RAPPORT MONDIAL SUR LA CORRUPTION La corruption dans le secteur de l eau
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- Francis Jolicoeur
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1 RAPPORT MONDIAL SUR LA CORRUPTION 2008 La corruption dans le secteur de l eau
2 Plus d un milliard de personnes dans le monde ne bénéficient pas d un accès à une eau potable propre à la consommation, et les conséquences de ce constat s avèrent dramatiques tant au niveau de la subsistance et de la vie que du développement humain. Le rapport mondial sur la corruption 2008 de Transparency International démontre dans sa partie thématique de quelle manière la corruption se trouve être, soit à l origine de la crise dans le secteur de l eau, soit encore le catalyseur de cette crise dont les conséquences s avéreront d autant plus alarmantes du fait du changement climatique. La corruption touche tous les domaines du secteur de l eau, qu il s agisse de la gestion des ressources en eau, de la fourniture d eau potable, de l irrigation ou de l énergie hydraulique. Tout au long de ce rapport, des experts et des professionnels illustrent de manière pertinente l impact de la corruption dans le secteur de l eau, à l aide d études de cas menées dans le monde entier, permettant ainsi d avancer des suggestions d ordre pratique en faveur du changement. La seconde partie du rapport mondial sur la corruption 2008 offre un instantané de l état du développement lié à la corruption dans trente cinq pays issus de toutes les régions du monde. La troisième partie, proposant des résumés de recherches portant sur le thème de la corruption, met particulièrement l accent sur des méthodologies innovantes et de nouvelles conclusions empiriques permettant d une part, de mieux comprendre les dynamiques de la corruption, et d autre part, d améliorer l efficacité des stratégies anti-corruption. Transparency International (TI) est l organisation de la société civile à la tête de la lutte mondiale contre la corruption. Forte d un réseau de plus de quatre-vingt-dix sections nationales présentes dans le monde entier et d un secrétariat international basé à Berlin, en Allemagne, TI œuvre en faveur d une sensibilisation accrue aux effets dévastateurs de la corruption, aux côtés de partenaires publics, privés et issus de la société civile, afin de développer et de mettre en place des mesures efficaces permettant de s attaquer à ce problème. Pour plus d informations, veuillez consulter:
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4 Rapport mondial sur la corruption 2008 La corruption dans le secteur de l eau
5 Première édition en anglais en 2008 par : Cambridge University Press Cambridge, New York Melbourne, Madrid, Cape Town, Singapore, Sao Paulo En association avec Transparency International Alt Moabit 96, Berlin, Allemagne Transparency International 2008 ISBN Cambridge University Press et Transparency International ne peuvent garantir la permanence ou la justesse des liens vers les sites internet de tierces parties mentionnés dans ce livre, de même ils ne peuvent garantir que le contenu de ces sites est ou restera exact ou approprié. Sous la direction de : Dieter Zinnbauer et Rebecca Dobson En collaboration avec : Krina Despota, Craig Fagan, Michael Griffin, Robin Hodess et Mark Worth Coordination de l'édition française : Sarah Svedin et Stéphane Stassen Traduction de : Olivier Jacoulet, JacoMedia, Meyreuil, France et de Zinèbe Maach, Londres, Royaume-Uni
