les nouvelles du SEA LE TRANSPORT DE MATIÈRES DANGEREUSES Dossier Numero Magazine trimestriel du Service des essences des armées

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1 Numero les nouvelles du SEA Dossier LE TRANSPORT DE MATIÈRES DANGEREUSES Magazine trimestriel du Service des essences des armées SERVICE DES ESSENCES DES ARMÉES

2 EDITO Lieutenant-colonel Robles, chef de cabinet de la DCSEA Qui n a pas gardé en mémoire ces terribles images des conséquences de l explosion d un camion-citerne à Los Alfaques en Espagne en 1978 qui tua 217 personnes ou celles de l Amoco Cadiz laissant échapper sa cargaison de pétrole sur les côtes bretonnes détruisant pour de nombreuses années la faune et la flore. Pour protéger l environnement et les populations, tous ces accidents largement médiatisés ont entraîné de nouvelles réglementations de portées nationales ou internationales dans le transport de matières dangereuses (TMD) par voie routière, ferroviaire, maritime, fluviale ou aérienne. Plus directement concerné par le transport routier et en raison de l évolution de la réglementation TMD en 1997, le Service des essences des armées s est engagé dans une politique volontariste de qualité et de sécurité pour l application des nouvelles directives européennes au sein du ministère de la Défense. En créant à la base pétrolière interarmées un centre agréé de formation ouvert à tous les conducteurs du MINDEF et en constituant une filière d expertise, le SEA a délibérément choisi la professionnalisation de la fonction. Désormais largement reconnus dans les armées, la rédaction des Nouvelles du SEA vous invite à partager les missions du lieutenant Caradec et de ses 12 experts. A travers les portraits de certains, découvrez leurs qualités premières (compétence, dynamisme, autonomie ) et si vous aussi vous avez envie de devenir un expert, sachez que le recrutement est ouvert en permanence. Bonne lecture. Directeur de publication : Ingénieur général Jean-Luc Volpi Rédacteur en chef : Mme Virginie Massol Comité de rédaction : Lieutenant-colonel Jean-Pierre Robles Mme Virginie Massol M. Sébastien Karmowski Commandant Gildas Celton M. Hervé Pernot M. Philippe Midon Réalisation : M. Sébastien Karmowski Impression : SGA/SPAC/PGT Impressions Routage : M. Philippe Midon Cellule communication du SEA : Direction centrale du Service des essences des armées 14 rue Saint-Dominique, Paris SP com.dcsea@inet.essences.defense.gouv.fr N ISSN Crédits photos : SEA, sauf indications particulières Photo couverture : formation «lutte contre un incendie de citerne à carburant» - Crédit SEA

3 SOMMAIRE OPEX/EXERCICES Opération Serval... 4 Road trip pour Sangaris... 8 ACTUALITES Présence du SEA en opérations Mangouste Inondations dans le Var Rétrospective en insignes La vie de pompier Première visite de la commission de la Défense au SEA Expertise produits En bref CHRONIQUE DU PERSONNEL L UNCRSEA Le comité technique de réseau Communication sur le projet de service du SEA CFMSEA Mouvements personnels militaires Mouvements personnels civils dossier p. 14 LE TRANSPORT DES MARCHANDISES DANGEREUSES Votre magazine est également en ligne sur notre site :

4 FOCUS ZOOM ACTUALITES SEACTU A LA UNE FOCUS ACTUALITES ZOOM ENQUETE OPEX / EXERCICES [Opération Serval] 3 jours pour une première La première visite de l ingénieur général Jean-Luc Volpi auprès d un détachement du SEA engagé en opération extérieure a été consacrée à l opération Serval, dont le dispositif de soutien pétrolier revêt un caractère particulier compte tenu du nombre de personnels engagés, de la nature des élongations et de l état des voies de communication. Les personnels du SEA ont eu l honneur d accueillir le directeur central au Mali du 10 au 12 janvier. Il s agissait également pour le DCSEA de rencontrer les autorités du théâtre ainsi que les chefs de corps du GAM* et du BATLOG*. L ingénieur général Volpi s est rendu à Tombouctou, Gao et Bamako. A Tombouctou (PFDR), le SEA exploite un réservoir souple de 80 m 3 de F-35, pour assurer le soutien pétrolier de niveau 1 aéronautique et terrestre du site. Ce fut l occasion pour le directeur central d apprécier la mission au plus près de la force, ainsi que les conditions de vie et de travail en environnement rude et austère. Le théâtre de Serval est actuellement articulé en une base logistique interarmées à Bamako où est situé aussi le PCIAT*, une PFOD* à Gao, centre de gravité opérationnel, et plusieurs PFDR* réparties au nord du Mali. Le SEA est présent sur tous les sites susnommés. Le soutien pétrolier, dans ce théâtre grand comme deux fois la France est un enjeu majeur pour les forces armées. Le directeur central du SEA et le chef de corps du BATLOG 4 Les Nouvelles du SEA - numéro 2/2014

