Analyse des sites aquitains de vente en ligne de produits agricoles
|
|
- Léon St-Cyr
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Axe 4 du programme RAUDIN, Juin 201O Analyse des sites aquitains de vente en ligne de produits agricoles =>Etat des lieux et perspectives d évolution Sous la direction d Aurélie Laborde, MCF MICA Etude réalisée par : Adrien Boussaroque, Maud Bousquet, Lucie Bruneau, Sacha Drouart, Benoît Echeveste, Sébastien Kadjati, Marjorie Malletier et Aurore Tanier
2 Sommaire Introduction... 3 Partie I : Les consommateurs et leurs actes d achat... 5 A/ Peu d actes mais une perception qualitative préférentielle... 5 B/ Le profil type du consommateur... 6 C/ Les besoins du consommateur... 6 D/ Les attentes du consommateur... 7 Partie II : l analyse des sites aquitains de vente en ligne de produits agricoles Le référencement non exhaustif des sites de e-commerce... 9 A/ La méthodologie... 9 B/ Le classement et les résultats L analyse des sites A/ La méthodologie B/ Le bilan Partie III : stratégie et problématiques des vendeurs Synthèse sur les thématiques abordées Le bilan A / Manques et besoins B/ Mise en perspective de l image voulue et de l image perçue Conclusion : la synthèse générale A/Un environnement économique complexe, vecteur de mutations B/ L utilisation de l outil Internet : un canal de vente supplémentaire mais pas seulement C/ Deux positionnements pour un même territoire de communication D/ Un déséquilibre entre les acteurs du marché Les perspectives d avenir
3 Introduction «Les circuits courts, qui recréent du lien entre les consommateurs et les agriculteurs, contribuent au développement d'une agriculture durable et d'une consommation responsable. Ils recèlent un potentiel de développement important permettant de mieux valoriser les productions, de créer des emplois et de mettre en place une nouvelle «gouvernance alimentaire» à l'échelle des territoires.» Michel Barnier, ancien Ministre de l'agriculture et de la Pêche, le 14 avril 2009, à Vanves (Hauts de Seine) à la rencontre d'agriculteurs et de consommateurs engagés dans le cadre de l'association pour le maintien d'une agriculture paysanne (AMAP). A/ Historique et contexte actuel Le développement des méthodes de distribution dites «de circuits courts» en Aquitaine est le résultat d un processus de modification du système de distribution français des denrées alimentaires qui a débuté dans les années 60. Au lendemain de l'après-guerre, la France a favorisé le développement de lois facilitant l importation et l exportation des produits agricoles (lois de 1960 et 1962) afin de soutenir la reconstruction économique du pays et offrir l opportunité à la France de couvrir ses besoins alimentaires ainsi que ceux d une partie de l Europe. Cet environnement a permis une modernisation et le développement du système agro-économique français. Les années 70 ont été témoin de deux phénomènes agro-économiques provoquant un tournant majeur dans la politique de développement agricole français. Le premier est une période de structuration intensive du système agroalimentaire. Le second phénomène est l apparition de signes montrant les premières limites d une surproduction agricole. Les années 80 voient l apogée de cette surproduction et les problèmes engendrés par l hégémonie des Grande et Moyenne Surfaces (augmentation du chômage dans les filières agricoles du fait d un développement de l importation, baisse de la qualité des produits, disparition d un patrimoine gastronomique et culturel). Cependant, les consommateurs durant cette période, ont confiance dans ces nouveaux circuits de distribution, et les motivations d achat sont exclusivement basées sur le prix. Durant les années 90, les différentes filières agricoles artisanales (exploitation, transformation, distribution) sont désormais en concurrence avec les industries agroalimentaires qui sont présentes dans tous ces niveaux de production. Ce processus nous amène au contexte actuel qui est une profonde scission entre ces deux circuits de distribution. L artisanat se sent en péril et essaie de s adapter à son environnement en développant des outils de communication et de nouvelles méthodes de travail afin de valoriser sa production. Les producteurs traditionnels souhaitent s éloigner aujourd hui des marchés conventionnels et l utilisation de circuits courts est une opportunité qu ils doivent saisir. La société française est fertile à ce développement de nouveaux moyens de distribution du fait de nombreux problèmes sociétaux (crises sanitaires dans les industries, nécessité de protection de l environnement, utilité du développement de la protection de produits locaux, suspicion des consommateurs quant à l origine des produits ). Les institutions locales et nationales sont conscientes de la nécessité d aider les producteurs locaux et sont sensibles aux questions concernant la production agricole. En parallèle, des producteurs, associations et consommateurs créent depuis quelques années des circuits 3
4 courts de distribution afin d inciter les consommateurs à se réorienter vers la consommation de produits locaux. Le lien social et économique entre producteur et consommateur s est détérioré depuis quelques années et les différentes parties essaient aujourd hui de le recréer. L un des moyens pour y arriver est la mise en place de circuits courts. B/ Définition précise des circuits courts «Un circuit court est un mode de commercialisation des produits agricoles qui s exerce soit par la vente directe du producteur au consommateur, soit par la vente indirecte à condition qu il n y ait qu un seul intermédiaire.» 1 C/ Présentation de l étude et cadrage des objectifs Internet et l émergence de circuits de distribution courts offrent aujourd hui la possibilité aux producteurs de vendre leur production directement aux consommateurs sans avoir recours à la grande distribution. L utilisation de la vente en ligne via les sites des producteurs constitue un de ces circuits courts. L objectif de cette étude est de dresser un panorama des sites de vente en ligne de produits agricoles en Aquitaine. À travers l analyse des sites, d entretiens avec des producteurs et des consommateurs, d une revue de presse (nationale, régionale et locale) et l analyse des stratégies de communication des diffuseurs, nous pourrons connaître la situation de la vente en ligne de produits agricoles en Aquitaine. Grâce à cette analyse, nous pourrons tirer des recommandations afin d aider les agriculteurs, souhaitant développer leur vente en ligne, à améliorer leur stratégie. 1 Plaquette «renforcer le lien entre producteurs et consommateurs» disponible sur le site du Ministère de l agriculture. ( 4
5 Partie I : Les consommateurs et leurs actes d achat Selon le CRÉDOC 2, en 2004, 20 % des Français souhaitaient, s ils en avaient la possibilité, acheter ailleurs que dans les grandes surfaces. En 2007, cette proportion est passée à 37 %. C est la démonstration que le potentiel existe pour lancer des initiatives alternatives. Devant ce pourcentage significatif de la population intéressée par la vente directe, il est pertinent de dresser des profils précis de ces consommateurs, et de comprendre leurs besoins et leurs attentes. Au travers de nos recherches sur Internet, nous avons pu constater qu aucune étude n a été réalisée sur les consommateurs des produits agricoles vendus en ligne. Seules des enquêtes 3 portant sur les utilisateurs des circuits de vente directe existent. Il nous est donc difficile d établir des portraits précis. De plus, ces études portent uniquement sur les circuits courts de distribution (c'est-à-dire avec un seul intermédiaire au plus) et non pas uniquement sur la vente en ligne. L absence quasi totale d enquêtes et d études sur les consommateurs de produits agricoles utilisant la vente en ligne nous oblige ici à recentrer nos analyses sur la vente directe. A/ Peu d actes mais une perception qualitative préférentielle Une faible proportion dans les actes d achats des consommateurs L étude TNS Sofres réalisée en 2009 nous indiquent que les réseaux de distribution traditionnels, de type circuits longs, sont les plus largement répandus pour les actes d achat des produits alimentaires frais chez les consommateurs puisque 61% de la population s approvisionne dans les grandes et moyennes surfaces. Il est visible que la vente directe ou la