Résultats clés de l enquête. Majoritairement résidents permanents en Ile-de-France
|
|
- Étienne Dufour
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Résultats de l enquête 2014 sur l usage des résidences secondaires en Charente-Maritime Commune de SAINT-MARTIN-DE-RÉ Enquête menée en 2014 auprès de propriétaires de résidences secondaires en Charente-Maritime Enquête Commune Fiche 18 / 25 St-Martin-de-Ré Résultats clés de l enquête > SOMMAIRE p.3 Fiche d identité p.5 Fréquentation p.6 Intégration dans la vie locale p.7 Satisfaction p.8 Retombées économiques Des propriétaires très concernés par l enquête (34 % de participation) En majorité retraités, aisés et plutôt issus de la catégorie Cadres et professions intellectuelles supérieures Majoritairement résidents permanents en Ile-de-France Les résidences secondaires occupées environ 3 mois par an par le propriétaire et sa famille Un cadre de vie très apprécié, notamment pour le littoral et le patrimoine architectural 33 % des propriétaires adhèrent à une association locale La moitié des propriétaires n ont pas encore de projet précis concernant l avenir de leur résidence Un impact économique important sur le territoire (commerces et BTP) Un lieu de retrouvailles : près de 7 propriétaires sur 10 reçoivent régulièrement famille et amis dans leur résidence secondaire p.10 Restauration et Loisirs p.11 Perception des risques liés à la mer Cette étude a été réalisée de septembre à novembre 2014 à partir d une méthodologie, d une analyse et d une interprétation des résultats conçues et réalisées conjointement par Charente-Maritime Tourisme (CMT), les Chambres de Commerce et d industrie (CCI) La Rochelle et Rochefort-Saintonge et le laboratoire Littoral, Environnement et Sociétés LIENSs (CNRS/Université de La Rochelle), avec une étroite collaboration des collectivités du département (Communautés de communes, Communautés d agglomération, Pays), de l Insee et de la Direction Régionale de l Environnement, de l Aménagement et du Logement (DREAL) de Poitou-Charentes.
2 Commune de SAINT-MARTIN-DE-RÉ Données et méthodologie de l étude : Population légale (Insee 2012) : habitants Nombre de résidences secondaires (Filocom 2013) : 1 067, soit 48 % du total des logements Nombre de répondants à l enquête par questionnaire en 2014 : 118 sur 346 envois, soit 34 % de réponse Enquête réalisée par courrier de septembre à novembre 2014 auprès de propriétaires de résidences secondaires sur le département de la Charente-Maritime domiciliés en France métropolitaine, dont 118 propriétaires répondants sur la commune de. Un propriétaire référent interrogé par résidence secondaire. Données sources issues des fichiers des collectivités territoriales (cadastre numérique MAJIC 3, taxe d habitation, redevance des ordures ménagères). Les logements en location à l année ou soumis à la taxe professionnelle ne sont pas considérés comme des résidences secondaires. Données redressées en fonction de l origine géographique du propriétaire (région de résidence principale) et de la localisation de sa résidence secondaire. Données jugées non significatives en dessous de 15 répondants à la question. Information notable issue de l étude concernant la zone étudiée
3 FICHE D IDENTITÉ 1/2 page 3 Des propriétaires plutôt âgés, retraités et issus de catégories socioprofessionnelles supérieures Une moyenne d âge (67 ans) d un an supérieure à la moyenne départementale Une proportion de retraités (64 %) inférieure à la moyenne départementale Des ménages composés à 67 % par des couples sans enfant Une majorité de répondants issus de la catégorie Cadres et professions intellectuelles supérieures (55 %), et davantage de Professions intermédiaires (29 %) que sur l ensemble de l île L Île de Ré se distingue par un niveau moyen de revenus plus élevé que les autres territoires du département. Ainsi, plus de 4 ménages sur 10 à St-Martin ont des revenus mensuels nets supérieurs à La proportion de hauts revenus (au-dessus de ) est supérieure à celle enregistrée sur l ensemble de la CDC de l Île de Ré. Catégories socio-professionnelles des propriétaires résidents secondaires à St-Martin-de-Ré (en % des répondants) Pourcentage des répondants 80% 60% 40% 20% 0% Agriculteurs Artisans, commerçants chefs d entreprise Cadres, professions intel.sup. Professions intermédiaires Employés Ouvriers Valeurs enregistrées sur l ensemble de la CDC Ile de Ré NB : catégories socio-professionnelles des propriétaires en activité et des retraités (dernière profession exercée) Âge et statut professionnel des propriétaires résidents secondaires répondant à l enquête Moins de 40 ans 40 à 59 ans de 60 à 74 ans 75 ans et plus 0% 20% 40% 60% 80% 100% Actif Retraité Autre (étudiant, personne au foyer, etc.) Revenus mensuels nets des ménages à St-Martin-de-Ré (en % de répondants) 22% 19% 4% 22% 33% Moins de Entre et Entre et Entre et Plus de NB : 29 % des répondants n ont pas souhaité répondre à cette question Des propriétaires qui habitent majoritairement en Ile-de-France Près de la moitié des propriétaires sont Franciliens Peu de Picto-Charentais (17 %), comme de propriétaires domiciliés en région Centre (7 %), et en Pays-de-la-Loire (7%) Une attractivité qui rayonne surtout le long de l axe Paris- Bordeaux (A10 et TGV) Région de résidence principale des propriétaires résidents secondaires (St-Martin-de-Ré) Nord-Pasde-Calais Haute- Normandie Picardie Basse- Normandie Ile-de- Lorraine France Bretagne Champagne- Ardenne Alsace Pays de la Loire Aquitaine Midi-Pyrénées 78 % âgés de 60 ans et plus 64 % de retraités Centre Poitou- Charentes Limousin Rhône-Alpes Auvergne Languedoc- Roussillon Bourgogne Franche- Comté Provences- Alpes Côte d Azur Corse 46 % de Franciliens, 17 % de Picto-Charentais Plus de 25% de 5% à 24,9% de 1% à 4,99% Moins de 1%
4 FICHE D IDENTITÉ 2/2 page 4 Une fréquentation relativement ancienne Des résidences aux capacités d accueil importantes Un lieu fréquenté en moyenne depuis 32 ans Soit plus de 30 ans de fréquentation, avant même l acquisition d une résidence secondaire. L ancienneté de la fréquentation à St-Martin-de-Ré remonte à quelques années de moins que celle de Ste-Marie ou celle des Portes-en-Ré. Une proportion d anciens touristes élevée (49 %), mais aussi des enfants ou petits enfants de résidents (27 %) A noter également : 24 % de propriétaires influencés par la réputation du lieu. Une acquisition du bien plus ancienne que sur le reste du département En moyenne depuis 20 ans, contre 18 ans pour l ensemble du département. La part de l héritage 19 % des propriétaires ont hérité de leur bien. En moyenne, la résidence héritée est dans la famille depuis 1943 (contre 1951 pour l ensemble du département). Une expérience touristique déterminante dans le choix du lieu Une notoriété qui joue également sur l attractivité Une acquisition du bien assez ancienne 7 couchages en moyenne par résidence secondaire «Avant d acquérir votre résidence secondaire, quelle connaissance aviez-vous de sa commune d implantation?» - St-Martin-de-Ré (plusieurs réponses possibles) Pourcentage des répondants 60% 40% 20% 0% Aucune connaissance Connaissance du lieu par sa réputation Ancien résident permanent Ancien touriste dans le lieu Enfant ou petit-enfant de résident secondaire ou permanent Valeurs enregistrées sur l ensemble de la CDC Ré Uniquement des maisons dans le parc de résidences secondaires enquêté Achat d un bien déjà existant : mode d acquisition prédominant Un taux de construction qui concerne 21 % des propriétaires, soit davantage que la moyenne départementale (18 %) mais moins que sur l ensemble de l île (33 %) Mode d acquisition de la résidence secondaire 19% Une capacité d accueil moyenne de 7 couchages Avec près de la moitié des résidences qui comprennent plus de 6 couchages, la capacité d accueil à est plus importante que celle de la plupart des communes interrogées Capacité d accueil des résidences secondaires en fonction de leur taille (en nombre de couchages) 21% 26% 21% 12% 60% 41% Achat Héritage Construction Moins de 5 5 ou 6 7 ou 8 9 et plus
