ot de la direction Sylvie Boivin Julien Montreuil

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "ot de la direction Sylvie Boivin Julien Montreuil"

Transcription

1

2 Mot de la présidente C est avec grand plaisir que je jette un regard sur cette belle année qui vient de s écouler, sous le signe du défi. Je chaussais pour la toute première fois les grands souliers de la présidence au conseil d administration, après y avoir contribué pendant quelques années comme administratrice. Je me suis lancée avec joie dans ce nouveau mandat, qui renouvelle mon engagement de plusieurs années. Et c est avec fierté que je constate encore une fois combien l Anonyme sait s adapter et relever les défis. De prime abord, je trouve important de réitérer mon appréciation à l équipe qui par son professionnalisme, son implication sans borne ainsi que par le respect accordé, les uns aux autres, font de l Anonyme ce qu elle est. Un nouveau climat de travail, tant par les locaux inspirants, le nouvel autobus et l essor que prend la direction double, semble donner des ailes aux esprits créatifs. On ressent clairement que chacun a participé à renouveler son engagement envers les personnes en difficulté à Montréal. L Anonyme s ouvre aussi sur le monde, entre autres par le biais de notre projet Radio qui chemine fabuleusement, et par l évolution de nos projets phares en prévention et en sexologie. Je tiens à remercier de tout cœur nos partenaires, les gens et les organisations qui contribuent directement, sur le plan financier, au succès de nos activités. Ils nous ont fait confiance, nous ont suivi dans nos propositions, et ont été séduits en retour par notre manière de faire. Je tiens à dire merci aux membres du conseil d administration qui compte plusieurs nouveaux joueurs. Ces derniers ont pris à cœur leur implication au sein de l Anonyme et font évoluer l organisme, à leur manière. Je tiens à dire un merci spécial à Michel Turgeon, pour toutes les années qu il a consacré à s impliquer auprès du conseil à titre de président, et merci aussi à Éric Côté, pour son implication comme administrateur. J ai beaucoup appris en vous côtoyant. Merci aussi à ceux et celles qui ont fait la différence au sein de l Anonyme et qui sont ailleurs aujourd hui. Merci d avoir contribué à l envol de nos projets. Merci de tout cœur à l équipe (tant les bénévoles du conseil d administration que la direction et toute l équipe des intervenants et de l administration), vous êtes responsables du fait qu il est si facile de s impliquer et de se reconnaitre dans cette organisation. Vous faîtes toute la différence pour plusieurs, dans les quartiers que nous desservons. 1

3 Mot de la direction Il y a deux ans maintenant, les membres de notre conseil d administration ont eu l audace de mettre en place une gestion dite bicéphale. Malgré les doutes quant au fonctionnement de cette façon de faire, aujourd hui, nous ne pouvons que leur dire merci! Pour que ce modèle hors du commun fonctionne, deux ingrédients essentiels devaient être mis en place : la confiance et la communication. Si la première année en fut une d adaptation, la deuxième dans ce type de gestion s est déroulée sous le signe de la maturation. En effet, la stabilité de l équipe a permis une plus grande maturité des interventions à bord de l autobus, les différents projets ont été présentés dans une centaine de milieux différents et l équipe de gestion a travaillé à développer des nouveaux partenariats tant financiers qu au niveau des services. Cette année, nous avons semé afin que l an prochain, nous puissions récolter. Dans la lignée des remerciements, merci à toute l équipe de travail qui permet à l Anonyme d augmenter constamment sa crédibilité et sa notoriété auprès des bailleurs de fonds, des partenaires terrains, mais surtout auprès des personnes qui, jour après jour, soir après soir, nuit après nuit, viennent à notre rencontre et nous font confiance. Nous entrevoyons donc l année avec une vision claire des défis à relever, mais surtout avec une motivation et un optimisme qui nous permettront, encore une fois, de nous dépasser. Sylvie Boivin Directrice Julien Montreuil Directeur adjoint 2

4 Partie 1 P résentation de l organisme Mission Fondée en 1989, l Unité d intervention mobile l Anonyme offre de l aide aux jeunes de 14 à 30 ans en difficulté ainsi qu à toutes personnes ayant des comportements à risque, en allant à leur rencontre. Philosophie Notre action est basée sur une approche humaniste, l écoute active et le respect du rythme personnel. Par l adoption de l approche de la réduction des méfaits associée aux comportements à risque, notre objectif est de donner aux personnes en difficulté, à leur rythme, la chance de reprendre le pouvoir sur leur vie, de se réconcilier avec eux-mêmes et avec la société, tout en minimisant les impacts sur leur santé. Objectifs Prévenir les infections transmises sexuellement et par le sang (ITSS) auprès des populations à risque. Intervenir dans l environnement des personnes ciblées. Promouvoir leur santé globale. Développer une collaboration avec différentes instances du réseau de la santé, des services sociaux et communautaires afin d orienter les personnes qui se sentent prêtes, dans leur démarche de prise en charge. Offrir un lieu de formation professionnelle pour les étudiants/stagiaires des institutions d enseignement collégial et universitaire. Moyens privilégiés La démarche de l Anonyme se caractérise par la priorité qu elle accorde à la qualité de l intervention. Notre organisme est reconnu tant pour son professionnalisme que pour l accueil particulièrement chaleureux et respectueux que les intervenantes réservent aux personnes fréquentant l organisme. L intervention à bord de l autobus : L Unité mobile est le principal service offert par l Anonyme. Quatre soirs et cinq nuits par semaine, l autobus sillonne les rues de Montréal dans le but d offrir ses services au plus grand nombre possible de personnes en difficulté. Une équipe professionnelle d intervenants sociaux, infirmières et sexologues est mise à leur disposition. Les activités de prévention et d éducation : ces projets permettent de rejoindre des jeunes dans différents milieux (scolaires et communautaires) par le biais d ateliers. Ils visent aussi la formation d intervenants de notre organisme et d organismes partenaires. 3

5 Partie 2 R apport du Conseil d administration Rôle du conseil d administration Le conseil d administration a pour principaux devoirs de surveiller la gestion de l organisme, de protéger ses actifs, d assurer sa viabilité et son développement. Le conseil confie à la direction la gestion des activités de l organisme. Composition du conseil d administration Julie Lebel...Présidente Christine Fortin...Secrétaire Michel Berthiaume...Trésorier Daniel Boucher...Administrateur Emmanuelle Côté...Administratrice Wilner Laurent...Administrateur Kim Lefebvre-Poirier...Personne désignée Le conseil d administration s est réuni à huit reprises durant l année. 20 juin (CA spécial) 20 décembre 25 août 20 février 11 octobre 20 mars 22 novembre 15 mai Réalisations Changement de firme comptable Participation au règlement du dossier de la génératrice de l autobus Appui pour l adoption d un manuel de l employé, accompagné d un aspect visant la sécurité des employés Mise en place d un nouveau site internet Participation à la Nuit des sans-abri Implication dans les discussions entourant le dossier politique des services d injection supervisée Support dans la mise en place d une première activité de financement Appui à la COCQ-SIDA et au CAPAHC 4 C est avec grand intérêt, motivation et implication que le conseil d administration a soutenu, du début à la fin, l ensemble des projets menés par l équipe de l Anonyme tout au long de l année

6 Partie 3 L intervention à bord de l autobus et les quartiers visités Intervention à bord de l autobus L Anonyme a pour mission de faire la prévention de la transmission du VIH/sida et des infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS) auprès des jeunes en difficulté et des personnes ayant des comportements à risque. Afin d atteindre cet objectif, l autobus est le principal outil de travail de l Anonyme. Spécifiquement, l autobus se déplace directement dans les milieux à risque de la clientèle visée. Les intervenants y font la distribution et l échange de matériel de prévention. Cette action permet de prévenir la transmission du VIH/sida et des ITSS, mais aussi d initier le contact avec les usagers afin de créer un lien de confiance et de les informer, de les sensibiliser et de répondre à leurs questions en ce qui concerne les techniques de consommation et les pratiques sexuelles sécuritaires. Par la suite, les intervenants peuvent référer ou orienter les gens vers des ressources outillées pour répondre à leurs besoins. C est dans cette optique qu un bon partenariat avec les autres ressources est essentiel. L autobus circule dans douze quartiers différents, en suivant deux horaires distincts, ce qui permet d accueillir différentes clientèles avec des besoins variés. L horaire de soir se veut un moment pour accueillir les adolescents et les jeunes adultes dans les quartiers périphériques comme Saint-Michel, Pointe-Saint-Charles, Petite-Bourgogne, Côte-des-Neiges, Notre-Dame-de-Grâce, Saint-Pierre, Lachine et Mercier. L autobus va dans chacun de ces quartiers une fois par semaine. C est davantage pendant l horaire de nuit que l autobus est présent dans les quartiers centraux tels que le Centre-ville, le Centre-sud, le Village et Hochelaga-Maisonneuve. Comme l autobus circule dans douze quartiers, il est important de travailler en complémentarité avec les autres ressources afin de ne pas dédoubler le travail qui est déjà fait. Quartiers centraux (Centre-Ville, Centre-Sud, Village, Hochelaga-Maisonneuve) : l Anonyme sillonne ces quartiers principalement la nuit. Les gens rencontrés vivent souvent de multiples problématiques telles que la toxicomanie, l itinérance, la surjudiciarisation, la violence, mais aussi des problèmes de santé physique et mentale. Les interventions réalisées auprès de ces personnes sont de nature éducative et préventive en lien avec la consommation sécuritaire de drogues, les relations sexuelles à risque et la satisfaction des besoins de base. Plusieurs facteurs, dont la répression policière, amènent les gens rencontrés à être en constante mouvance. Nous devons donc nous adapter afin de continuer à rejoindre la population visée. Étant donné la grande précarité des personnes rencontrées, il est important de bien connaître les ressources du milieu pour répondre à leurs nombreux besoins. L arrimage entre les services de l Anonyme et ceux des ressources du milieu devient alors très important. Quartiers périphériques (Saint-Michel, Côte-des-Neiges, Notre-Dame de Grâce, Petite-Bourgogne, Pointe-St-Charles) : Nous rencontrons dans ces quartiers une population issue de différentes communautés culturelles. L Anonyme s y déplace le soir, près des écoles secondaires, des parcs, des stations de métro et des autres lieux fréquentés par les jeunes de 14 à 25 ans afin d y faire de la prévention au niveau des ITSS et du VIH/sida. Nous pouvons aussi compter sur la présence d une infirmière dans les quartiers Saint-Michel, Notre-Dame de Grâce et Côte-des-Neiges pour y promouvoir et parfois même effectuer sur place, les dépistages, la vaccination et pour y faire des consultations médicales. Des problèmes familiaux, le décrochage scolaire, les gangs de rue et la criminalité sont des problématiques souvent abordées. Le profilage racial, la sexualité, les ITSS, la contraception, la grossesse, les relations amoureuses et les pratiques sexuelles à risque sont au cœur des interventions réalisées auprès des jeunes qui viennent à bord de l autobus. Dans ces quartiers, nous rencontrons aussi des travailleurs et travailleuses du sexe ainsi que des utilisateurs de drogues injectables et inhalables qui sont encore plus vulnérables étant donné l éloignement des ressources appropriées. 5