vente en ligne n ont pas une place représentative et quantitative dans les modes d achat de produits frais chez les consommateurs, seulement 3% de la population les utilisent. Ils n appartiennent pas à des habitudes d achat répandues. mais une image forte de confiance et de qualité pour les consommateurs Selon le sondage, «74% d entre eux déclarent être attentifs à la provenance lorsqu ils achètent des produits alimentaires (dont un tiers très attentifs), une proportion en hausse de deux points par rapport à 2005». Le classement des acteurs en termes de taux de confiance et garantie de la qualité des produits alimentaires frais dans l esprit des consommateurs, place les producteurs en tête avec 91% contre 63% pour les GMS. Les circuits courts jouissent donc des plus forts taux de confiance et sont largement plébiscités par les consommateurs. Nous remarquons que plus le réseau de distribution s allonge et moins la présence du producteur est visible, moins les consommateurs accordent de confiance dans le lieu de vente. Ainsi, les hypermarchés, supermarchés, industries, magasins de hard discount, acteurs des circuits longs de 2 Centre de Recherche pour l Etude et l Observation des Conditions de vie 3 Enquête de TNS Sofres de mai 2009 portant sur la consommation des produits frais des Français réalisée sur un échantillon de 1000 personnes et un baromètre sur l alimentation du CREDOC datant de
6 distribution sont assez mal placés dans le classement, alors que les producteurs et marchés de quartier ou de gros sont en tête des indices de confiance. L image collective des consommateurs envers les producteurs et les circuits courts est basée sur une confiance dans les produits vendus et ce type de distribution est perçue comme garant de la qualité des produits alimentaires et ce, quelles que soient les catégories de population même si l usage des circuits courts est très peu répandu dans les actes d achat des consommateurs, qui ne le perçoivent pas comme un système d approvisionnement régulier. La vente directe possède donc un levier important de développement puisqu elle a un positionnement et une image très positive dans l esprit des consommateurs. Sa consommation n est pas quantitative mais qualitative. B/ Le profil type du consommateur Grâce aux données des deux enquêtes utilisées, nous pouvons établir un profil type du consommateur utilisant les circuits courts, plus ou moins fréquemment. - CSP élevée (+ de 3000 net/foyer/mois) et ménages aisés - Plus de 50 ans - Francilien ou habitant du Sud de la France - Citadin - Méfiant envers les industries agroalimentaires et les messages de la grande distribution - Sensible au plaisir du goût - Personne soucieuse de sa santé, la qualité des produits, du respect de l animal, de la traçabilité et de l environnement Les catégories socioprofessionnelles plus élevées considèrent l alimentation comme un plaisir alors que les plus basses comme une nécessité. Cette différence influe sur les comportements d achat puisque les consommateurs «plaisir» auront tendance à moins se soucier du prix mais plus de la qualité des produits frais achetés. C/ Les besoins du consommateur Nous tenterons ci-dessous de réaliser une liste la plus exhaustive possible des besoins des consommateurs en ce qui concerne la vente en ligne de produits agricoles au vu des résultats trouvés grâce à la revue de presse. - Les circuits courts de commercialisation des produits agricoles participent à la recherche de liens sociaux plus directs entre producteurs et consommateurs et à une plus grande qualité relationnelle. En effet, ce mode d achat permet aux deux parties de se connaître, d échanger plus facilement que dans les circuits de distribution à grande échelle où l agriculteur est, aux yeux des consommateurs, une personne totalement anonyme. - Ce mode d exploitation permet aux consommateurs un retour aux sources. En effet, face à un avenir incertain, l origine française, régionale ou le mode de fabrication artisanal rassurent le consommateur, qui se sent aujourd hui menacé par les mouvements de mondialisation. Les consommateurs sont à la recherche de produits authentiques, naturels et de qualité et parfois oublié comme les topinambours, les panais Les circuits courts constituent donc une offre alimentaire complémentaire de l'offre traditionnelle. - Les consommateurs cherchent à assouvir un besoin d hygiène et de sécurité. En effet, 6
7 d après la pyramide de Maslow 4, les consommateurs répondent actuellement facilement aux premiers besoins physiologiques, c est à dire à la nécessité de se nourrir car nous vivons dans une société de surabondance. Vient ensuite le besoin de sécurité, de produits fiables, sains, sans danger pour la santé ou l intégrité physique. Les besoins ne sont plus liés à la rareté mais bien à la qualité des produits. Certaines crises alimentaires ont occasionné une forte crise de confiance dans la manière dont sont produits, diffusés, commercialisés les aliments, notamment dans la grande distribution. L achat direct auprès des agriculteurs permet donc aux consommateurs de s assurer que ce besoin est respecté car la possibilité de traçabilité est plus élevée. - Ce système permet au consommateur de se renseigner sur les produits qu il consomme. Il en connait la provenance, le traitement, les techniques de récolte et peut donc s assurer de la qualité de ce qu il achète. De plus, ce mode de consommation renvoie à un acte citoyen respectant l environnement avec la réduction des emballages, des conditionnements, avec une limitation d émission de CO2 et soutenant les pratiques de production durable. Le consommateur, en achetant ces produits, participe donc à une démarche responsable et écologique. - Les Français ressentent le besoin, face à la mondialisation et à la surconsommation, d acheter des produits français, locaux pour favoriser l économie locale. Ils permettent le développement du territoire local, notamment par l intermédiaire des AMAP car chaque adhérent achète à l avance une part de production et garantit donc au paysan la vente d une partie de sa récolte et assure le maintien de son activité. Ce mode de commercialisation permet de mieux rémunérer l acte de production et la création d emploi. Les acheteurs sont donc acteurs du co-développement des circuits courts. Il y a une volonté de solidarité villes/campagnes mais également de contrer les systèmes de distribution à grande échelle qui imposent leurs prix, de plus en plus élevés pour les acheteurs et de plus en plus bas pour les agriculteurs. Ils luttent alors contre le mode de consommation standardisé et le monopole imposé par les grandes enseignes. D/ Les attentes du consommateur - Les producteurs fournissent uniquement des produits de saison et proposent donc un panel d articles beaucoup moins important que les grandes surfaces. Les consommateurs, habitués à la surabondance sont obligés de s adapter à la saison et aux choix de l agriculteur. - La vente en ligne ne propose pas tous les types d articles. Les produits frais comme la viande, le poisson, les produits transformés peuvent difficilement être commercialisés en direct par les producteurs à moins d être équipés en conséquence. Les consommateurs ne peuvent donc pas uniquement passer par ce biais pour consommer, et sont obligés de se référer à d autres types de commercialisation tels que les supermarchés. - Il existe également une réticence concernant la sécurité et le risque financier des achats sur internet puisqu on estime qu un internaute sur huit renonce à un achat en ligne du fait de cette difficulté 5. Le paiement en ligne sur internet n est pas totalement fiable. Il existe des risques de fraudes et de défaillance du système. 4 La pyramide de Maslow est une classification hiérarchique des besoins humains en cinq grandes catégories : besoins physiologiques, de sécurité, d appartenance, d estime et de s accomplir. 5 Source : business.declik-interactif.com 7
8 - L achat en ligne n est pas organoleptique. Il ne permet pas de voir physiquement le produit avant l achat, ni de les sentir, les toucher or, les denrées alimentaires sont des produits «impliquants» qui génèrent de la méfiance. - Les consommateurs ont conscience qu Internet a tendance à se substituer au contact humain et à isoler les individus, ce qui peut entrer en contradiction avec la volonté de la vente directe entre producteur et consommateur. 8
