De la qualité des conditions de travail à la sécurité des soins.
|
|
- Agathe Jacques
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 n1 De la qualité des conditions de travail à la sécurité des soins. L expérience du Centre Hospitalier de Carcassonne 1
2 Diapositive 1 n1 nroyer; 14/05/2010
3 La construction d un nouvel hôpital : une opportunité pour repenser les organisations. Réduction du temps prévu pour les échanges professionnels (35h), +Plus grande complexité des soins +Evolution règlementaire plus pressante Majoration du risque d erreurs Nécessité de renforcer les conditions de sécurité. L aménagement adéquat des lieux d exercice, et la professionnalisation de certaines activités de support participent à cette sécurisation. Au-delà de la production architecturale, la conception de nouveaux locaux hospitaliers qui s appuie sur des arguments intégrant la qualité des conditions de travail, est une opportunité pour les soignants : elle associe forcément une réflexion sur les métiers, sur les espaces de collaboration, donc sur la qualité des organisations de soins. 2
4 Trois études complémentaires dans la perspective de construire un hôpital «intelligent» pour tous. L enquête sociale (ES) La démarche d ergonomie participative(dep) La mesure de la charge de travail des soignants dans les unités de soins (SIIPS et AAS). L analyse croisée des résultats de ces enquêtes permet la confirmation de certaines données, et autorisent le positionnement fort des professionnels dans leurs demandes. Exemple : La peur de l erreur ressentie par les IDE (ES) est renforcée par des l exigüité des locaux dédiés au partage des informations (DEP) 3
5 L enquête sociale effectuée en 2007 Seulement 34 % des soignants se déclarent satisfaits des conditions de transmissions entre les professionnels Les motifs d insatisfaction sont l insuffisance de temps prévu, les interruptions, l espace des lieux de travail Plus de 50% s estiment très exposés aux nuisances telles que le bruit, les ruptures thermiques et la lumière artificielle. 60% sont préoccupés par la peur de faire des erreurs 50% des salariés se déclarent stressés au travail. Les plus sujets sont les IDE, les SF, les MT. 4
6 L ergonomie participative La conception du nouvel hôpital prend en compte l ensemble des recommandations formulées à la suite de l expérience d ergonomie participative conduite de 2007 à Pour chaque lieu de travail sont examinés et revendiqués par les professionnels différents éléments, notamment : L exposition à la lumière naturelle Des distances raisonnables Des espaces de travail et de collaboration fonctionnels Etc. 5
7 L ergonomie participative Les professionnels de l hôpital de Carcassonne (environ110, toutes catégories confondues) qui ont été actifs dans l expérience d ergonomie participative, ont intégré un des dix groupes de travail dès l élaboration du préprogramme architectural. Ils ont de ce fait veillé en permanence à la bonne application des recommandations. Un hôpital à «la mesure» de ceux qui y vivent et le font vivre. 6
8 La mesure de la charge de travail ( ) La mesure de la charge en soins SIIPS (soins infirmiers individualisés à la personne soignée) accompagnée de la mesure des AAS (activités afférentes aux soins) démontre que les soignants passent en moyenne entre 40 et 60% de leur temps à faire autre chose (de la logistique, téléphone, transport patient etc.) que du soin. Et que les activités de soins sont très souvent interrompues par l exigence de répondre à ces activités non programmées. Ces éléments ont été corroborés par l étude d ergonomie participative, et par le ressenti exprimé des soignants dans l enquête sociale. 7
9 Des locaux de soins et d hébergement adaptés à une meilleure gestion des risques La démarche de prévention des risques est intégrée dans le projet social et dans le projet de soins de l établissement ( ). Le projet social met en exergue la gestion du stress et les TMS Le projet de soins, la professionnalisation des activités de support et la gestion des risques liés aux soins, dont ceux liés aux transmissions des informations. Ces préoccupations, qui constituent des axes forts de ces projets sont pris en compte, en partie grâce aux conclusions des études menées, pour la construction des nouveaux locaux hospitaliers. 8
