ABLATION THERMIQUE PAR RADIOFREQUENCE DES TUMEURS PULMONAIRES : EVALUATION DE LA SURVIE POSTTHERAPEUTIQUE. F Cornelis, J Palussière
|
|
- Stanislas Ratté
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ABLATION THERMIQUE PAR RADIOFREQUENCE DES TUMEURS PULMONAIRES : EVALUATION DE LA SURVIE POSTTHERAPEUTIQUE F Cornelis, J Palussière Institut Bergonié, Bordeaux
2 Généralités
3 Les ondes de radiofréquence (RF) L onde de RF: Onde électromagnétique Fréquence: GHz, longueur d onde: 30 cm-1 km Manifestation dans le domaine de l électricité Ablation thermique par RF: utilisation d ondes de 300 à 500 khz Elévation de la température par effet Joule: agitation/friction ionique lors du passage et de la diffusion de l énergie de l onde électromagnétique
4 Les électrodes et le générateur de RF utilisés dans cette étude Electrode déployable de type «parapluie» Type LeVeen CoAccess Electrode System (Boston Scientific ) Avec un introducteur coaxial isolé (+/- biopsie) Générateur RF 3000 (Boston Scientific ) Matériel utilisé dans l ablation par RF des lésions hépatiques, rénales, pulmonaires
5 L impédance Avec type augmente, d électrode, la l énergie puissance est délivrée déposée chute en périphérie et on obtient puis alors se concentre le Roll- Off : au niveau l ablation de la sphère thermique de chauffage est réaliséequi, au final, s homogénéise Roll-Off
6 Enjeux et contraintes de la RF au niveau pulmonaire Photograph by Moredun Animal Health Ltd/Science Photo Library Tissu pulmonaire= tissu+air+vaisseaux: Tissu= le but de la RF est de: détruire les tumeurs (obtenir une nécrose de coagulation) obtenir une marge de sécurité (+/- 1cm): surdimensionner l électrode par rapport au nodule conserver le reste du parenchyme sain Air= isolant électrique (impédance élevée) et thermique (conduction thermique faible): concentre l énergie ou «effet four» Vaisseaux= convection de la chaleur par «heat sink effect» («effet radiateur»)
7 Histologie de la nécrose de coagulation au niveau du poumon Gadaleta C et al. AJR 2004 A : Nodule avant traitement B : Même lésion après ablation par radiofréquence : Zone A : zone centrale traversée par l'aiguille-électrode Zone B : vide partiel (zones noires), probablement dû à la vaporisation et à la nécrose de coagulation, avec destruction des capillaires et «ghost phenomenon» (phénomène de fantôme : tissu apparemment intact après coagulation thermique soudaine) Zone C : secteur de nécrose de coagulation à la limite du nodule contenant des alvéoles collabées, un piégeage d air et un «ghost phenomenon» Zone D : nécrose enzymatique et destruction partielle des capillaires sanguins et lymphatiques, micro thromboses, et activation enzymatique lysosomale Zone D1 : périphérie du secteur D mélangée à la couche extérieure, contenant des microhémorragies Zone E : couche extérieure, siège d œdème, de réactions inflammatoires et d une hyperhémie B B Gadaleta C et al. AJR 2004
8 Effets secondaires immédiats 1 étude: De Baère T et al. Radiology tumeurs traitées: Aucun 36% Pneumothorax 54% Surveillance simple 52% Aspiration 26% Drainage 22% Hémorragie alvéolaire 15% (peut masquer le nodule à traiter) Complication infectieuse 10% Douleur 10% Hospitalisation : 4 jours (3-15 jours) Hémorragie Epanchement Embolie Pneumothorax gazeuse alvéolaire pleural Epanchement pleural à 48h (+ souvent si nodule à contact pleural) Hémorragie massive Vaughn C et al. Anesth Analg 2002 Embolie gazeuse systémique (2 cas rapportés) Ghaye B et al. AJR 2006
9 Effets secondaires à distance À2 Mois: Aucun 82% Pleurésie 10% Pneumothorax 5% 2 mois Epanchement pleural 3 ans Mais pas de modification significative de la fonction respiratoire sur 1 an De Baère T et al. Radiology 2006 Lencioni R et al. Lancet Oncol mois Lencioni R et al. Lancet Oncol 2008 Pneumothorax
10 Tolérance de la technique Pas de dégradation de la qualité de vie à 1 an Lencioni R et al. Lancet Oncol 2008 Lencioni R et al. Lancet Oncol 2008
11 Suivi TDM après RF: 1 exemple 2 jours 2 mois Procédure Couronne de verre dépoli: Aspect nodulaire: 4 Mois 12 Mois 18 Mois aspect post thérapeutiqueéchec? Séquelle fibreuse
12 Suivi TDM après RF: 2 exemple 2 J 4 M 6 M 9 M Image nodulaire à 4 mois de la zone 12 Md ablation post RF: aspect 18 M évolutif normal? Persistance d un aspect nodulaire à plus de 4 mois+ croissance: échec! Il faut: Connaître l évolution post thérapeutique Alternative à la TDM plus sensible (permettant une prise en charge précoce des récidives)?