5 La visite s est poursuivie à la PFOD de Gao où le directeur a rencontré les personnels du détachement SEA, ainsi que les autorités du SGAM et du BATLOG. Point de départ des opérations où sont regroupées la majorité des unités tactiques de Serval, Gao est un camp qui ouvre les portes du Nord-Mali. Après cette première journée au nord du pays, le deuxième jour fut consacré à la visite de la BLIAT*, du PCIAT* et des entretiens avec les autorités militaires de l opération à Bamako. Cette ville constitue un point d entrée de la ressource pétrolière du théâtre. Avant son départ l ingénieur général Volpi a partagé un repas de cohésion avec les personnels du SEA. Ce fut l occasion pour lui de leur transmettre la satisfaction des autorités militaires de Serval quant au soutien pétrolier dont elles bénéficient. Ingénieur principal Patrick Bortolussi AISP Serval BBATLOG : bataillon logistique SGAM : sous-groupement aéromobile PCIAT : poste de commandement de la force PFOD : plateforme opérationnelle désert PFDR : plateforme désert relais BLIAT : base logistique interarmées de théâtre PCIAT : poste de commandement interarmées de théâtre 1 er Avitaillement du drone Reaper Le 15 janvier 2014, le général Denis Mercier, chef d étatmajor de l armée de l Air (CEMAA) s est rendu en zone sahélienne pour rencontrer les aviateurs déployés dans le cadre de l opération Serval. À cette occasion, il a pu, le 16 janvier 2014, assister au premier vol du drone Reaper (40 minutes de vol). Le brigadier-chef Francis du DEA de Cognac a eu le privilège de réaliser sur la plateforme de Niamey l avitaillement en F-34 de ce drone avec les mécaniciens des drones (plein de carburant sous pression avec accrocheur). Source : Armée de l air Avitaillement du drone Reaper - J.L Brunet/armée de l air Décollage du drone Reaper - J.L Brunet/armée de l air Les Nouvelles du SEA - numéro 2/2014 5

6 FOCUS ZOOM ACTUALITES SEACTU A LA UNE FOCUS ACTUALITES ZOOM ENQUETE OPEX / EXERCICES Si Serval nous était conté La zone vie du dépôt DE Gao «Ça y est! Branle-bas de combat! Les ordres sont tombés. L opération Congre va avoir lieu et les deux équipages ainsi que les véhicules pétroliers Scania CCP10 (camion-citerne polyvalent de 10 m 3 ) sont aussitôt désignés! La mission, sous TACON (tactical control) d une unité terrestre (GTK), est de mettre en place des solutions d avitaillement à partir de la PFOD de Tombouctou ou de FARP (Forward Airming and Refuiling Point) mobiles dans la région au profit des éléments du GAM. Pour 12 autres camarades, il s agira en parallèle d armer un incontournable convoi logistique pour approvisionner en carburant l opération avec 6 véhicules pétroliers de type CBH (véhicule citerne d une capacité de 18 m 3 pour le transport et le stockage). Et bien sûr pendant la période d absence de ces 16 «pétroliers», le travail se poursuit au quotidien au dépôt, avec en plus une équipe dédiée à l avitaillement de la plate-forme aérienne de la PFOD 24h/24!». Armé de 66 militaires, engagé sur le théâtre malien depuis la mi-octobre 2013, réparti sur l APOD de Bamako, la PFOD de Gao, ainsi que sur les PFOD de Kidal, Tessalit, Menaka et de Tombouctou, le DETSEA a très vite été engagé dans les différentes opérations (Hydre, Chacal, Roussette) et les premiers convois vers le Nord-Mali. De la boucle intermédiaire de Bamako à Gao, avec l imposant Kerax 430 de 30 m 3, ou au nord du Mali avec le CBH pour le convoi, voire le CCP10 avitailleur pour les opérations, le soutien pétrolier réalisé par le DETSEA garantit à la Force son autonomie au combat, en déplacement et au stationnement. Le DETSEA assure ainsi le soutien pétrolier de l approvisionnement jusqu à la distribution. Présent partout où se trouvent les forces et inséré au sein des unités tactiques, il prend en charge les différentes plateformes et les opérations aéroterrestres. Avant tout «chauffeurs avitailleurs», les spécialistes du SEA sont interchangeables, ce qui accorde une certaine souplesse en conduite au chef de détachement. Le lien étroit entre «OP» et «Convoi» souligne cette polyvalence avec un spectre large des fonctions du soutien pétrolier : de la préparation des matériels, en relation avec le comptable des matériels, et des IPDE (ingrédients, produits divers et emballages), en passant par les mécaniciens NTI2 pétroliers qui maintiennent à flot les véhicules, la gestion qualitative et quantitative des stocks aux différents dépôts de stockage, et jusqu à la livraison de la précieuse manne énergétique, tous les maillons de la chaîne sont importants et tributaires des uns et des autres. Devant les élongations du théâtre, l hostilité et l abrasivité du terrain, les matériels sont mis à rude épreuve et les bilans s accumulent allègrement. Ainsi, en tenant compte des spécificités des missions et des boucles respectives, le MCH Debray, chef de section transport de Bamako «boucle arrière» a déjà parcouru environ km avec son Kerax, contre environ km pour le BRI Taeae de la section transport de Gao «boucle avant» au volant de son CBH. Partant de la ressource en carburant située à Bamako, le DETSEA a ainsi assuré l acheminement d environ m 3 de carburéacteur (F-35) par les convois et la distribution de plus de m 3 tous carburants confondus depuis le début de son mandat Capitaine Eddy Moutoussamy Chef du DETSEA Interview recueilli et paru dans «BATLOG Info février 2014» Tombouctou : avitaillement par un Scania CCP 10 6 Les Nouvelles du SEA - numéro 2/2014

