RADIO-ANATOMIE DU LARYNX M. FRIKHA, Y. HENTATI
|
|
- Micheline Larivière
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 RADIO-ANATOMIE DU LARYNX M. FRIKHA, Y. HENTATI
2 OBJECTIFS
3 INTRODUCTION Le larynx est un organe musculo-cartilagineux expliquant sa grande mobilité. Son rôle est triple: respiration, phonation et déglutition. La radioanatomie du larynx est complexe, et sa connaissance permet un diagnostic topographique précis du syndrome tumoral laryngé ainsi qu un bilan d extension exhaustif. L exploration du larynx en imagerie est dominée par la tomodensitométrie.
4 ANATOMIE Le Larynx est un organe impair et médian, situé à la partie moyenne de la gaine viscérale du cou : Au-dessus de la trachée En avant du pharynx En arrière du corps thyroïde. Au-dessous de l os hyoïde et de la base de la langue.
5 ANATOMIE Le larynx joue un rôle essentiel dans la respiration, la déglutition, et la phonation Il se compose de pièces cartilagineuses multiples, mobiles, entre lesquelles sont tendus des replis membraneux, les cordes vocales Constitution anatomique: - squelette cartilagineux - ligaments et articulations reliant ces cartilages entre eux et aux organes voisins. - muscles
6 ANATOMIE A/ LE SQUELETTE CARTILAGINEUX cartilages de soutien du larynx : les cartilages cricoïde, thyroïde et épiglottique. Ils jouent un rôle essentiel dans la respiration. cartilages mobiles : les cartilages aryténoïdes qui jouent un rôle capital dans la phonation mais aussi dans la déglutition. A C E A T Netter
7 ANATOMIE CARTILAGE THYROÏDE Dièdre ouvert vers l'arrière. Comprend deux lames latérales, réunies par un bord antérieur. Bord supérieur marqué par l incisure thyroïdienne. Bord postérieur de chaque lame vertical, prolongé par la corne supérieure en haut et la corne inférieure en bas.
8 CARTILAGE CRICOÏDE ANATOMIE C est un anneau qui supporte l ensemble, notamment les aryténoïdes. Il a classiquement la forme d une bague chevalière constituée d un arc antérieur peu élevé et d une lame postérieure plus haute (chaton)
9 ANATOMIE CARTILAGE EPIGLOTTIQUE C est un cartilage impair et médian. Large dans sa partie supérieure, et va en s effilant vers sa partie inférieure. Il est rattaché à l angle rentrant du cartilage thyroïde par le ligament thyro-épiglottique à la jonction tiers supérieur-tiers moyen du dièdre thyroïdien
10 CARTILAGES ARYTÉNOÏDES ANATOMIE Ils ont la forme d une pyramide triangulaire dont la base repose sur le chaton cricoïdien. ƒla base de la pyramide est prolongée par deux processus : Processus vocal, antéro-médial, donne insertion aux cordes vocales. Processus musculaire, postérolatéral, donne insertion aux muscles crico-aryténoïdiens. ƒle sommet s articule avec les cartilages corniculés.
11 ANATOMIE A/ LE SQUELETTE CARTILAGINEUX cartilages accessoires du larynx Cartilages corniculés ou cartilages de santorini : ce sont deux petits cônes cartilagineux qui prolongent en haut le sommet des aryténoïdes. Cartilages de Morgagni et Wrisberg : disposés dans le repli muqueux ary-épiglottique. Cartilages sésamoïdes antérieurs : nodules inconstants situés à l extrémité antérieure des ligaments thyroaryténoïdiens supérieurs. Cartilages sésamoïdes postérieurs : sont aussi inconstants placés en dehors de l extrémité supérieure des cartilages aryténoïdes.
12 ANATOMIE B/ LIGAMENTS ET ARTICULATIONS Les différentes pièces cartilagineuses du squelette laryngé sont unies entre elles et aux formations voisines par trois types d éléments : des articulations intrinsèques des ligaments intrinsèques des ligaments extrinsèques
13 ANATOMIE 1 / Les articulations intrinsèques a) Articulations crico-thyroïdiennes Elles unissent les cornes inférieures du cartilage thyroïde aux surfaces articulaires inférieures du chaton cricoïdien. T C
14 ANATOMIE b) articulations crico-aryténoïdiennes Ce sont des articulations synoviales unissant la base de l aryténoïde et la surface articulaire aryténoïdienne du cartilage cricoïde. A C A
15 ANATOMIE 2/ Les ligaments intrinsèques a) Le ligament crico-thyroïdien b) Le ligament thyro-épiglottique c) Le ligament jugal ou ligament crico-corniculé d) La membrane élastique du larynx: tapisse la cavité du larynx en doublant la face profonde de la muqueuse.