7 Partie 4 L es résultats À la lecture du tableau 1, nous pouvons noter une hausse globale des contacts. Nous avons rencontré personnes en , comparativement à personnes en , ce qui signifie une hausse de 14,5%. Nous avons apporté un supplément en en ajoutant 2 nouveaux quartiers à notre itinéraire, Lachine et Saint-Pierre, où nous avons concrétisé 206 nouveaux contacts. Nous constatons également une légère diminution de la fréquentation dans certains quartiers justifiable de façon suivante : L arrêt de service sur le grand plateau dû à un nombre insuffisant de contacts. Nous avons préféré concentrer nos efforts dans des quartiers où nos services étaient sollicités. Il est à noter que nous pouvons toutefois nous y rendre sur appel. La légère diminution de contacts dans Hochelaga-Maisonneuve le soir (989 contacts en versus en ), est supplantée par l augmentation des présences la nuit (4 493 en versus en ). Nous avons ajusté le nombre d arrêts à Pointe-Saint-Charles, concentrant 3 arrêts en un seul, afin d explorer 2 nouveaux quartiers : Lachine et Saint-Pierre. Nous remarquons une hausse de 10% des contacts avec distribution de matériel imputable à notre désir de resserrer nos efforts autour de notre mandat de prévention du VIH/sida et des ITSS. Cette hausse nous indique que nous sommes au bon endroit au bon moment, car suite à nos observations et à celles de nos partenaires sur le terrain, nous nous trouvons là où les gens ont besoin de nos services. Nous avons aussi instauré un service téléphonique sans frais, permettant aux usagers de nous appeler s ils ont besoin de matériel. Tableau 1 Répartition des contacts selon les quartiers et proportion des contacts avec distribution de matériel, comparaison et Contacts % Contacts % Centre-Sud / Hochelaga-Maisonneuve (Le soir) % % Centre-Sud / Hochelaga-Maisonneuve (La nuit) % % Côte-des-Neiges 541 6% 533 7% Grand-Plateau 0 0% 55 1% Lachine / Saint-Pierre 206 2% 0 0% Notre-Dame de Grâce 487 5% 401 5% Petite-Bourgogne 177 2% 78 1% Pointe Saint-Charles 311 3% 463 6% Saint-Michel % % TOTAL % % Total des contacts avec distribution de matériel % % 6 Note : Ajout de deux arrêts à Lachine et à Saint-Pierre en juillet 2011

8 Partie 4 L es résultats (suite) À la lecture du tableau 2, nous pouvons noter que nous accomplissons une majorité des contacts avec les 30 ans et moins dans les quartiers Petite-Bourgogne (97%), Lachine et Saint-Pierre (93%), Saint-Michel (84%), Pointe-Saint-Charles (63%), Côte-des-Neiges (61%), et Notre-Dame-de-Grace (58%). Nous visitons ces quartiers le soir. Nous nous stationnons près des écoles, parcs, et autres lieux fréquentés par les jeunes afin de faire de la prévention et de l éducation en lien avec les ITSS auprès d une population des plus vulnérables. En général, ces jeunes ont moins accès à de l information sur la sexualité et la toxicomanie ce qui rend notre présence d autant plus indispensable. On note que dans les quartiers Centre-sud et Hochelaga- Maisonneuve, 66% des personnes rencontrées le soir et 54% la nuit ont plus de 30 ans. On constate que les gens, d une tranche d âge plus élevée dans ces quartiers, démontrent souvent des comportements sexuels et de consommation de drogues extrêmement à risque et que nos interventions sont adaptées en conséquence. C est pourquoi, nous procédons à plusieurs arrêts par semaines dans ces quartiers afin de répondre aux besoins criants de cette clientèle. Il faut souligner que la proportion de jeunes rencontrés dans ces quartiers est non négligeable (46% la nuit, et 34% le soir). En complément, le tableau 2a indique la répartition totale des contacts selon l âge, tous quartiers confondus, soit 57% pour les 30 ans et moins et 43% pour les plus de 30 ans. Bien que nous conservions un aspect jeunesse à notre mission, notre mandat principal est la prévention du VIH/sida et des ITSS auprès de toute personne ayant des comportements à risque, ce qui nous amène à intervenir également auprès d une population plus âgée. Tableau 2 Répartition des contacts selon l'âge et le quartier en Contacts Contacts 30 ans et moins 30 ans et plus et son rapport et son rapport au total des contacts au total des contacts du quartier du quartier Contacts % Contacts % Centre-Sud / Hochelaga-Maisonneuve (Le soir) % % Centre-Sud / Hochelaga-Maisonneuve (La nuit) % % Côte-des-Neiges % % Lachine / Saint-Pierre % 14 7% Notre-Dame de Grâce % % Petite-Bourgogne % 6 3% Pointe Saint-Charles % % Saint-Michel % % TOTAL % % Note : Ajout de deux arrêts à Lachine et à Saint-Pierre en juillet Le tableau 2b illustre la proportion de contacts concrétisés selon les sexes. Bien que nous rencontrions une clientèle majoritairement masculine (71%), nous entrons en contact avec un nombre non négligeable de femmes (28%). De plus, il est important de mentionner que nous croisons 1% de personnes transsexuelles et par conséquent nous consacrons 2 arrêts par semaine afin de répondre aux besoins de cette population très à risque. Tableau 2A Répartition des contacts selon l'âge en Plus de 30 ans 43 % 30 ans et moins 57 % Tableau 2B Répartition des contacts selon le sexe en Transsexuelles - 1 % Hommes 57 % Femme 28 %

9 Partie 4 L es résultats (suite) Le tableau 3 illustre les interventions faites à bord de l autobus selon les problématiques et les niveaux d intervention. On peut remarquer : Une forte augmentation des interventions (16,7%) particulièrement celles en lien avec la relation d aide et le référencement. On peut expliquer cela par le travail de réseautage qui est effectué afin de donner des références adéquates et d éviter le dédoublement des services. De plus, la stabilité de l équipe fait en sorte que des liens de confiance significatifs entre les personnes fréquentant la ressource et les intervenants se forment, poussant davantage les gens à venir se confier. De nouveaux niveaux d intervention en lien avec le dépannage, les déplacements effectués, les premiers soins, les projets de prévention et la récupération du matériel usagé sont maintenant recensés dans un souci de toujours parfaire nos services. Les principales problématiques rencontrées sont les ITSS, la toxicomanie, la sexualité et les besoins de base. Cela démontre que nous rencontrons notre mandat lors des interventions que nous effectuons. Tableau 3 Comparatif des interventions réalisées 2009 à 2012 Accompagnement Dépannage Déplacement Information / prévention Orientation Aspects légaux - Droits Besoins de base Idées suicidaires ITSS Relations amoureuses Réseau social Revenus et études Santé physique Santé psychologique et émotive Sexualité Situations de crise Toxicomanie Va bien Violence Premiers soins Projets prévention Récupération Référence Relation d aide Suivi TOTAL *** Voir annexe 1 pour précisions

10 Partie 4 L es résultats (suite) Dans le tableau 4, on remarque une augmentation importante de la distribution de matériel de prévention qui s explique par : L instauration d un numéro sans frais permettant aux usagers de nous contacter au besoin et à notre capacité de nous déplacer de façon rapide afin de distribuer du matériel de prévention. L ajout d arrêts dans de nouveaux quartiers et près de nouveaux lieux de consommation, ce qui permet de rejoindre une population ayant besoin de matériel d injection et d inhalation et d en faire la distribution. Tableau 4 Comparatif du nombre de seringues distribuées et récupérées, taux de récupération des seringues, tubes en pyrex et condoms distribués 2009 à Seringues récupérées Seringues distribuées Taux de récupération 73% 81% 56% On remarque que notre taux de récupération est de 73%, ce qui constitue une légère baisse de 8% par rapport à l année Aucune limite n est imposée aux usagers quant à la distribution Tubes en pyrex distribués Condoms distribués de matériel; ils sont toutefois fortement encouragés à rapporter leurs seringues souillées afin de les récupérer, soit à bord de l autobus, soit dans d autres ressources. On peut expliquer cette petite différence par le fait qu environ seringues supplémentaires ont été distribuées par rapport à l an dernier. Il importe de mentionner que la distribution de matériel permet très souvent d effectuer des interventions plus poussées en lien avec la prévention des ITSS et la promotion du dépistage. 9