5 FRÉQUENTATION page 5 91 jours de fréquentation annuelle par le propriétaire et ses proches Une fréquentation étalée sur l année, avec un pic estival marqué Nombre moyen de jours d occupation par les propriétaires et leurs proches à St-Martin-de-Ré 30 Nombre moyen de jours d occupation par saison par les propriétaires et leurs proches à St-Martin-de-Ré Nombre de jours Janv. Fév. Mars Avril Mai Juin Juillet Août Sept. Oct. Nov. Déc Mois de l année Les données ont été collectées de septembre 2013 à août Elles sont présentées de manière non chronologique pour mieux faire ressortir le pic estival Les propriétaires viennent en moyenne 91 jours par an, soit 3 mois Une fréquentation élevée par rapport au littoral charentais-maritime Ils occupent leur bien plus de la moitié (62 %) de la saison estivale, un taux important bien qu en-dessous de la moyenne rétaise Jours d occupation Valeurs enregistrées sur l ensemble de la CDC Ré CLÉS DE LECTURE : Les propriétaires occupent leur résidence secondaire en moyenne 1 jour en janvier, 2 jours en février, 4 jours en mars, etc. Soit au total 91 jours par an. NB : Sont présentées ici les réponses des propriétaires ayant déclaré au moins un jour de présence entre septembre 2013 et août Les valeurs ont été arrondies au jour inférieur ou supérieur. 24 jours de prêt à un tiers Les propriétaires déclarent prêter leur résidence à un tiers en moyenne 24 jours par an, soit une moyenne annuelle équivalente à celle du département. CLÉS DE LECTURE : L occupation par le propriétaire et le prêt à un tiers pouvant être simultanés, il convient de ne pas additionner ces deux moyennes statistiques. Nombre de jours % Hors saison 27 % 62 % Avant saison Haute saison 33 % Après saison CLÉS DE LECTURE : Le taux d occupation est le rapport, exprimé en pourcentage, entre le nombre de jours occupés dans la saison et le nombre total de jours de la saison. Jours d occupation Valeurs enregistrées sur l ensemble de la CDC Ré Taux d occupation Hors saison : octobre à mars Avant saison : avril à juin Haute saison : juillet, août Après saison : septembre CLÉS DE LECTURE : Les propriétaires occupent leur résidence secondaire en moyenne 19 jours d octobre à mars, soit 11 % de la période hors saison. NB : Sont présentées ici les réponses des propriétaires ayant déclaré au moins un jour de présence entre septembre 2013 et août Les valeurs ont été arrondies au jour inférieur ou supérieur. Le taux d occupation en haute saison est plus élevé que la moyenne départementale (62 % contre 56 %), mais légèrement inférieur à celui de l ensemble de l île (66 %). Les fréquentations d avant et d après saison sont également importantes, supérieures à celles des Portes-en-Ré.
6 INTÉGRATION À LA VIE LOCALE page 6 Un cadre de vie très apprécié Les principales caractéristiques qui donnent de la valeur au cadre de vie de la résidence secondaire sont (question à réponses multiples) : la proximité du littoral / la plage : 79 % des répondants le patrimoine architectural/urbain : 52 % le climat : 50 % le paysage naturel : 45 % le calme, la tranquillité : 45 % Par ailleurs, le caractère animé du lieu n est mentionné que par 14 % des répondants. A noter : 33 % sont sensibles à l ambiance pittoresque du lieu. 1 propriétaire sur 3 s investit dans la vie associative 33 % des propriétaires adhèrent à une association locale Un investissement davantage marqué dans les associations sportives, ou de propriétaires Participation à la vie associative à St-Martin-de-Ré (en % des répondants) Pourcentage des répondants 20% 0% Une association locale de propriétaires Un comité, une association de quartier Une association locale de protection de l'environnement Une association locale de protection du patrimoine Une association culturelle locale Une association sportive locale Valeurs enregistrées sur Autre l ensemble de la CDC Ré NB : 67 % des répondants ne déclarent aucune participation particulière Des propriétaires indécis quant au projet d avenir de leur résidence secondaire Avez-vous un projet particulier concernant l avenir de votre résidence secondaire? (plusieurs réponses possibles) 50 % des propriétaire n ont encore aucun projet précis 38 % se prononcent pour la donation aux enfants 30 % souhaitent l améliorer, y faire des aménagements 18 % envisagent l évolution en résidence principale A noter : la plus grande part d indécis enregistrée sur l ensemble du département. Pourcentage des répondants Projet d avenir de la résidence secondaire à St-Martin-de-Ré (Plusieurs réponses possibles, en % des répondants) 60% 40% 20% 0% Valeurs enregistrées sur l ensemble de la CDC Ré Les aménités environnementales (littoral, climat) et architecturales : atouts de la commune En faire votre résidence principale L améliorer (travaux, rénovation, etc.) La vendre La louer ponctuellement La louer à l année Donation à vos enfants (faite ou à venir) Aucun projet précis Autres Une implication importante dans les associations locales (33 % d adhérents) Des projets résidentiels plutôt tournés vers la donation et l amélioration de la résidence
7 SATISFACTION page 7 Des propriétaires globalement satisfaits de leur territoire d accueil Une grande satisfaction concernant la protection de l environnement et la sécurité Une offre de services et d équipements appréciée... Diversité et qualité des équipements : 85 % de propriétaires satisfaits Services offerts par la mairie : 85 % de satisfaits Office de tourisme : 72 % de satisfaits Offre de service de santé : 66 % de satisfaits Services de l intercommunalité : 64 % de satisfaits (à noter : 26 % sans opinion )... à l exception des conditions de stationnement et de circulation, et de l accès Internet Conditions de stationnement et de circulation : 56 % d insatisfaits Accès à l Internet haut débit : un chiffre d insatisfaction plus élevé (47 %) à St-Martin-de- Ré et aux Portes-en-Ré que sur l ensemble de la CDC de l Ile de Ré (43 %) Cette insatisfaction est assez élevée, supérieure aux moyennes départementales sur la circulation (42 %) et l Internet (38 %). Les Portes St-Martin Ste-Marie CDC Ré Niveau de satisfaction concernant le stationnement et la circulation 0% 20% 40% 60% 80% 100% Satisfait Sans opinion Peu ou pas satisfait Niveau de satisfaction concernant l'internet haut débit Les Portes St-Martin Ste-Marie CDC Ré 0% 20% 40% 60% 80% 100% Satisfait Sans opinion Peu ou pas satisfait NB : Sur toutes les questions touchant à l évaluation de la satisfaction, sont considérés comme satisfaits les propriétaires ayant répondu très satisfait ou satisfait. A l inverse, sont considérés comme insatisfaits ceux qui ont répondu pas du tout satisfait ou peu satisfait. Les éléments qui ont obtenu les meilleurs taux de satisfaction sont les suivants : Protection de l environnement : 86 %, le meilleur taux enregistré sur le département Sécurité des biens et des personnes : 84 %, meilleur taux également Propreté, gestion des déchets : 75 % Diversité et qualité des animations proposées : 69 % Hospitalité et accueil : 68 % Les spécificités propres au littoral : Qualité des eaux de baignade : 71 % Surveillance des zones de baignade : 59 % de satisfaits Des propriétaires de résidence secondaire globalement satisfaits des services, des équipements et des conditions de vie locales Les conditions de circulation et de stationnement, un problème récurrent dans les territoires touristiques, notamment les îles L accès au haut débit : une préoccupation des propriétaires Un lieu de résidence secondaire jugé respectueux de l environnement et sûr
