J achète au village !!!!!! !!! !!!!!!!!! Soutien aux producteurs de pommes et de poires. CdH Brabant wallon. Visite du Verger de la Chise
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- Maxence Lanthier
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1 CdH Brabant wallon Soutien aux producteurs de pommes et de poires J achète au village Visite du Verger de la Chise 7 Octobre 2014
2 Impact de l'embargo russe sur les produits agricoles et mesures de soutien aux producteurs A. Constats Embargo russe sur les produits agricoles européens En réaction aux sanctions internationales votées à l'encontre de Moscou dans le cadre de la crise ukrainienne, le premier ministre russe, Dmitri Medvedev, a décrété, le 7 août 2014, «une interdiction totale» de la plupart des produits agricoles en provenance de l'union européenne, mais aussi des Etats-Unis, de l'australie, du Canada et de la Norvège. L'embargo concerne le boeuf, la volaille, le poisson, le fromage, le lait, les légumes et les fruits et est annoncé pour une durée d'un an. Les exportations belges de produits alimentaires vers la Russie représentent plus de 280 millions d'euros, soit plus de 50 % du total des produits exportés. Le premier secteur touché est celui de l'arboriculture avec un impact important pour les producteurs de pommes et de poires dont les récoltes ont débuté fin août. Organisation du secteur des pommes et des poires en Wallonie et en Belgique Production annuelle belge : environ tonnes de poires et tonnes de pommes. Lieux de production : essentiellement dans la zone limoneuse allant du Hainaut à la province de Liège. 70 % de la production provient de la région de Liège (Liège, Visé, Waremme, Hannut). Par ordre d'importance, les productions wallonnes sont ensuite situées dans les provinces de Namur, du Hainaut et du Brabant wallon. Exportation de poires belges (90 %, dont 60 % vers la Russie) et de pommes belges (15 à 20 % vers la Russie). 892 producteurs de poires en Flandre pour 73 (7,6%) en Wallonie. 783 producteurs de pommes en Flandre pour 83 (9,6%) en Wallonie. Environ, 80 producteurs de taille importante en Wallonie (de 5 à 25ha). Pas de criée en Wallonie : 85 % des producteurs wallons écoulent leur production via les 2 principales criées flamandes reconnues en tant qu'organisations de Producteurs (OP) par la Flandre en vertu des règles européennes (La Criée de Saint-Trond et la Criée de Malines). Situation en Brabant wallon: 59% de la superficie totale de la province du Brabant wallon est constituée de terres valorisées en agriculture, ce qui fait du Brabant wallon la province de Wallonie détenant la proportion la plus importante de terres valorisées en agriculture. Les productions principales des agriculteurs du Brabant wallon sont les céréales, les betteraves, les pommes de terre, la viande bovine et le lait. Le Brabant wallon compte 6 producteurs de pommes et de poires. Impacts de l'embargo sur le secteur des pommes et des poires Le secteur des poires est le plus touché vu la part du marché russe (60 % des 90 % exportés), la précocité de la récolte qui a débuté vers le 25 août et les bons rendements annoncés annoncés de la récolte (plus de 40T/ha).
3 Pour la poire, le coût de production avant récolte est estimé à 0,2 EUR/kg. Les opérations de récoltes et post-récoltes constituent 3/5 des coûts (0,3 EUR/kg) avec un prix de revient final aux alentours de 0,5 EUR/kg. Vu le prix actuel et l'offre abondante sur le marché, le secteur s'attend à ne pas couvrir ses coûts de production, ce qui pourrait dans certains cas entraîner des arrêts d'exploitation. Pour assurer un soutien des prix, les experts estiment qu'une non-mise sur le marché d'1/4 de la production belge de poires est nécessaire. Vu le coût important de la récolte, du tri et du stockage, la solution la plus économique pour les producteurs en cas d'indemnités suffisantes est la non-récolte. Au total, ce sont donc environ 2000 hectares en Flandre et Wallonie qui pourraient ne pas être récoltés en poires. B. Etat d'avancement du dossier Au niveau européen La Commission européenne a annoncé le 18 août le déblocage de 125 millions d'euros pour soutenir le secteur fruits et légumes fortement frappé par l'embargo russe. Elle a adopté, le 29 août 2014, un Règlement délégué (UE) n 932/2014 fixant des mesures exceptionnelles de soutien temporaire en faveur des producteurs de certains fruits et légumes (dont les pommes et les poires). Les mesures de soutien adoptées par l'europe se concrétisent par des retraits indemnisés de produits pour