16 ANATOMIE 3/ Les ligaments extrinsèques Ils relient le squelette cartilagineux du larynx à l os hyoïde et à la trachée. a) Le ligament crico-trachéal b) Le ligament thyro-hyoïdien c) Le ligament hyo-épiglottique: il limite avec le ligament thyro-hyoïdien en avant, l épiglotte en arrière et le cartilage thyroïde en bas ; un espace rempli de tissu cellulo-graisseux appelé espace hyothyro-épiglottique HTE d) Les ligaments glosso-épiglottiques e) Les ligaments pharyngo-épiglottiques
17 C/ LES MUSCLES DU LARYNX 1/ Les muscles extrinsèques Ils assurent l élévation du larynx lors de la déglutition, il s agit essentiellement de : a/ Muscles du pharynx le constricteur inférieur le stylo-pharyngien le pharyngo-staphylien b/ Muscles de la langue le lingual supérieur le génio-glosse c/ Muscles du cou : le sterno-thyroïdien le sterno-thyroïdien ANATOMIE
18 ANATOMIE 2/ Les muscles intrinsèques Au nombre de onze, cinq muscles pairs et un muscle impair (l inter-aryténoïdien)
19 ANATOMIE Crico-thyroidien (2) Crico-arythénoidien postérieur (2)
20 ANATOMIE thyro-arythénoidien Supérieur (2) et inférieur(2) Cricco-arythénoidien latéral (2)
21 ANATOMIE Inter-arythénoidien (1)
22 ANATOMIE CONFIGURATION INTERIEURE Les formations cartilagineuses, ligamentaires et musculaires qui constituent le larynx, délimitent une cavité revêtue de muqueuse ; c est la cavité laryngée, qui s ouvre en haut dans le pharynx et en bas dans la trachée. Cette cavité se compose de trois étages successifs: étage sus glottique étage glottique étage sous glottique
23 ANATOMIE A/ Etage sus glottique ou vestibule laryngé Il s étend de l orifice supérieur du larynx jusqu au bord supérieur des bandes ventriculaires, il revêt la forme d un entonnoir à sommet inférieur.
24 ANATOMIE B/ Etage glottique Le plus complexe, assurant l essentiel de la fonction phonatoire du larynx, présente d abord une fente sagittale : la glotte, limitée latéralement par : les cordes vocales. Entre les bandes ventriculaires et les cordes vocales la cavité laryngée forme de chaque côté un diverticule : le ventricule laryngé.
25 C/ Etage sous glottique ANATOMIE A dans son ensemble la forme d un entonnoir renversé, dont la circonférence est formée par la muqueuse qui tapisse la face profonde du cricoïde, dont la base inférieure se poursuit par l orifice trachéal et dont la voûte traversée à son sommet par la fente glottique est formée par la face inférieure des cordes vocales.
26 L OS HYOIDE ANATOMIE Ne fait pas partie du larynx mais a des rapports intimes avec les structures cranio-faciales. C est un os médian situé au dessus du larynx à la hauteur de la quatrième vertèbre cervicale Il a une forme en fer à cheval, convexe en avant et concave en arrière; Il est constitué : Du corps dont la face antérieure donne insertion aux muscles sus hyoïdiens et la face postérieure au muscle thyro-hyoïdien. De 2 grandes cornes où s insère la membrane thyrohyoïdienne. De 2 petites cornes qui donnent insertion aux ligaments stylo-hyoïdiens.
27 ANATOMIE
28 RADIO ANATOMIE NORMALE DU LARYNX
29 RADIO ANATOMIE 1- TDM a- Modalités techniques: L examen doit être réalisé au mieux avant la laryngoscopie directe ou à défaut dix à quinze jours après les biopsies. Les coupes sont chevauchées de 50% pour une bonne qualité de reconstruction.
30 RADIO ANATOMIE 1 ère spirale en respiration indifférente: Sans déglutir, respiration calme, pas d apnée. Du cavum à l orifice cervico-médiastinal. 80 ml de PDC selon un schéma biphasique: injection de 50 ml à 1 ml/s puis 30 secondes d arrêt puis un bolus de 30 ml à 2ml/s. Cette méthode permet d obtenir à la fois une bonne imprégnation tumorale et une excellente opacification vasculaire
31 RADIO ANATOMIE 2ème spirale en manœuvres dynamiques: Valsalva ou phonation: La manœuvre de phonation permet d étudier la mobilité laryngée et surtout l ouverture des ventricules laryngés. La manœuvre de Valsalva entraîne une fermeture glottique et une distension aérique de l hypo-pharynx. Centrée sur le larynx. Réinjection de PDC selon le même schéma biphasique.
32 RADIO ANATOMIE b- Résultats: L aspect des cartilages dépend de leur stade d évolution vers l ossification. Ce processus n'est pas parfaitement symétrique, donnant un aspect souvent hétérogène en TDM aux structures cartilagineuses, par juxtaposition de tissu hyalin, calcifié et ossifié. Donc, une absence de calcification de la surface interne d'une lame thyroïdienne, alors que la surface externe est calcifiée, peut correspondre à une variante de la normale. Par conséquent, la sensibilité de la TDM dans la détection de lyses cartilagineuses néoplasiques est faible, inférieure à 50 %, tous stades confondus; elle est pratiquement nulle lorsque l'invasion tumorale est inférieure à 6 mm.
33 RADIO ANATOMIE b- Résultats: au niveau de la commissure antérieure, tout processus tissulaire ayant une épaisseur de plus de 1 mm doit être considéré comme pathologique Les espaces graisseux ont une densité uniforme basse (entre - 20 et - 80 UH ). La muqueuse ne se distingue qu après injection en TDM, du fait de sa prise de contraste.