8 RETOMBÉES ÉCONOMIQUES 1/2 page 8 Des services particulièrement appréciés 88 % des propriétaires déclarent être satisfaits des services proposés Des services particulièrement utilisés au sein de la commune de résidence secondaire : Banques et distributeurs : 86 % des répondants Coiffure, esthétique : 59 % D autres services, régulièrement utilisés, concernent également une commune avoisinante : Entretien et réparation automobile : 54 % (dont 36 % dans une autre commune) Jardinage, entretien : 53 % (dont 34 % dans une autre commune) Pressing, laverie : 31 % (dont 11 % dans une autre commune) Ménage, nettoyage : 26 % (dont 8 % dans une autre commune) Des travaux qui génèrent d importantes retombées économiques locales Peu de recours aux services de gardiennage et d aide à la personne (respectivement 91 % et 92 % non concernés ). 86 % des résidences secondaires ont fait l objet de travaux dans les 5 dernières années, c est plus qu aux Portes-en-Ré ou à Ste-Marie-de-Ré 8 fois sur 10 les propriétaires achètent les matériaux localement, en grande majorité dans les communes voisines 89 % ont recours aux services d entreprises spécialisées, dont la grande majorité sont locales Près de 9 propriétaires sur 10 satisfaits des services utilisés (banque, coiffure, etc.) 86 % des résidences concernées par des travaux au cours des 5 dernières années Matériaux et entreprises pour la réalisation des travaux sont majoritairement choisis localement Zoom sur l enquête complémentaire réalisée par téléphone Résultats du complément d enquête auprès de 700 propriétaires du département Les dépenses générées par la fréquentation des résidences secondaires par leur propriétaire Dépenses annuelles moyennes des propriétaires sur le lieu de résidence secondaire (alimentation, restauration, loisirs, shopping, entretien de la résidence) : euros par résidence, soit une dépense quotidienne de 41 euros par résidence (rapportée à la durée d occupation) Alimentation : dépenses les plus importantes (63 % du total quotidien) Shopping : part non négligeable des dépenses quotidiennes (17 %) Entretien : 10 % du total quotidien Restauration et Loisirs : dépenses assez faibles (5 % chacune), qui s expliquent par une fréquentation assez occasionnelle des restaurants et une pratique limitée d activités de loisirs payantes (voir page 10) NB : Les données ci-dessus ne tiennent pas compte des dépenses liées aux travaux (considérées comme extraordinaires, hors quotidien). Les dépenses allouées aux travaux et à l entretien de la résidence secondaire Dépenses annuelles moyennes allouées aux travaux dans la résidence secondaire : euros par logement (moyenne nationale* : euros) 23 % des répondants déclarent faire appel à des prestataires de services pour l entretien de leur résidence secondaire (gardiennage, ménage, jardin, etc.) Dépenses annuelles moyennes liées à l entretien du logement : 792 euros soit plus du double de la moyenne nationale* (360 euros) Consultez l étude Département pour plus d information sur les dépenses des propriétaires (
9 RETOMBÉES ÉCONOMIQUES 2/2 page 9 Les marchés et les petites à grandes surfaces plébiscités par les propriétaires Des propriétaires globalement satisfaits de l offre commerciale Boulangerie, pâtisserie Épicerie Liquides, boissons Boucherie, charcuterie Huîtres, fruits de mer Poissonnerie Fruits et légumes Crèmerie, fromagerie Équipement de la maison Équipement de la personne Jardinerie Produits Tabac, presse, journaux Pourcentage de répondants : Inférieur à 20 % Entre 20 et 49 % Lieux d achats des produits de base : (plusieurs réponses possibles) Lieu d achats dans la commune Commerces de proximité Marchés Entre 50 et 79 % Supérieur ou égal à 80 % Lieu d achats Petites, moyennes hors de la et grandes surfaces commune SURFACE Non significatif Une excellente évaluation en été, plus critique en dehors de la saison : Horaires d ouverture : 97 % de satisfaction en juillet-août, 78 % en hors saison Diversité de l offre : 85 % de satisfaction en juillet-août, 63 % en hors saison Accueil : 79 % de satisfaction quelle que soit la saison Rapport qualité/prix, une évaluation plus mitigée : En juillet-août : 58 % de propriétaires insatisfaits, soit le deuxième taux d insatisfaction le plus élevé après celui des Portes-en-Ré En hors saison : un mécontentement qui concerne encore 30 % des propriétaires Des propriétaires attachés au marché de leur commune, mais des commerces de proximité moins fréquentés que sur les autres communes Des petites à grandes surfaces qui drainent de nombreux propriétaires Une insatisfaction du rapport qualité/prix, nettement accentuée en saison estivale
10 RESTAURATION ET LOISIRS page 10 Bars-restaurants : une offre appréciée en été Horaires d ouverture : 87 % de satisfaction en juillet-août, 65 % en hors saison Diversité de l offre : 83 % de satisfaction en juillet-août, 59 % en hors saison Accueil : 64 % de satisfaction en juillet-août, 71 % en hors saison Rapport qualité/prix, une évaluation plus mitigée : En juillet-août : 44 % de propriétaires insatisfaits (31 % à l échelle départementale). En hors saison : un mécontentement qui concerne encore 27 % des propriétaires Les propriétaires de résidences secondaires sur l Ile de Ré sont les plus critiques quant au rapport qualité/prix de l offre en restaurants-bars. Le niveau d insatisfaction est cependant moindre à St-Martin qu aux Portes-en-Ré. Des propriétaires assez satisfaits de l offre de service en barsrestaurants, mais une vigilance quant au rapport qualité-prix Promenade et bricolage/jardinage : des pratiques privilégiées Des pratiques plus urbaines qu ailleurs sur l Île de Ré : shopping, fréquentation des bars-restaurants,... au détriment des pratiques de plage La résidence secondaire : un lieu de retrouvailles familiales et amicales, en particulier à St-Martin La commune de la résidence secondaire : un lieu d activités et de détente Pour 76 % des propriétaires, la résidence secondaire est un lieu de repos et de détente Elle représente également un lieu de retrouvailles avec famille et amis pour 69 % d entre eux, et un lieu d évasion pour 48 % Pour 45 %, elle est un lieu d attaches familiales ou sentimentales C est également l occasion de pratiquer des loisirs pour 31 % d entre eux Quels sont les principaux loisirs des propriétaires? Quelles activités pratiquez-vous régulièrement durant vos séjours dans votre résidence secondaire? (plusieurs réponses possibles) Promenade à pied Marchés, brocantes, vide-greniers Bricolage, jardinage Plage, baignade Promenade à vélo Accueil famille/amis Repos, détente Shopping Restaurant-bar Sport Monuments, musées Animation culturelle Pêche Sport nautique Thalasso Casino 0% 20% 40% 60% 80% 100% Pourcentage des répondants Valeurs enregistrées sur l ensemble de la CDC Ré La commune de St-Martin-de-Ré se caractérise par davantage de pratiques de promenade (à pied, à vélo), de bricolage/jardinage, et de visite de marchés. Le shopping, la fréquentation des restaurants-bars et la participation aux animations culturelles enregistrent des valeurs plus fortes que sur l ensemble de l île. L accueil de proches est également élevé (68 %), comme dans l arrière-pays du département, tandis que les pratiques de baignade sont plus limitées (51 %) qu aux Portes-en-Ré par exemple. L absence de grandes plages sur le commune peut expliquer cet état de fait.