7 Dépôt essences de Bamako : 1 er audit en OPEX de la direction centrale du SEA Depuis le début du mandat Serval 3, le dépôt de carburants de Bamako a été complètement réaménagé afin de répondre au plus près aux normes imposées en métropole. Le DETSEA a ainsi réparti son espace de travail en six zones distinctes : local administratif, stockage des matériels pétroliers et IPDE (ingrédients, produits divers et emballages), stockage et distribution de carburant, maintenance, parking des véhicules pétroliers. L aménagement a été conçu pour réduire au maximum les risques d accidents, notamment en évitant les interactions et la circulation entre les différentes aires d activités. Un sens de circulation a ainsi été créé avec la mise en place de panneaux de circulation. La zone IPDE a été interdite à la circulation pour pouvoir manipuler les stocks en toute sécurité. La zone maintenance a, quant à elle, été découpée en trois aires : attente, travail et réception. Enfin la zone parking a été scindée en îlots de quatre véhicules séparés par des containers et des T-walls afin d éviter la propagation d un éventuel incendie. Les travaux entrepris et la volonté d améliorer en permanence les conditions de travail ont permis de transformer le dépôt, dont l agencement pertinent a été souligné à l occasion de la visite du directeur central du SEA. Outil performant, il se caractérise par la réactivité du personnel à avitailler sur très courts préavis les aéronefs, comme l A400M au moment de la visite du CEMA, et aussi à acheminer du carburant sur la PFOD de Gao, stocks cruciaux pour ravitailler les autres sites isolés. Avec la transformation du format de la force, une priorité sera donnée à Gao. Pour la boucle intermédiaire, l externalisation sera de plus en plus mise en oeuvre. D ailleurs, des ravitaillements de Gao par vecteurs civils ont déjà été testés. Le SEA a démontré par la réorganisation de ses dépôts une réelle faculté d adaptation à la contraction de la force tout en conservant un format capable de garantir la mobilité terrestre comme aérienne. Intégrés dans tous les convois, les camions acheminant l or noir ont eu pour mission de gonfler les réserves sur les platesformes, mais aussi d avitailler un aéronef dans le cas d une EVS pour un personnel du convoi. Les dernières opérations de Sabre ont souligné l aspect vital de cette ressource, tant à Tessalit, Tombouctou que Gao. Récemment installé à Ansongo, le DAO 3 dispose d un FARP fixe sur roue de carburant terrestre pour conserver une autonomie. Demain, tant Gao que Tombouctou verront leurs stocks évoluer. Totalement intégré dans la manoeuvre, jusqu au briefing pour notre expert ALAT de Gao, le SEA a montré au cours de cette opération sa parfaite maîtrise des différents procédés techniques comme les qualités d autonomie de son personnel. Lieutenant Benjamin Bordelais Chef du dépôt SEA de Bamako Interview recueilli et paru dans «BATLOG Info février 2014» (extrait) Départs en OPEX : les familles ne sont pas oubliées Dans le cadre des départs OPEX du premier semestre 2014, le directeur de la base pétrolière interarmées a organisé une réunion d information au profit des familles des partants. Cette rencontre a pour but de présenter les enjeux, les missions, les pays et le cadre de vie dans lesquels évoluent les militaires projetés. Lors de la première partie de cette réunion, les proches des partants ont pu à la fois obtenir de nombreux renseignements sur les conditions de vie en projection, et collecter les coordonnées téléphoniques des acteurs de la BPIA à contacter en cas de nécessité. La seconde partie a permis à tous les participants de se réunir autour d un cocktail afin de poursuivre les échanges dans un cadre plus détendu. Les réunions d information aux familles des partants sont organisées plusieurs fois dans l année. Les familles des militaires projetés relevant de la DELPIA sont également conviées. Commandant Denis Ramage et M. Hervé Pernot / BPIA Les Nouvelles du SEA - numéro 2/2014 7

