LES ACCIDENTS THERMIQUES
|
|
- Carole Beauregard
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LES ACCIDENTS THERMIQUES
2 Table des matières EXPLOSION DE FUMEES EMBRASEMENT GENERALISE ECLAIR SYNTHESE DES PHENOMENES 2
3 Définition Explosion de fumées : Fumées surchauffées, accumulées dans un volume clos, explosant lors d un apport d air frais. 3
4 Situation Initiale Le feu se développe dans un volume clos : Les échanges entrées/sorties sont quasi inexistantes. Sous l effet de l accumulation des fumées et de la chaleur, une mise en pression s opère. 4
5 Situation Initiale Le combustible: Les fumées sont très chargées en gaz imbrûlés, en suies et en gaz de pyrolyse. Le mélange est au-dessus de sa Limite Supérieure d Inflammabilité. 5
6 Situation Initiale Le comburant L oxygène ayant été en grande partie consommé dans la phase initiale et l apport d air extérieur étant insuffisant :» L incendie passe d une combustion vive à une combustion lente. 6
7 Situation Initiale Chaleur. La chaleur ne s est pas évacuée,» Augmentation de la température du local Le volume est surchauffé,» Augmentation de la pression en partie haute La combustion se réduit,» maintient ou augmentation du niveau de température, donc d énergie ambiante contenue dans le volume. 7
8 Situation Initiale Fumées Des constantes apparaissent dans la composition des fumées :» Le taux de monoxyde de carbone (CO) est important,» Présence de nombreuses molécules riches en carbone. En phase de combustion «fumigène», le volume se remplit de fumées denses, grasses et de couleurs variables 8
9 Couleurs des fumées La couleur de ces fumées peut renseigner (de manière toute relative) sur les composés présents dans le volume et leur l inflammabilité : Fumées NOIRES : hautement chargées en énergie. Fumées JAUNES : traduisent une élévation de température importante. Fumées BLANCHES et FROIDES : non neutres, elles peuvent présenter certains dangers. 9
10 Situation Initiale 10
11 Scénario de croissance 11
12 Scénario de croissance 12
13 Phénomènes déclencheurs L amenée d air peut survenir de différentes manières : Une vitre cède. Sous l effet de la chaleur, de la surpression ou de la dilatation des huisseries. Les sapeurs-pompiers ouvrent une porte, cassent une vitre ou, plus schématiquement, percent l enveloppe du volume dans un but de reconnaissance. 13
14 Phénomènes déclencheurs En cas d ouverture du volume, une importante quantité d air est aspirée, produisant un bruit caractéristique rappelant un sifflement. Cet apport d oxygène va venir enrichir en comburant le mélange combustible du volume. En un instant, le mélange redescend en-dessous de sa L.S.I. et se retrouve dans la zone d inflammabilité. 14
15 Courbe de développement du feu 15
16 Le résultats Le résultat est fulgurant : Au contact des points d ignition (braises), une violente explosion se produit. Le local s embrase et une boule de feu apparaît dans l ouverture créée, due à la détente de la surpression. Comme dans toute explosion : Un effet de souffle aggrave les conséquences thermiques de l allumage :» Les structures sont soumises à une onde de surpression qui peut causer d importants dégâts et mettre en péril la stabilité de l édifice. 16
17 Explosion de fumées Les personnels sont exposés aux effets cumulatifs : Des brûlures, Du blast, De blessures par projections, De chutes de matériaux. 16
18 Les signes d alarme L observation des signes d alarme de l occurrence d une explosion de fumées doit concerner l extérieur du volume sinistré. En effet, toute ouverture du volume peut déclencher le phénomène. Les recherches des signes caractéristiques doivent donc faire l objet d une reconnaissance extérieure exclusivement. 18
19 Les signes d alarme Couleurs des Fumées Fumées sortant par les interstices Aucune flamme visible Chaleur perceptible de l extérieur Vitres noircies Signes d alarme annonciateurs de l Explosion de Fumées 19
20 Pour résumer tous ces signes d alarme de la possibilité d une explosion de fumées, le volume clos laisse : «transpirer» une impression de chaleur intense ; s échapper sous forme «pulsée», des fumées denses, grasses et colorées. - AUCUNE FLAMME NETTE N EST VISIBLE - Seules les fumées expulsées et les impressions de chaleur extériorisées indiquent qu un incendie «couve». L attention des intervenants doit être maximale face à des signes d alarme s avérant difficiles à repérer. 20