10 Et demain? Les grands principes recommandés par les études ont été retenus pour la conception des locaux de soins et d hébergement et trouvent leur expression concrète dans les plans du nouvel hôpital. Respect des proximités fonctionnelles (ce qui a nécessité qu elles soient définies préalablement) et création de locaux (accueil soins) Respect des regroupements de locaux en fonction des organisations (ilot de soins) et du management hospitalier (pôles) Eclairage naturel dans tous les locaux professionnels Chambres adaptées à la typologie des patients accueillis dans les hôpitaux (soins complexes, patients dépendants etc.) 9
11 Pour les unités d hospitalisation traditionnelle et de semaine, un «ilot de soins» central, à la croisée des activités de tous les soignants. Un «ilot de soins» pour 24 lits (chambres seules > 19m2). Conçu pour 2 équipes de soins, une par sous-unité de 12 à 14 lits. Dans chaque unité, 4 chambres peuvent accueillir 2 patients (>23m2) capacité d accueil à 28 lits maximum. L ilot de soins est conforme à la fois aux exigences fonctionnelles et aux besoins des professionnels en terme de conditions de travail. Aucune chambre n est à plus de 30 m de distance du poste de soins. Il existe une salle de détente par unité, non loin des bureaux infirmiers. 10
12 L ilot de soins (suite) L ilot de soins ( 100m2) comprend, en contigüité, outre les locaux de soins traditionnels (préparation soins, décontamination) Une salle destinée aux échanges médicaux et soignants ( 24m2) 2 bureaux «infirmiers» permettant des transmissions sectorisées ( 14m2) Un bureau d accueil : le projet prend en compte la présence, souhaitée par les soignants, d un auxiliaire d hospitalisation, qui aura en charge certaines activités afférentes aux soins ( poste aménagé : cf. projet social ) 11
13 Le plan d un service d hospitalisation 12
14 Le plan de l ilot de soins 13
15 La nouvelle organisation de la logistique interne (hôtellerie, transport des patients, transport des matières res.).) La construction du nouvel hôpital, précédée de celle d une plate forme logistique conduit actuellement les hospitaliers à retravailler les organisations et les circuits en regard des métiers de chacun. Les bénéfices : une professionnalisation des activités de logistique, notamment de certaines, actuellement effectuées en partie, par les soignants et comptabilisées dans les activités afférentes aux soins (AAS) Ce travail est difficile parce qu il bouscule les habitudes, les croyances, les sentiments d appartenances à un groupe. Il devrait permettre toutefois : Une meilleure performance des organisations qui deviennent plus lisibles. Une valorisation des métiers, portée par l engagement de la direction du CH de tendre vers une réelle professionnalisation, des conditions de travail forcément améliorées Une réponse plus adaptée à la demande de la clientèle. 14
16 MERCI De votre attention 15
SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD)
SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD) 1 PSAD: qui sommes nous - 1 200 000 patients toutes prestations confondues, pris en charge tous les jours à domicile en : oxygénothérapie ventilation
Plus en détailPandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu
Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu Introduction Réorganisation profonde nécessaire de l offre de soins Organisation hospitalière
Plus en détailProcédure adaptée (Article 28 du Code des marchés publics)
Cahier des Clauses Techniques Particulières (CCTP) Relatif au projet de : Déploiement du logiciel DMU Net au sein du service des urgences et mise en place d un EAI (Enterprise Application Integration)
Plus en détailFormation sur la sécurisation du circuit du médicament
Formation sur la sécurisation du circuit du médicament Virginie Roué, Ingénieur Qualité-Risques Réseau AQuaREL Santé Dr Brigitte Paulmier, Pharmacien coordonnateur de la gestion des risques CH Saumur CONTEXTE
Plus en détailLes HUG en bref. Chiffres-clés basés sur l exercice 2013
2014 Les HUG en bref Chiffres-clés basés sur l exercice 2013 Stratégie Missions, vision, valeurs 3 missions : soins, enseignement, recherche 1 vision : être l hôpital des Genevois et un centre universitaire
Plus en détailLa recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux
La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux Marc Beaumont, kinésithérapeute - 5ème journée inter régionale GIRCI - Tours, 3 juin 2015 Qu est ce que la recherche clinique? «une
Plus en détailAnnexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Crédit, rachat de crédit : que pensent les internautes? Contact presse : mael.resch@empruntis.com 01.55.80.58.
DOSSIER DE PRESSE Crédit, rachat de crédit : que pensent les internautes? Contact presse : mael.resch@empruntis.com 01.55.80.58.66 Empruntis.com en partenariat avec Market Audit a mené une étude auprès
Plus en détailAide kinésithérapeute : une réalité?
