CHAPITRE I IL Y A BIEN LONGTEMPS DEJA

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1 - 3 - INTRODUCTION Le 7 janvier 1997, Alain JUPPÉ, Premier Ministre m avait demandé, en me confiant une mission parlementaire, de mener une large réflexion sur les conséquences qu auraient les Nouvelles Technologies de l Information et de la Communication (NTIC) sur la Société Française, à l aube du 3 e millénaire. Il m avait demandé de lui préparer un ensemble de mesures qui seraient à mettre en œuvre, pour que la France puisse ainsi mieux entrer dans le 21 e siècle. Je devais remettre mon rapport, au Premier Ministre, le 6 Juillet Le Premier Ministre et son gouvernement ayant changé le 2 Juin 1997 et les usages obligeant, lors d un changement de majorité, qu un parlementaire, ainsi mandaté, se décharge de sa mission, j ai rencontré, début Juin 1997, le Président du Sénat, Monsieur René MONORY, qui m a demandé de poursuivre mon travail, et même de l élargir. Sous l autorité de Monsieur Christian PONCELET, la Commission des Finances du Sénat, commission à laquelle j ai l honneur d appartenir, a décidé le 3 Juillet 1997 de me confier une nouvelle et large mission sur les Nouvelles Technologies de l Information et de la Communication. Mes collègues, Pierre LAFFITTE, Alain GERARD et Franck SERUSCLAT, ainsi que le Député Patrice MARTIN-LALANDE et la mission : Maîtriser la société de l information : Quelles stratégies pour la France? dont les rapporteurs étaient Messieurs Alex TÜRK, Pierre HERISSON et Alain JOYANDET, ayant remis en 1997 un ensemble de rapports particulièrement bien instruits, j ai complété mes travaux, à partir de Juillet 1997, par une nouvelle approche, pour éclairer sous un jour nouveau, la problématique posée par la montée en puissance des NTIC, dans notre Pays.

2 - 4 - Appuyant les fondations de mon travail sur plus de cinq siècles de notre Histoire, j ai essayé de comprendre pourquoi la France, depuis le début de la révolution industrielle, avait quasi systématiquement un comportement atypique, si nous le comparons aux démocraties anglosaxonnes, face aux ruptures technologiques. En me promenant ainsi sur les sentiers de l Histoire, j ai pu arrimer mon raisonnement sur quelques points d ancrage forts, qui prennent appui sur la découverte de l Imprimerie, en passant par le Concile de Trente et la Réforme, en observant l Edit de Nantes et sa révocation avec la fuite des Huguenots, pour mieux comprendre la France Moderne qui, malgré sa volonté profonde de s ouvrir, continue à vouloir s abriter sous l aile d un Etat fort tel que l avait conçu Colbert. Les Nouvelles Technologies de l Information et de la Communication permettant de tisser à une vitesse foudroyante, avec Internet, une toile mondiale qui, déjà, relie plus de 100 millions d êtres humains, et qui devrait fondre dans une même communauté plus d un milliard d hommes avant 10 ans, posera inexorablement des problèmes fondamentaux à notre société pyramidale héritée de la Rome Antique et de la Rome Catholique. Aussi, après m être ainsi promené dans la Passé, j ai décidé de plonger dans le Futur en allant à la rencontre des Internautes qui, avec un esprit de pionniers, sont en train de défricher les sentiers de l avenir. Comme cela se fait dans ce monde nouveau, j ai allumé une petite lumière, qui s appelle une page Web, pour dire à cette Communauté que j existais. Comme la curiosité est un des traits marquants de ces aventuriers de la toile, mon site a accueilli plus de visiteurs en un an. Ils ont été des milliers et des milliers à répondre à mes longs questionnaires, qui m ont permis de mieux comprendre leurs attentes, et à m envoyer des s (messages électroniques) ou à laisser souvent de longs développements sur le Livre d Or ou dans le cadre du forum. Ainsi, j ai eu le privilège en faisant ce long plongeon dans l avenir, d être le premier parlementaire français qui aura autant appris des intervenants du réseau, que des longues et intéressantes auditions