9 Partie II : l analyse des sites aquitains de vente en ligne de produits agricoles 1. Le référencement non exhaustif des sites de e- commerce A/ La méthodologie Cadrage de la recherche Nous définissons les sites de vente en ligne de produits agricoles comme tous les sites web de produits agricoles permettant de passer commande en ligne et de se faire livrer la marchandise ou de la récupérer sur un point de vente physique. Le paiement en ligne n est pas une condition obligatoire. Ces systèmes peuvent inclure au maximum 2 intermédiaires, définition des circuits courts. Méthode de recherche et d extraction Concernant le référencement des sites, nous avons privilégié, comme critère discriminant, la visibilité de ces sites. Nous avons donc construit une méthodologie autour de 23 mots-clés combinés les uns avec les autres selon un tableau d équation afin de former des équations du type : «VENTE» + «VIN» + «AQUITAINE» «ACHAT» + «VIN» + «AQUITAINE» «PRODUCTEUR» + «VIN» + «AQUITAINE» «COOPERATIVE» + «VIN» + «AQUITAINE» - «VENTE» + «VIN» + «GIRONDE» etc. Nous avons entré ces mots-clés sur le moteur de recherche GOOGLE. Nous avons pris en compte les résultats des deux premières pages du moteur de recherche, en incluant à la fois les sites de vente en ligne de produits agricoles et les divers annuaires ou sites de référencement, tels que «lesproducteursdemaregion.com» ou «keldelice.com». B/ Le classement et les résultats Nous avons ainsi recensé 85 sites de vente en ligne exploitables pour notre étude. 9
10 Nous les avons classés par : - type de structure - type de produit proposé - département Ci-dessous, voici les graphiques illustrant les résultats obtenus. Les différentes structures recensées 10
11 Remarque : les sites de vente en ligne recensés sont majoritairement proposés par des producteurs indépendants de petite et moyenne taille. Viennent ensuite les associations de producteurs et les sites marchands. Cela dénote une mobilisation de la part des agriculteurs pour accentuer leur visibilité online. Les différents types de produits proposés 11
12 Remarque : les produits les plus accessibles à la vente en ligne concernent la conserverie et plus particulièrement le foie gras ainsi que le vin. Cela semble peut étonnant étant donné la popularité nationale de ces produits. Les départements de provenance, de production et/ou de commercialisation 12
13 Remarque : Les agriculteurs les plus présents dans notre étude proviennent de Gironde et Dordogne, départements de prédilection du vin et du foie gras. On peut ainsi corréler ces chiffres avec les graphiques précédents concernant les produits. 2. L analyse des sites A/ La méthodologie Classification des sites En comparaison avec des sites de vente en ligne référents (Amazon, Ebay, etc.), nous avons réalisé une 1ere classification des sites en 4 catégories : Les sites très amateurs (3) : réalisation sommaire, créée par le producteur lui-même, présentant peu d items, une navigation limitée et un design général de basse qualité. Les sites «moyens» (7) : offrant les informations nécessaires, dénotant une réflexion concernant le design et les visuels mais permettant une navigation limitée et peu optimisée. Les sites quasi professionnels (4) : proposant une navigation intéressante, une réflexion stratégique des items, un design parlant mais présentant certaines lacunes en terme d outils techniques. Les sites professionnels (15) : présentant une réflexion marketing évidente, une conception technique et ergonomique professionnelle et une utilisation optimisée des outils commerciaux. Parmi ces sites, nous en avons sélectionné 29 (les contraintes calendaires ne nous permettant pas d'en étudier davantage) afin d'obtenir un échantillon représentatif de notre référencement (en terme de typologie de structure). Méthode d analyse Suite à la sélection, nous avons établi d en étudier 25 de manière succincte et d en approfondir 4 (Cf. partie III : image voulue/image perçue). Nous avons opté pour une grille d'analyse en 2 parties. La première partie présente une analyse générale de chaque site internet, prenant en compte les éléments suivants : - Les aspects techniques 13
14 - La page d'accueil et la navigation (c'est à dire la manière dont le visiteur est guidé et incité à se déplacer sur le site) - Les aspects graphiques et de design - Le contenu (sa richesse et son actualisation) - L'interactivité Au regard des objectifs initiaux de l'étude, nous ajoutons à cette description une seconde partie centrée sur les aspects marketing de chaque site. En premier lieu, il s'agit d'identifier le positionnement de chaque site, à travers l'étude et l'analyse du discours (rubrique «Qui sommes nous?», promesse, Baseline, etc.). En second lieu, une partie consacrée au processus d'achat, centrée sur l'objet premier des sites, la vente en ligne, permet de décrire de quelle manière chaque producteur valorise ses produits et favorise la transformation des visiteurs du site en acheteurs. Les questions auxquelles cette grille d'analyse permet de répondre, sont les suivantes: >> A quel type de site avons-nous à faire? >> Quel positionnement le discours (c'est à dire le contenu) du site laisse-t-il apparaître? >> Comment le visiteur est-il incité à acheter les produits et, le cas échéant, par quel processus? B/ Le bilan Il s'agit de construire un état des lieux des sites aquitains de vente de produits agricoles. Pour ce faire, cette partie vise tout d'abord à hiérarchiser les tendances identifiées dans l'analyse afin de déterminer quels éléments sont majoritaires, voire récurrents, et quels éléments apparaissent plus secondaires ; puis de mettre en perspective ces éléments afin d'identifier les caractéristiques et enjeux de ces sites. Au vu de nos observations, nous présentons une synthèse du panorama des sites de vente en ligne de produits agricoles en privilégiant deux axes : - les principaux handicaps des sites, afin d entamer une réflexion quant aux actions de soutien à mettre en œuvre à l attention des agriculteurs ou des structures auxquelles ils appartiennent ; - les principaux positionnements des sites. D une manière générale, deux types de structures se dégagent : - les producteurs indépendants ou les regroupements de producteurs de petite taille ; - les regroupements de producteurs importants et les sites marchands. Des degrés de professionnalisme des sites très divers 14
15 Du point de vue graphique et technique, on note un fort contraste entre ces deux groupes. La qualité technique et graphique d un site étant en grande partie dépendante des moyens consacrés à sa réalisation, on peut émettre l hypothèse que ce contraste s explique par la différence des moyens humains, financiers, et techniques à la disposition des acteurs concernés. Par l analyse des sites et des discours des agriculteurs, on note également un fort contraste de compétences et de savoir faire entre ces deux types de structure : les sites marchands et les gros regroupements de producteurs ayant bien intégré l opportunité d un positionnement réfléchi et de techniques marketing rodées (par exemple les actions déclencheuses d achat très utilisées par les sites marchands et peu utilisées, car probablement non connues, par les sites de taille plus modeste). Un positionnement axé sur le Développement Durable En terme de positionnement, le territoire de communication que l on observe sur la majorité des sites est le Développement Durable, très en vogue ces dernières années. Cependant, la définition de cette notion, encore mal maîtrisée par une partie du grand public, diffère énormément d un site à l autre. Certains sites résument par exemple le Développement Durable à la notion d environnement et/ou d écologie, alors que d autres l étendent à un discours plus engagé sur les circuits alternatifs de distribution. On peut émettre l hypothèse d une certaine filiation entre ces discours et une certaine idéologie altermondialiste, mais le panel des sites étudiés ne nous permet pas de l affirmer. Un argumentaire basé sur la qualité et l authenticité Le discours développé par les sites de commerce en ligne repose globalement sur la même structure argumentaire. La revendication de produits de qualité est une caractéristique commune des sites observés. Selon les sites, cette valeur ajoutée repose sur la provenance locale des produits proposés ou sur différents