Pour prévenir ces phénomenes, ou les contraster il faut d abord les connaitre Compte: Savoir, Prévoir, Prévenir
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- Pascale Bibeau
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3 Esp. eco: Aucune initiative concertée de protection de l espionnage économique (Ne fait pas partie de la mission des SR civils ou militaires) Autres eléments frappent par leur absence: - Entreprise importance nationales ou régionale gérées ou controlées depuis l etranger (Serono ou autres club de football du bord du lac) - Entreprise de la taille d un Etat ont leur siège dans un village grand comme un square de Paris - Suisse héberge la large majorité des biens liés à la corruption internationale, récensrécemment recensés par la BD de la Banque Mondiale - Oligarques et plutocrates en tout genre gérent leurs emprires depuis Genève, Gstaad, Sankt Moritz - Toutes les armées privées y sont répresentées, certaines sont gérées depuis la Suisse Pour prévenir ces phénomenes, ou les contraster il faut d abord les connaitre Compte: Savoir, Prévoir, Prévenir 3
4 Dans une réponse datée du 15 août, le Gouvernement botte en touche: «Il appartient en premier lieu aux exploitants eux-mêmes de protéger les infrastructures privées et publiques, avec le soutien de la Confédération, qui définit si nécessaire des exigences techniques minimales en matière de sécurité. Un véritable contrôle étatique des infrastructures TIC et des fournisseurs privés par la Confédération est pratiquement impossible». Cela est vrai aux US et ailleurs >>> Congrés bloque les Chinois Ils ont une motivation et un intéret., pourquoi leur donner les instruments et les opportunités? 4
5 Qu il s agisse de Cyber guerre ou d espionnage à large échelle? Spectaculaire augmentation du nombre de brévets déposées par ZTE est un fait. La suisse produit un nombre très élévé de brevets par habitant: est-ce que le principe de precaution serai judicieux? Est-ce que cette attitude tolérante existe dans d autre domaines sensibles en CH? L impact de cette inaction n est pas d ordre légal mais affecte bel et bien la competitivité 5
6 Selon une récente étude PWC, le crime écon le plus courant serait d origine interne Cela est probable, et d ailleurs la conférence de l année passée s intitulait le Risque Humain en Entreprise Avec un peu d ironie, on peut dire que On a tellement insisté sur le risque humain, qu on surveille maintenant davantage les employées que les facteurs de risque extérieurs. Espionage, Blanchiment et corruption gardent leur importance dans l esprit des managers interviewés Avec un point de vue qualitatif on peut tenter une analyse comparé de l attitude des Etats par rapport a certains crimes 6
7 Dans le domaine du blanchiment la Suisse est désormais un excellent éléve: même le Vatican s en inspire pour revoir ses lois anti-blanchiment et il en a besoin On ne peut pas dire la même chose pour la corruption (si on croit aux recentes etudes de la Banque Mondiale) et encore moins pour la pénétration criminelle étrangère Revenons de nouveau à des données quantitatives: Qui illustrent la perception des managers suisses sur la criminalité économique et ses conséquences.. 7
8 En Suisse, d après ce rapport, la criminalité économique n est pas un gros problème Est-ce l opinion, les régulateurs, les authorités, nos partners étramger sont d accord avec cela? Pour ma part je pense que le conséquences sont plutot evidentes.. - Augmentation cout transactions - Deligitimation - Securité personnel - Capital coute plus cher - Pression pour s aligner sur des pratiques illegales vous savez, dans certains Pays, pour faire des affaires il n y pas d autre moyen.. 8
9 Il s agit d un problème important puisqu il est global et destiné à durer 9
10 D après le sondage WEF, nous constantons que la criminalité est consideree comme un risque aussi sérieux qu une pandémie ou les migrations incontrolées 10
11 Division en 3 zones Chronologie developpement mafias La mondialisation de la criminalité est une réalité avec des fondements sociaux, politiques et économiques La criminalité s est toujours développé pendant des moments de rupture - Révolution agraire en Italie du Sud - Grande Depression aux US - Privatisation en Russie Dernière frontière: Afrique Intel Eco devra se foculiser i.e. sur enracinement de la crim organisée au Nigeria ou en Angola Facteur critique: manque information (notamment sources ouvertes) A noter: - la situation etait la meme in Russie ou en Chine 11
12 Nouveaux flux de capitaux, En fonction de: Pays riches vers nouveaux Pays émergents controle des ressources et accès à des nouveaux marches: Chine et Inde vers deux autres zones: Politique monétaire Controle des ressource Afrique au croisement de ces flux Anticipation: criminalité organisé en Afrique va croitre et se transformer en mafia 12
13 Dans cette nouvelles Terre, influencée par des nouvelles forces, des ennemis connus et de nouveaux acteurs prospèrent Si de nouveau acteurs se profilent avec fracas (gang Mexicaines), d autres préferent un profil bas, et pénetrent profondement dans le tissu économique et politique Une criminalité, organisée et enraciné s appelle Mafia. Quelles sont les nouvelles tendances de la criminalité économique organisé pour infiltrer le tissu economique? 13