3 - 5 - des personnalités placées au sommet de nos diverses structures pyramidales. Je ne transcris, dans le deuxième tome de ce rapport, qu une infime partie des remarques, souvent pertinentes, même si parfois elles étaient décapantes, des Internautes de la base. J ai tant appris, dans cette année écoulée sur le réseau, que je porte en moi l intime conviction que, pour tout travail en profondeur sur des problèmes de société, les parlementaires en mission, comme les commissions d enquêtes parlementaires, se feront un devoir, dorénavant, d aller consulter un vaste public d internautes, en utilisant un langage nouveau et non pas en transcrivant simplement nos documents administratifs trop souvent abscons. Puisse ce rapport, dans les trois domaines majeurs de l avenir, l Education, l Entreprise et le Citoyen, inspirer l ensemble des hommes et des femmes qui gouvernent et administrent notre Pays, car les temps seront vite venus où une nouvelle ère va s ouvrir pour toutes les Démocraties du Monde. Il serait dommageable, pour notre Pays, que ses gouvernants, hauts fonctionnaires et aussi chefs d entreprise qui se croient à l abri, depuis des siècles, en haut de leur structure ne sentent pas que la mutation profonde portée par les réseaux est en train d imbiber la base de nos vieilles pyramides, et ne pressentent pas la nécessité de ressourcer leur légitimité dans cette nouvelle eau de jouvence. René TREGOUET tregouet@senat.fr

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5 - 7 - CHAPITRE I IL Y A BIEN LONGTEMPS DEJA C est l imprimerie qui nous a fait entrer dans la société de l information. Si tout le monde s'accorde sur ce point, rien ne s'avère plus difficile que de retracer la genèse de cette société. L'histoire, on le sait, se prête mal à une lecture claire, objective et linéaire de son cours, travaillée qu'elle est par des influences aussi multiples que variées, par des mouvements de continuité aussi bien que par des moments de rupture, par des contrastes comme par des contradictions flagrantes. Les questions qu'elle nous engage à nous poser possèdent donc, elles aussi, ce caractère de complexité, en particulier lorsque nous nous penchons sur un événement de grande ampleur. Ainsi, s'agissant de la société de l'information, certaines questions s'imposent d'emblée, au premier rang desquelles celle, fort complexe, des déterminismes. Comment, en effet, faire la part des déterminismes historiques? géographiques? humains? Comment articuler, ensuite, ce qui relève d'actions individuelles et ce qui participe de champs plus collectifs? Que faut-il imputer, enfin, aux facteurs économiques et politiques, culturels et sociaux? Au carrefour de multiples disciplines, toutes ces questions opposent et continueront longtemps d'opposer les chercheurs, qu'ils soient historien, géographe, sociologue ou spécialiste des média, suggérant à quel point l'appréciation des causalités historiques s'avère délicate en la matière.

6 - 8 - Autant l'avouer d'emblée : loin de moi, la prétention de vouloir trancher ces débats. Loin de moi, également, l'idée de m'immiscer dans des polémiques qui excèdent de toute façon le cadre de cette étude. Et pourtant, j'en ai la conviction : l'homme politique ne peut et ne doit pas se dispenser d'étudier le passé, afin de mieux comprendre, non seulement les évolutions inéluctables dans lesquelles l'histoire nous engage, mais aussi, et surtout, les blocages qu'elle nous lègue et qui pourraient nous empêcher de faire face aux exigences que l'avenir nous assigne si nous ne savions pas les reconnaître. À ce nécessaire examen de nous-mêmes que l'histoire nous impose, et parfois avec brutalité, répond cependant une autre conviction. Ne sommes-nous pas également les héritiers d'atouts et de qualités indéniables? À nous de les mettre en valeur. Il en va de l'avenir, assurément, car qu'est-ce que l'avenir, sinon le sens que nous donnons à notre passé? Ainsi, pour concilier cette double exigence d'engagement et de neutralité, de parti-pris et d'humilité, je me suis efforcé, autant que faire se peut, de ne retenir parmi les nombreuses analyses formulées par les spécialistes que les plus pertinentes, à coup sûr les mieux étayées, me proposant moins de la sorte de réconcilier des théories souvent opposées que de mettre en lumière ce sur quoi leurs auteurs s'accordent. Dans ce chapitre, j'insisterai donc successivement sur les points suivants : l'importance capitale de la progressive mise au point des techniques d'impression ; leurs conséquences cruciales sur les questions religieuses en Europe ; l'articulation complexe entre la doctrine protestante, l'esprit d'entreprise et le développement économique qui en découle et qui permet de rendre compte du déclin relatif de l'europe méridionale à partir du XVI e siècle. Mon souci de m'abstenir de prendre parti au sein de querelles d'experts, notamment pour ce qui concerne l'appréciation des causalités historiques, ne saurait néanmoins m'empêcher de rendre un hommage particulier à Alain Peyreffite, dont l'ouvrage, La Société de confiance, a guidé fortement ma réflexion.

