QU ARRIVERA-T-IL APRÈS L ESSOR DU CRÉDIT EN CHINE?
|
|
- Monique Chaput
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 JUIN 2013 QU ARRIVERA-T-IL APRÈS L ESSOR DU CRÉDIT EN CHINE? L économie de la Chine a fait preuve d une résistance enviable tout au long de la crise financière mondiale, surpassant le reste du monde. Ce résultat a donné du poids à l opinion selon laquelle le capitalisme d État unique de la Chine est d une certaine façon plus robuste que le capitalisme de libre marché qui a cours en Occident. Nous sommes d avis que cette explication est beaucoup trop simpliste. Nous croyons que deux autres facteurs contribuent bien davantage au succès relatif de la Chine. Premièrement, le fait que le système financier de la Chine soit encore à l étape de l adolescence lui a été profitable. Quand le système financier mondial s est enrayé à la fin de 2008, la Chine a été moins touchée que d autres pays parce que son système financier est relativement plus petit, moins élaboré et moins mondialisé. Deuxièmement, la Chine a lutté contre la crise mondiale en déclenchant un véritable tsunami de crédit. Il est très difficile d évaluer l effet de ces mesures, mais nous estimons que sans elles, la progression de l économie chinoise aurait pu se limiter à 2 % en 2009, comparativement au taux de 7 % réellement atteint. Dans ce rapport, nous examinons les répercussions éventuelles de l essor du crédit en Chine. Nous ferons une première évaluation du poids global du crédit là-bas, puis un examen du marché du logement de la Chine, de son financement parallèle, et de l endettement des collectivités locales et du gouvernement central. Crédit privé en Chine Nous commençons cette analyse par un aperçu de la situation globale du crédit dans le secteur privé chinois. La tâche n est pas aisée : les données sont difficiles à obtenir, car elles sont scindées de façon peu pratique et correspondent peu à celles des autres pays. Selon les données de la Banque des règlements internationaux (BRI), le niveau du crédit privé en Chine a maintenant atteint celui du monde développé ce qui est un signe inquiétant puisque les pays pauvres sont généralement beaucoup moins endettés. À 161 % du PIB, ce degré d endettement de la Chine dépasse désormais celui des autres pays d Asie et présente une ressemblance inquiétante avec les excès de 1997, qui ont contribué à déclencher la crise financière asiatique. Une définition plus large du crédit privé est ce que la Chine appelle le «financement social total». Plus librement, cette mesure ajoute le financement parallèle (y compris les actions) à la définition précédente du crédit privé. D après cette mesure, le financement social total de la Chine est de 183 % du PIB. Bien que supérieur à celui de la première définition, ce résultat semble en fait assez faible par rapport à celui d autres pays comme les États-Unis et le Royaume-Uni, dont les chiffres sont deux fois plus élevés. Une question de croissance, et non de nombre Malgré leur contradiction, les deux mesures du crédit convergent vers un même point essentiel : la Chine a connu une croissance du crédit considérable depuis la crise financière. Le crédit est monté en flèche, passant de 47 à 70 % du PIB au cours des cinq dernières années. Ce rythme effréné est supérieur à celui de tout autre pays que nous avons étudié. Le crédit a mauvaise presse Précisons qu un levier modeste quand la croissance du crédit est à peine supérieure à la croissance économique est normal. Lorsque les pays s enrichissent, ils peuvent généralement soutenir un élargissement des marchés financiers et octroyer davantage de crédit. Contrepoids propres à la Chine Certains facteurs importants réduisent aussi le risque de crédit en Chine. Premièrement, on note peu de signes de tensions évidentes dans les marchés du crédit chinois. Les prêts bancaires non rentables ont beaucoup diminué pendant la période même où la croissance du crédit s est accélérée.
2 Deuxièmement, en raison de moyens de contrôle efficaces sur les mouvements de capitaux, la majeure partie des emprunts de la Chine sont libellés dans sa propre monnaie et sont financés au pays. Troisièmement, la Chine est un épargnant net, et non un emprunteur (figure 1). Grâce à des années d excédent du compte courant, le pays affiche une position extérieure globale positive de 1,8 billion de dollars US. Quatrièmement, les banques chinoises et les sociétés d État sont extrêmement malléables. Si le crédit venait à subir un gel soudain, le gouvernement pourrait en atténuer l impact en ordonnant aux institutions financières de poursuivre les prêts, de rééchelonner la dette et d acheter plus d obligations gouvernementales. Prudence à l égard du crédit Au final, chose étonnante, il n est pas certain que la dette privée de la Chine soit trop élevée, mais sa croissance a manifestement été trop rapide. Même si plusieurs facteurs atténuaient le coup porté par un ralentissement du crédit, les risques de recul sont anormalement élevés et le fait est que le crédit ne peut continuer d augmenter au rythme actuel en Chine. Afin de mieux comprendre ces risques, nous examinons maintenant plusieurs des principales composantes du marché chinois du crédit. Surchauffe du logement Le marché chinois du logement a progressé par bonds, contribuant considérablement à la croissance du crédit en fournissant du financement aux constructeurs et des hypothèques. Un examen sommaire laisse croire qu il y a matière à s inquiéter. Nous estimons la construction de logements en zone urbaine à environ 20 millions de nouvelles unités par année, ce qui dépasse de loin la demande démographique, qui est de l ordre de 9 à 16 millions d unités. La construction a augmenté de façon considérable par rapport au PIB et les prix des maisons sont de nouveau en hausse. Ainsi, l essor du secteur du logement en Chine présente bel et bien deux facettes. La demande pourrait se révéler durablement plus élevée qu on ne l estime de façon conventionnelle à cause d un déplorable sous-investissement dans les logements existants. L accès au logement pourrait également être moins inquiétant qu il n y paraît si l on examine les coûts de logement des ménages. Par conséquent, nous restons profondément incertains quant à l ampleur d un excès quel qu il soit. Il semble plus prudent de dire que l investissement immobilier ne peut continuer de croître à son rythme récent. Il est passé de 2 % du PIB dans les années 1980 à 14 % aujourd hui. Le taux d inoccupation est peut-être bas, mais il augmente manifestement. La façon qu ont les constructeurs de se financer eux-mêmes sur le marché des produits de gestion de patrimoine n est pas durable. En outre, l endettement des ménages, bien Figure 1 : Globalement, l économie chinoise affiche une épargne (et non une dette) nette Turquie -52 Mexique Indonésie R.