ot de la direction Sylvie Boivin Julien Montreuil
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- Eugénie Sarah Fortier
- il y a 8 ans
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2 Mot de la présidente C est avec grand plaisir que je jette un regard sur cette belle année qui vient de s écouler, sous le signe du défi. Je chaussais pour la toute première fois les grands souliers de la présidence au conseil d administration, après y avoir contribué pendant quelques années comme administratrice. Je me suis lancée avec joie dans ce nouveau mandat, qui renouvelle mon engagement de plusieurs années. Et c est avec fierté que je constate encore une fois combien l Anonyme sait s adapter et relever les défis. De prime abord, je trouve important de réitérer mon appréciation à l équipe qui par son professionnalisme, son implication sans borne ainsi que par le respect accordé, les uns aux autres, font de l Anonyme ce qu elle est. Un nouveau climat de travail, tant par les locaux inspirants, le nouvel autobus et l essor que prend la direction double, semble donner des ailes aux esprits créatifs. On ressent clairement que chacun a participé à renouveler son engagement envers les personnes en difficulté à Montréal. L Anonyme s ouvre aussi sur le monde, entre autres par le biais de notre projet Radio qui chemine fabuleusement, et par l évolution de nos projets phares en prévention et en sexologie. Je tiens à remercier de tout cœur nos partenaires, les gens et les organisations qui contribuent directement, sur le plan financier, au succès de nos activités. Ils nous ont fait confiance, nous ont suivi dans nos propositions, et ont été séduits en retour par notre manière de faire. Je tiens à dire merci aux membres du conseil d administration qui compte plusieurs nouveaux joueurs. Ces derniers ont pris à cœur leur implication au sein de l Anonyme et font évoluer l organisme, à leur manière. Je tiens à dire un merci spécial à Michel Turgeon, pour toutes les années qu il a consacré à s impliquer auprès du conseil à titre de président, et merci aussi à Éric Côté, pour son implication comme administrateur. J ai beaucoup appris en vous côtoyant. Merci aussi à ceux et celles qui ont fait la différence au sein de l Anonyme et qui sont ailleurs aujourd hui. Merci d avoir contribué à l envol de nos projets. Merci de tout cœur à l équipe (tant les bénévoles du conseil d administration que la direction et toute l équipe des intervenants et de l administration), vous êtes responsables du fait qu il est si facile de s impliquer et de se reconnaitre dans cette organisation. Vous faîtes toute la différence pour plusieurs, dans les quartiers que nous desservons. 1
3 Mot de la direction Il y a deux ans maintenant, les membres de notre conseil d administration ont eu l audace de mettre en place une gestion dite bicéphale. Malgré les doutes quant au fonctionnement de cette façon de faire, aujourd hui, nous ne pouvons que leur dire merci! Pour que ce modèle hors du commun fonctionne, deux ingrédients essentiels devaient être mis en place : la confiance et la communication. Si la première année en fut une d adaptation, la deuxième dans ce type de gestion s est déroulée sous le signe de la maturation. En effet, la stabilité de l équipe a permis une plus grande maturité des interventions à bord de l autobus, les différents projets ont été présentés dans une centaine de milieux différents et l équipe de gestion a travaillé à développer des nouveaux partenariats tant financiers qu au niveau des services. Cette année, nous avons semé afin que l an prochain, nous puissions récolter. Dans la lignée des remerciements, merci à toute l équipe de travail qui permet à l Anonyme d augmenter constamment sa crédibilité et sa notoriété auprès des bailleurs de fonds, des partenaires terrains, mais surtout auprès des personnes qui, jour après jour, soir après soir, nuit après nuit, viennent à notre rencontre et nous font confiance. Nous entrevoyons donc l année avec une vision claire des défis à relever, mais surtout avec une motivation et un optimisme qui nous permettront, encore une fois, de nous dépasser. Sylvie Boivin Directrice Julien Montreuil Directeur adjoint 2