7 - 9 - En plus de ses analyses, je partage avec son auteur la conviction que les facteurs psychologiques et humains sont trop souvent sousestimés alors même que leur importance nous apparaît chaque jour davantage. Un autre livre, cité dans l'introduction de la présente étude, a également joué un rôle décisif dans ma réflexion. il s'agit des Nouveaux pouvoirs, d'alvin Toffler, qui démontre avec brio dans quelle mesure la puissance du savoir tend à l'emporter de plus en plus sur la puissance de l argent et de la violence : GUTENBERG INVENTE L'IMPRIMERIE Avec la progressive mise au point des techniques d'impression, l'occident rentre dans ce qu'il est convenu d'appeler " la civilisation des mass média ", cet autre nom de " la société de l'information ". I. MÉDIA ET INFORMATION : DES APPROCHES COMPLEXES Couramment employées, voire consacrées, ces expressions n'en conservent pas moins un certain flou sémantique. Marquées par une inflation de sens, elles désignent de nombreuses réalités et tendent progressivement à se substituer à de multiples concepts. Autant dire qu'un travail préalable de redéfinition de ces termes s'impose, prévenu que cette analyse de notions, pour rapide qu'elle pourra paraître, n'évitera pas de croiser des théories, sinon antagonistes dans leurs principes, du moins divergentes dans leurs conclusions.

8 A) " MÉDIA " En ce qui concerne le terme de " médium ", force est de constater que ce terme renvoie à trois référents distincts (quoique, bien entendu, articulés). En effet, il désigne tout à la fois : une technique de communication (par le texte, par l'image, etc.) ; un support matériel (papier, toile, écran, etc.) ; un message transmis dans le processus de la communication. Dès lors, deux conceptions se dessinent, qui distinguent et opposent les spécialistes des média. La première accentue l'idée selon laquelle ces trois référents forment une réalité homogène. Ainsi du philosophe américain Mac Luhan affirmant triomphalement que " médium is message ", autrement dit que le canal de transmission et l'information transmise sont littéralement consubstantielles. La seconde conception, quant à elle, accentue au contraire l'idée que la communication constitue un processus fondamentalement hétérogène. Qu'on insiste, avec Umberto Eco, sur la différence foncière des codes médiatiques (une image ne produit pas le même type de message qu'un texte) ; qu'on accentue, avec Régis Debray, le rôle capital des techniques employées (le matériau conditionne l'outil d'inscription qui, à son tour, détermine le type d'écriture) ; qu'on souligne, avec d'autres théoriciens, l'influence du contexte culturel, facteur d'un relativisme certain (" vérité en-deçà des Pyrénées, erreur au-delà " ; disait déjà Pascal), une chose est sûre : à l'image de son fonctionnement, le terme de " média " désigne une réalité plurielle, contradictoire, ambiguë, à tout le moins hétérogène.

9 B) " SOCIÉTÉ DE L'INFORMATION " Autre expression, autres ambiguïtés. Faut-il parler de société de l'information ou de société de la communication? Ces deux expressions renvoient-elles à un objet commun? Quels liens est-il légitime d'établir entre les concepts de communication et d'échange, d'information et d'opinion? Pour anticiper sur quelques-uns de mes développements futurs, et pour faire l'économie de trop longs prolégomènes théoriques, j'accentuerai l'idée suivante : l'information, en soi, n'est qu'une matière première. J'emploie à dessein cette métaphore énergétique car, s'agissant de l'information, ce qui compte réside en grande part dans deux mécanismes. Sa mise en circulation, d'abord, sur laquelle je reviendrai plus longuement. Son exploitation, ensuite, au sens où il s'agit, selon moi, d'élever l'information aux statuts successifs de connaissances, puis d'expertise, enfin de culture et de sagesse. Je veux dire par là que l'information doit être inscrite dans un mécanisme de structuration progressive qui l'insère d'abord dans un système de données validées, puis dans un ensemble de connaissances éprouvées, rendant possible, enfin, la possibilité d'un savoir maîtrisé auquel l'expérience confère le nom d'expertise, la mémoire celui de culture et l'histoire celui de sagesse. Je n'ignore pas, là encore, que chacun des termes auxquels je tente ici de donner une assise conceptuelle, se situe au carrefour de profonds débats théoriques. Je n'entends pas les arbitrer. Je souhaite, en revanche, et tel est le sens de ce premier chapitre, les inscrire dans une perspective historique. À cela, deux raisons. Une raison théorique, tout d'abord : il est impossible, selon moi, de comprendre un phénomène, en particulier lorsqu'il s'agit d'un phénomène de grande ampleur, sans en retracer au préalable la genèse et le cheminement. Une raison éthique, ensuite : de même que la politique ne se réduit pas à l'administration des choses mais repose sur le gouvernement des hommes, l'histoire appelle celui qui l'étudie à dépasser une lecture strictement objective des faits qui l'émaille et à considérer le destin de l'esprit humain.

