TD 2 TAUX DE CROISSANCE ET SCENARIOS DE SORTIE DE CRISE LA PRODUCTIVITE ET SES DETERMINANTS
|
|
- Mauricette Josiane St-Cyr
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 TD 2 TAUX DE CROISSANCE ET SCENARIOS DE SORTIE DE CRISE LA PRODUCTIVITE ET SES DETERMINANTS 1) Taux de croissance On dispose des données suivantes pour la France de 1995 à 2010 Période Année PIB en prix de 2000 (md euro) Sources : INSEE et estimation 1) Calculez les taux de croissance de l économie française en 1999, en 2003 et en 2007 (par rapport à l année précédente) 1387/ = 3,3% ; 1499/ = 1,1% ; 1638/ = 2,4% 2) Déterminez le logarithme népérien (Ln) du PIB en 1998 et 1999, en 2002 et 2003, et en 2006 et 2007 ; calculez la différence entre les valeurs trouvées pour chacun de ces couples : par exemple Ln Y 99 Ln Y 98 etc. Comparez aux résultats de la question 1. Ln 1343 = 7,203 ; Ln 1387 = 7,235 ; ΔLn = 0,032 Ln 1483 = 7,302 ; Ln 1499 = 7,312 ; ΔLn = 0,010 Ln 1600 = 7,378 ; Ln 1638 = 7,401 ; ΔLn = 0,023 Les ΔLn sont presqu égaux aux taux de croissance trouvés à la question 1 Retenons que ΔLn taux de croissance, à condition que les taux de croissance soient petits 3) Supposons que l économie croisse au taux constant de 2,25% par an de 1995 à Partant de 1255 milliards d euro en 1995, quelle sera la valeur du PIB en 2007? Quelle formule appliquez-vous pour déterminer ce résultat? Formule à appliquer : Yt = 1255 (1 + 0,0225) 12 = ,306 = 1639 = Y 2007
2 4) On se place toujours dans une perspective de croissance stable (à taux de croissance constant qu on appellera g). On définit deux fonctions représentatives de l évolution du PIB dans le temps (noté t) : Fonction 1 : Y t = Y 0 (1 + g) t Fonction 2 : Y t = Y 0 e gt En prenant Y 0 = 1225 et g = 2.25% = , calculez Y 13 avec chacune des deux fonctions. Comparez ces résultats avec la valeur du PIB affichée dans le tableau pour la période 13 (l année 2007). Avec la 1-ère fonction : Y 13 = 1225 ( ) 13 = ,335 = 1636 Avec la 2-de fonction : Y 13 = 1225 e 0, = ,340 = 1641 Dans les données réelles, on a Y 13 = 1638 ; nos deux fonctions donnent une bonne approximation de cette valeur (erreur de 0,2%). Ces deux fonctions donnent des résultats très voisins l un de l autre. 5) Ecrivez les fonctions 1 et 2 en logarithmes. Calculez les dérivées logarithmiques des deux fonctions (dlny t / dt). Comparez les résultats obtenus. Fonction 1 : Ln Y t = Ln Y 0 + t Ln (1 + g) Fonction 2 : Ln Y t = Ln Y 0 + gt (Ln e = 1) Dérivées logarithmiques : Fonction 1 : d Ln Y t / dt = Ln (1+g) Fonction 2 : d Ln Y t / dt = g La dérivée logarithmique est l équivalent du ΔLn de la question 1. Elle représente l expression mathématique du taux de croissance (que l on peut calculer de façon instantanée, c'est-à-dire pour un tout petit intervalle de temps). On peut dire que c est le taux de croissance instantané. Les deux fonctions 1 et 2 sont très proches. Pour des petites valeurs de g, on a l approximation Ln (1 + g) g Dans les expressions précédentes, j utilise la notation «dy/dx» pour désigner la dérivée d une fonction y(x). Cette expression ressemble à «y/ x» qui représente la variation de la fonction y quand la variable x change de x. On utilise les «d» à la place des pour exprimer qu on passe «à la limite» c'est-à-dire qu on cherche la variation de la fonction y quand x change de façon infinitésimale, c'est-à-dire quelle est la limite de y/ x quand x 0. Alternativement, on pourrait utiliser l écriture «y x» qui signifie exactement la même chose. 6) Quelle est la forme graphique de la fonction Y t = Y 0 e gt? Quelle est la forme graphique de la fonction Ln Y t? Quelle est celle de la fonction Y t si l on la représente en coordonnées semi-logarithmiques? Quelle est la forme de la fonction dlny t / dt? La forme graphique de Y t est une exponentielle. La forme graphique de Ln Y t est une droite de pente g et d ordonnée à l origine Ln Y 0. En coordonnées semi-logarithmiques, la forme de la fonction Y t est une droite de même forme que la précédente. La forme de la fonction d Ln Y t / dt est une droite horizontale dont l ordonnée est g. 2) Le PIB par tête et ses déterminants Un des indicateurs économiques les plus fréquemment utilisés est le PIB par habitant (obtenu pour chaque pays en divisant son PIB par sa population). Cet indicateur reflète à la fois le niveau de revenu d un pays et la productivité de ce pays.
