Les prévisions saisonnières pour le trimestre septembre-octobre-novembre 2016 Qu'est-ce que la prévision saisonnière?

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1 Les prévisions saisonnières pour le trimestre septembre-octobre-novembre 2016 Qu'est-ce que la prévision saisonnière? La prévision saisonnière a pour objectif de déterminer le climat moyen sur les trois mois à venir, à l'échelle d'une région comme l Europe de l Ouest. Contrairement aux prévisions à échéance de quelques jours, l information n est pas détaillée ni chiffrée, mais présentée sous forme de prévisions qualitatives qui renseignent sur les grandes tendances (plus chaud ou plus froid, plus sec ou plus humide que la normale). Les climatologues analysent les résultats de modèles numériques comparables à ceux utilisés pour réaliser les prévisions à court terme, mais intégrant la modélisation des océans. Dans certains cas, aucun scénario dominant ne se dégage : faute d éléments probants susceptibles d'influencer le climat des prochains mois, il est impossible de privilégier une hypothèse. Les performances des prévisions saisonnières sont très variables. Elles sont meilleures pour la température que pour les précipitations, et, pour la température, meilleures en hiver qu'en été. La fiabilité de ces prévisions est bien meilleure outre-mer qu en métropole, en particulier pour les précipitations. En savoir plus : notre dossier «la prévision saisonnière» Prévisions pour le trimestre septembre-octobre-novembre 2016 sur l Europe et la France métropolitaine Situation générale : Les modèles s accordent sur un contexte de circulation anticyclonique sur l'afrique, débordant sur la Méditerranée. L'accord est moins unanime plus au nord. Le modèle de Météo-France privilégie l'option d'un trimestre plus perturbé que la normale sur le nord de l'europe. Pour les températures : Les modèles convergent vers un trimestre plus chaud que la normale sur l Europe avec une confiance toutefois meilleure au Sud qu au Nord.

2 Figure 1 : Synthèse pour les températures des prévisions. Pour chaque zone géographique délimitée par les pointillés : en bleu : la proportion de simulations correspondant à des températures inférieures à la normale ; en gris : celle des simulations correspondant à des températures proches de la normale ; en rouge : celle des simulations suggérant des températures supérieures à la normale. Pour les précipitations : La péninsule Ibérique devrait connaître un trimestre plus sec que la normale. L extrême nord du continent pourrait connaître des précipitations supérieures aux normales. En dehors de ces régions, aucun scénario n est privilégié.

3 Figure 2 : Synthèse pour les précipitations des prévisions probabilistes. Pour chaque zone géographique délimitée par les pointillés : en orange, la proportion de simulations correspondant à des précipitations inférieures à la normale ; en gris celle des simulations correspondant à a des précipitations proches de la normale ; en vert, celle des simulations suggérant des précipitations supérieures à la normale. Prévisions pour le trimestre septembre-octobre-novembre 2016 sur le reste du Globe Les océans, par leur capacité à stocker l énergie reçue du soleil sont les principaux moteurs de l'évolution du climat planétaire à très longue échéance. Pour le trimestre prochain, c'est entre la Péninsule Indochinoise et l'australie, dans cette zone parsemée d'archipels (Indonésie, Malaisie, Philippines) que se situeront les eaux les plus anormalement chaudes de la ceinture tropicale (voir Figure 3). À l'ouest, l'océan Indien s'est nettement refroidit ces derniers mois. À l'est, dans l'océan Pacifique, une anomalie froide s'accentue petit à petit le long de l'équateur marquant le glissement probable vers une situation de faible «La Niña» dans le courant de l'automne (probabilité d'environ 55%). Cette configuration est favorable au renforcement des phénomènes orageux de l'asie du Sud-Est à l'australie, entraînant un surplus de fortes précipitations. Le cumul total prévu dans cette région est très nettement supérieur aux normales (voir Figure 4). À l'inverse, sur une large moitié ouest de l'océan Indien et sur les régions voisines, notamment la région des Grands Lacs de l'est de l'afrique, les précipitations devraient être inférieures aux normales.