21 La flamme de déflagration Flamme de déflagration Rupture du confinement et Explosion de Fumées 21
22 22
23 Définition Dans un volume semi-ouvert, passage instantané d une situation de feu localisé à un embrasement généralisé des matériaux combustibles qui s y trouvent. 23
24 Situation Initiale Le feu se développe dans un milieu semi-ouvert : 24
25 L évolution 25
26 L évolution 26
27 L évolution 27
28 Le monoxyde de carbone Ne pas négliger est la présence, entre autres gaz, de monoxyde de carbone dans la couche de fumées, élément particulièrement dangereux, notamment sur le plan de la combustion. Sa température d auto inflammation de 605 C 28
29 Les rouleaux de flammes sont les éléments précurseurs de l embrasement généralisé éclair. 29
30 Le test du plafond Moyen supplémentaire à l observation des signes d alarme. C est un moyen d évaluation au travers de l estimation du potentiel énergétique présent dans la couche de fumées en partie haute du volume. Dans la pratique, l action consiste simplement à ouvrir et fermer très rapidement une lance en jet diffusé d attaque au débit minimum, en visant la couche dense de fumées dans la partie haute du volume. 30
31 Le test du plafond En effet, de l eau finement projetée : Dans une ambiance suffisamment chaude, elle se vaporise en absorbant une grande quantité d énergie, En présence d énergie moindre elle retombe rapidement sans se vaporiser. 31
32 Le test du plafond 32
33 Le test du plafond Si une partie de l eau est transformée en vapeur : Le danger est présent est le risque d embrasement généralisé éclair est réel. L ordre de repli est latent. Aucune pénétration ni progression de doivent se faire dans le volume sinistré sans une action préalable sur la couche de fumées. Si des gouttes retombent : L ambiance thermique du volume n est pas très élevée puisque l eau n a pas été vaporisée. La progression du binôme peut se faire par étapes de 1 à 2 mètres. 33
34 Le test du plafond La projection d un faible volume d eau en impulsion «ouvrir / fermer» en jet diffusé d attaque dans la couche de fumées située en partie haute du volume permet de déterminer immédiatement le risque d embrasement généralisé éclair : Si la température est très élevée : l eau se vaporise, le danger est imminent, Si la température est peu élevée : l eau retombe en gouttes, le risque est présent, mais moins élevé. 34
35 Le test du plafond Le test du plafond doit être répété à chaque étape de la progression et à chaque changement de volume La plus grande vigilance reste requise. 35
36 36
37 Comparaison des phénomènes Explosion de Fumées Backdraft Embrasement Généralisé Éclair Flash-Over Feu initial Pyrolyse 37
38 Comparaison des phénomènes Explosion de Fumées Backdraft Embrasement Généralisé Éclair Flash-Over Situation d Explosion de Fumées Développement de la couche de fumées 38
39 Comparaison des phénomènes Explosion de Fumées Backdraft Embrasement Généralisé Éclair Flash-Over Déclenchement du phénomène Pré-embrasement généralisé 39
40 Comparaison des phénomènes Explosion de Fumées Backdraft Embrasement Généralisé Éclair Flash-Over Explosion de Fumées Rouleaux de flammes ( Roll-Over) 40
41 Comparaison des phénomènes Explosion de Fumées Backdraft Embrasement Généralisé Éclair Flash-Over Le phénomène à déjà eu lieu Embrasement Généralisé Éclair 41
42 Comparaison des phénomènes Caractéristiques Enveloppe bâtimentaire Facteur déclenchant Fumées Flammes Explosion de Fumées (Backdraft) Locaux clos Apport d air (O²) Très denses, grasses Sortant sous pression (pulsées) De couleur inhabituelles (jaunâtres, brunâtres, verdâtres) Aucunes Lueurs colorées Embrasement Généralisé Éclair (Flash-Over) Locaux semi-ouverts Chaleur Denses, créant une couche de fumées Sortant facilement, De couleurs classiques Visibles (bien jaunes) Petites flammes vives Rouleaux de flammes 42