4 Partie 1 P résentation de l organisme Mission Fondée en 1989, l Unité d intervention mobile l Anonyme offre de l aide aux jeunes de 14 à 30 ans en difficulté ainsi qu à toutes personnes ayant des comportements à risque, en allant à leur rencontre. Philosophie Notre action est basée sur une approche humaniste, l écoute active et le respect du rythme personnel. Par l adoption de l approche de la réduction des méfaits associée aux comportements à risque, notre objectif est de donner aux personnes en difficulté, à leur rythme, la chance de reprendre le pouvoir sur leur vie, de se réconcilier avec eux-mêmes et avec la société, tout en minimisant les impacts sur leur santé. Objectifs Prévenir les infections transmises sexuellement et par le sang (ITSS) auprès des populations à risque. Intervenir dans l environnement des personnes ciblées. Promouvoir leur santé globale. Développer une collaboration avec différentes instances du réseau de la santé, des services sociaux et communautaires afin d orienter les personnes qui se sentent prêtes, dans leur démarche de prise en charge. Offrir un lieu de formation professionnelle pour les étudiants/stagiaires des institutions d enseignement collégial et universitaire. Moyens privilégiés La démarche de l Anonyme se caractérise par la priorité qu elle accorde à la qualité de l intervention. Notre organisme est reconnu tant pour son professionnalisme que pour l accueil particulièrement chaleureux et respectueux que les intervenantes réservent aux personnes fréquentant l organisme. L intervention à bord de l autobus : L Unité mobile est le principal service offert par l Anonyme. Quatre soirs et cinq nuits par semaine, l autobus sillonne les rues de Montréal dans le but d offrir ses services au plus grand nombre possible de personnes en difficulté. Une équipe professionnelle d intervenants sociaux, infirmières et sexologues est mise à leur disposition. Les activités de prévention et d éducation : ces projets permettent de rejoindre des jeunes dans différents milieux (scolaires et communautaires) par le biais d ateliers. Ils visent aussi la formation d intervenants de notre organisme et d organismes partenaires. 3
5 Partie 2 R apport du Conseil d administration Rôle du conseil d administration Le conseil d administration a pour principaux devoirs de surveiller la gestion de l organisme, de protéger ses actifs, d assurer sa viabilité et son développement. Le conseil confie à la direction la gestion des activités de l organisme. Composition du conseil d administration Julie Lebel...Présidente Christine Fortin...Secrétaire Michel Berthiaume...Trésorier Daniel Boucher...Administrateur Emmanuelle Côté...Administratrice Wilner Laurent...Administrateur Kim Lefebvre-Poirier...Personne désignée Le conseil d administration s est réuni à huit reprises durant l année. 20 juin (CA spécial) 20 décembre 25 août 20 février 11 octobre 20 mars 22 novembre 15 mai Réalisations Changement de firme comptable Participation au règlement du dossier de la génératrice de l autobus Appui pour l adoption d un manuel de l employé, accompagné d un aspect visant la sécurité des employés Mise en place d un nouveau site internet Participation à la Nuit des sans-abri Implication dans les discussions entourant le dossier politique des services d injection supervisée Support dans la mise en place d une première activité de financement Appui à la COCQ-SIDA et au CAPAHC 4 C est avec grand intérêt, motivation et implication que le conseil d administration a soutenu, du début à la fin, l ensemble des projets menés par l équipe de l Anonyme tout au long de l année
6 Partie 3 L intervention à bord de l autobus et les quartiers visités Intervention à bord de l autobus L Anonyme a pour mission de faire la prévention de la transmission du VIH/sida et des infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS) auprès des jeunes en difficulté et des personnes ayant des comportements à risque. Afin d atteindre cet objectif, l autobus est le principal outil de travail de l Anonyme. Spécifiquement, l autobus se déplace directement dans les milieux à risque de la clientèle visée. Les intervenants y font la distribution et l échange de matériel de prévention. Cette action permet de prévenir la transmission du VIH/sida et des ITSS, mais aussi d initier le contact avec les usagers afin de créer un lien de confiance et de les informer, de les sensibiliser et de répondre à leurs questions en ce qui concerne les techniques de consommation et les pratiques sexuelles sécuritaires. Par la suite, les intervenants peuvent référer ou orienter les gens vers des ressources outillées pour répondre à leurs besoins. C est dans cette optique qu un bon partenariat avec les autres ressources est essentiel. L autobus circule dans douze quartiers différents, en suivant deux horaires distincts, ce qui permet d accueillir différentes clientèles avec des besoins variés. L horaire de soir se veut un moment pour accueillir les adolescents et les jeunes adultes dans les quartiers périphériques comme