Aide kinésithérapeute : une réalité? Fabien Launay Cadre supérieur du pôle rééducation CHU de Dijon Dijon (21) Préambule : La fonction d aide-kinésithérapeute n est pas nouvelle. Elle peut être occupée
Plus en détailORGANISATION DU TRAVAIL EN CHSLD EN ESTRIE Effectifs par unité d'hébergement SITUATION ACTUELLE (P2) B) Samedi et dimanche
ANNEXE 13 ÉTABLISSEMENT : CSSS-IUGS SITE : ARGYLL UNITÉ D'HÉBERGEMENT : ARGYLL 1-2 CONFIGUN PHYSIQUE (nombre d'étages) : 2 étages NOMBRE DE LITS : 45 de de de de Infirmière 7 5,75 1 7,25 Infirmière auxiliaire
Plus en détailLes entretiens de Télécom ParisTech & Le colloque TIC Santé 2011. Atelier 1 :«TIC et pratiques innovantes au
Les entretiens de Télécom ParisTech & Le colloque TIC Santé 2011 Atelier 1 :«TIC et pratiques innovantes au sein des structures de santé» L opération VDI du nouvel hôpital du CHAC ParisTech les 8 et 9
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE. Offre de santé : Le groupe Malakoff Médéric et le régime minier de Sécurité sociale signent un accord de partenariat
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 28 janvier 2009 Offre de santé : Le groupe Malakoff Médéric et le régime minier de Sécurité sociale signent un accord de partenariat Le groupe Malakoff Médéric et la Caisse
Plus en détailCONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012
CONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012 NOUMBISSIE Emmanuel, ingénieur en organisation et méthodes à la direction générale de l hôpital marne la vallée ( Lagny) Transfert d activités sur un nouveau site :
Plus en détail21/09/2012. La vente par Internet. Pourquoi vendre par Internet?
VENDRE GRÂCE A INTERNET - POURQUOI ET COMMENT? ALES 20 septembre 2012 La vente par Internet Pourquoi vendre par Internet? - c est un nouveau canal de commercialisation. - pour mettre son catalogue produits
Plus en détailCentre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» MSP
Centre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» EDS CHS MSP MSP «La Traversée» Anémones 1 - Anémones 2-45 lits 30 lits Chênes - 45 lits Dont - Circuits de soins internés 25 lits - Circuit de
Plus en détailLa place des seniors dans le bénévolat
La place des seniors dans le bénévolat On sait que les seniors jouent un rôle très important dans le bénévolat, notamment en qualité d élus aux seins des associations, bénéficiant de l expérience qu ils
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Salon de la Santé et de l Autonomie Pavillon 1 Stand L22
DOSSIER DE PRESSE Salon de la Santé et de l Autonomie Pavillon 1 Stand L22 2014 1 BERGER-LEVRAULT, PARTENAIRE INCONTOURNABLE DES ACTEURS DE SANTÉ PUBLICS ET PRIVÉS Dossier de presse 2014 I Page 3 1 BERGER-LEVRAULT,
Plus en détailAllocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins
Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,
Plus en détailLa raison d être des systèmes d information
La raison d être des systèmes d information 23 ème Séminaire en sciences pharmaceutiques Pourrait-on vivre sans? 1 Enjeux Processus de soins très complexes et fortement basés sur la fiabilité humaine Suivi
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES. Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes.
Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes.fr DOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES Crédit Photo : Nicolas MASSON Cannes, le 6 avril 2011
Plus en détailPROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR :
PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : IDENTIFICATION DU POSTE : Titre de la fonction : Conducteur Ambulancier SMUR*. Etablissement : Centre Hospitalier Régional Universitaire de Brest. Service
Plus en détailConférence de presse «Bientôt le nouvel hôpital» - Toulon - Lundi 4 avril 2011. Sommaire. 1 > Relever les défis de la santé du futur...
1 Sommaire 1 > Relever les défis de la santé du futur... 3 Assurer les missions de santé publique du territoire... 3 Une tradition séculaire en santé publique... 3 Une réponse à la hauteur des besoins
Plus en détailLa gestion des risques en hygiène hospitalière
La gestion des risques en hygiène hospitalière Rappels des fondamentaux Dr J-L. Quenon Comité de Coordination de l Évaluation Clinique et de la Qualité en Aquitaine Séminaire de la SF2H, 19 novembre 2013,
Plus en détailRéussir la transformation. Ensemble. Les défis de l expérience client différenciante. Delivering Transformation. Together.