3 Le PIB par tête peut être décomposé en plusieurs éléments suggérés dans la suite de cet exercice. Cette décomposition permettra d élucider quels facteurs rendent un pays plus ou moins «riche». Les données suivantes (pour l année 2008) ont été trouvées sur le site de l OCDE : PIB (milliards de dollars) Tableau 1 Données sur la production et le travail en 2008 (milliers de personnes) en âge de travailler active employée Heures travaillées (millions) FRANCE ALLEMAGNE ITALIE JAPON NORVEGE POLOGNE PORTUGAL ESPAGNE TURQUIE ROYAUME-UNI ÉTATS-UNIS RUSSIE ) A partir des données du tableau, calculez le PIB par habitant (en dollars), rangez les pays par ordre décroissant en fonction des résultats obtenus, et dressez un graphique en bâtons représentant ce résultat. PIB par habitant classé par ordre décroissant (en dollars courants) Norvège États-Unis France Allemagne Royaume-Uni Italie Japon Espagne Portugal Pologne Russie Turquie 9768
4 2) On cherche à analyser la composition de l indicateur précédent ; pour cela, on écrit l égalité : PIB/population = (PIB/heures travaillées) (heures travaillées/emploi) (emploi/population active) (population active/population en âge de travailler) (population en âge de travailler/population totale) a) Donnez une définition économique de chacun des rapports à droite du signe égal Le PIB par habitant est l indicateur de la productivité et du niveau de vie des pays. Le PIB par heure travaillée est un meilleur indicateur de la productivité puisqu il se réfère plus précisément à la quantité effective de travail fourni. Les heures travaillées rapportées à l emploi montrent combien d heures par an chaque personne employée travaille. L emploi rapporté à la population active ou taux d emploi montre combien de personnes ne sont pas au chômage (on verra que population active = population employée + personnes en recherche d emploi). La population active rapportée à la population en âge de travailler ou taux d activité montre combien de personnes, parmi celles qui pourraient travailler, sont effectivement employées ou en recherche d emploi. La population en âge de travailler rapportée à la population totale du pays est un indicateur démographique qui se réfère à la pyramide des âges. b) Calculez chacun des termes de l égalité pour la France et les Etats-Unis FRANCE ETATS UNIS PIB/population = (PIB/heures travaillées) 74,16 58,20 (heures travaillées/emploi) (emploi/population active) 90,9% 94,1% (population active/population en âge de travailler) 71,0% 75,3% (population en âge de travailler/population totale) 64,2% 64,7%
5 c) Comment peut-on expliquer que le PIB par tête est supérieur aux Etats Unis à ce qu il est en France? On constate que le PIB par habitant est légèrement supérieur aux Etats-Unis à ce qu il est en France. D où cela vient-il? La productivité horaire du travail est beaucoup plus forte en France qu aux Etats-Unis. Par contre, les Etats-Unis compensent cette faiblesse par un plus grand nombre d heures de travail annuel que la France (1771 heures par an à la place de 1490). Les Etats Unis ont aussi un taux de chômage plus faible que la France (du moins jusqu en 2008), ce qui fait que le taux d emploi y est plus fort. Il y a aussi aux Etats Unis plus de personnes actives parmi les gens en âge de travailler. On pourrait regrouper les deux catégories précédentes : quel est l emploi effectif en proportion de la population en âge de travailler? En France, 0,909 * 0,710 = 64,5% ; aux Etats Unis, 0,941 * 0,753 = 70,9% : les Etats-Unis font travailler beaucoup plus leurs ressources humaines disponibles que la France, et plus longtemps (19% de durée du travail en plus). Question : pourrait-on améliorer ces indicateurs en France? Une étude du Conseil d Analyse Economique (par Gilbert Cette et d autres auteurs) montre que la très haute productivité horaire du travail en France est due en grande partie à la faible durée du travail et à l élimination de l emploi des personnes peu productives. Si l on relevait la durée du travail et qu on attirait plus de monde dans l emploi, cela ferait très probablement baisser la productivité horaire. 3) Les scénarios de sortie de crise Le graphique ci-dessous représente l évolution du PIB français de 1995 à 2010 en distinguant la période (croissance stable en rouge) et la période (crise en rose), ainsi que 3 scénarios de «sortie de crise» de 2010 à 2013.