11 A ttache ta tuque! Fais un homme de toi! Pour la troisième année consécutive, le projet «Attache ta tuque! Fais un homme de toi!», issu de la vague de projets de prévention du VIH/sida et des ITSS, a été, encore une fois, bien remplie. Rappelons qu à ses débuts, le projet visait à promouvoir les comportements sexuels sécuritaires chez les jeunes hommes et les jeunes pères de 14 à 30 ans du quartier Saint-Michel. Cette année, des fonds non-récurrents ont permis de créer un poste à temps partiel afin d implanter des ateliers dans d autres quartiers de l île de Montréal à des jeunes hommes et des jeunes femmes ayant des comportements à risque. Le projet avait aussi comme objectif d outiller les intervenants pour leur permettre d aborder le sujet du VIH/sida et des ITSS, dans l optique d interventions efficaces orientées vers la santé sexuelle. Les partenaires du Comité consultatif Huit organismes partenaires ont, cette année encore, contribué aux différents volets du projet : rencontre du comité consultatif, planification des ateliers, participation à la formation donnée aux intervenants, distribution de l outil ainsi que l évaluation finale du projet. Le CSSS Saint-Michel-Saint-Léonard, GAP-VIES, la Maison d Haïti, la Maison des jeunes par la Grand Porte, la Maison de la famille de Saint-Michel, PACT de rue, les écoles secondaires Louis- Joseph-Papineau et Joseph-François-Perrault sont tous des partenaires essentiels pour le projet. Des outils d intervention novateurs Fort de son succès, le boxer arborant un slogan préventif conçu par des jeunes hommes du quartier Saint-Michel a été, encore une fois, utilisé comme outil d intervention et de prévention du VIH/sida et des ITSS. Ce boxer est accompagné d une carte-ressources ainsi que d un condom. Le projet «Attache ta tuque! Fais un homme de toi!» en chiffres 8 ateliers d éducation et de sensibilisation offerts dans les locaux de divers organismes, abordant les thèmes suivants : atelier d introduction, masculinité et stéréotypes, impacts de la pornographie, ITSS, négociation du condom, relations amoureuses saines, grossesse et paternité, contraception. 782 contacts établis lors de ces ateliers, dont 335 jeunes participants distincts. 80 ateliers offerts dans 25 organismes communautaires ou écoles secondaires. L implantation des ateliers dans 7 nouveaux quartiers (Centre-Sud, Lachine, Petite-Bourgogne, Hochelaga-Maisonneuve, Ahuntsic, Rosemont et Villeray). 3 formations adaptées aux réalités des milieux d intervention offertes aux organismes et institutions partenaires du projet réunissant 15 intervenants. 10

12 BASTA! Pour la troisième et dernière année, le projet Basta! s est vu faire la prévention de l un des enjeux majeurs de notre société montréalaise actuelle : le recrutement des jeunes filles aux fins d exploitation sexuelle en contexte de gangs de rue. Il a permis à des jeunes filles de 14 à 20 ans d acquérir de meilleures connaissances sur divers thèmes liés à la sexualité dans le but de se protéger des différentes formes d exploitation sexuelle. Elles ont été amenées à développer leur sens critique et leurs habiletés d affirmation de soi par le biais d ateliers éducatifs. Après chaque atelier, les jeunes filles sont reparties mieux outillées et en meilleure position pour prendre des décisions éclairées sur leur vie relationnelle, amoureuse et sexuelle. Le projet Basta! poursuit sa mission d offrir une formation aux intervenants jeunesses afin de prévenir ce type d exploitation par le biais d un plan de formation adapté à leurs besoins. Afin d ouvrir la discussion sur le recrutement, plusieurs exemplaires de notre outil d intervention leur est remis. Cet outil original, un t-shirt mauve, affiche un des deux slogans créés par les jeunes filles : «L amour n est pas à vendre. Mon corps non plus!» ou «T as le choix! Affirme-toi!». Une carte ressource adaptée aux services de Saint-Michel ainsi qu un condom (avec instructions) accompagnent chaque t-shirt. Un partenaire à la grandeur de l Île... Pour la dernière année du projet Basta!, nous avons considérablement augmenté le nombre de quartiers desservis dans le cadre des ateliers. L augmentation importante de nouveaux partenaires nous a démontré l intérêt porté envers les différentes activités du projet. Effectivement, 24 milieux ont bénéficié de nos ateliers au cours de l année , soit 18 de plus que l an dernier. Tout au long des trois années du projet, un comité consultatif constitué de partenaires du projet a assuré la mise en commun des connaissances et de la réalité terrain du quartier Saint-Michel, favorisant une perspective d approche globale et intégrée. Le projet BASTA! en chiffres Huit ateliers d éducation et de sensibilisation, offerts en continuum ou à la carte, traitant de l exploitation sexuelle sous plusieurs thématiques : Introduction à la sexualité, Grossesse à l adolescence, Contraception, ITSS, Dépendance affective et sexuelle, Estime de soi, Hypersexualisation et Exploitation sexuelle en contexte de gangs de rue. 496 contacts établis lors de ces ateliers, dont 214 jeunes filles participantes distinctes. 84 ateliers offerts dans 16 organismes communautaires et 8 écoles. Trois formations offertes aux organismes et institutions partenaires du projet, réunissant 15 intervenants. 11

13 Radio Anonyme, la rue en direct! Depuis la création de Radio Anonyme, ce projet évolue en développant des échanges avec plusieurs organismes et en rejoignant des jeunes de 14 à 30 ans de toutes origines. Nos mentors Le concept de mentors a été reconduit avec deux jeunes qui sont présents chaque mercredi à l émission. Rappelons que les mentors sont des jeunes qui ont participé au projet l année précédente et qui désirent accompagner les nouveaux. CIBL RADIO ANONYME EN CHIFFRES 36 émissions produites. 10 jeunes impliqués dans le comité de production (noyau dur). 92 jeunes rejoints par les ateliers. 65 ateliers offerts. L année a été marquée par le déménagement de la station CIBL en plein centre-ville au 2, rue Ste Catherine Est. Cela permet à la station d offrir à ses membres un cadre exceptionnel et une reconnaissance médiatique. Des partenaires consolidés dans les quartiers périphériques Des ateliers ont été offerts dans plusieurs quartiers plus éloignés du centre-ville : À Saint-Michel, Radio Anonyme a offert des ateliers au Centre Éducatif et Communautaire René-Goupil (CECRG) et à l Escale à Montréal-Nord. On peut aussi souligner notre présence dans les organismes suivants : Maison Passages, Opération Placement Jeunesse et Foyer des Jeunes Travailleurs et Travailleuses de Montréal. Thèmes abordés Cette année, nous avons souhaité donner une ligne éditoriale plus claire à l émission Radio Anonyme. Les thèmes centraux ont été le social, les évènements citoyens et politique, l art et la culture. Réalisations spéciales Festivals d été : jazz, juste pour rire, etc. (juillet-août 2011). Couverture de la Nuit des sans-abri (15 octobre 2011). Table ronde avec les gagnants du festival «Ton Quartier, Ton Art» (mai 2012). Émission spéciale pour souligner la Journée mondial du SIDA (1er décembre 2011). Pour : Projet à l international 12 Nous avons créé un partenariat en Belgique avec Radio-Panik et l émission : Les Boromites, une émission comparable à la nôtre avec des jeunes. Durant leur venue à Montréal, les Boromites ont pu travailler en collaboration avec Radio Anonyme et échanger sur leur culture. Radio Anonyme partira en juillet 2012 en Belgique.

14 T oxicologik Toxicologik Pour une deuxième année consécutive, nous avons poursuivi le projet Toxicologik. Ce projet a pour objectif de sensibiliser et de favoriser un comportement responsable des jeunes face à la consommation de drogues. Il est, pour l Anonyme, primordial de faire de la prévention en amont, en faisant prendre conscience aux jeunes de l ensemble des facettes de cette problématique. Les ateliers Toxicologik ont vu le jour sous deux formes. Tout d abord, sous la forme de table ronde et de discussion de groupe d une durée d environ deux heures. Ensuite, nous avons adapté cette version pour en faire une formule accessible et plus interactive d une durée de 75 minutes. Objectifs spécifiques au projet : 1. Aider les jeunes à reconnaître et comprendre les drogues. 2. Aider le jeune à situer sa consommation ou la consommation d un(e) ami(e). 3. Responsabiliser le jeune tout en lui donnant les outils pour réaliser un changement. Les partenaires : En plus de l école secondaire Saint-Luc dans le quartier Notre-Dame-de-Grâce, nous avons eu la joie de développer plusieurs nouveaux partenariats. En effet, nous avons eu l opportunité de donner des ateliers auprès de jeunes fréquentant les organismes suivant : la Maison d Haïti, le carrefour jeunesse-emploi de Côte-des-neiges, le CECRG, Ali et les princes de la rue, la maison des jeunes Le Relais et la maison des jeunes de la 42ème avenue. Les résultats : En , un total de 14 ateliers ont été effectués nous donnant l occasion de rencontrer 202 personnes. Nous avons aussi tenu des kiosques lors de deux évènements. Pour l avenir : À moyen terme, nous avons comme projet de développer d autres ateliers ayant comme sujet différentes dépendances. Des sujets tels que les troubles alimentaires, les dépendances affectives et les dépendances aux jeux sont des réalités que nous désirons aborder avec les jeunes afin de les informer, de les sensibiliser et de favoriser des comportements responsables. Cependant, dû à l absence de financement, le projet est actuellement en suspend. Nous poursuivons cependant nos efforts en ce sens. 13

