TEST DE METHODES GEOPHYSIQUES SUR COUVERTURES DE CSD : SITE EXPERIMENTAL
|
|
- Armand Théodore Guertin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 TEST DE METHODES GEOPHYSIQUES SUR COUVERTURES DE CSD : SITE EXPERIMENTAL TEST OF GEOPHYSICAL METHODS ON LANDFILL COVERS : EXPERIMENTAL SITE Fanny GENELLE (1, 2), Colette SIRIEIX 1, Véronique NAUDET (1, 3), Bruno DUBEARNES 4, Joëlle RISS 1, Fabien NAESSENS 1, Stéphane RENIE 2, Sylvain TRILLAUD 5, Michel DABAS 5, Philippe BEGASSAT 6 1 Université Bordeaux 1 GHYMAC, Talence, France 2 HYDRO INVEST, Champniers, France 3 BRGM, Orléans, France 4 EAUGEO, Orx, France 5 GEOCARTA, Paris, France 6 ADEME, Angers, France RÉSUMÉ Dans les centres de stockage de déchets, les couvertures présentent parfois des défauts de perméabilité. On se propose de mettre en œuvre plusieurs méthodes géophysiques pour tenter de les détecter et les caractériser. Des mesures sont aussi effectuées sur un site expérimental au sein duquel des anomalies ont été créées. Les premiers résultats des mesures électriques sont présentés ici. ABSTRACT Landfill covers are likely to have permeability defects that provide preferential pathways for flow. We attempt to perform several geophysical methods in order to test their ability to detect and define them. Geophysical surveys will be carried out also on an experimental site containing anomalies. The first results of electrical methods are presented here. 1. Introduction Les centres de stockage de déchets (CSD) ont une couverture en surface chargée d assurer leur étanchéité. Cette couche de protection peut subir des dégradations liées aux actions mécaniques, climatiques et hydrauliques s exerçant à sa surface, mais également être altérée dès sa pose. La couverture n assure alors plus totalement sa fonction d étanchéité, ce qui se traduit par une augmentation de la quantité de lixiviats. Plusieurs auteurs ont mis en évidence l apparition de défauts lors de l installation de la couverture (Forget et al., 2005 ; Phaneuf et Peggs, 2001). Outre les contrôles destructifs ponctuels qu il est possible d effectuer, les méthodes géophysiques seraient un moyen de caractériser à une plus grande échelle l état de la couverture en place. Une étude a déjà été menée sur un modèle réduit de couverture argileuse contenant des hétérogénéités de composition et de compactage (Guyonnet et al., 2003). Elle a été le lieu de mise en œuvre de deux méthodes géophysiques, à savoir le radar géologique et l EM38. Cependant, la plupart des anomalies détectées ne 819
2 correspondaient pas aux positions des hétérogénéités. Des corrélations significatives apparaissaient uniquement avec l EM38 en mode dipôle horizontal pour les hétérogénéités superficielles. Notre étude consiste à combiner et comparer quatre méthodes géophysiques : la résistivité électrique (cartographie par ARP et tomographie), la polarisation spontanée et la thermographie infrarouge à l échelle du site expérimental et du CSD. Après une rapide présentation des méthodes géophysiques mises en œuvre, le site expérimental est décrit ainsi que les anomalies et capteurs présents. La dernière partie est consacrée aux premiers résultats obtenus en tomographie de résistivité électrique. 2. Les méthodes géophysiques 2.1. Les méthodes de résistivité électrique Les deux méthodes sont basées sur le même principe qui consiste, pour des dispositifs standards, à injecter un courant électrique dans le sol entre deux électrodes et à mesurer la différence de potentiel entre deux autres électrodes. Après correction du facteur géométrique, il en résulte des valeurs de résistivité électrique apparente L ARP (Automatic Resistivity Profiling) L ARP, développé par GEOCARTA, est constitué d un dipôle émetteur et de trois dipôles récepteurs tractés par un quad (Figure 1.). Ce dispositif très rapide à mettre en œuvre se trouve bien adapté à l acquisition de mesures sur de grandes surfaces, comme ce sera le cas sur les CSD. Figure 1. Schéma indiquant la position des électrodes par rapport au quad (à gauche) et photographie du dispositif prise sur un CSD (à droite) L écartement croissant entre dipôles émetteur et récepteur, de 0,5 m, 1 m et 1,7 m (Figure 1), fournit un enregistrement simultané des résistivités apparentes correspondant à trois niveaux d investigation croissants (Dabas, 2009) La tomographie de résistivité électrique (TRE) Cette méthode consiste à mettre en place des électrodes métalliques espacées entre elles d un même écartement et raccordées à une flûte branchée sur un 820
3 résistivimètre, dans notre cas il s agit du Syscal Pro (IRIS Instruments). Les électrodes jouent successivement le rôle d électrodes d injection de courant et de mesure de différence de potentiel sur toute la longueur du dispositif. L écartement croissant entre électrodes permet d augmenter la profondeur d investigation. Ce matériel présente de nombreuses possibilités quant au choix des dispositifs de mesures. Des pseudo-sections de résistivité apparente sont réalisées à partir des mesures qui, pour un même dispositif et un même écartement, seraient directement comparables aux mesures ARP. Ces pseudo-sections peuvent par ailleurs être inversées afin d obtenir un modèle de la résistivité électrique du terrain. Un rapprochement entre des données de résistivité électrique apparente acquises en ARP et en tomographie électrique a déjà été effectué dans le cadre d une prospection menée en 2003 sur un terrain agricole situé en Allemagne (Dabas, 2009), le long d un profil longitudinal de près de 160 m et à une profondeur de 0,5 m ; l auteur montre une grande ressemblance entre les données mesurées en ARP avec un écartement inter-électrode de 0,5 m et celles mesurées en tomographie de résistivité électrique selon un dispositif Wenner avec le même écartement. Il en va de même pour les deux autres écartements. 