-U. Brésil É.-U. Zone euro Inde Corée du Sud Chine Japon Emprunteur net Nota : Graphique fondé sur la dernière année pour laquelle des données existent. Sources : Haver Analytics, FMI, RBC GMA qu encore faible par rapport au PIB, n est pas de beaucoup inférieur à celui des États-Unis en matière de part de la mesure la plus pertinente : le revenu disponible. Tapis dans l ombre En Chine, l industrie du financement parallèle a pris son essor pratiquement du jour au lendemain, créant une source de financement considérable et croissante pour l économie. Selon une estimation prudente, le financement parallèle a bondi à un niveau colossal de 23 billions de yuans (3,8 billions de dollars US), l équivalent de 43 % du PIB de la Chine. Une définition plus large lui attribue jusqu à 63 % du PIB. Après un départ au pied levé il y a quelques années seulement, le financement parallèle représente maintenant près d un tiers du crédit privé total et plus de la moitié du récent afflux. On peut comprendre que cette croissance ininterrompue suscite des doutes. Les diverses formes de financement parallèle Position extérieure globale nette en % du PIB L expression «financement parallèle» ratisse large et comprend à peu près toute forme de prêt autre que le prêt bancaire conventionnel. La définition inclut donc des instruments assez rudimentaires (mais non sans risque) jusqu aux véhicules de placement plus dangereux, comme les produits de gestion de patrimoine (PGP). Les PGP apparient un groupe d investisseurs avec des occasions d investissement précises. En très grande majorité, ils sont assortis d un taux de rendement fixe et d une échéance de moins d un an. L agence de notation Fitch estime que les PGP ont gonflé d un niveau presque nul au début de 2009 à près de 12 billions de yuans à la fin de 2012, ce qui constitue une part impressionnante de 50 % du financement parallèle 21 Épargnant net 60 2 REPÈRES ÉCONOMIQUES June 2013
3 actuellement en cours (figure 2). Mais tout n est pas si sombre le financement parallèle représente une branche de capitalisme de libre marché dans le système autrement géré de la Chine et il a le pouvoir de distribuer des capitaux plus efficacement que ne peut le faire l État. Cependant, en pratique, on peut s inquiéter du peu de surveillance du secteur et les excès sont légion. Le gouvernement a récemment commencé à sévir contre les PGP et on peut raisonnablement s attendre à de la turbulence au cours de l année qui vient et une croissance beaucoup moindre du crédit provenant de cette source par la suite. Endettement des collectivités locales Jusqu à tout récemment, les collectivités locales chinoises n avaient pas le droit d émettre de titres de créance. Il peut donc sembler étrange qu elles aient réussi à accumuler une dette aussi importante. Les ratios d endettement des collectivités locales ont doublé au cours des six dernières années pour atteindre un niveau considérable de 30 à 40 % du PIB. Ce chiffre est supérieur aux statistiques du gouvernement central. La principale menace n est toutefois pas tant le niveau actuel de la dette qui est quand même assez bas selon diverses mesures que le fait qu elle continue de croître aussi rapidement. Comment les collectivités locales ont-elles réussi cet exploit malheureux? C est le fruit d un vide juridique, qui leur permet de créer des sociétés indépendantes qu on appelle «mécanismes de financement des collectivités locales». En revanche, ces mécanismes peuvent permettre l emprunt auprès des banques, au moyen de PGP et sur le marché obligataire. L inadéquation persistante découle du fait que les collectivités locales ont des obligations de dépenses structurelles qui dépassent de loin leur accès aux recettes fiscales. Ce problème a été en partie corrigé par le gouvernement central, qui a effectué d importants transferts représentant près de la moitié des revenus des collectivités locales, mais même ces sommes additionnelles ont été insuffisantes. L écart restant a été financé au moyen de créances. Éviter un désastre parmi les collectivités locales Heureusement, il existe quelques moyens pour les collectivités locales d éviter la catastrophe. Premièrement, une part massive de leur dette qui devait échoir à la fin de 2012 a été refinancée de force sur l ordre du gouvernement central, ce qui a repoussé l échéance au moins jusqu en Deuxièmement, il est modérément réconfortant qu une part aussi importante des dépenses publiques locales vise les infrastructures. Cellesci offrent au moins un certain avantage tangible et durable. Figure 2 : Les produits de gestion de patrimoine affichent une forte croissance depuis quelques années Produits de gestion de patrimoine émis par les banques (nombre par mois) Sources : CASS, Haver Analytics, RBC GMA Troisièmement, et plus important encore, le gouvernement central appuie implicitement les collectivités locales, en particulier depuis que la majeure partie de cette dette a été relevée sur ordre du gouvernement central dans le but de relancer la demande au cœur de la crise financière. Perspectives locales Certes, la situation des collectivités locales est inquiétante et pourrait finir par nécessiter l aide du gouvernement central à mesure que les profits du marché du logement diminuent et que les prêts s approchent de l échéance. De nouveaux systèmes pour surveiller la dette des collectivités locales et de nouvelles limites de prêts bancaires pour les sociétés indépendantes de financement sont mis en place. Même si ces mesures atténuent les risques à long terme, elles les accentuent vraisemblablement à court terme. Par conséquent, comme c est le cas pour les PGP, la prochaine année sera possiblement une période de risque maximal. Néanmoins, la catastrophe est loin d être assurée, et l important est que le gouvernement central reste prêt et disposé à agir. Dette du gouvernement central Le salut de la Chine dans le contexte de tous ces excès de crédit tient à la situation financière de son gouvernement central. Même si apparemment tout le monde semble avoir fait le plein de crédit au buffet à volonté, le gouvernement central s est prudemment abstenu, affichant un très faible ratio dette/pib d à peine 15 % en En toute franchise, une comptabilisation exhaustive inclurait aussi la dette des collectivités locales et quelques autres garanties implicites (comme la dette des sociétés ferroviaires et les obligations de sociétés financières politiques), ce qui porterait la dette à un niveau plus élevé de 3
