Rapport d évaluation sur la situation et les besoins des élèves et enseignants déplacés au Sud du Mali

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1 Ministère de l Education, de l Alphabétisation et de la Promotion des Langues Nationales Rapport d évaluation sur la situation et les besoins des élèves et enseignants déplacés au Sud du Mali TABLEAU DE BORD DE L EDUCATION AU MALI AVANT LA CRISE 2 TABLEAU DE BORD SUR LES ELEVES DEPLACES 3 ECHANTILLON ET CIBLAGE DE L EVALUATION RAPIDE 4 ACCES A L EDUCATION 6 ENVIRONNEMENT D APPRENTISSAGE ET ENSEIGNEMENT 10 ENSEIGNANTS 12 PRESENCE DES PARTENAIRES ET PARTICIPATION COMMUNAUTAIRE 13 BESOINS POUR UNE MEILLEURE SCOLARISATION DURANT LA CRISE 15 MESSAGES CLES ISSUS DE L EVALUATION RAPIDE 16 IMPLICATIONS POUR L INTERVENTION DES PARTENAIRES HUMANITAIRES 17 ANNEXES 18 1

2 Tableau de bord de l éducation au Mali avant la crise Population d âge scolaire primaire (%) 17,2 % 2011 UNESCO, Bureau régional pour l éducation en Afrique, Pôle de Dakar Taux d'enfants d'âge scolaire au primaire non scolarisés 32,8 % 2011 Institut des Statistiques de l UNESCO Taux d achèvement du primaire 54,8 % 2010 Taux brut de scolarisation pré-primaire 4,3 % 2010 Egalité de sexes (TBS) 85,1 % 2010 Indice Education pour tous 121/ Indice Education pour tous Africain 22/ UNESCO, Bureau régional pour l éducation en Afrique, Pôle de Dakar UNESCO, Bureau régional pour l éducation en Afrique, Pôle de Dakar UNESCO, Bureau régional pour l éducation en Afrique, Pôle de Dakar UNESCO, Rapport mondial de suivi de l éducation pour tous UNESCO, Bureau régional pour l éducation en Afrique, Pôle de Dakar Nombre d'élèves par enseignant (primaire) 48,5* à 53,3** 2010 et 2011 Institut des Statistiques de l UNESCO et UNESCO*, UNESCO, Bureau régional pour l éducation en Afrique, Pôle de Dakar ** Pourcentage des écoles avec eau potable (écoles primaires publics) 22,8 % 2011 Institut des Statistiques de l UNESCO Pourcentage des écoles avec électricité (écoles primaires publics) 10,8 % 2011 Institut des Statistiques de l UNESCO Pourcentage des écoles avec toilettes (écoles primaires publics) 49,3 % 2011 Institut des Statistiques de l UNESCO Pourcentage des écoles avec toilettes séparées par genre (écoles primaires publics) 12,1 % 2011 Institut des Statistiques de l UNESCO Aide totale à l éducation (2008 constant, millions US*) UNESCO, Rapport mondial de suivi de l éducation pour tous 2

3 Tableau de bord sur les élèves déplacés Les derniers chiffres (au 10 juin 2012) font ressortir un effectif de élèves déplacés suite à la crise. Les données proviennent de la Direction de l Enseignement Fondamental du MEAPLN. Les graphiques suivants représentent le nombre d élèves déplacés par Académie d Enseignement et par date de déplacement. Graphique 1 : Nombre d élèves déplacés au Fondamental par Académie d Enseignement (10 juin 2012) Sikasso Ségou San Nioro Mopti Koutiala Koulikoro Kita Kayes Kati Douentza Bougouni Bamako District RG Bamako District RD Effectif 1er Cycle Effectif 2ème Cycle Les données de la Direction de l Enseignement Fondamental du MEAPLN ont été disponibles à partir du 07 mai La dernière mise à jour à ce jour date du 10 juin L évolution du nombre de déplacés est comme suit : Graphique 2 : Evolution du nombre d élèves déplacés du 6 mai au 10 juin er cycle 2nd cycle 01/05/12 06/05/12 11/05/12 16/05/12 21/05/12 26/05/12 31/05/12 05/06/12 10/06/12 15/06/12 Des informations, basées sur des discussions d UNICEF avec des acteurs locaux au Nord, sur la situation des écoles au Nord sont également disponibles sur le site Internet du Cluster Education : 3