labels ou certifications de qualité, intervenant comme une caution, une garantie qualitative pour le client, censé favoriser sa confiance. Cet enjeu de confiance est d autant plus important du fait du commerce en ligne d une part (les consommateurs sont souvent méfiants à l égard de ce mode d achat) et de l exigence de sécurité alimentaire d autre part, à laquelle sont associées les crises sanitaires de ces dernières années (vache folle, grippe aviaire ou porcine, etc.). La mise en valeur de notion de proximité, d authenticité et de traçabilité (ferme familiale, fabrication artisanale des produits, etc) apparaît en cohérence avec ces tendances. En outre, ces sites (particulièrement les sites marchands) mettent en avant la notion de service (marché virtuel, paniers, livraisons à domicile ou sur le lieu de travail, etc), ciblant ainsi une clientèle citadine qui manque de temps mais apparaît de plus en plus en recherche de produits de qualité. Cet argumentaire comprend différentes modalités selon les sites, tantôt axée sur les avantages clients (discours marketing des sites marchands) ou sur un contenu plus fourni, allant au-delà du produit lui-même (recettes, modes de confection, histoire, etc.). Ces arguments, qu ils soient développés par des sites de taille modeste ou des entreprises commerciales de taille plus importante, leur permettent de se situer comme des moyens de 15
16 consommation alternatifs, en opposition (affirmée ou implicite) avec la grande distribution et l industrie agroalimentaire. Enfin, remarquons que la volonté de distribution multicanale des agriculteurs démontre d un réel souhait de modernisation du monde agricole (création de site internet ; mode de paiement électronique (type Paypal), y compris sur des sites de taille modeste, etc. 16
17 Partie III : stratégie et problématiques des vendeurs 1. Synthèse sur les thématiques abordées Une enquête auprès des différents types de vendeurs que nous avons identifiés a été réalisée. Le graphique ci-dessous renseigne sur les catégories mises en avant ainsi que sur la nature des sondés. Cette étude portant sur les sites de vente en ligne de produits agricoles aquitains, il semblait nécessaire d interroger des acteurs des cinq départements composant la région Aquitaine. Au total, treize personnes ont pris le temps de répondre à notre questionnaire. A/ Une évolution complexe Du point de vue des sondés, il convient de mettre en exergue les deux tendances concernant la vente en ligne. Tout d abord, comme le montre le graphique ci-dessous, deux modes de vente en ligne distincts semblent cohabiter. Cependant, la vente en ligne avec possibilité de paiement directement sur le site est le plus représenté. Ce système simplifie et rassure les consommateurs actuels et potentiels. Dans certains cas, ici trois, un site Internet préexistait. Il était souvent réalisé par un ami ou par d anciens gérants ayant seulement acquis une page personnelle sur Internet. Dans les 17
18 deux exemples, la présence virtuelle montrait très rapidement ses limites. Avec le développement des nouvelles technologies, ces trois interlocuteurs nous ont expliqué le besoin qu ils ressentaient d actualiser leurs représentations virtuelles, en s adaptant aux besoins de leurs clients. Cette modernisation dépasse le plus souvent les connaissances informatiques des interlocuteurs ayant répondu à notre questionnaire. Ils passent le plus souvent par une société spécialisée ou dans certains cas, les gérants ou une tierce personne le réalisant à titre amical. Une majorité des sondés souhaiteraient voir évoluer leurs sites Internet, toutefois cela implique un coût concernant la création et de l investissement temporel. En effet, être présent sur Internet implique une mise à jour et un dynamisme au sein même de l interface. Quelques acteurs de la vente en ligne de produits agricoles aquitains sont néanmoins satisfaits des services qu ils proposent sur Internet. Le plus souvent les sites Internet ont été mis en place dans une optique de développement de l activité commerciale. Le réseau Internet étant un outil nouveau offrant de multiples possibilités, beaucoup désirent ne pas passer à côté de cette opportunité. B/ Des outils de promotion divers et variés Le référencement, selon nos sources, apparait comme l outil de promotion web le plus utilisé. Toutefois, comme le précisent les sondés, le référencement de leur site de e- commerce n est pas chose aisée. Pourtant, il est primordial pour une boutique en ligne d assurer sa visibilité dans les moteurs de recherches, afin d espérer générer du trafic. Concernant les personnes interrogées, la promotion sur le support papier reste prédominante. Elles ne déploient peu ou pas de stratégie sur la toile, mise à part les liens commerciaux. L utilisation de ces liens, payants ou non, sont une des rares activités utilisées sur le web mais elles restent encore peu exploitées, le plus souvent sur les sites des partenaires. Pour d autres, ces derniers notifient leur site de vente en ligne sur les outils de commande ainsi que sur les outils de promotion diffusés dans des lieux stratégiques. Les mailings sont utilisés mais ils restent une stratégie marginale, principalement mise en place par les petits producteurs. Les sondés en majorité communiquent davantage sur leurs sites et moins sur leurs boutiques virtuelles. Ils ne mettent pas en avant leurs outils de e-commerce. En effet, certains préfèrent communiquer davantage sur leur image plutôt que sur leurs outils mis en place. Au travers de nos questionnaires, nous nous rendons compte que la communication reste un point important voire primordial. Les sites et boutiques en ligne restent une vitrine de la société. Certains ont opté pour une communication inexistante vis-à-vis de leur système de vente en ligne, considérant que les ventes étaient dérisoires en comparaison avec les ventes directes. L outil de promotion qui ressort le plus de notre analyse reste le bouche à oreille : lorsque les sondés rencontrent leurs clients sur leur site ou sur d autres événements. Faute de moyens financiers et humains, les personnes interrogées ne peuvent pas toujours développer un site à la pointe de la technologie. Certains producteurs ne peuvent pas sous-traiter cette prestation à des agences de communication. Dès lors, ils réalisent le plus souvent leur propre communication. C/ Un système de distribution pertinent Le choix des personnes sondées de pratiquer la vente en ligne provient souvent d un attrait pour les opportunités qu offre Internet. Il peut être perçu comme un renouveau dans le domaine de la commercialisation, un outil qu il faut développer en vue de son potentiel. 18
19 Cependant, bien que les ambitions soient présentes, les exploitants réalisant de la vente directe ainsi que de la vente en ligne constatent que cette dernière est une activité représentant une minorité de leurs transactions. De plus, une application comme la vente en ligne sur le site Internet d une entreprise a été souligné, à plusieurs reprises, comme étant un très bon facteur de communication. Cela permet une fidélisation de certains clients tels que les touristes de passage découvrant certains produits durant leurs vacances. Ce vecteur de notoriété, efficace et en vogue, semble satisfaire les personnes ayant répondu à notre questionnaire et tout particulièrement ceux pratiquant uniquement de la vente en ligne. Cette diversification des moyens de distribution peut aussi être perçue comme une réponse à la crise économique actuelle. D/ Un service de proximité Des valeurs et des revendications sont affirmées au travers de la vente en ligne des produits des sondés. Une grande majorité de l échantillon veut éviter les intermédiaires et notamment la grande distribution. Ils privilégient la qualité à la quantité. Leurs priorités concernent en effet la qualité de leurs produits et la satisfaction des consommateurs. Les personnes interrogées expliquent que les consommateurs sont curieux de connaître le cheminement des produits, les associations avec tels ou tels aliments, etc. Le contact est tout aussi important pour les consommateurs que les producteurs. D ailleurs, un grand nombre de sites offre un espace aux avis des consommateurs. Les boutiques de vente en ligne ont l avantage aussi de créer un lien, à distance, avec leurs boutiques. Il fidélise en quelque sorte les clients, ces