21/10/14 Alain MILLOTTE 1

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "21/10/14 Alain MILLOTTE 1"

Transcription

1 21/10/14 Alain MILLOTTE 1

2 Programme de la matinée Présentation du mouvement familial, de l UNAF et de l UDAF 92 Quelques chiffres relatifs à la famille et au logement Dix idées reçues sur les HLM Loi ALUR, les aspects relatifs au logement social Plan départemental d actions pour le logement des personnes défavorisées Le rapport 2013 de la MIILOS Evolution des dépenses de logement des locataires du parc social et du parc privé 21/10/14 Alain MILLOTTE 2

3 21/10/14 Alain MILLOTTE 3

4 Les familles en France Population : 65,82 millions (65,35) Enfants nés en 2013 : (827000) Nombre d enfants par femme : 1,99 (2,01 ) (moyenne Union Européenne : 1,62) Nombre d enfants souhaité : 2,39 (2,52) Nombre d enfants de moins de trois ans : ( ) Conciliation domicile-travail : 26 %(24% ) de parents insatisfaits Pourcentage d enfants vivant avec leurs deux parents : 75,2 (76%) Nombre d enfants vivant dans une famille pauvre : 2,5 millions (2,529) 21/10/14 Alain MILLOTTE 4

5 Organismes Nb d organismes Offices Publics de l Habitat Entreprises sociales pour l Habitat (SA HLM) Sociétés coopératives d HLM 169 (56 SACICAP) Nombre de logements (yc foyers et RU) SEM (dont 75% conventionnés) Le parc social représente 18,4 % des résidences principales 21/10/14 Alain MILLOTTE 5

6 Le logement social dans les Hauts-de-Seine Commune % Commune % Commune % Antony 19,3 Courbevoie 20 Nanterre 56,1 Asnières 16,9 Fontenay aux roses 25,4 Neuilly 3,2 Bagneux 51,1 Garches 21,7 Puteaux 30,5 Bois-Colombes 18,9 Gennevilliers 68,4 Rueil-Malmaison 19,9 Boulogne Billancourt 12,1 Issy les Moulineaux 24,2 Saint-Cloud 12,8 Bourg la Reine 17,4 La Garenne-Colombes 9,9 Sceaux 11,4 Chatenay- Malabry 49,7 Le Plessis-Robinson 46,5 Sèvres 24,3 Chatillon 21,5 Levallois-Perret 17,3 Suresnes 37,8 Chaville 21,3 Malakoff 39,3 Vanves 23,5 Clamart 25,4 Marnes-la coquette 5,1 Vaucresson 3,9 Clichy 31,5 Meudon 25,6 Ville d Avray 5,7 Colombes 33,6 Montrouge 21,9 Villeneuve-la- Garenne Global Hauts-de-Seine : 24 % 56,9 21/10/14 Alain MILLOTTE 6

7 21/10/14 Alain MILLOTTE 7

8 «Les HLM sont des logements au rabais» 81 % des locataires HLM se déclarent satisfaits de leur logement. Le niveau de confort est au moins égal à celui du logement privé, les surfaces par personne ont augmenté. Les immeubles dégradés (l USH ne nie pas leur existence) sont réhabilités. 21/10/14 Alain MILLOTTE 8

9 «Les HLM, que des tours, des barres, des quartiers difficiles» 72% des logements HLM se situent en maisons, ou en petit et moyen collectif. Environ un quart des logements se trouve en zone sensible. Les rénovations urbaines, les opérations mixtes social-privé, les partenariats pour favoriser l insertion économique tendent à corriger cette image. 21/10/14 Alain MILLOTTE 9

10 Le parc HLM est pionnier dans le domaine des économies d énergie, les consommations sont de 30% inférieures à celles de l ensemble des logements français. Les organismes savent se faire conseiller, obtenir des financements privilégiés, et aller chercher les subventions. En outre, moins de charges de chauffage = moins d impayés. 21/10/14 Alain MILLOTTE 10

11 64 % des ménages sont éligibles au logement social (plafond PLUS). Il est vrai que les HLM constituent un recours vital pour les plus pauvres, et l actuelle pénurie de logements, dans certaines régions et pour les classes moyennes, ainsi que le DALO, entraînent une paupérisation. Dans la mesure du possible, des efforts sont faits 21/10/14 Alain MILLOTTE 11 pour favoriser la mixité sociale.

12 60% des ménages logés en HLM ont un revenu inférieur à 60% des plafonds PLUS, un tiers des ménages vit sous le seuil de pauvreté. Les conditions de ressources sont strictement contrôlées à l entrée, et les locataires dépassant le plafond sont soumis à un surloyer (4% des cas seulement) 21/10/14 Alain MILLOTTE 12

13 Environ 10 % du parc est proposé chaque année à la location, suite à la mobilité (peu vrai en Ile-de- France) Entre un quart et un tiers des attributions concerne des locataires déjà dans le parc, mais qui souhaitent adapter leur logement à leur situation. Cette mobilité est toutefois contrariée par l absence de grands et petits logements 21/10/14 Alain MILLOTTE 13

14 Environ attributions par an, le système est contrôlé et encadré réglementairement. Les réservataires sont nombreux : Préfectures, mairies, CIL. On ne pourra toutefois pas éliminer un certain arbitraire. La solution passe par une offre plus abondante. 21/10/14 Alain MILLOTTE 14

15 Environ 770 organismes, de tailles très diverses, souvent au plus près des territoires. Le regroupement, pour bénéficier d effets d échelle, n est pas forcément efficace. Toutefois, une certaine tendance au regroupement (dans le cadre d intercommunalités) existe. 21/10/14 Alain MILLOTTE 15

16 Le livret A est la principale source de financement. Les emprunts sont contractés à 74% auprès de la Caisse des Dépôts. Ils sont remboursés par les loyers, qui financent aussi 12% des constructions. Les mairies ou conseils généraux garantissent les emprunts, ce qui permet d obtenir des taux plus bas. Dans quelques cas, ils donnent des subventions 21/10/14 Alain MILLOTTE 16 complémentaires.

17 Les investissements annuels, en construction neuve et en réhabilitation, représentent plusieurs milliards d euros par an. Cela fait travailler les entreprises du bâtiment, environ emplois, non délocalisables Et on ne peut chiffrer le coût social de l insuffisance de logements. 21/10/14 Alain MILLOTTE 17

18 (Accès au Logement et Urbanisme Raisonné) 21/10/14 Alain MILLOTTE 18

19 Un besoin de réguler Simplifier et sécuriser la location (en particulier meublés). Réduire et rééquilibrer les coûts du logement Encadrer les loyers (zones tendues) Engager la transition écologique des territoires (densifier, conserver les terres agricoles, lutter contre l étalement urbain) Réguler les professions de l immobilier et du logement, leur donner des règles claires, créer des instances de contrôle. 21/10/14 Alain MILLOTTE 19

20 Une logique de protection Protéger les propriétaires et les locataires contre les abus et les risques : Garantie Universelle des Loyers, prévention des expulsions Lutter contre l habitat indigne : marchands de sommeil, copropriétés dégradées ou surendettées, propriétaires indélicats ne faisant pas les travaux nécessaires. Orienter la politique d hébergement vers le relogement 21/10/14 Alain MILLOTTE 20