10 II. L'IMPRIMERIE : ENTRE HASARD ET NÉCESSITÉ Si l'on peut considérer que la société de l'information débute avec Gutenberg, il importe, afin de mieux mesurer la portée de l'époque qu'elle inaugure, de resituer la découverte de l'imprimerie dans son contexte historique. Cependant, rien ne s'avère plus difficile que d'étudier l'origine d'un phénomène, prisonniers que nous sommes, trop souvent, de ce que Bergson appelait " l'illusion rétrospective du vrai ". Progrès irréversible de l'esprit humain? Etape parmi d'autres dans la longue évolution des techniques? Les interprétations divergent souvent : il est légitime de les considérer d'abord dans leur singularité, avant de mettre en lumière les faits sur lesquels elles s'accordent. A) UNE RÉVOLUTION SANS PRÉCÉDENT Pour le résumer d'une phrase : avec la découverte de l'imprimerie, on assiste au passage de la civilisation orale, qui imprègne le Moyen Âge, à la civilisation écrite, qui inaugure les Temps Modernes. Révolution considérable, irréversible, et pour ainsi dire sans précédent, comme le rappelle à juste titre Alain Peyreffite : " Entre la découverte de l'amérique en 1492 [qui suit de peu celle de l'imprimerie] et le partage de l'afrique en 1882, la condition humaine, dans les pays les plus favorisés, a plus changé en quatre siècles que dans les trois ou quatre millions d'années qui ont précédé. Aucune évolution aussi radicale ne s'était effectuée en si peu de temps (...) La " révolution néolithique " avait fait, de nomades voués à la prédation sur la flore et la faune naturelles, des cultivateurs sédentaires. mais elle s'était étalée sur plusieurs millénaires ; au XVI e siècle, quand sont apparus les premiers prodromes de la révolution du développement, les populations de la moitié des terres émergées n'avaient pas encore effectué leur révolution néolithique. Dans les siècles suivants, ces deux révolutions se sont télescopées. "

11 B) UNE MODESTE ORIGINE MATÉRIELLE Changement de perspective, donc : à cette révolution considérable, Régis Debray assigne, quant à lui, une origine singulière, paradoxale, accentuant l'idée selon laquelle " au départ de l'histoire, il y a un hasard naturel ". Selon lui, pour penser la genèse de l'imprimerie, il est nécessaire de se départir d'une vision trop idéalisée de l'histoire et d'une confiance trop naïve dans son progrès. " L'histoire de la Raison, pose-t-il en guise de postulat théorique, commence comme un fait de nature. " Et Debray de rappeler : " Le pictogramme et la pierre vont ensemble. L'idéogramme naît avec l'argile (présent en Mésopotamie), qui permet de remplacer le poinçon ou le ciseau par le calame (en bois, os ou roseau), à la pointe taillée en biseau, d'où l'écriture cunéiforme. " " Quand le support change, la graphie change. le papyrus (égyptien) permet l'emploi du roseau, plus simple et plus délié, comme le parchemin (en peau de bête) permettra, plus tard, la plume d'oie. passage crucial de l'angle à l'arrondi, du coin à la courbe. Ecriture syllabique qui simplifie et allège le système de notation. " En d'autres termes, l'analyse de Debray est à la fois matérialiste dans la mesure où elle repose sur le principe selon lequel " le matériau conditionne l'outil d'inscription, qui lui-même dicte la forme d'écriture " ; mais elle est de surcroît relativiste puisqu'en l historisant, elle considère l'imprimerie comme un procédé d'inscription parmi beaucoup d'autres. D'où cette belle conclusion : " notre alphabet, donc notre démocratie, repose sur un roseau, et notre Raison graphique est, somme toute, un cadeau du monde végétal à l'espèce humaine ". C) LE PASSAGE DE L'ÉCRIT À L'ORAL Que l'on se place, à l'instar de Peyreffite, dans la perspective d'une histoire des mentalités ou dans celle d'une histoire des techniques, à l'instar de Debray, une évidence s'impose : avec l'invention de