15 Partie 5 S ervices de soutien, partenaires, implications communautaires et concertations Médecins du monde : Deux soirs par mois, l Anonyme peut compter sur la présence d une infirmière à bord de l autobus. Les dépistages, la vaccination, les soins de plaie et les consultations générales sont des services que l infirmière de Médecins du Monde peut offrir à notre clientèle. D autre part, chaque mois, le psychologue de Médecins du Monde rencontre les membres de l équipe d intervention pour leur offrir de la supervision clinique. Un service de soutien psychologique individuel est également disponible pour les employés. Groupe d Intervention Alternative par les Pairs (GIAP) : La mission du GIAP est la prévention de la transmission du VIH/sida, du VHC et autres ITSS en utilisant l approche de la réduction des méfaits reliés à la consommation de drogues par injection et au mode de vie de la rue, auprès des jeunes âgés de 14 à 30 ans fréquentant le centre-ville de Montréal. La force du GIAP réside dans l intervention spécifique des Pairs-Aidants et leur ancrage dans le milieu grâce à la présence des six partenaires (l Anonyme, Cactus, PACT de rue, Plein Milieu, la Clinique des jeunes CSSS et Dans la rue). Ainsi, chaque pair met à profit son savoir expérientiel auprès des gens qu il rejoint grâce à son implication au sein de l organisme auquel il est jumelé. La spécificité du travail des Pairs-Aidants est directement reliée à leur proximité et à leur connaissance du monde de la rue qu ils ont eux-mêmes vécu. Le GIAP permet non seulement de travailler auprès des personnes vulnérables, mais également de mettre en commun des connaissances et par conséquent, d offrir aux partenaires un modèle d intervention alternatif, soit un entre-deux entre l intervenant et l individu. À raison d environ 21 heures par semaine, le pair-aidant est présent à bord de l autobus, effectuant de l échange de matériel de prévention, offrant référence, écoute active, informations et orientation, selon le besoin. Sa présence accroît l efficacité de l équipe d intervention de l Anonyme et enrichit son approche. Centre de Santé et de Services Sociaux de Saint-Léonard et Saint-Michel (CSSS) : Depuis octobre 2009, une infirmière du CLSC de Saint-Michel est à bord de l autobus deux soirs par mois dans le quartier. Elle offre non seulement des services de référence et de consultation générale afin de créer des liens de confiance avec les usagers, mais aussi la possibilité d avoir accès à des dépistages à bord de l autobus. Cette infirmière a également mis en place une clinique de prévention des ITSS ainsi que des services de proximité afin d améliorer le service de dépistage offert dans le quartier Saint-Michel. Centre de Santé et de Services Sociaux de Dorval-Lachine-LaSalle (CSSS) : Depuis juillet 2011, une infirmière du CLSC LaSalle est à bord de l autobus un soir par mois dans les quartiers Lachine et Saint-Pierre. Elle offre actuellement des services de référence et de consultation générale afin de créer des liens de confiance avec les usagers et de les rediriger vers le système de santé. 14

16 Partie 5 S ervices de soutien, partenaires, implications communautaires et concertations Cactus Montréal École Joseph- François-Perrault Rap-Jeunesse CECRG École Louis-Joseph-Papineau RAPSIM CIBL École Saint-Luc Relais des jeunes familles CSSS Jeanne-Mance GAP-VIES Rézo CSSS Dorval-Lachine-LaSalle GIAP Spectre de rue CSSS Saint-Michel-Saint-Léonard Maison d Haïti Stella Dans la rue Maison des jeunes Par la Grand Porte Le TRAC Dîners-St-Louis Médecins du Monde UPSJ (CSSS Jeanne-Mance) Direction de la santé publique de Montréal Plein Milieu Dopamine PACT de rue ervices de soutien, partenaires, implications communautaires S et concertations Activité de sensibilisation dans le cadre de la Journée internationale de lutte au Sida Blitz de récupération de seringues à la traîne Festi Pointe Festival d expression de la rue Fête de la famille du Parc Ovila-Légaré à St-Michel La Nuit des sans-abri 15

17 Partie 5 S ervices de soutien, partenaires, implications communautaires et concertations ASME (Action Saint-Michel est) CA du RAPSIM CAJMO (Table de concertation Mercier-Ouest) Comité de coordination de la nuit des sans-abri Comité itinérance Centre-ville Comité des partenaires du GIAP Comité Prostitution St-Michel DSP (comité SIS) DSP (fonds non-récurrents) DSP (livraison) DSP (table matériel de protection) DSP (table des directeurs) GAJ Saint-Michel Opération droit devant Rencontre des superviseurs des pairs-aidants Table Jeunesse Hochelaga-Maisonneuve Table et comité de sécurité urbaine de l arrondissement Hochelaga-Maisonneuve Table de concertation Mercier-est Table des organismes montréalais sida (TOMS) Table UDI 16

18 Partie 6 P artenaires financiers GOUVERNEMENT FÉDÉRAL Ressources humaines et Développement des compétences Canada / Stratégie de partenariat de lutte contre l itinérance (SPLI). Agence de Santé publique du Canada Région du Québec / Programme d action communautaire sur le Sida (PACS). Ressources humaines et Développement des compétences Canada / Placement Carrière été GOUVERNEMENT PROVINCIAL Agence de la santé et des services sociaux de Montréal / Programme de soutien aux organismes communautaires (PSOC). Agence de la santé et des services sociaux de Montréal / Programme de prévention du VIH/SIDA, des ITSS et des hépatites. Ministère de la sécurité publique / Programme de financement en prévention du recrutement des jeunes aux fins d exploitation sexuelle dans un contexte de gangs de rue CSSS de Saint-Michel Saint-Léonard / Programme en prévention de l alcoolisme et des toxicomanies et en promotion de la santé PROGRAMME DE SOUTIEN À L ACTION BÉNÉVOLE Marguerite Blais, députée de Saint-Henri-Sainte-Anne Geoffrey Kelley, député de Jacques-Cartier Amir Khadir, député de Mercier Martin Lemay, député de Sainte-Marie-Saint-Jacques Carole Poirier, députée d Hochelaga-Maisonneuve Stéphanie Vallée, députée de Gatineau GOUVERNEMENT MUNICIPAL Ville de Montréal / Programme de service d aide aux itinérants. Ville de Montréal / Programme de soutien aux initiatives communautaires liées à la diversité ethnoculturelle FONDATIONS L Œuvre Léger La Fondation Inter Echo La Fondation J.A. de Sève La Fondation René Malo La Fondation de la corporation des concessionnaires d automobiles de Montréal ENTREPRISES Power Corporation FLEXGROUP Le Cirque du Soleil Google 17 CONGRÉGATIONS Congrégation de Notre-Dame du Québec Les Sœurs de Saint-François d Assise Les Sœurs de Sainte-Anne du Québec Et merci à tous nos donateurs privés!

19 Partie 7 É quipes et formations Équipe de travail au 31 mars 2012 Directrice :...Sylvie Boivin Directeur adjoint :...Julien Montreuil Adjointe administrative :...Christine Pruvost Intervenants psychosociaux :...Frédérique Audy Jessica Baribeau Alice Braud Geneviève Button Sabrina Gasper-Barbant Kim Lefebvre-Poirier Anne Verret Les intervenants ont tous une formation professionnelle (universitaire ou collégiale) dans un domaine approprié : travail social, éducation spécialisée, psychologie, sexologie, toxicomanie et criminologie. Stagiaires :...Sarah Basubi Bi Rhali : stage en techniques d éducation spécialisée du Collège LaSalle Josée Duquet : stage au baccalauréat en sexologie de l UQAM Paire-aidante :...Allyce Arsenault Liste de rappel :...Fanny Dergan Lila Dussault Sylvain Pianese Samira Thibault-Bacha 18 Départs au cours de l année :...Jonathan Chhun Marjolaine Dionne Jean-Philippe Émond Valérie Legault Célia Moréno Natacha Sutcliffe

20 Partie 7 É quipes et formations Formations liées à l intervention Anxiété et consommation chez les jeunes : mieux comprendre pour mieux agir. Colloque de Point de repère sur l approche par les pairs. Colloque du PIAMP sur la prostitution juvénile. Dépression, activités suicidaires et consommation. Formation sur la transsexualité donnée par ASTT(e)Q. Intervention en prévention du phénomène des gangs de rue. Meilleures pratiques concernant l injection. Meilleures pratiques en intervention en toxicomanie auprès des jeunes. Parentalité et dépendence. Premiers soins et RCR. Prévention de la rechute en dépendance. Réduction des méfaits phase 2. Résolution de problèmes dans un contexte de réduction des méfaits. Santé mentale et toxicomanie chez les jeunes. Sexualité et dépendance. Autres formations Formation PowerPoint RCR 19

Liste de vérification pour la planification des services d approche

Liste de vérification pour la planification des services d approche Liste de vérification pour la planification des services d approche Janvier 2014 La présente liste de vérification s adresse aux praticiens de la santé publique qui font du travail de proximité auprès

Plus en détail

Unis contre la violence conjugale et intrafamiliale. Plan d action stratégique en matière de violence conjugale et intrafamiliale 2013-2017

Unis contre la violence conjugale et intrafamiliale. Plan d action stratégique en matière de violence conjugale et intrafamiliale 2013-2017 Unis contre la violence conjugale et intrafamiliale Plan d action stratégique en matière de violence conjugale et intrafamiliale 2013-2017 Mise en contexte Au SPVM Environ 18 000 appels de service au 911

Plus en détail

Standards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience

Standards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience Standards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience Ligne provinciale d intervention téléphonique en prévention du suicide 1 866 APPELLE Octobre 2014 Table des matières Contexte...