4 72 % du PIB. Ce chiffre est encore inférieur à celui de la plupart des pays développés, mais n est plus véritablement bas. Les actifs comptent également En revanche, la plupart des gouvernements détiennent peu d actifs vendables en leur nom, alors que la Chine en a littéralement une multitude. Le gouvernement chinois possède des réserves de devises de quelque 3 billions de dollars US ou 40 % du PIB qui suffiraient à éliminer toute la dette des collectivités locales s il le désirait. Par ailleurs, la participation du gouvernement central dans de nombreuses sociétés d État s élève, selon une estimation très prudente, à près de 5 billions de dollars US. En conclusion En conclusion, la situation du crédit de la Chine n est pas aussi mauvaise qu il y paraît à première vue et pas aussi mauvaise que nous l avions craint. Mais elle n est pas bonne non plus. L Empire du Milieu a manifestement été propulsé dans une certaine mesure par des excès de crédit au cours des dernières années. Maintenant que les responsables de la réglementation répriment les excès et que, par conséquent, la marée redescend, nous verrons si pour paraphraser Warren Buffett la Chine nageait toute nue. En ce qui concerne la dette des collectivités locales et les produits de gestion de patrimoine, la réponse est vraisemblablement «oui», même s il y a des circonstances atténuantes. Quant au marché du logement, il est plus prudent de répondre «peut-être». Jusqu à maintenant, la Chine s est montrée très habile à surmonter les embûches. On peut encore supposer qu il en demeurera ainsi. Toutefois, la Chine a maintenant devant elle une route anormalement parsemée d embûches. Déjà, le taux de croissance de l économie ralentit, malgré une accélération du taux de croissance du crédit. Si la croissance du crédit devait retomber au niveau de celle du PIB, l économie pourrait perdre jusqu à 4 points de pourcentage de croissance annuelle. Il est immensément important d évaluer ce risque de façon précise, non seulement pour la Chine, mais aussi pour le reste du monde. La Chine est désormais la deuxième économie du globe, ce qui signifie qu un ralentissement marqué dans ce pays aurait des répercussions mondiales. C est pourquoi les excès de crédit de la Chine restent pour nous le deuxième plus grand risque pour l économie mondiale, devancé seulement par l instabilité fondamentale dans la zone euro. Pour obtenir la version complète de la présente publication, veuillez vous visiter notre site Web, au 4 REPÈRES ÉCONOMIQUES June 2013
5 Le présent rapport a été préparé par RBC Gestion mondiale d actifs Inc. (RBC GMA Inc.) à titre d information seulement et ne doit pas être reproduit, distribué ou publié sans le consentement écrit préalable de RBC GMA Inc. Aux États-Unis, ce rapport est fourni par RBC Global Asset Management (U.S.) Inc., un conseiller en placement agréé par le gouvernement fédéral et fondé en RBC Gestion mondiale d actifs (RBC GMA), division de gestion d actifs de la Banque Royale du Canada (RBC), regroupe RBC Gestion mondiale d actifs Inc., RBC Global Asset Management (U.S.) Inc., RBC Alternative Asset Management Inc. et BlueBay Asset Management LLP, qui sont des entités juridiques distinctes et affiliées. Le présent rapport n a pas pour objectif de fournir des conseils juridiques, comptables, fiscaux, financiers, liés aux placements ou autres, et ne doit pas servir de fondement à de tels conseils. RBC GMA prend des mesures raisonnables pour fournir des renseignements à jour, exacts et fiables, et croit qu ils le sont au moment de leur impression. En raison de la possibilité que survienne une erreur humaine ou mécanique ainsi que d autres facteurs, notamment des inexactitudes techniques et des erreurs ou omissions typographiques, RBC GMA décline toute responsabilité à l égard des erreurs ou des omissions que pourrait contenir le présent document. RBC GMA se réserve le droit, à tout moment et sans préavis, de corriger ou de modifier les renseignements, ou de cesser de les publier. Tout renseignement prospectif sur les placements ou l économie contenu dans le présent rapport a été obtenu par RBC GMA auprès de plusieurs sources. Les renseignements obtenus de tiers sont jugés fiables, mais ni RBC GMA ni ses sociétés affiliées ni aucune autre personne n en garantit explicitement ou implicitement l exactitude, l intégralité ou la pertinence. RBC GMA et ses sociétés affiliées n assument pas la responsabilité des erreurs ou omissions. Les opinions et les estimations que renferme ce document représentent notre jugement à la date indiquée et peuvent être modifiées sans préavis ; elles sont fournies de bonne foi, mais n impliquent aucune responsabilité légale. Dans la mesure autorisée par la loi, ni RBC GMA ni ses sociétés affiliées ni aucune autre personne n assument une responsabilité quelconque à l égard de toute perte découlant directement ou indirectement de l utilisation des renseignements prospectifs que contient ce document. Les taux d intérêt et les conditions du marché peuvent changer. Note sur les énoncés prospectifs Le présent rapport peut contenir des déclarations prospectives au sujet des rendements futurs, stratégies ou perspectives, ainsi que sur les mesures qui pourraient être prises. L emploi des modes conditionnel ou futur et des termes «pouvoir», «se pouvoir», «devoir», «s attendre à», «soupçonner», «prévoir», «croire», «planifier», «anticiper», «évaluer», «avoir l intention de», «objectif» ou d expressions similaires permet de repérer les déclarations prospectives. Les déclarations prospectives ne garantissent pas le rendement futur. Les déclarations prospectives comportent des incertitudes et des