6 On a estimé un trend exponentiel sur la période (pointillés noirs) et on l a prolongé jusqu à a) Sachant que l équation du trend est celle indiquée sur le graphique, calculez le PIB que la France aurait pu atteindre en 2010 s il n y avait pas eu la crise? Même question pour On prendra pour ce calcul t = 16 pour 2010 et t = 19 pour PIB 2010 sans crise = 1763 (milliards d euro en prix constants de 2000) ; PIB 2013 selon le trend = 1886 b) On envisage comme scénario 1 un «rattrapage» : le PIB doit revenir à la valeur qu il aurait atteint en 2013 si la crise n avait pas eu lieu à partir de En partant du PIB réalisé en 2010, quel devrait être le taux de croissance annuel moyen en 2011 et en 2012 pour réaliser le scénario 1? En 2010, on est (réellement) à Pour arriver à 1886 en 3 ans, il faudrait avoir une croissance donnée par (1886/1621)1/3 = 1,052 correspondant à un taux de croissance de 5,2% par an. Pas irréalisable (on le faisait dans les années 50 et 60, les Etats-Unis l approchaient il y a encore qq années) mais très-très peu probable en France actuellement. c) Le scénario 2 est celui du retour au taux de croissance moyen pré-crise à partir de Quelle sera alors la valeur du PIB en 2013? Si l on suit un trend à 2,25% par an, partant de 1621 en 2010, on atteindra , = 1733 milliards d euros, soit 30 milliards au-dessous du trend sans crise. d) Le scénario 3 est celui de la rupture du trend : on suppose qu un nouveau trend va apparaître à partir de 2011 avec un taux moyen annuel de 1,4%. Quelle sera la valeur du PIB en 2013? Avec un taux de croissance de 1,4% par an, on aura ,014 3 = 1690 milliards Notons qu en général, une faible croissance engendre un nombre de chômeurs plus élevé, ce qui entraîne des dépenses sociales supplémentaires, et engendre aussi des recettes fiscales plus faibles, ce qui au total provoque un déficit budgétaire qui doit être financé par emprunt. D où des charges de paiement des intérêts de la dette qui grèvent le budget et peuvent entraîner encore plus de déficit, etc.
Le point sur les marchés des pensions. des pays de l OCDE OCDE
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 17 décembre 2013 à 14h30 «Etat des lieux sur l épargne en prévision de la retraite» Document N 13 Document de travail, n engage pas le Conseil Le
Plus en détailDES PAROLES ET DES ACTES : LES 4 MENSONGES DE MONSIEUR LENGLET
Cette fiche élaborée par la commission économie du Parti de Gauche révèle les 4 "erreurs" fondamentales issues de l'argumentaire que Monsieur Lenglet a opposé à Jean-Luc Mélenchon lors de l'émission des
Plus en détailLes chiffres essentiels des retraites Mis en ligne en mars 2011
Les chiffres essentiels des retraites Mis en ligne en mars 2011 Les bénéficiaires de retraites Nombre de retraités, selon les différents régimes (COR janvier 2010) : 16 millions dont : 11,3 millions :
Plus en détailActifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics
Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve
Plus en détailBASE DE DONNEES - MONDE
BASE DE DONNEES - MONDE SOMMAIRE Partie I Monnaies Partie II Epargne/Finances Partie III Démographie Partie IV Finances publiques Partie V Matières premières Partie I - Monnaies Cours de change euro/dollar
Plus en détailLA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE
LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE par John P. Martin, Martine Durand et Anne Saint-Martin* Audition
Plus en détailLe creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres
LE POINT SUR LES INÉGALITÉS DE REVENU Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres Résultats issus de la Base de données de l OCDE sur la distribution des revenus
Plus en détailRégimes publics de retraite État de la situation. Perspectives des différents régimes publics de retraite. Plan
Régimes publics de retraite État de la situation Perspectives des différents régimes publics de retraite 79 e congrès de l ACFAS 10 mai 2011 Plan Portrait des régimes publics de retraite La pression démographique
Plus en détailREGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA
REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA Regards sur l éducation est un rapport annuel publié par l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et portant sur
Plus en détailLes perspectives économiques
Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois
Plus en détailÂge effectif de sortie du marché du travail
Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Âge effectif de sortie du marché du travail Merci
Plus en détailQuelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation?
Indicateur Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? En 2008, les pays de l OCDE ont consacré 6.1 % de leur PIB cumulé au financement de leurs établissements d enseignement.
Plus en détailà la Consommation dans le monde à fin 2012
Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du
Plus en détailREVOIR LE FINANCEMENT DE L ASSURANCE MALADIE EN BASCULANT DES COTISATIONS SOCIALES VERS D AUTRES SOURCES DE FINANCEMENT
REVOIR LE FINANCEMENT DE L ASSURANCE MALADIE EN BASCULANT DES COTISATIONS SOCIALES VERS D AUTRES SOURCES DE FINANCEMENT Revoir le mode de financement de notre système d Assurance-maladie, institution à
Plus en détailLES RETRAITES. Dossier d information. Avril 2010
LES RETRAITES en france Dossier d information Avril 2010 LES RETRAITES en france Dossier d information Avril 2010 Contact presse Éva Quickert-Menzel 01 44 38 22 03 Sommaire Chiffres-clés des retraites...
