INFECTION A VIH. DAUMAS Aurélie HIA LAVERAN COURS IFSI
|
|
- Grégoire Larrivée
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 INFECTION A VIH DAUMAS Aurélie HIA LAVERAN COURS IFSI
2 HISTORIQUE 1981 nombre inhabituel de pneumopathies à pneumocystis carinii et de sarcomes de kaposi signalé aux USA, ce qui déclenche une enquête épidémiologique à la recherche d une maladie nouvelle Découverte d une maladie entrainant une dépression de l immunité cellulaire, baptisée SIDA syndrome d immunodéficience acquise 1983 le rétrovirus responsable est isolé à paris, initialement appelé LAV en France et HTLV3 aux USA, il est définitivement baptisé virus de l immunodéficience humaine VIH 1 en 1986 La même année, on isole en afrique un 2 ième virus à l origine de cas de SIDA, baptisé VIH 2
3 PHYSIOPATHOLOGIE Le VIH est virus à ARN de la famille des rétrovirus possédant une enzyme la transcriptase reverse qui permet de synthétiser à partir de l ARN viral un fragment d ADN qui s intégre ensuite à l ADN de la cellule infectée Il provoque un déficit de l immunité cellulaire principalement par l atteinte des lymphocytes CD4 mais aussi par de nombreux autres mécanismes dont tous ne sont pas encore connus
4 PHYSIOPATHOLOGIE Le virus infeste les cellules portant sur leur membrane le récepteur CD4 qui a une grande affinité pour 2 protéines de l enveloppe du virus (la GP 120 et la GP 41) Pour pénétrer dans la cellule, la membrane du virus fusionne avec la membrane cellulaire L ARN viral est ainsi libre dans le cytoplasme cellulaire
5 PHYSIOPATHOLOGIE L ARN viral est traduit en ADN proviral grâce à l action de la reverse transcriptase virale L ADN proviral pénètre dans le noyau et s intègre à l ADN cellulaire grâce à une intégrase virale L ADN viral produit par la cellule est transcript en ARN qui permet de synthétiser des protéines virales qui s assemblent pour donner de nouvelles particules virales qui sortent dans le milieu extra-cellulaire
6 HISTOIRE NATURELLE PRIMO-INFECTION symptomatique 2 fois sur 3 et qui est associée à une phase intense de réplication virale PHASE DE LATENCE CLINIQUE équilibre entre la multiplication virale et les défenses immunitaires de l organisme PHASE DE MALADIE (SIDA) surviennent les infections opportunistes ou des maladies cancéreuses
7 TRANSMISSION VOIE SANGUINE 2 populations à risque prédominant, les usagers de drogue par voie IV et les transfusés Mais n importe quel geste comportant une effraction cutanée ou muqueuse comporte un faible risque Le taux de séroconversion après piqûre accidentelle contaminée a été estimée à 0.3% à partir des accidents professionnels Ce risque est augmenté lors piqûre profonde avec aiguille creuse avec présence de sang sur l aiguille et si personne source a une charge virale élevée
8 TRANSMISSION VOIE SEXUELLE Tout acte sexuel non protégé comporte un risque VOIE MATERNO-FOETALE La transmission se fait essentiellement en fin de grossesse et lors de l accouchement En l absence de traitement contamination estimée entre 15 et 30%, si traitement pendant la grossesse <2% Contamination par allaitement possible <5%
9 PREVENTION Population générale Usage de préservatif pour tout rapport sexuel Interdiction échange de seringues et d aiguilles pour les toxicomanes Patients séropositifs Règles d hygiène simples pour exclure l entourage de tout contact avec du sang ou des sécrétions césarienne Protection des malades Matériel à usage unique ou désinfecté, dépistage obligatoire dondu sang, organe et sperme Protection du personnel soignant Prévention du risque de piqûre Protection des téguments
10 DIAGNOSTIC INFECTION PAR VIH Le dépistage est systématique et obligatoire pour don de sang, d organe, de tissu et de sperme Dans toute autre circonstance une sérologie ne peut être réalisée qu avec le consentement du patient
11 Recherche d antigènes du VIH L antigénémie p24 est demandé devant une suspicion d infection récente Elle est détectable environ 15 jours après la contamination et persiste 1 à 2 semaines avant de se négativer
12 Détection du génome viral par PCR Marqueur le plus précocement détectable, dès 10 jours Parfois demandée pour le diagnostic d une primo-infection