risques inhérents quant aux facteurs économiques généraux, de sorte qu il se peut que les prédictions, les prévisions, les projections et les autres déclarations prospectives ne se réalisent pas. Nous vous recommandons de ne pas vous fier indûment à ces déclarations, puisqu un certain nombre de facteurs importants pourraient faire en sorte que les événements ou les résultats réels diffèrent considérablement de ceux qui sont mentionnés, explicitement ou implicitement, dans les déclarations prospectives. Ces facteurs comprennent notamment les facteurs généraux d ordre économique et politique ou liés au marché du Canada, des États-Unis et du monde entier, les taux d intérêt et les taux de change, les marchés mondiaux des actions et des capitaux, la concurrence, les évolutions technologiques, les changements législatifs et réglementaires, les décisions judiciaires et administratives, les actions en justice et les catastrophes. La liste de facteurs essentiels ci-dessus, qui peut avoir une incidence sur les résultats futurs, n est pas exhaustive. Avant de prendre une décision de placement, nous vous invitons à prendre en compte attentivement ces facteurs et les autres facteurs pertinents. Toutes les opinions contenues dans les déclarations prospectives sont sujettes à changement sans préavis et sont fournies de bonne foi, mais sans responsabilité légale. / MC Marque(s) de commerce de la Banque Royale du Canada, utilisée(s) sous licence. RBC Gestion mondiale d actifs Inc
Investir en vue d'obtenir un revenu d'actions sur les marchés d aujourd hui Juin 2014
Investir en vue d'obtenir un revenu d'actions sur les marchés d aujourd hui Juin 2014 Animatrice : Jennifer McClelland, CFA Vice-présidente et première gestionnaire de portefeuille, Actions canadiennes
Plus en détailQU ARRIVERA-T-IL APRÈS L ESSOR DU CRÉDIT EN CHINE?
Repères économiques Vue d ensemble pour les investisseurs NUMÉRO 23 JUIN 213 Eric Lascelles Économiste en chef RBC Eric Lascelles Gestion mondiale d actifs Inc. Économiste en chef RBC Gestion mondiale
Plus en détailQUELLE DOIT ÊTRE L AMPLEUR DE LA CONSOLIDATION BUDGÉTAIRE POUR RAMENER LA DETTE À UN NIVEAU PRUDENT?
Pour citer ce document, merci d utiliser la référence suivante : OCDE (2012), «Quelle doit être l ampleur de la consolidation budgétaire pour ramener la dette à un niveau prudent?», Note de politique économique
Plus en détailCOMMENTAIRE. Services économiques TD
COMMENTAIRE Services économiques TD 16 juillet 213 LES MÉNAGES CANADIENS SONT PLUS ENDETTÉS QUE LES MÉNAGES AMÉRICAINS, MAIS UNIQUEMENT PAR SUITE DU RÉCENT DÉSENDETTEMENT AUX ÉTATS-UNIS Faits saillants
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE
COMMUNIQUÉ DE PRESSE La croissance mondiale des investissements publicitaires se poursuit : les achats publicitaires devraient croître de 4,8% en 2012. Un chiffre en légère progression par rapport aux
Plus en détailPleins feux sur BlueBay Asset Management L un des plus grands gestionnaires mondiaux de titres à revenu fixe spécialisés
Pleins feux sur BlueBay Asset Management L un des plus grands gestionnaires mondiaux de titres à revenu fixe spécialisés BlueBay : À la pointe des titres à revenu fixe spécialisés BlueBay a été fondée
Plus en détailCOMMENTAIRE. Services économiques TD LES VENTES DE VÉHICULES AU CANADA DEVRAIENT DEMEURER ROBUSTES, MAIS LEUR CROISSANCE SERA LIMITÉE
COMMENTAIRE Services économiques TD LES VENTES DE VÉHICULES AU CANADA DEVRAIENT DEMEURER ROBUSTES, MAIS LEUR CROISSANCE SERA LIMITÉE Faits saillants Les ventes de véhicules au Canada ont atteint un sommet
Plus en détailCOMMENTAIRE LES CANADIENS SONT-ILS PRÉPARÉS À UNE HAUSSE DES TAUX D INTÉRÊT? Services économiques TD
COMMENTAIRE Services économiques TD mai LES CANADIENS SONT-ILS PRÉPARÉS À UNE HAUSSE DES TAUX D INTÉRÊT? Faits saillants Le fait que la Banque du Canada ait récemment indiqué que les taux d intérêt pourraient
Plus en détailLes dépenses et la dette des ménages
Les dépenses et la dette des ménages Les dépenses des ménages représentent près de 65 % 1 du total des dépenses au Canada et elles jouent donc un rôle moteur très important dans l économie. Les ménages
Plus en détailBilan. Marchés émergents et faible volatilité. Gestion de Placements TD BULLETIN À L'INTENTION DES CONSULTANTS DANS CE NUMÉRO
Gestion de Placements TD À L'INTENTION DES CONSULTANTS Automne 2012 DANS CE NUMÉRO Marchés émergents et faible ité... 1 Étape importante pour le Fonds de base canadien en gestion commune d obligations
Plus en détailLes perspectives économiques
Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois
Plus en détailCroissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés
POUR DIFFUSION : À Washington : 9h00, le 9 juillet 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À DIFFUSION Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés La croissance
Plus en détailGENWORTH FINANCIAL CANADA PROPOSITION PRÉBUDGETAIRE OCTOBRE 2006
1211122 GENWORTH FINANCIAL CANADA PROPOSITION PRÉBUDGETAIRE OCTOBRE 2006 RAPPORT SOMMAIRE Cette proposition présente les recommandations de Genworth Financial Canada («Genworth») au Comité permanent des
Plus en détailà la Consommation dans le monde à fin 2012
Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du
Plus en détailAnnexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique
Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Les échanges de marchandises (biens et services), de titres et de monnaie d un pays avec l étranger sont enregistrés dans un document comptable
Plus en détailLe nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien
Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien Janone Ong, département des Marchés financiers La Banque du Canada a créé un nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien,
Plus en détailLigne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées
Ligne directrice Objet : Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées Date : Introduction La simulation de crise
Plus en détailAnnexe 1. Stratégie de gestion de la dette 2014 2015. Objectif
Annexe 1 Stratégie de gestion de la dette 2014 2015 Objectif La Stratégie de gestion de la dette énonce les objectifs, la stratégie et les plans du gouvernement du Canada au chapitre de la gestion de ses
Plus en détailREER, CELI ou prêt hypothécaire : comment faire le bon choix?