Plus en détailAméliorer la gouvernance des Services Publics d'emploi pour de meilleurs résultats sur l'emploi
Améliorer la gouvernance des Services Publics d'emploi pour de meilleurs résultats sur l'emploi Congrès Mondial de l AMSEP Istanbul, 6 mai 2015 Sylvain Giguère, Directeur de la division LEED, OCDE Pourquoi
Plus en détailREPÈRES ÉCONOMIQUES POUR UNE RÉFORME DES RETRAITES JUILLET 2015
REPÈRES ÉCONOMIQUES POUR UNE RÉFORME DES RETRAITES JUILLET 2015 2000 2005 2010 2015 2020 2025 2030 2035 2040 2045 2050 2055 2060 en % du PIB UN FINANCEMENT DES RETRAITES TOUJOURS PAS ASSURÉ Solde financier
Plus en détailMIEUX TRAVAILLER AVEC L ÂGE
Lancement de la publication Paris, 30 janvier 2014 VIEILLISSEMENT ET POLITIQUES DE L EMPLOI MIEUX TRAVAILLER AVEC L ÂGE RAPPORT DE L OCDE SUR LA FRANCE Stefano Scarpetta, Directeur Anne Sonnet, Responsable
Plus en détailQuel est le temps de travail des enseignants?
Quel est le temps de travail des enseignants? Dans les établissements publics, les enseignants donnent, en moyenne et par an, 779 heures de cours dans l enseignement primaire, 701 heures de cours dans
Plus en détailAgricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.
Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005 Summary in French Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005 Résumé Le soutien accordé aux producteurs
Plus en détailPrésentation Macro-économique. Mai 2013
Présentation Macro-économique Mai 2013 1 Rendement réel des grandes catégories d actifs Janvier 2013 : le «sans risque» n était pas une option, il l est moins que jamais Rendement réel instantané 2,68%
Plus en détailFinancement du sport, crise économique et politique sportive
Conférence SNEP: «Sport demain, enjeu citoyen», Créteil, 30-31 mars 2012 Financement du sport, crise économique et politique sportive Wladimir ANDREFF * * Professeur émérite à l Université de Paris 1 Panthéon
Plus en détailAnnexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique
Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Les échanges de marchandises (biens et services), de titres et de monnaie d un pays avec l étranger sont enregistrés dans un document comptable
Plus en détailLes comptes nationaux et le SEC 2010
Les comptes nationaux et le SEC 2010 7 ème séminaire de la Banque nationale de Belgique pour enseignants en économie du secondaire Bruxelles, le 22 octobre 2014 Catherine RIGO Plan de l exposé Introduction
Plus en détailQu est-ce que la compétitivité?
Qu est-ce que la compétitivité? Le but de ce dossier pédagogique est d expliquer la notion de compétitivité d une entreprise, d un secteur ou d un territoire. Ce concept est délicat à appréhender car il
Plus en détailQUELLE DOIT ÊTRE L AMPLEUR DE LA CONSOLIDATION BUDGÉTAIRE POUR RAMENER LA DETTE À UN NIVEAU PRUDENT?
Pour citer ce document, merci d utiliser la référence suivante : OCDE (2012), «Quelle doit être l ampleur de la consolidation budgétaire pour ramener la dette à un niveau prudent?», Note de politique économique
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailLa situation en matière de pension privées et de fonds de pension dans les pays de l OCDE
La situation en matière de pension privées et de fonds de pension dans les pays de l OCDE Colloque Protection sociale d entreprise Paris, 26 mars 2010 http://www.irdes.fr/espacerecherche/colloques/protectionsocialeentreprise
Plus en détailLe virement SEPA. www.lesclesdelabanque.com. Novembre 2007 LES MINI-GUIDES BANCAIRES. Le site d informations pratiques sur la banque et l argent
027 www.lesclesdelabanque.com Le site d informations pratiques sur la banque et l argent Le virement SEPA LES MINI-GUIDES BANCAIRES FBF - 18 rue La Fayette - 75009 Paris cles@fbf.fr Novembre 2007 Ce mini-guide
Plus en détailRETRAITES : Y A-T-IL UNE SOLUTION IDÉALE EN EUROPE POUR UN AVENIR?