4 Echantillon et ciblage de l évaluation L évaluation a concerné les 5 régions du Sud et le district de Bamako avec une focalisation sur les Académies d Enseignement, les Centres d Animation Pédagogique et les cercles les plus affectées par les mouvements de populations venus des zones de conflits. La collecte de données sur le terrain a eu lieu du 18 au 25 juin 2012 et a été réalisée par la Cellule de Planification et de Statistiques du MEAPLN avec l appui d UNICEF et Save the Children. Echantillon des Académies d Enseignement, des Centres d Animation Pédagogique et des écoles Un premier ciblage a été effectué au niveau des Académies d Education du Sud afin de déterminer les Centres d Animation Pédagogiques (CAP) ayant reçu le plus de déplacés. Sur la base des informations fournies par les AE, les CAP ayant reçu le plus de déplacés ont été enquêtés pour déterminer les écoles ayant reçu les plus de déplacés. Les écoles ayant reçu le plus de déplacés ont ainsi été enquêtées, compte tenu des informations disponibles au niveau central avant l enquête : de nombreuses écoles avaient reçu seulement un ou deux élèves et le Gouvernement et les acteurs humanitaires souhaitaient se focaliser sur les écoles ayant reçu le plus d élèves déplacés. Au total, 13 Académies d Enseignement, 18 Centres d Animation Pédagogique et 98 écoles. Certains CAP ont été enquêtés au niveau des AE, à savoir Kayes RD, Kenieba et Yelimane. 35,4 % des écoles enseignent uniquement au niveau Fondamental 1, 53,6 % au Fondamental 2 et 11 % enseignent au deux niveaux. 90,8 % des écoles enquêtées sont publics et 9,2 % sont privés. Tableau 1 : Répartition des CAPs, des écoles identifiés et des écoles enquêtées AE CAP enquêtés Ecoles ayant reçu des déplacés identifiés lors de l évaluation au niveau des CAP Ecoles enquêtés Bamako RD Faladié Bamako RD Kalaban-Coura 91 6 Bamako RG Djilibougou Bamako RG Lafiabougou 46 6 Bougouni Bougouni 18 5 Kati Kaalabancoro 70 5 Kayes Kayes RD 14 0 Kayes Kayes RG 26 6 Kayes Kenieba 4 0 Kayes Yelimane 2 0 Koulikoro Koulikoro 27 6 Koutiala Koutiala Mopti Mopti Nioro Nioro 8 6 San San 32 9 Ségou Ségou Sikasso Sikasso I 46 5 Total

5 Echantillon des mairies et ménages déplacés Un premier ciblage des ménages à enquêter a été effectué grâce aux données de la Protection civile et du Cluster Protection. Un deuxième ciblage a été effectué via les CAP pour déterminer les communes à enquêter. Au niveau des communes, les localités ayant reçu des ménages déplacés ont été identifiées. Ainsi, 16 communes et 121 ménages déplacés ont été enquêtées ménages déplacés ont été identifiés dans ces 16 communes. Tableau 2 : Répartition des ménages enquêtées selon leur région, cercle et commune d origine Région Cercle Commune Ménages identifiés lors de Ménages l évaluation enquêtés Bamako Commune 1 Commune I Bamako Commune 4 Commune IV Bamako Commune 5 Commune V Bamako Commune 6 Commune VI Kayes Kayes Kayes Commune 32 4 Kayes Nioro Nioro Commune 15 4 Koulikoro Kati Kalabancoro 80 5 Koulikoro Koulikoro Koulikoro 80 6 Mopti Mopti Mopti Commune Mopti Mopti Socoura Segou Ségou Pelengana Segou San San Segou Segou Segou Commune Segou Segou Sebougou (Non enquêté) N/D 2 Sikasso Bougouni Bougouni Commune Sikasso Koutiala Koutiala Sikasso Sikasso Sikasso Commune Total Les données sur les cercles d origine et les dates de déplacement des ménages sont les suivantes : Graphique 3 : Dates de déplacement des ménages Tableau 3 : Cercles d origine des ménages déplacés Cercle Nombre de ménages Les données sont disponibles pour 115 ménages (les dates d arrivée des 6 ménages restants n ont pas été renseignés) Gao 42 Tombouctou 36 N/D 2 Diré 7 Goundam 7 Douentza 5 Kidal 5 Niafunké 5 Ansongo 3 Bourem 2 Gourma-Rharous 2 Menaka 2 Tessalit 1 Mopti 1 Youwarou 1 5