12 l'imprimerie, on assiste au passage d'une civilisation de l'oral à une civilisation de l'écrit. Les conséquences d'un tel bouleversement sont incalculables et il serait vain, bien entendu, d'en prétendre faire ici le compte exhaustif, à supposer d'ailleurs que cela fut possible. Pour la suite de notre démonstration, on retiendra néanmoins, de manière très schématique, deux séries de mutations consécutives à l'invention de l'imprimerie. Sont en effet corollaires du passage à l'écrit : l'esprit analytique, les structures logiques, la distanciation critique, ainsi que certaines formes éthiques de comportement, en particulier l'individualisme ; mais également la possibilité de conserver le savoir et de le substituer à la tradition orale, pré-rationnelle, fort empreinte de croyances et de superstitions. Il importe de retenir ces deux facteurs dans la mesure où l'articulation de cette rationalité et de ces structures nouvelles s'inscrit par ailleurs dans un contexte historique, économique et politique en tout point favorable au développement de l'imprimerie. III. UN CONTEXTE FAVORABLE Faut-il le rappeler : le succès de l'imprimerie a été foudroyant. Etait-il pour autant inéluctable? Rien n'est moins sûr. L'exemple de la Chine, qui avait également mis au point les techniques d'imprimerie, viendra confirmer à l'envi que la découverte de Gutenberg a profité en Europe d'un exceptionnel concours de circonstances. A) UN PRODIGIEUX SUCCÈS Selon l'ouvrage désormais classique de Febvre et Martin, l'imprimerie constitue d'abord un prodigieux succès. À la fin du XV e siècle, autrement dit cinquante ans à peine après l'impression du premier livre, on compte déjà éditions, qui représentent au bas mot 15 à 20 millions d'exemplaires.

13 B) UNE RÉVOLUTION TECHNIQUE Le triomphe de l'imprimerie s'explique également par la conjonction d'un ensemble de découvertes techniques, qui répondaient à l'attente d'un public avide et nombreux, d'une part, et qui, d'autre part, étaient susceptibles d'être exploitées par des entrepreneurs qu'un marché ouvert et fluide ne pouvait que motiver. On retiendra néanmoins, en ce qui concerne la mise au point des techniques d'impression : le rôle des caractères métalliques mobiles, fondus dans une matrice en creux, préalablement entaillée par un poinçon à tête dure, et, de ce fait, reproductibles à volonté. Il s'agit là d'un aboutissement des progrès qu'avaient enregistrés les techniques de l'orfèvrerie (et, du reste, on peut se souvenir que Johannes Gensfleisch, bientôt connu sous le nom de Gutenberg, appartenait à la corporation des orfèvres de Nuremberg). Mais il était alors techniquement impossible d'utiliser ces caractères typographiques pour imprimer sur du parchemin, matière insuffisamment lisse pour supporter les nouveaux procédés, eux aussi fondamentaux, d'encrage et de presse. Raison pour laquelle, acheté par les croisés aux Arabes, qui en tenaient le secret des Chinois, un autre matériau a joué un rôle crucial : le papier. Selon Régis Debray, " la révolution du livre est due, au fond, au papier plus qu'au plomb. C'est son couplage avec l'utilisation du papier de chiffon qui a donné au procédé de reproduction son essor fulgurant [...]. Même s'il n'a pas d'inventeur nominal, c'est lui le véritable multiplicateur de puissance ". Par ailleurs, comme le rappelle Paul Chalus, préfacier de l'ouvrage de Febvre et Martin, " la vaste imagerie, surtout religieuse, qui s'était développée au XIVème et XV e siècle, n'a pas été pour peu de chose dans l'extension prise par l'industrie papetière. Celle-ci fut ainsi conduite au niveau où elle autorisait l'imprimerie ". Ainsi l'imprimerie n'est-elle pas le résultat d'une seule technique mais d'un ensemble de techniques (orfèvrerie, papeterie, presse, encrage, etc.), parvenues de concert à maturité et agencées de façon décisive par Gutenberg et par ses associés.