Réussir la transformation. Ensemble. Les défis de l expérience client différenciante Delivering Transformation. Together. Sopra Steria Consulting est l activité Conseil du Groupe Sopra Steria. Présent
Plus en détailLa Révolution Numérique Au Service De l'hôpital de demain. 18-19 JUIN 2013 Strasbourg, FRANCE
La Révolution Numérique Au Service De l'hôpital de demain 18-19 JUIN 2013 Strasbourg, FRANCE David Pronier Country Manager Europe du Sud Motion Computing Pascal Detemmerman CEO SwissEnov Sommaire La Mobilité
Plus en détailInstitut Informatique de gestion. Communication en situation de crise
Institut Informatique de gestion Communication en situation de crise 1 Contexte Je ne suis pas un professionnel de la communication Méthode empirique, basée sur l(es) expérience(s) Je suis actif dans un
Plus en détailNuméro Spécial- octobre 2014 Prochain numéro Décembre 2014 Page 1
hinfooct2014_hinfo 09.10.14 13:30 Numéro Spécial octobre 2014 t St Laurent du Pon ospitalier H e r t n du C e nal r u jo Le Enquête sur La satisfaction au travail U n questionnaire, préparé par la DRH,
Plus en détailBonn. rds» Conso. A propos de CONSOLIS SABLA. publics : bâtiments principalem personnes CONSOLIS. préfabriqué. assainisse cimetières
Bonn na Sablaa Concours de Création «Consolis Awa rds» REGLEMENT DU CONCOURS Conso olis et Bonna Sabla en bref A propos de CONSOLIS CONSOLIS S est un groupe industriel européen du secteur de d la construction,
Plus en détailL éco-conception entre donneur d ordres et PME ou comment changer nos habitudes dans l évaluation des technologies en aéronautique Projet CORINE
L éco-conception entre donneur d ordres et PME ou comment changer nos habitudes dans l évaluation des technologies en aéronautique Projet CORINE EcoMundo, Fangcun ZHOU 1 Présentation du Projet CORINE Conception
Plus en détailB.I. «maison»: sexy or not? Expérience de la CMSE
B.I. «maison»: sexy or not? Expérience de la CMSE Benoît Libert Séminaire stratégique pour décideurs du monde hospitalier 18 octobre 2012 - Genval Plan - La CMSE et sa cellule de gestion - Le choix de
Plus en détailSystème appel malade sur
Système appel malade sur Description du système ALCAD Appel Malade est un système de communication et de gestion du service infirmerie qui utilise la technologie IP et qui fonctionne non seulement en réseau
Plus en détailUn projet multi-établissements de territoire en Franche-Comté
Un projet multi-établissements de territoire en Franche-Comté Dr Denis BABORIER CH LONS-LE-SAUNIER 31 Août 2009 La géographie du projet ISYS Projet d informatisation du système de soins Franche-Comté EMOSIST-fc
Plus en détail3.3. Techniques d installation. 3.3 Installation à bord du VSL. Quand Installation du patient à bord du Véhicule Sanitaire Léger.
L auxiliaire ambulancier 3e édition 3.3. Techniques d installation 3.3 Installation à bord du VSL Installation du patient à bord du Véhicule Sanitaire Léger. A Malgré que le transport en VSL soit destiné
Plus en détailVision de la planification «TOD Bois-Franc» Direction de l aménagement urbain et des services aux entreprises
Vision de la planification «TOD Bois-Franc» Direction de l aménagement urbain et des services aux entreprises S O M M A I R E La gare de train Bois-Franc deviendra la troisième station intermodale (métro/gare)
Plus en détailBIEN-ÊTRE @ TRAVAIL ÉTUDE IPSOS LOYALTY / STEELCASE SUR LE BIEN-ÊTRE AU TRAVAIL
Communiqué de presse Septembre 2014 UNE ÉTUDE STEELCASE EN COLLABORATION AVEC IPSOS BIEN-ÊTRE @ TRAVAIL Contact presse pour informations, photos, interviews : BENJAMIN GIRARD Agence Design Project Tél
Plus en détailÉnergies renouvelables efficaces économiques durables
EES Jäggi-Bigler AG 4554 Etziken Tel +41 32 686 88 00 www.eesag.ch Niederlassungen 5436 Würenlos Tel +41 56 610 88 00 6317 Zug Tel +41 41 720 22 84 Énergies renouvelables efficaces économiques durables
Plus en détailSONDAGE AUPRÈS DES INFIRMIÈRES
Page 1 of 10 SONDAGE AUPRÈS DES INFIRMIÈRES Le Groupe de travail canadien sur la malnutrition (GTCM) a mené une étude à l échelle nationale de 2010 à 2013 afin de déterminer la prévalence de la malnutrition
Plus en détailLa santé. Les établissements de l entité Mutualité Santé Services