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17 Modèle de gouvernance criminelle a changé Mafia sicilienne Camorra Narcos colombiens Los Zetas Une conséquence de la mondialisation Par analogie on constate que cela est vrai aussi dans d autre domaines OLP Al Quaida 17
18 Méthodes ont changé: Si la Mafia années faisait du racket Aujourd hui attaques multiformes: - Attaques capitalistiques ou informationnelles en Bourse - Distorsion du marché - Fausses actions en justice - Chantage et intimidation Ces organisations deiennent donc des acteurs economiques globaux a part entiere 18
19 Dans le cas du conglomérat industriel russe, qui contrôle à lui seul une large partie du marché de l'aluminium mondial, j'ai mis en évidence une structure de sociétés extrêmement complexe, destinée à rendre quasiment impossible toute investigation sur son réel fonctionnement et à identifier formellement tous les actionnaires. Nous avons travaillé des semaines juste pour recenser toutes les sociétés impliqués, de pres ou de loin, et en avons decouvert qqe centaine 19
20 Les entités qui contrôlent la société sont éparpillées aux quatre coins du globe, une partie substantielle gérant leurs affaires depuis Chypre, les Îles Vierges Britanniques et Jersey, sans oublier la vielle Europe, notamment la Suisse, les Pays Bas et l Angleterre. Ce manque de transparence a alerté le London Stock Exchange, lors d une première tentative de cotation, refusée, et a inquiété aussi la Bourse de Hong Kong, mais elle a fini par accepter la cotation. La complexité, de plus, n a pas de nécessité économique: on considère qu une activité économique «normale» n as pas besoin d écrans, mais en tout cas pas plus que trois niveaux Cette complexité a un autre objectif: - rendre la société quasiment imperméable à des actions hostiles visant à la contrôler - des démarches d intelligence économique, par exemple pour vérifier sa solidité financière ou l implication dans des schémas de corruption. Dans son rôle dominant, ce colosse industriel présente de surcroit des risques stratégiques importants, notamment pour la continuité de l'approvisionnement en aluminium. Investigations nécessitent: - budget importants: millions de francs - compétences multiples: trading, operations boursieres, matières premières, geo-politique, criminalistique, légales Il s agit la d un example d integration dans l economie réelle réussi et destinée a durer.. 20
21 En effet une macro-tendance est la nécessité pour le monde criminel de s intégrer de plus en plus dans l economie réelle Cela a tjs été le cas au niveau national, mais jamais la pénétration criminelle n a été aussi importante à l échelle globale et surtout aussi interconnécté 21
22 Selon le FMI, montant global blanchiment entre 2 et 5% du PIB mondial: 57 trillions $ >> 2 trillions Nous calculons des commissions pour blanchiment entre 5 et 8%: Industrie du blanchiment professionnel pèse donc : 150 mia Ces montants nécessitent des organisations professionnelles pour être efficacement blanchis Et pour être injectés sans traces dans l economie réelle Création et entretien de réseaux economiques criminels, et injection de capitaux blanchi dans l économie réele ont besoin d un terrain favorable 22
23 Ce terrain est l anonymat, alimentée par un manque de ressources étatiques qui est devenu cronique et inquietant dans les Pays riches Besoins economie criminelle: -Alternative sécret bancaire -Possibilité avoir anonymite totale, non documentable -Canaux financiers pour controler des activités légales Ces besoin ont été intercepté par l industrie de l incorporation de société écrans 23
24 C est un marché d environ entités engregistrés Le plus gros prestataire, américain, en gère
25 Ces supermarchés des sociétés écrans opérent globalement, parfois en étroite relation avec des avocats ou autres institutions financieres Ils sont capables d enregistrer une société, de la gérer virtuellement par des directeurs fictifs et même d ouvrir des comptes en banque.. Ces préstaires travaillent avec des menus 25
26 En ligne, en environ 1h, avec une carte de crédit, vous pouvez monter votre propre structure Il faudra débourser quelque milliers de CHF dans le pire des cas Mais pourqoui ont-ils développé ce marché? Quel est le besoin des clients? Anonymité bien-sur, qui peinent à être assurée par des paradis fiscaux traditionnels Example: découvertes recente des 3 vastes réseaux de blanchiment professionnel, qui utilisent des structures offshore 26