43 Comparaison des phénomènes Caractéristiques Chaleur Explosion de Fumées (Backdraft) Importante Répartie Sons Assourdis Nets Structures Fenêtres noircies, très chaudes Murs et volets chauds Vibration des portes, baies Type de feu Couvant Vif Risques Blast Effondrement Embrasement Généralisé Éclair (Flash-Over) Importante et écrasante Provient du haut du volume Ouvertures importantes alimentant le foyer en air frais Brûlures Propagation 43
44 Comparaison des phénomènes L embrasement généralisé éclair apparaît dans la phase de croissance du feu. C est le moment où le feu se généralise. L explosion de fumées peut-être plus insidieuse et survenir aussi bien en phase de croissance qu en phase de déclin. L attention des intervenants est alors relâchée ce qui rend cette phase d autant plus délicate et dangereuse. La plus grande vigilance reste requise pendant toute la durée de l intervention. 44
45 FIN Crédit Photographique et vidéo Illustrations GNR accidents thermiques - BSPP Conception et réalisation du diaporama Sgt OBERDORFF Centre de Secours de Puy-L'évêque version
L École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I
L École nationale des pompiers du Québec Dans le cadre de son programme de formation Pompier I QUATRIÈME ÉDITION MANUEL DE LUTTE CONTRE L INCENDIE EXPOSÉ DU PROGRAMME D ÉTUDES POMPIER 1 SUJET 4 Énergie
Plus en détailVEILLE RÉGLEMENTAIRE Sécurité des personnes Fiche VRE.30
VEILLE RÉGLEMENTAIRE Sécurité des personnes Fiche VRE.30 Incendie Code du Travail R4216-1 à R4216-7 ; R4216-11 à R4216-34 Code du Travail R4225-8 Code du Travail R4227-34 à R4227-36 Code du Travail R4227-1
Plus en détailLa sécurité physique et environnementale
I. Qu est ce que la sécurité physique? "Il ne sert à rien de dresser une ligne Maginot logique si n'importe qui peut entrer dans la salle serveurs par la fenêtre " (Christian Pollefoort, consultant en
Plus en détailPhénomènes dangereux et modélisation des effets
Phénomènes dangereux et modélisation des effets B. TRUCHOT Responsable de l unité Dispersion Incendie Expérimentations et Modélisations Phénomènes dangereux Description et modélisation des phénomènes BLEVE
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailExtinction. Choisissez votre système d extinction. Qu'est-ce qu'un système d extinction? Les principes du feu
Extinction Choisissez votre système d extinction Qu'est-ce qu'un système d extinction? Dans un système de protection incendie, il ne suffit pas de détecter et de mettre en sécurité. Il est souvent nécessaire
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détailLe Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés S.D.I.
Le Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés Le Code du Travail R 232-1-13: La signalisation relative à la sécurité et à la santé au travail doit être conforme à des modalités déterminés par
Plus en détail«Grâce à BELFOR, la fuite a été immédiatement localisée. Des résultats certifiés. et le dégât des eaux évité» Des prestations associées
INSTALLATIONS TECHNIQUES DANS LA MAISON Conduites d eau froide et d eau chaude Conduites de chauffage/ chauffage au sol Conduites d eaux usées Inspection de cavités Problèmes de condensation Moisissure
Plus en détailCONSIGNES DE COMPORTEMENT EN CAS D URGENCE : COMMUNES DU HAUT PLATEAU
CONSIGNES DE COMPORTEMENT EN CAS D URGENCE : COMMUNES DU HAUT PLATEAU V.2011 Incendie Classes de feu : CLASSE A CLASSE B CLASSE C CLASSE D CLASSE F Signalétique Dénomination Feux de matériaux solides Feux
Plus en détailLE FIRE SAFETY ENGINEERING VU PAR LES SRI
LE FIRE SAFETY ENGINEERING VU PAR LES SRI JOURNEE DU 21.10.2008 Partie 1 : Actions thermiques 1/ 51 REPARTITION DES SRI EN BELGIQUE. SERVICES X SERVICES Y SERVICES Z SERVICES C Bruxelles. Wavre. Braine-Le-
Plus en détailAvertisseur de monoxyde de carbone
Page 1 sur 5 http://www.msss.gouv.qc.ca/sujets/santepub/environnement/index.php?avertisseur Santé environnementale > Environnement intérieur > Monoxyde de carbone > Avertisseur Avertisseur de monoxyde
Plus en détailQuels travaux confier à un professionnel?
CONSEILS AUX PARTICULIERS Travaux dangereux dans votre logement Quels travaux confier à un professionnel? Vous voulez réaliser des travaux chez vous, attention, certains présentent des risques importants!