6 Sommaire Illustrations Collaborateurs Préface Huguette Labelle Contribution spéciale : L eau et l être humain l importance de l intégrité Wangari Maathai Remerciements Résumé exécutif Transparency International x xii xv xvii xix xxi Première partie: La corruption dans le secteur de l eau 1 Introduction sur l eau et la corruption Eau et corruption : un partenariat destructeur 3 Janelle Plummer La corruption dans le secteur de l eau une question de vie ou de mort 18 Charles Kenny 2 La gestion des ressources en eau Corruption et gestion des ressources en eau : la qualité, l accès équitable et le caractère durable de l environnement menacés 21 Kristen Lewis et Roberto Lenton Le changement climatique : faire monter les enchères pour éliminer la corruption dans la gouvernance de l eau 34 Transparency International La gestion intégrée des ressources en eau peut-elle empêcher la corruption? 38 John Butterworth Afghanistan : du pouvoir en amont à la souffrance en aval 40 Drewery Dyke v
7 vi Sommaire La corruption alimente le boom immobilier et la pression sur les ressources en eau le long de la côte espagnole 42 Enriqueta Abad Corruption sans Frontières les enjeux de la gestion transfrontalière de l'eau 45 Transparency International 3 L eau et l assainissement De l eau pour les populations pauvres : l approvisionnement en eau et l assainissement en proie à la corruption 48 Muhammad Sohail et Sue Cavill La corruption et les usages urbains de l eau des plus démunis 63 Bernard Collignon Renforcer l intégrité dans le secteur de l eau : le point de vue des opérateurs d eau privés 65 Jack Moss La corruption de l eau dans les pays industrialisés : s agit-il vraiment de petite corruption? 66 Per Ljung La corruption dans le domaine de l eau : face publique et face privée 69 Transparency International En Colombie et en Argentine, les fabricants de canalisations s engagent contre la corruption 75 Virginia Lencina, Lucila Polzinetti et Alma Rocío Balcázar Nettoyer l eau trouble : des groupes luttent contre la corruption grâce à l information publique en Inde 77 Venkatesh Nayak 4 L eau et l agriculture L eau à la base de la nutrition : la corruption dans les systèmes de distribution de l eau 80 Frank R. Rijsberman Pouvoir, pots-de-vin et équité dans les systèmes d irrigation par canaux du Pakistan 93 Jean-Daniel Rinaudo Des contrats d irrigation suspects font fi des difficultés rencontrées par les agriculteurs philippins 95 Sonny Africa
8 Sommaire vii Ancrer l assistance dans le secteur de l eau à la lutte contre la corruption : modalités d interventions et responsabilités des donateurs 98 Grit Martinez et Kathleen Shordt 5 L eau et l énergie Les ressources énergétiques de l eau : la corruption dans le secteur de l hydroélectricité 102 Lawrence Haas La corruption dans le secteur hydroélectrique et les politiques de déplacement et de réinstallation des populations 115 Thayer Scudder Disparition des maisons et des indemnisations : l exemple du barrage des Trois-Gorges 119 Gørild M. Heggelund Le point de vue de l industrie Secteur hydroélectrique privé et public : comment minimiser les risques de corruption 122 Kathy Shandling et Reinier Lock Grands projets Grande corruption? 124 Peter Bosshard et Nicholas Hildyard 6 Conclusions Lutter contre la corruption dans le secteur hydraulique Stratégies, outils et avenir 127 Donal T. O Leary et Patrik Stålgren Deuxième partie : Ètudes de pays 7 Regards nationaux sur la corruption Introduction 145 Rebecca Dobson (Transparency International) 7.1 Afrique et Moyen orient Cameroun 148 Raymond Dou a et Maurice Nguefack (TI Cameroon) Kenya 153 Lisa Karanja, Kennedy Masime, Fred Owegi et Lawrence Gikaru (TI Kenya) Niger 160 Idrissa Alichina Kourgueni (Association Nigérienne de Lutte contre la Corruption TI Niger)
9 viii Sommaire L autorité palestine 163 Frosse Dabit (Transparency Palestine AMAN) Sénégal 167 Semou Ndiaye (Forum Civil TI Senegal) Sierra Leone 172 Yusuf Umaru Dalhatu (National Accountability Group TI partenaire local, Sierra Leone) Zambie 178 Louis Bwalya, Goodwell Lungu et Kavwanga Yambayamba (TI Zambia) 7.2 Europe Roumanie 184 Iulia Cospanaru, Matthew Loftis et Andreea Nastase (TI Romania) Suisse 190 TI Switzerland Troisième partie : recherche Introduction 196 Dieter Zinnbauer (Transparency International) 8 Le cadre général mesure de la corruption et des progrès en matière de normes (benchmarking) dans le combat contre la corruption Indice de perceptions