21 Une dynamique d innovation Favoriser le développement de formes d habitat alternatif. Introduire plus de transparence dans le logement social (attributions) Redéfinir les relations entre l Etat et Action Logement. 21/10/14 Alain MILLOTTE 21

22 Repérage par les communes ou les EPCI des logements indignes ou indécents, les secteurs d habitat informel, évaluer les actions correctives Droit au logement opposable Demande et attribution des logements sociaux. 21/10/14 Alain MILLOTTE 22

23 Participation des organismes HLM à des SCI (en vue de réaliser des logements sociaux, privés ou en accession). Durée maximale : 5 ans. Rattachement obligatoire des OPH aux EPCI compétents en matière d habitat 21/10/14 Alain MILLOTTE 23

24 Renforcement des SCOT (prenant le pas sur les PLUI et les schémas de secteur). Gouvernance des documents de planification par les EPCI. Lutte contre l étalement urbain : difficulté accrue pour libérer un peu de terrain dans les zones non constructibles 21/10/14 Alain MILLOTTE 24

25 Rapport public 2013 de la MIILOS (Mission Interministérielle d Inspection du Logement Social) 21/10/14 Alain MILLOTTE 25

26 198 contrôles ont été programmés 149 ont été ouverts 144 ont fait l objet de rapports définitifs SA d HLM : 33,5% OPH : 26,8% SEM : 8,0% SCP : 18,1% Autres : 13,4% Soit logements(22% du parc locatif social) 21/10/14 Alain MILLOTTE 26

27 Accès au logement des personnes défavorisées Accompagnement social Facteurs de succès de regroupement des organismes L efficacité des politiques de cession A noter : 48,6% des rapports ont donné lieu à des suites administratives, et 4 ont fait l objet de suites pénales 21/10/14 Alain MILLOTTE 27

28 La gouvernance des organismes La politique sociale et la gestion locative La stratégie patrimoniale des organismes La comptabilité et la gestion financière La structure et la restructuration du secteur Les moyens mis en œuvre par la MIILOS 21/10/14 Alain MILLOTTE 28

29 Rémunérations et indemnités versées aux dirigeants Parfois abusives, avec avantages annexes (d 2012). Décidées sans avis conforme du CA (souvent courtcircuité). Cumul de fonctions interdit (direction d un organisme et gérance d une entreprise) Non-respect des règles de la Commande Publique (ordonnance du 6 juin 2005) 21/10/14 Alain MILLOTTE 29

30 Organismes de Maitrise d Ouvrage d Insertion : tailles et activités variables, résultats satisfaisants. Missions d accompagnement social (loi du 31 mai 1990) : implication variable, parfois sous-traitance à des associations. Impayés locatifs Action à l entrée dans les lieux (diagnostic social, contact avec AS, aides, style AGBF, adaptation au handicap, médiation en cas de troubles de voisinage et incivilités). 21/10/14 Alain MILLOTTE 30

31 Application de la loi DALO En Ile-de-France, 25 bailleurs contrôlés étaient concernés (11 OPH, 8 SA, 5 SEM). Le nombre de recours a augmenté de 14% Peu d analyses précises des efforts, mais les bailleurs sont actifs : 76% de réalisation des objectifs. Refus d attribution : Dossiers incomplets Inadaptation du logement à la situation familiale Refus des candidats Reste à vivre insuffisant En IDF, l outil «SYPLO» rapproche le contingent préfectoral et les données des ménages prioritaires (DALO, sortie d hébergement, habitat indigne ) 21/10/14 Alain MILLOTTE 31

32 Loyers, nouvelles politiques et réglementation complexe. Loyers maximaux fixés par l Administration, révision < IRL Parfois supérieurs, suite à des financements chers et raréfaction des crédits publics. A mettre en regard de la qualité d accueil, des charges et des réhabilitations. Certains bailleurs réfléchissent à faciliter l accessibilité financière de leur parc. Information des locataires : Risques naturels et technologiques, consommation d énergie, diagnostics plomb et amiante, loyers maximaux pratiqués Beaucoup de manques 21/10/14 Alain MILLOTTE 32

33 Les conventions d utilité sociale : des orientations parfois floues, un certain désordre dans les loyers, des rattrapages sont prévus jusqu en 2017 La qualité de service : jugée bonne à 68%. Les contacts téléphoniques sont satisfaisants, les contacts directs moins (suppression d agences) 21/10/14 Alain MILLOTTE 33

34 La loi MLLE (25 mars 2009) pose l obligation des PSP : Analyse du parc selon qualité, attractivité, marchés locaux de l habitat. Évolution du parc, choix d investissement et de gestion, développement. Certains PSP présentent des carences. Les orientations étaient à 80% pertinentes, des manques sur le développement et la réhabilitation. L analyse financière n est correcte que dans 50% des cas (non fiable, absente, ne permettant pas de soutenir les options retenues). 21/10/14 Alain MILLOTTE 34

35 Le défi du développement de l offre dans les secteurs les plus tendus Depuis la loi de 2005 (cohésion sociale), des politiques ambitieuses se sont succédées. Leur réussite est fonction : De l impulsion de la collectivité Du niveau des besoins De la capacité d investissement du bailleur De l état du marché local La production neuve dépend de la tension du marché local. En zones tendues ou très tendues, le taux de croissance annuel est de 1,5% (meilleur pour les SA que pour les OPH). 21/10/14 Alain MILLOTTE 35

36 La rénovation thermique Les organismes sont fortement impliqués, anticipant la RT 2012 Problème pour les logements individuels chauffés à l électricité. Groupes menacés de déqualification si isolation thermique insuffisante Problèmes : compétence des maîtres d œuvre, des entreprises, coûts. Les résultats en matière d économies restent à évaluer. 21/10/14 Alain MILLOTTE 36

37 Entretien du patrimoine Parfois, pas de plan de maintenance opérationnelle, parc en état moyen, en voie de dégradation. En moyenne, très bon état pour 2/3 du parc. Exigences réglementaires Diagnostics : DPE, amiante, plomb : encore des manques, malgré l ancienneté des règlements. Contrats d entretien : problèmes de respect des règles de la commande publique, carence dans le suivi des prestations. 21/10/14 Alain MILLOTTE 37

38 Travers et effets de la vente aux locataires. La vente peut se faire à l unité (favoriser l accès à la propriété de familles modestes), ou en bloc (reconstituer des fonds propres) Certains bailleurs sont très réticents : position de principe, mais aussi état du marché, et problèmes de gestion en copropriété. Deux exemples : une ESH du Sud-Est vend 140 logements par an, à des prix défiant toute concurrence ; un OPH du Nord vend, à l unité, environ 150 logements par an. 21/10/14 Alain MILLOTTE 38

39 Le mouvement se poursuit : Suppression d organismes de petite taille <1500 logements) Adossement à des groupes Recomposition du patrimoine par des ventes en bloc. Les raisons Rationalisation géographique. Spécialisation fonctionnelle (foyers) Développement de l acquisition sociale 21/10/14 Alain MILLOTTE 39