Plus en détailPrévention et sécurité dans les établissements hospitaliers et assimilés
Prévention et sécurité dans les établissements hospitaliers et assimilés Aide-mémoire Edition juin 2005 [Table des matières] Page 1 Généralités 1 2 Les mesures constructives 1 3 Les installations techniques
Plus en détailPhoto tirée du site www.swissfire.ch
Danger incendie Photo tirée du site www.swissfire.ch Introduction Tout bâtiment ou construction est vulnérable au feu, il importe donc que des mesures et des dispositions préventives soient mises en œuvre
Plus en détailSIMPLEMENT INTELLIGENT
SIMPLEMENT INTELLIGENT SIMPLEMENT INTELLIGENT Intelli Vida offre des solutions intégrées et abordables qui permettent de contrôler tous les systèmes de votre maison gestion de l énergie, de la sécurité
Plus en détailVade-mecum Règles Pratiques
Vade-mecum Règles Pratiques En matière de sécurité incendie conformément à la réglementation belge Arrêté royal (normes de base 994-997 - 2003-2007 - 2009) Et nouvelles annexes, 2, 3, 4 et 6 approuvées
Plus en détailRAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE
RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 RAISON SOCIALE JOHNSONDIVERSEY FICHE DE DONNEES DE SECURITE RISQUES SPECIFIQUES NON CLASSE 1 IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE - NOM DU PRODUIT RAID PIEGES ANTI-FOURMIS
Plus en détailmode d emploi PROTÉGEZ LA VIE DE CEUX QUE VOUS AIMEZ 18 Sapeurs-Pompiers 15 Samu 112 N d urgence européen d urgence gratuits
PROTÉGEZ LA VIE E CEUX QUE VOUS AIMEZ mode d emploi 18 Z Z Z 18 Sapeurs-Pompiers 15 Samu 112 N d urgence européen Les numéros d urgence gratuits Cette brochure peut vous sauver la vie, ne la jetez pas,
Plus en détailRETOUR D EXPERIENCE. Exercice Départemental DAREGAL 2012 Milly la forêt DESCRIPTION DE L EXERCICE
Exercice Départemental DAREGAL 22 - SAP - RETEX EXER DESCRIPTION DE L EXERCICE HISTORIQUE Date : 20 janvier 22 Heure de début: 14h00 Heure de fin : 16h30 LIEU Adresse : D 948, OBJECTIFS DE L EXERCICE Pour
Plus en détailChoisir et utiliser un détecteur de gaz pour le travail en espace clos.
entreposage Choisir et utiliser un détecteur de gaz pour le travail en espace clos. Un détecteur de gaz contribue à déterminer les mesures de prévention et l équipement de protection nécessaires dans le
Plus en détailKen Bell s Sommaire des Abréviations
Ken Bell s Sommaire des Abréviations AUG: CSAM: DSA: PUI: RCP: RIA: SCR: Arrêt Urgence Général CERN Safety Alarm Monitoring Défibrillateur Semi-Automatique Plan Urgence D Intervention Réanimation Cardio-Pulmonaire
Plus en détailAvertisseur de monoxyde de carbone
Avertisseur de monoxyde de carbone À quoi sert l avertisseur de monoxyde de carbone? L avertisseur de monoxyde de carbone est un petit appareil conçu pour mesurer, sur une base continue, la concentration
Plus en détailalarme incendie (feu non maîtrisable)
INCIDENT N 1 alarme incendie (feu non maîtrisable) Vérification des matériels et systèmes de à disposition au - système de détection incendie (test lampe, signal sonore) - centrale d alarme intrusion(état
Plus en détailTravaux en cours. Diaporama réalisé par Thierry MARBEHAN Avec la collaboration de la société SIEMENS CERBERUS
Travaux en cours Diaporama réalisé par Thierry MARBEHAN Avec la collaboration de la société SIEMENS CERBERUS Triangle du feu Que ce soit un feu controlé ou un incendie, la combustion est une réaction chimique
Plus en détail1 222 rue de l Université 75343 PARIS 07 téléphone 01 56 61 71 01
Questionnaire sur les conditions générales d accueil et de conservation d œuvres dans le cadre d un prêt Institution : Adresse : Téléphone /Fax : Email : Date : Questionnaire rempli par (nom et qualité)
Plus en détailPOUR LE MONTAGE ET L'EXPLOITATION DE TENTES ET STRUCTURES PNEUMATIQUES PROVISOIRES
RESUME DES EXIGENCES EN MATIERE DE PREVENTION DES INCENDIES POUR LE MONTAGE ET L'EXPLOITATION DE TENTES ET STRUCTURES PNEUMATIQUES PROVISOIRES 1. Base Les prescriptions de protection incendie AEAI sont
Plus en détailLa fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer?
La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer? L effet de la fonte des glaces sur la variation du niveau de la mer est parfois source d erreur et de confusion. Certains prétendent qu elle est
Plus en détailen Appartement Besoins, Choix du Système, Coûts...
Le Chauffage Individuel en Appartement Besoins, Choix du Système, Coûts... www.ale-lyon.org >> Quel est le meilleur système de chauffage chez moi? Il n y a pas de réponse unique, chaque logement et chaque
Plus en détailMEMENTO SECURITE INCENDIE
ETABLISSEMENT MEMENTO SECURITE INCENDIE La commission de sécurité vous a prescrit la réalisation d un mémento sécurité Ce document est un modèle pour tout type d établissements en dehors des U et J Il
Plus en détailTOP 1 ARI ET INVESTIGATION. ARI et investigation
ARI ET INVESTIGATION Le binôme. 2 Sommaire Rôle du binôme (grand volume). Rôle de l équipier. Rôle du chef d équipe. La progression du binôme. 3 Rôle du binôme (grand volume) RAPPEL : 1 binôme = 1 mission
Plus en détailLE CHAUFFAGE. Peu d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. Pas d entretien. Pas d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien.