2.2.La polarisation spontanée (PS) Cette méthode, couramment appelée méthode PS, permet d obtenir la distribution du potentiel électrique naturel du sol depuis la surface. Des différences de potentiel sont mesurées entre deux électrodes non-polarisables, une électrode de base et une électrode de mesure, à l aide d un voltmètre à haute impédance d entrée. Après traitement des données, une cartographie du site peut être réalisée. Une étude géophysique mettant en œuvre des mesures PS a été réalisée en 2007 sur un barrage en terre (Bolève et al., 2009). Elles ont été associées à des profils de tomographie de résistivité électrique dans le but de localiser d éventuelles zones de fuites. Le modèle de terrain issu de l inversion des données de tomographie de résistivité électrique ainsi que la connaissance de données qualitatives de perméabilité et de conductivité hydraulique des différents matériaux constitutifs du terrain sont nécessaires pour réaliser l inversion des données PS. Les auteurs en concluent que les anomalies négatives correspondent à des zones d infiltration d eau. Dans le cadre de CSD, les anomalies négatives de PS peuvent aussi être significatives de réactions redox qui ont lieu dans les déchets (Bavusi et al., 2006 ; Naudet et al., 2004). 2.3.La thermographie infrarouge Cette méthode fournit la répartition spatiale des données de température sous forme de thermogrammes, créés à partir des radiations reçues par une caméra infrarouge. Ces dernières résultent en réalité de la somme de trois composantes : la radiation émise par l objet, celle réfléchie par l objet et l interaction avec l atmosphère (Sirieix et al., 2005). Les variations de température en surface seront donc fonction de la variation de distribution des constantes thermiques dans le sous-sol et de l historique des variations de températures (saisonnières ou diurnes). Un défaut de perméabilité peut être responsable d une discontinuité thermique mesurable depuis la surface sous certaines conditions mais aussi présenter une température différente de celle de la couverture argileuse car directement influencée par l eau d infiltration qui y circulera plus rapidement que dans la couverture. 821
4 Cependant, sur CSD, le comportement thermique de la couverture comprend également la chaleur produite par la fermentation des déchets. 3. Le site expérimental Dans le but de mieux appréhender les signatures géophysiques de divers défauts possibles d une couverture, un site expérimental a été construit. Il devrait permettre d une part de préciser les limites des différentes méthodes géophysiques en fonction des défauts types rencontrés et, d autre part, de ne pas prendre en compte, dans un premier temps, l effet de l activité des déchets sur les méthodes passives (PS et thermographie infrarouge). 3.1.Présentation Le site est implanté sur le terrain de la société HYDRO INVEST et se compose de deux parcelles distinctes. Elles représentent deux «modèles» de couvertures où sont incorporés des défauts couramment observés sur CSD. Les anomalies, au nombre de 11, sont localisées dans la géomembrane et le matériau de couverture. Ce dernier a été déposé et compacté en trois fois, une première couche de 40 cm d épaisseur et les deux autres de 30 cm. Les caractéristiques de chaque parcelle sont résumées dans le Tableau I. Tableau I. Caractéristiques des deux parcelles expérimentales Parcelle 1 Parcelle 2 Dimensions totales des parcelles 16 m x 12 m 11 m x 12 m Epaisseur 1,15 m 1,50 m Terre végétale (15 cm) Eléments constitutifs Sol compacté (1 m) Anomalies 7, principalement dans le sol compacté : - 2 fissures de 10 cm - 1 fissure de 4 cm - 1 dépression - 1 piézomètre - 2 géodrains Terre végétale (15 cm) Géotextile Graviers (30 cm) Géosynthétique bentonitique (GSB) Sol compacté (1 m) 4, principalement dans le GSB : - 1 déchirure associée à une fissure de 4 cm dans le sol compacté - 1 déchirure - 1 arrachage - 1 défaut de recouvrement Les anomalies de la parcelle 1 Ces anomalies sont de nature différente : fissure, dépression etc (Figure 2). - Trois fissures artificielles représentent des malfaçons liées à la mise en place et à l altération par retrait-gonflement du matériau de couverture contenant de l argile. Chacune d entre elles traverse toute l épaisseur du matériau de couverture sur une longueur de 2,5 m. Le vide laissé par les fissures de 4 et 10 cm, est comblé par du sable. - Une dépression circulaire, simulant une irrégularité dans l épaisseur de la couche, est creusée sur 20 cm de profondeur et 2 m de diamètre en partie supérieure du matériau compacté. 822