8 FOCUS ZOOM ACTUALITES SEACTU A LA UNE FOCUS ACTUALITES ZOOM ENQUETE OPEX / EXERCICES [Road trip pour Sangaris] Environ militaires français sont actuellement déployés dans l opération Sangaris, aux côtés des hommes de la MISCA. Lancée le 5 décembre 2013, l opération Sangaris vise à rétablir une sécurité minimale en République Centrafricaine et à faciliter la montée en puissance et le déploiement opérationnel de la MISCA. >> Départ pour Sangaris... l embarquement sur le Dixmude Un élément précurseur (1/2/5) du SEA a été préalablement projeté de France par voie aérienne le 26 novembre sur Bangui afin de déployer un dépôt de campagne indispensable au soutien du pont aérien qui est déclenché une semaine après. Le DETSEA se renforce pour atteindre l effectif de 24 personnes intégrées au DETSOUT (détachement de soutien) et placées sous l autorité fonctionnelle du DLSEA/ FFG (Détachement de Liaison des Forces Françaises au Gabon) désigné comme AISP de cette opération sous le commandement du COMFOR/FFG. La mission du DETSEA est de soutenir les aéronefs français sur la plateforme de M Poko (aéroport de Bangui) ainsi que d assurer un soutien à l aéromobilité hors plateforme principalement lors des missions de reconnaissance et de sécurisation des axes routiers en direction de l ouest (Cameroun) et du nord (Tchad). Le SEA assure par ses propres moyens associés aux moyens civils l approvisionnement amont du dépôt SEA de M Poko ainsi que le soutien niveau 1 terrestre au travers de personnels de l armée de Terre regroupés avec le DETSEA. Le dispositif SEA doit ensuite s adapter aux évolutions de missions de la Force SANGARIS qui voit une extension de sa zone d action vers l Est de la RCA. Un environnement contraint, une sensibilité particulière de la gestion amont des approvisionnements, un accroissement d activité, une future collaboration avec l EUFOR sont autant de challenges que devra relever le DETSEA/SANGARIS. >> Bouar... un site cible Sur les routes les populations accueillent avec joie les forces françaises << 8 Les Nouvelles du SEA - numéro 2/2014

9 d une remorque CBH est une opération délicate >> Le SEA ne voyage jamais seul... il s intègre dans les convois logistiques >> Les missions de soutien s enchaînent Le CBH et sa remorque : une valeur sûre pour les missions du SEA << Les Nouvelles du SEA - numéro 2/2014 9

10 FOCUS ZOOM ACTUALITES SEACTU A LA UNE FOCUS ACTUALITES ZOOM ENQUETE OPEX / EXERCICES [Présence du SEA en opérations] 10/31/91 soit 132 PAX Cette carte représente les effectifs, hommes et femmes du SEA, qui participent aux missions de soutien pétrolier en OPEX et dans les forces de présence. Régulièrement, les Nouvelles du SEA présenteront les évolutions d effectifs sur les théâtres. KOSOVO KFOR OPEX Forces de présence NIGER SOUTIEN HARFANG TCHAD EPERVIER SENEGAL EFS MALI SERVAL RCI LICORNE GABON FFG RCA SANGARIS EAU FFEAU DJIBOUTI FFDJ LIBAN DAMAN 10 Les Nouvelles du SEA - numéro 2/2014

11 [Mangouste 2014] Du 10 au 20 mars, la compagnie de formation spécialisée de la BPIA s est déployée sur le camp de La Courtine pour réaliser l un de ses deux exercices terrain annuels, souvent connu sous le vocable «camp de mars». Ce déploiement a été baptisé pour l occasion opération «Mangouste 2014» car il a suivi le même processus qu une montée en puissance d une opération. La planification en amont entre le groupement école et le bureau opération entraînement a permis de percevoir avec efficacité les matériels nécessaires sensibilisant par là les futurs cadres. L un des principes de guerre du Maréchal Foch a été appliqué sur ce camp, à savoir «l économie des moyens». En effet, le détachement du SEA a été taillé sur mesure avec un peu moins de 70 personnes (formateurs, stagiaires et troupe de manœuvre) et plus de 20 véhicules. Pour les élèves du groupement école (OCTA, BSTE et BETE), les objectifs de cette opération ont été clairement identifiés, à savoir, mettre en situation de commandement ces jeunes chefs et mettre en œuvre sur le terrain les connaissances acquises depuis le début de leurs scolarités. Les différentes équipes étaient commandées par un élève, avec en doublure un formateur. Les missions abordées, au nombre de cinq, ont permis de brosser une bonne partie du panel des savoirfaire pétroliers : mission chef de détachement, transport de carburant, déploiement d un dépôt de campagne, déploiement des modules MAH-MRR et d un plot d avitaillement. Pour rendre l opération très réaliste, le choix de travailler en produits a été fait : les stagiaires ont pu voir les contraintes de leurs futures missions en OPEX (délai de déploiement, protection de l environnement, qualité des produits, comptabilité ). Ce camp a été également l occasion de travailler en interarmées, notamment en réalisant des missions de convois en partenariat avec les écoles militaires de Bourges. Grâce à une météo particulièrement clémente, cette opération «Mangouste 2014» a permis aux élèves d atteindre les objectifs fixés et de se confronter à la réalité du terrain. Les bons résultats obtenus sur le camp de La Courtine donnent raison à notre expression «une bonne formation initiale facilite l entraînement et participe à garantir la capacité opérationnelle du SEA». Ingénieur principal Gildas Prêcheur Adjoint chef groupement école / BPIA Les Nouvelles du SEA - numéro 2/