11 PERCEPTION DES RISQUES LIÉS À LA MER page , Xynthia... : peu de propriétaires touchés et une conscience du risque faible Communes enquêtées les plus impactées : Groupe des sept communes de la CDA de La Rochelle : 29 % des répondants ont déjà subi des dégâts dans leur résidence secondaire Châtelaillon-Plage : 23 % La Rochelle : 13 % Communes enquêtées les moins impactées : Les Portes-en-Ré : 7 % des répondants touchés St-Martin-de-Ré et Royan : 5 % Ste-Marie-de-Ré et St-Georges-d Oléron : 4 % Le Grand-Village-Plage et St-Trojan-les-Bains : 3 % Les Mathes et Dolus-d Oléron : 2 % Vaux-sur-Mer : 1 % Au vu de cet impact limité, le sentiment d exposition aux risques touche 14 % des propriétaires de St-Martin-de-Ré (voir graphique ci-contre). C est le sentiment d exposition le plus faible des communes littorales interrogées, bien que l Île de Ré ait été plus impactée, dans son ensemble, que les côtes royannaises. Consultez les fiches des territoires et des communes pour les données locales ( 14 % des répondants se sentent exposés aux risques liés à la mer Le plus faible sentiment d exposition des communes littorales interrogées 100% 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% " Considérez-vous que votre résidence secondaire est située dans une zone exposée aux risques liés à la mer? " Châtelaillon-Plage Les Portes-en-Ré Dolus-d'Oléron La Rochelle Le Grand-Village-Plage et St-Trojanles-Bains CDA La Rochelle Les Mathes Autres communes littorales St-Georges-d'Oléron Ste-Marie-de-Ré Royan Vaux-sur-Mer St-Martin-de-Ré Oui Non
12 Retrouvez la collection de l étude sur les résidences secondaires en Charente-Maritime, en téléchargement sur rubrique Observatoire / Les résidences secondaires étude Département études Territoires études Communes 1 Charente-Maritime Carnet Pro 02 Pays d Aunis 03 CDC Vals de Saintonge 04 Pays de Saintonge Romane 05 CDA de Saintes 06 CDC de la Haute-Saintonge 07 CDC Charente-Arnoult et CDC canton de Gémozac 08 CDC Bassin de Marennes 09 CDA Rochefort Océan 10 CDA La Rochelle 11 CDC Île de Ré 12 CDC Île d Oléron 13 CDA Royan Atlantique 14 La Rochelle 15 Châtelaillon-Plage 16 Communes littorales de la CDA LR (hors La Rochelle et Châtelaillon) 17 Les Portes-en-Ré 18 St-Martin-de-Ré 19 Ste-Marie-de-Ré 20 Les Mathes/La Palmyre 21 Vaux-sur-Mer 22 Royan 23 Le-Grand-Village-Plage et St-Trojan-les-Bains 24 Dolus-d Oléron 25 St-Georges-d Oléron Stéphane DONNAT T stephane.donnat@en-charente-maritime.fr Caroline BLONDY Luc VACHER Didier VYE T caroline.blondy@univ-lr.fr luc.vacher@univ-lr.fr didier.vye@univ-lr.fr Olivier BELLANGER T o.bellanger@rochefort.cci.fr Murielle VERMANDÉ T m.vermande@larochelle.cci.fr
BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI
BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI DANS L ECONOMIE SOCIALE EN 2013 Cécile BAZIN Marie DUROS Amadou BA Jacques MALET Octobre 2014 INTRODUCTION Pour la septième année consécutive, l Association des Régions de
Plus en détailPrésentation du Programme PHARE. Direction générale de l offre de soins - DGOS
Présentation du Programme PHARE Les achats hospitaliers, levier majeur de performance pour les établissements Achats hospitaliers : 18 Milliards d euros en 2009 Non médicaux 42% Achats Hospitaliers Médicaux
Plus en détailEvolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR
Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Vanina BOUSQUET InVS St MAURICE 20 Mai 2014 Journée plénière de la FEDORU SOMMAIRE Etat des lieux des remontée de RPU Etat des lieux des structures régionales
Plus en détailETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE. Atelier de 14h30 16h00
ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE Atelier de 14h30 16h00 Objectifs Identifier les zones en difficultés afin d éviter des fermetures De maintenir des effectifs suffisants dans les CFA
Plus en détailLe Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE
Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat (FSPOEIE) constitue
Plus en détail21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com. C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5
21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5 I TAUX AU PLUS BAS : et si ça continuait? II RENEGOCIATION DE CREDITS : les règles du jeu changent
Plus en détailLes enjeux du quotidien
Les enjeux du quotidien LES FRANCAIS ET LES JEUX D ARGENT EN LIGNE Sondage réalisé pour : La Presse quotidienne Nationale, Régionale, Urbaine Gratuite et la Presse Hebdomadaire Régionale ATTENTION EMBARGO
Plus en détailISF et intermédiation : Collecte 2009
ISF et intermédiation : Collecte 2009 juillet 2009 1 Contexte et méthodologie Contexte: L AFIC et l AFG ont conduit une enquête pour suivre l impact des mesures dites «ISF PME», et en particulier, pour
Plus en détailAQUITAINE. Suivi de la Demande touristique 2010 1 ~
SUIVI DE LA DEMANDE TOURISTIQUE AQUITAINE ANNEE 2010 Note dee conjoncture TNS SOFRES-CRTA Suivi de la Demande touristique 2010 CRTAA DIRECCTE Aquitaine TNS T SOFRES 1 ~ SOMMAIRE AVERTISSEMENT METHODOLOGIQUE...