13 Recherche d anticorps anti-vih Ils apparaissent 3 à 8 semaines après le contage (99% de séroconversions avant 3 mois) Test rapide ELISA mais l existence de faux positifs impose de confirmer systématiquement l ELISA par Test Western Blot Seule la positivité de ces deux tests affirme le diagnostic
14 Charge virale VIH C est l examen essentiel pour le suivi de l infection en complémentarité du dosage des sous types lymphocytaires (CD4, CD8)
15 PRIMO-INFECTION 1 ière phase après la contamination Diagnostic essentiel dans le but d une prise en charge précoce et de la prévention de la transmission Symptômes aspécifiques parfois absents Fièvre, syndrome pseudo-grippal, polyadénopathie, signes cutanéo-muqueux (rash cutané, pharyngite, angine, ulcérations buccales, génitales ), manifestations neurologiques (méningite à liquide claire, PFP.), manifestations digestives (diarrhée, douleurs abdominales.) Disparition spontanée de ces manifestations
16 PRIMO-INFECTION Au niveau biologique Syndrome mononucléosique, leuco-lymphopénie, Thrombopénie Les Ac apparaissent 3 à 8 s après contage (99% de séroconversion avant 3 mois), après l antigénémie p24 et la positivité de la PCR La charge virale est habituellement très élevée à la phase aiguë, lymphocytes T CD4 normaux
17 PHASE DE LATENCE CLINIQUE Un syndrome de lymphadénopathie généralisée peut toutefois s observer De même des manifestations cliniques ne répondant pas à la définition du SIDA témoigne d une atteinte débutante mais significative du système immunitaire C est la phase la plus longue de la maladie Leuco-lymphopénie, thrombopénie, charge virale élevée, diminution des CD4
18 SIDA Il correspond à un ensemble de manifestations infectieuses opportunistes ou tumorales liées à une déplétion profonde de l immunité cellulaire Pneumocystose, toxoplasmose cérébrale, infection à CMV, LEMP, cryptosporidiose, microsporidiose, candidose, cryptococcose, tuberculose, mycobactérioses atypiques, kaposi, lymphomes, cancers, encéphalopathie à VIH..
19 PNEUMOCYSTOSE Pneumopathie à pneumocystis carinii ou jiroveci Prophylaxie primaire quand lymphocytes CD4 < 200/mm3 Diagnostic repose sur la mise en évidence à l examen direct de pneumocystis dans le liquide de lavage bronchoalvéolaire ou d expectoration Prophylaxie secondaire tant que lymphocytes < 200/mm3
20 TOXOPLASMOSE CEREBRALE Atteinte de SNC liée à Toxoplasma gondii Prophylaxie primaire quand lymphocytes < 200/mm3 La sérologie n a d intérêt que si négative : le diagnostic est alors peu probable Si positive traitement d épreuve, le meilleur argument diagnostic est l évolution favorable sous traitement Prophylaxie secondaire tant que lymphocytes < 200/mm3
21 Cryptosporidiose / microsporidiose.. Ces parasitoses sont responsables de diarrhée notamment.. Le diagnostic repose sur la mise en évidence des parasites dans les selles Fréquence lorsque les lymphocytes CD4 sont < 100/mm3
22 INFECTION A CMV Fréquence lorsque les lymphocytes CD4 sont < 100/mm3 La présence d une virémie à CMV peut être détectée soit par antigénémie pp65 soit par PCR Rétinite est de loin la manifestation la plus fréquente Atteintes digestives, neurologiques
23 LEMP (leucoencéphalopathie multifocale progressive) Affection de la substance blanche du SNC liée au JC virus Détection du virus JC dans LCR Pas de traitement spécifique
24 Infections à HSV et VZV Tableaux sévères Formes récidivantes Candidose Touche essentiellement le tube digestif haut
25 MENINGITE A CRYPTOCOQUE Mise en évidence du cryptocoque à l examen direct du LCR
26 TUBERCULOSE Peut survenir à un stade modéré de l immunodépression < 500/mm3 CD4 Volontiers extrapulmonaire ou mixte
27 MALADIE DE KAPOSI Liée au pouvoir oncogène de HHV8 Atteinte cutanéo-muqueuse nodules infiltrés violacés CD4 < 500/mm3
28 Fréquence des lymphomes au cours de l infection VIH est plus élevée De même pour les cancers épithéliaux
29 ENCEPHALOPATHIE DU VIH Syndrome démentiel progressif Éliminer les autres causes
30 TRAITEMENT Objectif : réduction maximale de la réplication virale La réplication du virus en présence de médicaments anti-rétroviraux expose au risque de développement de résistance du virus aux différentes molécules utilisées voire à une résistance de classe, elle est le fait soit manque de puissance de l association utilisée, soit concentrations sanguines inadaptées