Saint-Michel, Pointe-Saint-Charles, Petite-Bourgogne, Côte-des-Neiges, Notre-Dame-de-Grâce, Saint-Pierre, Lachine et Mercier. L autobus va dans chacun de ces quartiers une fois par semaine. C est davantage pendant l horaire de nuit que l autobus est présent dans les quartiers centraux tels que le Centre-ville, le Centre-sud, le Village et Hochelaga-Maisonneuve. Comme l autobus circule dans douze quartiers, il est important de travailler en complémentarité avec les autres ressources afin de ne pas dédoubler le travail qui est déjà fait. Quartiers centraux (Centre-Ville, Centre-Sud, Village, Hochelaga-Maisonneuve) : l Anonyme sillonne ces quartiers principalement la nuit. Les gens rencontrés vivent souvent de multiples problématiques telles que la toxicomanie, l itinérance, la surjudiciarisation, la violence, mais aussi des problèmes de santé physique et mentale. Les interventions réalisées auprès de ces personnes sont de nature éducative et préventive en lien avec la consommation sécuritaire de drogues, les relations sexuelles à risque et la satisfaction des besoins de base. Plusieurs facteurs, dont la répression policière, amènent les gens rencontrés à être en constante mouvance. Nous devons donc nous adapter afin de continuer à rejoindre la population visée. Étant donné la grande précarité des personnes rencontrées, il est important de bien connaître les ressources du milieu pour répondre à leurs nombreux besoins. L arrimage entre les services de l Anonyme et ceux des ressources du milieu devient alors très important. Quartiers périphériques (Saint-Michel, Côte-des-Neiges, Notre-Dame de Grâce, Petite-Bourgogne, Pointe-St-Charles) : Nous rencontrons dans ces quartiers une population issue de différentes communautés culturelles. L Anonyme s y déplace le soir, près des écoles secondaires, des parcs, des stations de métro et des autres lieux fréquentés par les jeunes de 14 à 25 ans afin d y faire de la prévention au niveau des ITSS et du VIH/sida. Nous pouvons aussi compter sur la présence d une infirmière dans les quartiers Saint-Michel, Notre-Dame de Grâce et Côte-des-Neiges pour y promouvoir et parfois même effectuer sur place, les dépistages, la vaccination et pour y faire des consultations médicales. Des problèmes familiaux, le décrochage scolaire, les gangs de rue et la criminalité sont des problématiques souvent abordées. Le profilage racial, la sexualité, les ITSS, la contraception, la grossesse, les relations amoureuses et les pratiques sexuelles à risque sont au cœur des interventions réalisées auprès des jeunes qui viennent à bord de l autobus. Dans ces quartiers, nous rencontrons aussi des travailleurs et travailleuses du sexe ainsi que des utilisateurs de drogues injectables et inhalables qui sont encore plus vulnérables étant donné l éloignement des ressources appropriées. 5
7 Partie 4 L es résultats À la lecture du tableau 1, nous pouvons noter une hausse globale des contacts. Nous avons rencontré personnes en , comparativement à personnes en , ce qui signifie une hausse de 14,5%. Nous avons apporté un supplément en en ajoutant 2 nouveaux quartiers à notre itinéraire, Lachine et Saint-Pierre, où nous avons concrétisé 206 nouveaux contacts. Nous constatons également une légère diminution de la fréquentation dans certains quartiers justifiable de façon suivante : L arrêt de service sur le grand plateau dû à un nombre insuffisant de contacts. Nous avons préféré concentrer nos efforts dans des quartiers où nos services étaient sollicités. Il est à noter que nous pouvons toutefois nous y rendre sur appel. La légère diminution de contacts dans Hochelaga-Maisonneuve le soir (989 contacts en versus en ), est supplantée par l augmentation des présences la nuit (4 493 en versus en ). Nous avons ajusté le nombre d arrêts à Pointe-Saint-Charles, concentrant 3 arrêts en un seul, afin d explorer 2 nouveaux quartiers : Lachine et Saint-Pierre. Nous remarquons une hausse de 10% des contacts avec distribution de matériel imputable à notre désir de resserrer nos efforts autour de notre mandat de prévention du VIH/sida et des ITSS. Cette hausse nous indique que nous sommes au bon endroit au bon moment, car suite à nos observations et à celles de nos partenaires sur le terrain, nous nous trouvons là où les gens ont besoin de nos services. Nous avons aussi instauré un service téléphonique sans frais, permettant aux usagers de nous appeler s ils ont besoin de matériel. Tableau 1 Répartition des contacts selon les quartiers et proportion des contacts avec distribution de matériel, comparaison et Contacts % Contacts % Centre-Sud / Hochelaga-Maisonneuve (Le soir) % % Centre-Sud / Hochelaga-Maisonneuve (La nuit) % % Côte-des-Neiges 541 6% 533 7% Grand-Plateau 0 0% 55 1% Lachine / Saint-Pierre 206 2% 0 0% Notre-Dame de Grâce 487 5% 401 5% Petite-Bourgogne 177 2% 78 1% Pointe Saint-Charles 311 3% 463 6% Saint-Michel % % TOTAL % % Total des contacts avec distribution de matériel % % 6 Note : Ajout de deux arrêts à Lachine et à Saint-Pierre en juillet 2011