de la corruption (IPC) Johann Graf Lambsdorff (université de Passau) Le Baromètre mondial de la corruption Juanita Riaño (Transparency International) Le rapport de Global Integrity 210 Jonathan Werve et Nathaniel Heller (Global Integrity) Le Baromètre des Amériques 2006 : rapport sur la corruption 215 Mitchell A. Seligson et Dominique Zéphyr (Vanderbilt University) Évaluation de la gouvernance mondiale : la corruption et les autres dimensions de la gouvernance 219 Verena Fritz et Marta Foresti (Overseas Development Institute) Ken Mease et Goran Hyden (University of Florida) Règle de notation du Système national d intégrité 223 Sarah Repucci (Transparency International)
10 Sommaire ix 9 Aperçus sectoriels déterminer les risques de corruption et la performance dans les secteurs clefs Projet Promoting Revenue Transparency : de la malédiction des ressources au bienfait des ressources? 227 Juanita Olaya (Transparency International) Crinis: mesure de la redevabilité, la divulgation et le contrôle des sources de financement des partis politiques 229 Bruno W. Speck (université d état de Campinas) et Silke Pfeiffer (Transparency International) 10 Comprendre les détails enquêter sur la dynamique de la corruption Combler le fossé entre l expérience de la corruption et sa perception 235 Richard Rose (University of Aberdeen) et William Mishler (University of Arizona) La réciprocité corrompue 240 Johann Graf Lambsdorff (université de Passau) Aspects économiques fondamentaux de l extorsion : témoignages recueillis sur la route empruntée par les chauffeurs de poids lourds à Aceh 245 Benjamin Olken (Harvard University) et Patrick Barron (Banque mondiale) Corruption, normes et application de la loi : le cas des contraventions pour stationnement illégal des diplomates 247 Ray Fisman (Columbia University) et Edward Miguel (University of California, Berkeley) La petite corruption dans les services publics : la délivrance des permis de conduire à Delhi 251 Rema Hanna (New York University); Simeon Djankov (Banque mondiale); Marianne Bertrand (University of Chicago) et Sendhil Mullainathan (Harvard University) Corruption et confiance institutionnelle en Afrique sub-saharienne 254 Emmanuelle Lavallée (DIAL)
11 x Illustrations Illustrations Figures 1 Étendue et conditions favorisant la corruption dans le secteur hydroélectrique Expérience de la petite corruption dans le monde Pot-de-vin versé à la police et au pouvoir judiciaire par région Secteurs et institutions les plus touchés par la corruption : perceptions mondiales Quel est l état de la lutte anti-corruption dans le monde? Pourcentage des personnes sollicitées Pourcentage des personnes victimes de corruption au moins une fois au cours des douze derniers mois Évaluation totale pour la liberté d expression et le contrôle de la corruption Fossé entre la perception et l expérience de la corruption Réciprocité corrompue les gains des étudiants Réciprocité corrompue Comportement des étudiants Réaction des acteurs des milieux d affaires à l opportunisme Réaction des acteurs des milieux d affaires (étudiants de Clausthal) à l opportunisme Nombre total mensuel d infractions au stationnement commises à New York par des diplomates ( ) Résultats en fonction de la location ou non des services d un agent 253 Tableaux 1 Schéma de la chaîne de valeur interactions de la corruption depuis la phase d élaboration de la politique jusqu à la distribution de l eau 8 2 La corruption dans le domaine de l eau : face publique et face privée 70 3 Mécanismes permettant la participation et le contrôle des citoyens 74 4 Raisons pour lesquelles la lutte contre la corruption est dans l intérêt de toutes les parties prenantes à long terme Indice de perceptions de la corruption Classification régionale Pourcentage des répondants signalant avoir été sollicités pour verser un pot-de-vin Domaines et principes de gouvernance couverts par l étude WGA Tests de terrain sur l accès à l information Qualité de la réponse des différentes parties prenantes Pincipaux résultats du projet Crinis Expérience des contacts et de la corruption 238