Plus en détail

Fiche d information à l intention des parents. Volet 2 Les options résidentielles

Fiche d information à l intention des parents. Volet 2 Les options résidentielles Centre de réadaptation en déficience intellectuelle de Québec (CRDI de Québec) 7843, rue des Santolines Québec (Québec) G1G 0G3 Téléphone : 418 683-2511 Télécopieur : 418 683-9735 www.crdiq.qc.ca Fiche

Plus en détail

Spectre de rue rapport annuel 2009-2010

Spectre de rue rapport annuel 2009-2010 Spectre de rue rapport annuel 2009-2010 présentation de l'organisme historique C est par l intermédiaire de l organisme Projet 80, actif dans le quartier depuis trente ans, que Spectre de rue a connu son

Plus en détail

d infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en

d infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en DES SERVICES DES INTERVENTIONS DE RÉADAPTATION CIBLÉES ET SPÉCIFIQUES VISANT LE DÉVELOPPEMENT OPTIMAL DE LA PERSONNE ET AYANT COMME OBJECTIFS de favoriser l intégration et la participation sociales de

Plus en détail

Planification stratégique 2012-2015

Planification stratégique 2012-2015 DE CHAUDIÈRE-APPALACHES Planification stratégique 2012-2015 Reprendre du pouvoir sur sa vie. 23681_CRDCA_Planification 2012.indd 1 Description de la démarche La démarche de planification stratégique du

Plus en détail

FICHE D INFORMATION À L INTENTION DES PARENTS. Volet 2 - Les options résidentielles

FICHE D INFORMATION À L INTENTION DES PARENTS. Volet 2 - Les options résidentielles FICHE D INFORMATION À L INTENTION DES PARENTS Volet 2 - Les options résidentielles LES OPTIONS RÉSIDENTIELLE La Fiche d information à l intention des parents porte sur différents sujets susceptibles d

Plus en détail

À retenir... 1. Ce qu en disent les acteurs communautaires

À retenir... 1. Ce qu en disent les acteurs communautaires 1 Volet 4 : Ainé-e-s Table des matières À retenir... 1 Ce qu en disent les acteurs communautaires... 1 1. Un portrait des aîné e s du quartier... 2 1.1 Répartition des personnes âgées de 65 ans et plus...

Plus en détail

Adapté avec la permission du Ministère de l Éducation, Nouveau Brunswick

Adapté avec la permission du Ministère de l Éducation, Nouveau Brunswick Adapté avec la permission du Ministère de l Éducation, Nouveau Brunswick SONDAGE SUR L ATTITUDE DES PARENTS ENVERS L ÉDUCATION EN MATIÈRE DE SANTÉ SEXUELLE Nota : Vous pouvez transmettre ce sondage de

Plus en détail

Le Complément. Le nouveau journal des complémentaires. Dossiers. Novembre 2011. Année scolaire 2011-2012. Pour un développement global des jeunes

Le Complément. Le nouveau journal des complémentaires. Dossiers. Novembre 2011. Année scolaire 2011-2012. Pour un développement global des jeunes Le Complément Pour un développement global des jeunes Novembre 2011 Dossiers La collaboration école famille- communauté La santé et le bien- être L éducation à la sexualité L approche orientante L interculturalisme,

Plus en détail

PLAN STRATÉGIQUE 2013-2018 DE L AFANB

PLAN STRATÉGIQUE 2013-2018 DE L AFANB PLAN STRATÉGIQUE 2013-2018 DE L AFANB En juin 2012, le conseil d administration de l AFANB a décidé d entreprendre une démarche de révision du plan stratégique qui mènera au dépôt d un plan stratégique

Plus en détail

La réinsertion sociale. Pour que la rue ait une issue...

La réinsertion sociale. Pour que la rue ait une issue... La réinsertion sociale Pour que la rue ait une issue... La philosophie d intervention du service de réinsertion sociale de la Maison du Père repose sur une approche de réduction des méfaits. Elle prône,

Plus en détail

LE SAMU SOCIAL DE BRUXELLES

LE SAMU SOCIAL DE BRUXELLES LE SAMU SOCIAL DE BRUXELLES Le SAMU SOCIAL DE BRUXELLES Un dispositif de lutte contre l exclusion : 24h/24, 365j/an : 1) Une permanence téléphonique le N vert : 080099/340 2) Des équipes mobiles d aide

Plus en détail

L utilisation de l approche systémique dans la prévention et le traitement du jeu compulsif

L utilisation de l approche systémique dans la prévention et le traitement du jeu compulsif L utilisation de l approche systémique dans la prévention et le traitement du jeu compulsif Isabelle Cyr, B.sc. Psychologie. B.sc. Service social. T.s. Thérapeute Josée Dostie, B.A. Psychologie. Thérapeute

Plus en détail

Orientations. gouvernementales. en matière. d agression. sexuelle. Plan d action

Orientations. gouvernementales. en matière. d agression. sexuelle. Plan d action Orientations gouvernementales en matière d agression sexuelle Plan d action Édition produite par : La Direction des communications du ministère de la Santé et des Services sociaux Pour obtenir d autres

Plus en détail

Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008

Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008 Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation Septembre 2008 Louis Plamondon Centre de recherche de l institut universitaire de gériatrie

Plus en détail

Ma vie Mon plan. Cette brochure appartient à :

Ma vie Mon plan. Cette brochure appartient à : Ma vie Mon plan Cette brochure est pour les adolescents(es). Elle t aidera à penser à la façon dont tes décisions actuelles peuvent t aider à mener une vie saine et heureuse, aujourd hui et demain. Cette

Plus en détail

Consultation sur le référencement entre assureurs de dommages et carrossiers. Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers

Consultation sur le référencement entre assureurs de dommages et carrossiers. Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers entre assureurs de dommages et carrossiers Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers Novembre 2006 entre assureurs de dommages et carrossiers 2 PRÉAMBULE Le Groupement des assureurs automobiles

Plus en détail

Les défis du mandat d une Équipe itinérante : prévenir les glissements

Les défis du mandat d une Équipe itinérante : prévenir les glissements Résumé Les défis du mandat d une Équipe itinérante : prévenir les glissements Ce texte fait partie d une banque de 50 récits de pratiques d intervention en itinérance qui ont été réalisés avec quatre Équipes

Plus en détail

Modèle de curriculum vitae thématique. Pierre Dupont 3700 rue Berri Montréal (Québec)

Modèle de curriculum vitae thématique. Pierre Dupont 3700 rue Berri Montréal (Québec) Modèle de curriculum vitae thématique Pierre Dupont 3700 rue Berri Montréal (Québec) Résidence : 514) 873-0000 Bureau : (514) 873-1111 Télécopieur : (514) 873-9304 Courriel : pdupont@pdup.com Cadre infirmier

Plus en détail

RAPPORT FINAL. Avril 2009. École secondaire de la Rivière-des-Français. Muskies Supers Partenaires (MSP)

RAPPORT FINAL. Avril 2009. École secondaire de la Rivière-des-Français. Muskies Supers Partenaires (MSP) La corporation des services en éducation de l Ontario Projet de prévention de l intimidation et de la violence RAPPORT FINAL Avril 2009 École secondaire de la Rivière-des-Français Muskies Supers Partenaires

Plus en détail

LE COMPLICE BULLETIN DE LIAISON L AUTRE AVENUE, ORGANISME DE JUSTICE ALTERNATIVE. Johanne Gagnon pour l équipe de L Autre Avenue.

LE COMPLICE BULLETIN DE LIAISON L AUTRE AVENUE, ORGANISME DE JUSTICE ALTERNATIVE. Johanne Gagnon pour l équipe de L Autre Avenue. BULLETIN DE LIAISON L AUTRE AVENUE, ORGANISME DE JUSTICE ALTERNATIVE Décembre 2012 Dans ce numéro Nos vœux de Noël 1 Des nouvelles... de 2 nous Fermeture des 2 bureaux pendant le temps des Fêtes Le déploiement

Plus en détail

À QUOI SERVENT VOS DONS

À QUOI SERVENT VOS DONS La Fondation Farha est le chef de file québécois en collecte de fonds pour venir en aide aux hommes, femmes et enfants qui vivent avec le VIH/SIDA. Fondée en 1992, la Fondation Farha se consacre à l amélioration

Plus en détail

Une approche selon la réduction des méfaits pour les utilisateurs de drogues injectables (UDI) Position adoptée en janvier 2005

Une approche selon la réduction des méfaits pour les utilisateurs de drogues injectables (UDI) Position adoptée en janvier 2005 1 Le partenariat des organismes communautaires du Nouveau-Brunswick liés au sida ÉNONCÉ DE POSITION Une approche selon la réduction des méfaits pour les utilisateurs de drogues injectables (UDI) Position

Plus en détail

Atelier Campagne Marketing social

Atelier Campagne Marketing social Atelier Campagne Marketing social Vous devez mettre sur pied, au cours de ce bref atelier, une campagne de marketing social. Vous devrez aussi justifier vos activités de communication. Le nom d une organisation

Plus en détail

Le programme de maîtrise avec stage

Le programme de maîtrise avec stage Le programme de maîtrise avec stage Le programme de maîtrise avec stage comporte 45 crédits, répartis comme suit : - 15 crédits de cours - 12 crédits de stage - 18 crédits pour la rédaction d'un rapport

Plus en détail

L accès au suivi et au traitement pour les personnes atteintes de l hépatite C au Québec 1

L accès au suivi et au traitement pour les personnes atteintes de l hépatite C au Québec 1 L accès au suivi et au traitement pour les personnes atteintes de l hépatite C au Québec 1 DOCUMENT SYNTHÈSE Lina Noël, Julie Laforest, Pier-Raymond Allard, Marc Dionne, INTRODUCTION Au Québec, près de

Plus en détail

Avis d'emploi vacant. Poste(s) supervisé(s) : Date d'affichage : 18 mars 2015. À propos de CATIE

Avis d'emploi vacant. Poste(s) supervisé(s) : Date d'affichage : 18 mars 2015. À propos de CATIE Titre du poste : Service : Relève de : Poste(s) supervisé(s) : Statut : Endroit : Courtier en connaissances, Programmes de santé sexuelle des hommes gais Échange des connaissances Directrice associée,

Plus en détail

Présentation du Programme de prévention et de soutien relié aux tags et aux graffitis

Présentation du Programme de prévention et de soutien relié aux tags et aux graffitis Présentation du Programme de prévention et de soutien relié aux tags et aux graffitis Pour contrer le problème du vandalisme par tags et graffitis, la Ville de Gatineau a mis sur pied un Programme de prévention

Plus en détail

AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION

AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION NOVEMBRE 2014 La Fédération québécoise de l'autisme (FQA) est un regroupement

Plus en détail

PROJET DE DÉVELOPPEMENT DU MARCHE SAINT-JACQUES

PROJET DE DÉVELOPPEMENT DU MARCHE SAINT-JACQUES PROJET DE DÉVELOPPEMENT DU MARCHE SAINT-JACQUES --- Mémoire de la CDEC CENTRE-SUD / PLATEAU MONT-ROYAL --- Présenté à l OFFICE DE CONSULTATION PUBLIQUE DE MONTRÉAL Mars 2013 La Corporation de développement

Plus en détail

Partenariat patient-pair aidant-équipe soignante, un trio gagnant favorisant l espoir du rétablissement.