6 Accès à l éducation Accroissement des effectifs scolaires Le taux d accroissement global des effectifs scolaires suite à l arrivée des déplacés dans les écoles enquêtées est de 3,20 %. Il est à noter que l ensemble des élèves déplacés s étant présenté dans les écoles enquêtées suite à la crise a été scolarisé. Graphique 4 : Effectifs scolaires avant et après l arrivée des élèves déplacés Garçon 9ème année Filles 9eme année Garçon 8ème année Filles 8eme année Garçon 7ème année Filles 7eme année Garçon 6ème année Filles 6eme année Garçon 5ème année Filles 5eme année Garçon 4ème année Filles 4eme année Garçon 3ème année Filles 3eme année Garçon 2ème année Filles 2eme année Garçon 1ère année Filles 1ere année Après mars 2012 Avant mars 2012 Elèves déplacés hors du système éducatif Selon l enquête Ménage, le taux d élèves qui se sont retrouvé hors du système scolaire après leur déplacement est de 27 %. Sur 100 élèves déplacés, 27 ne sont pas retourné à l école après leur déplacement. Il est à noter que certains de ces élèves ont été inscrits mais ont abandonné l école car ils ont eu un problème d adaptation dans leur nouvelle école. Selon les données qualitatives, le problème d adaptation est lié à un Graphique 5 : Elèves scolarisés avant et après leur déplacement changement des habitudes et culturel. Les écarts peuvent être importants selon les tranches d âge : 38,20 % des filles de 7 à 12 ans ont quitté le système scolaire suite au déplacement contre 10,80 % des filles de 13 à 18 ans (non inclus). Elèves scolarisés avant le déplacement Elèves scolarisés après le déplacement 52,67% 72,15% 6

7 Les raisons invoquées pour la non scolarisation après le déplacement sont : - les coûts de scolarité liés tout d abord au manque d information sur la possibilité de scolarisation gratuite de leurs enfants après le déplacement (voir partie sur la discrimination pour l accès aux services éducatifs) - les coûts de scolarité (notamment le matériel scolaire) liés à l éloignement de l école public (transport) couplés aux problèmes économiques rencontrés par les déplacés. Graphique 5 : Elèves scolarisés avant et après leur déplacement (par genre et tranche d âge) Garçons 13 à 18 ans (non inclus) Filles 13 à 18 ans (non inclus) Garçons 7 à 12 ans Filles 7 à 12 ans Garçons 3 à 6 ans Filles 3 à 6 ans Garçons 0 à 3ans (non inclus) Filles 0 à 3 ans (non inclus) Apres Avant En moyenne, parmi ces 27 % d enfants déscolarisés, 51,55 % sont des filles et 48,45 % sont des garçons. Selon les données qualitatives, ces enfants restent majoritairement à la maison. Une minorité d entre eux ont des petits métiers tels que cireurs ou apprentis pour les garçons ou s occupent de petits commerces et de travaux ménagers pour les filles. Il est à noter qu avant leur déplacement, 72,15 % des enfants des ménages déplacés enquêtés étaient scolarisés. En excluant les tranches d âges de 0 à 3 ans, ce taux s élève à 85 %. Ce taux de 27 % d élèves déscolarisés suite au déplacement est en contradiction avec la perception qu ont les communes de la scolarisation des enfants déplacés. En effet, selon l enquête Mairies, ces dernières considèrent que les enfants des ménages déplacés ont majoritairement accès à l école et aux activités éducatives. Ceci s explique par le fait que les mairies ont très peu d informations sur les ménages déplacés : la grande majorité des mairies n ont aucune information sur les déplacés et dans le meilleur des cas, elles possèdent une liste de ménages déplacés. Graphique 6 : Perception des mairies sur l accès à la scolarisation des élèves déplacés 94% 6% Pas d'accès à l'école Accès à l'école Graphique 7 : Perception des mairies sur l accès aux activités pédagogiques des élèves déplacés Des informations plus précises sur les ménages déplacés sont disponibles au niveau du collectif de ressortissant du Nord du Mali (COREN). Un échantillon davantage représentatif sur les enfants déscolarisés devrait être disponible à travers le formulaire de collecte de recensements des personnes déplacés internes de l Organisation internationale des Migrations qui, suite à un plaidoyer du Cluster Education, inclut une mention Enfants déscolarisés. 93% 7% Pas d'accès aux activités pédagogiques Accès aux activités pédagogiques 7