4 À noter également la très forte anomalie chaude de température de l'océan Arctique, liée au déficit de plus en plus marqué d'extension de la banquise et à sa reconstitution tardive. Figure 3 : Prévision des anomalies moyennes de température de surface de la mer par le multi-modèles EUROSIP (liste des contributeurs en fin de bulletin) pour le trimestre septembre-octobre-novembre Remarquez le long de l'équateur, la zone de plus forte anomalie chaude entourée en rouge et les zones relativement plus froides de part et d'autre entourées en bleu. Ce contraste constitue le principal moteur de la machine climatique terrestre pour le trimestre prochain.

5 Figure 4 : Prévision des anomalies de précipitations du modèle ARPEGE de Météo-France pour le trimestre septembre-octobre-novembre Remarquez la zone de fort excédent prévu entourée en vert, et les zones de fort déficit de part et d'autre concernant notamment la région de Grands Lacs de l'est de l'afrique. Depuis près d'un an et demi les températures planétaires sont très nettement supérieures aux normales établies sur la période , établissant de nouveaux records chaque mois. La prévision pour le trimestre prochaine s'inscrit dans la continuité de cette tendance, avec une probabilité quasi-généralisée de températures supérieures aux normales (Figure 5). La baisse attendue des températures de surface des océans Pacifique et Indien devrait cependant modérer progressivement la valeur des anomalies chaudes de température de l'atmosphère et peut-être interrompre cette série de records.

6 Figure 5 : Probabilité d'avoir des températures significativement : plus chaude que la normale, en rouge, ou plus froide que la normale, en bleu, issue des prévisions du modèle du Centre Européen de Prévision (ECMWF) pour le trimestre septembre-octobre-novembre Outre-mer : Océan Atlantique : - Antilles et Guyane : Des conditions plus chaudes que la normale sont probables. L incertitude est forte pour les précipitations pour lesquelles aucun scénario n est privilégié. - Saint-Pierre et Miquelon : Des conditions plus chaudes que la normale sont probables. Aucun scénario n est privilégié pour les précipitations. Océan Indien : La Réunion et Mayotte : Dans cette zone, l'océan Indien restera plus froid que la normale au cours du trimestre prochain, avec à la clef un niveau des températures de l'air probablement inférieur à la normale. Si à Mayotte un scénario plus sec que la normale est attendu, aucune tendance ne se dégage pour les précipitations sur la Réunion.

7 Océan Pacifique : Nouvelle-Calédonie : Des conditions plus chaudes que la normale sont très probables. Aucun scénario n est privilégié en revanche pour les précipitations. Wallis et Futuna : Des conditions plus chaudes que la normale sont probables. Les dernières prévisions semblent s'orienter désormais vers des précipitations excédentaires pour le trimestre prochain. Polynésie : Les Marquises, au nord, proches de l'équateur, sont sous l'influence de la zone d'eaux plus froides que la normale dans le Pacifique d'où une tendance fraîche et sèche probable. La partie centrale de la Polynésie (archipels des Tuamotu et de la Société) devrait en revanche connaître un trimestre plus chaud et plus humide que la normale. Dans les îles Australes, au sud, les prévisions indiquent que les températures devraient rester dans la normale, avec un faible signal sec. Le prochain bulletin sera publié fin septembre Les prévisions utilisées par Météo-France dans cette analyse sont issues des résultats de l'ensemble multi-modèles EUROSIP composé des modèles de Météo-France (MF), du Centre Européen de Prévision Météorologique à Moyen Terme (ECMWF), du Met Office britannique (Met Office), du National Centers for Environmental Prediction américain (NCEP), de la Japan Meteorological Agency (JMA) ainsi que de l'expérience multi-modèles menée en Corée du Sud sous l égide de l OMM (LC-MME).

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