31 TRAITEMENT Le premier traitement reçu par le patient est celui qui offre les meilleures chances d obtenir une indétectabilité de la charge virale entre 1 et 4 mois suivant instauration du traitement Mieux vaut différer un traitement si le patient n est pas prêt que de s exposer au risque d un traitement mal suivi qui va conduire au développement de résistance Tout arrêt thérapeutique conduit à la reprise de la réplication virale
32 INDICATIONS Tout patient symptomatique ayant des complications liées au déficit immunitaire Sujet asymptomatique dont le nombre de lymphocytes CD4 < 200/mm3 Entre 200 et 350, le moment de l initiation repose sur l état de préparation du patient, pente de décroissance des lymphocytes CD4 et valeur de la charge virale
33 TRAITEMENT Trithérapie offre le maximum de chance d obtenir une charge virale plasmatique indétectable 2 analogues nucléosidiques de la transcriptase inverse INTI + 1 inhibiteur de protéase IP 2 analogues nucléosidiques de la transcriptase inverse INTI + 1 inhibiteur non nucléosidique de la transcriptase inverse INNTI
34 Analogues nucléosidiques et nucleotidiques de la transcriptase inverse Inhibent la transcriptase inverse virale retrovir * videx* hivid* epivir* ziagen* viread* Nombreux effets secondaires et interactions médicamenteuses
35 Inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse Inhibent la transcriptase reverse virale Sustiva* viramune* Nombreux effets secondaires et interactions médicamenteuses
36 Inhibiteurs de protéase Inhibent la protéase virale et bloquent la synthèse de protéines virales Norvir* crixivan* viracept* kaletra* Nombreux effets secondaires notamment commun à tous : Hyperglycémie, dyslipidémie, modification de la répartition des graisses perte de la graisse du visage, du volume des fesses et cuisses au profit du cou et du tronc Nombreuses interactions médicamenteuses
37 ASSOCIATIONS POUR FAVORISER OBSERVANCE Truvada* Combivir*
38 L observance thérapeutique est essentielle pour obtenir une bonne efficacité thérapeutique Effets secondaires+++ interactions médicamenteuses+++ Rechercher troubles lipidiques et glucidiques particulièrement sous antiprotéases (règles hygiéno-diététiques régime pauvre en sucres rapides eten graisses animales, exercice physique)
39 SUIVI Bilan initial doit comprendre NFS P, Transaminases,amylase, CPK, sérologie CMV, Toxoplasmose, des hépaties B et C et de la syphilis Surveillance observance, tolérance et efficacité (lymphocytes CD4 et charge virale) à 1 mois puis tous les 3 mois En cas de réplication persistante sous traitement changement de traitement, s adapter résultats du test génotypique de résistance
40 DECLARATION OBLIGATOIRE Nouveaux diagnostics d infection à VIH Des cas de SIDA
41 Y PENSER Prise en charge à 100% Prise en charge psychologique associations
HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailPrise en charge du. Dr FERNANE.Arezki Hôpital André Grégoire Montreuil
Prise en charge du nouveau-né de mère m HIV Dr FERNANE.Arezki Hôpital André Grégoire Montreuil GROSSESSE Chez une femme infecté par le VIH,la grossesse est a risque = prise en charge multidisciplinaire
Plus en détailSuivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation
SYNTHESE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation Novembre 2007 OBJECTIF Assurer une qualité optimale du suivi et de
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détailProphylaxie infectieuse après exposition professionnelle
1 Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle Introduction Le personnel soignant est régulièrement confronté au risque de contamination par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) mais
Plus en détailCours de Mme Ollivier. Le 17.12.2008
Pharmacologie de la pathologie VIH : Les anti-rétroviraux Rôle infirmier dans la prise en charge du patient sous ARTV : éducation, prévention et gestion des effets secondaires Cours de Mme Ollivier Le
Plus en détailL investigation chez la personne infectée par le VIH
P O U R Q U O I P A R L E R D U V I H E N 2 0 0 4? 2 L investigation chez la personne infectée par le VIH quand et comment utiliser les différents tests de laboratoire? par Harold Dion Paul, un homme de
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailInfection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis.
Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis. Tarek Ben Othman Congrès de la STPI, 24 avril 2009 Plan Introduction
Plus en détailApport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose
Plus en détailFACULTE DE MEDECINE DE TOURS
Académie d Orléans Tours Université François-Rabelais FACULTE DE MEDECINE DE TOURS Année 2013 N Thèse pour le DOCTORAT EN MEDECINE Diplôme d Etat Par BEZ Stéphanie Née le 14/12/1984 à Versailles (78) Présentée
Plus en détailImplication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA
Implication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA Réunion Icône 2015 STRASBOURG Laurence Boyer - PH -SMIT- CHU Nancy Contexte Plan VIH/Sida/IST- 2010/14: Augmenter le dépistage:
Plus en détailL immunoenzymologie. Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic cificité des anticorps pour leurs nes
L immunoenzymologie Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic Basée e sur la très s grande spécificit cificité des anticorps pour leurs antigènes nes Test qualitatif Détection
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailQUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA
QUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA INFORMATIONS SUR LE TEST DE DEPISTAGE Q. Quels examens médicaux doit-on faire pour détecter
Plus en détailLES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention
LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC
Plus en détailD o s s i e r. d u C N I M H. Antirétroviraux dans le SIDA. Revue d évaluation sur le médicament SOMMAIRE. Évaluation thérapeutique 1996, XVII,2-3
D o s s i e r d u C N I M H Revue d évaluation sur le médicament Publication bimestrielle 1996, XVII, 2-3 SOMMAIRE Évaluation thérapeutique Antirétroviraux dans le SIDA 1996, XVII,2-3 Centre National d
Plus en détailHépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013
Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détailInfiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé. Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009
Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009 Complications pulmonaires en onco-hématologie (Mokart et al Chest 2003) ~ 20 % des patients ~
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL. Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble
ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble Définition d un AES Sang ou liquide biologique potentiellement contaminant Sécrétions vaginales / sperme
Plus en détailLe VIH-sida, qu est-ce que c est?
LES DROITS DE l ENFANT FICHE THÉMATIQUE Le VIH-sida, qu est-ce que c est? UNICEF/ NYHQ2010-2622 / Roger LeMoyne Chaque jour dans le monde, plus de 7 000 nouvelles personnes sont infectées par le VIH, 80
Plus en détailQuantiFERON TB Gold in tube
Qu est-ce que le QuantiFERON? Test sanguin de dépistage de l infection tuberculeuse. QuantiFERON TB Gold in tube Test ELISA qui mesure la réponse immunitaire à médiation cellulaire à l infection tuberculeuse.