14 Cependant, cette invention majeure n'était pas nécessairement voué au succès. Et à ce titre, l'exemple de la Chine se révèle particulièrement révélateur. C) UN CONTRE-EXEMPLE : LA CHINE Qu'une technique subisse des destins différents selon les cultures, voilà qui nous étonne à première vue. Ne vivons-nous pas à l'heure d'une mondialisation généralisée des techniques? d'une certaine standardisation des modes de vie? Il faut pourtant rappeler avec Philippe Breton et Serge Proulx que " l'existence de procédé technique n'est en rien une condition suffisante de son développement social [...]. Il lui faut des conditions sociales, culturelles et économiques propres ". De fait, et contrairement à ce qui s'est passé en Occident, l'imprimerie s'est révélée être, en Chine, un puissant facteur de continuité et de d immobilisme politique. En effet, elle a non seulement renforcé la diffusion des grands textes de la tradition classique, mais elle a également permis d'élargir le cercle de recrutement des mandarins. Pourtant, les grandes étapes qui auraient pu conduire la Chine vers la conception d'une imprimerie moderne avaient été franchies assez tôt. Entre le Ier et le III e siècle, le papier est inventé. Au VIII e siècle, la xylographie, procédé à base de planches en bois gravées en relief, est mise au point. Dès le XI e siècle, enfin, le principe de l'impression à caractères mobiles, en glaise ou en bois, est découvert. Autant dire, toujours selon Breton et Proulx, que, pour développer l'imprimerie dans l'empire du Milieu il aurait fallu " un appel de la société chinoise auquel son système de valeurs, élitistes et traditionaliste, ne la prédisposait pas ". D) L'IMPRIMERIE EN EUROPE Tel ne fut pas le cas en Europe. De fait, l'impression y a d'emblée rencontré des lecteurs nombreux et motivés, d'une part, et, d'autre part, des entrepreneurs capables de

15 fabriquer et de commercialiser leurs produits. En d'autres termes, le livre s'affirme dès le départ comme un outil de communication. Cette nouvelle fonction, qui a amplement contribué à son succès, lui a été attribuée par le vaste mouvement intellectuel contemporain de l'imprimerie. Ce courant d'idées, qui devait conduire à la Renaissance, a indéniablement été favorisé par le livre, même s'il lui était de peu antérieur. Ainsi le livre a-t-il été conjointement porteur d'idées nouvelles et porté par elles. Autre facteur capital : il a de surcroît bénéficié, à ses débuts du moins, de la foi et de la piété traditionnelles qui marquaient en profondeur le Moyen Âge. Autrement dit, contre toute attente, ainsi que le note Régis Debray, " l'imprimerie n'a pas commencé par produire la culture humaniste mais par démultiplier l'ancienne ". D'ailleurs, observe de son côté Jacques Attali, aucune autre innovation ne sera mieux accueillie par l Eglise. De fait, l'un des premiers effets de l'imprimerie fut de multiplier de manière exponentielle les ouvrages de piété populaire, dont le nombre dépassait de loin celui des grands textes théologiques (classiques médiévaux et œuvres des Pères de l'église), et cela à une époque où la majorité des lecteurs étaient des clercs. Au total, 45 % environ des incunables, autrement dit des livres publiés avant 1500, revêtaient un caractère religieux (bible, bréviaires, missels, textes mystiques, sermons, ouvrages de piété, etc.). Rien d'étonnant, dans ces conditions, que les membres du clergé aient souvent été à l'origine de l'installation d'imprimeries dans les villes qui n'en possédaient pas. Le nouveau procédé de reproduction d'ouvrages aura donc pour résultat d'opérer une sélection parmi les précédents manuscrits, prolongeant et amplifiant le succès des uns, plongeant les autres dans l'oubli. Mais, si près de 80 % des livres publiés sont écrits en latin, " ceux qui rencontrent le plus grand succès demeurent à coup sûr ceux qui avaient connu au Moyen Âge la plus grande vogue. Il s'agit donc bien, au moins dans un premier temps, des textes les plus traditionnels, les plus classiques des classiques latins. En d'autres termes, rien de vraiment novateur ni de vraiment subversif dans la majorité des premiers textes publiés. Qu'en conclure, sinon que si on en était resté là, l'imprimerie ne serait devenue, à terme, qu'un instrument servant à perpétuer la