12 FOCUS ZOOM ACTUALITES SEACTU A LA UNE FOCUS ACTUALITES ZOOM ENQUETE ACTUALITES [Inondations dans le Var] Le dimanche 19 janvier 2014, un véritable déluge a dévasté une partie de la région hyèroise où les autorités ont malheureusement eu à déplorer deux morts et des centaines de maisons endommagées. Sous des pluies incessantes équivalant à trois mois de précipitation, certains cours d eau, notamment Le Gapeau et Le Réal Martin, se sont trouvés saturés inondant les villes de La Londe, Hyères et Pierrefeu. Celles-ci se sont littéralement retrouvées coupées du monde avec parfois plusieurs mètres d eau dans les rues, condamnant de nombreux habitants, familles et personnes âgées à attendre d être évacuées par voie aérienne. Dans le cadre de cette mobilisation interministérielle, sous la coordination du cadre de permanence du DEAN, M. Matteoli a assuré, avec une grande efficacité et une disponibilité remarquable, le soutien en carburant de la totalité du dispositif aérien déployé. Il a ainsi modestement prêté son concours au sauvetage de près de 150 personnes qui ont été hélitreuillées puis acheminées vers la base de Hyères où elles ont été accueillies au sein d un poste médical avancé. Capitaine Flavien Outil Chef du dépôt essences de l aéronavale de Hyères Face à cette situation, le préfet de la zone de défense Sud a désigné la base aéronautique navale de Hyères (BAN) comme point d appui des secours aériens et a, par ailleurs, demandé le concours des forces aériennes de la sécurité civile, de la gendarmerie, des douanes ainsi que de la BAN. Il s agissait pour la dizaine d hélicoptères déployée d assurer des missions de reconnaissance et de secours aux habitants des communes sinistrées. M. Matteoli 12 Les Nouvelles du SEA - numéro 2/2014

13 [Rétrospective en insignes] Un des faits majeurs de l année 2013 pour les armées restera le déclenchement de l intervention au Mali. Cette opération sans précédent pour le Service des essences des armées s est aussi traduite par une belle production d insignes non homologuées. Le SEA œuvre aussi sur le territoire national et ailleurs dans le monde, ce que montrent les autres insignes présentés. Commandant Gildas Celton Adjoint au chef du CSLSEA Détachement SEA Serval 1 er mandat (janvier à mai) Insigne traditionnel du Service dont le motif caractéristique est une tête de serval (grand chat sauvage d Afrique) désignant le nom de l opération. Cet insigne a été produit par la société Boussemart à 170 exemplaires plus 25 modèles avec une finition à bain d argent. Cellule soutien pétrolier du PC du groupement de soutien interarmées de théâtre (Bamako, janvier à juin) La croix du Sahara rappelle que la majorité du territoire malien est un milieu désertique. Les couleurs vert jaune rouge sont les couleurs du drapeau de la République du Mali. La paire de flambeaux est le symbole du SEA (elles rappellent celles que les adorateurs du feu, en Perse, entretenaient dans leurs temples avec le pétrole brut suintant du sol) et la tête de serval caractérise l opération. Insigne réalisé à 50 exemplaires par la société Boussemart. Détachement SEA Serval, 2 e mandat (mai à octobre) Réalisé par la société Boussemart (150 exemplaires), l insigne a pour base la carte et les trois couleurs du Mali. La tête de félin a été reprise des deux insignes précédents pour symboliser l opération, tandis que le chiffre 2 identifie le mandat. Maintenance pétrolière du DETSEA 2 Serval Les personnels de la maintenance du détachement ont fait réaliser un insigne souvenir (tirage de 50 exemplaires, par la société Boussemart). La roue dentée symbolise la spécificité technique, les flambeaux la spécificité pétrolière. Dans les flammes ont été insérées une carte du Mali aux couleurs de son drapeau et la tête de serval. Le chiffre 2 précise le numéro du mandat. EPEE Metz L échelon de proximité des établissements des essences de Metz a fait réaliser par la société Delsart un insigne, tiré à 50 exemplaires, plus trois autres de prestige qui se distinguent par une finition argent et des émaux translucides. Le motif spécifique à l EPEE est le Graoully, créature emblématique de la ville de Metz. Au 3 e siècle, un monstre ailé au corps couvert d écailles terrorisait la ville. Saint Clément, envoyé par Rome pour évangéliser la région, fut mis au défi de prouver l existence de Dieu en délivrant la ville du Graoully. Le saint évêque captura le monstre avec sa toge et le noya dans la rivière. Opération Epervier, 88 e mandat (juin à octobre) Au cours de leur projection au Tchad, les personnels ont fait réaliser localement à 25 exemplaires un insigne dont le motif caractéristique est un dromadaire, animal emblématique du milieu désertique. Les Nouvelles du SEA - numéro 2/