boutiques représentent donc un système permettant d accroître leur communication. Les producteurs ont conscience de l évolution des pratiques de la société. Les boutiques de vente en ligne sont en forte croissance et ces derniers ne veulent pas passer à côté de cet outil. Toutefois, les producteurs manquent de moyens pour bien exploiter leurs sites internet et leurs systèmes de vente en ligne. E/ Conclusion La vente en ligne semble être en pleine expansion. Une grande majorité des sondés ont déjà pris conscience des opportunités actuelles et futures qu offre un outil comme Internet et plus particulièrement, la vente en ligne. Malgré des objectifs différents et certaines lacunes en informatique, ces derniers ne souhaitent pas se laisser dépasser par ce système de distribution auquel ils souhaitent adhérer. Concernant ceux bénéficiant d une plateforme virtuelle de qualité et réalisée par des professionnels, ils ne restent pas sur leurs acquis et sont perpétuellement en recherche de perfectionnement. Les personnes interrogées ont conscience des enjeux stratégiques, communicationnels qui accompagnent la mise en place d un site Internet et plus précisément, d une boutique de vente en ligne. Ils doivent développer une stratégie de promotion pertinente afin d assurer la plus forte visibilité possible à leur boutique virtuelle, nécessaire à son bon fonctionnement. Divers outils sont utilisés, à différents niveaux, selon leurs moyens. Ces derniers justement, humains et financiers, ont tendance à manquer, particulièrement pour les petits producteurs. Dans un contexte économique difficile, les producteurs ou entreprises agricoles souhaitent se «mettre à la page» pour survivre dans un marché largement dominé par la grande distribution. 19
20 2. Le bilan A / Manques et besoins Manques Manque de connaissances informatiques au niveau de la création de site Internet Manque de moyens financiers et humains pour faire évoluer leur site Internet Manque d accompagnement de la part des institutionnels en terme de communication, de stratégie Besoins Besoin de formation à ces nouvelles technologies Besoin d aides financières Besoin de suivi B/ Mise en perspective de l image voulue et de l image perçue La mise en perspective des propos des agriculteurs avec l analyse des sites (sous-entendu le regard «consommateur») nous permet de mettre en exergue des écarts mais aussi des adéquations entre les deux. Alors que l image voulue dénote une volonté réelle d investir le Web afin de développer l activité commerciale, l image perçue de la plupart des sites montre que les petites exploitations ont encore beaucoup de mal à mettre en place des stratégies de web marketing. Néanmoins, certains agriculteurs ont réussi à dupliquer avec succès la stratégie marketing de leur point de vente sur le site web : proximité virtuelle, authenticité dans le design. Les propos recueillis mettent en exergue un discours moderne et entreprenant alors que les sites diffusent une image sommaire et vieillissante de l agriculture. Cela peut se justifier par la raison suivante : si la plupart des exploitations jouent sur une stratégie de diffusion multicanale, la boutique en ligne apparaît rarement comme un canal prioritaire. Le manque d optimisation de celle-ci peut en être révélateur. Enfin, la qualité des produits et la relation préalable avec leurs clients sur le point de vente peuvent partiellement justifier le manque d effort pour soigner les sites. Cela nous emmène à souligner l importance de soutenir les producteurs dans leur volonté de modernisation afin de combler les écarts. 20
Les Points de vente collectifs de PACA Etat des lieux et dynamiques
Les Points de vente collectifs de PACA Etat des lieux et dynamiques 1. Contexte et enjeux de l enquête L état des lieux des collectifs d agriculteurs en PACA (Trame / FRGEDA PACA - 2010) Intérêt grandissant
Plus en détailVendre son champagne sur internet
dossier P.13-17 Vendre son champagne sur internet De nombreuses études le montrent : le commerce en ligne se porte bien et devrait continuer à croître sur les deux prochaines années. Ainsi, la Fédération
Plus en détailStratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services
1 Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services Pays Cœur de Flandre I Phase II La formulation de la stratégie Région Nord Pas de Calais Avril 2013 Région Communauté Nord Pas de
Plus en détailAtelier 2 L e-commerce
Atelier 2 L e-commerce Claude Ménissez E-commerce Les lois de l efficacité 1 Spécificité essentielle du e-commerce Mettre en ligne un site internet marchand c est ouvrir d un coup des millions de boutiques
Plus en détailAvril 2013 DIAGNOSTIC NUMERIQUE. Réalisé par l Office de Tourisme Andernos-les-Bains
Avril 2013 DIAGNOSTIC NUMERIQUE Réalisé par l Office de Tourisme Andernos-les-Bains Sommaire Présentation...3 Matériel numérique...4 Mise à disposition de matériel numérique...4 Mise à disposition d une
Plus en détailChap 1 : LA DEMARCHE MERCATIQUE
I. La démarche mercatique globale A. Définition Chap 1 : LA DEMARCHE MERCATIQUE La mercatique est l ensemble des techniques et actions ayant pour objet de prévoir, constater, stimuler, susciter ou renouveler
Plus en détailOffices de tourisme et bonnes pratiques Internet. Evaluation comparative de sites Internet
Offices de tourisme et bonnes pratiques Internet Evaluation comparative de sites Internet Quoi? Ce document est un résumé des résultats de l étude menée sur une quinzaine de sites Internet dans le domaine
Plus en détail72% des Français prêts à payer plus cher un produit fabriqué en France. Mais pas à n importe quel prix!
Communiqué de presse 21 novembre 2011 Une étude CEDRE/Ifop 1 propose le regard croisé des consommateurs et des chefs d entreprises français sur le «Made in France» 72% des Français prêts à payer plus cher
Plus en détailAtelier : Numérique et Œnotourisme en Aquitaine. Document de cadrage pour la réunion du 7 mars 2012
Atelier : Numérique et Œnotourisme en Aquitaine Document de cadrage pour la réunion du 7 mars 2012 Ce document de travail rassemble quelques chiffres-clés et éléments de cadrage pour les participants aux
Plus en détailATELIER 3 Les nouvelles formes de consommation et de pratiques d achats et leur impact sur l aménagement du territoire 22 MAI 2012
ATELIER 3 Les nouvelles formes de consommation et de pratiques d achats et leur impact sur l aménagement du territoire 22 MAI 2012 Intervenants : Charlène MARLIAC, conseil commerce TIC - CCI de Lyon Yann
Plus en détailRessources. APIE Agence du patrimoine immatériel de l état. Les paiements sur Internet. l immatériel. Pour agir. En bref
Ressources de l immatériel APIE Agence du patrimoine immatériel de l état En bref Valoriser le patrimoine immatériel invite l État à développer des approches nouvelles et, parfois, à céder contre paiement
Plus en détailEnquête nationale sur le développement commercial des PME. Etude réalisée du 15 juin au 15 août 2009 sur un panel de 240 PME de moins de 250 salariés
Enquête nationale sur le développement commercial des PME Etude réalisée du 15 juin au 15 août 2009 sur un panel de 240 PME de moins de 250 salariés 1 Sommaire INTRODUCTION... 4 1. SYNTHESE DE L ENQUÊTE...
Plus en détailEtude-action pour le développement des circuits courts en pays Haut-Languedoc et Vignobles
1 Etude-action pour le développement des circuits courts en pays Haut-Languedoc et Vignobles Partie 3 Résultats d enquête auprès d intermédiaires économiques Auréline DOREAU, Yuna CHIFFOLEAU Octobre 2012
Plus en détailFiche descriptive d activités
Fiche descriptive d activités Fiche descriptive d activités (FDA) La fiche descriptive d activités (FDA) dresse la liste de l ensemble des activités, recensées lors d enquêtes, exercées par des titulaires
Plus en détailLes services à la personne : nouveaux marchés pour de nouveaux entrepreneurs
C O L L E C T I O N F O C U S Les services à la personne : nouveaux marchés pour de nouveaux entrepreneurs C O L L E C T I O N F O C U S Les services à la personne : nouveaux marchés pour de nouveaux entrepreneurs
Plus en détailLe profil des acheteurs à distance et en ligne
Le profil des acheteurs à distance et en ligne Étude réalisée pour le compte de La FEVAD, La Poste, Reed Exhibitions, CCI Grand Lille 24 octobre 2012 Synthèse de l étude - 1 LES HABITUDES DE CONSOMMATION
Plus en détailPHILLIPS INTERNET COMMUNICATION C EST...