LE CHAUFFAGE 1. LE CHAUFFAGE ELECTRIQUE Le chauffage électrique direct ne devrait être utilisé que dans les locaux dont l isolation thermique est particulièrement efficace. En effet il faut savoir que
Plus en détailLA GAMME DÉTECTEUR AVERTISSEUR AUTONOME DE FUMÉE DÉTECTEUR AVERTISSEUR AUTONOME DE FUMÉE DÉTECTEUR AVERTISSEUR AUTONOME DE FUMÉE
LA GAMME Détecteurs spécifiques Détecteurs de monoxyde Détecteurs de fumée DÉTECTEUR AVERTISSEUR AUTONOME DE FUMÉE Thermoptek ST-625-FRT DÉTECTEUR AVERTISSEUR AUTONOME DE FUMÉE Interconnectable sans fil
Plus en détailPOLITIQUE EN MATIERE DE SANTE SECURITE AU TRAVAIL (SST)
POLITIQUE EN MATIERE DE SANTE SECURITE AU TRAVAIL (SST) Etapes Actions Pilote de l action Description et type de documents 1 Définition d une politique Santé Sécurité au Travail Top Management + externe
Plus en détailPartie 5 : Outils de calcul informatiques. Partie 5 : Outils de calcul informatiques 0/ 46
Partie 5 : Outils de calcul informatiques Partie 5 : Outils de calcul informatiques 0/ 46 Objectif du calcul au feu R Résistance de la structure soumise au feu R req Résistance requise pour la tenue au
Plus en détailUn avertisseur de monoxyde de carbone peut sauver des vies
Un avertisseur de monoxyde de carbone peut sauver des vies Protégezvous! Le monoxyde de carbone est un gaz toxique présent dans votre maison il peut tuer rapidement INODORE INCOLORE SANS SAVEUR Pourquoi
Plus en détailLA TRADITION ET L'EXPÉRIENCE ITALIENNES.
LA TRADITION ET L'EXPÉRIENCE ITALIENNES. Un coup d œil suffit pour reconnaître un bon café: la crème doit être de couleur noisette, être dense afin de laisser descendre lentement le sucre, et conserver
Plus en détailla climatisation automobile
Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détaili.fresh Compact NCCO Air Sanitizing System for Car / Desktop Model: WS908 USER MANUAL
i.fresh Compact NCCO Air Sanitizing System for Car / Desktop Model: WS908 USER MANUAL voitures / desktop à technologie NCCO FR Modèle: WS908 MANUEL DE L UTILISATEUR TABLE DES MATIERES Informations Importantes
Plus en détail1S9 Balances des blancs
FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S9 Balances des blancs Type d'activité Étude documentaire Notions et contenus Compétences attendues Couleurs des corps chauffés. Loi de Wien. Synthèse additive.
Plus en détailET LA DOMOTIQUE VOUS SIMPLIFIE LA VIE
ET LA DOMOTIQUE VOUS SIMPLIFIE LA VIE PILOTAGE À DISTANCE Je commande mes volets, mes éclairages, mon alarme et mon chauffage à distance PILOTAGE CHAUFFAGE Je fais des économies sur le poste chauffage
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailCarrefour ARRAS. Expertise réalisée par : Vincent Cordonnier
Carrefour ARRAS Expertise réalisée par : Vincent Cordonnier Page / 4 Site : Carrefour ARRAS Expertise Identité complète Responsable : M. Bidon Paul rue des Sachets 600 ARRAS Date d'audit : 06/05/00 Consultant
Plus en détailLes immeubles résidentiels et commerciaux disposent
LES AMÉNAGEMENTS USUELS DES IMMEUBLES Les immeubles résidentiels et commerciaux disposent normalement d installations et d aménagements relativement similaires qui répondent aux normes applicables et aux
Plus en détailSOLAIRE BALLERUP LA VILLE CONTEXTE. (Danemark) Ballerup
SOLAIRE BALLERUP (Danemark) Utiliser l énergie solaire thermique avec un système de stockage de chaleur classique à accumulation et à régulation sur une longue période est une des alternatives les plus
Plus en détailUnion des Métiers et des Industries de l Hôtellerie. Le règlement de Sécurité contre les risques d incendie. ERP et IGH de Type O
Union des Métiers et des Industries de l Hôtellerie JURIDIQUE Date : 31/01/2012 N : 04.12 Le règlement de Sécurité contre les risques d incendie ERP et IGH de Type O L arrêté du 25 octobre 2011 portant
Plus en détaill entretien des chaudières
Préservez et améliorez les performances de votre installation de chauffage : l entretien des chaudières L H A B I T A T I N D I V I D U E L pour un chauffage sûr et efficace Votre logement est équipé d
Plus en détailContrôle thermographique Tarifs et prestations :