8 Partie 4 L es résultats (suite) À la lecture du tableau 2, nous pouvons noter que nous accomplissons une majorité des contacts avec les 30 ans et moins dans les quartiers Petite-Bourgogne (97%), Lachine et Saint-Pierre (93%), Saint-Michel (84%), Pointe-Saint-Charles (63%), Côte-des-Neiges (61%), et Notre-Dame-de-Grace (58%). Nous visitons ces quartiers le soir. Nous nous stationnons près des écoles, parcs, et autres lieux fréquentés par les jeunes afin de faire de la prévention et de l éducation en lien avec les ITSS auprès d une population des plus vulnérables. En général, ces jeunes ont moins accès à de l information sur la sexualité et la toxicomanie ce qui rend notre présence d autant plus indispensable. On note que dans les quartiers Centre-sud et Hochelaga- Maisonneuve, 66% des personnes rencontrées le soir et 54% la nuit ont plus de 30 ans. On constate que les gens, d une tranche d âge plus élevée dans ces quartiers, démontrent souvent des comportements sexuels et de consommation de drogues extrêmement à risque et que nos interventions sont adaptées en conséquence. C est pourquoi, nous procédons à plusieurs arrêts par semaines dans ces quartiers afin de répondre aux besoins criants de cette clientèle. Il faut souligner que la proportion de jeunes rencontrés dans ces quartiers est non négligeable (46% la nuit, et 34% le soir). En complément, le tableau 2a indique la répartition totale des contacts selon l âge, tous quartiers confondus, soit 57% pour les 30 ans et moins et 43% pour les plus de 30 ans. Bien que nous conservions un aspect jeunesse à notre mission, notre mandat principal est la prévention du VIH/sida et des ITSS auprès de toute personne ayant des comportements à risque, ce qui nous amène à intervenir également auprès d une population plus âgée. Tableau 2 Répartition des contacts selon l'âge et le quartier en Contacts Contacts 30 ans et moins 30 ans et plus et son rapport et son rapport au total des contacts au total des contacts du quartier du quartier Contacts % Contacts % Centre-Sud / Hochelaga-Maisonneuve (Le soir) % % Centre-Sud / Hochelaga-Maisonneuve (La nuit) % % Côte-des-Neiges % % Lachine / Saint-Pierre % 14 7% Notre-Dame de Grâce % % Petite-Bourgogne % 6 3% Pointe Saint-Charles % % Saint-Michel % % TOTAL % % Note : Ajout de deux arrêts à Lachine et à Saint-Pierre en juillet Le tableau 2b illustre la proportion de contacts concrétisés selon les sexes. Bien que nous rencontrions une clientèle majoritairement masculine (71%), nous entrons en contact avec un nombre non négligeable de femmes (28%). De plus, il est important de mentionner que nous croisons 1% de personnes transsexuelles et par conséquent nous consacrons 2 arrêts par semaine afin de répondre aux besoins de cette population très à risque. Tableau 2A Répartition des contacts selon l'âge en Plus de 30 ans 43 % 30 ans et moins 57 % Tableau 2B Répartition des contacts selon le sexe en Transsexuelles - 1 % Hommes 57 % Femme 28 %
9 Partie 4 L es résultats (suite) Le tableau 3 illustre les interventions faites à bord de l autobus selon les problématiques et les niveaux d intervention. On peut remarquer : Une forte augmentation des interventions (16,7%) particulièrement celles en lien avec la relation d aide et le référencement. On peut expliquer cela par le travail de réseautage qui est effectué afin de donner des références adéquates et d éviter le dédoublement des services. De plus, la stabilité de l équipe fait en sorte que des liens de confiance significatifs entre les personnes fréquentant la ressource et les intervenants se forment, poussant davantage les gens à venir se confier. De nouveaux niveaux d intervention en lien avec le dépannage, les déplacements effectués, les premiers soins, les projets de prévention et la récupération du matériel usagé sont maintenant recensés dans un souci de toujours parfaire nos services. Les principales problématiques rencontrées sont les ITSS, la toxicomanie, la sexualité et les besoins de base. Cela démontre que nous rencontrons notre mandat lors des interventions que nous effectuons. Tableau 3 Comparatif des interventions réalisées 2009 à 2012 Accompagnement Dépannage Déplacement Information / prévention Orientation Aspects légaux - Droits Besoins de base Idées suicidaires ITSS Relations amoureuses Réseau social Revenus et études Santé physique Santé psychologique et émotive Sexualité Situations de crise Toxicomanie Va bien Violence Premiers soins Projets prévention Récupération Référence Relation d aide Suivi TOTAL *** Voir annexe 1 pour précisions