Plus en détailBovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4
Bovins viande Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013 Chif Régions Nbre de Nbre de Nbre de troupeaux troupeaux troupeaux adhérents adhérents suivis en en VA4 en VA0 engraissement Nbre de troupeaux
Plus en détailBilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie
Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011 Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Préambule : Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM), régis par les articles L. 114-1-1 et
Plus en détailObservatoire de l Eolien
Observatoire de l Eolien Analyse du marché et des emplois éoliens en France Colloque France Energie Eolienne 2 octobre 2014 Editorial France Energie Eolienne, porte-parole de l éolien, regroupe les professionnels
Plus en détailLES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS. Université Lille 2
LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS Université Lille 2 Master STAPS «Grand Nord» - Entraînement et Optimisation de la Performance Sportive _ option Préparations
Plus en détailQuickTime et un décompresseur sont requis pour visionner cette image. ETUDE DE CLIENTELE TOURISTIQUE DU LIMOUSIN. 7 avril 2009
ETUDE DE CLIENTELE TOURISTIQUE DU LIMOUSIN 7 avril 2009 Objectifs de l enquête Définir les caractéristiques des clientèles touristiques du Limousin : motivations, profils et comportements Mesurer leur
Plus en détailLa Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région. - Juillet 2010 -
La Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région - Juillet 2010 - Votre besoin en Capital Vous êtes dirigeant (ou futur dirigeant) d entreprise et vous souhaitez : Créer ou
Plus en détailRéseau CAI Bpifrance L EQUIPE DES CHARGES D AFFAIRES INTERNATIONAUX UBIFRANCE
L EQUIPE DES CHARGES D AFFAIRES INTERNATIONAUX UBIFRANCE [Mise à jour : 10 mai 2014] 1 L équipe Siège UBIFRANCE Paris Michel Bauza Chef de Département UBIFRANCE siège, Paris Téléphone fixe 01 40 73 35
Plus en détailTypologie des séjours en Bourgogne en 2007 Suivi de la Demande Touristique 2007
Typologie des séjours en Bourgogne en 2007 Suivi de la Demande Touristique 2007 1 Sommaire 1. Objectif et méthode p. 3 2. Données de cadrage : les séjours en Bourgogne en 2007, Suivi de la Demande Touristique
Plus en détailcafé, restaurant & salon de thé DOSSIER DE CANDIDATURE franchise
DOSSIER DE CANDIDATURE franchise 1. DEMANDEUR PHOTO ÉTAT CIVIL Nom Prénom Date de naissance Lieu de naissance / / Adresse Code postal Téléphone fixe Fax Ville tél portable: E-mail Situation familiale :
Plus en détailLa preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013
La preuve par Principaux enseignements du bilan des PRT et du recensement des projets télémédecine 2013 Le recensement Télémédecine 2013 01 Synthèse du recensement Télémédecine 2013 02 Répartition et maturité
Plus en détailLes touristes français et internationaux de la destination Paris Ile-de-France
Les touristes français et internationaux de la destination Paris Ile-de-France Résultats annuels 2014 des dispositifs permanents d enquêtes dans les aéroports, dans les trains et sur les aires d autoroutes
Plus en détailBienvenue à Loire-Centre. Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre
Bienvenue à Loire-Centre Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre Présentation Le Groupe BPCE 2 Un groupe puissant et solide Les groupes Banque Populaire et Caisse d Epargne se sont unis pour créer
Plus en détailENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires
ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires Données 2012 Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47 20 30 33 http://www.iplusc.com Octobre 2013 1/52 UNIVERS ETUDIE ET RAPPELS METHODOLOGIQUES
Plus en détail3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT
3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT 3 - L offre d hébergement Définitions Dans ce chapitre sont présentés les parcs d hébergement marchand et non marchand qui constituent l offre touristique française. Le
Plus en détailListe des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013
12/07/2013 1 Liste des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013 AXA BANQUE 01 55 12 83 67/82 68 BAIL ENTREPRISES 02 98 34 43 37 BANCO BPI - Succursale France 01 44 50 33
Plus en détailListe des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015
02/09/2015 1 Liste des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015 AXA BANQUE 01 55 12 83 67/82 68 BAIL ENTREPRISES 02 98 34 43 37 BANCO BPI - Succursale France 01 44 50 33
Plus en détailTARIFICATION BANCAIRE :
TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux vivre votre argent 27 janvier 2012 Pour ce palmarès 2012, la CLCV et Mieux vivre votre argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février
Plus en détailLe marché des logiciels en France Perspectives d évolution pour le channel
Le marché des logiciels en France Perspectives d évolution pour le channel Le nouveau paradigme de l IT IDC Visit us at IDC.com and follow us on Twitter: @IDC 2 L arrivée de nouvelles technologies insuffle
Plus en détailDéveloppement des compétences, construction des parcours, prévention de la pénibilité et de l usure professionnelle, égalité professionnelle,
Des secteurs professionnels et des territoires investis sur les conditions de travail et la qualité de vie au travail L Serge DELTOR Directeur de l ARACT LR Délégué régional de l ANACT Aider les secteurs
Plus en détailACTION 1 L utilisation des chevaux de trait pour les travaux communaux. Rapport d étude 3
ACTION 1 L utilisation des chevaux de trait pour les travaux communaux Rapport d étude 3 LES DIFFERENTES UTILISATIONS DU CHEVAL DE TRAIT DANS LES COMMUNES FRANÇAISES Le cheval apparait aujourd hui comme
Plus en détailFICHE CANDIDATURE. Ain de mieux vous connaître, nous vous remercions de compléter soigneusement toutes les rubriques de ce document.