REER, CELI ou prêt hypothécaire : comment faire le bon choix? Jamie Golombek L épargne est une pratique importante. Elle nous permet de mettre de côté une partie de nos revenus actuels afin d en profiter
Plus en détailComment avoir accès à la valeur de rachat de votre police d assurance vie universelle de RBC Assurances
Comment avoir accès à la valeur de rachat de votre police d assurance vie universelle de RBC Assurances Découvrez les avantages et désavantages des trois méthodes vous permettant d avoir accès à vos fonds.
Plus en détailLa Banque Nationale divulgue des résultats record au premier trimestre de 2014
COMMUNIQUÉ PREMIER TRIMESTRE 2014 La Banque Nationale divulgue des résultats record au premier trimestre de 2014 L information financière contenue dans le présent document est basée sur les états financiers
Plus en détailOptions en matière de réforme des systèmes financiers
Options en matière de réforme des systèmes financiers Hansjörg Herr et Rainer Stachuletz Le projet de mondialisation néolibérale est monté en puissance à la fin des années 1970 grâce aux politiques de
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailComprendre les frais sur remboursement anticipé
Comprendre les frais sur remboursement anticipé Pour choisir un type d hypothèque, vous devez tenir compte de nombreux facteurs. Voulez-vous une hypothèque à court ou à long terme? À taux fixe ou variable?
Plus en détailFonds de placement Le modèle adapté à chaque type d investisseur.
Fonds de placement Le modèle adapté à chaque type d investisseur. Bienvenue. Des arguments qui comptent Les points forts des fonds de placement du Credit Suisse. De nets avantages Les fonds de placement:
Plus en détailMonnaie, banques, assurances
Monnaie, banques, assurances Panorama La politique monétaire de la Banque nationale suisse en 2013 En 2013, la croissance de l économie mondiale est demeurée faible et fragile. En Europe, les signes d
Plus en détailLes perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI
Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds
Plus en détailÀ Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires
POUR DIFFUSION : À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À PUBLICATION Courants contraires La baisse
Plus en détailLES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES. Françoise Lemoine, Deniz Ünal Conférence-débat CEPII, L économie mondiale 2014, Paris, 11 septembre 2013
LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES 1. Facteurs structurels du ralentissement de la croissance dans les BRIC 2. Interdépendances commerciales entre les BRIC et le reste du monde Françoise Lemoine, Deniz
Plus en détaille 17 octobre 2011 MC
le 17 octobre 2011 MC Solution recommandée Votre objectif en matière de réduction de dettes : Accroître mes liquidités en réduisant le montant de mes paiements de dettes. Vous avez dit vous sentir plutôt
Plus en détailLES ENSEIGNEMENTS DE L OBSERVATOIRE DE L ENDETTEMENT DES MENAGES. LES CREDITS DE TRESORERIE AUX PARTICULIERS EN FRANCE
LES ENSEIGNEMENTS DE L OBSERVATOIRE DE L ENDETTEMENT DES MENAGES. LES CREDITS DE TRESORERIE AUX PARTICULIERS EN FRANCE Michel MOUILLART Directeur Scientifique de l Observatoire de l Endettement des Ménages
Plus en détailLes difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues à moins que les tensions financières s amplifient
PRÉSENTATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE Association des économistes québécois de l Outaouais 5 à 7 sur la conjoncture économique 3 avril Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues
Plus en détailPerspectives économiques 2013-2014
Carlos Leitao Économiste en chef Courriel : LeitaoC@vmbl.ca Twitter : @vmbleconomie Perspectives économiques 2013-2014 L amélioration de l économie atténuée par l incertitude politique Prix du pétrole:
Plus en détailDocument d information n o 1 sur les pensions
Document d information n o 1 sur les pensions Importance des pensions Partie 1 de la série La série complète des documents d information sur les pensions se trouve dans Pensions Manual, 4 e édition, que
Plus en détailTD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD
TD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD 1. Balance des paiements 1.1. Bases comptable ˆ Transactions internationales entre résident et non-résident
Plus en détailWS32 Institutions du secteur financier
WS32 Institutions du secteur financier Session 1 La vision chinoise Modernisation du système financier chinois : fusion de différentes activités bancaires et financières, accès des ménages au marché des
Plus en détailVariation totale en %
jeudi 16 février 2012 Kingfisher annonce un chiffre d'affaires en progression de 2,2 % au quatrième trimestre, en hausse de 4,0 % à taux de change constants (+ 0,9 % à surface comparable). Le groupe prévoit
Plus en détailDOLLARAMA ANNONCE DE SOLIDES RÉSULTATS POUR LE PREMIER TRIMESTRE ET RENOUVELLE SON OFFRE PUBLIQUE DE RACHAT DANS LE COURS NORMAL DES ACTIVITÉS
Pour diffusion immédiate DOLLARAMA ANNONCE DE SOLIDES RÉSULTATS POUR LE PREMIER TRIMESTRE ET RENOUVELLE SON OFFRE PUBLIQUE DE RACHAT DANS LE COURS NORMAL DES ACTIVITÉS MONTRÉAL (Québec), le 12 juin 2014
Plus en détailHausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada
Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada Juillet 3 Aperçu Des données récemment publiées, recueillies par Prêts bancaires aux entreprises Autorisations et en-cours (Figure ), l Association des