10 Partie 4 L es résultats (suite) Dans le tableau 4, on remarque une augmentation importante de la distribution de matériel de prévention qui s explique par : L instauration d un numéro sans frais permettant aux usagers de nous contacter au besoin et à notre capacité de nous déplacer de façon rapide afin de distribuer du matériel de prévention. L ajout d arrêts dans de nouveaux quartiers et près de nouveaux lieux de consommation, ce qui permet de rejoindre une population ayant besoin de matériel d injection et d inhalation et d en faire la distribution. Tableau 4 Comparatif du nombre de seringues distribuées et récupérées, taux de récupération des seringues, tubes en pyrex et condoms distribués 2009 à Seringues récupérées Seringues distribuées Taux de récupération 73% 81% 56% On remarque que notre taux de récupération est de 73%, ce qui constitue une légère baisse de 8% par rapport à l année Aucune limite n est imposée aux usagers quant à la distribution Tubes en pyrex distribués Condoms distribués de matériel; ils sont toutefois fortement encouragés à rapporter leurs seringues souillées afin de les récupérer, soit à bord de l autobus, soit dans d autres ressources. On peut expliquer cette petite différence par le fait qu environ seringues supplémentaires ont été distribuées par rapport à l an dernier. Il importe de mentionner que la distribution de matériel permet très souvent d effectuer des interventions plus poussées en lien avec la prévention des ITSS et la promotion du dépistage. 9
11 A ttache ta tuque! Fais un homme de toi! Pour la troisième année consécutive, le projet «Attache ta tuque! Fais un homme de toi!», issu de la vague de projets de prévention du VIH/sida et des ITSS, a été, encore une fois, bien remplie. Rappelons qu à ses débuts, le projet visait à promouvoir les comportements sexuels sécuritaires chez les jeunes hommes et les jeunes pères de 14 à 30 ans du quartier Saint-Michel. Cette année, des fonds non-récurrents ont permis de créer un poste à temps partiel afin d implanter des ateliers dans d autres quartiers de l île de Montréal à des jeunes hommes et des jeunes femmes ayant des comportements à risque. Le projet avait aussi comme objectif d outiller les intervenants pour leur permettre d aborder le sujet du VIH/sida et des ITSS, dans l optique d interventions efficaces orientées vers la santé sexuelle. Les partenaires du Comité consultatif Huit organismes partenaires ont, cette année encore, contribué aux différents volets du projet : rencontre du comité consultatif, planification des ateliers, participation à la formation donnée aux intervenants, distribution de l outil ainsi que l évaluation finale du projet. Le CSSS Saint-Michel-Saint-Léonard, GAP-VIES, la Maison d Haïti, la Maison des jeunes par la Grand Porte, la Maison de la famille de Saint-Michel, PACT de rue, les écoles secondaires Louis- Joseph-Papineau et Joseph-François-Perrault sont tous des partenaires essentiels pour le projet. Des outils d intervention novateurs Fort de son succès, le boxer arborant un slogan préventif conçu par des jeunes hommes du quartier Saint-Michel a été, encore une fois, utilisé comme outil d intervention et de prévention du VIH/sida et des ITSS. Ce boxer est accompagné d une carte-ressources ainsi que d un condom. Le projet «Attache ta tuque! Fais un homme de toi!» en chiffres 8 ateliers d éducation et de sensibilisation offerts dans les locaux de divers organismes, abordant les thèmes suivants : atelier d introduction, masculinité et stéréotypes, impacts de la pornographie, ITSS, négociation du condom, relations amoureuses saines, grossesse et paternité, contraception. 782 contacts établis lors de ces ateliers, dont 335 jeunes participants distincts. 80 ateliers offerts dans 25 organismes communautaires ou écoles secondaires. L implantation des ateliers dans 7 nouveaux quartiers (Centre-Sud, Lachine, Petite-Bourgogne, Hochelaga-Maisonneuve, Ahuntsic, Rosemont et Villeray). 3 formations adaptées aux réalités des milieux d intervention offertes aux organismes et institutions partenaires du projet réunissant 15 intervenants. 10