FICHE CANDIDATURE Ain mieux vous connaître, nous vous remercions compléter soigneusement toutes les rubriques ce document. Ce document dûment complété n engage en rien Planet Sushi ou le candidat. L intégralité
Plus en détailSITUATIONS CONTRASTÉES POUR LES ENTREPRISES LORS DU PASSAGE AUX ALLÉGEMENTS DE LA LOI FILLON
ACO S S STA T SITUATIONS CONTRASTÉES POUR LES ENTREPRISES LORS DU PASSAGE AUX ALLÉGEMENTS DE LA LOI FILLON N - JANVIER 5 Le 1er juillet 3, une réduction unique des cotisations patronales de Sécurité sociale
Plus en détailQuelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013
Quelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013 Sommaire Le Top 15.... 3 Les évolutions récentes... 7 Evolution du PNB... 12 Les résultats
Plus en détailTARIFICATION BANCAIRE 15 janvier 2015 L ENQUETE ANNUELLE
TARIFICATION BANCAIRE 15 janvier 2015 L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Pour ce palmarès 2015, 140 banques de métropole et d outre-mer ont été passées à la loupe. Les tarifs analysés? Ceux en
Plus en détailENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité
Observatoire des Métiers de la Prévention et de la Sécurité ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Données 2013 Version définitive Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47
Plus en détail1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE
1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE 2 1985 / 2009 : 25 ans de concours du crédit-bail au financement de l d entreprise* 1.Introduction : le crédit-bail,
Plus en détailÉtude sur la localisation et la densité de 4 professions de santé : médecins généralistes libéraux infirmiers libéraux chirurgiens dentistes libéraux
Étude sur la localisation et la densité de 4 professions de santé : médecins généralistes libéraux infirmiers libéraux chirurgiens dentistes libéraux masseurs kinésithérapeutes libéraux 1 sommaire p 3
Plus en détailQuelles sont les motivations des Français qui font le choix de l investissement locatif en 2015?
www.creditfoncier.com U N E É T U D E D U C R É D I T F O N C I E R Quelles sont les motivations des Français qui font le choix de l investissement locatif en 2015? SEPTEMBRE 2015 sommaire PAGE 02 PAGE
Plus en détailEnquête Nationale sur le devenir des diplômés de
Enquête Nationale sur le devenir des diplômés de DUT 2010 Mesures Physiques Résultats de l IUT de Reims-Châlons-Charleville (Note de synthèse sur les diplômés de formation initiale hors alternance) Novembre
Plus en détailTARIFICATION BANCAIRE :
TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Argent 25 janvier 2013 Pour ce palmarès 2013, la CLCV et Mieux Vivre Votre Argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février
Plus en détailObservatoire de l équipement audiovisuel 2 ond semestre 2014. Département Télécom et Equipement Novembre 2014
Observatoire de l équipement audiovisuel 2 ond semestre 2014 Département Télécom et Equipement Novembre 2014 Rappel Méthodologique Modes de réception TV À partir de 2014 : Niveau national et régional Enquête
Plus en détailLa Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences dans votre entreprise
50 salariés et plus / groupes de distribution (GDSA) dans la Branche des Services de l Automobile GPEC La Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences dans votre entreprise Anticiper les enjeux
Plus en détailLes prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans
COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 29 Février 212 Les prélèvements d eau en France en 29 et leurs évolutions depuis dix ans OBSERVATION ET STATISTIQUES ENVIRONNEMENT En 29, 33,4 milliards
Plus en détail30 concours de saut d obstacles Pro sont filmés et diffusés en direct. Ils servent de support aux paris sportifs en ligne.
Un nouveau circuit de saut d obstacles Au format très télévisuel Support de paris sportifs en ligne 30 concours de saut d obstacles Pro sont filmés et diffusés en direct. Ils servent de support aux paris
Plus en détail"La santé des étudiants en 2009"
Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2009" 6ème Enquête Nationale Communiqué de presse. p 2 L USEM et les mutuelles étudiantes régionales.......... p 4 Présentation de l enquête santé... p 5 Méthodologie
Plus en détailForm. tion. Magazine. spécial emploi. Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie
Form tion Magazine Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie spécial emploi Région Haute-Normandie Édito P 3 P 4 P 6 P 7 P 8 P 10 P 11 Engagé dans
Plus en détailRapport d activité. Rhône-Alpes Active Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires
Rapport d activité 2014 Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires EN En 2014 3 668 emplois créés ou consolidés 907 projets accompagnés et 20,9 M mobilisés en Jean Jacques Martin Président
Plus en détailAwoO en 2013. Partner Talent Colloque FF Voile 2013 19 Mars 2013
AwoO en 2013 Partner Talent Colloque FF Voile 2013 19 Mars 2013 Un partenariat fort Entre les acteurs Par la Mutualisation Pour un but commun : développer l activité Un outil qui fonctionne Témoignages
Plus en détailLivret. du professeur OBJECTIF TRAVAUX PUBLICS. Le programme Le site Internet La visite Le concours photo
Livret du professeur Le programme Le site Internet La visite Le concours photo OBJECTIF TRAVAUX PUBLICS OBJECTIF TRAVAUX PUBLICS Découverte professionnelle 2010-2011 Découverte professionnelle 2010-2011
Plus en détailrapport de l observatoire des TArifs bancaires
2013 rapport de l observatoire des TArifs bancaires 2013 rapport de l observatoire des tarifs bancaires Préambule La loi de régulation bancaire et financière du 22 octobre 2010 a confié au Comité consultatif
Plus en détailDépendance et rayonnement. des établissements franciliens
ILE -DE- FRANCE études études Mai 2006 Dépendance et rayonnement des établissements franciliens Document réalisé dans le cadre du Schéma Directeur Régional de l'ile-de-france Julie Roy Insee Ile-de-France
Plus en détailRAPPORT 2012 DE L OPTL - ILE DE FRANCE
Page 1 RAPPORT 2012 DE L OPTL - ILE DE FRANCE Page 2 Page 3 RAPPORT 2012 DE L OPTL - ILE DE FRANCE Sommaire Sommaire... 3 Edito... 4 Champ d application et d observation... 6 Établissements..14 Effectifs...
Plus en détailMédiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance
Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance Septembre 2010 1 SOMMAIRE 1. Présentation de la Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la soustraitance
Plus en détailUn dispositif d appui aux très petites entreprises
Spectacle vivant Un dispositif d appui aux très petites entreprises DA TPE-SV Votre entreprise a besoin de se développer? Elle emploie moins de cinq salariés? Vous pouvez bénéficier d un accompagnement
Plus en détailLES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013
LES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013 Étude réalisée pour Imagerie Santé Avenir 2013 CEMKA-E VAL 43,
Plus en détailPanorama. de l économie sociale et solidaire
Panorama de l économie sociale EN FRANCE ET DANS LES RÉGIONS Réalisée par l Observatoire National de l Economie Sociale et Solidaire, cette nouvelle édition du «Panorama de l économie sociale en France
Plus en détailENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité
Observatoire des Métiers de la Prévention et de la Sécurité ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Données 2012 Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47 20 30 33 http://www.iplusc.com
Plus en détailF.F.V. Réunions fédérales/réunions Aff.Générales/ Réunion 24/03/2000
F.F.V. Réunions fédérales/réunions Aff.Générales/ Réunion 24/03/2000 PARIS, le 11 Avril 2000 PROCES VERBAL REUNION AFFAIRES GENERALES DU 24 MARS 2000 Présents : MM. SIMON, MERIC, VILLEROT, MARLIOT, Mmes
Plus en détailMICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ SOCIAL
ÉDUCATION FORMATION UDGET INSERTION ORMATION MICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ 2012 EDUCATION INSERTION SOCIAL MESSAGE DE LA PRÉSIDENTE Florence RAINEIX Directrice générale de la Fédération
Plus en détailLa Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local. Bruges, le 3 juillet 2013
CEBATRAMA La Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local Bruges, le 3 juillet 2013 HÉRITIÈRE DES SERVICES FINANCIERS DE LA POSTE 100% Filiale à 100% du groupe La Poste La Banque Postale
Plus en détailPolitique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens
au 1er Juin 2015 Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens Sommaire Synthèse des objectifs Synthèse générale des programmes européens... 4 Synthèse générale
Plus en détailIdentification : ERDF-NOI-RAC-02E Version : V.3.0 Nombre de pages :14
3. ACCES RACCORDEMENT D Identification : -NOI-RAC-02E Version : V.3.0 Nombre de pages :14 Version Date Nature de la modification Annule et remplace V.1.0 17/10/2013 Version initiale -NOI-RAC-02E V.2.7
Plus en détailAssurances de biens et de responsabilité. Etude Mars 2014
Assurances de biens et de responsabilité Etude Mars 2014 Tempêtes, grêle et neige : Résultats de l année 2012 Ce document est la propriété exclusive de la FFSA et du GEMA et est protégé par le droit d'auteur.