12 Illustrations xi 13 Moyenne annuelle par pays des contraventions impayées à New York pour stationnement illégal de diplomates, (novembre novembre 2005) Obtention du permis, par groupe Corrélations entre la corruption et la confiance institutionnelle selon le niveau de bureaucratie 255 Encadrés 1 La gestion intégrée des ressources en eau (Integrated Water Resources Management GIRE) et les Principes de Dublin 31 2 Réformer le système : comment mettre en place des services d eau à même de rendre des comptes? 58
13 xii Collaborateurs Collaborateurs Enriqueta Abad Transparency International Sonny Africa IBON Foundation Federico Arenoso Poder Ciudadano (TI Argentine) Martín Astarita Poder Ciudadano (TI Argentine) Sona Ayvazyan Centre pour le développement régional (TI Arménie) Alma Rocío Balcázar Transparencia por Colombia (TI Colombie) Patrick Barron Banque mondiale Paramjit S. Bawa TI Inde Marianne Bertrand University of Chicago Peter Bosshard International Rivers John Butterworth Centre international de l'eau et de l'assainissement Louis Bwalya TI Zambie Vanja Calovic Le réseau d affirmation du secteur ONG (MANS) Sue Cavill Loughborough University Camrin Christensen TI Géorgie Bernard Collignon Hydroconseil Iulia Cospanaru TI Roumanie Frosse Dabit Transparency-Palestine (AMAN) Yusuf Umaru Dalhatu National Accountability Group (partenaire local de TI, Sierra Leone) Ramesh Nath Dhungel TI Népal Simeon Djankov Banque mondiale Raymond Dou a TI Cameroun Drewery Dyke Amnesty International Dolores Español TI Philippines Carlos Filártiga TI Paraguay Ray Fisman Columbia University Marta Foresti Overseas Development Institute Verena Fritz Overseas Development Institute Zanda Garanca TI Lettonie Lawrence Gikaru Consultant, Kenya Syed Adil Gilani TI Pakistan Lawrence Haas Ancien membre de la Commission mondiale des barrages Rema Hanna New York University Gørild M. Heggelund Fridtjof Nansen Institute Nathaniel Heller Global Integrity Nicholas Hildyard Corner House Goran Hyden University of Florida Lisa Karanja TI Kenya Tamuna Karosanidze TI Géorgie
14 Collaborateurs xiii Anung Karyadi TI Indonésie Charles Kenny Banque mondiale Idrissa Alichina Kourgueni Association nigérienne de lutte contre la corruption (TI Niger) Huguette Labelle Transparency International Johann Graf Lambsdorff Université de Passau Aileen Laus TI Philippines Emmanuelle Lavallée DIAL, Paris Virginia Lencina Poder Ciudadano (TI Argentine) Roberto Lenton Global Water Partnership Kristen Lewis Consultante Per Ljung PM Global Infrastructure Reinier Lock International Private Water Association Matthew Loftis TI Roumanie Goodwell Lungu TI Zambie Wangari Maathai Green Belt Movement Tanvir Mahmud TI Bangladesh Grit Martinez Ecologic Institute for International and European Environmental Policy Olga Mashtaler NGO Anticorruption Committee (Groupe de contact national de TI en Ukraine) Kennedy Masime Centre for Governance and Development, Kenya Kenneth Mease University of Florida Edward Miguel University of California, Berkeley William Mishler University of Arizona Jack Moss Aquafed Sendhil Mullainathan Harvard University Andreea Nastase TI Roumanie Doron Navot Hebrew University and the Israel Democracy Institute Venkatesh Nayak Commonwealth Human Rights Initiative Semou Ndiaye Forum Civil (TI Sénégal), Université Cheikh Anta Diop de Dakar Natalie P. W. Ng TI Malaysie Maurice Nguefack TI Cameroun Juanita Olaya Transparency International Donal T. O Leary Transparency International Benjamin Olken Harvard University Minoru O uchi TI Japan Fred Owegi Kenya Institute for Public Policy Research and Analysis Silke Pfeiffer Transparency International Janelle Plummer Consultante Lucila Polzinetti Poder Ciudadano (TI Argentine) Sarah Repucci Transparency International Juanita Riaño Transparency International Frank B. Rijsberman Google.org Jean-Daniel Rinaudo Bureau de recherches géologiques et minières Byron López Rivera Grupo Civico Ética y Transparencia (TI Nicaragua) Segundo Romero TI Philippines Richard Rose University of Aberdeen Gastón Rosenberg Poder Ciudadano (TI Argentine)