27 Dans un autre cas emblématique, impliquant une multinationale américaine dans le secteur chimique, victime de corruption, nous avons découvert un vaste réseau de sociétés écran, toutes actives et appartenant à un individu décédé et donc muet en Lettonie. Des consultants "facilitaient" l'obtention de contrats étatiques en Europe de l'est et une commission sur ces montants transitait par des banques lettonnes avant d'être transférés sur les comptes bancaires d'une société du dit défunt. Son passeport avait probablement été volé et utilisé pour créer les sociétés écran. Cette opération d intelligence économique a demandée des moyens importants : du renseignement sur sources ouvertes, pour identifier les sociétés impliquées, jusqu aux entretiens individuels avec les employés impliqués et avec des journalistes d investigation dans l ancienne Union Soviétique. L enjeu justifiait cet investissement : le Foreign Corruption Practices Act américain prévoit en effet des sanctions sévères en cas de violation. Suite à cette investigation nous avons crée une base de données structurés de ces réséaux de sociétés écran Nous avons aussi confronté les résultats de nos précédentes investigations avec cette base de données: nous somme confrontés à des occurences régulières Ce qui frappe le plus, c est que les points communs le point commun le plus régulier est la relation avec des Pays que l on considère à bas risque. J ai donc essayé de mieux comprendre ce phénomène 27
28 Voici la vision du monde courante, telle que préconisé par les directives anti- blanchiment, organisations internationales etc. Cette carte divise le monde en 2: - Les verts (nous): à bas risque - Les rouges (les autres), à haut risque, qu il faut plus contrôler, puisque la réglementation l impose Flux financiers (notamment inter-bancaires) sont ainsi analysés Cette géographie est très bien connue des criminels, qui se gardent bien de baser leurs activités dans les Pays rouges (même s il en sont ressortissants) Il savent en effet que les contrôles seront plus sévères 28
29 Notre impression à été récemment corroboré par une nouvelle étude de la Griffith University, en collaboration avec la Banque Mondiale L equipe de l Université a contacté prestataires (soc. Incorporation, avocats) sous couverture, en demandant l ouverture d une ou plusiers sociétés Elle dessine une nouvelle géographie: Une donnée m a frappé: la mèsure de la facilité de faire du shopping de societés écrans, sans qu aucune identification ne soit démandée Classement a gauche. En evidence la naissance de nouveaux acteurs dans le marché de l anonymisation des flux financiers et economiques: - US - UK (ex. Zone de Birmingham) - Irelande - Nouvelle Zelande L idée récue des Caraibes ou Dubai comme zone de non droit doit donc etre changée Dans cette situation on est donc forcés de faire des constats plutot amers 29
30 les ressources nécessaires à «percer le voile» protégeant les sociétés écran sont considérables cela décourage des contrôles pourtant nécessaires à gérer les risques financiers et opérationnels il n'y a pas de lois supranationales régissant le marché de l'incorporation: chaque Pays a les siennes. quand les lois existent, elles ne sont que rarement appliquées. les approches existantes préconisent des contrôles plus approfondis sur les ressortissants et sociétés des "Pays à risque": mais c'est précisément dans les Pays dits "à bas risque" que se concentrent les sociétés écran les plus opaques. 30
31 Ce changements ne sont pas certains, mais très probables. Mais que vont faire nos criminels, privés de leur arme la plus puissante: l anonymité? 31
32 Il commencent déjà à créer un système financier parallele, celui des devises virtuelles. Il est aujourd hui aussi facile de créer une société écran, que d ouvrir un compte en devises virtuelles. Vous versez 5000 $ et on vous crédite online 5000 $ doblons de l Ile qui n existe pas Avec ses doblons vous pourrez payer des prestations, pour autant que le destinataires dispose d un compte. Ces systèmes existent depuis un moment (Doleiros au Brésil, Hawat au moyen orient) mais nous constatons que des organisations naissent pour traiter ses transactions de maniere industrielle Le but est simple: créer un système financier parallele pour eviter les controles 32
33 La tendance à la sur-réglementation est évidente, en particulier aux US et en UK Efficacité des ses mésures contre la criminalité économique organisée soulève des doutes Nous avons vu que c est n est pas les lois qui manquent, mais plutot - les ressources pour les appliquer - La conscience du probleme et des ses implications Je pense qu un changement d approche au problème pourrait aider à le controler (nous savons tous que la criminalité ne disparaitra jamais) Le monde noir de la criminalité economique a besoin d etre éclairci, c est la contribution que peut apporter l IE: 33
34 Nous constatons tous les jours l importance de planifier professionellement la collecte d information, pour etre sur de ne pas exclure ce qui est important mais difficile d accès Nous savons qu il est primordial de proteger l information et les sources de ces information Tout professionnel sérieux dans ce domaine sait que seule une déontologie stricte permets de survivre dans un businnes ou la réputation est tout Enfin toute investigation, recherche, mandat devient inutile si les informations ne sont pas analysée, mises en relations pour etre ensuite disseminés Nous cherchons à garder toujours en tête que nos rapports servent à préaprer l action, et donc à prendre des décisions Sans décision on ne fait de l intelligence économique, mais uniquement de la documentation 34
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