RETRAITES : Y A-T-IL UNE SOLUTION IDÉALE EN EUROPE POUR UN AVENIR? Une question européenne mais traitée dans chaque Etat membre L avenir des systèmes de retraite et ses conséquences sur la zone euro, internationalise
Plus en détailAMÉLIORER LE RAPPORT COÛT-EFFICACITÉ DES SYSTÈMES DE SANTÉ
Pour citer ce document, merci d utiliser la référence suivante : OCDE 2010, Améliorer le rapport coût-efficacité des systèmes de santé, OCDE Département des Affaires Économiques, Note de politique économique,
Plus en détail12. Le système monétaire
12. Le système monétaire Le rôle de la monnaie est fondamental. Imaginez une situation où aucun moyen de paiement ne ferait l unanimité : - Economie de «troc». - On échange des biens et services contre
Plus en détailPremières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28
194/2014-15 décembre 2014 Premières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28 Par rapport à 2013, le revenu agricole réel par actif 1 a diminué de 1,7% dans
Plus en détailAtelier numérique Développement économique de Courbevoie
Jeudi 20 septembre 2012 Atelier numérique Développement économique de Courbevoie Stratégie social-media Développement de Business avec le canal internet Atelier numérique de Courbevoie Intervenants : Olivier
Plus en détailPrésentation. + de 6 ans d expérience + de 1000 campagnes trackées + de 15 pays couverts + de 5 000 sites éditeurs
Présentation Créa Passion et ses partenaires développent depuis plus de 6 ans une dans le paysage de l Internet français et international. offre publicitaire unique Précurseur de solutions marketing et
Plus en détailoobservatoire du numérique OBSERVATOIRE DU NUMÉRIQUE CHIFFRES CLÉS MAI 2014
oobservatoire du numérique OBSERVATOIRE DU NUMÉRIQUE CHIFFRES CLÉS MAI 2014 oobservatoire du numérique USAGES DES TIC - ENTREPRISES ÉQUIPEMENT NUMÉRIQUE Utilisation des TIC en 2013 des entreprises France
Plus en détailEGALITÉ ENTRE LES FEMMES
ÉGALITÉ CHERCHEUSE FEMME ENSEIGNEMENT HOMME ÉTUDIANTE RECHERCHE EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES Chiffres clés de la parité dans l enseignement supérieur et la recherche ÉGALITÉ entre les FEMMES
Plus en détailLe besoin d épargne retraite en Europe
À propos d Aviva Aviva est le 6e assureur mondial*, avec plus de 5 millions de clients répartis en Europe, en Amérique du Nord et dans la zone Asie-Pacifique. Les principaux métiers du groupe Aviva sont
Plus en détailPension AOW pour les assurés hors des Pays-Bas
Pension AOW pour les assurés hors des Pays-Bas Sommaire Qu est-ce que la pension AOW? 2 A qui est destinée la pension AOW? 2 Quand aurez-vous droit à la pension AOW? 4 Résider dans un pays et travailler
Plus en détailFonction réciproque. Christelle MELODELIMA. Chapitre 2 :
UE4 : Evaluation des méthodes d analyses appliquées aux sciences de la vie et de la santé Analyse Chapitre 2 : Fonction réciproque Christelle MELODELIMA Année universitaire 2011/2012 Université Joseph
Plus en détailChapitre 1. L intérêt. 2. Concept d intérêt. 1. Mise en situation. Au terme de ce chapitre, vous serez en mesure de :
Chapitre 1 L intérêt Au terme de ce chapitre, vous serez en mesure de : 1. Comprendre la notion générale d intérêt. 2. Distinguer la capitalisation à intérêt simple et à intérêt composé. 3. Calculer la
Plus en détailOptions, Futures, Parité call put
Département de Mathématiques TD Finance / Mathématiques Financières Options, Futures, Parité call put Exercice 1 Quelle est la différence entre (a) prendre une position longue sur un forward avec un prix
Plus en détailLa révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations
La révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations par Robert Fluri et Robert Müller, Direction de la statistique, Banque nationale suisse, Zurich BNS 42
Plus en détailVI. TENDANCES DE L INVESTISSEMENT DIRECT ÉTRANGER DANS LES PAYS DE L OCDE
VI. TENDANCES DE L INVESTISSEMENT DIRECT ÉTRANGER DANS LES PAYS DE L OCDE Introduction L investissement direct étranger a des effets bénéfiques sur l économie L investissement direct étranger (encadré
Plus en détailchemins, Quo Vadis? innover ou délocaliser?
La L industrie place industrielle MEM suisse MEM à la en croisée Suisse des chemins, Quo Vadis? innover ou délocaliser? Manifestation Salon EPMT, Palexpo XY, 21 juin Genève, 2013, Lausanne 4 juin 2015
Plus en détailKit Demande de Bourse Etude Erasmus 2014-2016
CESI-ERA- 1415 - Informations Programme Erasmus ERASMUS 2014-2016 Période d Etude Note d information aux élèves Les élèves de l ei.cesi et d exia.cesi peuvent bénéficier d une bourse Erasmus : - pour une
Plus en détailChapitre 3. Les distributions à deux variables
Chapitre 3. Les distributions à deux variables Jean-François Coeurjolly http://www-ljk.imag.fr/membres/jean-francois.coeurjolly/ Laboratoire Jean Kuntzmann (LJK), Grenoble University 1 Distributions conditionnelles
Plus en détailBaccalauréat ES Amérique du Nord 4 juin 2008
Baccalauréat ES Amérique du Nord 4 juin 2008 EXERCICE 1 Commun à tous les candidats f est une fonction définie sur ] 2 ; + [ par : 4 points f (x)=3+ 1 x+ 2. On note f sa fonction dérivée et (C ) la représentation
Plus en détailLe marché de l assurance de protection juridique en Europe. Octobre 2013
Le marché de l assurance de protection juridique en Europe Octobre 2013 Le marché de l assurance de protection juridique en Europe Octobre 2013 Dans sa dernière publication, RIAD, l Association internationale
Plus en détailOBSERVATOIRE DE L EPARGNE EUROPEENNE
Conférence de presse du 22 juin 2001 Fiscalité des produits d épargne: une comparaison internationale Il n existe pas de véritable point de vue européen en matière de fiscalité des produits d épargne.