15 xiv Collaborateurs Dagmar Schröder-Huse TI Allemagne Thayer Scudder California Institute of Technology Pablo Secchi Poder Ciudadano (TI Argentine) Mitchell Seligson Vanderbilt University Kathy Shandling International Private Water Association Kathleen Shordt Centre international de l'eau et de l'assainissement Emilia Sičáková-Beblava TI Slovaquie Hubert Sickinger TI Autriche Muhammad Sohail Loughborough University Felipe de Solar Corporación Chile Transparente (TI Chile) Bruno W. Speck Université d état de Campinas Liga Stafecka TI Lettonie Patrik Stålgren Université de Göteborg Varina Suleiman Poder Ciudadano (TI Argentine) TI Papouasie-Nouvelle-Guinée (Inc.) TI Suisse TI Royaume Uni TI USA Transparencia Mexicana (TI Mexique) Toru Umeda TI Japon Manuel Villoria TI Espagne Jonathan Werve Global Integrity Keiichi Yamazahi TI Japon Kavwanga Yambayamba TI Zambie Anna Yarovaya NGO Anticorruption Committee (Groupe de contact national de TI en Ukraine ) Richard Y. W. Yeoh TI Malaisie Iftekhar Zaman TI Bangladesh Dominique Zéphyr Vanderbilt University
16 Préface Huguette Labelle, Présidente de Transparency International Le Rapport mondial sur la corruption est la publication phare de Transparency International (TI), il analyse de quelle manière la corruption ronge les fondements de nos sociétés et propose un certain nombre de suggestions quant aux solutions possibles pour nous permettre de renverser cette tendance. En 2008, le rapport s intéresse particulièrement à la question cruciale de l eau, Il analyse dans quelle mesure l incapacité à gérer cette ressource essentielle de manière plus transparente et redevable a des conséquences considérables sur notre vie d aujourd hui et sur celle des générations futures. Dans sa septième année, la publication de ce Rapport mondial sur la corruption s attache à décrire scrupuleusement comment la corruption constitue un frein à l autodétermination démocratique ainsi qu une entrave à l administration de la justice. Documents à l appui, le rapport démontre que la corruption est néfaste pour la liberté, la prospérité et le renforcement de la responsabilité individuelle. Basé sur l expertise du mouvement de TI, et tout particulièrement de ses sections nationales, ce rapport propose une perspective originale sur l état de la corruption dans le monde ainsi que les nombreuses initiatives entreprises pour la juguler. Cette année, le rapport consacré particulièrement à la corruption dans le secteur de l eau, démontre que, peut-être encore plus que dans d autres secteurs, la corruption dans ce secteur affecte directement et profondément la vie et les moyens de subsistance de milliards de personnes. L eau est une ressource naturelle, une matière première à l origine de toute forme de vie sur notre planète. C est la raison pour laquelle nous avons décidé de consacrer à cette thématique une place spéciale dans le rapport de cette année. Il est difficile de surestimer l importance cruciale de l eau lorsqu il est question de santé et des moyens de subsistance, de développement économique, d intégrité environnementale et de cohésion sociale. Comme il est affirmé dans le Rapport du millénaire du Secrétaire général des Nations Unies en 2000 : «Nulle autre mesure que l approvisionnement en eau et un assainissement adéquat pour tous ne contribuera autant à la réduction des maladies et à sauver des vies dans les pays en développement.» Il est également difficile de surestimer la portée et les conséquences de la crise actuelle de l eau, barrant l accès à l eau potable à plus d un milliard d êtres humains. Dans le même temps, la multiplication des pénuries d eau, exacerbée par la corruption, constitue une menace pour le développement et la stabilité politique. Gardons à l esprit ce dont nous sommes capables de réaliser dans le secteur de l eau ainsi que le chemin restant à parcourir avant de pouvoir déclarer victoire. Nulle autre domaine que celui de l accès généralisé au progrès ne confronte autant nos réussites les plus audacieuses à nos échecs les plus retentissants dans le domaine du développement humain. L introduction du service public de l eau et des systèmes d assainissement a marqué le début d un progrès catéxv