5 - Le piézomètre traverse la totalité de l épaisseur de la couverture. Il permet de connaître l éventuelle influence d un puits vertical sur le milieu environnant. - Un géodrain est positionné après la mise en place de la première et de la deuxième couche de sol, soit respectivement à 0,75 m et 0,45 m par rapport à la surface finale des parcelles. Ces géodrains, d une épaisseur de 8 mm sur une surface voisine de 1 m², sont des éléments supplémentaires pour définir le niveau de détection des méthodes géophysiques employées dans le cadre de cette étude Les anomalies de la parcelle 2 La parcelle 2 diffère de la parcelle 1 notamment par l ajout d un GSB au-dessus de la terre compactée. Les anomalies sont constituées de déchirure, arrachage et défaut de recouvrement du GSB. Dans le cadre d un CSD, elles résultent de dégradations opérées lors de la pose de la géomembrane. - L un des défauts est situé à deux niveaux car il associe une déchirure du GSB sur une longueur de 2,5 m à une fissure de 4 cm de large traversant le sol compacté (de dimensions identiques à celle de la parcelle 1). - Une seconde déchirure ouverte est créée sur une longueur de 3 m. - L arrachage semi circulaire réalisé sur un rayon de 1,5 m peut représenter l effet d un coup de godet donné par un engin de chantier sur CSD. - Un défaut de recouvrement est fait entre deux lés de GSB, sur une largeur de 40 cm et une longueur de 2 m. 3.2.Instrumentation Ce site est équipé de capteurs situés à différentes profondeurs par rapport à la surface de la terre végétale visible. Il comprend : - 10 sondes de température de type PT100, - 10 capteurs d humidité (sondes thétaprobes de Sols Mesures), - 39 électrodes de polarisation spontanée (PS) de SDEC, Les données fournies par les capteurs de température et d humidité donnent une indication sur l avancée du front d infiltration de l eau avec la profondeur. Les électrodes PS installées à demeure constituent un réseau de capteurs enterrés à différentes distances des anomalies, qui fournit un suivi en continu de la PS. D autre part, des cartographies PS seront réalisées en surface, dans des conditions climatiques variées. Le suivi en continu des différents paramètres s accompagne de l acquisition de données météorologiques à l aide d une station implantée à proximité des parcelles. 823
6 Figure 2. Capteurs et anomalies au sein des parcelles expérimentales (cf. Tableau 1.) 4. Les premières mesures de tomographie de résistivité électrique De nombreux panneaux électriques, de dimensions et dispositifs variables, ont été effectués sur l ensemble du site afin de recouper les différentes anomalies (Figure 2). L un d entre eux est présenté ici : les mesures ont été faites en Octobre 2009 au moyen de 48 électrodes espacées de 50 cm selon un dispositif dipôle-dipôle. Les données de résistivité acquises ont été inversées au moyen du logiciel RES2DINV en faisant varier les différents paramètres de l inversion. La pseudosection (Figure 3. a) montre de forts contrastes de résistivités aux deux extrémités du panneau ainsi qu une signature typique de fracture. Un des modèles de terrain obtenu par une inversion de type robuste et en doublant le nombre de blocs (deux blocs entre deux électrodes) est présenté en Figure 3 pour un dispositif dipôle-dipôle. Sur ce modèle, la profondeur d investigation voisine de 2,5 m est supérieure à l épaisseur totale de la couverture de la parcelle 1 qui est de 1,15 m. La limite entre le sol compacté et les alluvions limoneuses sousjacentes est nette, excepté sur la partie Nord du panneau, entre 4 m et 6 m, où elle est moins précise. Ceci s explique par la difficulté à inverser en présence d une discontinuité aussi étroite car cela se reproduit sur les autres panneaux réalisés au droit des différentes fissures. Le modèle de terrain fait ensuite apparaître deux principales différences de résistivité au sein du sol compacté qui présente une résistivité moyenne voisine de 20 Ω.m. 824
7 Figure 3. Pseudo-section de résistivité apparente (a), Pseudo-section de résistivité apparente recalculée à partir du modèle de résistivité (b), Modèle de résistivité (c) La première hétérogénéité est située à 6 m du début du profil et se poursuit sur toute l épaisseur de la parcelle. Elle est marquée par une résistivité aux alentours de 50 Ω.m. La seconde se trouve entre 8,5 et 9,5 m à partir de 0,4 m de profondeur et présente une résistivité de 35 Ω.m. Par ailleurs, de petites hétérogénéités sont localisées dans la partie très superficielle du matériau de couverture ; elles sont typiques du dispositif employé (dipôle-dipôle) et du fait d avoir augmenté le nombre de blocs. En comparant les Figures 2 et 3, il est possible d interpréter les deux hétérogénéités électriques comme le résultat des anomalies créées au sein de la parcelle. La première hétérogénéité électrique correspond à l effet de la fissure remplie de sable. Avec un espacement entre électrodes de 0,5 m nous distinguons la fissure oblique large de 0,1 m, remplie de sable sec. La fissure est détectable mais pas avec sa véritable valeur de résistivité (>1000 Ω.m) et sans une limite franche, en profondeur, avec le substratum. La seconde hétérogénéité correspond au géodrain mis en place à 0,45 m de profondeur et de 8 mm d épaisseur. Cependant, son épaisseur est nettement plus importante sur le modèle qu elle ne l est en réalité. 825
8 La modélisation du site permet de montrer le rôle des effets de bord liés au talus et à la géomembrane. Les autres panneaux confirment ces résultats sauf sur la parcelle 2 où la géomembrane joue un rôle électrique déterminant. Par ailleurs, on a déjà pu prouver la capacité de l ARP à détecter les géodrains lors d une première prospection sur le CSD de Sainte Sévère en Charente datant de Juin 2009 (Genelle, 2010). 