Partenariat patient-pair aidant-équipe soignante, un trio gagnant favorisant l espoir du rétablissement. Partenariat patient-pair aidant-équipe soignante, un trio gagnant favorisant l espoir du rétablissement. Automne 2014 MOT DE BIENVENUE ET PRÉSENTATION DES FORMATRICES Réjeanne Bouchard Guylaine Cloutier

Plus en détail

La reddition de comptes dans le cadre du soutien à la mission globale

La reddition de comptes dans le cadre du soutien à la mission globale La reddition de comptes dans le cadre du soutien à la mission globale Programme de soutien aux organismes communautaires SERVICES SOCIAUX Édition : La Direction des communications du ministère de la Santé

Plus en détail

Pour joindre Jeu : aide et référence par téléphone: Aide en ligne : www.jeu-aidereference.qc.ca

Pour joindre Jeu : aide et référence par téléphone: Aide en ligne : www.jeu-aidereference.qc.ca Dans le présent document, le genre masculin est utilisé au sens neutre et désigne les femmes autant que les hommes. Centre de Référence du Grand Montréal Organisme de charité enregistré (10689 5840 RR0001)

Plus en détail

Service-conseil à la clientèle en équipement motorisé

Service-conseil à la clientèle en équipement motorisé DEP 5258 Service-conseil à la clientèle en équipement motorisé STAGE DE FORMATION PROFESSIONNELLE EN MILIEU DE TRAVAIL 359-147 GUIDE DE PRÉPARATION AVANT LE STAGE Tables des matières Introduction...3 Mon

Plus en détail

Doit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée?

Doit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée? Doit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée? Hélène Le Brun, conseillère septembre 2007 D-11815 Centrale des syndicats du Québec

Plus en détail

Dossier de Presse SAFETY FIRST

Dossier de Presse SAFETY FIRST Dossier de Presse SAFETY FIRST 10 Février 2015 Pour vous médias, votre rôle primordial est de nous accompagner tout au long de cette campagne. Votre pierre à l édifice se traduirait par votre rôle de relais

Plus en détail

PROJET PEDAGOGIQUE DE L'ACCUEIL JEUNES 11/17 ANS

PROJET PEDAGOGIQUE DE L'ACCUEIL JEUNES 11/17 ANS PROJET PEDAGOGIQUE DE L'ACCUEIL JEUNES 11/17 ANS Le projet pédagogique met en œuvre le projet éducatif de l'organisateur, il en précise les conditions de réalisation dans un document élaboré en concertation

Plus en détail

Lignes. directrices. droits. d enfants. d accès. Pour l expertise en matière de garde. et des. février 2oo6

Lignes. directrices. droits. d enfants. d accès. Pour l expertise en matière de garde. et des. février 2oo6 Lignes directrices Pour l expertise en matière de garde d enfants et des droits d accès février 2oo6 INTRODUCTION................. 3 PRÉAMBULE.................. 3 I. AMORCE DU PROCESSUS........... 4 A.

Plus en détail

PLAN D ACTION DE SANTÉ DENTAIRE PUBLIQUE 2005 2015. Bilan régional des activités 2012 2013

PLAN D ACTION DE SANTÉ DENTAIRE PUBLIQUE 2005 2015. Bilan régional des activités 2012 2013 PLAN D ACTION DE SANTÉ DENTAIRE PUBLIQUE 2005 2015 Bilan régional des activités 2012 2013 PLAN D ACTION DE SANTÉ DENTAIRE PUBLIQUE 2005 2015 Bilan régional des activités 2012 2013 est une production

Plus en détail

SAINT JULIEN EN GENEVOIS

SAINT JULIEN EN GENEVOIS SAINT JULIEN EN GENEVOIS PROJET EDUCATIF ENFANCE-JEUNESSE Préambule Le service enfant jeunesse a une mission éducative et de prévention sociale auprès des enfants et des jeunes. (3-18 et jeunes adultes).

Plus en détail

Plateforme électorale Candidature à la présidence du Conseil national des cycles supérieurs Fédération étudiante universitaire du Québec

Plateforme électorale Candidature à la présidence du Conseil national des cycles supérieurs Fédération étudiante universitaire du Québec Plateforme électorale Candidature à la présidence du Conseil national des cycles supérieurs Fédération étudiante universitaire du Québec Bruno Belzile Candidat au doctorat en génie mécanique, Polytechnique

Plus en détail

Dép. 75 «Enfant présent»

Dép. 75 «Enfant présent» Dép. 75 «Enfant présent» PRESENTATION DE L ACTION Intitulé, ancienneté et lieu d implantation Créée en 1987, l association Enfant Présent, dispositif multi-accueil à caractère préventif, dispose de plusieurs

Plus en détail

SUPER GO UN PROGRAMME DE RENFORCEMENT DES JEUNES FILLES

SUPER GO UN PROGRAMME DE RENFORCEMENT DES JEUNES FILLES SUPER GO UN PROGRAMME DE RENFORCEMENT DES CAPACITES DES JEUNES FILLES CONTEXTE DU PROGRAMME SUPER GO Féminisation du VIH : quelques chiffres clés (EIS-2005) 0,4% des filles de 15 à 19 ans sont infectées

Plus en détail

POLITIQUE INTERCULTURELLE

POLITIQUE INTERCULTURELLE POLITIQUE INTERCULTURELLE Adoptée à la 269 e réunion du conseil d administration du 21 septembre 2009 Politique interculturelle Préambule Le Collège de Maisonneuve évolue dans un contexte interculturel

Plus en détail

DÉVELOPPER SES COMPÉTENCES POUR SUPERVISER LA COLLABORATION INTERPROFESSIONNELLE. Présentation du programme de formation RCPI, 2012 1

DÉVELOPPER SES COMPÉTENCES POUR SUPERVISER LA COLLABORATION INTERPROFESSIONNELLE. Présentation du programme de formation RCPI, 2012 1 DÉVELOPPER SES COMPÉTENCES POUR SUPERVISER LA COLLABORATION INTERPROFESSIONNELLE Présentation du programme de formation RCPI, 2012 1 Propriété intellectuelle : Le matériel original développé dans le cadre

Plus en détail

Programme Transit. Visant à soutenir les apprentissages à la vie autonome des personnes adultes présentant une déficience intellectuelle

Programme Transit. Visant à soutenir les apprentissages à la vie autonome des personnes adultes présentant une déficience intellectuelle Programme Transit Visant à soutenir les apprentissages à la vie autonome des personnes adultes présentant une déficience intellectuelle Développé par l Association des personnes handicapées de la rive-sud

Plus en détail

Le genre féminin utilisé dans ce document désigne aussi bien les femmes que les hommes.

Le genre féminin utilisé dans ce document désigne aussi bien les femmes que les hommes. Programme d intéressement pour l implantation du rôle de l infirmière praticienne spécialisée Modalités d application 15-919-04W RÉDACTION Direction des soins infirmiers Direction générale des services

Plus en détail

Les approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise*

Les approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise* INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Les approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise* Denis Hamel, statisticien Unité Connaissance-surveillance MISE

Plus en détail

Formation certifiante au métier de coach scolaire

Formation certifiante au métier de coach scolaire Formation certifiante au métier de coach scolaire 1 Préambule CoachingMaestro est un portail de formations dédié à toute personne intéressée dans l accompagnement des jeunes. Préambule Ses missions sont

Plus en détail

PERSONNEL PROFESSIONNEL DES COMMISSIONS SCOLAIRES FRANCOPHONES. Comité patronal de négociation pour les commissions scolaires francophones

PERSONNEL PROFESSIONNEL DES COMMISSIONS SCOLAIRES FRANCOPHONES. Comité patronal de négociation pour les commissions scolaires francophones PERSONNEL PROFESSIONNEL DES COMMISSIONS SCOLAIRES FRANCOPHONES Comité patronal de négociation pour les commissions scolaires francophones Édition de février 2011 Réalisé par le Comité patronal de négociation

Plus en détail

Une école adaptée à tous ses élèves

Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves PLAN D'ACTION EN MATIÈRE D'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS

Plus en détail

L expérience du patient partenaire au suivi intensif dans la communauté à Sherbrooke. Daniel Boleira Guimarães; Luce Côté

L expérience du patient partenaire au suivi intensif dans la communauté à Sherbrooke. Daniel Boleira Guimarães; Luce Côté L expérience du patient partenaire au suivi intensif dans la communauté à Sherbrooke Daniel Boleira Guimarães; Luce Côté 27e Entretiens Jacques Cartier Sherbroke, le 6 octobre 2014 Le suivi intensif dans

Plus en détail

2011-01-18. Quels sont, pour le soignant, les enjeux soulevés lorsqu il donne un soin à un allophone? Enjeu de communication

2011-01-18. Quels sont, pour le soignant, les enjeux soulevés lorsqu il donne un soin à un allophone? Enjeu de communication Distance linguistique et soins de qualité dans une perspective d équité: Concilier une diversité d enjeux Bilkis Vissandjee *, Université de Montréal Alex Battaglini, CSSS Bordeaux-CartiervilleSaint-Laurent