Plus en détailObservatoire de l équipement audiovisuel des foyers
Observatoire de l équipement audiovisuel des foyers 1 er semestre 2013 Réalisé par 1 Édito L Observatoire de l équipement audiovisuel des foyers succède à l Observatoire de l équipement des foyers pour
Plus en détailau 1er novembre 2013
au 1er novembre 2013 Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens Sommaire Synthèse des objectifs Synthèse générale des programmes européens... 4 Synthèse générale
Plus en détailLa VAE à travers les régions. (information conseil et validation) Année 2012. études. Etude logo Proposition 4 bis
La VAE à travers les régions (information conseil et validation) Année 2012 études Etude logo Proposition 4 bis Décembre 2014 Sommaire NOTICE DE LECTURE p. 3 INFORMATION CONSEIL EN VAE Points relais conseil
Plus en détailInformatisation des données transfusionnelles
Informatisation des données transfusionnelles Dr Marie-France Angelini Tibert Coordonnateure régionale d hémovigilance Réunion - Mayotte Objectifs Optimiser et sécuriser les circuits Optimiser et sécuriser
Plus en détailPRÉSENTATION DU PROGRAMME DE SERVICE PUBLIC 2014 DE L IGN
PRÉSENTATION DU PROGRAMME DE SERVICE PUBLIC 2014 DE L IGN Commission Animation territoriale CNIG 28/01/2014 Marie-Louise ZAMBON IGN (chef du service des programmes à la direction des programmes civils
Plus en détailChaire Attractivité et Nouveau Marketing Territorial
Chaire Attractivité et Nouveau Marketing Territorial Dossier de presse Contact Chaire : Joël Gayet Mobile : 00 33 6 09 51 15 70 Jgayet.chaire anmt@sciencespo aix.fr Contact Sciences Po Aix : Noëlline Souris
Plus en détailPanorama des formations post-baccalauréat en Transport et Logistique
Panorama des formations post-baccalauréat en Transport et Logistique AFITL - 3 mai 2006 L objectif poursuivi Offrir aux membres de l AFITL (ou à quiconque se promène sur son site Internet) un recensement
Plus en détailLE TOURISME N A PAS DE FRONTIERE
LE TOURISME N A PAS DE FRONTIERE Samedi 30 mai 2015 Photo : Jaymantir UNE DESTINATION, C EST QUOI? Juin 2015 Brigitte Bloch Le touriste, un oiseau migrateur Le touriste n a pas de frontière. Sa vision
Plus en détailEtude de Besoin de Main-d Oeuvre dans la Plasturgie
Etude de Besoin de Main-d Oeuvre dans la Plasturgie Année 2013 SOMMAIRE Représentation géographique des projets de recrutement par métier en 2012 Pilotes d'installations lourdes des industries de transformation...
Plus en détaill EmPloi CAdrE : une répartition très inégale sur le territoire
l EmPloi CAdrE : une répartition très inégale sur le territoire Les études de L emploi cadre n 2015-32 mars 2015 Cadres du privé et zones d emploi : une forte concentration. Les places fortes de l emploi
Plus en détailCRT Picardie. Enquête auprès des acteurs du tourisme
CRT Picardie Enquête auprès des acteurs du tourisme 1 Votre entreprise ou structure / organisme institutionnel Votre nom : Votre titre : Votre e-mail : (pour pourvoir vous envoyer le résultat de l enquête)
Plus en détail56 rue Laffitte - 75320 PARIS CEDEX 09 Tél. : 01 55 07 85 85 Site internet : www.sett.org
56 rue Laffitte - 75320 PARIS CEDEX 09 Tél. : 01 55 07 85 85 Site internet : www.sett.org I II L emploi intérimaire s est contracté de 2,7% en 2003 L évolution de l emploi intérimaire est soumise aux fluctuations
Plus en détailEmploi et Formation Secteur Publicité
Rapport statistique Emploi et Formation Secteur Publicité 2009-2010 AFDAS / R&D - Septembre 2012 Sommaire 1. DONNEES SUR L EMPLOI 3 1.1. POINT METHODOLOGIQUE ET PRECAUTIONS D USAGE 4 1.2. LES ENTREPRISES
Plus en détailL emploi lié au tourisme dans le Territoire de Belfort
Chiffres clés 1 207 emplois en moyenne sur l année 2011 dans le Territoire de Belfort*. Soit 850 emplois en équivalent temps plein (dont plus de 700 en zone urbaine). 2,4 % de l emploi total du département.
Plus en détailQuelle image avez-vous de la Belgique?