5. Conclusion Les mesures réalisées sur le site expérimental, où la position et les caractéristiques des anomalies sont connues, permettront de déterminer clairement le niveau de détection attendu par les différentes méthodes de résistivité électrique. Les premières mesures de tomographie de résistivité électrique avec un espacement entre électrodes de 0,5 m donnent de bons résultats concernant la détection de fissures de 10 cm de large et de géodrains de 8 mm d épaisseur en période sèche. L ensemble des méthodes géophysiques présentées ici sera mis en œuvre sur le site expérimental dans des conditions climatiques différentes et en mesurant l ensemble des paramètres tels que la pluviométrie, la température afin de préciser les conditions optimales de mesure pour chaque type d anomalies. A la différence de cet environnement «contrôlé», la prospection sur site réel comportera plus d inconnues. La comparaison entre parcelle expérimentale et mesures sur site devrait permettre d enrichir l interprétation et la mise en œuvre des méthodes géophysiques. Remerciements : Nous tenons à remercier l ADEME pour son soutien financier. Bavusi M., Rizzo E., Lapenna V. (2006) Electromagnetic methods to characterize the Savoia di Lucania waste dump (Southern Italy). Environmental Geology, Bolève A., Revil A., Janod F., Mattiuzzo J.L., Fry J.-J. (2009) Preferential fluid flow pathways in embankment dams imaged by self-potential tomography. Near Surface Geophysics, Dabas M. (2009). Theory and practice of the new fast electrical imaging system ARP. Seeing the Unseen, Geophysics and Landscape Archaeology, CRC Press, Forget B., Rollin A.L., Jacquelin T. (2005). Lessons learned from ten years of leak detection surveys on geomembrane. Proceedings of Sardinia. Genelle F., Méthodes croisées de recherche de fuites dans les couvertures de centres d enfouissement technique. Rapport n 1, Genelle F., Méthodes croisées de recherche de fuites dans les couvertures de centres d enfouissement technique. Rapport n 2, Guyonnet D, Gourry J-C., Bertrand L., Amraoui N. (2003) Heterogeneity detection in an experimental clay. Canadian Geotechnical Journal. Naudet V., Revil A., Rizzo E., Bottero JY., Bégassat P. (2004) Groundwater redox conditions and conductivity in a contaminant plume from geoelectrical investigations. Hydrology and Earth System Sciences. 8, Phaneuf R., Peggs I.D. (2001). Landfill construction quality : lessons learned from electrical resistivity testing of geomembrane liners. Geotechnical Fabrics Report. 19, Sirieix C., Defer D., Antczack E. (2005) Méthodes thermiques d évaluation non destructive. Méthodes d évaluation non destructive de l état d altération des ouvrages en béton, Edition Presses de l Ecole Nationale des Ponts et Chaussées, Paris,
Surveillance et Detection des Anomalies. Diagnostic d une digue: rappel méthodologique
Surveillance et Detection des Anomalies Diagnostic d une digue: rappel méthodologique issu de l expérience d EDF Jean-Paul BLAIS Service Géologie - Géotechnique EDF 1 La méthodologie utilisée par EDF,
Plus en détailChapitre 5 Mesures géophysiques
Chapitre 5 Mesures géophysiques Plan 5.1 Introduction 5.2 Sismique réfraction 5.3 Prospection électrique 5.4 Radar géologique 5.1 Introduction Pour tous les projets de construction connaissance préalable
Plus en détailAuscultation par thermographie infrarouge des ouvrages routiers
Journée «Thermographie infrarouge pour le bâtiment et les travaux publics» Auscultation par thermographie infrarouge des ouvrages routiers Jean Dumoulin (LCPC) Mario Marchetti (LRPC Nancy) Frédéric Taillade
Plus en détailApport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal
Apport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal DL Lyon : G. Bièvre DL Autun : A. Brach, D. Goutaland, M. Massardi, G. Monnot David GOUTALAND CETE de Lyon
Plus en détailVersion 1. Demandeur de l étude : VM - BETON SERVICES 51 Boulevard des Marchandises 85260 L'HERBERGEMENT. Auteur * Approbateur Vérificateur(s)
Département Enveloppe et Revêtements Division HygroThermique des Ouvrages N affaire : 12-007 Le 10 avril 2012 Réf. DER/HTO 2012-093-BB/LS CALCUL DES COEFFICIENTS DE TRANSMISSION SURFACIQUE UP ET DES COEFFICIENTS
Plus en détailCONTRÔLE PAR THERMOGRAPHIE INFRA-ROUGE DES DOUBLES SOUDURES AVEC CANAL CENTRAL DES GÉOMEMBRANES PLASTOMÈRES
CONTRÔLE PAR THERMOGRAPHIE INFRA-ROUGE DES DOUBLES SOUDURES AVEC CANAL CENTRAL DES GÉOMEMBRANES PLASTOMÈRES CONTROL OF DOUBLE JOIN WITH CENTRAL DUCT OF PLASTOMERIC GEOMEMBRANE BY INFRARED THERMOGRAPHY
Plus en détailMonitoring et suivi du comportement des chaussées
Monitoring et suivi du comportement des chaussées Pierre Hornych Juliette Blanc IFSTTAR - LAMES 1/xx MONITORING ET SUIVI DU COMPORTEMENT DES CHAUSSÉES DÉVELOPPEMENTS RÉCENTS ET PERSPECTIVES Introduction
Plus en détailMISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS
MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important
Plus en détailMuret Laurentien MC. Classique et Versatile
Muret Laurentien MC Classique et Versatile Le muret Laurentien par son look classique s agence à toutes nos gammes de pavé. Qualités et caractéristiques Intégration particulièrement harmonieuse du muret
Plus en détailMonitoring earth dams and embankments. High performance and high precision geophysical measurements
Monitoring earth dams and embankments. High performance and high precision geophysical measurements MATTIUZZO JEAN-LUC, GRAVELAT SERGE SOBESOL (anciennement SEGG), Savoie Technolac BP 230, F 73375 Le Bourget
Plus en détailCaractérisation de défauts par Magnétoscopie, Ressuage, Courants de Foucault
Page 1 25 octobre 2012 Journée «Contrôle non destructif et caractérisation de défauts» Caractérisation de défauts par Magnétoscopie, Ressuage, Courants de Foucault Henri Walaszek sqr@cetim.fr Tel 0344673324
Plus en détailL enfouissement des déchets ultimes
L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E L enfouissement des déchets ultimes L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E LE CENTRE D ENFOUISSEMENT TECHNIQUE (C.E.T.)
Plus en détailStyrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement.
Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement. Isolation thermique plus qu une simple protection de l environnement Une isolation thermique optimale
Plus en détailAquitaine Thermographie
Recherches de fuites par thermographie infrarouge Aquitaine Thermographie La thermographie La thermographie est une technologie précise et efficace, un allié fiable dans le domaine du bâtiment, de la maintenance
Plus en détailETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE
1 ENSA Paris-Val de Seine Yvon LESCOUARC H ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE Architecte : Norman FOSTER 2 LES BUREAUX EDF A TALENCE Ce bâtiment de bureaux conçu par l'agence de
Plus en détailLA CAMÉRA THERMIQUE GUIDE PRATIQUE DE. pour les activités du bâtiment 4SOMMAIRE
GUIDE PRATIQUE DE LA CAMÉRA THERMIQUE pour les activités du bâtiment SOMMAIRE 1. DÉFINIR SA MISSION 2 2. CHOISIR SA CAMÉRA THERMIQUE 3 3. PROPOSER UNE INSPECTION AVEC CAMÉRA THERMIQUE À SON CLIENT 5. ANTICIPER
Plus en détail«Grâce à BELFOR, la fuite a été immédiatement localisée. Des résultats certifiés. et le dégât des eaux évité» Des prestations associées
INSTALLATIONS TECHNIQUES DANS LA MAISON Conduites d eau froide et d eau chaude Conduites de chauffage/ chauffage au sol Conduites d eaux usées Inspection de cavités Problèmes de condensation Moisissure
Plus en détailMonitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007
Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) SENTINELLE Réf. : ANR-07-PCO2-007 Ph. de DONATO (INPL-CNRS) (Coordonnateur) PARTENAIRES Durée : 3 ans + 7 mois
Plus en détailL opération étudiée : le SDEF
L opération étudiée : le SDEF Situation géographique 29 Landivisiau Finistére Zone H2a Altitude : 34 m Acteurs de l opération Maitrise d ouvrage Maître d œuvre / Architecte BET Thermique SDEF Atelier 3
Plus en détailCREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN
REPUBLIQUE FRANCAISE - PREFECTURE DE LA DROME A retourner à : DDT/Service Eau Forêt Espaces Naturels 4 place Laënnec BP 1013 26015 VALENCE CEDEX 04.81.66.81.90 CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE
Plus en détailLibre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse
Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse 60 Tarif Public H.T. (réservé aux professionnels) Verre cellulaire FOAMGLAS T4+ FOAMGLAS S3 FOAMGLAS F FOAMGLAS TAPERED FOAMGLAS BOARD PANNEAU READY
Plus en détailProjet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007
Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007 Philippe de DONATO Université de Lorraine/CNRS Co-auteurs: C. PRINET, B. GARCIA, H. LUCAS, Z. POKRYSZKA, S. LAFORTUNE, P. FLAMANT, F. GIBERT, D. EDOUART,
Plus en détailRELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007.
RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. Pour mieux comprendre les résultats ici une petit plan où il y a signalées les différentes
Plus en détailDalle Activ Kerkstoel Activation du noyau de béton
Dalle Activ Kerkstoel Activation du noyau de béton Basé sur l expérience, piloté par l innovation L activation du noyau de béton : un système bien conçu, économe et durable. Construire selon ce principe,
Plus en détailGESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS
GESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS Stockage et Epandage Etude réalisée pour le compte de l ADEME par : SOLAGRO : M. Christian COUTURIER AQUASOL : M. Thierry BRASSET Coordination technique
Plus en détailContrôle thermographique Tarifs et prestations :
20 rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN technimursdeveloppement@gmail.com Tél : 02.54.98.50.15 Mr et Mme DUPONT 20 Rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN Contrôle thermographique Tarifs et prestations : Habitations
Plus en détailSAUVEGARDE DES PERSONNES ET LUTTE CONTRE L INCENDIE DANS LES BATIMENTS D HABITATION DE LA 3ème FAMILLE INC/HAB COL 3/1986-2
1. CLASSEMENT ET GENERALITES : 1.1. Classement Sont classées dans la 3ème famille les habitations collectives dont le plancher bas du logement le plus haut est situé à 28 mètres au plus au-dessus du sol
Plus en détailVII Escaliers et rampes
VII Escaliers et rampes 1. Généralité et terminologie des escaliers Les escaliers permettent de franchir une dénivellation et de relier les différences de niveaux d une construction ou d un jardin. A son
Plus en détailL observation et le contrôle des sites de stockage de CO 2
L observation et le contrôle des sites de stockage de CO 2 Laurent Jammes, Guillemette Picard Schlumberger Carbon Services Technique Académie des sciences Paris 19 Mai 2009 Plan de la présentation 2 La
Plus en détailSystème d énergie solaire et de gain énergétique
Système d énergie solaire et de gain énergétique Pour satisfaire vos besoins en eau chaude sanitaire, chauffage et chauffage de piscine, Enerfrance vous présente Néo[E]nergy : un système utilisant une
Plus en détailM. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y
M. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y 15 Octobre 1954 BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES GEOPHYSIQUES
Plus en détail2.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid
Chapitre Les bétons courants.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid.7.1 - Le bétonnage par temps chaud 3 Granulats Les conditions climatiques lors de la mise en œuvre ont une grande influence sur
Plus en détailProjet SETHER Appel à projets 2008. Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com
Projet SETHER Appel à projets 2008 Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com SETHER STOCKAGE D ELECTRICITÉ SOUS FORME THERMIQUE À HAUTE TEMPÉRATURE Partenaires : POWEO, SAIPEM, CEA, CNAM, GEMH,
Plus en détailAuscultation, diagnostic et surveillance des sols, structures et réseaux
Auscultation, diagnostic et surveillance des sols, structures et réseaux Des ingénieurs spécialisés enrichissant depuis plus de 15 ans une expérience unique du Géoradar et des techniques non destructives.
Plus en détailEtude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013
Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Zones d étude et problématiques Quartiers concernés par l étude 1. Centre ville 2. Schneider Quartier
Plus en détailREGARDS KERAPORT. ÉTANCHÉITÉ ET RÉSISTANCE À LA CORROSION.
REGARDS KERAPORT. ÉTANCHÉITÉ ET RÉSISTANCE À LA CORROSION. 2 Vue dans un regard KeraPort DN 1000 STEINZEUG-KERAMO SITES DE PRODUCTION Allemagne : Frechen et Bad Schmiedeberg Belgique : Hasselt EFFECTIF
Plus en détailJOURNEE TECHNIQUE AFIAP du 15 Mai 2014
JOURNEE TECHNIQUE AFIAP du 15 Mai 2014 Introduction des méthodes CND innovantes au service de la Catherine HERVE; Henri WALASZEK; Mohammed CHERFAOUI CETIM Page 1 Plan de la présentation Les méthodes CND
Plus en détailPrésentation de méthodes de détection et de localisation de défauts dans les dispositifs d étanchéité par géomembranes
Présentation de méthodes de détection et de localisation de défauts dans les dispositifs d étanchéité par géomembranes Édition de 2003 COMITÉ FRANÇAIS DES GÉOSYNTHÉTIQUES Groupe de travail "Détection de
Plus en détailLe chantier compte 4 étapes :
02 Bien mettre en place le 03 béton désactivé La technique du béton désactivé consiste à mettre en valeur les granulats en éliminant la couche superficielle du mortier en surface. Un chantier de béton
Plus en détailLES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC.