Plus en détailInfection VIH et Grossesse Rédigée par : Laurichesse Hélène, C Jacomet
Procédure qualité : «VIH et grossesse» Page 1 sur 6 CHU de Clermont-Ferrand Service de Gynécologie-obstétrique Pôle Gynécologie-Obstétrique biologie de la reproduction Procédure médicale Infection VIH
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailVaccinations - Rédaction Dr BOUTON
20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)
Plus en détailHépatite = inflammation du foie. Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach
Hépatite = inflammation du foie Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach 1 Hépatites virales chroniques 2 Histoire naturelle Hépatite aiguë Guérison Hépatite chronique
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailPrise en charge des VIH en zone tropicale
DU Médecine Tropicale Santé dans le Monde 2012 Prise en charge des VIH en zone tropicale Dr Elise Klement e.klement@cm-bligny.com 1. Accès aux traitements du VIH dans les PED Historique de l accès au traitement
Plus en détailLe sida Réponses aux questions du personnel de santé sur l infection par le VIH
Le sida Réponses aux questions du personnel de santé sur l infection par le VIH 7 e édition septembre 1997 La présente édition de ce guide a été revue et corrigée par : Pour l Assistance Publique-hôpitaux
Plus en détailMme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique
Mme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique Une hépatite est une inflammation du foie causée soit par des substances toxiques (médicaments,
Plus en détailNormes canadiennes pour la lutte antituberculeuse
Normes canadiennes pour la lutte antituberculeuse 7 ième édition Chapitre 10 : La tuberculose et le virus de l immunodéficience humaine Normes canadiennes pour la lutte antituberculeuse, 7 ième édition
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailSélection des Médicaments pour la Prise en Charge des PVVIH/SIDA
Sélection des Médicaments pour la Prise en Charge des PVVIH/SIDA Dr Vincent HABIYAMBERE, OMS/ Département du VIH/SIDA Dr Bianca Kamps, IDA HIV Group Dakar, Sénégal, Mars 2006 Plan de la Présentation Éléments
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailLa prise en charge de votre épilepsie
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre épilepsie Vivre avec une épilepsie sévère Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide
Plus en détailTEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES
TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels
Plus en détailEtablissement Français du Sang
Etablissement Français du Sang LE LIEN ENTRE LA GÉNÉROSITÉ DES DONNEURS DE SANG ET LES BESOINS DES MALADES Document de préparation à l entretien médical préalable au don de sang Partie médicale La sécurité
Plus en détailwww.aidsmap.com Les effets secondaires Français Première édition 2009
www.aidsmap.com Les effets secondaires Français Première édition 2009 Remerciements Ecrit par Michael Carter Première édition française 2009 Adaptée de la première édition anglaise 2009 Remerciements à
Plus en détailL hépatite C. 50 questions et réponses. Dr. med. Daniel Lavanchy, PD Dr. med. Andrea De Gottardi, Prof. Dr. med. Andreas Cerny
L hépatite C 50 questions et réponses Dr. med. Daniel Lavanchy, PD Dr. med. Andrea De Gottardi, Prof. Dr. med. Andreas Cerny A qui s adresse cette brochure? Cette brochure est destinée aux personnes souffrant
Plus en détailBiologie Appliquée. Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015. Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr
Biologie Appliquée Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015 Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr 1 ELISA 2 3 4 [Ac] 5 6 7 8 9 Correction : Faire la moyenne D0-1 et D0-2 pour toute les valeurs
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détailLe taux de cellules CD4, la charge virale et autres tests
www.aidsmap.com Le taux de cellules CD4, la charge virale et autres tests Français Première édition 2009 Remerciements Ecrit par Michael Carter Première édition française 2009 Adaptée de la première édition
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailDracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL)
Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL) 2014 1 Table des matières Introduction... 3 1. Historique et actualité... 3 2. Agent pathogène et cycle... 4 3.