34 CORRELATOIN ANATOMO CLINIQUE Les coupes transversales sont la base de l exploration du larynx en scanner qu en IRM. La forme en coupe transversale des différents cartilages laryngés est un élément déterminant dans la reconnaissance du niveau de coupe.
35 Coupe passant par l os hyoide
36 : Os hyoïde 2: Vallécule gauche 3: Pli glosso-épiglottique médian qui sépare les deux Vallécule 4: Bord libre de l épiglotte 5: Processus supérieur du cartilage thyroïde : formation arrondie et calcifiée immédiatement en arrière et en dedans de l os hyoïde.
37 Coupe passant par la membrane throidienne
38 : Membrane thyro-hyoidienne 2: Loge thyro-hyo-épiglottique 3: Epiglotte 4: Pli ary-épiglottique 5: Sinus piriforme 6: Processus inférieur du cartilage thyroïde
39 Coupe passant par la partie supérieure du cartilage throide
40 :Echancrure du cartilage thyroide et membrane thyro-hyoidienne 2:Loge thyro-hyo-épiglottique 3:Lame gauche du cartilage thyroide 4:Muscles sous hyoidiens 5:Pied de l épiglotte 6:Processus inférieur du cartilage thyroide 7: Pli ary-épiglottique 8: sinus piriforme
41 Coupe du cartilage thyroide
42 pomme d Adam 2- loge HTE 3- pied de l épiglotte 4- lame du cartilage thyroïde 5- pli ary-épiglottique 6- sinus piriforme 7- hypopharynx
43 Coupe passant par la partie Inférieure du cartilage throide
44 pomme d Adam 2- loge HTE 3- lame du cartilage thyroïde 4- pli ary-épiglottique 5- sinus piriforme 6- sommet des arythénoides 7- hypopharynx
45 Coupe passant par la base des arythénoides
46 commissure antérieure 2- partie basse de la bande ventriculaire et muscle thyroarythénoidien inférieur 3- apophyse musculaire de l arythénoide 4- sinus piriforme 5- lame cricoidienne 6- commissure postérieure 7- hypopharynx
47 Coupe passant par le plan glottique
48 commissure antérieure 2- pli vocal droit 3- apophyse vocale de l arythénoide 4- lame cricoidienne
49 Coupe passant par la lame cricoidienne
50 région sous commissurale antérieure 2- espace sous glottique latéral 3- lame du cricoide
51 Coupe passant par l arc cricoidien
52 arc cricoidien (sa muqueuse n est pas visible) (tout épaississemenrt est pathologique) 2- glande thyroide 3- oesophage
53 RADIO ANATOMIE 2- IRM a- Modalités techniques: une antenne réceptrice de surface, ou à défaut une antenne cervicale antérieure adaptée. L épaisseur des coupes est généralement de 3 à 4mm, espacées de moins de 1 mm ou si possible jointives.
54 RADIO ANATOMIE 2- IRM a- Modalités techniques: Un examen de base comporte: des coupes coronales de repérage. des coupes sagittales T1 focalisées sur le larynx permettant une bonne étude des structures médianes (épiglotte, loge pré-épiglottique, commissures). des coupes coronales T1 pour l étude des structures latérales (plis vestibulaires et vocaux) Des coupes axiales en T1,T2 et T1 après injection de gadolinium et saturation du signal de la graisse.
55 Séquence T1 Coupe axiale passant par l os hyoide
56 Séquence T1 Coupe axiale passant par le cartilage thyroide
57 Séquence T1 Coupe axiale passant par le cartilage aryténoïde
58 Séquence T1 Coupe axiale passant par le cartilage cricoïde
59 RADIO ANATOMIE 2- IRM b- Résultats Les cartilages hyalins ont un aspect différent selon leur degré d'hydratation, de calcification et d'ossification. S'ils ne sont pas calcifiés, ils sont iso-intenses aux muscles avec lesquels ils se confondent. s'ils sont ossifiés, la médullaire, hyper-intense en raison de son contenu graisseux, est limitée par un liseré cortical en hypo-signal. Dans les parties molles au contraire, le contraste est meilleur en IRM qu en TDM, la graisse ayant un signal élevé et les muscles un signal faible. La muqueuse a un signal relativement élevé en T2 permettant de l individualiser spontanément. En T1, son signal est intermédiaire entre ceux de la graisse et des muscles.
60 RADIO ANATOMIE 2- IRM c- Limites de l IRM: Les temps de séquence longs entraînant souvent des artefacts de déglutition. La résolution spatiale est plus faible. L acquisition est ciblée sur une région et non pas sur l ensemble des VADS.