17 xvi Préface gorique des conditions de vie et ce dans un laps de temps réduit : il y à peine cent ans, la mortalité infantile dans les centres urbains d Europe était aussi élevée qu elle l est aujourd hui en Afrique sub-saharienne. Et pourtant, à l heure actuelle, plus de 2,6 milliards d habitants n ont toujours pas accès aux systèmes d assainissement qui sont si cruciaux pour garantir la santé humaine. Les experts estiment que la crise de l eau est en fait une crise de la gouvernance de l eau. La corruption n est pas la seule mise en cause mais, comme le démontre le Rapport mondial sur la corruption, il s agit d un facteur essentiel catalyseur de cette crise. Les articles du rapport analysent avec force détails de quelle manière la corruption se manifeste à tous les niveaux du secteur de l eau, notamment lorsque les prix de l eau potable sont majorés en Inde, au Kenya et ailleurs, lorsque l irrigation au Pakistan ou les grands barrages d Amérique latine sont mal gérés ou encore en permettant la pollution de sévir sur une grande échelle en Chine. Dans de nombreux pays industrialisés, la corruption s immisce dans la gestion de l eau avec un impact sur l adaptation au changement climatique encore plus nocif. Le plus souvent, ce sont les femmes et les pauvres qui payent le prix fort de la corruption dans la gestion de l eau, ce qui sanctionne injustement les plus démunis de nos sociétés. Il est, toutefois, permis d entrevoir un germe d espoir à travers l étendue colossale de la corruption dans le domaine de la gouvernance de l eau. Et cela représente aussi une occasion unique de forger une alliance puissante en faveur du changement. La lutte contre la corruption dans le secteur de l eau est de l intérêt général de ceux qui se soucient de la pauvreté, de la sécurité alimentaire et du progrès économique, en favorisant un environnement durable et la sécurité climatique, la santé et l égalité entre les sexes et la cohésion sociale. La communauté internationale s est profondément engagée dans le sens de l amélioration de la vie des plus pauvres dans le cadre des objectifs du Millénaire pour le développement ; objectifs qui souscrivent à l engagement en faveur d un accès durable à une source d eau meilleure. Il est désormais de la responsabilité de cette même communauté, et de toutes les parties prenantes impliquées dans le secteur de l eau, de veiller à ce que la corruption ne nuise pas à la réalisation de cet objectif. Transparency International continuera à œuvrer dans le but d accroître et de dynamiser la fédération mondiale des nombreuses parties prenantes impliquées dans le secteur de l eau pour la lutte contre la corruption. Notre travail en partenariat avec le Réseau d intégrité de l eau (Water Integrity Network WIN) ; un groupe international d experts dans le domaine de l eau, actifs sur le terrain, universitaires et activistes dévoués à la lutte contre la corruption dans ce secteur, offre à TI une excellente occasion de poursuivre et de renforcer les efforts anti-corruption dans le secteur de l eau. Ce Rapport mondial sur la corruption, en tant que premier document du genre consacré à l étude de la corruption dans la gestion de l eau, constitue une forte invitation à associer ses forces dans ce combat important et gratifiant. La responsabilité nous incombe de libérer nos sociétés du joug de la corruption et d utiliser cette ressource vitale qu est l eau en faveur d un développement humain meilleur et plus durable.