Plus en détail

RÉSEAU D ACTION PROFESSIONNELLE CSQ

RÉSEAU D ACTION PROFESSIONNELLE CSQ RÉSEAU D ACTION PROFESSIONNELLE CSQ Compte-rendu Réunion du 22 octobre 2008 Cette réunion terminait un processus de 3 ans portant sur les cinq propositions pour une meilleure éducation au Québec. D entrée

Plus en détail

Pacte européen pour la santé mentale et le bien-être

Pacte européen pour la santé mentale et le bien-être Pacte européen pour la santé mentale et le bien-être CONFERENCE DE HAUT-NIVEAU DE L UE ENSEMBLE POUR LA SANTÉ MENTALE ET LE BIEN-ÊTRE Bruxelles, 12-13 juin 2008 Slovensko predsedstvo EU 2008 Slovenian

Plus en détail

Bien dans sa tête, bien dans sa peau: pour une école en santé! Fannie Dagenais, Dt.p., Directrice ÉquiLibre, Groupe d action sur le poids

Bien dans sa tête, bien dans sa peau: pour une école en santé! Fannie Dagenais, Dt.p., Directrice ÉquiLibre, Groupe d action sur le poids Bien dans sa tête, bien dans sa peau: pour une école en santé! Fannie Dagenais, Dt.p., Directrice ÉquiLibre, Groupe d action sur le poids ÉquiLibre Organisme à but non lucratif fondé en 1986 sous le nom

Plus en détail

Les conséquences du sous-financement des organismes communautaires montréalais

Les conséquences du sous-financement des organismes communautaires montréalais Les conséquences du sous-financement des organismes communautaires montréalais Des conclusions qui appellent à la mobilisation Rapport du RIOCM sur le sous-financement des organismes communautaires de

Plus en détail

Bonjour et bienvenue à l assemblée publique du conseil d administration du RTL, en ce jeudi 12 mars 2015.

Bonjour et bienvenue à l assemblée publique du conseil d administration du RTL, en ce jeudi 12 mars 2015. MOT DE LA PRÉSIDENTE Séance du conseil d administration du RTL, le 12 mars 2015 Le texte lu fait foi. Bonjour et bienvenue à l assemblée publique du conseil d administration du RTL, en ce jeudi 12 mars

Plus en détail

ANNUAIRE SANTE. Structures Missions Site Internet Téléphone Domaines Secteurs Informations complémentaires

ANNUAIRE SANTE. Structures Missions Site Internet Téléphone Domaines Secteurs Informations complémentaires ANNUAIRE SANTE Structures Missions Site Internet Téléphone Domaines Secteurs Informations complémentaires IREPS : Instance Régionale d Education et de Promotion de la Santé Poitou-Charentes (4 antennes

Plus en détail

Présentation du programme de danse Questions-réponses

Présentation du programme de danse Questions-réponses Présentation du programme de danse Questions-réponses Description du programme Le DEC préuniversitaire en Danse du Cégep de Rimouski offre une formation collégiale préparatoire à la poursuite d études

Plus en détail

L endettement chez les jeunes Rapport final

L endettement chez les jeunes Rapport final L endettement chez les jeunes Rapport final Résultats du sondage pour le secteur d Alma L école secondaire Séminaire Marie-Reine-du-Clergé ainsi que le Collège d Alma Remis au : Service budgétaire de Lac-

Plus en détail

COMPTE-RENDU DE LA CONSULTATION PUBLIQUE ARRONDISSEMENT DE BROMPTON RÉVISION DU SCHÉMA DE COUVERTURE DE RISQUES EN SÉCURITÉ INCENDIE

COMPTE-RENDU DE LA CONSULTATION PUBLIQUE ARRONDISSEMENT DE BROMPTON RÉVISION DU SCHÉMA DE COUVERTURE DE RISQUES EN SÉCURITÉ INCENDIE COMPTE-RENDU DE LA CONSULTATION PUBLIQUE ARRONDISSEMENT DE BROMPTON RÉVISION DU SCHÉMA DE COUVERTURE DE RISQUES EN SÉCURITÉ INCENDIE 13 JUIN 2012 19 h BUREAU D ARRONDISSEMENT DE BROMPTON SONT PRÉSENTS

Plus en détail

POLITIQUE FAMILIALE DU CANTON DE WESTBURY

POLITIQUE FAMILIALE DU CANTON DE WESTBURY POLITIQUE FAMILIALE DU CANTON DE WESTBURY «Penser et agir famille» LES OBJECTIFS 1. Accueillir les familles avec respect et ouverture d esprit dans toutes leurs formes et leurs différences. 2. Stimuler

Plus en détail

d hébergement pour pour femmes violentées et et en en difficulté

d hébergement pour pour femmes violentées et et en en difficulté Alliance Alliance des des maisons d hébergement pour pour femmes violentées et et en en difficulté Une écoute et une aide à portée de main 24 heures par jour, 7 jours et ce, 365 jours par année. Historique

Plus en détail

Carrières. Une carrière au Service correctionnel du Canada : Joignez-vous à nous! Descriptif. Objectifs d apprentissage

Carrières. Une carrière au Service correctionnel du Canada : Joignez-vous à nous! Descriptif. Objectifs d apprentissage Service correctionnel Canada Correctional Service Canada Carrières Une carrière au Service correctionnel du Canada : Joignez-vous à nous! Descriptif Le Service correctionnel du Canada (SCC) offre une grande

Plus en détail

ENJEUX, PRATIQUES ET RÉGLEMENTATION EN ASSURANCE AUTOMOBILE : UNE COLLABORATION RÉUSSIE ENTRE L AUTORITÉ ET LE GAA

ENJEUX, PRATIQUES ET RÉGLEMENTATION EN ASSURANCE AUTOMOBILE : UNE COLLABORATION RÉUSSIE ENTRE L AUTORITÉ ET LE GAA ENJEUX, PRATIQUES ET RÉGLEMENTATION EN ASSURANCE AUTOMOBILE : UNE COLLABORATION RÉUSSIE ENTRE L AUTORITÉ ET LE GAA Notes pour une allocution prononcée par M. Patrick Déry Surintendant de l encadrement

Plus en détail

La contribution des pères au développement de leur enfant

La contribution des pères au développement de leur enfant Activité 1 La contribution des pères au développement de leur enfant Le père: Un rôle en évolution Théorie de l évolution Question de survie! Homme Animaux Christine Gervais, Ph. D., Professeur au département

Plus en détail

L infirmière praticienne spécialisée en soins de première ligne (IPSPL) : Portrait des pratiques en UMF sur le territoire Abitibi-Témiscamingue

L infirmière praticienne spécialisée en soins de première ligne (IPSPL) : Portrait des pratiques en UMF sur le territoire Abitibi-Témiscamingue L infirmière praticienne spécialisée en soins de première ligne (IPSPL) : Portrait des pratiques en UMF sur le territoire Abitibi-Témiscamingue Marie-Christine Lemieux, M.Sc. Inf., IPSPL 2 e Symposium

Plus en détail

document révisé le 2008-03-05

document révisé le 2008-03-05 document révisé le 2008-03-05 Table des matières Présentation... 3 1.0 Objectifs... 4 2.0 Organisation... 5 3.0 Personnel d encadrement... 7 4.0 Modalités d accès au CRM... 8 5.0 Processus de réintégration

Plus en détail

Ensemble vers de saines habitudes de vie!

Ensemble vers de saines habitudes de vie! Ensemble vers de saines habitudes de vie! Du plan d action gouvernemental «Investir«pour l avenir» et du Fonds pour la promotion des saines habitudes de vie aux balises de déploiement du soutien de Québec

Plus en détail

Un poste à votre mesure!

Un poste à votre mesure! Titre du poste : INFIRMIÈRE PRATICIENNE EN SOINS DE PREMIÈRE LIGNE (IPSPL) Direction : Direction des soins infirmiers Statut : Temps complet - 35 heures/semaine Quart : Jour LIBELLÉ DU TITRE D EMPLOI Personne

Plus en détail

Guide d intervention sur. l intimidation. destiné aux intervenants - 1 -

Guide d intervention sur. l intimidation. destiné aux intervenants - 1 - Guide d intervention sur l intimidation destiné aux intervenants - 1 - Rédaction Linda Laliberté : Mélanie Blais : Michèle Gariépy : Joanie Charrette : Espace Bois-Francs InterVal Pacte Bois-Francs organisme

Plus en détail

DEPARTEMENT DE SANTE COMMUNAUTAIRE MAISONNEUVE-ROSEMONT GROSSESSE CHEZ LES ADOLESCENTES ELABORATION D'UN PROGRAMME

DEPARTEMENT DE SANTE COMMUNAUTAIRE MAISONNEUVE-ROSEMONT GROSSESSE CHEZ LES ADOLESCENTES ELABORATION D'UN PROGRAMME DEPARTEMENT DE SANTE COMMUNAUTAIRE MAISONNEUVE-ROSEMONT GROSSESSE CHEZ LES ADOLESCENTES ELABORATION D'UN PROGRAMME PAR: GINETTE DUROCHER 22 JUILLET 1986 INSTITUT NATIONAL OE StfTt PlBtlQlI DU QUÉBEC CENTRE

Plus en détail

4720.5560.46 (septembre 2009) 30 %

4720.5560.46 (septembre 2009) 30 % 4720.5560.46 (septembre 2009) 30 % Prévenir le jeu excessif chez les adolescents C est toujours gagnant! Pourquoi ce dépliant? [ ] Le rôle des parents est déterminant dans la prévention du jeu excessif

Plus en détail

9h à 16h Séminaire d une journée avec Luc Jetté. Nouvelle formule cette année!