1 solidaire Apporter une réponse concrète aux besoins de la population en matière de santé, selon des principes fondamentaux de solidarité et d entraide. Développer un important réseau d œuvres sanitaires
Plus en détailDépartement CRM ÉTUDE DE MARCHÉ
Département CRM ÉTUDE DE MARCHÉ QUI SOMMES-NOUS? CUSTOMER RELATIONSHIP MANAGEMENT (CRM) Ensemble de mesures prises pour optimiser la relation et la fidélisation client dans le but d augmenter son chiffre
Plus en détailOUVERTURE ET MISE EN PLACE
OUVERTURE ET MISE EN PLACE Estelle Marcault 20/01/2012 URC PARIS NORD 1 Ouverture et mise en place Trois types de visites/ réunions peuvent avoir lieu : Visite de sélection Réunion investigateur Visite
Plus en détailEdition et intégration de logiciels médicaux. Service commercial 22 rue de Chantepie 37300 JOUE LES TOURS. Tél : 02 47 67 81.81 Fax : 02 47 67 42 25
Edition et intégration de logiciels médicaux Service commercial 22 rue de Chantepie 37300 JOUE LES TOURS Tél : 02 47 67 81.81 Fax : 02 47 67 42 25 LOGICIEL AXILA Le dossier médical informatisé pour les
Plus en détail«Séniors et adaptation du logement»
«Séniors et adaptation du logement» APPROCHE QUALITATIVE & BENCH MARK Etude réalisée en dpt 37 et 71 SYNTHESE DE L ETUDE POUR LA PRESSE MARS 2015 15 rue de Bellefond, 75009 Paris // www.adjuvance.fr //
Plus en détailInsuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III
Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III de la NYHA Emmanuel ANDRES et Samy TALHA Service de Médecine Interne,
Plus en détail20 SEPTEMBRE. juin 2010
05224 19 20 SEPTEMBRE juin 2010 2014 LEGISLATION Les principaux changements relatifs à l organisation et au fonctionnement des SST Décision de la Direction Générale du Travail 29 avril 2014 Annulation
Plus en détailLa salle d opération numérique intelligente
TM La salle d opération numérique intelligente Compatible. Fiable. Compatible. Le futur au bout des doigts NUCLeUS intègre de manière intelligente les salles d opération numériques La salle d opération
Plus en détailL'aidant familial face à Alzheimer: la tablette un outil simple et pratique
L'aidant familial face à Alzheimer: la tablette un outil simple et pratique Vous trouverez ici notre guide d utilisation et d accompagnement pour l'aidant familial utilisant la tablette et nos jeux de
Plus en détailBILLON, C. BURNAT, S.DELLION C. FORTAT, M. PALOMINO O. PATEY
Gestion d une épidémie de Klebsiella pneumoniae (Kpn) productrice de carbapénèmase OXA 48 dans un service de Maladies nfectieuses et Tropicales francilien. C. BLLON, C. BURNAT, S.DELLON C. FORTAT, M. PALOMNO
Plus en détailCOMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc
COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc Avril 2003 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p.3 PARTIE 1 PRESENTATION
Plus en détailErgoconception et conception hygiénique
Les rencontres thématiques Cap Aliment 2014 Réunion 1 Ergoconception et conception hygiénique Jeudi 24 avril 2014 9h30 à 12h00 / Société Famille Mary, Saint-André-de-la-Marche La maîtrise des risques sanitaires
Plus en détailCRT Nord - Centre de Ressources Technologiques Programmes de 5 ème : «HABITAT et OUVRAGES»
CRT Nord - Centre de Ressources Technologiques Programmes de 5 ème : «HABITAT et OUVRAGES» Equipes des professeurs de technologie : - Jean-Michel BOICHOT - Olivier CAURETTE - Guillaume DODEMAND - Matthieu
Plus en détailBRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES
Septembre 2014 CARTOGRAPHIE DES MÉTIERS DES PRESTATAIRES BRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES DANS LES DOMAINES MÉDICO-TECHNIQUES www.metiers-medico-techniques.fr CPNEFP de la branche Négoce et
Plus en détailConnaître. facultatif. le régime. de complémentaire. santé Pour les anciens salariés
1 Connaître le régime facultatif de complémentaire santé Pour les anciens salariés Préambule Le 12 août 2008, l Union des Caisses Nationales de Sécurité sociale et des organisations syndicales ont signé
Plus en détailACCUEIL DE JOUR ET HEBERGEMENT TEMPORAIRE POUR PERSONNES AGEES EN POITOU-CHARENTES
OBSERVATOIRE REGIONAL DE LA SANTE Poitou-Charentes ACCUEIL DE JOUR ET HEBERGEMENT TEMPORAIRE POUR PERSONNES AGEES EN POITOU-CHARENTES Enquête auprès des établissements de Poitou-Charentes Etude commanditée