8 Education inclusive Il est à noter que les problèmes suivants sont structurels et ne sont pas liés au déplacement. En termes d éducation inclusive, 60,2 % des écoles sondés déclarent que des enfants à handicaps fréquentent leur école, 57,1 % d orphelins et d élèves enceintes et jeunes mères. Les élèves enceintes et jeunes mères ainsi que les enfants à handicaps sont également ceux qui sont le moins susceptible d avoir accès à des activités éducatives. Selon les informations qualitatives, cela concerne principalement l éducation physique et sportive. Selon les données qualitatives disponibles et en ce qui concerne les jeunes mères, ces dernières font garder leurs enfants par la famille. Pour les enfants séparés, ces derniers vivent chez un tuteur ou un membre de leur famille. Pour les enfants non accompagnés, ces derniers vivent dans des familles d accueil. Graphique 8 : Perception des écoles sur l accès à la scolarisation des élèves déplacés 60,2% 57,1% 57,1% 48,0% 31,6% 15,3% 25,5% 18,4% 18,4% 3,1% 1,0% 1,0% 5,1% 1,0% Enfants handicapés Orphelins Enfants séparés Enfants non accompagnés Enfants plus agés Elèves Groupes enceintes et ethniques ou jeunes mères religieux minoritaires Groupes qui sont scolarisés Groupes qui sont le moins susceptibles d'avoir accès aux activités éducatives Sécurité Selon l enquête Ecole, les risques d insécurité ne semblent pas avoir excessivement augmenté pour les enfants lorsqu ils se rendent ou sont à l école depuis l arrivée des déplacés, que ce soit pour les filles ou pour les garçons : Graphique 9 : Perception d un accroissement de l insécurité pour les élèves filles depuis l arrivée des déplacés Graphique 10 : Perception d un accroissement de l insécurité pour les élèves garçons depuis l arrivée des déplacés 7% 4% Non Non Oui Oui 93% 96% Il est à noter que le fouet est interdit par le règlement intérieur des écoles mais certains enseignants l utilisent. Cette pratique n est cependant pas liée à l arrivée des déplacés. 8

9 Discrimination pour l accès aux services éducatifs Au niveau de la discrimination à l accès aux services éducatifs, et selon l enquête Ménages, la discrimination est la même sur lieu de déplacement que sur le lieu d origine (31,4 % considèrent subir une discrimination pour l accès aux services éducatifs). Cependant, il semble qu il ne s agisse pas à proprement dit de discrimination d accès aux services. En effet, les ménages enquêtés ont davantage reflété les contraintes à la scolarisation des enfants à savoir : - l éloignement de l école public qui les pousse à inscrire leurs enfants dans une école privée plus proche (aussi bien sur le lieu d accueil que d origine). Il est à noter que la scolarisation dans des écoles privées est aussi un choix des parents qui considèrent qu il y a une meilleure qualité éducative au privé, compte tenu du ratio élèvesmaître moins élevé à l école privée, que les écoles privées. - le manque d information sur les possibilités de scolarisation dans leur lieu d accueil, notamment pour les élèves déplacés avant avril 2012 (de nombreux ménages ne se sont pas rendus au CAP pour obtenir des informations sur les possibilités de scolarisation). Ceci peut être partiellement du à un déficit de communication de l administration scolaire auquel le Gouvernement a rapidement remédier en diffusant des messages radios sur la scolarisation des enfants déplacés. Graphique 11 : Perception d une discrimination pour l accès aux services éducatifs selon les ménages déplacés Lieu de déplacement Lieu d'origine 31,4% 31,4% Ménages considérant être victime de discrimination pour l'accès aux services éducatifs Il est à noter que certains ménages ont témoigné de discrimination par les élèves du Sud, envers les élèves déplacés, qui les considèrent comme de l Azawad. Un directeur d école a ainsi interdit aux enfants de se moquer des élèves venus du Nord. Même si dans la culture malienne, les plaisanteries sont aussi une manière d intégrer les nouveaux élèves, ces dernières créent un réel malaise chez les élèves déplacés. 9