9h à 16h Séminaire d une journée avec Luc Jetté. Nouvelle formule cette année! Québec, le 3 mars 2011 Liste préliminaire des conférenciers et des sujets traités Colloque 2011 de l APAPI 24, 25, 26 et 27 mai 2011 Afin de débuter vos demandes de libération pour le colloque 2011 avant

Plus en détail

Une grande équipe. Le conseil d administration. Un travail précieux et sérieux. Le personnel. Les 3 axes d intervention. Rapport annuel 2008-2009

Une grande équipe. Le conseil d administration. Un travail précieux et sérieux. Le personnel. Les 3 axes d intervention. Rapport annuel 2008-2009 Rapport annuel 2008-2009 2009 Une grande équipe Le personnel : www.servicesjuridiques.org Présenté le 2 juin 2009 Le Conseil d administration - 10 citoyen(ne)s - 2 groupes communautaires - 1 représentante

Plus en détail

Cadre de gestion du fonds régional d investissement (FRIJ) en Chaudière-Appalaches

Cadre de gestion du fonds régional d investissement (FRIJ) en Chaudière-Appalaches Cadre de gestion du fonds régional d investissement (FRIJ) en Chaudière-Appalaches Document mis à jour en avril 2014 Table de matière 1. RENSEIGNEMENTS GÉNÉRAUX 3 1.1 PRÉSENTATION DU FONDS RÉGIONAL D INVESTISSEMENT

Plus en détail

Techniques de l informatique 420.AC. DEC intensif en informatique, option gestion de réseaux informatiques

Techniques de l informatique 420.AC. DEC intensif en informatique, option gestion de réseaux informatiques Plan de cours Techniques de l informatique 420.AC DEC intensif en informatique, option gestion de réseaux informatiques 420-691-MA Stage en entreprise Site du stage en entreprise : http://stages.cmaisonneuve.qc.ca/evaluation/1748/

Plus en détail

Normes de formation au pré-déploiement pour la Police des Nations Unies

Normes de formation au pré-déploiement pour la Police des Nations Unies Normes de formation au pré-déploiement pour la Police des Nations Unies Introduction et raison d être 1. La Police des Nations Unies fut déployée pour la première fois dans les années 1960 au sein d une

Plus en détail

Table des matières. Table des matières... 2. Rapport du conseil d administration...2. Rapport d activités... 3. Vie fédérative et communications...

Table des matières. Table des matières... 2. Rapport du conseil d administration...2. Rapport d activités... 3. Vie fédérative et communications... RAPPORT ANNUEL 2003 Table des matières Table des matières... 2 Rapport du conseil d administration...2 Rapport d activités... 3 Vie fédérative et communications...3 Services à la clientèle...5 Services

Plus en détail

Cadre complet de mieux-être en milieu travail Présenté par : Marilyn Babineau, Réseau de santé Horizon Isabelle Duguay, Réseau de santé Vitalité Le 7

Cadre complet de mieux-être en milieu travail Présenté par : Marilyn Babineau, Réseau de santé Horizon Isabelle Duguay, Réseau de santé Vitalité Le 7 Cadre complet de mieux-être en milieu travail Présenté par : Marilyn Babineau, Réseau de santé Horizon Isabelle Duguay, Réseau de santé Vitalité Le 7 novembre 2012 Cadre de mieux-être en Le cadre de notre

Plus en détail

»»»» CONCILIATION FAMILLE-TRAVAIL OU COMMENT RÉCONCILIER LES DEUX MONDES DANS LESQUELS NOUS ÉVOLUONS? DÉFINITION

»»»» CONCILIATION FAMILLE-TRAVAIL OU COMMENT RÉCONCILIER LES DEUX MONDES DANS LESQUELS NOUS ÉVOLUONS? DÉFINITION 5 Fiche de sensibilisation CONCILIATION FAMILLE-TRAVAIL OU COMMENT RÉCONCILIER LES DEUX MONDES DANS LESQUELS NOUS ÉVOLUONS? Il nous arrive fréquemment de nous interroger sur notre façon de faire les choses

Plus en détail

Pour la prospérité : investissons dans le développement social du Québec

Pour la prospérité : investissons dans le développement social du Québec Pour la prospérité : investissons dans le développement social du Québec Présentation à la ministre des Finances du Québec, Mme Monique Jérôme-Forget lors des consultations prébudgétaires le 14 février

Plus en détail

Consultation publique

Consultation publique Consultation publique PROJET DE REDÉVELOPPEMENT DU SITE DES ANCIENS ATELIERS DU CN Mémoire déposé par le Club populaire des consommateurs de Pointe-Saint-Charles dans le cadre des consultations publique

Plus en détail

Acteur majeur de la lutte contre le sida Antenne genevoise de l Aide Suisse contre le Sida Membre de la Coalition internationale PLUS

Acteur majeur de la lutte contre le sida Antenne genevoise de l Aide Suisse contre le Sida Membre de la Coalition internationale PLUS Acteur majeur de la lutte contre le sida Antenne genevoise de l Aide Suisse contre le Sida Membre de la Coalition internationale PLUS Groupe sida Genève 9, rue du Grand-Pré CH-1202 Genève info@groupesida.ch

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Une vision d avenir. Il était deux petits navires. Mise en contexte. Rapport Perrault. Forum des générations (2004) En bref...

Une vision d avenir. Il était deux petits navires. Mise en contexte. Rapport Perrault. Forum des générations (2004) En bref... Une vision d avenir Il était deux petits navires Alain Poirier, directeur national de santé publique et sous-ministre adjoint février 200 En bref... Mise en contexte Une mise en contexte Quelques données

Plus en détail

Mme Françoise Charbonneau, commissaire, est absente.

Mme Françoise Charbonneau, commissaire, est absente. Page 106 PROVINCE DE QUÉBEC Ville de Laval À UNE SÉANCE ORDINAIRE du comité exécutif de la Commission scolaire de Laval, tenue le 17 juin 2009, à 17 h 30, au 955, boulevard Saint-Martin Ouest, Laval, à

Plus en détail

Futurs étudiants 1 er Cycle

Futurs étudiants 1 er Cycle Futurs étudiants 1 er Cycle A d m i s s i o n P r o g r a m m e, c h e m i n e m e n t e t s t r u c t u r e P e r s p e c t i v e s p r o f e s s i o n n e l l e s, b o u r s e s e t e m p l o i s F o

Plus en détail

POLITIQUE DE COMMUNICATION

POLITIQUE DE COMMUNICATION POLITIQUE DE COMMUNICATION DU COMITÉ DE GESTION DE LA TAXE SCOLAIRE DE L ÎLE DE MONTRÉAL (Adoptée le 16 décembre 2004 par la résolution 19 par le Comité de gestion de la taxe scolaire de l île de Montréal)

Plus en détail

Niveau d'avancement et d'atteinte des cibles d'impact des projets, par objectif stratégique Planification stratégique 2012-2017

Niveau d'avancement et d'atteinte des cibles d'impact des projets, par objectif stratégique Planification stratégique 2012-2017 et d'atteinte des cibles d'impact des 1. Formaliser l'offre de services pour l'ensemble des programmes-services et des programmes de soutien. Définir et promouvoir l'offre de services en Dépendances (2013-12-

Plus en détail

SECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES

SECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES Compétences pour les intervenants canadiens en toxicomanie SECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES Cette documentation est publiée

Plus en détail

l info S engager avec sa banque, ça compte!

l info S engager avec sa banque, ça compte! La lettre d information des clients qui ont choisi d agir l info S engager avec sa banque, ça compte! Grâce à l engagement des clients du Crédit Coopératif, plus de 4,3 millions d euros de dons ont été

Plus en détail

Marc-Olivier Cavanagh" New Richmond Centre de formation professionnelle Bonaventure-Paspébiac

Marc-Olivier Cavanagh New Richmond Centre de formation professionnelle Bonaventure-Paspébiac DEP en charpenteriemenuiserie Marc-Olivier Cavanagh New Richmond Centre de formation professionnelle Bonaventure-Paspébiac Après des études en briquetagemaçonnerie, Marc-Olivier a reçu le prix du perfectionnement

Plus en détail

Table des matières. 1. Mesures législatives Loi sur la protection des personnes recevant des soins Généralités 3 Principaux éléments 3

Table des matières. 1. Mesures législatives Loi sur la protection des personnes recevant des soins Généralités 3 Principaux éléments 3 OFFICE DE PROTECTION DES PERSONNES RECEVANT DES SOINS RAPPORT STATISTIQUE 2007-2008 1 Table des matières 1. Mesures législatives Loi sur la protection des personnes recevant des soins Généralités 3 Principaux

Plus en détail

Sommaire. www.guidesulysse.com. http://www.guidesulysse.com/catalogue/ficheproduit.aspx?isbn=9782894644591

Sommaire. www.guidesulysse.com. http://www.guidesulysse.com/catalogue/ficheproduit.aspx?isbn=9782894644591 Sommaire www.guidesulysse.com 8Sommaire Introduction 12 1 La question financière 15 Coût des études universitaires 17 Budget minimum pour étudier à Montréal 18 Se faire un budget 18 La grille budgétaire

Plus en détail

L INTÉGRATION DE PAIRS AIDANTS DANS DES ÉQUIPES DE SUIVI ET DE SOUTIEN DANS LA COMMUNAUTÉ: POINTS DE VUE DE DIVERS ACTEURS

L INTÉGRATION DE PAIRS AIDANTS DANS DES ÉQUIPES DE SUIVI ET DE SOUTIEN DANS LA COMMUNAUTÉ: POINTS DE VUE DE DIVERS ACTEURS L INTÉGRATION DE PAIRS AIDANTS DANS DES ÉQUIPES DE SUIVI ET DE SOUTIEN DANS LA COMMUNAUTÉ: POINTS DE VUE DE DIVERS ACTEURS Synthèse des résultats de l étude Hélène Provencher, PhD, Université Laval, Québec

Plus en détail

LOCATAIRE, OUVRE-MOI!

LOCATAIRE, OUVRE-MOI! LOCATAIRE, OUVRE-MOI! LOCATAIRE, OUVRE-MOI! Les relations entre un propriétaire et un locataire ne sont pas toujours faciles. C est pourquoi il existe des lois et des règlements. Ce petit document tente

Plus en détail