Plus en détailCentre Hospitalier de Béziers
Centre Hospitalier de Béziers Edito Établissement public de santé, le Centre Hospitalier de Béziers est l hôpital de référence du bassin de santé Ouest-Hérault de plus de 200 000 habitants. Sa taille et
Plus en détailSuivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale
Suivi ADOM Claude Boiron Oncologie Médicale PLAN 1. Problématiques du traitement anti cancéreux per os 2. Objectifs du suivi ADOM 3. Procédures 4. Bilan Étude observationnelle Étude médico économique Étude
Plus en détailErgonomie et Prévention des risques professionnels
Ergonomie et Prévention des risques professionnels Catalogue des formations AVISErgonomique Laurent AVISSE Laurent AVISSE Ergonome Consultant 29, Rue de Montbazon 37 300 JOUE-LES-TOURS Tél : 06 09 44 30
Plus en détailCAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne
CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne Les patients ont besoin d une réponse de proximité et d une prise en charge globale qui nécessite une
Plus en détailCommunauté de Communes du Pays de Livarot
Rue des Frères Lumière 14120 MONDEVILLE 02 31 35 64 35 02 31 35 64 36 Email : contact@inea-be.com Communauté de Communes du Pays de Livarot Aménagement de l ancienne usine Leroy en un Pôle de Santé Libéral
Plus en détailConsulting ICT - Infrastructure
1 Classification, First name & surname, Organization, Filename_Version dd/mm/yyyy Consulting ICT - Infrastructure Pierre Mayor, Head of Consulting Romandie Notre approche, Des solutions répondant à vos
Plus en détailMaître de cérémonie Christian Fillatreau, Président du Cluster TIC Aquitaine
Challenge start-up Maître de cérémonie Christian Fillatreau, Président du Cluster TIC Aquitaine Sanilea Régulation des transports et des soins Performance, simplicité, connectivité, intuitivité, mobilité
Plus en détailLa télémédecine en action : 25 projets passés à la loupe. Un éclairage pour un déploiement national
La télémédecine en action : 25 projets passés à la loupe Un éclairage pour un déploiement national Journée Télémédecine ASIP Santé 3 mai 2012 Pascale MARTIN - ANAP Agence Nationale d Appui à la Performance
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailPROGRAMME DE PREVENTION «EHPAD / Etablissements de soins» 2013 Dispositif d Aide Financière Simplifiée Régional
PROGRAMME DE PREVENTION «EHPAD / Etablissements de soins» 2013 Dispositif d Aide Financière Simplifiée Régional Objet : Le programme de prévention vise à réduire les risques auxquels sont exposés les salariés
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détailRestauration collective
Dossier de presse Février 2014 Restauration collective La portion de fromage emballée individuellement un atout dans la lutte contre le gaspillage alimentaire Contacts presse : agence becom! T. 01 42 09
Plus en détailL évolution des rôles en soins infirmiers. Un changement à s approprier
L évolution des rôles en soins infirmiers Un changement à s approprier Les formateurs Louise Leduc Coordonnatrice du développement clinique de la pratique en soins infirmiers, DPSSS-DSI Stéphane Gagnon
Plus en détailen Nouvelle-Calédonie ET SI ON EN PARLAIT? Dossier de presse
en Nouvelle-Calédonie ET SI ON EN PARLAIT? Dossier de presse Le don d organes en nouvelle-calédonie Le don de son vivant Depuis une vingtaine d années, des patients souffrant d insuffisance rénale sont
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. 24 Janvier 2013. Création de l association HEVEA «Habiter Et Vivre Ensemble Autrement»
DOSSIER DE PRESSE xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx Création de l association HEVEA «Habiter Et Vivre Ensemble Autrement» Inauguration du Foyer de Vie et du Service d Accueil de jour de Jouy le Moutier HEVEA 24 Janvier
Plus en détailVERSION 2.1 SOMMAIRE 8. INTERVENANTS UTILES A LA PRISE EN SOINS DU PATIENT DANS LA SITUATION ACTUELLE.. 10
DOCUMENT MÉDICO-SOCIAL DE TRANSMISSION VERSION 2.1 MODE D EMPLOI SOMMAIRE I. INTRODUCTION...2 II. CHAMPS ET RUBRIQUES DU DMST...3 0. DONNEES D ENTETE DU DOCUMENT... 3 1. DONNEES DE BASE... 3 2. DONNEES
Plus en détailDéclarations européennes de la pharmacie hospitalière
Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que