distribution gratuite, non récolte ou récolte en vert. Il s'agit de réduire les quantités disponibles sur le marché pour que les prix ne chutent pas. Pour les fruits, une des mesures privilégiées est la non-récolte. Ce crédit de 125 millions d'euros a été suspendu le 10 septembre, face à un bond des demandes polonaises jugé disproportionné par la Commission européenne. La Commission européenne vient d'annoncer la remise à disposition de ce crédit de 125 millions ainsi que le déblocage de nouveaux fonds. Elle a annoncé, le 3 septembre, le déblocage d'un nouveau budget de 30 millions pour les mesures de promotion des produits agricoles. Le 29 septembre 2014, la Commission européenne a adopté un nouveau règlement, le Règlement délégué (UE) n 1031/2014, ouvrant des mesures de soutien aux producteurs de certains fruits et légumes touchés par l'embargo (dont les pommes et les poires). Ce nouveau règlement prévoit le même type de mesures que celles prévues par le Règlement délégué (UE) n 932/2014. Au niveau wallon Dès l'annonce de l'embargo, de nombreuses actions ont été entreprises par le Ministre wallon de l'agriculture (contacts avec la Commission européenne, concertation permanente avec les secteurs touchés, préparation des procédures pour mettre en place les régimes d'aide européens, demande à l'etat fédéral d'autoriser un traitement spécifique pour provoquer la chute des fruits...) A l'initiative du Ministre wallon de l'agriculture, une taskforce «conséquences de l'embargo sur les agriculteurs et le secteur agroalimentaire» a été constituée. Elle est composée de représentants des organisations agricoles wallonnes, des Fédérations des secteurs les plus touchés, du secteur de la transformation et de la distribution, des administrations wallonnes (DG03 et GD06), de l'apaq-w, de l'awex, du Ministre de
4 l'economie et du Ministre-Président. Ce groupe de travail a été chargé d'assurer le suivi du marché et de formuler des propositions de solutions. Deux types de mesures sont entreprises au niveau wallon : d'une part, des actions de promotion sont menées par l'apaq-w afin d'encourager à la consommation de produits locaux et d'augmenter ainsi le marché intérieur pour les produits touchés par l'embargo (relance de la campagne «Agriculture de Wallonie», spots radios spécifiques, distributions de fruits lors d'évènements...). d'autre part, en exécution du Règlement européen, le Gouvernement wallon a adopté, le 4 septembre 2014, un arrêté destiné à mettre en place le régime de soutien financier aux producteurs de certains fruits et légumes (dont les poires et les pommes) en cas de non-récolte. La Région wallonne encourage toutefois la distribution gratuite aux plus démunis (CPAS et banques alimentaires) et aux écoles en lieu et place de la non-récolte et défend une augmentation des taux d'intervention financière prévus dans ce cas par la Commission européenne. Enfin, une instruction a été donnée à l'administration afin d'étudier l'étalement et le report des échéances pour les producteurs ayant un plan d'investissement en cours. C. Action du cdh au niveau wallon Face à cette crise inédite, il est fondamental pour le cdh d'encourager le développement de circuits courts (notamment par le biais des coopératives et à partir de normes de qualité propres et différenciées) et la diversification de l'activité agricole qui permettent de renouer le contact entre les producteurs et les consommateurs au bénéfice des uns comme des autres. La déclaration de politique régionale poursuit également cet objectif. La promotion de l'agriculture et des produits du terroir implique : Une commercialisation plus importante des produits locaux Celle-ci passe notamment par : la conclusion d'accords de collaboration avec la grande distribution et le commerce spécialisé pour mettre les produits de terroir à l'honneur ; l'augmentation des débouchés pour les produits locaux auprès des administrations et collectivités publiques (cantines des écoles, hôpitaux, maisons de repos...) ; le soutien aux initiatives locales de circuits courts, marchés fermiers, groupements d'achats collectifs de produits fermiers,... Elle implique par exemple : Une sensibilisation accrue de la population la poursuite et le développement des campagnes de sensibilisation et d'information, en particulier auprès des plus jeunes, comme les opérations «Lait à l'école» ou «Fruits à l'école» ou «bon'app au camp» ; le développement des liens entre agriculture et tourisme, notamment en amplifiant l'offre de services touristiques à la ferme.