20 rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN technimursdeveloppement@gmail.com Tél : 02.54.98.50.15 Mr et Mme DUPONT 20 Rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN Contrôle thermographique Tarifs et prestations : Habitations
Plus en détailEtablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil
Notice de sécurité Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil Cette notice a été établie à l'attention des exploitants d Etablissements Recevant du Public (ERP), afin
Plus en détailCEP-CICAT 5 Février 2015. Lieutenant Jean-marc BRUCKERT - Service Prévention
CEP-CICAT 5 Février 2015 Lieutenant Jean-marc BRUCKERT - Service Prévention EVACUER EN TOUTE SECURITE ESPACES D ATTENTE SECURISES SOLUTIONS EQUIVALENTES CAS D EXONERATION ERP CODE DU TRAVAIL IGH Introduction
Plus en détailSéquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière
Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices
Plus en détailPARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE
de en Martinik NOTICE HYGIENE ET SECURITE BUREAU VERITAS ASEM Dossier n 6078462 Révision 2 Octobre 2014 Page 1 de en Martinik SOMMAIRE 1. INTRODUCTION... 3 1.1 OBJET DE LA NOTICE... 3 1.2 CADRE REGLEMENTAIRE...
Plus en détailProfitez au mieux de votre logement économe en énergie. Bâtiment basse consommation. Ce qu il faut savoir et comment vous adapter
CONSEILS AUX PARTICULIERS Bâtiment basse consommation Profitez au mieux de votre logement économe en énergie Ce qu il faut savoir et comment vous adapter Que vous apporte un bâtiment économe en énergie?
Plus en détailtravaux de peinture pose de papier peint
travaux de peinture pose de papier peint conseils pratiques les thématiques les thématiques les thématiques l VOUS DEVEZ REALISER DES TRAVAUX DE PEINTURE ET DE PAPIER PEINT BESOIN DE CONSEILS ET D INFORMATION?
Plus en détailLes bases de l étalonnage avec Adobe Premiere Pro Formation de Duduf http://www.duduf.training
Les bases de l étalonnage Formation de Duduf http://www.duduf.training I - Régler les contrastes Luminosité, niveaux, gamma... Forme d onde Y/C, Correcteur de luminance II - Régler la saturation Vivacité
Plus en détailComment voit-on les objets qui nous entourent? À la découverte de la lumière. Cécile de Hosson, avec la collaboration de Véronique Delaye
CCOLLEGE YCLE 3 CCYCLE 3 OLLEGE Comment voit-on les objets qui nous entourent? À la découverte de la lumière Cécile de Hosson, avec la collaboration de Véronique Delaye Éditions Le Pommier, 2009 Objectifs
Plus en détailLe chauffe-eau à pompe à chaleur: fiche technique à l intention des installateurs
Le chauffe-eau à pompe à chaleur: fiche technique à l intention des installateurs 1. Bases 1.1. Fonctionnement du chauffe-eau à pompe à chaleur (CEPAC) Comme son nom l indique, un chauffe-eau pompe à chaleur
Plus en détailCafés, hôtels et restaurants Confort & gestion de l énergie
** * Chauffage, climatisation, ECS, GTC Cafés, hôtels et restaurants Confort & gestion de l énergie économie créateur d energie, de solutions confort innovantes et simplicité d utilisation 1 / Cafés, hôtels
Plus en détailChauffe-eau électrique Chaffoteaux
Chauffe-eau électrique Chaffoteaux Guide de montage Difficulté : Durée de l intervention : 1h30 à 2h00 Besoin d informations? Contactez-nous au 01 47 55 74 26 ou par email à Sommaire Introduction... 2
Plus en détailTEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE
TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : Etre autonome S'impliquer Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité Compétence(s)
Plus en détailNotice de pose NOTICE DE POSE 1-2. 1. Fond: 2. IMPORTANT:
Panneaux de terrasse TimberStar Notice de pose NOTICE DE POSE 1-2 Veuillez lire l intégralité de la notice de pose avant de commencer le montage! Les panneaux de terrasse TimberStar peuvent être sciés,
Plus en détail2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).
SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,
Plus en détailQuels sont les leviers efficaces pour réduire le risque d incendie, limiter ses conséquences et optimiser la tarification assurance?