61 RADIO ANATOMIE 2- IRM d- Intérêt de l IRM: L IRM est plus sensible que le scanner en cas d extension tumorale cartilagineuse modérée. Cependant, la modification de classification, apportée par le rapport de UICC 2002 des tumeurs laryngées, a fait reculer la place de l IRM, en effet, les petites extensions cartilagineuses sont actuellement classées T3 et non pas T4 ce qui ne contre-indique pas les tentatives de préservation laryngée pour des atteintes cartilagineuses limitées
62 QCM 1 1- Quelles sont les structures qui appartiennent à l étage supra-glottique: A- Les cartilages aryténoïdes B- Les cordes vocales C- Les replis ary-épiglottiques D- Les ventricules de Morgagni E- Le cartilage cricoïde
63 QCM 1 1- Quelles sont les structures qui appartiennent à l étage supra-glottique: A- Les cartilages aryténoïdes B- Les cordes vocales C- Les replis ary-épiglottiques D- Les ventricules de Morgagni E- Le cartilage cricoïde
64 QCM 2 2- Concernant le cartilage épiglottique, quelles sont les réponses justes: A- Il a un aspect différent selon son degré de calcification et d'ossification B- L épiglotte forme le versant postérieur de la vallécule C- Non calcifié, ce cartilage est en hypo-signal par rapport aux muscles D- La face antérieure de l épiglotte regarde le vestibule laryngé E- La face postérieure de l épiglotte limite en arrière la loge HTE.
65 QCM 2 2- Concernant le cartilage épiglottique, quelles sont les réponses justes: A- Il a un aspect différent selon son degré de calcification et d'ossification B- L épiglotte forme le versant postérieur de la vallécule C- Non calcifié, ce cartilage est en hypo-signal par rapport aux muscles D- La face antérieure de l épiglotte regarde le vestibule laryngé E- La face postérieure de l épiglotte limite en arrière la loge HTE.
66 QCM 3 Concernant les modalités techniques du scanner du larynx, quelle est la proposition juste : A- L examen doit être réalisé avant les biopsies B- On injecte 50 ml de PDC iodé selon un schéma monophasique C- La manœuvre de phonation permet l ouverture des ventricules laryngés D- La manœuvre de Valsalva permet d étudier la mobilité laryngée E- La 2 ème spirale en manœuvres dynamiques se fait du cavum à l orifice cervico-médiastinal.
67 QCM 3 Concernant les modalités techniques du scanner du larynx, quelle est la proposition juste : A- L examen doit être réalisé avant les biopsies B- On injecte 50 ml de PDC iodé selon un schéma monophasique C- La manœuvre de phonation permet l ouverture des ventricules laryngés D- La manœuvre de Valsalva permet d étudier la mobilité laryngée E- La 2 ème spirale en manœuvres dynamiques se fait du cavum à l orifice cervico-médiastinal.
68 CONCLUSION L anatomie du larynx est complexe La connaissance de l anatomie et de la radio anatomie permet un diagnostic topographique précis du syndrome tumoral laryngé. Le scanner est actuellement latechnique de choix pour l exploration des tumeurs laryngées afin d optimiser la prise en lexploration des tumeurs laryngées afin d optimiser la prise en charge thérapeutique en fonction des sites atteints.
LE LARYNX VUE ANTERIEURE DU LARYNX : Décembre 2007 Sources Étudiantes. Faculté de Médecine Montpellier-Nîmes
LE LARYNX Le larynx est un conduit aérien qui joue un rôle essentiel dans la phonation mais aussi dans la respiration. Suite au larynx, se trouve la glotte, une zone rétrécie qui délimite les voies aériennes
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailArticulations du coude et de l avant-bras
Articulations du coude et de l avant-bras 1 Articulation du coude 1.1 Définition Le coude est l articulation intermédiaire du membre supérieur. Elle comprend trois articulations distinctes entre l humérus,
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailCancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005)
Cancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005) Pré-Requis : Anatomie du larynx Physiologie de la phonation et de la déglutition
Plus en détailOTO-RHINO- LARYNGOLOGIE pharyx, larynx, cancer
OTO-RHINO- LARYNGOLOGIE pharyx, larynx, cancer IFSI Croix Rouge Dr Coulet Olivier Service ORL et chirurgie cervico-faciale Hôpital Laveran Cavité buccale / oropharynx Rappel anatomique rhinopharynx oropharynx
Plus en détailActualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2
Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 (1) Service de NeuroImagerie Diagnostique et Thérapeutique, CHU Bordeaux, Université de Bordeaux (2) Neurocentre Magendie, INSERM U 862, Université de Bordeaux
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailLes cancers des voies aérodigestives supérieures
INFORMATION & PRÉVENTION Les cancers des voies aérodigestives supérieures G R A N D P U B L I C Cancers des Voies Aérodigestives Supérieures (VADS) Généralités Sommaire > Localisation des cancers des VADS.....
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailSystème LCP à angulation variable 2.4/2.7 pour avant-pied/médio-pied. Plaques spécifiques pour ostéotomies, arthrodèses et fractures du pied.