Quelle image avez-vous de la Belgique? Saviez vous que?. Sont d origine belge. Le saxophone. La marque de montres Ice watch. La chaine de fast food Quick. l ile de Porquerolles au large de Toulon appartenait
Plus en détailListe des centres du sommeil homologués par la Société Française de Recherche et Médecine du Sommeil
Liste des centres du sommeil homologués par la Société Française de Recherche et Médecine du Sommeil Cette liste n est pas exhaustive. Le classement est effectué par ordre alphabétique de région (Alsace,
Plus en détailDOSSIER D'ADHESION BOURSE DES DEMENAGEMENTS http://votre-devis-demenagement.fr
COORDONNEES DE VOTRE SOCIETE DOSSIER D'ADHESION BOURSE DES DEMENAGEMENTS http://votre-devis-demenagement.fr Dossier d'adhésion à compléter et à retourner à : SAS La Bourse des Déménagements - 23-25 rue
Plus en détailLE GUIDE DE L'AGENT IMMOBILIER DE FAMILLE. www.imogroup.com FINANCEMENT GESTION PROMOTION VENTE LOCATION ACHAT
RÉSEAU NATIONAL D'AGENCES IMMOBILIÈRES INDÉPENDANTES ACHAT VENTE GESTION LOCATION PROMOTION FINANCEMENT LE GUIDE DE L'AGENT IMMOBILIER DE FAMILLE N É O, L ' A G E N T I M M O B I L I E R D E F A M I L
Plus en détailLA RÉPARTITION DES PROFESSIONNELS DU RACHAT DE CRÉDIT EN FRANCE http://www.1rachat-crédit.com/
LA RÉPARTITION DES DU RACHAT DE CRÉDIT EN FRANCE http://www.1rachat-crédit.com/ Les tableaux suivants permettent de retrouver les données détaillées de la répartition des entreprises de rachat de crédits
Plus en détailSeptembre 2010 - N 87 L édition 2010 du Game Fair en Loir-et-Cher Profil des visiteurs et impact économique. Enquête réalisée du 18 au 20 juin 2010
Septembre 10 - N 87 L édition 10 du Game Fair en Loir-et-Cher Profil des visiteurs et impact économique Enquête réalisée du 18 au juin 10 Depuis 1987, le Game Fair a élu domicile dans le cadre prestigieux
Plus en détailEtudes. Pérennité des entreprises Insertion des créateurs & Impact de l action de l Adie sur l insertion des créateurs et sur leur satisfaction
Etudes Pérennité des entreprises Insertion des créateurs & Impact de l action de l Adie sur l insertion des créateurs et sur leur satisfaction Deux études Étude n 1!: Pérennité des entreprises Insertion
Plus en détailGrenelle de l environnement BONUS ECOLOGIQUE
Grenelle de l environnement BONUS ECOLOGIQUE N 51243#03 Décret n 2010-1618 du 23 décembre 2010 modifiant le décret n 2007-1873 du 26 décembre 2007 instituant une aide à l acquisition des véhicules propres
Plus en détailREGION HAUTE-NORMANDIE
Évaluation des effets d une fusion de la Région Haute-Normandie et de la Région Basse-Normandie REGION HAUTE-NORMANDIE Évaluation des effets d une fusion de la région Haute-Normandie et de la région Basse-Normandie
Plus en détailOTT Observatoire du Travail Temporaire. L intérim dans le secteur du BTP
L intérim dans le secteur du BTP Septembre 2005 Sommaire Introduction page 3 I Données de cadrage du secteur du BTP page 4 A) Evolution du nombre de intérimaires et du taux de recours à l intérim pages
Plus en détailq u estions santé d économie de la analyse Repères Les primes des contrats individuels des couvertures complémentaires en 1998
Bulletin d information en économie de la santée q u estions d économie de la santé analyse Repères Depuis plusieurs années, l IRDES étudie le marché de la couverture complémentaire et a élaboré, en 1998,
Plus en détailINSTRUCTION. N 11-002-D61 du 12 janvier 2011 NOR : BCR Z 11 00002 J
INSTRUCTION N 11-002-D61 du 12 janvier 2011 NOR : BCR Z 11 00002 J VERSEMENT AU PROFIT DE L'ÉTAT DES SOMMES DÉPOSÉES SUR DES PRODUITS D'ÉPARGNE RÉGLEMENTÉE ATTEINTES PAR LA PRESCRIPTION TRENTENAIRE ANALYSE
Plus en détailTER 2020 : VERS UN NOUVEL ÉQUILIBRE
TER 2020 : VERS UN NOUVEL ÉQUILIBRE DOSSIER DE PRESSE SNCF CONTACTS PRESSE Clément Nourrit - 01 53 25 76 56 - clement.nourrit@sncf.fr Gaëlle Rual - 01 53 25 74 83 - gaelle.rual@sncf.fr TER 2020 : VERS
Plus en détailLA RÉPARTITION DES SERRURIERS EN FRANCE http://www.1serrurier.fr/
LA RÉPARTITION S EN FRANCE http://www.1serrurier.fr/ Les tableaux suivants permettent de retrouver les données détaillées de la répartition des entreprises de serrurerie en France métropolitaine et en
Plus en détailORS Centre, Haute-Normandie, Languedoc-Roussillon, Picardie, Provence-Alpes-Côte d'azur. La santé au travail. les régions de France
Fédération nationale des observatoires régionaux de la santé ORS Centre, Haute-Normandie, Languedoc-Roussillon, Picardie, Provence-Alpes-Côte d'azur La santé au travail dans les régions de France Collection
Plus en détailEnquête de satisfaction 2015
Direction de la Petite Enfance et des Familles Enquête de 2015 auprès des familles utilisatrices des crèches municipales Mairie de Bordeaux 28 mai 2015 Sommaire Cadre méthodologique Synthèse globale Présentation
Plus en détailE-ASSURÉS RECHERCHE LE PROFIL DES PERSONNES ASSURANCE SANTÉ DES A LA SUR INTERNET D UNE PUBLIÉ PAR. 23 e ÉDITION
L OBSERVATOIRE PUBLIÉ PAR LE PROFIL DES PERSONNES A LA RECHERCHE DES D UNE E-ASSURÉS 23 e ÉDITION SEPTEMBRE NOVEMBRE 2014 ASSURANCE SANTÉ SUR INTERNET QUI SOMMES-NOUS? PRÉSENTATION DE cmonassurance est
Plus en détailLes Médiévales de Provins Edition 2012
Étude sur les retombées économiques d un évènement culturel Les Médiévales de Provins Edition 2012 Provins xx/xx/2013 1 1 - Introduction : objectifs de l étude Une méthodologie nationale pour le calcul
Plus en détailPrésentation du Programme PHARE
Présentation du Programme PHARE Le programme PHARE : des gains pour la qualité de l offre de soins Le contexte du programme PHARE Les achats hospitaliers représentent 18 Md, second poste de dépenses des
Plus en détailComité départemental du tourisme de Haute Bretagne Ille et Vilaine
Comité départemental du tourisme de Haute Bretagne Ille et Vilaine Newsletters : Benchmark & Recommandations RESCAN Christophe crescan@mediaveille.com 02.99.14.80.93 1. Graphisme / Ergonomie Soignez la
Plus en détail[ Adie Contact : un lien avec le créateur sur la durée. [ L informatique se met à la portée des créateurs. [ Une action au coût limité
Le pôle accompagnement : L offre d accompagnement de l Adie est accessible aux créateurs pendant toute la durée de remboursement de leur prêt et à pour but de les aider à pérenniser et à développer leur
Plus en détailDossier de Presse. Contact : Luc Petit Tél. : 06 07 28 92 33 E-mail : lpetit@forces.fr. FORCES 90, avenue Maurice Berteaux BP 278 78504 Sartrouville
Dossier de Presse Contact : Luc Petit Tél. : 06 07 28 92 33 E-mail : lpetit@forces.fr FORCES 90, avenue Maurice Berteaux BP 278 78504 Sartrouville Historique Jean-Paul Debeuret, diplômé d'expertise comptable,
Plus en détailPour renforcer la politique foncière d aménagement rural et d installations agricoles : le partenariat Région Safer
Pour renforcer la politique foncière d aménagement rural et d installations agricoles : le partenariat Région Safer Ce document est issu d une concertation entre la Fédération Nationale des Sociétés d
Plus en détailL épargne de tous au service de l intérêt général
L épargne de tous au service de l intérêt général 1 Pour la réussite de tous les projets Sommaire Un modèle unique et vertueux 4 Prêts au logement social et à la politique de la ville 7 Prêts au secteur
Plus en détail