10 Environnement d apprentissage et enseignement Capacités des écoles en termes d accueil En termes de capacité de l école, les Directeurs d école considèrent majoritairement (à 76 %) que leur école a trop d effectifs et 24 % considèrent qu il y a la bonne quantité d élèves. Compte tenu de l accroissement moyen de 3,20 %, il semble que ce problème soit davantage structurel que lié à l arrivée des déplacés. En moyenne, chaque école interrogée possède 6,7 salles de classe pour le cycle Fondamental 1 et 5,7 salles de classe pour le cycle fondamental 2. Graphique 12 : Perception de l école sur ses effectifs d élèves 0% 24% 76% Trop peu d'enfants la bonne quantité Trop d'élèves Services disponibles au sein des écoles Au niveau des services présents au sein de l école, si 76,5 % des écoles possèdent des latrines, seules 36,7 % possèdent des latrines séparées. 58,16 % des écoles possèdent un point d eau potable mais seulement 6,1% possèdent des cantines scolaires ou une infirmerie. Graphique 13 : Services disponibles au sein de l école d après l enquête Ecole Aménagement pour handicap physique Infirmerie Eau potable Latrines séparées Latrines Cantines scolaires 1,02% 6,12% 41,84% 23,47% 6,12% 93,88% 36,73% 63,27% 98,98% 58,16% 93,88% 76,53% Oui Non Par ailleurs, 82 % des écoles n ont pas de référent psychosocial au sein de l école. Pour les autres 18 %, cette personne est souvent le Directeur de l école ou des mères d élèves dont l appui psychosocial n est pas le métier. Les données issues de l enquête CAP sur la disponibilité de latrines et cantines scolaires montrent que seulement 1 % des écoles ont une cantine scolaire et 20 % des facilités hygiène et eau. Au niveau des données nationales, 12,1 % des écoles ont des latrines séparées et 22,8 % ont un accès à l eau potable. Prise de repas avant d aller à l école La majorité des enfants prennent un repas avant de se rendre à l école, comme le montre le schéma suivant. Ces chiffres ont été confirmés par les enquêteurs qui signalent également que cette prise de repas entraîne des retards dans l arrivée des élèves à l école. Graphique 14 : Elèves prenant un petit déjeuner avant de se rendre à l école 13,3% Beaucoup (51-75%) 24,4% 53,3% 8,9% Pas/peu (0-25%) Presque tous/tous (76-100%) Un peu (26-50%) 10

11 Déficit en matériel Sur les 98 écoles enquêtées, en termes de déficit en matériel, il ressort que le matériel récréatif, le matériel didactique et l ameublement sont les plus manquants. Les données qualitatives font davantage ressortir un besoin pour ces types de matériel au niveau des écoles ayant reçu le plus de déplacés. Le graphique ci-contre représente pour chaque type de matériel si le déficit est important, modéré ou qu il n y en a pas depuis l arrivée des déplacés. Graphique 15 : Déficit des écoles en matériel Installations sanitaires pour filles Installations sanitaires Approvisionnement en eau Materiel récréatif Ameublement Materiel d'enseignement 1 Déficit en matériel didactique Important Modéré Non Enseignement : messages à diffuser aux élèves En termes d enseignement, et selon l enquête Ecole, les principaux messages à diffuser aux élèves pour se protéger à la suite d une crise sont l éducation à la paix, à l atténuation et la résolution de conflits (28,6 %) ainsi que la sensibilisation à la solidarité envers les familles et enfants déplacés (24,4 %). Graphique 16 : Principaux messages à diffuser aux élèves pour se protéger à la suite de la crise Autre Sensibilisation aux risques comme durant le ramassage de combustible/ bois, la corvée d eau Sensibilisation a la solidarité envers les familles et enfants déplacés 1,4% 0,7% 24,4% Prévention du VIH et sida 9,1% Prévention de la violence Promotion de la santé, de la nutrition et de l hygiène Prise en charge psychosociale des enfants et adultes déplacés 10,1% 13,2% 12,5% Éducation à la paix, atténuation et résolution de conflits 28,6% 11