Plus en détailInstructeur du dossier : Adresse : Téléphone : E-mail :
Commission Permanente d Action Sociale. DEMANDE d AIDE FINANCIERE 2015 Vacances Familiales ou Individuelles, Cures, Voyages pour Insuffisants Respiratoires, Maladies rares, Neurologiques, Asthme Séjours
Plus en détailEN COLLABORATION AVEC LE SERVICE INFIRMIER DE LA SANTE SCOLAIRE DE L INSPECTION ACADEMIQUE DU DOUBS
EN COLLABORATION AVEC LE SERVICE INFIRMIER DE LA SANTE SCOLAIRE DE L INSPECTION ACADEMIQUE DU DOUBS UN DISPOSITIF : 3 OBJECTIFS COMPLEMENTAIRES Apprendre... et habituer les enfants aux Apprendre... bonnes
Plus en détailPrestations de soins et d assistance dispensées par les proches : temps investi et évaluation monétaire
BUREAU D ETUDES DE POLITIQUE DU TRAVAIL ET DE POLITIQUE SOCIALE BASS SA KONSUMSTRASSE 20. CH-3007 BERNE. TEL +41 (0)31 380 60 80. FAX +41 (0)31 398 33 63 INFO@BUEROBASS.CH. WWW.BUEROBASS.CH Prestations
Plus en détailSTAGE D'INITIATION AUX SOINS INFIRMIERS D'ACCES EN PCEM2 ou en 2ème ANNEE DE CHIRURGIE DENTAIRE
FACULTÉ DE MÉDECINE FACULTÉ DE CHIRURGIE DENTAIRE Université de Strasbourg STAGE D'INITIATION AUX SOINS INFIRMIERS D'ACCES EN PCEM2 ou en 2ème ANNEE DE CHIRURGIE DENTAIRE JUILLET ou AOUT ou SEPTEMBRE 2012
Plus en détailLes seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement
Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement Agence d urbanisme de la région nantaise AURAN - 88.07 n Le nombre de seniors dans l Agglomération nantaise progresse et plus particulièrement
Plus en détailDen Alter liewen. Centre Bei der Sauer Diekirch
FR Den Alter liewen Centre Bei der Sauer Diekirch Bienvenue au centre «Bei der Sauer» à Diekirch Vous-même ou l'un de vos proches êtes peut-être à la recherche d un logement qui combine sécurité, prestations
Plus en détail! " # $ % & '! % & & # # # # % & (
! " # $ % & '! % & & # # # # % & ( ' # $ " # # ) * ( + %, ' " # # # $ " '. / # #! 0 " $ ' # " # # " 1 $ " 1 " 1 # " / " 2 3 # $ " 2 3 1 4 # Information des instances Communication auprès du personnel
Plus en détailMise en œuvre du PGI dans les enseignements tertiaires
Stage académique Mise en œuvre du PGI dans les enseignements tertiaires Nord Franche-Comté Lycée du Grand Chênois - 24 mars / 6 avril 2011 pascal.parisot@ac-besancon.fr Le PGI dans les enseignements tertiaires
Plus en détailRESUMÉ NON TECHNIQUE ELABORATION DES CARTES DE BRUIT COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DU HAUT VAL DE MARNE
DIRECTION GENERALE ADJOINTE CHARGEE DE L AMENAGEMENT ET DU DEVELOPPEMENT Service études et prospective RESUMÉ NON TECHNIQUE ELABORATION DES CARTES DE BRUIT COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DU HAUT VAL DE MARNE
Plus en détailTIERS PAYANT. des professionnels de santé GÉNÉRALISATION DU TIERS PAYANT : LA FRANCE A UN NET RETARD!
TIERS PAYANT des professionnels de santé GÉNÉRALISATION DU TIERS PAYANT : LA FRANCE A UN NET RETARD! La généralisation du tiers payant à l ensemble des soins de ville avant 2017 fait partie des mesures
Plus en détailREFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE
REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE Janvier 2006 I. PROMOTEURS Association dentaire française (ADF). Haute Autorité de santé (HAS). II. SOURCE Agence nationale d accréditation et
Plus en détailProposition d un outil de suivi du plan de formation et de calcul des ETP. Explications
Proposition d un outil de suivi du plan de formation et de calcul des ETP Explications Janvier 2006 Le classeur Excel se compose de plusieurs feuilles : - liste des formations ; - personnel ; - listes
Plus en détailPSYCHOLOGUE AU DOMICILE : PRATIQUES SINGULIERES OU PLURIELLES?
PSYCHOLOGUE AU DOMICILE : PRATIQUES SINGULIERES OU PLURIELLES? Françoise ELLIEN, Psychologue-Psychanalyste Psychanalyste Directrice du réseau de santé ville-hôpital SPES XII ème Congrès National de la
Plus en détailMinistère de la Santé et des Services sociaux
Ministère de la Santé et des Services sociaux Projet de loi modifiant l organisation et la gouvernance du réseau de la santé et des services sociaux notamment par l abolition des agences régionales Contexte
Plus en détailNOVARTIS. L assurance-maladie Suisse Offre réservée au personnel de NOVARTIS. POUR LA MEILLEURE DES MéDECINES. AUJOURD HUI ET DEMAIN.
