16 - Instuments de mesues Eeu et incetitude su la mesue d'une gandeu Ce qui suit découle des pesciptions du IPM (ueau Intenational des Poids et Mesues, Fance),
Plus en détailPrincipe de fonctionnement des batteries au lithium
Principe de fonctionnement des batteries au lithium Université de Pau et des pays de l Adour Institut des Sciences Analytiques et de Physicochimie pour l Environnement et les Matériaux 22 juin 2011 1 /
Plus en détailChapitre I- Le champ électrostatique. I.1.1- Phénomènes électrostatiques : notion de charge électrique
Chapitre I- Le champ électrostatique I.- Notions générales I..- Phénomènes électrostatiques : notion de charge électrique Quiconque a déjà vécu l expérience désagréable d une «décharge électrique» lors
Plus en détailLa vie des étoiles. La vie des étoiles. Mardi 7 août
La vie des étoiles La vie des étoiles Mardi 7 août A l échelle d une ou plusieurs vies humaines, les étoiles, que l on retrouve toujours à la même place dans le ciel, au fil des saisons ; nous paraissent
Plus en détailI. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.
DE3: I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. Aujourd hui, nous obtenons cette énergie électrique en grande partie
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailAnnexe II. Les trois lois de Kepler
Annexe II es tois lois de Keple écnique & 4 èe - Annexe II es tois lois de Keple Johnnes Keple (57-6), pulie en 596 son peie ouge, ysteiu Cosogphicu Teize nnées plus td, en 69, il pulie Astonoi No, dns
Plus en détailRappels sur les couples oxydantsréducteurs
CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation
Plus en détailCours de. Point et système de points matériels
Abdellah BENYOUSSEF Amal BERRADA Pofesseus à la Faculté des Scences Unvesté Mohammed V Rabat Cous de Pont et système de ponts matéels A L USAGE DES ETUDIANTS DU 1 ER CYCLE UNIVERSITAIRE FACULTES DES SCIENCES,
Plus en détailRésonance Magnétique Nucléaire : RMN
21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de
Plus en détailDM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION
Physique Chapitre 4 Masse, énergie, et transformations nucléaires DM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION Date :. Le 28 juin 2005, le site de Cadarache (dans les bouches du Rhône)
Plus en détailAPPLICATIONS DE L'IMPLANTATION IONIQUE POUR LE BIOMEDICAL
Ion Beam Services ZI Peynier / Rousset Rue G. Imbert Prolongée 13790 Peynier, France Tel. : +33 4 42 53 89 53 Fax : + 33 4 42 53 89 59 Email : frank.torregrosa@ion-beam-services.fr APPLICATIONS DE L'IMPLANTATION
Plus en détailSophie Guézo Alexandra Junay
Sophie Guézo Alexandra Junay sophie.guezo@univ-rennes1.fr alexandra.junay@univ-rennes1.fr Unité Mixte de Recherche (UMR) Université Rennes I et CNRS Physique moléculaire Matière molle Matériaux Nanosciences
Plus en détail