18 Contribution spéciale L eau et l être humain : l importance de l intégrité Hon. Prof. Wangari Maathai 1 L eau est le moteur indispensable au fonctionnement de la nature. Elle est au cœur même de nos systèmes écologiques. Elle est indispensable à notre santé et à la santé de tous. Elle est à la source de notre vie spirituelle. Elle relie tous les êtres humains par le biais des cours d eau et le partage des sources d eau. Elle façonne notre relation avec la nature à travers la politique et l économie qui en découlent. La gestion pondérée des ressources en eau est d autant plus vitale à notre avenir tant le défi semble difficile à relever. Les visions énoncées dans le domaine de la gouvernance de l eau entrent en compétition avec des valeurs et des intérêts divergents. Toutefois il existe un point clair sur lequel tous convergent : nous sommes les seuls responsables de la crise globale de l eau qui détruit les sources et les cours d eau, coupe l accès à l eau potable à une grande partie de l humanité, détruisant des vies et des moyens de subsistance dans le monde entier en continuant à provoquer des désastres écologiques homériques toujours plus nombreux. Cette crise de la gouvernance est le fait de l homme, elle est motivée par l ignorance, l appât du gain et la corruption, le pire de ses maux étant la corruption. Corruption rime avec pouvoir illimité. Elle donne à ceux qui détiennent le pouvoir les moyens de s opposer aux règles fixées par les populations elles-mêmes et de les contourner. La corruption dans le secteur de l eau en est, tout au plus, préjudiciable. Elle permet aux puissants de s affranchir des règles qui préservent les habitats et les écosystèmes, de gaspiller et de polluer l eau dont dépendent des régions entières, de détourner l argent destiné à fournir les plus pauvres en eau. Non seulement la corruption empêche les petits exploitants d avoir accès à l eau nécessaire à l irrigation des plantations, mais elle est responsable du déplacement des populations, et ce, en toute impunité lors de la construction de barrages. La corruption fait fi des accords patiemment élaborés pour le partage transfrontalier de l eau, et elle permet aux populations les pauvres et les moins informées de mener des activités nuisibles à l environnement et dommageables pour leurs propres moyens de subsistance. Ainsi, les conséquences pour la durabilité environnementale, la cohésion sociale et la stabilité politique en sont d autant plus retentissantes. Toutefois, il n en demeure pas moins que la puissance funeste de la corruption menace de créer une situation dans laquelle les règles continuent de jouer en faveur de ceux qui détiennent le pouvoir et les efforts de réformes restent, quant à eux, lettre morte. Par conséquent, la lutte contre la corruption dans le secteur de l eau constitue une condition 1 Hon. Prof. Wangari Maathai est le lauréat du Prix Nobel de la Paix 2004 et le fondateur de Green Belt Movement. xvii
19 xviii Contribution spéciale sine qua non pour juguler la crise mondiale de l eau. Face à ces enjeux de taille, le Rapport mondial sur la corruption 2008 de Transparency International ne pouvait pas tomber plus à propos. Ce rapport constitue un outil permettant de mieux appréhender les différentes formes que peut revêtir la corruption en décrivant, dans les détails, les dommages qu elle engendre. Enfin, par-dessus tout, ce rapport ne s achève pas sur une note sombre, mais il présente des approches concrètes et utiles pour mener à bien le combat contre la corruption dans le secteur de l eau. En nul autre lieu qu en Afrique est-il tout au plus choquant de constater les ravages persistants des crises globales de l eau engendrées par la corruption. Une élite puissante et riche gère une région naturellement prospère dans laquelle vit une population des plus démunies et dénuée de pouvoir. Mais l Afrique n est pas un cas isolé. Les études menées dans le monde entier, figurant dans ce rapport, démontrent clairement que la corruption dans le secteur de l eau est un phénomène global. Il est global à la fois parce qu il se manifeste dans toutes les régions du monde, confirmant ainsi que les pays industrialisés n en sont pas moins concernés, mais aussi parce que cette crise est de la responsabilité internationale de toutes les parties prenantes ; des populations locales, des législateurs, des milieux d affaires, de la société civile et des bailleurs de fonds. Mon expérience de militant m invite à penser que l analyse présentée dans ce rapport apporte l impulsion nécessaire au rapprochement urgent entre les gouvernements, les entreprises et les militants de la société civile qui luttent en faveur de plus de justice environnementale et moins de pauvreté, ainsi que pour encourager la bonne gouvernance afin de former une coalition solide pour combattre la corruption dans le secteur de l eau. J ai toujours pensé que notre façon de gérer les ressources naturelles reflétait la puissance de nos sociétés. Comme le souligne ce rapport, nous avons tous la possibilité d agir et de contribuer à cet effort. C est en agissant ensemble que nous parviendrons à progresser ensemble de manière durable. Le bien-être de notre monde en dépend.