14 dossier LE TRANSPORT DES MARCHANDISES DANGEREUSES Dossier réalisé par le lieutenant Claude Caradec, conseiller TMD du SEA Quand tout va bien tout va bien Si notre monde fonctionnait sans heurt ni problème, nous serions libre d agir sans respecter ni règlement ni loi. Or, des problèmes, il y en a. Dès lors que l on circule en véhicule automobile, train, avion, bateau la possibilité d un accident potentiel existe, simplement parce que nous partageons les infrastructures modales, parce que la sûreté des technologies des matériels de transport est plus ou moins développée, parce que nous évoluons dans un milieu dirigé par les forces naturelles et que nous ne sommes qu humain. En accompagnant le transport de marchandises dangereuses, logiquement, les risques sont accrus par les dangers intrinsèques liés à ces marchandises, tels l incendie, l explosion, la toxicité, l infection, la radioactivité, la pollution, la corrosivité. 14 Les Nouvelles du SEA - numéro 2/ Dossier

15 Mais quand ça ne va pas Un camion-citerne qui transportait l de gas-oil et l d essence s est renversé en septembre 2010 à Trentels (Lot-et- Garonne) - J-L A/Depeche du matin Hélas, les exemples d accidents sont légions et il faut rappeler les événements majeurs survenus lors de transports de marchandises dangereuses qui ont engendré des catastrophes humaines et écologiques, entraînant des désastres économiques. Citons celles, plus ou moins anciennes, dont on se souvient et qui ont pu frapper nos esprits à la vision des images du journal télévisé ou dans la presse écrite. Au sortir de la Seconde Guerre mondiale, la ville de Brest ressemble à un paysage de désolation, car le tribut à payer pour se libérer de l occupant, à l instar d autres ports français, a consisté à supporter les bombardements alliés sur les positions ennemies installées sur notre sol. Peu à peu, après la libération, la vie reprend courageusement son cours et les manches se retroussent pour commencer le nettoyage. Le 28 juillet 1947, par une journée chaude et ensoleillée, l Ocean Liberty, un cargo de type Liberty ship ayant servi aux approvisionnements pendant la guerre et reconverti en navire marchand, décharge sa cargaison en provenance des États-Unis au port marchand brestois. Ses soutes contiennent tonnes de nitrate d ammonium (de l engrais azoté), des combustibles liquides et plusieurs tonnes de pièces mécaniques. Vers 12 h 30, un ouvrier aperçoit des fumées sombres qui se dégagent des cales du navire. Il donne l alerte. Plusieurs manœuvres sont entreprises pour essayer d abord de limiter le danger puis tenter de l écarter : bateaux pompes incendie, dynamitages du navire pour le faire sombrer, remorquage pour l éloigner des quais mais rien n y fait et à 17 h 24 le navire explose. Des débris sont projetés jusqu à 22 kilomètres immeubles sont détruits en ville. La zone portuaire s enflamme à son tour, trouvant son foyer dans les entrepôts de gaz. Au bilan, ce seront 26 personnes qui décèderont, plus de 500 blessés seront dénombrés et plusieurs enfants perdront la parole durant des mois en raison de la violence de l impact psychologique. Le 1 er février 1973, dans la paisible cité thermale de Saint-Amand-les-Eaux, dans le Nord, un véhicule citerne de transport de gaz (butane) prépare ses livraisons. Survient un accrochage avec un autre véhicule, somme toute anodin, qui va provoquer en plein centre-ville une catastrophe soudaine. L incendie se déclenche et provoque rapidement l explosion du chargement. Navire «Ocean Liberty» en feu David Van de la Fosse/archives de Brest Cet accident ôtera la vie à 9 personnes, en blessera 30 autres et provoquera la destruction de 26 immeubles dans le quartier impacté. Les Nouvelles du SEA - numéro 2/ Dossier 15