12 BASTA! Pour la troisième et dernière année, le projet Basta! s est vu faire la prévention de l un des enjeux majeurs de notre société montréalaise actuelle : le recrutement des jeunes filles aux fins d exploitation sexuelle en contexte de gangs de rue. Il a permis à des jeunes filles de 14 à 20 ans d acquérir de meilleures connaissances sur divers thèmes liés à la sexualité dans le but de se protéger des différentes formes d exploitation sexuelle. Elles ont été amenées à développer leur sens critique et leurs habiletés d affirmation de soi par le biais d ateliers éducatifs. Après chaque atelier, les jeunes filles sont reparties mieux outillées et en meilleure position pour prendre des décisions éclairées sur leur vie relationnelle, amoureuse et sexuelle. Le projet Basta! poursuit sa mission d offrir une formation aux intervenants jeunesses afin de prévenir ce type d exploitation par le biais d un plan de formation adapté à leurs besoins. Afin d ouvrir la discussion sur le recrutement, plusieurs exemplaires de notre outil d intervention leur est remis. Cet outil original, un t-shirt mauve, affiche un des deux slogans créés par les jeunes filles : «L amour n est pas à vendre. Mon corps non plus!» ou «T as le choix! Affirme-toi!». Une carte ressource adaptée aux services de Saint-Michel ainsi qu un condom (avec instructions) accompagnent chaque t-shirt. Un partenaire à la grandeur de l Île... Pour la dernière année du projet Basta!, nous avons considérablement augmenté le nombre de quartiers desservis dans le cadre des ateliers. L augmentation importante de nouveaux partenaires nous a démontré l intérêt porté envers les différentes activités du projet. Effectivement, 24 milieux ont bénéficié de nos ateliers au cours de l année , soit 18 de plus que l an dernier. Tout au long des trois années du projet, un comité consultatif constitué de partenaires du projet a assuré la mise en commun des connaissances et de la réalité terrain du quartier Saint-Michel, favorisant une perspective d approche globale et intégrée. Le projet BASTA! en chiffres Huit ateliers d éducation et de sensibilisation, offerts en continuum ou à la carte, traitant de l exploitation sexuelle sous plusieurs thématiques : Introduction à la sexualité, Grossesse à l adolescence, Contraception, ITSS, Dépendance affective et sexuelle, Estime de soi, Hypersexualisation et Exploitation sexuelle en contexte de gangs de rue. 496 contacts établis lors de ces ateliers, dont 214 jeunes filles participantes distinctes. 84 ateliers offerts dans 16 organismes communautaires et 8 écoles. Trois formations offertes aux organismes et institutions partenaires du projet, réunissant 15 intervenants. 11
13 Radio Anonyme, la rue en direct! Depuis la création de Radio Anonyme, ce projet évolue en développant des échanges avec plusieurs organismes et en rejoignant des jeunes de 14 à 30 ans de toutes origines. Nos mentors Le concept de mentors a été reconduit avec deux jeunes qui sont présents chaque mercredi à l émission. Rappelons que les mentors sont des jeunes qui ont participé au projet l année précédente et qui désirent accompagner les nouveaux. CIBL RADIO ANONYME EN CHIFFRES 36 émissions produites. 10 jeunes impliqués dans le comité de production (noyau dur). 92 jeunes rejoints par les ateliers. 65 ateliers offerts. L année a été marquée par le déménagement de la station CIBL en plein centre-ville au 2, rue Ste Catherine Est. Cela permet à la station d offrir à ses membres un cadre exceptionnel et une reconnaissance médiatique. Des partenaires consolidés dans les quartiers périphériques Des ateliers ont été offerts dans plusieurs quartiers plus éloignés du centre-ville : À Saint-Michel, Radio Anonyme a offert des ateliers au Centre Éducatif et Communautaire René-Goupil (CECRG) et à l Escale à Montréal-Nord. On peut aussi souligner notre présence dans les organismes suivants : Maison Passages, Opération Placement Jeunesse et Foyer des Jeunes Travailleurs et Travailleuses de Montréal. Thèmes abordés Cette année, nous avons souhaité donner une ligne éditoriale plus claire à l émission Radio Anonyme. Les thèmes centraux ont été le social, les évènements citoyens et politique, l art et la culture. Réalisations spéciales Festivals d été : jazz, juste pour rire, etc. (juillet-août 2011). Couverture de la Nuit des sans-abri (15 octobre 2011). Table ronde avec les gagnants du festival «Ton Quartier, Ton Art» (mai 2012). Émission spéciale pour souligner la Journée mondial du SIDA (1er décembre 2011). Pour : Projet à l international 12 Nous avons créé un partenariat en Belgique avec Radio-Panik et l émission : Les Boromites, une émission comparable à la nôtre avec des jeunes. Durant leur venue à Montréal, les Boromites ont pu travailler en collaboration avec Radio Anonyme et échanger sur leur culture. Radio Anonyme partira en juillet 2012 en Belgique.