PHILLIPS INTERNET COMMUNICATION C EST... 18 ans d expérience Une équipe passionnée et motivée Plus de 500 clients satisfaits et motivés LES 10 ETAPES CLES D UN PROJET E-COMMERCE LES 10 ÉTAPES CLES 1 L
Plus en détailLA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte
LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte La GRH constitue une préoccupation permanente de toute entreprise, de tout dirigeant, qu il s agisse de
Plus en détail8ème édition du Baromètre du CtoC PriceMinister-Rakuten & La Poste, réalisé par OpinionWay
Paris, le 14 novembre 2013 8ème édition du Baromètre du CtoC PriceMinister-Rakuten & La Poste, réalisé par OpinionWay En 2013, face à la crise, le CtoC, précurseur de "l économie collaborative" ou «sharing
Plus en détailPRATIQUES ET USAGES DU NUMÉRIQUE DANS LES PME ET TPE
PRATIQUES ET USAGES DU NUMÉRIQUE DANS LES PME ET TPE ETUDE RHÔNE Septembre 2015 CCI LYON - DIRECTION DÉVELOPPEMENT INDUSTRIEL ET TERRITORIAL Page 1 I CCI DDIT Page 2 I CCI DDIT ommaire Avant-propos page
Plus en détailLes dirigeants face à l innovation
Les dirigeants face à l innovation Vague 2 FACD N 111164 Contact Ifop : Flore-Aline Colmet Daâge Directrice d Etudes Département Opinion et Stratégies d'entreprise flore-aline.colmet-daage@ifop.com Mai
Plus en détailRapport sur l intérêt des producteurs maraîchers de la région de Montréal quant aux modèles associatifs de mise en marché en circuits courts
Rapport sur l intérêt des producteurs maraîchers de la région de Montréal quant aux modèles associatifs de mise en marché en circuits courts par Équiterre 30 novembre 2011 Objet de l étude Cette étude
Plus en détailLe développement de la franchise dans le Groupe Casino
Le développement de la franchise dans le Groupe Casino Dossier de presse 1 Communiqué de presse Le groupe Casino mise sur la franchise pour accélérer le développement de ses enseignes de proximité Mars
Plus en détailJOURNEE DE FORMATION : CONNAITRE LES TENDANCES EN RESTAURATION
JOURNEE DE FORMATION : CONNAITRE LES TENDANCES EN RESTAURATION Dans le cadre du contrat de filière de l industrie agroalimentaire coordonné par la Région Nord-Pas de Calais et la DRAAF, le pôle d excellence
Plus en détailCCI de la Nièvre Réunion E-Commerce
CCI de la Nièvre Réunion E-Commerce (Never 04/07/2011) Introduction Etude de cas : BienManger.com Site de E-Commerce de produits du terroir BienManger.com est une épicerie fine en ligne créée en 2000 en
Plus en détailL INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS
1 L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS xz Sabrina TONNERRE Juriste Master II Droit des activités économiques Option Droit de l agroalimentaire Sous la direction de Maître
Plus en détailWeb-to-Store 12 septembre 2013
Contacts BVA Marie Laurence GUENA marie-laurence.guena@bva.fr +33 1 71 16 89 70 CONTEXTE ET METHODOLOGIE Objectifs Le concept s inscrit comme une tendance forte des 10 prochaines années, mais reste à définir.
Plus en détailDigital Trends Morocco 2015. Moroccan Digital Summit 2014 #MDSGAM - Décembre 2014
Moroccan Digital Summit 2014 #MDSGAM - Décembre 2014 Sommaire 04 Objectifs de la démarche 07 Méthodologie 05 Parties prenantes 09 Résultats de l étude 06 Objectifs de l étude 37 Conclusion 02 Contexte
Plus en détailMobile & achats à la demande. Comment le marketing à la performance permet-il aux mobiles d influencer le parcours d achat. tradedoubler.
Mobile & achats à la demande Comment le marketing à la performance permet-il aux mobiles d influencer le parcours d achat tradedoubler.com En Europe, les canaux mobiles de marketing à la performance transforment
Plus en détailEtude de marché. Idée de depart. Etude de l environnement et des offres existantes. Clients. actuels. Choix de la cible précise
Etude de marché Selon l Agence Pour la Création d Entreprise (APCE), 70% des cas de défaillance ont pour origine la mauvaise qualité des études de marché, que celles-ci soient mal réalisées ou de manière
Plus en détailCompte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris
Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris Thème : Commercialiser la campagne : les questions de base posées aux territoires
Plus en détailEtude de cas : Panorama des agences de communication aquitaines en agriculture et viticulture
Axe 4 du programme RAUDIN, Février 2012 Etude de cas : Panorama des agences de communication aquitaines en agriculture et viticulture Sous la direction d Aurélie Laborde, MCF MICA Etude réalisée par :
Plus en détailBaromètre des courtiers de proximité APRIL/OpinionWay
Baromètre des courtiers de proximité APRIL/OpinionWay Edition 2012 Toute publication, même partielle de cette étude, est soumise à autorisation de la part d APRIL Courtage Contactez Nathalie RAVET nravet@april.fr
Plus en détailAgence web marketing Pourquoi une agence de web marketing? Définition du web marketing.
Agence web marketing Pourquoi une agence de web marketing? Définition du web marketing. Internet est la plus grande vitrine imaginable pour présenter et vendre des produits et des services. En permanence
Plus en détailBientôt plus d'1 Français sur 10 client d'une banque en ligne.
www.audirep.fr Bientôt plus d'1 Français sur 10 client d'une banque en ligne. Restitution des résultats d une étude menée par internet sur un échantillon de 1 001 personnes représentatives de la population
Plus en détailMalgré une image des banques entachée par la crise, les Français restent très attachés à leur agence bancaire
Résultats de l enquête Ifop/Wincor sur les relations des Français à leur agence bancaire Malgré une image des banques entachée par la crise, les Français restent très attachés à leur agence bancaire -
Plus en détailAPPEL À MANIFESTATION D INTÉRÊT
APPEL À MANIFESTATION D INTÉRÊT Valorisez vos produits agroalimentaires avec la marque collective «So Goût» portée par le Réseau Gesat 1 Sommaire Pourquoi avoir créé la marque «So Goût»? Quels sont les
Plus en détailSeptembre 2012. Enquête CLCV LES CONSOMMATEURS ET LEURS ASSURANCES
Septembre 2012 Enquête CLCV LES CONSOMMATEURS ET LEURS ASSURANCES 1 Qu elle vise à protéger nos biens ou à garantir notre santé, l assurance est aujourd hui une dépense contrainte pour la majorité des
Plus en détailDiagnostic Numérique du Territoire
Diagnostic Numérique du Territoire 2014 Office de Tourisme Dieppe-Maritime Sommaire Introduction... 3 Contexte et état des lieux... 5 Pourquoi un diagnostic numérique du territoire... 9 Méthodologie...
Plus en détailLes clés du succès en e commerce
E COMMERCE Sommaire Le fil conducteur de notre approche Les clés du succès Générer du chiffre d affaires Les caractéristiques d un projet e-commerce L approche multicanal Les données connues et celles
Plus en détailClément ALBRIEUX (69)
Pratique 20 : Une nouvelle identité entrepreneuriale 287 Le témoin : Clément ALBRIEUX (69) 30 collaborateurs Comment est définie et gérée l innovation dans votre cabinet? Les collaborateurs du cabinet
Plus en détail*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*
Note détaillée Baromètre européen du rapport aux paiements Des pratiques uniformisées en Europe? Sondage Harris Interactive pour Crédit Agricole Cards & Payments Enquête réalisée en ligne du 19 au 29 septembre
Plus en détailGénérer du trafic payant. Laurent BIZOT, Oxatis Lucile Chanel, ebay
Générer du trafic payant Laurent BIZOT, Oxatis Lucile Chanel, ebay 13 et 14 mai 2011 Trouvez des nouveaux clients Adaptez-vous aux évolutions du E-Commerce Allez chercher les clients où ils se trouvent
Plus en détailANALYSE «CONCURRENTS»
ANALYSE «CONCURRENTS» ANALYSE DES CONCURRENTS DEFINITION L analyse de la concurrence est un outil d évaluation de la compétitivité des entreprises sur un secteur d activité ou sur un domaine d activités
Plus en détailConséquences des changements de mode de vie sur la production et la distribution des biens de consommation : résultats d une étude du CRÉDOC
Conséquences des changements de mode de vie sur la production et la distribution des biens de consommation : résultats d une étude du CRÉDOC L industrie française des biens de consommation prend-elle bien
Plus en détailSociologie des joueurs en ligne
Mars 2013 Sociologie des joueurs en ligne Enquête ARJEL 2012 Autorité de régulation des jeux en ligne 2 Propos introductifs à l enquête sur la sociologie des joueurs Au-delà de la publication trimestrielle
Plus en détailWHY CONSULTING. Performance Commerciale en B2B
É t u d e WHY CONSULTING Performance Commerciale en B2B La performance commerciale d une entreprise est un sujet complexe qui emprunte des chemins différents selon les organisations et les marchés, car
Plus en détailTendance et développement des. de l e-commerce. TPE/PME / PME sur le marché. Novembre 2014. Novembre 2014
Tendance et développement des TPE/PME / PME sur le marché de l e-commerce Novembre 2014 Novembre 2014 Point de vue de l expert KPMG On constate une certaine frilosité des chefs d entreprise à vendre en
Plus en détailLes Français et les nuisances sonores. Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie
Les Français et les nuisances sonores Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie RB/MCP N 112427 Contacts Ifop : Romain Bendavid / Marion Chasles-Parot Département Opinion
Plus en détailEtude Harris Interactive pour la Chambre Nationale des Services d Ambulances (CNSA)
Note détaillée L image des ambulanciers Etude Harris Interactive pour la Chambre Nationale des Services d Ambulances (CNSA) Enquête réalisée en ligne du 17 au 19 septembre 2013. Echantillon de 985 personnes
Plus en détailBig Bang Céréales. Compétition d agence
Big Bang Céréales Compétition d agence Big Bang Céréales Compétition d agence Présenté par Lemon Tree Sommaire Rappel Audit Stratégie Recommandations des enjeux interne & externe marketing & session Q/A
Plus en détailCOMMENT CONDUIRE UN PROJET DE SITE WEB?