40 Les conséquences Le postulat selon lequel l accroissement de taille entraîne une diminution des coûts de gestion n est pas vérifié : la technostructure est plus lourde : le coût par logement va de 1070 pour un organisme de 3000 à 6000 logements à 1160 pour un organisme de plus de logements. La concentration géographique est par contre favorable : de 1057 pour un organisme communal ou intercommunal, à 1145 pour un organisme régional ou interrégional. Mais l innovation sociale ou technique y est plus importante 21/10/14 Alain MILLOTTE 40

41 A partir du 1 er janvier 2015, la MIILOS sera remplacée par l ANCOLS (Agence Nationale de Contrôle du Logement Social), prévue par la loi ALUR. Les missions seront plus étendues. 21/10/14 Alain MILLOTTE 41

PROJET DE CHARTE DE LA VENTE HLM AUX LOCATAIRES 11/10/2010

PROJET DE CHARTE DE LA VENTE HLM AUX LOCATAIRES 11/10/2010 PROJET DE CHARTE DE LA VENTE HLM AUX LOCATAIRES 11/10/2010 Les enjeux de l accession sociale PREAMBULE DANS LE CADRE DES ORIENTATIONS DEFINIES PAR LE PROTOCOLE D ACCORD D NATIONAL INTERPROFESSIONNEL ET

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. Sylvia Pinel présente 20 actions pour améliorer la mixité sociale dans le logement. Paris, le 15 avril 2015

DOSSIER DE PRESSE. Sylvia Pinel présente 20 actions pour améliorer la mixité sociale dans le logement. Paris, le 15 avril 2015 DOSSIER DE PRESSE Sylvia Pinel présente 20 actions pour améliorer la mixité sociale dans le logement Paris, le 15 avril 2015 Contact presse Service de presse du ministère du Logement, de l Égalité des

Plus en détail

LOI ALUR Copropriétés dégradées prévention et traitement

LOI ALUR Copropriétés dégradées prévention et traitement LOI ALUR Copropriétés prévention et traitement Ministère Copropriétés les principales dispositions de la loi Alur Prévention de l endettement et de la dégradation Traitement curatif Prévention de l endettement

Plus en détail

Octobre 2012. HABITAT PACT RHONE-ALPES une coopérative pour développer l offre de logements d insertion

Octobre 2012. HABITAT PACT RHONE-ALPES une coopérative pour développer l offre de logements d insertion Octobre 2012 HABITAT PACT RHONE-ALPES une coopérative pour développer l offre de logements d insertion 1 Notre projet Jean Jacques ARGENSON Président du Conseil de surveillance Dans le contexte de la crise

Plus en détail

e nfa n t h a n d i ca p é e nfa n t c i toye n

e nfa n t h a n d i ca p é e nfa n t c i toye n Accueil des enfants handicapés de moins de 6 ans e nfa n t h a n d i ca p é e nfa n t c i toye n Ce document a été élaboré par la Commission départementale de l accueil des jeunes enfants en novembre 2006.

Plus en détail

POINT D INFORMATION SUR LE FINANCEMENT DU LOGEMENT AU 13 DECEMBRE 2012

POINT D INFORMATION SUR LE FINANCEMENT DU LOGEMENT AU 13 DECEMBRE 2012 POINT D INFORMATION SUR LE FINANCEMENT DU LOGEMENT AU 13 DECEMBRE 2012 Philippe BOUCHARDEAU Nelly ARGOUD Adjoint de direction Adil 26 Stagiaire Elève avocate Adil 26 1 Rappels sur L ADIL 26 Les trois missions

Plus en détail

C est quoi un logement insalubre?

C est quoi un logement insalubre? LOGEMENT INSALUBRE C est quoi un logement insalubre? C est un logement qui présente un danger pour la santé des occupants, compte tenu de la dégradation du bâti ou de la présence de substances dangereuses

Plus en détail

E T U D E pré-opérationnelle P I G amélioration de l habitat. Volets 2 et 3 : PROGRAMME d ACTIONS 20 juillet 2012

E T U D E pré-opérationnelle P I G amélioration de l habitat. Volets 2 et 3 : PROGRAMME d ACTIONS 20 juillet 2012 P A Y S H A U T L A N G U E D O C E T V I G N O B L E S E T U D E pré-opérationnelle P I G amélioration de l habitat Volets 2 et 3 : PROGRAMME d ACTIONS 20 juillet 2012 1 SOMMAIRE Partie 1 : rappel des

Plus en détail

Les copropriétés : un enjeu de taille pour les collectivités

Les copropriétés : un enjeu de taille pour les collectivités A V R I L 2 0 1 4 / Rédacteur PÔLE TD2S Les copropriétés : un enjeu de taille pour les collectivités Cette note a pour objet de présenter les enjeux en matière de copropriétés dégradées et les réponses

Plus en détail

HABITER MIEUX DANS LE GRAND NANCY juin 2011 ~ juin 2014

HABITER MIEUX DANS LE GRAND NANCY juin 2011 ~ juin 2014 Programme d Intérêt Général HABITER MIEUX DANS LE GRAND NANCY juin 2011 ~ juin 2014 LANEUVEVILLE-DEVANT-NANCY SOMMAIRE Qu est-ce que le Programme d Intérêt Général Habiter Mieux? Enjeux et objectifs Présentation

Plus en détail

Documents à fournir pour une première demande de titre de séjour :

Documents à fournir pour une première demande de titre de séjour : Demande de titre de séjour Pour un séjour supérieur à trois mois, tous les chercheurs étrangers doivent demander un titre de séjour, sauf les ressortissants des 15 anciens de l Union Européenne, ceux des

Plus en détail

Venir au siège DomusVi à Suresnes

Venir au siège DomusVi à Suresnes PLans de localisation 1/ Quartier 2/ Paris 3/ Île-de-France 160 360 144 MONT VALÉRIEN D3 RUE DU CALVAIRE RUE WORTH LONGCHAMP T 2 D985 Dir. Rueil RUE DES MOULINEAUX BD HENRI SELLIER RUE DE SÈVRES HÔPITAL

Plus en détail

Le guide. des aides ÉTABLI AU 1 ER JANVIER 2015 PROPRIÉTAIRES OCCUPANTS PROPRIÉTAIRES BAILLEURS COPROPRIÉTAIRES SYNDICATS DE COPROPRIÉTAIRES

Le guide. des aides ÉTABLI AU 1 ER JANVIER 2015 PROPRIÉTAIRES OCCUPANTS PROPRIÉTAIRES BAILLEURS COPROPRIÉTAIRES SYNDICATS DE COPROPRIÉTAIRES Le guide PROPRIÉTAIRES OCCUPANTS PROPRIÉTAIRES BAILLEURS COPROPRIÉTAIRES SYNDICATS DE COPROPRIÉTAIRES des aides ÉTABLI AU 1 ER JANVIER 2015 Document d information non contractuel 3 3 4 8 9 15 16 17 18

Plus en détail

COMPTE RENDU SOMMAIRE DU CONSEIL MUNICIPAL

COMPTE RENDU SOMMAIRE DU CONSEIL MUNICIPAL COMPTE RENDU SOMMAIRE DU CONSEIL MUNICIPAL Séance du mercredi 10 Décembre 2014 Après avoir approuvé le compte rendu de la réunion du 12 novembre 2014, le conseil municipal a examiné les dossiers et pris

Plus en détail

COPROPRIETE DU 24 RUE EDMOND BONTE RIS ORANGIS. Groupe ESSIA, 4 sociétés complémentaires au service de l habitat 1 FAITS MARQUANTS

COPROPRIETE DU 24 RUE EDMOND BONTE RIS ORANGIS. Groupe ESSIA, 4 sociétés complémentaires au service de l habitat 1 FAITS MARQUANTS COPROPRIETE DU 24 RUE EDMOND BONTE RIS ORANGIS Groupe ESSIA, 4 sociétés complémentaires au service de l habitat 1 FAITS MARQUANTS IMMEUBLE CONSTRUIT ENTRE 1920 ET 1930 168 LOGEMENTS DE PETITE SURFACE (35

Plus en détail

L ARTISANAT dans les Hauts-de-Seine

L ARTISANAT dans les Hauts-de-Seine L ARTISANAT dans les Hauts-de-Seine Statistiques Baromètre 2013 Réalisés par Avec le soutien financier de Président de la CMA92 Daniel GOUPILLAT 1 000 entreprises artisanales supplémentaires dans les Hauts-de-Seine!