12 Enseignants La Direction Nationale de l Enseignement Fondamental du MEAPLN a identifié enseignants déplacés. Ces derniers se répartissent comme suit selon leur région d origine. Graphique 17 : Région de provenance des enseignants déplacés GAO 631 TOMBOUCTOU 463 KIDAL 167 MOPTI 51 Graphique 18 : Genre et niveau d enseignement des enseignants déplacés Femmes 4,81% 15,38% Fondamental 2 Hommes 25,00% Fondamental 1 54,81% Selon l enquête auprès des Centre d Animation Pédagogique (CAP), 208 enseignants déplacés ont été identifiés. Ils se répartissent selon le genre et le niveau d enseignement de la façon suivante. Selon l enquête Ecole, 10,20 % des écoles ont reçu des enseignants déplacés. Selon les données qualitatives, tous les enseignants déplacés qui se sont fait inscrire (fonctionnaire de l'etat et des collectivités territoriales) à Bamako et Koulikoro ont été réintégrés. Les autres enseignants s'étant fait inscrire dans les autres régions sont partis par la suite à Bamako et Koulikoro. Une décision ministérielle vient d'être prise en vue du redéploiement des enseignants déplacés pour l'année prochaine. Graphique 19 : Ecoles ayant reçu ou non des enseignants déplacés 89,80% 10,20% Ecoles ayant reçu des enseignants déplacés Ecoles n'ayant pas reçu d'enseignants déplacés En ce qui concerne le nombre d élèves par enseignants, les écoles considèrent à 63,5 % qu il n y a pas assez d enseignants pour les élèves. Compte tenu de l augmentation des effectifs des élèves de 3,20 %, cette perception semble être structurelle. En moyenne, au Fondamental 1, dans les écoles enquêtées, il y a 58,7 élèves par enseignant (contre 48,5 à 53,3 élèves selon l UNESCO pour le cycle primaire). Graphique 20 : Nombre d élèves par enseignant Données du Pôle de Dakar, Bureau régional pour l'education en Afrique de l'unesco 53,3 Les discussions entre le MEAPLN et les responsables des Centres d Animation Pédagogiques font également état de nombreux traumatismes psychologiques chez les enseignants et Directeurs de Centres d Animation Pédagogique du Nord. Données de l'institut statistiques de l'unesco Données issues de l'évaluation rapide 48,5 58,7 Nombre d'élèves par enseignant 12

13 Présence des partenaires et participation communautaire Présence des partenaires En termes de présence des partenaires, 85 % des écoles déclarent avoir des partenaires. Cependant, depuis mars 2012, seulement 2 % des écoles ont reçu un soutien des partenaires. Lorsque les données de rapportage du Cluster (qui fait quoi où) sont croisée avec la liste des écoles ayant reçu des déplacés tirées de cette enquête, on observe cependant que sur les 140 écoles ayant reçu des déplacés identifiés par les CAP, 18 ont reçu un soutien (soit 12,8 %). Les données de l enquête Ecole sur la présence de partenaires sont les suivantes : Graphique 21 : Partenariat de l école Graphique 22 : Intervention des partenaires depuis mars % 15% L'école n'a pas de partenaires L'école a un ou plusieurs partenaires 2% 98% Aucune intervention depuis mars 2012 Intervention de partenaires depuis mars 2012 Ces partenaires sont les suivants : Graphique 23 : Types de partenaires de l école Agences Nations unies 6,1% ONGS internationales 18,4% ONGs locales 13,3% Mairies et collectivités 56,1% Organes de gestion de l'école 68,4% Selon les données qualitatives, les écoles mentionnent qu elles ont reçu un soutien en matériel scolaire et didactique (kit scolaire et kits enseignants). Les écoles ayant reçu le soutien de partenaires sont satisfaits de ces partenariats. Cependant, pour la majorité des écoles, il est à noter qu elles font appel aux ONG nationales et internationales pour les appuyer davantage, notamment en termes de gestion de l école. Les organes de gestion de l école font référence aux comités de gestion scolaire et associations de parents d élèves. Ces derniers sont détaillés dans la partie suivante. 13