Quels sont les leviers efficaces pour réduire le risque d incendie, limiter ses conséquences et optimiser la tarification assurance? En matière d'incendie, les moyens de prévention réelle et de protection
Plus en détailRéussir son installation domotique et multimédia
La maison communicante Réussir son installation domotique et multimédia François-Xavier Jeuland Avec la contribution de Olivier Salvatori 2 e édition Groupe Eyrolles, 2005, 2008, ISBN : 978-2-212-12153-7
Plus en détailGuide. Prévention Habitat. libea.fr
libea.fr Guide Prévention Habitat libea.fr LIBEA - Société anonyme au capital de 0 000 000 - Entreprise régie par le code des assurances - Siège social : Cours du Triangle - 0 rue de Valmy - 9800 Puteaux
Plus en détailListe et caractéristiques des équipements et matériaux éligibles au CITE
À jour au 1 er janvier 2015 Liste et caractéristiques des équipements et matériaux éligibles au CITE Nature des dépenses Matériaux d isolation thermique des parois vitrées Matériaux d isolation thermique
Plus en détailMC1-F www.primo-elektro.be
NOTICE D UTILISATION CAFETIÈRE MUG ISOTHERME www.primo-elektro.be WWW.PRIMO-ELEKTRO.BE 2 WWW.PRIMO-ELEKTRO.BE Lisez toutes les instructions Conservez-les pour consultation ultérieure 1. CONDITIONS DE GARANTIE
Plus en détailRéduction de la pollution d un moteur diesel
AUBERT Maxime SUP B Professeur accompagnateur : DELOFFRE Maximilien SUP B Mr Françcois BOIS PAGES Simon SUP E Groupe n Réduction de la pollution d un moteur diesel Introduction L Allemand Rudolf Diesel
Plus en détailGaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes. à l habitation et aux déplacements d
Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes à l habitation et aux déplacements d des ménagesm Exemple d un ménage de 3 personnes habitant un logement de 100m² à Lille Métropole Mars
Plus en détailL escalier extérieur, le jardin et le balcon
L escalier extérieur, le jardin et le balcon Les marches Glissantes, irrégulières ou en pierres disjointes, les marches de l escalier extérieur représentent un risque important de chute. Entretenez l escalier
Plus en détailINSTALLER DES DETECTEURS DE FUMEE
INSTALLER DES DETECTEURS DE FUMEE POURQUOI, OU ET COMMENT? Elektrotechnisch materiaal, technische oplossingen en diensten. www.cebeo.be Matériel électrotechnique, solutions techniques et services. www.cebeo.be
Plus en détailNOTE DE SERVICE DGFAR/SDTE/SDC/N2005-5035 Date: 27 octobre 2005
MINISTERE DE L AGRICULTURE ET DE LA PECHE DIRECTION GENERALE DE LA FORET ET DES AFFAIRES RURALES Sous-direction travail et emploi Sous-direction du cheval Bureau : réglementation et de la sécurité au travail
Plus en détailService Prévention des Risques Professionnels. 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09
CAISSE RÉGIONALE D ASSURANCE MALADIE RHÔNE -ALPES Service Prévention des Risques Professionnels 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09 FT 1022 OCTOBRE
Plus en détailA. CARACTERISTIQUES TECHNIQUES.
Page : 2 A. CARACTERISTIQUES TECHNIQUES. A.1. VUE D ENSEMBLE A.2. PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT!" #! $! %&' ( ) * µ +, µ $# (& % ± -. /01)0$ ' &%(% 2 3,)/4 $ A.3. CARACTERISTIQUES MECANIQUES. PARAMETRES Valeur
Plus en détailNotice Utilisateur EKZ 0938 00A STORIA CRT 600 HF
Notice Utilisateur EKZ 0938 00A STORIA CRT 600 HF Vous venez d acquérir le système de surveillance STORIA CRT 600 HF et nous vous en remercions. Ce système est prévu pour fonctionner dans une bande de
Plus en détailSommaire. Références 138. 8 Le diagnostic gaz - Sommaire. Le diagnostic gaz - Sommaire
Sommaire Chapitre 1. Qu est-ce qu une installation gaz? 10 Généralités 11 1.1 Comment ça marche? 12 1.2 Définitions 14 1.3 Les appareils 19 Chapitre 2. Les tuyauteries fixes 28 Généralités 29 2.1 Tuyauteries
Plus en détailDossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1.
Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1 Juin 2015 NOTICE D HYGIENE ET DE SECURITE P. 2 sur 8 SOMMAIRE 1 Hygiène...