Plus en détail

Le guide. des aides PROPRIÉTAIRES OCCUPANTS PROPRIÉTAIRES BAILLEURS COPROPRIÉTAIRES SYNDICATS DE COPROPRIÉTAIRES ÉTABLI AU 1 ER MARS 2014

Le guide. des aides PROPRIÉTAIRES OCCUPANTS PROPRIÉTAIRES BAILLEURS COPROPRIÉTAIRES SYNDICATS DE COPROPRIÉTAIRES ÉTABLI AU 1 ER MARS 2014 Le guide PROPRIÉTAIRES OCCUPANTS PROPRIÉTAIRES BAILLEURS COPROPRIÉTAIRES SYNDICATS DE COPROPRIÉTAIRES des aides ÉTABLI AU 1 ER MARS 2014 Document d information non contractuel 3 3 4 8 9 15 16 17 18 19

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. Améliorer l hébergement des plus défavorisés : Un plan triennal pour réduire le recours aux nuitées hôtelières

DOSSIER DE PRESSE. Améliorer l hébergement des plus défavorisés : Un plan triennal pour réduire le recours aux nuitées hôtelières DOSSIER DE PRESSE Améliorer l hébergement des plus défavorisés : Un plan triennal pour réduire le recours aux nuitées hôtelières Paris, le mardi 3 février 2015 Contact presse Ministère du Logement, de

Plus en détail

Le nouveau programme national de renouvellement urbain. CRDSU septembre 2014

Le nouveau programme national de renouvellement urbain. CRDSU septembre 2014 Le nouveau programme national de renouvellement urbain CRDSU septembre 2014 Un nouveau programme de renouvellement urbain! Un projet à l échelle de l agglomération, un projet intégré : le contrat de ville!

Plus en détail

LE PASS-GRL du 1 % Logement

LE PASS-GRL du 1 % Logement LE PASS-GRL du 1 % Logement UN NOUVEL OUTIL POUR FAVORISER L ACCES AU LOGEMENT A l initiative des partenaires sociaux du 1 % Logement, le PASS-GRL est opérationnel depuis le 1er janvier 2007 Nouvel outil

Plus en détail

L ARTISANAT dans les Hauts-de-Seine

L ARTISANAT dans les Hauts-de-Seine L ARTISANAT dans les Hauts-de-Seine Statistiques Baromètre 2012 Réalisés par Avec le soutien financier de Président de la CMA92 Daniel GOUPILLAT Présent dans les secteurs de l Alimentation, du Bâtiment,

Plus en détail

INNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF :

INNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF : INNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF : Complément au chapitre VII «Valorisation du Patrimoine Régional et Projets Innovants» du cadre d intervention régional sur l habitat et le logement, adopté par délibération

Plus en détail

Plan Départemental d Action pour

Plan Départemental d Action pour Plan Départemental d Action pour le Logement des Personnes Défavorisées des Yvelines 2011-2014 2014 Entre, L ETAT, représenté par Monsieur le Préfet du département des Yvelines LE DEPARTEMENT DES YVELINES,

Plus en détail

que se posent les maires

que se posent les maires Hlm questions Comment réintégrer les quartiers Hlm à la ville? que se posent les maires Guide pratique à l usage des collectivités locales Comment les Hlm peuvent-ils améliorer l image de ma commune? SOMMAIRE

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA VILLE Arrêté du 29 juin 2011 portant approbation des modifications du règlement général de l Agence nationale pour la rénovation urbaine NOR

Plus en détail

Les mesures pour relancer la construction de logements

Les mesures pour relancer la construction de logements Les mesures pour relancer la construction de logements Janvier 2015 Le logement est devenu, pour la plupart des Français, cher et difficilement accessible. Le secteur de la construction traverse une grave

Plus en détail

L ACCÈS AU LOGEMENT À L USAGE DU PUBLIC GUIDE PRATIQUE

L ACCÈS AU LOGEMENT À L USAGE DU PUBLIC GUIDE PRATIQUE À L USAGE DU PUBLIC GUIDE PRATIQUE Pôle sanitaire social Ce livret a été élaboré afin de vous guider dans les démarches liées au logement. Vous pouvez vous y référer lors de l intervention. Vous trouverez

Plus en détail

UNE ACCESSION SOCIALE À LA PROPRIÉTÉ SÉCURISÉE

UNE ACCESSION SOCIALE À LA PROPRIÉTÉ SÉCURISÉE CHIFFRES CLÉS DU LOGEMENT SOCIAL ÉDITION NATIONALE SEPTEMBRE 2011 UNE ACCESSION SOCIALE À LA PROPRIÉTÉ SÉCURISÉE En 2010, les opérateurs Hlm ont également vendu 16 000 logements destinés à des accédants,

Plus en détail

Recours amiable devant la commission départementale de médiation en vue d une offre de logement

Recours amiable devant la commission départementale de médiation en vue d une offre de logement Ministère chargé du logement Recours amiable devant la commission départementale de médiation en vue d une offre de logement N 15036*01 (article L. 441-2-3, II, du code de la construction et de l habitation)

Plus en détail

Ingénierie et action foncière. Janvier 2014

Ingénierie et action foncière. Janvier 2014 ANJOU PORTAGE FONCIER Ingénierie et action foncière dans la Politique Départementale de l Habitat Janvier 2014 Les outils d action foncière et td d urbanisme durable du PDH Une phase d étude préalable

Plus en détail

LE PASS-TRAVAUX. Edition 2008. Le prêt PASS-TRAVAUX concerne principalement les propriétaires, seuls 2% des bénéficiaires étaient locataires en 2007.