20 Remerciements Le Rapport mondial sur la corruption 2008 n aurait jamais pu voir le jour sans les efforts soutenus de nombreuses personnes, et tout particulièrement des auteurs qui ont travaillé sur leur contribution avec passion et motivation. Nous tenons à remercier le mouvement de Transparency International (TI), les sections nationales de par le monde entier ainsi que le Secrétariat de TI à Berlin, pour leur participation et leur enthousiasme. Une mention spéciale doit être décernée aux sections de TI qui ont régulièrement alimenté en informations et en expériences riches de qualité, la partie consacrée aux études de pays dans ce rapport. Nous sommes tout particulièrement reconnaissants envers les membres de notre groupe consultatif éditorial dont les recommandations et l expertise nous ont permis d élaborer et d améliorer ce rapport, notamment en ce qui concerne la partie thématique consacrée à l eau : Dogan Altinbilek, Eduardo Bohórquez, Jermyn Brooks, Sarah Burd-Sharps, Piers Cross, Hansjörg Elshorst, Håkan Tropp, Tony Tujan, Surya Nath Upadhyay et Frank Vogl. Les membres du Comité consultatif sur les indices de TI ont également fait de nombreuses suggestions qui ont contribué à enrichir la partie recherche de ce rapport : Jeremy Baskin, Julius Court, Steven Finkel, Johann Graf Lambsdorff, Daniel Kaufmann, Emmanuelle Lavallée, Richard Rose et Susan Rose-Ackerman. Merci également à tous ceux qui ont gracieusement harmonisé les contributions de ce rapport et qui ont proposé des réponses approfondies : David Abouem a Tchoyi, Andrew Aeria, Graham Alabaster, Andrew Allan, Laurence Allan, Jens Andvig, Dominique Arel, Livingston Armytage, Manuhuia Barcham, Linda Beck, Predrag Bejakovic, Bernhard Bodenstorfer, Emilio Cárdenas, José Esteban Castro, Emil Danielyan, Marwa Daoudy, Phyllis Dininio, Gideon Doron, Juris Dreifelds, Anton Earle, Eduardo Flores-Trejo, Elizabeth Fuller, Michelle Gavin, Mamoudou Gazibo, Charles Goredema, Åse Grødeland, Ernest Harsch, Clement Henry, Paul Heywood, Jonathan Hopkin, Jarmo Hukka, Karen Hussmann, Sorin Ionita, Michael Johnston, John-Mary Kauzya, George Kegoro, Michael Kevane, Gopathampi Krishnan, Daniel Kübler, Peter Lambert, Evelyn Lance, Peter Larmour, Nelson Ledsky, Michael Likosky, Joan Lofgren, Xiaobo Lu, Cephas Lumina, Stephen Ma, Richard Messick, Arnauld Miguet, Stephen Morris, Andrew Nickson, Bill O'Neill, Katarina Ott, Michael Palmer, Jan Palmowski, Heiko Pleines, Som Nath Poudel, Miroslav Prokopijevic, Gabriella Quimson, Isha Ray, William Reno, Carlos Buhigas Schubert, Anja Senz, Erik Swyngedouw, Celia Szusterman, Madani Tall, Anthony Turton, Nicolas van de Walle, Shyama Venkateswar, Jeroen Warner, Kai Wegerich, Laurence Whitehead, Melvin Woodhouse, José Zalaquett, Mark Zeitoun et Darren Zook. xix
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