L évacuation des eaux usées Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. Les eaux ménagères (EM) : eaux provenant de la cuisine (évier, lave-vaisselle) et de la salle de bains (lavabo, baignoire,
Plus en détailRessources minérales et Hydrocarbures. Hedi SELLAMI Centre de Géosciences MINES ParisTech
Ressources minérales et Hydrocarbures Hedi SELLAMI Centre de Géosciences MINES ParisTech Colloque IMT «Ressources naturelles & Environnement», 5 et 6 novembre 2014 Les minéraux d intérêt économique Minéraux
Plus en détaildescription du système
description du système a. conception technique système constructif Le projet proposé est un système modulaire industrialisé d'assemblage d'éléments préfabriqués tridimensionnels. Il est basé sur un module
Plus en détailCours d électricité. Circuits électriques en courant constant. Mathieu Bardoux. 1 re année
Cours d électricité Circuits électriques en courant constant Mathieu Bardoux mathieu.bardoux@univ-littoral.fr IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie 1 re année Objectifs du chapitre
Plus en détailB1 Cahiers des charges
B1 Cahiers des charges B1 cahiers des charges 35 B.1 Cahiers des charges Ce chapitre contient les cahiers des charges. Pour plus d informations, nous réfèrons au paragraphe B.3. Mise en oeuvre et B.4 Détails
Plus en détail«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte»
«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte» Silva Cell Module d enracinement pour arbres Application : - Le module Silva Cell crée un espace souterrain permettant l enracinement des arbres en ville.
Plus en détailContexte : Objectif : Expérimentation :
Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote
Plus en détailMéthodes de Caractérisation des Matériaux. Cours, annales http://www.u-picardie.fr/~dellis/
Méthodes de Caractérisation des Matériaux Cours, annales http://www.u-picardie.fr/~dellis/ 1. Symboles standards et grandeurs électriques 3 2. Le courant électrique 4 3. La résistance électrique 4 4. Le
Plus en détailLa surveillance appliquée à la gestion des risques géotechniques miniers
Symposium on Innovation and Technology in The Phosphate Industry - SYMPHOS May 6-10, 2013 Agadir, Marocco La surveillance appliquée à la gestion des risques géotechniques miniers Méthodes et Technologies
Plus en détailInfluence de la géométrie du conducteur sur la température dans un poste sous enveloppe métallique
SYMPOSIUM DE GENIE ELECTRIQUE (SGE 14) : EF-EPF-MGE 2014, 8-10 JUILLET 2014, ENS CACHAN, FRANCE Influence de la géométrie du conducteur sur la dans un poste sous enveloppe métallique Nesrine REBZANI 1,2,3,
Plus en détaileau service Optimiser les performances des réseaux d eau potable Les cahiers p. 2 quel cadre réglementaire? une réglementation en pleine évolution
Les cahiers supplément technique du magazine eau service N 11 / NOvembre 2010 eau service Optimiser les performances des réseaux d eau potable p. 2 quel cadre réglementaire? une réglementation en pleine
Plus en détailCours de Structures en béton
Cours de Structures en béton Chapitre 12 DETAILS DE CONSTRUCTION Section 12.3 Les murs 12.3.1 Le mur extérieur en béton armé 12.3.2 Le mur extérieur en maçonnerie traditionnelle 12.3.3 Le mur extérieur
Plus en détailALFABLOC murs autoporteurs ALFABLOC LA SOLUTION POUR LE STOCKAGE EN VRAC ÉLÉMENTS MOBILES DE STOCKAGE EN BÉTON ARMÉ
ALFABLOC murs autoporteurs ALFABLOC LA SOLUTION POUR LE STOCKAGE EN VRAC ÉLÉMENTS MOBILES DE STOCKAGE EN BÉTON ARMÉ ALFABLOC Notre société est la seule à proposer ce type de mur autoporteur révolutionnaire.
Plus en détailCARACTÉRISTIQUES COMMUNES À TOUS LES MODÈLES
CARACTÉRISTIQUES COMMUNES À TOUS LES MODÈLES Le cœur du produit de pointe que nous avons étudié et réalisé pour le secteur médical est représenté par le nouveau thermostat électronique HACCP, de série
Plus en détailLa gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options
La gestion à des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie Options Options possibles pour la gestion à 2 Option zéro ou statu quo : maintien de la situation actuelle Mise en forages profonds
Plus en détailComité de suivi collège Galilée du 08 octobre 2014
Comité de suivi collège Galilée du 08 octobre 2014 Comité de suivi collège Galilée du 8 octobre 2014 1. Historique 1995 2014 2. Diagnostic structure : rapport intermédiaire octobre 2014 3. Gestion de la
Plus en détailLe partenaire de votre innovation technologique
w w w.. s y n e r r v v i a i a. f. r f r Quelques chiffres Création en 2002 Association loi 1901 20 salariés 17 Ingénieurs et techniciens experts dans leurs domaines et présents dans les centres de compétences
Plus en détailPrésenté par : Dr Asmae Nouira. Novembre Hanoi -2007. Journées Scientifiques Inter-Réseaux AUF
Efficacité du semis direct à contrer l érosion hydrique en milieu agricole : mise en évidence à l'aide des techniques de radioéléments, de modélisation et de mesures aux champs (MAROC-CANADA) Présenté
Plus en détailLogiciel pavages drainants mode d emploi
Logiciel pavages drainants mode d emploi FEBESTRAL a développé, en collaboration avec le Centre de Recherches Routières (CRR), un logiciel de calcul pour pavages drainants. Ce programme vous guide lors
Plus en détailMONIER CLIMA COMFORT PLUS L isolation de toiture la plus mince. Des performances thermiques maximales et plus de confort
MONIER CLIMA COMFORT PLUS L isolation de toiture la plus mince. Des performances thermiques maximales et plus de confort www.monier.be MONIER systèmes d isolation de toiture à l extérieur Savez-vous que
Plus en détailpossibilités et limites des logiciels existants
possibilités et limites des logiciels existants Dominique Groleau CERMA, UMR CNRS 1563, Ecole d Architecture de Nantes Journée thématique SFT- IBPSA, Outils de simulation thermo-aéraulique du bâtiment.