LE PASS-TRAVAUX. Edition 2008. Le prêt PASS-TRAVAUX concerne principalement les propriétaires, seuls 2% des bénéficiaires étaient locataires en 2007. Edition 2008 LE PASS-TRAVAUX Le prêt PASS-TRAVAUX concerne principalement les propriétaires, seuls 2% des bénéficiaires étaient locataires en 2007. A la demande de l ANPEEC, MV2 Conseil a réalisé, en 2007,

Plus en détail

Notre expertise. habitat social

Notre expertise. habitat social Notre expertise habitat social ÉDITEUR INTÉGRATEUR INFOGÉREUR Le groupe SIGMA Depuis plus de 40 ans, le Groupe SIGMA accompagne le développement de ses clients grâce à son offre globale de solutions au

Plus en détail

Commerces de proximité Quelles politiques architecturales, urbaines et économiques des collectivités locales et opérateurs pour optimiser le commerce

Commerces de proximité Quelles politiques architecturales, urbaines et économiques des collectivités locales et opérateurs pour optimiser le commerce Commerces de proximité Quelles politiques architecturales, urbaines et économiques des collectivités locales et opérateurs pour optimiser le commerce de proximité Carole Delaporte et Christine Tarquis

Plus en détail

LOI ALUR ET GESTION LOCATIVE. 28 mars 2014 commission gestion locative Emmanuelle Benhamou

LOI ALUR ET GESTION LOCATIVE. 28 mars 2014 commission gestion locative Emmanuelle Benhamou LOI ALUR ET GESTION LOCATIVE 28 mars 2014 commission gestion locative Emmanuelle Benhamou LOI n 2014-366 en date 24 mars 2014 POUR L ACCES AU LOGEMENT ET UN URBANISME RENOVE PUBLIEE AU JO LE 26 MARS 2014

Plus en détail

Groupe Logement Français. A l essentiel

Groupe Logement Français. A l essentiel Groupe Logement Français A l essentiel Octobre 2012 Le Groupe Logement Français Le Groupe Logement Français est l un des principaux acteurs du logement social en France. Il rassemble six Entreprises sociales

Plus en détail

Comment mobiliser les copropriétaires et financer de gros travaux

Comment mobiliser les copropriétaires et financer de gros travaux Comment mobiliser les copropriétaires et financer de gros travaux Saint-Mandé Cycle de formations mai-juin : Comment réaliser des économies d'énergie dans votre copropriété? VILLE DE SAINT-MANDE: LES ACTIONS

Plus en détail

DOSSIER PRE-INSTRUCTION

DOSSIER PRE-INSTRUCTION DOSSIER PRE-INSTRUCTION ACCES HEBERGEMENT EN RESIDENCE SOCIALE NOTICE Le dossier de pré-instruction doit obligatoirement être rempli par un travailleur social. Il est indispensable que le demandeur entreprenne

Plus en détail

Intervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP

Intervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP Capacités d accueil, aménagements commerciaux, mutabilité foncière : des outils concrets pour construire un SCOT intégrant les vulnérabilités énergétiques et climatique Intervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP

Plus en détail

ADIL 05 Agence Départementale d Information sur le logement -

ADIL 05 Agence Départementale d Information sur le logement - ADIL 05 Agence Départementale d Information sur le logement - Observatoire des Loyers du Parc Privé des Communes de Briançon, Embrun et Gap Cette étude, à destination des professionnels de l immobilier,

Plus en détail

Dossier de presse. Adaptation des logements à la perte d autonomie : Des moyens renforcés pour 2013. 19 Mars 2013

Dossier de presse. Adaptation des logements à la perte d autonomie : Des moyens renforcés pour 2013. 19 Mars 2013 Dossier de presse Adaptation des logements à la perte d autonomie : Des moyens renforcés pour 2013 19 Mars 2013 Contacts presse : Myra Frapier-Saab 06 70 10 82 24 1 Les enjeux Le nombre croissant de personnes

Plus en détail

Programme d Intérêt Général. Amélioration de l Habitat Bilan 01 juillet 2012 31 Décembre 2013

Programme d Intérêt Général. Amélioration de l Habitat Bilan 01 juillet 2012 31 Décembre 2013 Programme d Intérêt Général Amélioration de l Habitat Bilan 01 juillet 2012 31 Décembre 2013 Rappels: Les cibles du Programme d Intérêt Général Amélioration de la qualité thermique des logements Adaptation

Plus en détail

La loi n 2014-366 du 24 mars 2014 pour l accès au logement et un urbanisme rénové (ALUR)

La loi n 2014-366 du 24 mars 2014 pour l accès au logement et un urbanisme rénové (ALUR) La loi n 2014-366 du 24 mars 2014 pour l accès au logement et un urbanisme rénové (ALUR) Commentaire juridique des principales dispositions intéressant les organismes Hlm Mars 2014 AVERTISSEMENT Ce commentaire

Plus en détail

Programme Local. de l Habitat BILAN SYNTHETIQUE

Programme Local. de l Habitat BILAN SYNTHETIQUE Programme Local de l Habitat 8 BILAN SYNTHETIQUE sommaire INTRODUCTION 8 8 9 5 Introduction Rappel des objectifs annuels du PLH I) Améliorer l attractivité résidentielle du territoire et relever le défi

Plus en détail

Journée nationale d échange du PNLHI Communauté d agglomération Les Portes de l Essonne

Journée nationale d échange du PNLHI Communauté d agglomération Les Portes de l Essonne Journée nationale d échange du PNLHI Communauté d agglomération Les Portes de l Essonne Le 20 septembre 2012 Direction du Logement et de l Habitat Sous-direction de l Habitat - Service Technique de l Habitat

Plus en détail

1% logement La Caisse Interprofessionnelle du Logement prend le nom de son groupe : ALLIADE

1% logement La Caisse Interprofessionnelle du Logement prend le nom de son groupe : ALLIADE Contact Presse : Magali VILLARET : 04 72 13 21 47 06 11 853 843 m.villaret@alliade.com Le 5 février 2007 DOSSIER DE PRESSE 1% logement La Caisse Interprofessionnelle du Logement prend le nom de son groupe

Plus en détail

Améliorer la performance énergétique, les aides de l'état

Améliorer la performance énergétique, les aides de l'état Améliorer la performance énergétique, les aides de l'état Le secteur du bâtiment est un des plus grands consommateurs d'énergie et émetteurs de gaz à effet de serre. C'est donc sur ce secteur que s'est

Plus en détail

OPAH - RU de CASTELNAUDARY DOSSIER D'INFORMATION PROPRIETAIRES OCCUPANTS

OPAH - RU de CASTELNAUDARY DOSSIER D'INFORMATION PROPRIETAIRES OCCUPANTS OPAH - RU de CASTELNAUDARY DOSSIER D'INFORMATION PROPRIETAIRES OCCUPANTS La Ville de Castelnaudary, soutenue par l Anah, la Région Languedoc-Roussillon, le Département de l Aude, lance une Opération Programmée

Plus en détail

La Banque Postale, une banque «pas comme les autres»

La Banque Postale, une banque «pas comme les autres» La Banque Postale, une banque «pas comme les autres» Direction Marketing crédit 2011 Plan de l intervention Le financement de l accession, perspectives 2012 Présentation de la Banque Postale L offre crédit

Plus en détail

Solidarités Nouvelles pour le Logement

Solidarités Nouvelles pour le Logement Solidarités Nouvelles pour le Logement Une association de citoyens pour le logement des plus démunis SNL Essonne 24 rue de l Alun 91630 Marolles-en-Hurepoix Tél. : 01 69 58 77 58 Fax : 01 64 56 61 26 Courriel