Plus en détailLe coût du rachat de trimestres pour carrière à l étranger multiplié par 4 au plus tard le 1 er janvier 2011
Le coût du rachat de trimestres pour carrière à l étranger multiplié par 4 au plus tard le 1 er janvier 2011 Un article de la loi de financement de la sécurité sociale 2010 aligne le coût de ce rachat
Plus en détailLes questions relatives aux finances publiques, longtemps réservées aux spécialistes, sont
CHAPITRE 1 LES FACTEURS STRUCTURELS DE LA HAUSSE DE L ENDETTEMENT PUBLIC DANS LES PAYS AVANCÉS Les questions relatives aux finances publiques, longtemps réservées aux spécialistes, sont revenues au cœur
Plus en détailChapitre 6. Fonction réelle d une variable réelle
Chapitre 6 Fonction réelle d une variable réelle 6. Généralités et plan d étude Une application de I dans R est une correspondance entre les éléments de I et ceu de R telle que tout élément de I admette
Plus en détailQui sont les enseignants?
Extrait de : Regards sur l'éducation 2008 : Panorama Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/9789264040649-fr Qui sont les enseignants? Merci de citer ce chapitre comme suit : OCDE (2009),
Plus en détailREGARDS CROISES ELITES / GRAND PUBLIC SUR LA FRANCE DANS LA MONDIALISATION
REGARDS CROISES ELITES / GRAND PUBLIC SUR LA FRANCE DANS LA MONDIALISATION Juillet 2008 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris Cedex 02 Tél. : (33) 01 44 94 59 10 Fax : (33) 01 44 94 40 01 www.csa.eu
Plus en détailPrincipaux partenaires commerciaux de l UE, 2002-2014 (Part dans le total des échanges de biens extra-ue, sur la base de la valeur commerciale)
55/2015-27 mars 2015 Commerce international de biens en 2014 Principaux partenaires commerciaux de l UE en 2014: les États-Unis pour les exportations, la Chine pour les importations Le commerce entre États
Plus en détailThème 1: l environnement pédagogique et scolaire dans le primaire et le secondaire
FRANCE Cette note sur la France se focalise sur trois grands thèmes que l on retrouve dans cette édition de Regards sur l éducation et qui concernent plus particulièrement la France. Il s agit de l environnement
Plus en détailExercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part
Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version
Plus en détailExercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part
Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version
Plus en détailAtlas économique de Paris 2013 du greffe du tribunal de commerce de Paris
Atlas économique de Paris 213 du greffe du tribunal de commerce de Paris Sommaire INTRODUCTION... 3 PARTIE 1 PARIS DANS SA GLOBALITÉ... 4 GÉOGRAPHIE DES ENTREPRISES PARISIENNES... 5 DENSITÉ DES ENTREPRISES
Plus en détailLa situation financière des SNF françaises Quelques éléments de diagnostic élaborés à partir des comptes nationaux
La situation financière des SNF françaises Quelques éléments de diagnostic élaborés à partir des comptes nationaux 21 novembre 2014 Gilbert Cette 1. Définitions et sources Valeur ajoutée aux coûts des
Plus en détailL Épargne des chinois
L Épargne des chinois (Patrick ARTUS Johanna MELKA) Colloque Cirem-Cepii-Groupama AM 29 septembre 25 Indicateurs de «qualité de vie» en Chine 199 1995 2 22 23 Nombre d'écoles par 1 habitants 9,1 7,82 6,48
Plus en détailSYSTEMES LINEAIRES DU PREMIER ORDRE
SYSTEMES LINEIRES DU PREMIER ORDRE 1. DEFINITION e(t) SYSTEME s(t) Un système est dit linéaire invariant du premier ordre si la réponse s(t) est liée à l excitation e(t) par une équation différentielle
Plus en détailPartie 2 : Qui crée la monnaie?
Partie 2 : Qui crée la monnaie? Marché monétaire Masse monétaire Banque centrale Prêteur en dernier ressort Notions clés I. La mesure de la création monétaire : la masse monétaire La masse monétaire n
Plus en détailLivre blanc Compta Le SEPA : Comment bien préparer sa migration?
Livre blanc Compta Le SEPA : Comment bien préparer sa migration? Notre expertise en logiciels de gestion et rédaction de livres blancs Compta Audit. Conseils. Cahier des charges. Sélection des solutions.