Plus en détailLes Conditions aux limites
Chapitre 5 Les Conditions aux limites Lorsque nous désirons appliquer les équations de base de l EM à des problèmes d exploration géophysique, il est essentiel, pour pouvoir résoudre les équations différentielles,
Plus en détailMultiSense un nouveau concept de contrôle de niveau et de mousses. Même encrassé, ce capteur ne détecte que les vraies situations.
MultiSense un nouveau concept de contrôle de niveau et de mousses. Même encrassé, ce capteur ne détecte que les vraies situations. Le MultiSense est un tout nouveau concept dans le contrôle de niveau,
Plus en détailSoumise à l effet du vent, à la différence
CVC N 871 NOV./DÉC. 2011 13 PROFESSION ÉTUDE Infiltrométrie Vers un résultat d étanchéité à l air des bâtiments La réglementation thermique 2012 impose un niveau élevé d étanchéité à l air des nouveaux
Plus en détailINSTITUT POLYTECHNIQUE DE GRENOBLE
INSTITUT POLYTECHNIQUE DE GRENOBLE N attribué par la bibliothèque THESE pour obtenir le grade de DOCTEUR DE L Institut polytechnique de Grenoble Spécialité : «Signal Image Parole et Télécom» préparée au
Plus en détailUn leader dans la BARRIÈRE PARE VAPEUR BI-ADHÉSIVE
Un leader dans la technologie auto-adhésive! POLYVAP SA BARRIÈRE PARE VAPEUR BI-ADHÉSIVE feuille d aluminium POLYVAP SA est une membrane bitumineuse préfabriquée et bi-adhésive d excellente qualité. Elle
Plus en détailProjet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer
ÉOLIENNES OFFSHORE DU CALVADOS avril 2013 Projet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer Synthèse d étude relative à la protection des câbles Sommaire 1. CONTEXTE ET OBJECTIF DE L ETUDE...
Plus en détailCANALISATIONS A L AIR LIBRE OU DANS LES PASSAGES COUVERTS, OUVERTS SUR L'EXTERIEUR SOMMAIRE
CAHIER DES CHARGES AFG CANALISATIONS A L AIR LIBRE OU DANS LES PASSAGES COUVERTS, OUVERTS SUR L'EXTERIEUR RSDG 5 15 décembre 2002 SOMMAIRE 1. - REGLES GENERALES 2 1.1. - Objet du cahier des charges 2 1.2.
Plus en détailETUDE DE SOL. Mission G11 (bâtiments) Mission G12 (voiries) (Norme NF P 94-500) Dossier E08RS1829
ETUDE DE SOL Etude géotechnique préliminaire ZAC de Montbeugny Toulon sur Allier et Yzeure Création d une plate forme logistique multimodale 03340 MONTBEUGNY Mission G11 (bâtiments) Mission G12 (voiries)
Plus en détailDIAGNOSTIC DE LA QUALITE DES PLATES-FORMES FERROVIAIRES : CAS DU RACCORDEMENT D UNE LIGNE NOUVELLE A GRANDE VITESSE SUR UNE LIGNE CLASSIQUE ANCIENNE
DIAGNOSTIC DE LA QUALITE DES PLATES-FORMES FERROVIAIRES : CAS DU RACCORDEMENT D UNE LIGNE NOUVELLE A GRANDE VITESSE SUR UNE LIGNE CLASSIQUE ANCIENNE RAILWAY TRACK QUALITY ASSESSMENT: CASE STUDY OF A NEW
Plus en détailParois industrielles préfabriquées. Willy Naessens 61
Parois industrielles préfabriquées Willy Naessens 61 Dans le domaine de la préfabrication, les parois préfabriquées en béton offrent une solution efficace pour toutes façades extérieures et cloisonnements
Plus en détailInterprétation automatique des sondages électriques
H.LAKSHMANAN Ingénieur géologue Directeur technique de la Cie de prospection géophysique française Interprétation automatique des sondages électriques Y. BERTRAND Ingénieur géologue chargé de cours i l'ecole
Plus en détailAnnexe K Devis d assurance qualité
Annexe K Devis d assurance qualité 1. Généralités 1.1 Portée des travaux Les travaux décrits dans la présente section comprennent : La fourniture; La livraison; Le déchargement et l entreposage; La certification;
Plus en détailEnergie solaire www.euroclima.fr
Chaudières françaises fabriquées en Alsace depuis 1973 Energie solaire www.euroclima.fr E U R O C L i M A Un système complet La clé de l efficience solaire réside dans l association et l optimisation des
Plus en détailCe guide se divise en six chapitres, dont quatre sont dédiés à une catégorie de bâtiment :
INTRODUCTION Constructions de pointe et d usage courant, les escaliers métalliques doivent répondre à d autres exigences, que celle de pouvoir passer d un niveau à un autre. L un des principaux points
Plus en détailÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE
ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ANALYSIS OF THE EFFICIENCY OF GEOGRIDS TO PREVENT A LOCAL COLLAPSE OF A ROAD Céline BOURDEAU et Daniel BILLAUX Itasca
Plus en détailDistribution d électricité et réseaux souterrains
Distribution d électricité et réseaux souterrains Cabos 09-2 - 3 octobre 2009 Maceió, Alagoas, Brésil Les réseaux de distribution : un enjeu essentiel Les réseaux de distribution constituent une infrastructure
Plus en détailProspective: Champ de gravité, méthodes spatiales
Prospective: Champ de gravité, méthodes spatiales Richard Biancale Conseil Scientifique du GRGS Observatoire de Paris, 10 avril 2008 L état de l art des modèles CHAMP: modèles 50 fois moins précis que
Plus en détailassociation française du gaz
association française du gaz RECOMMANDATIONS TECHNIQUES POUR LES TRAVAUX A PROXIMITÉ DES OUVRAGES DE DISTRIBUTION DU GAZ Partie 1 : prescriptions générales Article 10 du décret n 91-1147 du 14.10.1991
Plus en détailEssais de charge sur plaque
Page No.: 1 L essai de charge sur plaque est exécuté entre autres dans des galeries d exploration ou dans des puits, mais il peut aussi être exécuté à la surface en appliquant un poids mort ou en chargeant
Plus en détailConstruction. Sarnavap 5000E SA. Pare-vapeur. Description du produit. Tests
Notice Produit Edition 09.2012 Identification no4794 Version no. 2012-208 Sarnavap 5000E SA Pare-vapeur Description du produit Sarnavap 5000E SA est un pare-vapeur auto-adhésif pour système en adhérence
Plus en détailNom : Groupe : Date : 1. Quels sont les deux types de dessins les plus utilisés en technologie?