Plus en détail

Loi ALUR. Titre 1 - FAVORISER L ACCES DE TOUS A UN LOGEMENT DIGNE ET ABORDABLE RAPPORTS LOCATIFS

Loi ALUR. Titre 1 - FAVORISER L ACCES DE TOUS A UN LOGEMENT DIGNE ET ABORDABLE RAPPORTS LOCATIFS Titre 1 - FAVORISER L ACCES DE TOUS A UN LOGEMENT DIGNE ET ABORDABLE RAPPORTS LOCATIFS Simplification et sécurisation de la location vide La mise en location Pièces justificatives demandées au candidat

Plus en détail

Marché de l occasion et exigences de rénovation énergétique. Rencontre de l Observatoire 21 mai 2015

Marché de l occasion et exigences de rénovation énergétique. Rencontre de l Observatoire 21 mai 2015 Marché de l occasion et exigences de rénovation énergétique Rencontre de l Observatoire 21 mai 2015 Logements neufs / logements d occasion 7 700 logements d occasion vendus en 2013 dans l aire urbaine

Plus en détail

Résidences du Pays d Auge

Résidences du Pays d Auge Etouvie fait peau neuve AMIENS > PARC D ETOUVIE Résidences du Pays d Auge 1, 3 et 5 place du Pays d Auge / 2 avenue du Périgord Contexte Étouvie : loger les salariés amiénois Etouvie a pris naissance au

Plus en détail

Aides pour restaurer les parties communes des immeubles en copropriété. Aides pour restaurer un logement locatif

Aides pour restaurer les parties communes des immeubles en copropriété. Aides pour restaurer un logement locatif DISPOSITIONS PRATIQUES OPAH COPROPRIETE RENNES Dans le cadre de l Opération programmée d amélioration de l habitat engagée par la Ville de Rennes sur le centre depuis mars 2007, pour une durée de cinq

Plus en détail

Évaluation du 4 e Plan départemental d action pour le logement des personnes défavorisées (2009-2013)

Évaluation du 4 e Plan départemental d action pour le logement des personnes défavorisées (2009-2013) Évaluation du 4 e Plan départemental d action pour le logement des personnes défavorisées (2009-2013) S OMMAIRE SOMMAIRE... 1 1. Le contexte de l évaluation... 5 1.1. Le Plan Départemental d Actions pour

Plus en détail

Mission Interministérielle. Logement Social. Miilos RAPPORT PUBLIC. Ministère de l Écologie, de l Énergie, du Développement durable et de la Mer

Mission Interministérielle. Logement Social. Miilos RAPPORT PUBLIC. Ministère de l Écologie, de l Énergie, du Développement durable et de la Mer Mission Interministérielle d Inspection du Logement Social Mission Interministérielle d Inspection du Logement Social Miilos Miilos Miilos Grande Arche 92055 La Défense cedex téléphone : 01 40 81 21 07

Plus en détail

COMPRENDRE. Édition : février 2013

COMPRENDRE. Édition : février 2013 L habitat COMPRENDRE 2013 Édition : février 2013 sommaire glossaire introduction Se donner les moyens de maîtriser l énergie.3 À savoir avant de se lancer...4 Trouver l aide adaptée....6 Pour tout contribuable,

Plus en détail

NOTE D INFORMATION : LOI POUR L ACCES AU LOGEMENT ET UN URBANISME RENOVE (ALUR)

NOTE D INFORMATION : LOI POUR L ACCES AU LOGEMENT ET UN URBANISME RENOVE (ALUR) NOTE D INFORMATION : LOI POUR L ACCES AU LOGEMENT ET UN URBANISME RENOVE (ALUR) - Document de synthèse L UNION DES MAIRES DE L OISE MAI 2014 Page 1 sur 20 Sommaire Avant propos... 3 I. Le renforcement

Plus en détail

LOI ALUR. Copropriétés dégradées. prévention et traitement. Ministère de l'écologie, du Développement durable et de l Énergie

LOI ALUR. Copropriétés dégradées. prévention et traitement. Ministère de l'écologie, du Développement durable et de l Énergie Copropriétés dégradées prévention et traitement Ministère de l'écologie, du Développement durable et de l Énergie La loi La loi pour l Accès au Logement et un Urbanisme Rénové a été adoptée par l Assemblée

Plus en détail

OBSERVATOIRE DE L HABITAT 2011 COMMUNAUTE D AGGLOMERATION GRAND PARIS SEINE OUEST

OBSERVATOIRE DE L HABITAT 2011 COMMUNAUTE D AGGLOMERATION GRAND PARIS SEINE OUEST OBSERVATOIRE DE L HABITAT 2011 COMMUNAUTE D AGGLOMERATION GRAND PARIS SEINE OUEST BOULOGNE-BILLANCOURT CHAVILLE ISSY-LES-MOULINEAUX MEUDON SÈVRES VANVES VILLE D AVRAY L OBSERVATOIRE DU LOGEMENT ET DE

Plus en détail

LES RÉSULTATS DE L'ENQUÊTE DE SATISFACTION

LES RÉSULTATS DE L'ENQUÊTE DE SATISFACTION LES RÉSULTATS DE L'ENQUÊTE DE SATISFACTION 2011 Supplément à la Lettre de Clamart Habitat n 34 1 er* Meilleur bailleur d Île-de-France pour le traitement des demandes techniques 94% des locataires satisfaits

Plus en détail

Guide Prêt Locatif Social (PLS)

Guide Prêt Locatif Social (PLS) Investir dans un logement destiné à la location. Qu est-ceque c est? Le prêt locatif social (PLS) s adresse à tout investisseur qui achète un logement pour le louer. Le PLS est destiné à financer des appartements

Plus en détail

R EPÈRES GUIDE DE L'ACCÈS AU LOGEMENT SE LOGER À L'USAGE SIAO INSERTION 75, UT DRIHL PARIS DES TRAVAILLEURS SOCIAUX

R EPÈRES GUIDE DE L'ACCÈS AU LOGEMENT SE LOGER À L'USAGE SIAO INSERTION 75, UT DRIHL PARIS DES TRAVAILLEURS SOCIAUX 2014 R EPÈRES SE LOGER GUIDE DE L'ACCÈS AU LOGEMENT À L'USAGE DES TRAVAILLEURS SOCIAUX SIAO INSERTION 75, UT DRIHL PARIS 2 SOMMAIRE ACCÈS AU LOGEMENT SOCIAL LES CHIFFRES CLÉS DE L ACCÈS AU LOGEMENT...

Plus en détail

Groupement. électroniques. de commandes. communications. pour les services de

Groupement. électroniques. de commandes. communications. pour les services de Groupement pour les services de électroniques Présentation Avec la création de nouveaux services aux usagers et une offre technologique de plus en plus riche et complexe, les budgets télécom de votre collectivité

Plus en détail

HABITATS PARTICIPATIFS

HABITATS PARTICIPATIFS HABITATS PARTICIPATIFS habitats participatifs et coopératifs : de quoi parle t-on? CAUE 92-31.03.15 1. LES COOPERATIVES D HLM Un peu d histoire Une des trois familles composant le mouvement Hlm, issue

Plus en détail

Programme local de l habitat 2011-2016 modifié

Programme local de l habitat 2011-2016 modifié Programme local de l habitat 2011-2016 modifié Programme d actions Février 2015 1 Sommaire I. PREAMBULE... 5 II. LES ORIENTATIONS GENERALES... 6 III. LES ACTIONS... 18 AXE 1. ATTEINDRE DES OBJECTIFS VOLONTARISTES

Plus en détail

Le droit de préemption en matière immobilière

Le droit de préemption en matière immobilière Le droit de préemption en matière immobilière C est le truc le plus grave à louper. I Le preneur à bail rural C est surement le texte le plus ancien dans notre droit positif actuel. Cela date de 1945.