Système LCP à angulation variable 2.4/2.7 pour avant-pied/médio-pied. Plaques spécifiques pour ostéotomies, arthrodèses et fractures du pied. Technologie à compression Technologie de verrouillage à angle
Plus en détailSolva Thérapie traitement de la douleur, de la mobilité réduite et de la distorsion posturale
Solva Thérapie traitement de la douleur, de la mobilité réduite et de la distorsion posturale Cours de la formation continue dans les thérapies manuelles Pour ceux qui veulent ajouter des techniques efficaces,
Plus en détailQuel que soit le matériel d ostéosynthèse, un certain nombre de principes permettent de bien conduire le geste chirurgical
Information supplémentaire 3 Quel que soit le matériel d ostéosynthèse, un certain nombre de principes permettent de bien conduire le geste chirurgical Installation Sur table normale, en décubitus dorsal
Plus en détailConcours d Internat et de Résidanat
Concours d Internat et de Résidanat Ce programme a pour but d aider à la préparation des concours d internat et de résidanat. Il ne constitue en aucun cas un répertoire de «questions d examen» mais une
Plus en détailAthénée Royal d Evere
Athénée Royal d Evere Prévention des hernies discales en milieu scolaire et dans la vie de tous les jours Présenté par Didier Vanlancker LEVAGE DE CHARGES POSITION INITIALE Levage de charges Jambes légèrement
Plus en détailLa langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale,
LES «ANNEXES» DE LA CAVITE ORALE La Langue La langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale, occupe l espace dans cette cavité orale, dans la concavité de l arche mandibulaire,
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailTUTORAT UE5 spé PB 2010-2011 Anatomie Séance n 1 CORRECTION.
FACULTE De PHARMACIE TUTORAT UE5 spé PB 2010-2011 Anatomie Séance n 1 CORRECTION. ANATOMIE BASSIN OSSEUX ET ARTICULATIONS Séance préparée par Anne G. et Nicolas T. QCM n 1 :C. Après la naissance... Au
Plus en détailPrise en charge médico-technique d une hémiparesie spastique: Evaluation clinique et instrumentale
Prise en charge médico-technique d une hémiparesie spastique: Evaluation clinique et instrumentale Ould Ouali.A, Amari.A, Lyazidi.O, Benbetka.L, Lakrouf.F, Rachedi.M MPR-HMUS-Staoueli 3eme congrès de la
Plus en détail... 5 OBJECTIF TERMINAL 1... 6. Objectif intermédiaire 1.1 Caractériser les quatre classes d os... 7
BIOLOGIE --1 LE SYSTÈME SQUELETTIQUE ET MUSCULAIRE CHEZ L HUMAIN BIO 5066-1 Novembre 2004 Table des matières Page INTRODUCTION... 5 OBJECTIF TERMINAL 1... 6 Objectif intermédiaire 1.1 Caractériser les
Plus en détailI. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE. Exercice 1 : Posture
148 l e x a m e n m u s c u l o s q u e l e t t i q u e I. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE Faites les exercices suivants au moins 2 fois par jour, tous les jours. Faites l effort de maintenir une
Plus en détailDIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h
ANNEE UNIVERSITAIRE 2011-2012 DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE Examen du Tronc Commun sous forme de QCM Janvier 2012 14 h à 16 h Les modalités de contrôle se dérouleront cette année sous forme
Plus en détailLa polyarthrite rhumatoïde est-elle une maladie courante parmi la patientèle d'un rhumatologue?
Association Française des Polyarthritiques & des Rhumatismes Inflammatoires Chroniques 9, rue de Nemours - 75011 Paris E-mail : afp@nerim.net - www.polyarthrite.org Tél. : 01 400 30 200 - Fax : 01 400
Plus en détailFONCTION DU POUCE. Pr Gilbert VERSIER Service de chirurgie orthopédique HIA Begin 94160 ST-MANDE
FONCTION DU POUCE Pr Gilbert VERSIER Service de chirurgie orthopédique HIA Begin 94160 ST-MANDE L iconographie est notamment issue des ouvrages de Mr Netter et Kapandji. LA COLONNE DU POUCE Constituée
Plus en détailLES ORTHESES DE COMPRESSION CONTENTION
LES ORTHESES DE COMPRESSION CONTENTION Parfois sous estimées, les orthèses de compression contention augmentent le niveau de vigilance par leur mécanisme de «rappel à l ordre», préviennent les récidives
Plus en détailLe cliché thoracique
Le cliché thoracique Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Nomenclature radiologique... 1 2 Le cliché thoracique de face... 2 2. 1 Qualité du cliché... 1 2. 2
Plus en détailFoscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique
S A l (1) G H (2) S S Aptel (1), G Hossu (2), S Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique innovation
Plus en détailL exercice à la retraite. Dr. Bich-Han Nguyen Résidente II, Physiatrie Université de Montréal
L exercice à la retraite Dr. Bich-Han Nguyen Résidente II, Physiatrie Université de Montréal Buts de la conférence Vous renseigner sur les changements du corps qui avance en âge, avec emphase sur le système