14 T oxicologik Toxicologik Pour une deuxième année consécutive, nous avons poursuivi le projet Toxicologik. Ce projet a pour objectif de sensibiliser et de favoriser un comportement responsable des jeunes face à la consommation de drogues. Il est, pour l Anonyme, primordial de faire de la prévention en amont, en faisant prendre conscience aux jeunes de l ensemble des facettes de cette problématique. Les ateliers Toxicologik ont vu le jour sous deux formes. Tout d abord, sous la forme de table ronde et de discussion de groupe d une durée d environ deux heures. Ensuite, nous avons adapté cette version pour en faire une formule accessible et plus interactive d une durée de 75 minutes. Objectifs spécifiques au projet : 1. Aider les jeunes à reconnaître et comprendre les drogues. 2. Aider le jeune à situer sa consommation ou la consommation d un(e) ami(e). 3. Responsabiliser le jeune tout en lui donnant les outils pour réaliser un changement. Les partenaires : En plus de l école secondaire Saint-Luc dans le quartier Notre-Dame-de-Grâce, nous avons eu la joie de développer plusieurs nouveaux partenariats. En effet, nous avons eu l opportunité de donner des ateliers auprès de jeunes fréquentant les organismes suivant : la Maison d Haïti, le carrefour jeunesse-emploi de Côte-des-neiges, le CECRG, Ali et les princes de la rue, la maison des jeunes Le Relais et la maison des jeunes de la 42ème avenue. Les résultats : En , un total de 14 ateliers ont été effectués nous donnant l occasion de rencontrer 202 personnes. Nous avons aussi tenu des kiosques lors de deux évènements. Pour l avenir : À moyen terme, nous avons comme projet de développer d autres ateliers ayant comme sujet différentes dépendances. Des sujets tels que les troubles alimentaires, les dépendances affectives et les dépendances aux jeux sont des réalités que nous désirons aborder avec les jeunes afin de les informer, de les sensibiliser et de favoriser des comportements responsables. Cependant, dû à l absence de financement, le projet est actuellement en suspend. Nous poursuivons cependant nos efforts en ce sens. 13
15 Partie 5 S ervices de soutien, partenaires, implications communautaires et concertations Médecins du monde : Deux soirs par mois, l Anonyme peut compter sur la présence d une infirmière à bord de l autobus. Les dépistages, la vaccination, les soins de plaie et les consultations générales sont des services que l infirmière de Médecins du Monde peut offrir à notre clientèle. D autre part, chaque mois, le psychologue de Médecins du Monde rencontre les membres de l équipe d intervention pour leur offrir de la supervision clinique. Un service de soutien psychologique individuel est également disponible pour les employés. Groupe d Intervention Alternative par les Pairs (GIAP) : La mission du GIAP est la prévention de la transmission du VIH/sida, du VHC et autres ITSS en utilisant l approche de la réduction des méfaits reliés à la consommation de drogues par injection et au mode de vie de la rue, auprès des jeunes âgés de 14 à 30 ans fréquentant le centre-ville de Montréal. La force du GIAP réside dans l intervention spécifique des Pairs-Aidants et leur ancrage dans le milieu grâce à la présence des six partenaires (l Anonyme, Cactus, PACT de rue, Plein Milieu, la Clinique des jeunes CSSS et Dans la rue). Ainsi, chaque pair met à profit son savoir expérientiel auprès des gens qu il rejoint grâce à son implication au sein de l organisme auquel il est jumelé. La spécificité du travail des Pairs-Aidants est directement reliée à leur proximité et à leur connaissance du monde de la rue qu ils ont eux-mêmes vécu. Le GIAP permet non seulement de travailler auprès des personnes vulnérables, mais également de mettre en commun des connaissances et par conséquent, d offrir aux partenaires un modèle d intervention alternatif, soit un entre-deux entre l intervenant et l individu. À raison d environ 21 heures par semaine, le pair-aidant est présent à bord de l autobus, effectuant de l échange de matériel de prévention, offrant référence, écoute active, informations et orientation, selon le besoin. Sa présence accroît l efficacité de l équipe d intervention de l Anonyme et enrichit son approche. Centre de Santé et de Services Sociaux de Saint-Léonard et Saint-Michel (CSSS) : Depuis octobre 2009, une infirmière du CLSC de Saint-Michel est à bord de l autobus deux soirs par mois dans le quartier. Elle offre non seulement des services de référence et de consultation générale afin de créer des liens de confiance avec les usagers, mais aussi la possibilité d avoir accès à des dépistages à bord de l autobus. Cette infirmière a également mis en place une clinique de prévention des ITSS ainsi que des services de proximité afin d améliorer le service de dépistage offert dans le quartier Saint-Michel. Centre de Santé et de Services Sociaux de Dorval-Lachine-LaSalle (CSSS) : Depuis juillet 2011, une infirmière du CLSC LaSalle est à bord de l autobus un soir par mois dans les quartiers Lachine et Saint-Pierre. Elle offre actuellement des services de référence et de consultation générale afin de créer des liens de confiance avec les usagers et de les rediriger vers le système de santé. 14