COMMENT CONDUIRE UN PROJET DE SITE WEB? Sommaire Typologie des sites web Les sites «vitrines» Les sites de «marque» Les sites «catalogues» Les sites marchands Site web et stratégie commerciale Etapes clés
Plus en détailTOUR DE FRANCE NOUVEAU DIALOGUE FORUM-DEBAT POITIERS
TOUR DE FRANCE NOUVEAU DIALOGUE FORUM-DEBAT POITIERS Synthèse des débats rédigée par : 26 janvier 2012 Dans le cadre de son Tour de France du Dialogue, la CFE-CGC a organisé à Poitiers, le 26 janvier 2012,
Plus en détailEvaluation du dispositif de Volontariat de Solidarité Internationale. Résumé MAEE
MAEE RAPPORT FINAL Evaluation du dispositif de Volontariat de Solidarité Internationale Résumé Agnès Lambert, Raphaël Beaujeu, Helena Stucky de Quay, Didier Beaufort, Moctar Ahmed, Riad Bensouiah, Ralison
Plus en détailBaromètre du paiement électronique Vague 2
pour Baromètre du paiement électronique Vague 2 Frédéric Micheau Directeur adjoint Département Opinion et Stratégies d entreprise frederic.micheau@ifop.com Janvier 2012 Laurent Houitte Directeur Marketing
Plus en détailComment évolue le Category
Comment évolue le Category Management dans les enseignes multicanal? 5e rendez-vous du category management - paris 12-14 décembre 2012 Remerciements Florence Guittet et Serge Cogitore, enseignants du Master
Plus en détailENQUÊTE FORUM DÉBAT 2002. Les Distributeurs du Secteur Dentaire
ENQUÊTE FORUM DÉBAT 2002 Les Distributeurs du Secteur Dentaire [EDITO]. Le marché du matériel dentaire reste un domaine relativement parcellarisé sur le territoire français. Il est couvert par plus de
Plus en détailMINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n o 3054 Convention collective nationale IDCC : 925. DISTRIBUTION ET COMMERCE
Plus en détailRéseaux sociaux professionnels : Analyse des usages du réseau social Agrilink
Axe 4 du programme RAUDIN, Avril 2012 Réseaux sociaux professionnels : Analyse des usages du réseau social Agrilink Sous la direction d Aurélie Laborde, MCF MICA Etude réalisée par : Julie DELON, Vélina
Plus en détailMISSION D ACCOMPAGNEMENT DE L AGENCE DE DEVELOPPEMENT TOURISTIQUE DU LOIR-ET-CHER POUR LE LANCEMENT DU PROJET DE DEPLOIEMENT D UNE PLACE DE MARCHE
MISSION D ACCOMPAGNEMENT DE L AGENCE DE DEVELOPPEMENT TOURISTIQUE DU LOIR-ET-CHER POUR LE LANCEMENT DU PROJET DE DEPLOIEMENT D UNE PLACE DE MARCHE ETAPE 2.3 : PLAN D ACTIONS ET PLANNING Novembre 2014 Jean-Philippe
Plus en détailLe rôle sociétal du café en entreprise
Le rôle sociétal du café en entreprise Fort de son expertise café, Nespresso Business Solutions a conduit avec l organisme IFOP une étude sur la place et le rôle du café en entreprise, et en dévoile les
Plus en détailFocus sur les pratiques de consolidation des groupes en France. Restitution de l étude ESCP-Fidanza 2012"
Focus sur les pratiques de consolidation des groupes en France Restitution de l étude ESCP-Fidanza 2012" SOMMAIRE 1 Structure de l échan0llon p. 3 4 2 Acteurs comptables p. 5 6 3 Organisa0on et ou0ls de
Plus en détailInfo-commerce : Incertitude économique mondiale
Info-commerce : Incertitude économique mondiale avril 2012 Panel de recherche d EDC Résultats du sondage de février 2012 Faits saillants Même si les É.-U. restent une importante destination commerciale,
Plus en détailEtude Afci Andrh Inergie sur la communication managériale (3 ème édition)
Etude Afci Andrh Inergie sur la communication managériale (3 ème édition) L appropriation de la stratégie et sa démultiplication par les managers Juillet 2011 Contact Inergie Luc Vidal DGA Directeur associé
Plus en détailDépartement CRM ÉTUDE DE MARCHÉ
Département CRM ÉTUDE DE MARCHÉ QUI SOMMES-NOUS? CUSTOMER RELATIONSHIP MANAGEMENT (CRM) Ensemble de mesures prises pour optimiser la relation et la fidélisation client dans le but d augmenter son chiffre
Plus en détailConsumer. Fiche Synthètique. Journey. Enquête sur les parcours d achat Secteur Fournisseurs d accès à internet (FAI)
Fiche Synthètique Consumer Journey Enquête sur les parcours d achat Secteur Fournisseurs d accès à internet (FAI) Juillet 2013 1 Le secteur des télécommunications a subi des modifications qui ont permis
Plus en détailL OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014
L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS Juin 2014 Contacts BVA : Céline BRACQ Directrice BVA Opinion Lilas BRISAC Chargée d études 01 71 16 88 00
Plus en détailPOURQUOI UN SITE E-COMMERCE EST-IL UNE
POURQUOI UN SITE E-COMMERCE EST-IL UNE NÉCESSITÉ POUR LES COMMERÇANTS ET ARTISANS DE PROXIMITÉ? Réunion organisée par Châteaurenard CARAD Développement et L Agence Internet AG-log ww ww.ag-log.fr - www.mescommerces.fr
Plus en détailConversion et e-commerce : la fidélité prime
Conversion et e-commerce : la fidélité prime Etude réalisée du 1 er au 28 février 2010 sur un périmètre de 8 sites d e-commerce audités par AT Internet. Les sites d e-commerce ont de plus en plus le vent
Plus en détailENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI. Contribuer à la performance de l entreprise. Novembre 1999. GT015-rev octobre 2002
GT015-rev octobre 2002 ENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI Enquête IPSOS Novembre 1999 Contribuer à la performance de l entreprise 153 rue de Courcelles 75817 Paris cedex 17 Tél. 01 44 15 60
Plus en détailCréer un site internet?
WebexpR Communication digitale des PME 249 rue Irène Joliot Curie 60610 La Croix Saint Ouen contact@webexpr.fr Créer un site internet? Qui? Quoi? Pour qui? Pourquoi? Quand? Comment? Combien? Rédaction
Plus en détail1. Pourquoi? Les avantages d un bon référencement
Table des matières 1. Pourquoi? Les avantages d un bon référencement... 2 2. Pour qui?... 2 3. Quand?... 3 4. Comment?... 3 5. À partir de combien de temps?... 4 6. Pour combien de temps?... 4 7. Mise
Plus en détailProjet de création d un site internet en appui à la vente de produits locaux de qualité.