Plus en détailBiomarqueurs en Cancérologie
Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines
Plus en détailIntoxication par les barbituriques
Intoxication par les barbituriques GH. Jalal, S. Achour, N. Rhalem, R. Soulaymani 1. Cas clinique : L unité d information toxicologique du Centre Anti Poison du Maroc a été contactée par une clinique privée
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailMANAGEMENT OF PEOPLE LIVING WITH HIV/AIDS (PLWHA)
MANAGEMENT OF PEOPLE LIVING WITH HIV/AIDS (PLWHA) HIV & AIDS A = Acquired H = Human I = Immune D = Deficiency S = Syndrome I = Immunodeficiency V = Virus HIV STRUCTURE Envelope Envelope Proteins gp120
Plus en détailItem 127 : Transplantation d'organes
Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3
Plus en détailRésistance du VIH-1 aux antirétroviraux dans les compartiments anatomiques et cellulaires
Résistance du VIH-1 aux antirétroviraux dans les compartiments anatomiques et cellulaires Jade GHOSN Laboratoire de Virologie CHU Necker-Enfants Malades EA MRT 3620 Paris 5 Réservoirs anatomiques du VIH:
Plus en détailLES HEPATITES VIRALES
LES HEPATITES VIRALES Infect virales atteignant préférentiellement le foie avec lés inflammatoires, altérat hépatocytaire (cytolsye hépatique) et élévat des transaminases. Etiolo gie Transm ission Contam
Plus en détailLa surveillance biologique des salariés Surveiller pour prévenir
Evaluer et prévenir le risque radiologique professionnel dans les opérations de radiographie industrielle La surveillance biologique des salariés Surveiller pour prévenir Dr Irène Sari-Minodier Service
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailDIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.
Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détail1. Différentes hépatites/ différents traitements
III. Traitements 55 1. Différentes hépatites/ différents traitements Se faire soigner 1.1 Traitements des hépatites virales D après les expériences pratiques et la littérature scientifique, le traitement
Plus en détailInfestation par Dipylidium caninum,
Fiche technique n 24 Infestation par Dipylidium caninum, le téniasis félin à Dipylidium Parmi tous les vers qui peuvent infester le chat, Dipylidium caninum est un parasite fréquemment rencontré dans le
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détailSIDA, limites et perspectives de la trithérapie.
PSIR SEPA (2014) Projet Scientifique d Initiation à la Recherche (PSIR) SIDA, limites et perspectives de la trithérapie. E. Bouissière, A. Lesebos, A. Rouillé, M. Sanson, M. Collette* Groupe esaip 18 rue
Plus en détailVIRUS DE L'IMMUNODEFICIENCE HUMAINE (HIV)
VIRUS DE L'IMMUNODEFICIENCE HUMAINE (HIV) En 1999, dans le monde, plus de 33 millions de sujets dont 43% de femmes étaient infectés par le virus de l'immunodéficience humaine ou HIV. L'épidémie progresse
Plus en détailHépatite. du dépistage au traitement. Questions et réponses. L hépatite C Dépistage, clinique, prise en charge et conseils aux patients
DOCUMENT À L USAGE DES PATIENTS Également disponible : L hépatite C Dépistage, clinique, prise en charge et conseils aux patients (document à l usage des professionnels de santé) Document édité et diffusé
Plus en détailInfection par le VIH/Sida et tropiques Actualités 2015 Professeur Pierre Aubry. Mise à jour le 07/01/2015
Infection par le VIH/Sida et tropiques Actualités 205 Professeur Pierre Aubry. Mise à jour le 07/0/205. Généralités Le sida a plus de 30 ans. Les premiers cas ont été décrits aux Etats-Unis d'amérique
Plus en détailÉzin Jocelyn Come Alex AK.AKPO
Ézin Jocelyn Come Alex AK.AKPO LES DETERMINANTS DE L'OBSERVANCE A LA TRITHERAPIE ANTIRÉTROVIRALE CHEZ LES PATIENTS INFECTÉS PAR LE VIH A COTONOU, BENIN Mémoire présenté à la Faculté des études supérieures
Plus en détailFécondation in vitro avec don d ovocytes
Fécondation in vitro avec don d ovocytes Ref. 155 / abril 2009 Service de Médecine de la Reproduction Gran Vía Carlos III 71-75 08028 Barcelona Tel. (+34) 93 227 47 00 Fax. (+34) 93 491 24 94 international@dexeus.com
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailCONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD?
CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? Hélène MANGEARD François MALADRY Tuberculose : infection mycobactérienne Infection mycobactérienne chronique (M. Tuberculosis ++ ou bacille
Plus en détailwww.fnama.fr Tuberculose Pr. Jean-Louis Herrmann Service de Microbiologie, Hôpital R. Poincaré, Garches jean-louis.herrmann@rpc.aphp.
Tuberculose intérêt des tests sanguins Pr. Jean-Louis Herrmann Service de Microbiologie, Hôpital R. Poincaré, Garches jean-louis.herrmann@rpc.aphp.fr Pouvoir Pathogène : Maladie Granulomateuse Chronique
Plus en détailChapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie
Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents
Plus en détailHépatites virales. Anomalies biologiques chez un sujet asymptomatique (83) A. Gerolami Janvier 2006
Hépatites virales. Anomalies biologiques chez un sujet asymptomatique (83) A. Gerolami Janvier 2006 1. Hépatites virales : étude clinique 1.1. Hépatite aiguë 1.1.1. Forme typique C est la forme clinique
Plus en détailLa prise en charge de votre artérite des membres inférieurs
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailRendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte
Rendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte Il est prévu que les recommandations contenues dans ce document resteront valables jusqu
Plus en détailREPUBLIQUE DU RWANDA MINISTERE DE L EDUCATION INSTITUT D`ENSEIGNEMENT SUPERIEUR DE RUHENGERI (INES RUHENGERI)
REPUBLIQUE DU RWANDA MINISTERE DE L EDUCATION INSTITUT D`ENSEIGNEMENT SUPERIEUR DE RUHENGERI (INES RUHENGERI) FACULTE DES SCIENCES FONDAMENTALES ET APPLIQUEES DEPARTEMENT DE BIOTECHNOLOGIE APPORT DE LA
Plus en détailPLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE
PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total
Plus en détailDes déficiences présentes
Des déficiences présentes Comment se fait-il que dans certains cas, le système immunitaire ne fonctionne pas convenablement? Problèmes : 1. Pourquoi certains enfants sont-ils mis sous bulle plastique?
Plus en détailLes tests thyroïdiens
Les tests thyroïdiens Mise à jour de juin 2007 par S. Fatio Réf: les images et les graphiques sont tirés de www.endotext.org (textbook d endocrinologie online et libre d accès) QuickTime et un décompresseur
Plus en détailInfection par le VIH/sida et travail
Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage
Plus en détailBOITE A IMAGES PREVENTION DE LA MALADIE A VIRUS EBOLA
BOITE A IMAGES PREVENTION DE LA MALADIE A VIRUS EBOLA INSTRUCTIONS À L ATTENTION DE L ANIMATEUR La boite à images pour la prévention de la FHVE (La Fièvre Ebola est une maladie épidémique, contagieuse
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailLes tests génétiques à des fins médicales
Les tests génétiques à des fins médicales Les tests génétiques à des fins médicales Nous avons tous hérité d une combinaison unique de gènes de la part de nos parents. Cette constitution originale et l
Plus en détailCordarone et Thyroïde par François Boustani
Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailChapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire
UE2 : Structure générale de la cellule Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire Professeur Michel SEVE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailGuide. VIH / sida comment en parler?
Guide VIH / sida comment en parler? Edition 2013 30 millions de morts. Trente ans que le sida demeure une maladie à part. A part parce qu elle a bouleversé les liens qui unissaient la recherche fondamentale
Plus en détailQue faire devant un résultat positif, négatif ou indéterminé? Elisabeth Bouvet Atelier IGRA VIH JNI Tours 13 Juin 2012
Que faire devant un résultat positif, négatif ou indéterminé? Elisabeth Bouvet Atelier IGRA VIH JNI Tours 13 Juin 2012 Conclusions provisoires rapport du HCSP juillet 2011 Valeur prédictive positive des
Plus en détailAoût 2010. a thérapie. antirétrovirale. pour les adultes infectés par le VIH. Guide pour les professionnels de la santé du Québec
Août 2010 a thérapie antirétrovirale pour les adultes infectés par le VIH Guide pour les professionnels de la santé du Québec Août 2010 a thérapie antirétrovirale pour les adultes infectés par le VIH
Plus en détail