16 scolastique médiévale, de même que la xylographie chinoise n'avait contribué qu'à conforter l'idéologie confucéenne et le système du mandarinat? E) IMPRIMERIE, RÉFORME ET HUMANISME Cependant, peu à peu, vont se développer conjointement, en particulier à partir de l'italie, le souci de pratiquer un latin de meilleure qualité, mais aussi l'exigence de prendre connaissance des textes originaux, et enfin une curiosité pour l'antiquité toutes choses contribuant, d'une part, à exhumer certains auteurs, et d'autre part, à redécouvrir la langue hellénique. Devenant de plus en plus accessible à tous ceux qui savent lire, le livre, en se développant, va ainsi bénéficier du courant humaniste, puis de l'essor des idées protestantes, tout en favorisant en retour leur propagation. En d'autres termes, une véritable et profonde complicité, fondée sur une communauté d'intérêts, se crée donc entre l'imprimerie et les idées nouvelles. Cette complicité va également être stimulée par le succès d'œuvres contemporaines (celles d'érasme, par exemple) ainsi que par le recours accru aux langues nationales (qu'il s'agisse d'œuvres originales ou de traductions). Ainsi, tout en restant prépondérante, la part des livres religieux régresse, tandis que s'accroît la part des textes de l'antiquité, des écrivains contemporains (les œuvres d'érasme sont tirées à des centaines de milliers d'exemplaires) et d'une littérature écrite en langue vulgaire, destinée au peuple (éphémérides, almanachs, recettes, etc.). Au total, Febvre et Martin situent entre 150 et 200 millions le nombre, probablement bien inférieur à la réalité, des exemplaires imprimés au XVI e siècle. Il s'agit véritablement d'une progression fulgurante, qui inaugure de façon spectaculaire l'ère des médias de masse ainsi que l'avènement d'une société où l'information et le savoir sont désormais diffusés à une très large échelle. Mais, à l'évidence, tout cela n'aurait sans doute pas été possible sans l'existence d'entrepreneurs motivés et d'un marché économique où pouvaient s'ajuster l'offre et la demande.

17 F) L'IMPRIMERIE DANS SON CONTEXTE ÉCONOMIQUE De fait, les défis techniques et commerciaux ont été relevés dans un contexte économique en tout point favorable. " Qu'on songe, comme nous invitent à la faire Febvre et Martin, à toutes les difficultés que posait l'organisation d'une industrie nouvelle, créée de toutes pièces, et la formation d'un réseau commercial destiné à écouler les livres reproduits désormais en série ". " Dès la décennie , poursuivent-ils, l'imprimerie commence à se répandre, le commerce du livre s'organise : en Allemagne d'abord, pays de mines où existent des cités opulentes dans lesquelles on sait travailler les métaux, où les riches marchands, capables de financer la création d'ateliers sont nombreux ". En effet, les imprimeurs allemands vont ensuite essaimer en Italie, en France et dans d'autres pays européens où se créent des ateliers typographiques. Si Venise reste, à la fin du XV e siècle, au premier rang de cette industrie naissante, deux villes françaises la suivent de peu : Paris d'abord, Lyon ensuite. Ce classement se maintient pendant le XV e siècle, période qui voit l'industrie du livre constituer progressivement une grande industrie, dominée par de puissants capitalistes, et devenir l'objet d'un grand commerce international. La France figure ainsi parmi les pionniers de l'imprimerie. Ainsi le livre est-il tout à la fois un outil intellectuel, un moyen de communication et une marchandise commerciale. De sorte qu'il faut accréditer la thèse de Febvre et de Martin selon laquelle " dès l'origine, les imprimeurs et les libraires travaillent essentiellement dans un but lucratif ". En effet, contrairement à la situation chinoise, il existe en Occident "un système de valeurs à base mercantile capable de s'harmoniser avec la recherche systématique d'un accroissement des performances des systèmes techniques ". Et à cet égard, il convient de rappeler que les techniques bancaires et commerciales prennent leur essor au cours de la même période. Ainsi, l'invention de Gutenberg s'inscrit dans une perspective lucrative. Elle mobilise des compétences financières autant que

18 techniques, et ses acteurs sont aussi bien des banquiers que des papetiers, des marchands de manuscrits que des financiers. Autre facteur contribuant à l'extension de l'imprimerie et à la circulation des livres : le développement des villes. Sur un plan géographique, la diffusion s'effectue en effet à partir des villes de l'axe rhénan qui relient la France, les Etats allemands et la Suisse, au Sud ; à la Hollande et à l'angleterre, au Nord. La nécessité de rentabiliser les coûts élevés de l'édition conduit, d'autre part, à intensifier la promotion du livre dans toute l'europe, son caractère portable lui ouvrant par ailleurs les grandes voies européennes de transport et de communication physiques. Bref, le livre est ainsi intrinsèquement lié, dès ses origines, au mercantilisme et à la Renaissance : il en a bénéficié comme il les a avantagés. Il leur doit ses doubles caractéristiques d'outil de communication et de marchandise. Mais, réciproquement, il a favorisé leur pénétration dans les mentalités. G) QUE PEUT-ON DEDUIRE DE CES DIVERSES OBSERVATIONS : À titre de conclusion provisoire, on soulignera donc avec Chalus le fait que " si le succès de l'imprimerie fut en fin de compte, un aspect de celui de l'humanisme, à son tour, le livre a agi sur les conditions morales et sociales ". Car l'imprimeur était souvent aussi un humaniste et le libraire, un philosophe. De sorte que les activités liées à l'esprit et celles liées à l'économie, loin de s'opposer, s'articulaient au contraire. " La philosophie [en 1492] naît du marchand. La science naît du commerce " (J. Attali). Autre manière de dire, cette fois avec Breton et Proulx, que la naissance de l'imprimerie s'explique essentiellement par " la convergence du mouvement de Renaissance et de l'esprit mercantile ". Car " l'innovation que fut le livre imprimé a elle-même été soutenue et rendue possible, par les multiples bouleversements sociaux et intellectuels que l'europe a connus à partir du XV e siècle ".