16 Les images d une autre catastrophe ont marqué les esprits le 11 juillet 1978 : celles des corps humains pétrifiés après l accident d un camion-citerne transportant 25 tonnes de propène (composé issu de l industrie pétrochimique servant à la réalisation des plastiques) dans le camping de Los Alfaquès en Espagne. 14 h 30 : le camion chargé de la marchandise dangereuse roule sur la voie longeant le camping. A la raffinerie, le véhicule a été chargé en surpression à 12 h. La chaleur accumulée fait augmenter la pression dans la citerne et provoque l effet de Bleve (voir ci-après) qui fait exploser le véhicule, projetant ainsi la matière enflammée vers les occupants du camping. Certains périront des brûlures du nylon de leur tente. Le bilan est extrêmement lourd avec 217 décès et 400 blessés dont 200 grands brûlés. Le 16 mars 1978, dans le gros temps, un navire chargé de tonnes de pétrole embarqués dans le Golfe persique tombe en avarie au large des côtes bretonnes. Il se brisera et s échouera vers 22 h 30 après son avarie de gouvernail survenue 13 heures plus tôt. L Amoco Cadiz était un navire en bon état d entretien et ne comptait que 4 années de navigation. En huit jours, le navire perd 90 % de sa cargaison qui s échoue sur l ensemble du littoral breton et même au-delà. Le bilan écologique est lourd : oiseaux de diverses espèces disparaissent. 35 espèces de poissons et crustacés sont exterminées et les survivants ne sont plus consommables en raison de l ingestion des polluants. Le préjudice économique direct (dépollution) et indirect (métiers de la mer et du tourisme) est estimé, en francs de l époque, à MF. L impact psychologique provoqué par l incapacité des institutions à gérer ce type de catastrophe ébranle le pouvoir politique et inquiète les populations. 16 Les Nouvelles du SEA - numéro 2/ Dossier

17 Le BLEVE Acronyme de l anglais : «boiling liquid expanding vapor explosion». A l occasion d un incendie entraînant une élévation de la température de la matière contenue, celle-ci se vaporise et augmente conséquemment la pression à l intérieur de la citerne, jusqu à sa rupture. Les vapeurs s enflamment violemment créant une «boule de feu». L effet de BLEVE est accompagné d un blast important (onde de choc), d un flux thermique important (boule de feu) et d un effet «missile». Par exemple, l onde de choc créée par l explosion d une citerne de 30 m 3 de butane produira des effets jusqu à 600 mètres. Si l on prend 50 litres de ce même butane explosant sous l effet de BLEVE, la zone létale débute à 25 mètres du centre de la boule de feu. L effet missile quant à lui projette 90 % des fragments métalliques à moins de 400 mètres. Néanmoins, les projectiles parcourent jusqu à mètres (Mexico ; 11/1984 : un fragment de 9.5 tonnes a parcouru mètres). Les dégâts matériels et humains : Le cas de San Ixuatepec : Accident de San Ixuatepec, Mexico, 19 novembre 1984 : A 5 h 35 est détectée une fuite de gaz sur le terminal de stockage de gaz. 1/4 d heure plus tard... le premier BLEVE. Jusqu à 7 h 20, 52 BLEVE seront dénombrés. Bilan : 600 morts, blessés, personnes évacuées. Les Nouvelles du SEA - numéro 2/ Dossier 17

18 Mais que font les autorités? Les incidents, accidents, catastrophes dues aux matières dangereuses ont toujours existé. Aux 15 e et 16 e siècles, il était relativement fréquent, notamment à Paris, que d importants incendies provoquent de nombreuses victimes. Ces matières étant nouvellement utilisées pour des applications diverses et en même temps méconnues, elles présentaient potentiellement des risques majeurs non maîtrisés. C est pourquoi les autorités gouvernementales, conscientes du risque pesant sur les populations et ébranlant souvent le pouvoir, décident de légiférer sur le sujet. Ceci permettra par ailleurs de favoriser la recherche et le développement industriel et technologique français. Le premier texte législatif portant sur les risques inhérents aux marchandises transportées est la loi du 18 juin 1870, qui réglemente les transports par eau et voies de terre. Puis il y aura le règlement du 12 novembre 1897 sur les transports ferroviaires intérieurs. Il faudra attendre la loi du 5 février 1945 pour voir apparaître un texte complet sur le transport par chemins de fer, par voies de terre et par voies de navigation intérieur des matières dangereuses (RTMD : réglementation des transports de matières dangereuses). Elle sera élaborée et appliquée par la commission interministérielle du transport des marchandises dangereuses instituée par le décret du 27 février Entré en vigueur le 1 er juillet 1946, le RTMD sera partiellement abrogé le 1 er juillet Le transport routier sera soumis du 1 er janvier 1993 au 31 décembre 1996 au règlement pour le transport des marchandises dangereuses par route (RTMD/R). Ce règlement sera abrogé le 1 er janvier A cette date, la France adopte l accord européen relatif au transport international des marchandises dangereuses par route (ADR : agreement for dangerous goods by road - accord européen pour le transport international des marchandises dangereuses par route) et devient partie contractante de cette réglementation mise en place et conduite par la commission économique des Nations Unies pour l Europe (UNECE). Cet accord est rendu applicable en France par un arrêté dit ADR de 1997 à L arrêté du 29 mai 2009 dit arrêté TMD est aujourd hui applicable pour les transports par voies terrestres (route, fer, voies navigables). La réglementation encadrant le transport par voie aérienne est rédigé par l OACI (organisationde l aviation civile internationale), dont la IATA (international air transport association) reprend tous les éléments. Le transport par voies maritimes est régi par le code maritime international des marchandises dangereuses rédigé par l OMI (organisation maritime internationale). 18 Les Nouvelles du SEA - numéro 2/ Dossier