Plus en détailSituation financière des ménages au Québec et en Ontario
avril Situation financière des ménages au et en Au cours des cinq dernières années, les Études économiques ont publié quelques analyses approfondies sur l endettement des ménages au. Un diagnostic sur
Plus en détailC O M M U N I Q U É D E P R E S S E
C O M M U N I Q U É D E P R E S S E Information réglementée* Bruxelles, Paris, 30 janvier 2009 8h55 Dexia met en œuvre son plan de transformation pour consolider son redressement et devrait enregistrer
Plus en détailPlacements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques
Placements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques Je ne caractériserais pas la récente correction du marché comme «une dégringolade». Il semble
Plus en détailLa menace de l endettement au Canada
REPÈRES ÉCONOMIQUES Vue d ensemble pour les investisseurs RBC GESTION MONDIALE D ACTIFS NUMÉRO 7 JUILLET 211 La menace de l endettement au Canada Eric Lascelles Économiste en chef RBC Gestion mondiale
Plus en détailUne famille, deux pensions
famille, deux pensions Susan Poulin Au cours du dernier quart de siècle, la proportion de familles composées de deux conjoints mariés ayant tous deux un emploi a augmenté de façon phénoménale. En 1994,
Plus en détailLe rôle du courtier principal
AIMA CANADA SÉRIE DE DOCUMENTS STRATÉGIQUES Le rôle du courtier principal Le courtier principal (ou courtier de premier ordre) offre aux gestionnaires de fonds de couverture des services de base qui donnent
Plus en détailmai COMMENTAIRE DE MARCHÉ
mai 2014 COMMENTAIRE DE MARCHÉ SOMMAIRE Introduction 2 En bref 3 INTRODUCTION L heure semble au découplage entre les Etats-Unis et l Europe. Alors que de l autre côté de l Atlantique, certains plaident
Plus en détailAugust 2014. ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances
August 2014 ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances Résumé L Association canadienne de la construction (ACC) représente 20 000 entreprises membres
Plus en détailLa Banque Nationale divulgue des résultats record au troisième trimestre de 2013
COMMUNIQUÉ TROISIÈME TRIMESTRE La Banque Nationale divulgue des résultats record au troisième trimestre de L information financière fournie dans le présent communiqué est basée sur les états financiers
Plus en détailConférence téléphonique
Conférence téléphonique T2-2015 Énoncés prospectifs et mesure non établie selon les IFRS Mise en garde concernant les déclarations prospectives Cette présentation peut contenir des énoncés prospectifs
Plus en détailLA COMPTABILITÉ DU SECTEUR PRIVÉ EN PLEINE TRANSITION
Incidences du passage aux IFRS sur la comptabilité du secteur public PAR JIM KEATES, DIRECTEUR DE PROJETS, CONSEIL SUR LA COMPTABILITÉ DANS LE SECTEUR PUBLIC, L INSTITUT CANADIEN DES COMPTABLES AGRÉÉS
Plus en détailActifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics
Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve
Plus en détailPrésentation Macro-économique. Mai 2013
Présentation Macro-économique Mai 2013 1 Rendement réel des grandes catégories d actifs Janvier 2013 : le «sans risque» n était pas une option, il l est moins que jamais Rendement réel instantané 2,68%
Plus en détailConversion des devises
exposé-sondage CONSEIL SUR LA COMPTABILITÉ DANS LE SECTEUR PUBLIC PROJET DE NORMES COMPTABLES Conversion des devises Octobre 2009 date limite de réception des commentaires : le 15 JANVIER 2010 Le présent
Plus en détailPourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux
7 avril Pourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux La crise de 9 a eu des conséquences néfastes pour
Plus en détailLe RMB chinois comme monnaie de mesure internationale : causes, conditions
27 novembre 213 N 5 Le RMB chinois comme monnaie de mesure internationale : causes, conditions La Chine semble vouloir développer le poids du RMB comme monnaie internationale, aussi bien financière que
Plus en détailInformations générales 1 er trimestre 2015. Inform La politique monétaire dans le piège des taux bas
Informations générales 1 er trimestre 2015 Inform La politique monétaire dans le piège des taux bas A propos de Swisscanto Swisscanto figure parmi les plus grands promoteurs de fonds de placement et prestataires
Plus en détailLa dette extérieure nette du Canada à la valeur marchande
N o 11 626 X au catalogue N o 018 ISSN 1927-5048 ISBN 978-1-100-99873-2 Document analytique Aperçus économiques La dette extérieure nette du Canada à la valeur marchande par Komal Bobal, Lydia Couture
Plus en détailCOMPTE DU RÉGIME DE PENSION DE LA GENDARMERIE ROYALE DU CANADA. Comptables agréés Toronto (Ontario) Le 29 avril 2005
Rapport des vérificateurs Au conseil d administration de l Office d investissement des régimes de pensions du secteur public Compte du régime de pension de la Gendarmerie royale du Canada Nous avons vérifié
Plus en détailProspérer dans un contexte de faibles taux
LEADERSHIP DE LA PENSÉE perspectives AGF Prospérer dans un contexte de faibles taux Comment ajouter de la valeur dans ce contexte difficile pour les titres à revenu fixe Par David Stonehouse, B. Sc. Eng.,
Plus en détailÉtude d impact quantitative No 3 Risque de crédit - Instructions
Étude d impact quantitative No 3 Risque de crédit - Instructions Nous vous remercions de votre participation à cette étude d impact quantitative (EIQt n o 3), qui a pour but de recueillir de l information