Plus en détail

MISSIONS SOCIALES/ACCESSION À LA PROPRIÉTÉ

MISSIONS SOCIALES/ACCESSION À LA PROPRIÉTÉ MISSIONS SOCIALES/ACCESSION À LA PROPRIÉTÉ ACCESSION À LA PROPRIÉTÉ Depuis la création du Crédit Immobilier de France en 1908, les SACI devenues SACICAP en 2008 ont pour vocation de faciliter l accession

Plus en détail

ALUR. Loi pour l accès au logement et un urbanisme rénové - 24 mars 2014

ALUR. Loi pour l accès au logement et un urbanisme rénové - 24 mars 2014 ALUR Loi pour l accès au logement et un urbanisme rénové - 24 mars 2014 Journée ADIL 31 16 juin 2014 ADIL31/Agence Départementale Information Logement 1 Loi ALUR : introduction Présentation du projet en

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DES FINANCES ET DES COMPTES PUBLICS Décret n o 2014-444 du 29 avril 2014 relatif au fonds de soutien aux collectivités territoriales et à certains

Plus en détail

Rencontre des Responsables de copropriétés de Neuilly sur Seine, le 14 octobre 2014. Focus sur quelques obligations applicables aux copropriétés

Rencontre des Responsables de copropriétés de Neuilly sur Seine, le 14 octobre 2014. Focus sur quelques obligations applicables aux copropriétés Rencontre des Responsables de copropriétés de Neuilly sur Seine, le 14 octobre 2014 Focus sur quelques obligations applicables aux copropriétés Sommaire Domaine Sécurité et sanitaire Mise en sécurité des

Plus en détail

Guide pour la création d une MAM

Guide pour la création d une MAM LES MAISONS D ASSISTANTS MATERNELS Guide pour la création d une MAM Commission Départementale d Accueil du Jeune Enfant Le cadre législatif La loi n 2010-625 du 9 juin 2010 relative à la création des maisons

Plus en détail

Intégrez les enjeux énergie-climat dans vos documents d'urbanisme

Intégrez les enjeux énergie-climat dans vos documents d'urbanisme Intégrez les enjeux énergie-climat dans vos documents d'urbanisme PCET, SRCAE, précarité énergétique, PLH, évaluation environnementale SCOT et PLU, étude pré-opérationnelle OPAH BGP280/122 1 L'énergie

Plus en détail

Un outil de portage au service des copropriétés

Un outil de portage au service des copropriétés Un outil de portage au service des copropriétés Coprocoop : une coopérative d Hlm Un objectif : Créer un outil dédié au portage de lots en copropriétés dégradées. La réponse : Une SCIC Hlm réunissant l

Plus en détail

POUR UN RENOUVEAU DU PARC IMMOBILIER DES ANNEES 50-70 De la requalification classique au portage immobilier

POUR UN RENOUVEAU DU PARC IMMOBILIER DES ANNEES 50-70 De la requalification classique au portage immobilier BREST 28 et 29 NOVEMBRE 2013 POUR UN RENOUVEAU DU PARC IMMOBILIER DES ANNEES 50-70 De la requalification classique au portage immobilier Présentation de la SPLA SOREQA SPLA à vocation métropolitaine crée

Plus en détail

R é g l e m e n t. d Intervention. EPFL Pays Basque. Anticipons... Préparons aujourd hui le Pays Basque de demain

R é g l e m e n t. d Intervention. EPFL Pays Basque. Anticipons... Préparons aujourd hui le Pays Basque de demain R é g l e m e n t d Intervention EPFL Pays Basque Anticipons... Préparons aujourd hui le Pays Basque de demain Adopté par le Conseil d Administration en date du 12 Septembre 2014 : Vu le Code de l Urbanisme

Plus en détail

PLAN DEPARTEMENTAL D ACTION POUR LE LOGEMENT DES PERSONNES DEFAVORISEES DU RHÔNE 2012-2015

PLAN DEPARTEMENTAL D ACTION POUR LE LOGEMENT DES PERSONNES DEFAVORISEES DU RHÔNE 2012-2015 PREFET DU RHÔNE En association avec PLAN DEPARTEMENTAL D ACTION POUR LE LOGEMENT DES PERSONNES DEFAVORISEES DU RHÔNE 2012-2015 Objectifs et thématiques du PDALPD 2 Objectifs et thématiques du PDALPD Préambule

Plus en détail

L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN 2003 : UNE ANALYSE TERRITORIALISÉE DES PROFILS D OCCUPATION DES PARCS ET DES QUARTIERS

L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN 2003 : UNE ANALYSE TERRITORIALISÉE DES PROFILS D OCCUPATION DES PARCS ET DES QUARTIERS ATELIER PARISIEN D URBANISME - 17, BD MORLAND 75004 PARIS TÉL : 01 42 71 28 14 FAX : 01 42 76 24 05 http://www.apur.org Observatoire de l'habitat de Paris L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN

Plus en détail

LE guide CONVENTIONNEMENT AVEC OU SANS TRAVAUX. PROPRIÉTAIRES BAILLEURS LOCATAIREs

LE guide CONVENTIONNEMENT AVEC OU SANS TRAVAUX. PROPRIÉTAIRES BAILLEURS LOCATAIREs LE guide CONVENTIONNEMENT PROPRIÉTAIRES BAILLEURS LOCATAIREs DU AVEC OU SANS TRAVAUX Rédaction : ANIL et Service des affaires juridiques de l Anah (SAJ) Conception et réalisation : Direction de la communication

Plus en détail

Union. pour le Logement. des Entreprises. s engagent avec les salariés

Union. pour le Logement. des Entreprises. s engagent avec les salariés Les entreprises s engagent avec les salariés Union des Entreprises et des Salariés pour le Action Les missions d Action Le 1% (participation des employeurs à l effort de construction) a été institué en

Plus en détail

Assistance à maîtrise d ouvrage renforcée dans le cadre de la perte d autonomie et du maintien à domicile. www.pact-habitat.org

Assistance à maîtrise d ouvrage renforcée dans le cadre de la perte d autonomie et du maintien à domicile. www.pact-habitat.org Assistance à maîtrise d ouvrage renforcée dans le cadre de la perte d autonomie et du maintien à domicile 1 LES CHAMPS D INTERVENTION DU PACT DE L YONNE L appui à la réhabilitation et à l adaptation du

Plus en détail

L hébergement d urgence en Loire-Atlantique

L hébergement d urgence en Loire-Atlantique 18/02/2015 Dossier de presse L hébergement d urgence en Loire-Atlantique M. Henri-Michel COMET, préfet de la région Pays de la Loire, préfet de Loire-Atlantique a rencontré le mercredi 18 février 2015

Plus en détail

bilan de la concertation avant enquête publique

bilan de la concertation avant enquête publique bilan de la concertation avant enquête publique DÉCEMbre 2014 sommaire Synthèse 04 Une concertation au plus près du terrain 07 préambule 09 Le projet en bref 10 Caractéristiques du projet et territoires

Plus en détail

Marielle de Sarnez, candidate à la mairie de Paris Conférence de presse - Lundi 21 octobre 2013. Plan Marshall pour le logement

Marielle de Sarnez, candidate à la mairie de Paris Conférence de presse - Lundi 21 octobre 2013. Plan Marshall pour le logement Marielle de Sarnez, candidate à la mairie de Paris Conférence de presse - Lundi 21 octobre 2013 Plan Marshall pour le logement De tous les grands dossiers de Paris, celui du logement est le plus crucial.