14 Participation communautaire En termes de participation communautaire, 81 % des écoles déclarent avoir un soutien de groupes communautaires. Graphique 24 : Soutien de groupes communautaire à l école 19% Aucun soutien 81% Soutien de groupes communautaires Ces groupes communautaires sont les suivants : Graphique 25 : Types de groupes communautaires appuyant l école Association de mères d'élèves 7,1% Clubs d'enfants ou de jeunes 4,1% Groupes de femmes 4,1% Association de parents d'élèves 44,9% Comité de gestion 60,2% Cette participation communautaire, notamment à travers les comités de gestion scolaire, apporte un soutien pour les frais d inscription des nouveaux élèves. Ils interviennent également au niveau des réparations légères des écoles, du soutien pour les frais d'inscription des nouveaux élèves et de la mise à disposition de matériel tel que les craies et les équerres. Les associations de mères d élèves réalisent le plus souvent des activités de sensibilisation. Les écoles font part de demandes de soutien de la part des groupes communautaires, notamment au niveau de la sensibilisation, pour une meilleure intégration des déplacés, ainsi qu en ce qui concerne l accès aux services énergétiques (électricité) et de clôtures. 14

15 Besoins pour une meilleure scolarisation durant la crise Soutiens essentiels D après les enquêtes Ecoles, les soutiens les plus essentiels à fournir ne sont pas liés à la crise au Nord et sont davantage structurels. Les questions de sécurité sont le plus souvent liées au manque de clôture autour de l école. L appui psychosocial peut, quant à lui, être lié à la crise au Nord. Graphique 26 : Soutiens essentiels à l école 21,8% 4,6% 11,9% 8,8% 1,4% 10,9% 8,4% 12,3% 14,0% 6,0% Réparer les bâtiments ou installations scolaires endommagés Établir des espaces temporaires d apprentissage (abris provisoires) Garantir la sécurité des enseignants Garantir la sécurité des garçons Garantir la sécurité des filles Remplacer le matériel scolaire Trouver des enseignants Appui psychosocial aux enseignants (hommes et femmes) et aux élèves Cantines scolaires Autres Formation des enseignants Graphique 27 : Besoins en formation des enseignants En termes de formation des enseignants, les écoles considèrent à 85,9 % que les enseignants ont un besoin en formation dans le contexte actuel. Appui psychosocial Pédagogie des grands groupes Pratiques alimentaires Nutrition 0,7% 4,0% 11,5% 23,0% Ceci est corroboré par les Mairies qui considèrent à 76 % que les enseignants ont des besoins en formation (en pédagogie de grands groupes et éducation à la paix et réduction de la violence pour 27,7 % chacun). Education à l'hygiène Education à la paix et réduction Violences basées sur le genre Autres 1,3% 13,3% 19,7% 27,9% Soutien aux ménages déplacés Graphique 28 : Services pouvant aider les ménages à davantage scolariser leurs enfants Etablissement de latrines, station de lavage des mains, et point d'eau Appui en matériel pédagogique (livres, manuels, etc.) Création de classes temporaires Promotion d activtés génératrices de revenus Appui alimentaire Cantines scolaires 1,0% 4,1% 19,0% 16,4% 22,1% 37,4% Selon les enquêtes Ménages, les services pouvant aider les ménages à davantage scolariser leurs enfants sont les suivants (voir graphique). Ceci est corroboré par l enquête Mairies. Ces dernières considèrent que les services pouvant aider les ménages déplacés à scolariser leurs enfants sont les cantines scolaires (37,5 %), l appui en matériel pédagogique et l appui alimentaire (21,8 % chacun). 15