19 En définitive, le prodigieux succès de l'imprimerie résulte donc d'une série d'interactions conjuguant des effets : d'évolutions techniques, économiques, intellectuelles et religieuses ; d'initiatives humaines émanant aussi bien de techniciens que de marchands, d'auteurs que de lecteurs ; d'un concours de circonstances particulièrement propices, combinant une extraordinaire soif de connaissances et de renouveau spirituel, et un contexte social rendu favorable par le repeuplement urbain, par le développement commercial de l'europe ainsi que par la relative unité culturelle d'un continent dont les élites communiquent entre elles par le latin. Restent, bien entendu, les différentes facettes du livre, presque contradictoires, qui ont contribué à l'imposer et à en faire tout à la fois : un objet standardisé, mais personnel ; un moyen d'expression, un outil de communication, une marchandise, mais aussi une œuvre de l'esprit ; un produit consommable intellectuellement mais, en même temps, non fongible matériellement ; un instrument de diffusion de textes modernes comme d'œuvres classiques. Dans ces conditions, rien d'étonnant que les effets d'un instrument aussi polyvalent aient si profondément marqué la civilisation qui s'élaborait et qu'il contribuait à élaborer. IV. DE PROFONDES CONSEQUENCES Les effets de l'imprimerie sont considérables, multiples et complexes, qu'on les étudie à court ou à long terme ; qu'on se place sur le plan culturel ou religieux, social ou politique, voire politique ou économique. A) HUMANISME ET DIFFUSION DU SAVOIR Les conséquences les plus évidentes parmi celles induites par les nouvelles techniques tiennent à leur pouvoir d'amplification, de

20 diffusion et de propagation de l'écrit, et cela dans une civilisation médiévale, encore fortement imprégnée de traditions orales. À court terme, il va en résulter une diversification considérable des documents et des ouvrages à la disposition des lettrés. À plus long terme, l'alphabétisation va contribuer à faciliter l'accès de tous du moins d'un nombre croissant à l'information et au savoir. Sur un plan technique, la typographie modifie aussi en profondeur le rapport du lecteur à la chose écrite. De sorte que le travail intellectuel, tout comme la relation nouée entre l'auteur et le lecteur, vont s'en trouver radicalement transformés. On assiste donc à l'accélération, à l'intensification et à l'extension de la pénétration de l'écrit dans la société, à commencer par la sphère restreinte des lettrés. Si des données suffisamment fiables et complètes nous manquent, qui permettraient d'évaluer la proportion de la population sachant lire au moment de l'apparition de l'imprimerie, il est cependant évident que, dès cette époque, une demande importante d'ouvrages se manifeste.. Certains perfectionnements techniques permettent d'accélérer la cadence des copistes, et les manuscrits les plus recherchés (livres d'heures ou de piété, ouvrages d'enseignements élémentaires, etc.) sont recopiés par centaines dans certains ateliers. Dans le même temps, les étudiants, qui constituent avec les clercs et les enseignants la majorité des liseurs, se comptent par milliers dans des universités comme celle de Paris ou celle de Cologne. Plus tard s'y adjoindront les gens de robe, dont les bibliothèques, à partir de la seconde moitié du XVI e siècle, deviendront plus nombreuses que celles des ecclésiastiques. Ainsi, les tirages qu'atteignent relativement vite les ouvrages imprimés (20 millions d'exemplaires à la fin du XV e siècle ; 150 à 200 millions au XVI e siècle) témoignent d'un appétit de lecture et d'une avidité intellectuelle incontestables. D'autre part, l'alphabétisation très inégale, comme on le verra plus loin, entre les pays catholiques du Sud et les pays réformés du Nord ne fera qu'accentuer cette demande et, partant, l'influence du livre.

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