Plus en détail

Document non contractuel. Les avantages de la nue-propriété

Document non contractuel. Les avantages de la nue-propriété Les avantages de la nue-propriété Conjoncture & opportunités Avantages de la nue-propriété Profils clients Produits Conjoncture & opportunités CONJONCTURE FISCALE Une fiscalité de + en + forte - Nouvelles

Plus en détail

MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DE L ÉNERGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE LA MER en charge des Technologies vertes et des Négociations sur le climat

MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DE L ÉNERGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE LA MER en charge des Technologies vertes et des Négociations sur le climat MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DE L ÉNERGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE LA MER en charge des Technologies vertes et des Négociations sur le climat DOSSIER DE PRESSE Benoist APPARU présente : La signature

Plus en détail

Conseil de Surveillance du 23 février 2012

Conseil de Surveillance du 23 février 2012 AIDES AUX MENAGES EN DIFFICULTE ARTICLE R. 313-19-3 V DU CCH ---- En application de l article R. 313-12 du code de la construction et de l habitation, l UESL peut déterminer par recommandation les modalités

Plus en détail

«Regroupement de crédits : halte aux idées reçues» C O N F E R E N C E D E P R E S S E, 1 7 d é c e m b r e 2 0 1 3

«Regroupement de crédits : halte aux idées reçues» C O N F E R E N C E D E P R E S S E, 1 7 d é c e m b r e 2 0 1 3 «Regroupement de crédits : halte aux idées reçues» C O N F E R E N C E D E P R E S S E, 1 7 d é c e m b r e 2 0 1 3 INTRODUCTION : RAPPELS SUR LE REGROUPEMENT DE CREDITS 1 LE REGROUPEMENT DE CRÉDITS, QUAND?

Plus en détail

Les aides moyennes publiques en faveur du logement social pour l acquisition amélioration (AA) 1

Les aides moyennes publiques en faveur du logement social pour l acquisition amélioration (AA) 1 Les aides moyennes publiques en faveur du logement social pour l acquisition amélioration (AA) 1 Ce document est un outil qui permet de déterminer les aides en faveur du logement social, qu il s agisse

Plus en détail

Laval Agglomération Programme Local de l Habitat 2011-2016 Programme d actions SOMMAIRE

Laval Agglomération Programme Local de l Habitat 2011-2016 Programme d actions SOMMAIRE SOMMAIRE PREAMBULE : Territorialisation des objectifs de production... 3 Action n 1 : Préserver les enjeux environnementaux et urbains... 6 Action n 2 : Conserver le dispositif de soutien à l a production

Plus en détail

2.1 - Améliorer l offre de soins sur le Pays

2.1 - Améliorer l offre de soins sur le Pays Module 2 : Services à la population 2.1 - Améliorer l offre de soins sur le Pays réservée : 400 000 OBJECTIFS STRATÉGIQUES - Développer les solidarités locales et l'accessibilité de tous aux services (Axe

Plus en détail

LISTE DES MARCHES CONCLUS

LISTE DES MARCHES CONCLUS Entre le : 01/01/10 et 31/12/10 Pour des Travaux Pour la tranche supérieure ou égale à 20 000 et inférieure à 50 000 HT 2010-021 CONSTRUCTION DE 63 LOGEMENTS LOCATIFS POUR LES GENDARMES SERRURERIE DU FAUBOURG

Plus en détail

Propositions en faveur des copropriétés en difficulté. Plate-forme finale

Propositions en faveur des copropriétés en difficulté. Plate-forme finale Propositions en faveur des copropriétés en difficulté Plate-forme finale S il semblait acquis depuis des décennies que "les riches vivaient en copropriétés et les pauvres dans le logement social", aujourd

Plus en détail

Opération Programmée d Amélioration de l Habitat 2009-2012

Opération Programmée d Amélioration de l Habitat 2009-2012 Opération Programmée d Amélioration de l Habitat 2009-2012 ECONOMIES D ENERGIE PERSONNES AGEES ENERGIES RENOUVELABLES MAINTIEN A DOMICILE ADAPTATION INSALUBRITE HANDICAP LOYERS MODERES LOCATION CHARGES

Plus en détail

Procédures Questionnement Réponses apportées Recommandations et avis de l IT CCAPEX

Procédures Questionnement Réponses apportées Recommandations et avis de l IT CCAPEX En association avec PREFET DU RHÔNE Plan Départemental d Action pour le Logement des Personnes Défavorisées du Rhône 2012 2015 Commission de coordination des actions de prévention des expulsions locatives

Plus en détail

1 Concevoir son projet et construire

1 Concevoir son projet et construire Se loger avec l économie sociale et solidaire avec l économie sociale et solidaire 1 Concevoir son projet et construire Soutien à la conception de votre projet de construction ou de rénovation, Assistance

Plus en détail

Pour le transport de vos colis gagnez en performance et en efficacité grâce à nos solutions flexibles adaptées tout à chacun.

Pour le transport de vos colis gagnez en performance et en efficacité grâce à nos solutions flexibles adaptées tout à chacun. Pour le transport de vos colis gagnez en performance et en efficacité grâce à nos solutions flexibles adaptées tout à chacun. MCE Express 9, rue Frédéric Bastiat 75008 Paris Tel: 01 56 69 26 26 Fax: 01

Plus en détail

Ministère de l Egalité des territoires et du Logement * * *

Ministère de l Egalité des territoires et du Logement * * * Ministère de l Egalité des territoires et du Logement * * * Professionnalisation de la maîtrise d ouvrage d insertion (MOI) Restructuration du patrimoine immobilier * * * GUIDE PRATIQUE Ce guide, réalisé

Plus en détail

Le Fonds de solidarité pour le logement (FSL)

Le Fonds de solidarité pour le logement (FSL) Le Fonds de solidarité pour le logement (FSL) Pour faciliter vos démarches et bénéficier d une aide du FSL Ille-et-Vilaine, la vie à taille humaine Vous avez des droits en matière de logement a Vos droits

Plus en détail

Logement et vieillissement

Logement et vieillissement Enquête réalisée à l occasion de l Assemblée générale de l ANIL du 21 mai 2014 Logement et vieillissement Aperçu sur l implication des ADIL ANIL / 2, boulevard Saint Martin 75010 Paris Tél. : 01 42 02

Plus en détail

Lutte contre l étalement urbain

Lutte contre l étalement urbain Lutte contre l étalement urbain L étalement urbain et la consommation d espace résultent de plusieurs causes cumulatives. Ces phénomènes s expliquent notamment par l insuffisance et l inadaptation de l

Plus en détail