La reconnaissance visuelle des visages Cours 4

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1 La reconnaissance visuelle des visages Cours 4 Sandrine Delord Un modèle de la reconnaissance de visage Bruce et Young, 1986 Burton, et al.,

2 3. La prosopagnosie Première description d un trouble spécifique de la reconnaissance des visages : Thucidydes II, Au19ieme siècle : des troubles prosopagnosiques chez plusieurs patients présentant d autres troubles associés (Charcot, 1888 ; Wilbrand, 1892) Bodamer (1947) : Prosopagnosie de prosopon en grec pour visage et a-gnosis (sans connaissance) Commentaires de différents patients sur leur déficit Un patient ne reconnaît pas son propre visage dans le miroir : Inspection longue, description des différents éléments, il peut s agir de qq 1 d autre, ou même d une femme. Perte de l identité du visage «Tous les visages se ressemblent», «d une sale couleur grise» Perte de la forme globale du visage («je peux voir les éléments, mais ils ne se somment pas» Question théorique : l unicité et la spécificité du traitement des stimuli «visages» 2

3 Dissociation agnosie et prosopagnosie? Tiberghien et Clerc (1986) : un patient incapable de reconnaître les visages familiers mais capables de reconnaître parfaitement tous les autres objets Mais souvent les deux troubles sont associés De Renzi (1986) : Reconnaître sa voiture dans un parking, sa propre écriture Moscovitch, Winocur et Behrman (1997) : les peintures d Arcimboldo : Patient CK agnosique pur : déficit sur les légumes et fruits mais pas sur le visage du tableau Un cas de «métamorphosia» (Whiteley et Warrington, 1977) Un cas de prosopagnosie développementale (De Hann et Campbel, 1992) La dissociation neuropsychologique comme un argument au modèle Bruce et Young, 1986 Burton, et al.,

4 Les représentations stockées en mémoire ou FRU Participant sain : 3 formats pour le stimulus visage (forme globale, configuration spatiale et détails) L imagerie mentale Tâche : Chercher l intru : Fanny Ardant, Gina Lolobridgida et Marylin Monroe Les informations biographiques La patiente ME : reconnaissance correcte de la familiarité, voire du nom, mais aucune info biographique disponible. Dissociation vraie aussi chez le sujet normal L anomie le patient EST (Flude, Ellis et Kay, 1989) Appariement de visages non familiers sur la base de leur identité Discrimination de visages familiers parmi des visages non familiers, Accès à des informations sémantiques à partir de la photo du visage ou à partir du nom de la personne. Mais il ne pouvait pas trouver le nom de la personne à partir du visage. Dissociation vraie aussi chez le sujet normal 4

5 L analyse de l expression Bornstein (1963) et Damasio (1988) : patients ayant un déficit de la reconnaissance de visage mais tout à fait capables de décoder l expression du visage. Dissociation vraie aussi chez le sujet normal La lecture labiale L effet McGurk (ou «ventriloquisme») : voit «da» entend «ta», comprend «ga» La reconnaissance de visages non familiers Warrington et James, 1967 : Certains patients prosopagnosiques ont des déficits sélectifs pour les visages familiers Réciproquement, certains patients ayant des pbs pour apparier des visages non familiers ne sont pas cliniquement prosopagnosiques Les deux processus ne se réhabilitent pas toujours au même rythme L anosognosie Young et coll. (1990) : une patiente spécifiquement anosognosique pour la prosopagnosie, pendant des années. 5

6 La reconnaissance implicite des visages : Indicateurs physiologiques Bauer ( 1984) : un patient LF doit sélectionner le nom correct d un visage de personnalité parmi 5 éventualités de réponse (Mitterrand, Giscard, Chirac, De Gaulle et Pompidou, par exemple) : rép. au hasard. Mais réponse électrodermale. Tranel et Damasio (1985) : idem, le patient regardant une série de photos dont certaines étaient des visages connus Renault et coll. (1989) : confirmé en potentiels évoqués par la présence de P300 Confirmé aussi par les mouvements oculaires La reconnaissance implicite des visages : Indicateurs comportementaux De Han et son groupe : le patient PH Discrimination en choix forcé entre un visage connu et un visage inconnu : hasard (51%RC) Appariement : dire si les deux photos représentent la même personne ou non : TR plus rapides si le visage est connu 6

7 Interférence : Des photos de visages, avec une bulle pour le nom et dire si le nom imprimé est celui d un politicien : TR plus long dans la situation d incongruence entre le nom et le visage Amorcage associatif: juger si un nom est celui d une personne connue (Prince Charles): TR plus court quand le nom est précédé d une photo de Diana (par rapport à une photo contrôle de sportif) 4. Conclusion Les données de la psychologie et de la neuropsychologie convergent sur l idée de la spécificité des stimuli visages 7

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