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détail.4..ESCALIER. Critères d'accessibilité répondant aux besoins des personnes ayant une déficience visuelle. 4.1 Concept de base
énovation.4..escalie. 4.1 Concept de base S assurer que l emplacement des escaliers soit uniforme d un étage à l autre pour que leur localisation soit prévisible. egrouper l'escalier et les principaux
Plus en détailTout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire
Plus en détailLa technique en 7 étapes. Déroulement du mouvement. ASTA Association Suisse de Tir à l Arc. Conseil des entraîneurs
Déroulement du mouvement 1. Position Position des pieds Jambes Hanches Buste Tête 2. Bras d arc Main d arc Point de pression Coude Bras de l arc Epaule 3. Bras de corde Prise de corde Position des doigts
Plus en détailLES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES. Le 2 décembre 2008
LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES Le 2 décembre 2008 DEROULEMENT DE LA RENCONTRE 1ère partie : les localisations des TMS, les facteurs d'apparition, la prise en charge thérapeutique 2ème partie : les chiffres
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailRecherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches. Les cancers des voies aérodigestives supérieures
Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches Les cancers des voies aérodigestives supérieures G R A N D P U B L I C Janvier 2009 LES CANCERS DES VOIES AÉRODIGESTIVES
Plus en détailPUBALGIES: ASPECT TYPIQUE ET ATYPIQUE EN IMAGERIE
PUBALGIES: ASPECT TYPIQUE ET ATYPIQUE EN IMAGERIE C Bourillon, S Touraine, D Petrover, L Laouisset, C Parlier- Cuau, V Chicheportiche, M Wybier, V Bousson, JD Laredo Paris - France Pathologie rare Introduction
Plus en détailVeraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D)
Veraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D) Thinking ahead. Focused on life. Veraviewepocs 3De Le générateur à Rayons X pour tous vos besoins
Plus en détailLes postures, l appareillage Point de vue du médecin MPR. Dr. P. LUBLIN MOREL CMPR de COUBERT 2011
Les postures, l appareillage Point de vue du médecin MPR Dr. P. LUBLIN MOREL CMPR de COUBERT 2011 Introduction Le rôle du médecin MPR : poser les indications Réflexion pluridisciplinaire Définir les objectifs
Plus en détailDéveloppement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel
Développement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel E. de Kerviler, C. de Bazelaire, P. Coulon*, S. Gotman**, J Yanof***, C. Bauer***J. Sapir**. Service de Radiologie,
Plus en détailCavité buccale et système dentaire
Cavité buccale et système dentaire I. Introduction La cavité buccale forme la 1 ère cavité du tube digestif. Les dents ont un rôle : Fonctionnel : mastication, déglutition, phonation Esthétique : expression
Plus en détailIRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir
CHU Henri Mondor IRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir P.Zerbib, A.Luciani, F.Pigneur, R.Raymond, A.Rahmouni CHU Henri Mondor Créteil Service Imagerie Médicale Pr.A.RAHMOUNI Objectifs Comprendre
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailTransplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin
Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée
Plus en détailManuel de l ergonomie au bureau
Manuel de l ergonomie au bureau 1 Manuel préparé par le Service environnement, santé et sécurité de l Université Concordia. Pour tout complément d information sur l ergonomie, les étirements et les autres
Plus en détailPROTHESES PIEZOGRAPHIQUES
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE UNIVERSITE D ANNABA Faculté de médecine. Département de chirurgie dentaire. module de prothèse. préparé par : DR HAMLAOUI M. m.hamlaoui@facmed-annaba.com
Plus en détailDe la chirurgie du nodule aux ganglions
De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée
Plus en détailAppareils de transport mécanique 07 (ascenseur, escalier ou trottoir roulants)
transport mécanique 07 - Respecte les normes du Code de construction du Québec- Chapitre 1, Bâtiment et Code national du bâtiment-canada 1995 (modifié) - Résulte du vécu des personnes ayant une déficience
Plus en détailGROUPE CLINIQUE DU MAIL
DOSSIER DE PRESSE GROUPE CLINIQUE DU MAIL Le centre d imagerie médicale conforte son implantation sur le site du Mail avenue Marie-Reynoard à Grenoble & présente son nouveau scanner spiralé, issu de la
Plus en détailLa reprise de la vie active
Prothèse de hanche Les conseils de votre chirurgien La reprise de la vie active Vous êtes aujourd hui porteur d une prothèse de hanche ; elle va vous permettre de reprendre vos activités sans gène ni douleur.