16 Partie 5 S ervices de soutien, partenaires, implications communautaires et concertations Cactus Montréal École Joseph- François-Perrault Rap-Jeunesse CECRG École Louis-Joseph-Papineau RAPSIM CIBL École Saint-Luc Relais des jeunes familles CSSS Jeanne-Mance GAP-VIES Rézo CSSS Dorval-Lachine-LaSalle GIAP Spectre de rue CSSS Saint-Michel-Saint-Léonard Maison d Haïti Stella Dans la rue Maison des jeunes Par la Grand Porte Le TRAC Dîners-St-Louis Médecins du Monde UPSJ (CSSS Jeanne-Mance) Direction de la santé publique de Montréal Plein Milieu Dopamine PACT de rue ervices de soutien, partenaires, implications communautaires S et concertations Activité de sensibilisation dans le cadre de la Journée internationale de lutte au Sida Blitz de récupération de seringues à la traîne Festi Pointe Festival d expression de la rue Fête de la famille du Parc Ovila-Légaré à St-Michel La Nuit des sans-abri 15
17 Partie 5 S ervices de soutien, partenaires, implications communautaires et concertations ASME (Action Saint-Michel est) CA du RAPSIM CAJMO (Table de concertation Mercier-Ouest) Comité de coordination de la nuit des sans-abri Comité itinérance Centre-ville Comité des partenaires du GIAP Comité Prostitution St-Michel DSP (comité SIS) DSP (fonds non-récurrents) DSP (livraison) DSP (table matériel de protection) DSP (table des directeurs) GAJ Saint-Michel Opération droit devant Rencontre des superviseurs des pairs-aidants Table Jeunesse Hochelaga-Maisonneuve Table et comité de sécurité urbaine de l arrondissement Hochelaga-Maisonneuve Table de concertation Mercier-est Table des organismes montréalais sida (TOMS) Table UDI 16
18 Partie 6 P artenaires financiers GOUVERNEMENT FÉDÉRAL Ressources humaines et Développement des compétences Canada / Stratégie de partenariat de lutte contre l itinérance (SPLI). Agence de Santé publique du Canada Région du Québec / Programme d action communautaire sur le Sida (PACS). Ressources humaines et Développement des compétences Canada / Placement Carrière été GOUVERNEMENT PROVINCIAL Agence de la santé et des services sociaux de Montréal / Programme de soutien aux organismes communautaires (PSOC). Agence de la santé et des services sociaux de Montréal / Programme de prévention du VIH/SIDA, des ITSS et des hépatites. Ministère de la sécurité publique / Programme de financement en prévention du recrutement des jeunes aux fins d exploitation sexuelle dans un contexte de gangs de rue CSSS de Saint-Michel Saint-Léonard / Programme en prévention de l alcoolisme et des toxicomanies et en promotion de la santé PROGRAMME DE SOUTIEN À L ACTION BÉNÉVOLE Marguerite Blais, députée de Saint-Henri-Sainte-Anne Geoffrey Kelley, député de Jacques-Cartier Amir Khadir, député de Mercier Martin Lemay, député de Sainte-Marie-Saint-Jacques Carole Poirier, députée d Hochelaga-Maisonneuve Stéphanie Vallée, députée de Gatineau GOUVERNEMENT MUNICIPAL Ville de Montréal / Programme de service d aide aux itinérants. Ville de Montréal / Programme de soutien aux initiatives communautaires liées à la diversité ethnoculturelle FONDATIONS L Œuvre Léger La Fondation Inter Echo La Fondation J.A. de Sève La Fondation René Malo La Fondation de la corporation des concessionnaires d automobiles de Montréal ENTREPRISES Power Corporation FLEXGROUP Le Cirque du Soleil Google 17 CONGRÉGATIONS Congrégation de Notre-Dame du Québec Les Sœurs de Saint-François d Assise Les Sœurs de Sainte-Anne du Québec Et merci à tous nos donateurs privés!
19 Partie 7 É quipes et formations Équipe de travail au 31 mars 2012 Directrice :...Sylvie Boivin Directeur adjoint :...Julien Montreuil Adjointe administrative :...Christine Pruvost Intervenants psychosociaux :...Frédérique Audy Jessica Baribeau Alice Braud Geneviève Button Sabrina Gasper-Barbant Kim Lefebvre-Poirier Anne Verret Les intervenants ont tous une formation professionnelle (universitaire ou collégiale) dans un domaine approprié : travail social, éducation spécialisée, psychologie, sexologie, toxicomanie et criminologie. Stagiaires :...Sarah Basubi Bi Rhali : stage en techniques d éducation spécialisée du Collège LaSalle Josée Duquet : stage au baccalauréat en sexologie de l UQAM Paire-aidante :...Allyce Arsenault Liste de rappel :...Fanny Dergan Lila Dussault Sylvain Pianese Samira Thibault-Bacha 18 Départs au cours de l année :...Jonathan Chhun Marjolaine Dionne Jean-Philippe Émond Valérie Legault Célia Moréno Natacha Sutcliffe
20 Partie 7 É quipes et formations Formations liées à l intervention Anxiété et consommation chez les jeunes : mieux comprendre pour mieux agir. Colloque de Point de repère sur l approche par les pairs. Colloque du PIAMP sur la prostitution juvénile. Dépression, activités suicidaires et consommation. Formation sur la transsexualité donnée par ASTT(e)Q. Intervention en prévention du phénomène des gangs de rue. Meilleures pratiques concernant l injection. Meilleures pratiques en intervention en toxicomanie auprès des jeunes. Parentalité et dépendence. Premiers soins et RCR. Prévention de la rechute en dépendance. Réduction des méfaits phase 2. Résolution de problèmes dans un contexte de réduction des méfaits. Santé mentale et toxicomanie chez les jeunes. Sexualité et dépendance. Autres formations Formation PowerPoint RCR 19
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