Plus en détailguide domestiques des incendies Assurer son logement, c est obligatoire et utile
12 Assurer son logement, c est obligatoire et utile Assurer son logement est une obligation légale. Si un dégât se déclare chez vous et que vous n êtes pas assuré, vous devrez supporter les frais de remise
Plus en détailAppel à Propositions. Thème : «Couplage CFD / CAA»
Appel à Propositions CORAC Feuille de route Propulsion Thème : «Couplage CFD / CAA» Référence de l Appel Titre de l appel Personne à contacter responsable de l appel à proposition (AàP) Date de début du
Plus en détailL équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015
L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 Synthèse Juin 2015 Sommaire Analyse globale 4 1. Prévision de consommation 5 2. Disponibilité du parc de production 7 3. Étude du risque
Plus en détailSECURITE INCENDIE. prévention des incendies et de la panique
prévention des incendies et de la panique E n tant qu établissement recevant du public, un musée est soumis dès sa conception aux obligations réglementaires en matière de prévention des incendies et de
Plus en détailDétecteurs de Monoxyde de Carbone avec pile de 10 ans scellée
2539-7206-01_Ajax_FR.QXP:_ 2014.12.19 12:55 PM Page 1 Détecteurs de Monoxyde de Carbone avec pile de 10 ans scellée 10LLCO 10LLDCO EN50291-1 : 2010 License No. KM98848 2539-7206-01_Ajax_FR.QXP:_ 2014.12.19
Plus en détailRepérage de l artillerie par le son.
Repérage de l artillerie par le son. Le repérage par le son permet de situer avec précision une batterie ennemie, qu elle soit ou non bien dissimulée. Le son se propage avec une vitesse sensiblement constante,
Plus en détailComment utiliser les graines de soja à la cuisine
Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Auteur : Renate Schemp Box 90612 Luanshya Zambie Traduction : SECAAR Service Chrétien d Appui à l Animation Rurale 06 BP 2037 Abidjan 06 Côte d Ivoire
Plus en détailMODE D EMPLOI DÉTECTEURS DE FUMÉE. Bien équipé, bien préparé, je suis en sécurité. MARS 2015. Obligatoire à compter du
DÉTECTEURS DE FUMÉE MODE D EMPLOI FNSPF 2014. Firethinktank.org / Photo : Sébastien Mousnier. Bien équipé, bien préparé, je suis en sécurité. Obligatoire à compter du 8 MARS 2015 LES DÉTECTEURS AUTONOMES
Plus en détailTable des matières générale 1)
1) page 1 1) 0 CLAUSES COMMUNES Chap. 1 Clauses communes à tous les lots 1/1 Définition de l opération Réglementations Lots 1/2 Spécifications communes à tous les lots 1 PLOMBERIE INSTALLATIONS SANITAIRES
Plus en détailPHYSIQUE Discipline fondamentale
Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et
Plus en détailFiche de données de sécurité
Produit 2T QUAD R BIODEGRADABLE Page 1/5 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Néant Néant Non concerné 1. IDENTIFICATION
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailBien choisir son éclairage
L habitat AGIR! Bien choisir son éclairage Meilleur pour l environnement, moins coûteux pour vous et efficace partout Édition : février 2015 sommaire glossaire introduction De la lumière sans gaspillage....
Plus en détailFormation Bâtiment Durable :
Formation Bâtiment Durable : Rénovation à haute performance énergétique: détails techniques Bruxelles Environnement LE SYSTÈME DE CHAUFFAGE ET LA PRODUCTION D EAU CHAUDE SANITAIRE François LECLERCQ et
Plus en détailBALAIS Moteur (charbons)
BALAIS Moteur (charbons) 1/ Rôle a) Pour les machines électriques comportant des bagues (alternateur moteur asynchrone) : moteur universel Les balais doivent maintenir un contact constant avec la bague
Plus en détailL ÉNERGIE C EST QUOI?
L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.
Plus en détailCONSTRUCTION. QUELLES SONT les NORmES ET LES REGLES POUR CONSTRUIRE UN BATIMENT?
CONCEption CONSTRUCTION QUELLES SONT les NORmES ET LES REGLES POUR CONSTRUIRE UN BATIMENT? quelles sont les REGLES urbaines quelles sont les REGLES DE SECURITE incendie quelles sont les REGLES D accessibilite
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détail= RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE
PAVÉS EN BETON CONCEPTION APPROPRIÉE + MISE EN OEUVRE PROFESSIONNELLE = RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE 10 règles de base pour une mise en œuvre correcte de revêtements de pavés en béton 1 2 3 4 5 6 7 8
Plus en détailCollection de photos échantillons
Collection de photos échantillons SB-800/600 Entrez dans le monde passionnant du Système d Eclairage Créatif de Nikon avec le SB-800/600. Les numéros de page se rapportent aux explications dans le manuel
Plus en détail