19 Et dans les armées... Le Service des essences des armées, en tant que premier transporteur militaire français de marchandises dangereuses, s inscrit d emblée et de façon autonome dans une réflexion de pleine application des réglementations civiles en vigueur, tout en organisant sa future structure en prenant en compte les spécificités de notre métier : opérations extérieures, matériels spécifiques, mobilité du personnel Les autres entités du ministère y adhèreront plus tard pour le transport des marchandises dangereuses de la classe1 (explosibles) sous la houlette de l état-major des armées qui créé la commission interarmées des munitions et sa sous-commission transport. audacieuse et portera rapidement ses fruits par une qualité de conseil appréciée par toutes les unités détentrices. Parallèlement s instaure la volonté de créer un organisme de formation des conducteurs de véhicules de transport de marchandises dangereuses agréé par le ministère des Transports au sein de la base pétrolière interarmées (BPIA) de Chalon-sur-Saône. C est ainsi qu aujourd hui, dans la continuité de ses pairs, la section TMD de la direction centrale du SEA apporte son concours à la maîtrise du risque technologique dans le domaine des transports de marchandises dangereuses avec quelques évolutions tout de même. Dès 1997, le SEA s installe dans cette nouvelle réglementation et créé le métier des experts TMD. Le major Jean Rapeto s investit rapidement et sûrement afin de distiller la bonne application de cette réglementation pour la partie qui concerne les véhicules de transport des liquides inflammables du ministère de la Défense. Les experts représentent alors un effectif de 12 personnes répartis sur le territoire, et opérant à partir des ateliers de maintenance régionaux en se déplaçant vers les unités. La démarche est, à l époque, La section TMD du SEA Elle est placée au sein du bureau expertise et sécurité de la sous-direction expertise. Elle est armée par un officier, chef de section et par une équipe de contrôleurs parcourant l hexagone, les territoires extérieurs français et les théâtres d opérations extérieures, à la chasse aux dérives techniques de conformité des véhicules de transport de marchandises dangereuses. Organisation fonctionnelle de la démarche TMD au SEA BPIA DELPIA Formation ADR CSTMD L TMD BMR : bureau maîtrise des risques CSTMD : conseiller à la sécurité des TMD CSTMD C Off. Réceptions ADR Etablissements Les Nouvelles du SEA - numéro 2/ Dossier 19

20 Le chef de la section a trois fonctions principales : conseiller central à la sécurité des transports des marchandises dangereuses ; officier chargé des réceptions par type ou à titre isolé des véhicules de transport des marchandises dangereuses ; responsable des contrôleurs TMD qui opèrent les visites annuelles et les contrôles obligatoires des véhicules. Conseiller à la sécurité des TMD avec le ministère des Transports du ministère de l Environnement, du Développement durable et de l Écologie. Ainsi il est membre de la CITMD (Commission interministérielle des transports des marchandises dangereuses) dirigée par la mission TMD dudit ministère. En raison de son activité largement développée au profit des différentes classes de marchandises dangereuses, il est aussi amené à apporter son concours lors d expertises mandatées par le bureau enquête accident de la défense, transports terrestres (BEAD/TT). Toutes les entreprises entrant dans la chaîne logistique des transports de marchandises dangereuses ont obligation de se pourvoir d un conseiller formé et titulaire de l examen de CSTMD. Au SEA deux personnes se partagent les tâches incombant aux CSTMD. Le CSTMD central chapeaute l activité et participe plus particulièrement aux travaux d étude et de mise en place de la doctrine du domaine au sein du ministère tout en étant le référent technique pour l élaboration des matériels de transport du ministère. L IEF Stéphane Rochette, employé à la DELPIA, est conseiller local et maîtrise l activité des établissements dans le domaine du TMD en concaténant par le biais d audits les éléments chiffrés des établissements, permettant de piloter un plan d action afin de garantir au mieux le respect des prescriptions réglementaires de fonctionnement de l entreprise. Le conseiller central apporte son concours aux projets de textes du ministère concernant les TMD. Il participe pour cela à la sous-commission transport de la commission interarmées des munitions de l EMA. En application de l article 1 er de l arrêté TMD, il travaille de fait en interministériel Officier en charge des réceptions des véhicules de TMD, au titre de l ADR Le développement des compétences du SEA dans le domaine des TMD conduit l officier en charge des réceptions à participer aux travaux d élaboration des matériels de transport, au profit de l ensemble des entités du ministère de la Défense pour les classes de marchandises dangereuses 1, 2, 3 et 7 et à réceptionner au titre de la Kerax dans sa version blindée 20 Les Nouvelles du SEA - numéro 2/ Dossier

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