Plus en détailLA CONNAISSANCE DES COMPTES FINANCIERS ET NON FINANCIERS DES ACTEURS FINANCIERS
LA CONNAISSANCE DES COMPTES FINANCIERS ET NON FINANCIERS DES ACTEURS FINANCIERS Fabrice LENGLART INSEE Comptes nationaux Bruno LONGET - Banque de France - SESOF CNIS 22 juin 2009 Plan I Place des activités
Plus en détailPouvoir d achat - 124. Revenu mensuel en Autriche. Tableau: Revenu mensuel en Autriche Valide au 31 mars 2009
Revenu mensuel en Autriche ans d expérience, a) célibataire et b) marié et père de 2 enfants c) et d) sans revenir chaque jour à la maison et preste 5 heures supplémentaires Tableau: Revenu mensuel en
Plus en détailÉtude EcoVadis - Médiation Inter-Entreprises COMPARATIF DE LA PERFORMANCE RSE DES ENTREPRISES FRANCAISES AVEC CELLE DES PAYS DE L OCDE ET DES BRICS
Étude EcoVadis - Médiation Inter-Entreprises COMPARATIF DE LA PERFORMANCE RSE DES ENTREPRISES FRANCAISES AVEC CELLE DES PAYS DE L OCDE ET DES BRICS 23 mars 2015 Synthèse Avec plus de 12.000 évaluations
Plus en détailPOURQUOI INVESTIR EN FRANCE
POURQUOI INVESTIR EN FRANCE UN PAYS SITUÉ AU CŒUR DU MARCHÉ EUROPÉEN AVEC UNE PORTE D ACCÈS À LA ZONE EMEA 10 L ESSENTIEL EN POINTS 1 UNE PUISSANCE ÉCONOMIQUE DE RANG MONDIAL La France est la 2 e puissance
Plus en détailQu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs?
Qu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs? En ces temps de crise économique et de crise des dettes souveraines (ou publiques), tous les hommes politiques de gauche comme de droite
Plus en détailERRATA ET AJOUTS. ( t) 2 s2 dt (4.7) Chapitre 2, p. 64, l équation se lit comme suit : Taux effectif = 1+
ERRATA ET AJOUTS Chapitre, p. 64, l équation se lit comme suit : 008, Taux effectif = 1+ 0 0816 =, Chapitre 3, p. 84, l équation se lit comme suit : 0, 075 1 000 C = = 37, 50$ Chapitre 4, p. 108, note
Plus en détail8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles. f : R 2 R (x, y) 1 x 2 y 2
Chapitre 8 Fonctions de plusieurs variables 8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles Définition. Une fonction réelle de n variables réelles est une application d une partie de R
Plus en détailENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010
Initiation à l économie ENSAE, 1A Maths Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr Septembre 2010 Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne Les ménages comme agents économiques
Plus en détailRAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415
RAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415 CCE 2014-2415 Rapport technique 2014 22 décembre 2014 2 CCE 2014-2415 3 CCE 2014-2415 Le tableau 1 présente les principaux indicateurs du contexte macro-économique belge
Plus en détailLogement aux frais du membre du personnel 3,82 EUR 19,22 EUR 43,78 EUR 23,04 EUR
boulevard du Souverain 280-1160 Bruxelles - Belgique T +32 2 761 46 00 F +32 2 761 47 00 info@claeysengels.be Avocats Date : Août 2015 Sujet : Les frais de séjour (missions) en Belgique et à l étranger
Plus en détailLes enfants de la récession
UNICEF Bilan Innocenti 12 Enfants dans les pays développés Les enfants de la récession Impact de la crise économique sur le bien-être des enfants dans les pays riches Le Bilan Innocenti 12 a été rédigé
Plus en détailL immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise
ÉTUDE EN BREF Octobre 2011 L immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise Pour les investisseurs, l Europe de l immobilier de bureaux n est pas celle qui est délimitée par les accords
Plus en détailLa maison Ecole d ' Amortissement d un emprunt Classe de terminale ES. Ce qui est demandé. Les étapes du travail
La maison Ecole d ' Amortissement d un emprunt Classe de terminale ES Suites géométriques, fonction exponentielle Copyright c 2004 J.- M. Boucart GNU Free Documentation Licence L objectif de cet exercice
Plus en détailFlavien Neuvy de L Observatoire Cetelem
1 Flavien Neuvy de L Observatoire Cetelem Sommaire Baromètre de L Observatoire Cetelem Moral des Européens : après un point bas en 2009, du mieux pour 2010 Les intentions d épargne : retour du principe
Plus en détailenquête pour les fautes sur le fond, ce qui est graves pour une encyclopédie.
4.0 Contrôles /4 4 e enquête pour les fautes sur le fond, ce qui est graves pour une encyclopédie. RPPEL de 0. Wikipédia 2/2 Dans le chapitre : XX e siècle : ( 4.0 mythe paroxysme ) sous la photo d un
Plus en détailCOMPRENDRE, EVALUER ET PREVENIR LE RISQUE DE CORRUPTION
COMPRENDRE, EVALUER ET PREVENIR LE RISQUE DE CORRUPTION Philippe Montigny, Président, ETHIC Intelligence EIFR Paris, le 3 juillet 2013 1 Le monde a changé La responsabilité d une entreprise peut être engagée
Plus en détail13.1. L encours de crédit à la consommation en Europe à fin 2007 137,5 103,4 97,9
Pour un développement responsable du crédit en France 3. FICHE PAYS 3.. L encours de crédit en Europe à fin 007 en Europe à fin 007 (en milliards d euros) Roy aume-uni Allemagne France Espagne Italie Grèce
Plus en détailQUEL RÔLE POUR LE FMI DANS LE NOUVEL ORDRE ÉCONOMIQUE MONDIAL?