5 Elle peut se concrétiser par : Une publicité plus grande quant à l'origine locale des produits la reconnaissance plus aisée des produits wallons par les consommateurs en assurant le développement de la marque «Agriculture de Wallonie», son usage par les agriculteurs, transformateurs et revendeurs et sa connaissance par les citoyens ; l'augmentation du nombre de produits labélisés (appelation d origine contrôlée (AOP) - indication géographique protégée (IGP)- spécialité traditionnelle garantie (STG)) ; la valorisation des produits de qualité différenciée qui permet au consommateur d'identifier l'origine du produit et ses caractéristiques propres (avec cahier des charges sur la qualité intrinsèque et le mode de production). Au niveau fédéral D. Actions favorisées par le cdh qui peuvent être menées par d autres niveaux de pouvoir Cette crise nécessite une action à tous les niveaux de pouvoir. Ainsi, il est fondamental pour nos agriculteurs que l Etat fédéral contribue, par diverses mesures fiscales et sociales, à assurer un revenu équitable aux agriculteurs. Ceci passe notamment par le maintien au niveau fédéral des mesures de défiscalisation des aides compensatoires PAC et des mesures de dispense de cotisations sociales réservée aux indépendants en activité principale qui se trouvent dans une situation de grande précarité. Au niveau provincial Les provinces peuvent également, par différentes actions, favoriser la consommation de proximité. C est pourquoi, nous souhaitons au cdh voir la province du Brabant wallon mettre en oeuvre un véritable plan d action «J achète au village». Pour ce faire, la province devrait: réaliser un inventaire précis des producteurs locaux de la province et rendre cet inventaire accessible sur un site internet spécifique; organiser des assises des producteurs locaux afin de déterminer avec eux les bonnes pratiques destinées à mettre en oeuvre la vente de leurs produits; favoriser le développement de «ruches» destinées à mettre en relation des producteurs locaux et des consommateurs potentiels via une plateforme en ligne en créant un point de livraison et de retrait unique. Ottignies Louvain-la-Neuve compte déjà une ruche. Une autre est en voie de développement à Vieux-Genappe; organiser un week-end du circuit court en développant des initiatives sur l ensemble du territoire provincial. Au niveau communal A l instar des autres pouvoirs publics, les communes ont un rôle important à jouer afin de
6 promouvoir la consommation de produits locaux. Ainsi, elles peuvent par exemple : soutenir les agriculteurs par l'offre de nouveaux débouchés : via le portail «lecliclocal» développé par l'apaq-w, les collectivités locales mais aussi les écoles, les crèches et les maisons de repos ont la possibilité de conclure des marchés publics de fourniture de produits locaux. Cette plateforme met en contact les collectivités et les producteurs locaux. Pour les premiers, elle présente, outre l'avantage de la gratuité, celui de les soulager des charges administratives liées à ces commandes. Pour les seconds, elle leur permet d'accroître leurs débouchés dans le secteur public. via le programme européen «fruits et légumes à l'école», les écoles peuvent bénéficier d'une aide financière pour distribuer gratuitement des fruits et des légumes aux enfants des classes maternelles et primaires. Les écoles peuvent dans ce cadre tout à fait se fournir auprès de producteurs locaux pour les produits locaux et de saison, tels que les pommes et les poires. Ce programme est cofinancé par la Wallonie. via la participation des communes et autres institutions publiques aux cycles de formation organisés par l'apaq-w et destinés à encourager le recours à une alimentation durable et locale dans les cantines des collectivités. via la conclusion de partenariats avec le secteur de la distribution visant à organiser des tribunes des produits locaux dans les magasins. organiser des actions de sensibilisation et d'information : distribution de produits locaux lors d évènements ou dans les écoles, spots radio spécifiques, publications, distribution à la maison communale de feuillets assurant la publicité des producteurs locaux Les Fêtes de la Pomme organisées le samedi 11 octobre par la commune de Perwez, le samedi 18 octobre par la commune de Ittre ou encore par la Ville d'ottignies-louvain-la-neuve le dimanche 19 octobre sont des exemples parmi d'autres d'initiatives destinées à faire connaître les producteurs locaux et à sensibiliser la population à la nécessité de consommer local. faire découvrir l'agriculture et les producteurs locaux : organiser des visites à la ferme : des exploitations agricoles ont ouvert grandes leurs portes dans le cadre des Journées Fermes Ouvertes. En Brabant wallon, la Ferme de Sainte-Barbe à Orp-le-Grand a participé à l'opération. Ces journées ont permis aux participants de rencontrer les producteurs chez eux et de découvrir leurs produits. faire connaître la réalité des agriculteurs en théâtre et en images (spectacle, documentaire, exposition...). Deux spectacles, un peu partout à l'affiche en Wallonie et à Bruxelles, mettent en scène le monde des agriculteurs («Nourrir l'humanité, c'est un métier» et «Il a plu sur le paysage»). disposer dans la commune des panneaux indiquant les lieux de production locale.
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