Plus en détailMON DOS AU QUOTIDIEN COMPRENDRE, ÉVITER ET SOULAGER LE MAL DE DOS
MON DOS AU QUOTIDIEN COMPRENDRE, ÉVITER ET SOULAGER LE MAL DE DOS COMPRENDRE, ÉVITER ET SOULAGER LE MAL DE DOS Le mal de dos? Nous sommes pratiquement tous concernés! En effet, plus de 80% de la population
Plus en détailMise au point sur l IRM l troubles de la statique pelvienne chez la femme
Mise au point sur l IRM l et les troubles de la statique pelvienne chez la femme V.FAUTH P.MESTDAGH M.COSSON J.P.LUCOT E.PONCELET Service d imagerie d médicalem Hôpital Jeanne de Flandres - CHRU Lille
Plus en détailRisques liés à l'activité physique au travail Hyper sollicitation articulaire
Risques liés à l'activité physique au travail Hyper sollicitation articulaire Mireille Loizeau Cours DIUST Paris Descartes-20 janvier 2015 1 Définition et facteurs de risque 2 Définition Contraintes bio-mécaniques,
Plus en détailDouleurs des mains. Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements. C.Zenklusen septembre 2013
Douleurs des mains Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements C.Zenklusen septembre 2013 Causes de douleurs aux mains Articulations (origine articulaire) Nerfs (origine nerveuse)
Plus en détailCeinture Home Dépôt. Orthèse lombaire et abdominale. Mother-to-be (Medicus)
Orthèse lombaire et abdominale Mother-to-be (Medicus) Prévention Soutient courbe lombaire Supporte poids du ventre Ajustable Soulage les maux de dos en position debout (Beaty et al. 1999) Ceinture Home
Plus en détailApport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum
Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction Matériel
Plus en détailCORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE
CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy
Plus en détailImagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque
Imagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque O Bruot, V Laurent, P.A Ganne, C Barbary, S Corby, E Kermarrec, S Béot, D Régent Service de Radiologie Brabois Adultes JFR Octobre 2006 CHU NANCY Préface
Plus en détail1985, 169, n 7, 1071-1075,séancedu 22 octobre1985. ALBARÈDE et Jean-Claude DARRAS
Bull. Acad.NatleMéd., 1985, 169, n 7, 1071-1075,séancedu 22 octobre1985 Etude des méridiens d'acupuncture Par les traceurs radioactifs Pierre de VERNEJOUL *, Pierre ALBARÈDE et Jean-Claude DARRAS On sait
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détailTraumatologie de l enfant. Joël Lechevallier Saad Abu Amara
Traumatologie de l enfant Joël Lechevallier Saad Abu Amara Plan Spécificités de l enfant Traumatismes de l enfant Cas particuliers Traitement Spécificités de l enfant Traumatismes de l enfant Cas pa Physiologie
Plus en détailRééducation Posturale Globale
Rééducation Posturale Globale R.P.G. Créateur de la méthode : Philippe E. SOUCHARD France Petit guide à l attention de nos patients La Rééducation Posturale Globale est apparue en 1980 à la suite de plus
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détaildos La qualité au service de votre santé Avenue Vinet 30 1004 Lausanne - Suisse p r e n d r e s o i n d e s o n
dos p r e n d r e s o i n d e s o n Avenue Vinet 30 1004 Lausanne - Suisse La qualité au service de votre santé Cette information, éditée par l Institut de physiothérapie de la Clinique de La Source, vous
Plus en détailIMAGERIE TOMODENSITOMETRIQUE ET IRM DU PERICARDE
IMAGERIE TOMODENSITOMETRIQUE ET IRM DU PERICARDE E Bruguière, O Vignaux, C Burckel, H Gouya, S Silvera, P Legmann Groupe hospitalier Cochin Saint-Vincent de Paul Service de radiologie A Paris - France
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailAssister un proche dans ses déplacements
2012 Assister un proche dans ses déplacements Remerciements : Merci au Ministère de la famille et des aînés du Québec pour le soutien financier ayant permis la réalisation de ce document. Merci à Josée
Plus en détailLes anomalies des pieds des bébés
Les anomalies des pieds des bébés Pierre Mary Consultation d orthopédie pédiatrique Service d orthopédie et de chirurgie réparatrice de l enfant Hôpital Jean Verdier Hôpital Trousseau Comment étudier un
Plus en détailPROGRAMME DU CONCOURS D ACCES AU RESIDANAT DE CHIRURGIE DENTAIRE
MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE D ALGER DEPARTEMENT DE 1- SPECIALITE : PROTHESE 1 Anatomie dentaire 2 Les matériaux à empreinte 3 Les traitements pré-prothetiques
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES DOULEURS DU POST-PARTUM ET DES DOULEURS POST-CHIRURGICALES MARTINE CORNILLET-BERNARD
PRISE EN CHARGE DES DOULEURS DU POST-PARTUM ET DES DOULEURS POST-CHIRURGICALES MARTINE CORNILLET-BERNARD Douleurs du post-partum : Douleurs cicatricielles (déchirures ou épisio) Dyspareunies orificielles
Plus en détailExercices pour renforcer les muscles abdominaux après l accouchement
Exercices pour renforcer les muscles abdominaux après l accouchement Pendant la grossesse, les muscles du ventre, appelés abdominaux, s étirent beaucoup et perdent souvent de la force. Il est important
Plus en détailLes Troubles Musculo-Squelettiques (T.M.S.)
DOSSIER Les Troubles Musculo-Squelettiques (T.M.S.) De par leur fréquence et leur impact, tant médical que socioprofessionnel, les TMS constituent un problème majeur de santé au travail. Bien que de nombreuses
Plus en détailPlan de traitement en massothérapie clinique Par: Roberto poirier PATHOLOGIES CERVICALES
Plan de traitement en massothérapie clinique Par: Roberto poirier PATHOLOGIES CERVICALES PRINCIPE DE BASE POUR LE COU On travaille sur environ 6 pouces qui retient la boîte crânienne et son contenu De
Plus en détailLE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER
LE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER I : INTRODUCTION Dans le cadre de la Semaine Européenne de la Construction il est utile de se remémorer ou de prendre simplement conscience que notre
Plus en détailManuel d hygiène bucco-dentaire Destiné à la formation de prophylaxistes
Manuel d hygiène bucco-dentaire Destiné à la formation de prophylaxistes élaboré pour le SDI par Graziella Secci hygiéniste dentaire g_secci@bluewin.ch SDI 2006 / 2007; Ed. n 1 La cavité buccale - Anatomie
Plus en détailREEDUCATION APRES RUPTURE DU LIGAMENT CROISE ANTERIEUR OPERE
REEDUCATION APRES RUPTURE DU LIGAMENT CROISE ANTERIEUR OPERE REEDUCATION APRES RUPTURE DU LIGAMENT CROISE ANTERIEUR OPERE Eric HALLARD, Kinésithérapeute La rupture du LCAE est de plus en plus fréquente
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailAccessibilité ERP Guide des obligations liées à l accessibilité des personnes handicapées dans les bâtiments ERP existants.*
Accessibilité ERP Guide des obligations liées à l accessibilité des personnes handicapées dans les bâtiments ERP existants.* *Application de l arrêté du 21 mars 2007, de l arrêté du 1er août 2006 et de
Plus en détailTUMEURS ET PSEUDO-TUMEURS DES PARTIES MOLLES : QUEL CRÉDIT PEUT-ON ACCORDER À L ÉCHOGRAPHIE?