16 Messages clés issus de l évaluation rapide Des messages liés aux impacts de la crise au Nord Seulement 3 % d accroissement des effectifs scolaires contre 27 % d élèves déscolarisés suite au déplacement, liés aux frais de scolarité principalement ainsi qu à un manque d information Pas ou peu de sentiment de risques d insécurité pour les élèves depuis les mouvements de déplacés Si 85 % des écoles déclarent avoir des partenaires, seulement 2 % ont déclaré avoir reçu un soutien de la part de partenaires depuis mars 2012 Nécessité d intégrer des modules d éducation à la paix dans les curricula, de former les enseignants sur cette thématique et de sensibiliser les enfants à la solidarité envers les enfants et familles déplacés Nécessité d appuis alimentaires (cantines scolaires et appui alimentaire) et en matériel pédagogique pour aider les ménages déplacés à scolariser davantage leurs enfants Besoins en ameublement (tables, bancs), matériel didactique et récréatif pour les écoles ayant reçu le plus de déplacés Des messages avec une portée davantage structurelle Des écoles à fort effectifs : 76 % des écoles enquêtés considèrent que l école accueille structurellement trop d élèves Un déficit structurel en matériel moindre mais davantage prononcé pour l ameublement, le matériel didactique et récréatif Plus de 93 % des écoles n ont pas de cantine scolaire mais la majorité des élèves prennent un repas avant d aller à l école Un fort besoin en formation des enseignants, notamment en pédagogie de grands groupes L objectif de ce rapport est de fournir des analyses quantitatives et qualitatives fiables et détaillées, pour la planification et la coordination des efforts de reprise et de réponse d urgence en matière d éducation, à destination du Gouvernement et des acteurs de la communauté humanitaire. Les données ont été récoltées par la Cellule de Planification et de Statistiques du MEAPLN. Ce rapport a été réalisé par le MEAPLN, dans le cadre du Cluster Education, avec l appui de : en collaboration avec 16

17 Implications pour l intervention des partenaires humanitaires Ce rapport permet de dégager des premières pistes de travail pour les partenaires humanitaires au Mali afin de répondre aux besoins des élèves déplacés internes suite à la crise au Nord : - en termes de situation de l intervention des partenaires humanitaires à ce jour : 2 % des écoles enquêtées ont déclaré avoir reçu un soutien de partenaires ; - en termes d intervention géographique : les Académies d Education de Mopti, de Ségou, de Bamako Rive Droite et Bamako Rive Gauche sont à privilégier car elles accueillent à elles seules 73,6 % des élèves déplacés ; - en termes de stratégie d intervention : Un travail dans le cadre du Cluster Education est impératif : en effet certaines écoles ont des besoins en cantines scolaires couplées à des besoins en kits scolaires. Les partenaires sont invités à participer aux réunions du Cluster Education afin de davantage se coordonner ; - en termes d approche partenariale : les écoles ont des besoins divers qu ils soient en eau et assainissement, sécurité alimentaire, appui psychosocial, etc. Les partenaires humanitaires au niveau de l éducation sont donc invités à travailler en collaboration avec les partenaires intervenant sur d autres thématiques ; - en termes de besoins principaux liés à la crise au Nord : des besoins sur le court-terme ont été dégagés, tels que ceux en kits scolaires et récréatifs, et d autres à plus long-terme tels que la formation des enseignants en éducation à la paix ; - en termes de plaidoyer : les messages clés dégagés par ce rapport peuvent être utilisés pour les stratégies de plaidoyer des différents partenaires humanitaires (par exemple, le fort taux de déscolarisation lié au déplacement des ménages). Une liste d écoles ayant reçu le plus de déplacés est d ores et déjà disponible (voir annexes) et les partenaires sont inviter à intervenir de manière coordonnée. 17

18 Annexes Liste de CAP et écoles ayant reçu des élèves déplacés : Note sur les élèves déplacés : Informations sur la situation des écoles au Nord : Termes de référence du Cluster Education au Mali : Plan de réponse du Cluster Education au Mali : Outils pour l évaluation rapide de la situation et des besoins des élèves et enseignants déplacés au Mali : Pour davantage d informations sur le Cluster Education au Mali : Contacts : Evans Atis, UNICEF, Cluster Lead : evansatis@gmail.com Jean Mège, Save the Children, Information Manager & Co-lead : education.im.mali@gmail.com 18

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