Plus en détailTendances de l insolvabilité au Canada
Tendances de l insolvabilité au Canada Ginette Trahan Directeur général, Services des relations externes Bureau du surintendant des faillites Le 16 novembre 2011 Association canadienne de la gestion de
Plus en détailCoup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL
Coup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL Au Canada, en vertu de la loi, les prêteurs assujettis à la réglementation fédérale et la plupart des institutions financières assujetties à une
Plus en détailRapport de la direction
Rapport de la direction Les états financiers consolidés de Industries Lassonde inc. et les autres informations financières contenues dans ce rapport annuel sont la responsabilité de la direction et ont
Plus en détailNégociation des ententes de financement, de Prêt et de Crédit
Négociation des ententes de financement, de Prêt et de Crédit Me David Lemieux Fasken Martineau 22 mai 2007 Première Étape : Déterminer les besoins de l entreprise 1. Plan d affaires 2. Projections financières
Plus en détailRaisons convaincantes d investir dans le Fonds de revenu élevé Excel
3 Raisons convaincantes d investir dans le Fonds de revenu élevé Excel Rendements revenus au risque, de stables et de gains en capital Mai 2015 1 6 5 2 2 de 0 1 2 3 4 5 6 7 8 Rendement Marchés émergents
Plus en détailBanque Zag. Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation. 31 décembre 2013
Banque Zag Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation 31 décembre 2013 Le présent document présente les informations au titre du troisième pilier que la Banque Zag (la «Banque») doit communiquer
Plus en détailLE DOLLAR. règne en maître, par défaut
LE DOLLAR règne en maître, par défaut Les arrangements monétaires internationaux sont examinés à la loupe depuis la crise financière mondiale Eswar Prasad LE DOLLAR a été la principale monnaie mondiale
Plus en détailComparaisons internationales de la dette
Annexe 2 Comparaisons internationales de la dette Faits saillants Selon les statistiques officielles publiées par le Fonds monétaire international (FMI) et l Organisation de coopération et de développement
Plus en détailLA GESTION DU RISQUE DE CHANGE. Finance internationale, 9 ème édition Y. Simon et D. Lautier
LA GESTION DU RISQUE DE CHANGE 2 Section 1. Problématique de la gestion du risque de change Section 2. La réduction de l exposition de l entreprise au risque de change Section 3. La gestion du risque de
Plus en détailCrises financières et de la dette
Institut pour le Développement des Capacités / AFRITAC de l Ouest / COFEB Cours régional sur la Gestion macroéconomique et les questions de dette Dakar, Sénégal du 4 au 15 novembre 2013 S-2 Crises financières
Plus en détailLe Comité de Bâle vous souhaite une belle et heureuse année 2013 Adoption du ratio de liquidité LCR
David Benamou +33 1 84 16 03 61 david.benamou@axiom-ai.com Philip Hall +33 1 44 69 43 91 p.hall@axiom-ai.com Adrian Paturle +33 1 44 69 43 92 adrian.paturle@axiom-ai.com Le Comité de Bâle vous souhaite
Plus en détailQUEL RÔLE POUR LE FMI DANS LE NOUVEL ORDRE ÉCONOMIQUE MONDIAL?
QUEL RÔLE POUR LE FMI DANS LE NOUVEL ORDRE ÉCONOMIQUE MONDIAL? Clément ANNE, clem.anne@hotmail.fr Doctorant, Ecole d Economie de Clermont-Ferrand, CERDI 18/03/2015, Assises Régionales de l économie EN
Plus en détailLes Canadiens continuent de négliger des moyens simples de régler leurs dettes personnelles plus rapidement
POUR PUBLICATION IMMÉDIATE Le 6 décembre 2011 #dettes #hypothèque Les Canadiens continuent de négliger des moyens simples de régler leurs dettes personnelles plus rapidement Waterloo Les résultats du plus
Plus en détailCompte d exploitation 2012. Assurance vie collective.
Compte d exploitation 2012. Assurance vie collective. 2012 Votre assureur suisse. 1/12 Compte d exploitation Assurance vie collective 2012 2012: des résultats positifs et encore plus de transparence. Chère
Plus en détailLES CRÉANCES ET LES DETTES
LES CRÉANCES ET LES DETTES Règles générales d évaluation Définition d un actif et d un passif ACTIFS Tout élément de patrimoine ayant une valeur économique positive pour l entité est considéré comme un
Plus en détailConsultations prébudgétaires 2011-2012
Présenté au Comité permanent des finances de la Chambre des communes 12 août 2011 Sommaire Dans le cadre des consultations prébudgétaires du Comité permanent des finances de la Chambre des communes, le
Plus en détailRevue du marché hypothécaire canadien les risques sont faibles et maîtrisés
Revue du marché hypothécaire canadien les risques sont faibles et maîtrisés Janvier 2010 Préparé pour : Association canadienne des conseillers hypothécaires accrédités Par : Will Dunning Économiste en
Plus en détailLe présent chapitre porte sur l endettement des
ENDETTEMENT DES MÉNAGES 3 Le présent chapitre porte sur l endettement des ménages canadiens et sur leur vulnérabilité advenant un choc économique défavorable, comme une perte d emploi ou une augmentation
Plus en détailECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011
BACCALAUREAT EUROPEEN 2011 ECONOMIE DATE: 16 Juin 2011 DUREE DE L'EPREUVE : 3 heures (180 minutes) MATERIEL AUTORISE Calculatrice non programmable et non graphique REMARQUES PARTICULIERES Les candidats
Plus en détailVeuillez lire les présentes modalités et conditions du service (les «CONDITIONS») avant d utiliser le présent site.