TUMEURS ET PSEUDO-TUMEURS DES PARTIES MOLLES : QUEL CRÉDIT PEUT-ON ACCORDER À L ÉCHOGRAPHIE? R.CAMPAGNA, F.THEVENIN, D.RICHARME, H.GUERINI, A.FEYDY, F.LAROUSSERIE, JL.DRAPÉ Service de Radiologie B CHU
Plus en détailQUI PEUT CONTRACTER LA FA?
MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailUE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire
UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP
Plus en détailPLAN D ATHLETISATION PROTOCOLES D EVALUATION DES QUALITES PHYSIQUES DES JOUEURS INTERNATIONAUX
PLAN D ATHLETISATION PROTOCOLES D EVALUATION DES QUALITES PHYSIQUES DES JOUEURS INTERNATIONAUX TEST NUMERO 1 (1/3) Nom : Test Luc LEGER Navette (20m) Objectifs : Mesure de la VMA (Vitesse maximal aérobie)
Plus en détailLa syllabe (1/5) Unité intuitive (différent du phonème) Constituant essentiel pour la phonologie au même titre que phonème et trait
La syllabe (1/5) Unité intuitive (différent du phonème) Variation des structures syllabiques d une langue à une autre et dans une même langue (cf strict vs à : une seule syllabe mais des structures bien
Plus en détailDouleur au cou, au dos et hernie: solutions en physiothérapie.
www.cliniquephysioplus.com Une solution naturelle pour vous aider à vous rétablir : la physiothérapie Douleur au cou, au dos et hernie: solutions en physiothérapie. ÉRIC GUY PHYSIOTHERAPEUTE EST : par
Plus en détailLES MENUISERIES INTÉRIEURES
Les portes intérieures Seuls les ouvrages relatifs aux portes intérieures sont décrits ci-après. Pour la description des pièces de bois (montant, traverse ) et des accessoires de quincaillerie (paumelle,
Plus en détailLA PROTHESE TOTALE DE GENOU
LA PROTHESE TOTALE DE GENOU Introduction : La destruction du cartilage est fréquente au niveau du genou qui est une articulation très sollicitée et soumise à tout le poids du corps. La conséquence de cette
Plus en détailASCENSEUR ET APPAREILS ÉLÉVATEURS 08
SUJETS DE LA FICHE-CONSEILS 1. Informations 2. Isonivelage 3. Portes 4. Marquage d étage 5. Caractéristiques de la cabine 6. Boutons au palier 7. Sécurité fonctionnelle 8. Appareils élévateurs 9. Types
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailNeurologiques gq Centrales EMPR LE NORMANDY GRANVILLE
La Marche dans les Affections Neurologiques gq Centrales S Injeyan JL Isambert Y Bebin S Le Doze M Cano P Fages W Loisel La Marche Fonction complexe Organisée hiérarchiquement au niveau spinal Contrôlée
Plus en détailPRINCIPE ET FONCTIONNEMENT DES DÉFIBRILLATEURS AUTOMATIQUES IMPLANTABLES (DAI)
PRINCIPE ET FONCTIONNEMENT DES DÉFIBRILLATEURS AUTOMATIQUES IMPLANTABLES (DAI) 2 Défibrillateur Automatique Implantable SOMMAIRE Introduction Indications Principe du DAI Historique Composants et structure
Plus en détailBiomécanique des pathologies de contraintes de l avant-pied et du médio-pied
Les Entretiens de Bichat Podologie 2013 Biomécanique des pathologies de contraintes de l avant-pied et du médio-pied C. Cazeau* * Clinique Geoffroy saint-hilaire, 59 rue Geoffroy Saint-Hilaire, 75005 Paris,
Plus en détail1ST2S Biophysiopathologie : Motricité et système nerveux. 2012-2013. La physiologie neuro-musculaire :
La physiologie neuro-musculaire : Introduction : Le neurone possède 3 propriétés indispensables pour assurer sa fonction au sein de l organisme : -l excitabilité : capacité à répondre à un stimulus -la
Plus en détailLIRE UN E.C.G. Formation sur le langage et la lecture d un ECG destinée aux techniciens ambulanciers de la région Chaudière-Appalaches
LIRE UN E.C.G. Formation sur le langage et la lecture d un ECG destinée aux techniciens ambulanciers de la région Chaudière-Appalaches Denise Hébert, chargée de projet UCCSPU Février 2006 Le langage et
Plus en détail