Projet de création d un site internet en appui à la vente de produits locaux de qualité. Septembre 2011 Contact : Muriel LESAINT, chef de projet. muriel.lesaint@educagri.fr Tel : 03 84 87 21 06 Contenu
Plus en détailUne étude sur : «La Supply Chain comme facteur clé de compétitivité» Jeudi 27 juin 2013 Au Grand Hôtel Opéra, Paris
Jeudi 27 juin 2013 Au Grand Hôtel Opéra, Paris Une étude sur : «La Supply Chain comme facteur clé de compétitivité» A l'initiative de Réalisée par Pour le compte de Une étude basée sur un nombre significatif
Plus en détailBenchmark Email marketing
Benchmark Email marketing Une étude Experian Marketing Services - Premier Semestre 2012 Septembre 2012 Table des matières Méthodologie usages et bonnes pratiques de l'objet d'un email Focus sur les objets
Plus en détailPrenez-vous les mesures nécessaires pour prospérer dans cet environnement? Ou avezvous du mal à suivre?
Les avancées technologiques et l émergence des réseaux sociaux continuent de transformer l expérience d achat en ligne. Les attentes des clients sont calibrées par ce qu ils voient des meilleurs sites
Plus en détailPour une stratégie de produits dérivés : compte rendu de la recherche effectuée par la SMQ
Pour une stratégie de produits dérivés : compte rendu de la recherche effectuée par la SMQ Katy Tari, Orange Kiwi Chargée de projet 1. Mise en contexte La Société des musées québécois (SMQ) s intéresse
Plus en détailEN MAÎTRISANT INTERNET, APPORTEZ UN NOUVEL ÉLAN À VOTRE ACTIVITÉ
EN MAÎTRISANT INTERNET, APPORTEZ UN NOUVEL ÉLAN À VOTRE ACTIVITÉ Les places de marchés : nouvelles tendances de l e-commerce? Préparer son projet Découvrir ses possibilités Découvrir ses limites Skender
Plus en détailLivre Blanc Virtua 2012
Livre Blanc Virtua 2012 LES SECRETS D UNE CAMPAGNE DIGITALE DE NOËL RÉUSSIE Suivez-nous sur Twitter Virtua 021 544 28 00 info@virtua.ch Stratégies et créations digitales 2 Table des matières Préparez votre
Plus en détail" Internet : Comment communiquer? Visibilité, Promotion, Communication... " Intervenants. Mercredi 16 juin 2010
Mercredi 16 juin 2010 " Internet : Comment communiquer? Intervenants Visibilité, Promotion, Communication... " Olivier Cartieri, Animateur, Conseil Technologies de l Information et de la Communication
Plus en détailLe point de vue de l UNSA
Le point de vue de l UNSA La GPEC, une opportunité pour le dialogue social dans l entreprise La gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) est devenue objet de négociation dans l entreprise
Plus en détailIntroduction à l enquête 2012 «Organisation fonctionnelle des équipes». ADBU
Introduction à l enquête 2012 «Organisation fonctionnelle des équipes». ADBU NB : les notes font référence au diaporama de synthèse de l enquête en ligne sur le site de l'adbu Comment les SCD tentent-ils
Plus en détailBaromètre 2010 Publi-News - Solucom de la relation banque / client LES ENQUÊTES SOLUCOM. The power of simplicity. Juillet 2010
Juillet 2010 LES ENQUÊTES SOLUCOM Baromètre 2010 Publi-News - Solucom de la relation banque / client The power of simplicity «Ce qui est simple est fort» Baromètre banque / client 2010 Sommaire Avant-propos
Plus en détail- Deuxième vague - 7 juin 2011
Le Baromètre e-commerce des petites entreprises - Deuxième vague - 7 juin 2011 Méthodologie Cible : L échantillon du «Baromètre e-commerce des petites entreprises» a été constitué selon la méthode des
Plus en détailLa relation bancaire avec la clientèle des particuliers : revue de la littérature
Direction de la stratégie Service de Veille et d Intelligence économiques et stratégiques du Groupe Mission de la Recherche @res @rgos Note de synthèse La relation bancaire avec la clientèle des particuliers
Plus en détailLes internautes et les comparateurs de prix
FM N 19410 Contact L Atelier : Sandra Edouard Baraud Tél : 01 43 16 90 22 sandra.edouardbaraud@atelier.net, Contact Ifop : Frédéric Micheau Tél : 01 45 84 14 44 frederic.micheau@ifop.com pour Les internautes
Plus en détailRéunion des partenaires 7 novembre 2014
«Tous sur le web» Réunion des partenaires 7 novembre 2014 1 Tous sur le web: Historique Point de départ de la réflexion : RDV PRO d Isère Tourisme juillet 2013 Tous sur le web Avec 3 constats : LE E-COMMERCE
Plus en détailLES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE
Centre de Recherche pour l Etude et l Observation des Conditions de Vie LES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE Anne LOONES Marie-Odile SIMON Août 2004 Département «Evaluation des Politiques Sociales»
Plus en détailCANDIDATURE PROGRAMME LOCAL DE FORMATION INTERFILIERES 2011-2013
CANDIDATURE PROGRAMME LOCAL DE FORMATION INTERFILIERES 2011-2013 1) Présentation du territoire du PLFI Les territoires Entre-deux-Mers et Graves et Sauternes se situent au cœur du vignoble Bordelais et
Plus en détailCommunication Opérationnelle Franchises et Réseaux
Communication Opérationnelle Franchises et Réseaux Matérialiser votre concept CONSTRUCTION DE L IMAGE ET DE LA COMMUNICATION Traduire votre concept en véritable projet d entreprise >> Confirmer votre offre
Plus en détailÉtude de référence sur la satisfaction de la clientèle : consommateurs à domicile
Résumé du rapport Étude de référence sur la satisfaction de la clientèle : consommateurs à domicile Numéro de contrat : 90030-121581/001/CY Contrat attribué le : 2013-01-18 Préparé pour : Office national
Plus en détailles agences de recrutement romandes sont- elles assez connectées?
les agences de recrutement romandes sont- elles assez connectées? Face à un domaine de plus en plus concurrentiel, les méthodes de recrutement évoluent avec leur temps. Mais qu en est-il des agences suisses?
Plus en détailCOMMENT AMÉLIORER LA VISIBILITÉ DE SON SITE WEB?
COMMENT AMÉLIORER LA VISIBILITÉ DE SON SITE WEB? Sommaire Le trafic sur son site web Le référencement naturel Comment marche un moteur de recherche? Le positionnement Mise en garde Pour aller plus loin
Plus en détailEnquête industrie Agroalimentaire
[Texte] Enquête industrie Agroalimentaire La CCI de la Vendée a mené, courant 2013, une enquête auprès des entreprises industrielles vendéennes afin d analyser la structuration et l organisation de ces
Plus en détailNOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE
NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE - Note de synthèse de l'institut CSA - N 1100760 Juin 2011 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris cedex 02 Tél. (33) 01 44 94 59 11
Plus en détailNote partielle sur le E-Commerce
Note partielle sur le E-Commerce (Centrée sur le marché de l habillement ; source : IFM 2011) 1. Remarques générales ; quelques définitions et orientations 1. Les Pure Player Il s agit du commerce en ligne
Plus en détailPanorama du Crédit à la Consommation de SOFINCO. Les Seniors & le Crédit à la Consommation
Panorama du Crédit à la Consommation de SOFINCO Les Seniors & le Crédit à la Consommation Étude de SOFINCO Novembre 2008 Synthèse Les seniors représentent une part croissante des utilisateurs de crédit
Plus en détailEvaluation Agi Son 2005. Agi son 2005. Evaluation de la campagne de sensibilisation aux risques auditifs liés à l écoute de musiques amplifiées
Agi son Evaluation de la campagne de sensibilisation aux risques auditifs liés à l écoute de musiques amplifiées 1 Introduction p. 3 Méthode p.4 1. Le public p.5 A. Caractéristique des personnes interrogées
Plus en détailSciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION
Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information
Plus en détail