QUEL RÔLE POUR LE FMI DANS LE NOUVEL ORDRE ÉCONOMIQUE MONDIAL? Clément ANNE, clem.anne@hotmail.fr Doctorant, Ecole d Economie de Clermont-Ferrand, CERDI 18/03/2015, Assises Régionales de l économie EN
Plus en détailAUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS
AUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS Le 4 février 2015 Jean-Pierre COBLENTZ Adel KARMOUS STRATORIAL FINANCES www.stratorial-finances.fr Tour GAMMA A 193 rue de Bercy
Plus en détailFeuille 6 : Tests. Peut-on dire que l usine a respecté ses engagements? Faire un test d hypothèses pour y répondre.
Université de Nantes Année 2013-2014 L3 Maths-Eco Feuille 6 : Tests Exercice 1 On cherche à connaître la température d ébullition µ, en degrés Celsius, d un certain liquide. On effectue 16 expériences
Plus en détailProgramme «Société et Avenir»
Programme «Société et Avenir» Rapport final volet «Synthèse de recherche» 1 CONTRAT DE RECHERCHE : TA/00/23 ACRONYME DU PROJET : REFBARIN TITRE : «RÉFORME DU MARCHÉ DES BIENS ET SERVICES, NÉGOCIATION SALARIALE
Plus en détailÉtude de marché. Critères de qualification Travaux de génie civil et construction de bâtiments industriels au CERN
Étude de marché Critères de qualification Travaux de génie civil et construction de bâtiments industriels au CERN EDMS N : 1382269 MS-4034/GS Afin d être pris en considération en tant que soumissionnaire
Plus en détailLogistique, Transports
Baccalauréat Professionnel Logistique, Transports 1. France, juin 2006 1 2. Transport, France, juin 2005 2 3. Transport, France, juin 2004 4 4. Transport eploitation, France, juin 2003 6 5. Transport,
Plus en détailTarif des envois de Mails Prix HT, TVA 20 %
Tarif des envois de Mails Prix HT, TVA 20 % AVEC sélection par code ape et/ou code postal 10 000 mails Offre d'essai 19,90 100 000 mails Prix unitaire 120,00 1 par entreprise maxi 10 000 mails Prix unitaire
Plus en détailRésumé Comme d autres, nous faisons le constat que la France se trouve au bord d une grave crise de surendettement
Résumé Comme d autres, nous faisons le constat que la France se trouve au bord d une grave crise de surendettement. Depuis 1974, l Etat n a pas proposé à ses citoyens un budget équilibré. Aujourd hui,
Plus en détailANTICIPATIONS HEBDO. 16 Février 2015. L'élément clé durant la semaine du 9 Février 2015
Direction de la Recherche Economique Auteur : Philippe Waechter L'élément clé durant la semaine du 9 Février 2015 Le premier point cette semaine porte sur la croissance modérée de la zone Euro au dernier
Plus en détailBILAN ÉCONOMIQUE PRÊT-À-PORTER FÉMININ 1 ER SEMESTRE 2014
BILAN ÉCONOMIQUE PRÊT-À-PORTER FÉMININ 1 ER SEMESTRE 2014 INTERVENANTS Daniel Wertel, Président de la Fédération Française du Prêt à Porter Féminin François-Marie Grau, Secrétaire Général de la Fédération
Plus en détailINVESTIR EN FRANCE : Réalisation
INVESTIR EN FRANCE LA FRANCE RÉUNIT TOUTES LES CONDITIONS DE SUCCÈS POUR VOTRE INVESTISSEMENT En 2014, 1 014 décisions d investissement en France ont créé ou maintenu 26 535 emplois. 1 er pays en Europe
Plus en détailCAHIERS. Parités de pouvoir d achat : mesure et utilisations STATISTIQUES. Dans ce numéro. Que sont les PPA? mars 2002. nº 3
CAHIERS STATISTIQUES Parités de pouvoir d achat : mesure et utilisations mars 2002 nº 3 par Paul Schreyer et Francette Koechlin Comment procéder à des comparaisons internationales de données économiques
Plus en détailLES PNEUS HIVER SONT-ILS OBLIGATOIRES DANS TOUTE L EUROPE?
LES PNEUS HIVER SONT-ILS OBLIGATOIRES DANS TOUTE L EUROPE? novembre 2013 Introduction En période hivernale, difficile de savoir si l équipement en pneus neige des voitures est obligatoire dans le(s) pays
Plus en détailLe travail est-il le meilleur antidote contre la pauvreté?
ISBN 978-92-64-6795- Perspectives de l emploi de l 29 Faire face à la crise de l emploi 29 Chapitre 3 Le travail est-il le meilleur antidote contre la pauvreté? L emploi réduit considérablement le risque
Plus en détailRésultats techniques de la mortalité au Canada
Résultats techniques de la mortalité au Canada Présentation à l assemblée annuelle de l ICA à Vancouver 29 juin 2010 1 Présentation Espérance de vie Amélioration de la longévité Comparaisons internationales
Plus en détail