NOVARTIS L assurance-maladie Suisse Offre réservée au personnel de NOVARTIS POUR LA MEILLEURE DES MéDECINES. AUJOURD HUI ET DEMAIN. Assurance de base L assurance-maladie obligatoire en Suisse. Dans le
Plus en détailLa peur de la sanction, principale raison du changement de comportement des conducteurs La vitesse, un danger encore sous-estimé
Filiale du COMMUNIQUE DE PRESSE Paris, le 16 novembre 2009 La peur de la sanction, principale raison du changement de comportement des conducteurs La vitesse, un danger encore sous-estimé Alors que le
Plus en détailSERVICE APPARTEMENTS THÉRAPEUTIQUES. Livret d Accueil - 1 -
SERVICE APPARTEMENTS THÉRAPEUTIQUES Livret d Accueil - 1 - Sommaire Contrat de soins p 3 Contrat de séjour d occupation de l appartement Règlement intérieur d occupation de l appartement p 6 Fiche sociale
Plus en détailSCHÉMA DIRECTEUR DES IMPLANTATIONS PORTUAIRES ET ACTIVITÉS DE LOISIRS DU CANAL DE L OURCQ
SCHÉMA DIRECTEUR DES IMPLANTATIONS PORTUAIRES ET ACTIVITÉS DE LOISIRS DU CANAL DE L OURCQ 1 OBJET DU SCHÉMA DIRECTEUR Une démarche partenariale du Département de la Seine-Saint-Denis, avec les collectivités
Plus en détailPaiement en ligne des frais hospitaliers TIPI régies hospitalières
en ligne des frais s TIPI régies hospitalières 1. Guide d aide à la décision à destination des directions d établissements de santé publics La démarche proposée dans le présent document est pilotée au
Plus en détailComment enfin gagner de l argent avec son SAV? Laurent Mellah, Cepheus Group Alain Bellange, Keonys
Comment enfin gagner de l argent avec son SAV? Laurent Mellah, Cepheus Group Alain Bellange, Keonys Sommaire Keonys, votre partenaire PLM Le S.A.V avec Cepheus Group Conclusion Q & A 2 Conseil & intégration
Plus en détailmédicale canadienne, l Institut canadien d information sur la santé, Santé Canada et le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada.
DEPUIS PLUSIEURS ANNÉES, la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) interroge ses membres sur plusieurs aspects touchant leur pratique professionnelle à l aide de sondages, de groupes de
Plus en détailCahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier
DGOS/PF3/CdC MSP PF3 R2 DSS RB 21 07 10 Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier L article L. 6323-3 du code de la santé publique prévoit
Plus en détailPrésentation à la Direction des Santé Achats de la Société Générale. Asurances, soins, biens médicaux
Présentation à la Direction des Santé Achats de la Société Générale 2003 Asurances, soins, biens médicaux Une culture globale et entrepreneuriale orientée client Innovation et fonctionnement en réseau
Plus en détailDonnées sur le détenteur étranger et son véhicule à moteur. Données sur le lésé et son véhicule à moteur - 1 -
Avis d accident pour détenteurs de véhicules immatriculés à l étranger Art. 74 de la loi sur la circulation routière (LCR) en relation avec l art. 41 de l ordonnance sur l assurance des véhicules (OAV)
Plus en détailS ickness Impact Profile (SIP)
Nom : Prénom : Date de naissance : Service : Hôpital/Centre MPR : Examinateur : Date du jour : Étiquettes du patient S ickness Impact Profile (SIP) Il présente le même problème de droit d auteur (pour
Plus en détailZ I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor
Z I G U I N C H O R REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------------ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DU PLAN ------------------ AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE
Plus en détailVers le renouveau du logement social Un besoin impératif A.DE HERDE
Vers le renouveau du logement social Un besoin impératif A.DE HERDE 1 Le nombre de logements dont la SWL et ses sociétés agréées sont propriétaires s élève à 101.242 ; le montant annuel des investissements
Plus en détailMédecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI
Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI L ASSOCIATION ALIMA The Alliance for International Medical Action (ALIMA) est une organisation médicale internationale, fondée en 2009. ALIMA a
Plus en détailInformation aux patients et à leurs proches. Espace médiation. Lieu d écoute et de dialogue pour les patients et leurs proches
Information aux patients et à leurs proches Espace médiation Lieu d écoute et de dialogue pour les patients et leurs proches Quand solliciter l espace médiation? Vous rencontrez un problème à l hôpital
Plus en détail