Groupe ENCON inc. 500-1400, Blair Place Ottawa (Ontario) K1J 9B8 Téléphone 613-786-2000 Télécopieur 613-786-2001 Sans frais 800-267-6684 www.encon.ca Avis juridique Veuillez lire les présentes modalités
Plus en détailRAPPORT D'EXPERT SUR LE COÛT DE LA DETTE FINANCIÈRE BANQUE NATIONALE
A Demande R-3541 2004 RAPPORT D'EXPERT SUR LE COÛT DE LA DETTE FINANCIÈRE BANQUE NATIONALE LOUIS SIMARD ET PAUL-ANDRÉ PINSONNAULT Original: 2004-09-30 HQD-11, Document 8 Page 1 de 33 LE FINANCEMENT D
Plus en détailPro-Investisseurs CIBC Barème des commissions et des frais
Pro-Investisseurs CIBC Barème des commissions et des frais En vigueur à compter du 6 octobre 2014 En tant que client de Pro-Investisseurs MD CIBC, vous avez accepté de payer certains frais selon les types
Plus en détailLes mécanismes de transmission de la politique monétaire
Chapitre 5 Les mécanismes de transmission de la politique monétaire Introduction (1/3) Dans le chapitre 4, on a étudié les aspects tactiques de la politique monétaire Comment la BC utilise les instruments
Plus en détailLE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE?
LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? Françoise Lemoine & Deniz Ünal CEPII Quel impact de l expansion chinoise sur l économie mondiale? Rencontres économiques, 18 septembre
Plus en détailLe creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres
LE POINT SUR LES INÉGALITÉS DE REVENU Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres Résultats issus de la Base de données de l OCDE sur la distribution des revenus
Plus en détailEditorial. Chère lectrice, cher lecteur,
Version de : juillet 2013 Le point sur... Informations fournies par le ministère fédéral des Finances Les mécanismes européens de stabilité Sur la voie de l Union de la stabilité 1 2 3 4 ème volet Editorial
Plus en détailCOMMENTAIRE. Services économiques TD LA CONSTRUCTION AUTOMOBILE REDÉMARRE AU CANADA, MAIS MANQUERA-T-ELLE BIENTÔT DE CARBURANT?
COMMENTAIRE Services économiques TD LA CONSTRUCTION AUTOMOBILE REDÉMARRE AU CANADA, MAIS MANQUERA-T-ELLE BIENTÔT DE CARBURANT? Faits saillants La reprise des ventes d automobiles aux États-Unis s est traduite
Plus en détailInfo-commerce : Incertitude économique mondiale
Info-commerce : Incertitude économique mondiale avril 2012 Panel de recherche d EDC Résultats du sondage de février 2012 Faits saillants Même si les É.-U. restent une importante destination commerciale,
Plus en détail1 milliard $ cadre Corporation. Reçus de souscription. presse. de souscription. une action. 250 millions $ de. Facilité de crédit.
Communiqué de Ébauche en date du 2 juin 2014 presse NE PAS DISTRIBUER AUX SERVICES DE PRESSE DES ÉTATS-UNIS NI DIFFUSER AUX ÉTATS-UNIS Ce communiqué de presse ne constitue pas une offre de vente ou une
Plus en détailC O M M U N I Q U É D E P R E S S E
C O M M U N I Q U É D E P R E S S E Information réglementée* Bruxelles, Paris, 13 mai 2009 7h00 Résultat net de EUR 251 millions au 1 er trimestre 2009 Ratio Tier 1 de 10,7 % et core Tier 1 de 9,8 % Faits
Plus en détailLetko, Brosseau & Associés Inc.
Letko, Brosseau & Associés Inc. Perspectives sur la conjoncture économique et les marchés financiers Letko, Brosseau & Associés Inc. 1800 avenue McGill College Bureau 2510 Montréal, Québec H3A 3J6 Canada
Plus en détailLe WACC est-il le coût du capital?
Echanges d'expériences Comptabilité et communication financière Dans une évaluation fondée sur la méthode DCF, l objectif premier du WACC est d intégrer l impact positif de la dette sur la valeur des actifs.
Plus en détail4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010
LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes
Plus en détailLe Conseil canadien des consultants en immigration du Canada États financiers Pour la période du 18 février 2011 (date de création) au 30 juin 2011
Le Conseil canadien des consultants États financiers Pour la période du 18 février 2011 (date de création) au 30 juin 2011 Contenu Rapport d un vérificateur indépendant 2 États financiers Bilan 3 État
Plus en détailL accumulation de réserves de change est-elle un indicateur d enrichissement d une nation?
L accumulation de réserves de change est-elle un indicateur d enrichissement d une nation? Edouard VIDON Direction des Analyses macroéconomiques et de la Prévision Service des Études macroéconomiques et
Plus en détailFonds Fidelity Revenu élevé tactique Devises neutres
Fonds Fidelity Revenu élevé tactique Devises neutres Rapport semestriel de la direction sur le rendement du Fonds 30 septembre 2014 Mise en garde à l égard des énoncés prospectifs Certaines parties de
Plus en détail