Nom : Groupe : Date : Verdict Chapitre 11 1 La communication graphique Pages 336 et 337 1. Quels sont les deux types de dessins les plus utilisés en technologie? Les dessins de fabrication. Les schémas.
Plus en détailPROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3
ECOLE SPECIALE DES TRAVAUX PUBLICS PROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3 AUTEUR : GABILLAT Arnaud PACAUD Fabien BUSSUTIL Clothilde TAN Vincent B3 1 IMPLANTATION DU PROJET Programme : Réalisation
Plus en détail30% SolivBox 34 : une solution innovante, pour utiliser et. Valoriser les combles perdus. Economies. Valoisation de votre habitation
SolivBox 34 : une solution innovante, pour utiliser et Valoriser les combles perdus s Un bâtiment perd de la chaleur par le haut, car la chaleur monte. L isolation de la toiture est donc la priorité. 30
Plus en détail2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http://
2.0. Ballon de stockage : Capacité : L Lien vers la documentation technique : http:// Retrouver les caractéristiques techniques complètes (performances énergétiques et niveau d isolation, recommandation
Plus en détailLe polissage par laser
B U L L E T I N T E C H N I Q U E N 4 1 B U L L E T I N T E C H N I Q U E N 4 1 Le polissage par laser Contexte Un traitement de surface est généralement réalisé dans le but d améliorer les caractéristiques
Plus en détailUtilisation des matériaux magnétostrictifs filaires comme capteurs de mesure de champ magnétique
Utilisation des matériaux magnétostrictifs filaires comme capteurs de mesure de champ magnétique Eric CRESCENZO 1 Evagelos HRISTOFOROU 2 1) IXTREM 9 rue Edouard Denis Baldus, F-711 CHALON SUR SAONE Tél
Plus en détailLuxor. La borne escamotable automatique
Luxor La borne escamotable automatique Gérer, contrôler et délimiter Les besoins modernes de la planification urbaine exigent des systèmes avancés capables de réglementer les flux de véhicules, aussi bien
Plus en détailMISAPOR verre cellulaire
MISAPOR verre cellulaire Remblai allégé pour ouvrage en génie civile 2015-03 Suisse: Allemagne: France: MISAPOR AG Löserstrasse 2 CH-7302 Landquart Téléphone +41 81 300 08 08 Fax +41 81 300 08 09 info@misapor.ch
Plus en détailLe bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose
Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un
Plus en détailPlancher chauffant avec revêtement de sol
Équipements E.2 1/6 Plancher chauffant avec revêtement de sol Domaine d application Cette fiche vise à établir les principales interfaces au niveau des planchers chauffants, à eau chaude ou électriques,
Plus en détailSOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE
SOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE L - 72 FOURNITURE DE SEMELLES ELASTIQUES POUR LA FIXATION DE VOIE "TYPE BOTZELAER" EDITION: 04/2001 Index 1. INTRODUCTION... 3 1.1. DOMAINE
Plus en détailMurs poutres & planchers
Murs poutres & planchers Henri RENAUD Deuxième édition Groupe Eyrolles, 2002, 2005, ISBN 2-212-11661-6 8. Structure porteuse : murs, planchers, charpente Eléments porteurs ou de liaisons qui contribuent
Plus en détailCloisons de distribution Caroplatre
04 Cloisons de distribution en carreaux de plâtre Cloisons de distribution Caroplatre Description Les carreaux de plâtre Caroplatre sont des éléments en plâtre 100% naturel fabriqués en usine. Leur coloration
Plus en détailP. VALLON - Retraitement en place à froid - Juillet 2009
à é Ministère de l'écologie, de l'énergie, du Développement durable et de l'aménagement du territoire P. VALLON - Retraitement en place à froid - Juillet 2009 WWW.developpement-durable.gouv.fr Constitution
Plus en détailMultivac Vision System (MVS) : Détection visuelle d objets et inspection qualité. * Le meilleur de l emballage
Multivac Vision System (MVS) : Détection visuelle d objets et inspection qualité * * Le meilleur de l emballage MVS Composants Domaines d application Données techniques Automatisation efficace de la production
Plus en détailmurs de soutènement et dalles patio
murs de soutènement et dalles patio solide et esthétique Que ce soit pour votre jardin, votre entrée ou pour un projet de plus grande ampleur, choisir un design Pisa est l assurance d une solution gagnante
Plus en détailRELAIS STATIQUE. Tension commutée
RELAIS STATIQUE Nouveau Relais Statique Monophasé de forme compacte et économique Coût réduit pour une construction modulaire Modèles disponibles de 15 à 45 A Modèles de faible encombrement, avec une épaisseur
Plus en détailRetours d expériences: le suivi de bureaux. Christophe Schmauch Pierrick Nussbaumer CETE de l Est
Retours d expériences: le suivi de bureaux Christophe Schmauch Pierrick Nussbaumer CETE de l Est Sommaire 2 L opération étudiée Visite de chantier Instrumentation Explication des consommations Analyse
Plus en détailRapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau
Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l
Plus en détailCOMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS?
COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS? Par Philippe et Marie-Noëlle LENOIR Un couple du Volontaires du Progrès qui travaille à GALIM Département des Bamboutos, Province de l Ouest, nous adresse cette fiche
Plus en détail