13 Evolution TDM M < 2cm > 2cm 20 4 types d évolution TDM: Le nodule (problème: difficulté de faire la différence entre cicatrisation et reliquat tumoral) fibrosis nodule cavitation atelectasis 4 M < 2cm > 2cm 2M 4M 6M 9M 12M <2CM % fibrosis nodule cavitation atelectasis >2CM % M Tend à disparaître! La fibrose (résorption de la zone coagulée) < 2cm > 2cm 20 < 2cm % 2M 16 4M 34 6M 50 9M 58 12M fibrosis nodule cavitation atelectasis La cavitation L atélectasie > 2cm % Apparaît à distance: séquelle Palussière J et al. CIRSE 2006/ M fibrosis nodule cavitation atelectasis < 2cm > 2cm
14 Fibrose Evolution TDM 6 M 18 M Nodule 4 M 9 M Le suivi (clinique et TDM) des patients est essentiel! Mais il faut attendre 4 mois en TDM Cavitation Atélectasie 3 M 5 M Si doute sur un échec ou une récidive: FDG-TEP? 4 M 6 M 9 M
15 Suivi TEP La FDG-PET est plus sensible que la TDM pour diagnostiquer une récidive locale (nodulaire) Akeboshi M et al. JVIR 2004 Kang S et al. WJ Surg Onc 2004 Mais mauvaise résolution spatiale (étude des nodules et/ou reliquats >1cm) Gillams A et al. Eur Radiol 2008 Non spécifique: reliquat ou cicatrisation inflammatoire en Zone Nodule périphérie du nodule traité? ablation Nécessité de surveiller parfois pendant 3 mois pour affirmer la présence ou non d un reliquat tumoral Avant Des études RF sont 1 en Mois cours après pour RFévaluer 3 Mois cette après RF technique par rapport Fixation àanormale? la TDM Normal
16 Pronostic et dépistage Facteurs de bon pronostic: Taille du nodule traité <2cm (marge de sécurité >1cm) Situation périphérique (nodule cerclé d air) Pas de vaisseaux de diamètre >3mm àproximité (moins de convection) Modalités de dépistage: TDM: Etude de la modification de la taille, de la forme et du rehaussement FDG-TEP Gillams A et al. Eur Radiol 2008 De Baère T et al. Radiology 2006
17 L ablation thermique par RF au niveau pulmonaire Traitement peu invasif Maintien de la fonction respiratoire Peu de contre-indications Mais nécessité de marge saine (1cm minimum) et d un suivi strict Efficacité reconnue pour les tumeurs de moins de 3 cm De Baère T et al. Radiology 2006 Akeboshi M et al. JVIR 2004 Steinke K et al. Br J Radiol 2003 Steinke K et al. J Surg Res 2003
18 Buts de l étude Evaluer l ablation thermique par RF par rapport au gold standard (chirurgie, radiothérapie) en terme de survie Etudier en sous groupe la survie des patients traités par RF Discuter les complications retrouvées
19 Matériels et méthodes
20 Population 145 patients suivis à l Institut Bergonié, Bordeaux, France 92 hommes et 53 femmes Age moyen de 63 ans, écart-type de 13 ans (18 à 85 ans) Patients inclus de 2002 à Août 2006
21 Caractéristiques de la population traitée Accord en réunions de concertation pluridisciplinaire de cancérologie Histoire clinique et/ou une biopsie en faveur de lésions malignes Non opérables soit par contre indication chirurgicale soit par refus: maladie trop évoluée localement une altération de l état général un âge physiologique supérieur à 80 ans un indice de Karnofsky inférieur à 50% une insuffisance coronarienne instable un VEMS < 1 litre ou inférieur à un tiers de la valeur théorique prévisible en postopératoire Le nombre des lésions pulmonaires était inférieur à 5 dont pas plus de 2 supérieur à 30 mm L espérance de vie était estimée à au moins 6 mois Pas de contre indications à l anesthésie générale Taux de prothrombine (TP) > 70% ; temps de céphaline kaolin (TCK) < 1,5 x témoin et taux de plaquettes > /mm3 Age supérieur à 18 ans
22 Nombre et taille des nodules 264 nodules pour 145 patients 75,2% des patients présentaient 1 ou 2 nodules Plus grand diamètre: de 4 mm à 5 cm Médiane: 1,2 cm (écart-type de ± 0,964 centimètres) 23 étaient des masses (plus grand diamètre >3 cm) 241 étaient inférieurs ou égaux à 3 centimètres de plus grand diamètre
23 Histologie des nodules Effectifs Pourcentage Pourcentage cumulé Primitif 31 21,4 21,7 Métastase ,2 100,0 Total ,0
24 Histologie des métastases 78,6 100,0 114 Total 7,6 100,0 9,6 11 Autre 0,7 90,4 0,9 1 TNE 12,4 89,5 15,8 18 Sarcome 1,4 73,7 1,8 2 Mélanome 3,4 71,9 4,4 5 Thyroïde 1,4 67,5 1,8 2 Ovaire 4,1 65,8 5,3 6 Sein 15,9 60,5 20,2 23 Rein 1,4 40,4 1,8 2 Pancréas 11,7 38,6 14,9 17 Rectum 18,6 23,7 23,7 27 Colon Pourcentage population totale Pourcentage cumulé Pourcentage Effectifs
25 Histologie des carcinomes bronchiques non à petites cellules (CBNPC) Effectifs Pourcentage Pourcentage Cumulé Pourcentage population totale Carcinome épidermoïde 11 35,5 35,5 7,6 Adénocarcinome 16 51,6 87,0 11,0 Autre 4 12,9 100,0 2,8 Total ,0 21,4 24 patients (77,4%) étaient porteurs d un CBNPC de stade IA (T1N0) ou IB (T2N0) et 7 patients (22,6%) de stade plus élevé
26 Avant la procédure Bilan préthérapeutique: Imagerie: TDM, IRM, TEP Biologie: TP-INR, TCK, Plaquettes Anesthésie générale (protocole AIVOC) Biantibiothérapie parentérale Mise en place des électrodes de dispersion TDM de repérage Positionnement du patient et asepsie
27 Procédure 167 procédures (1 ou 2 temps) Mise en place de l aiguille coaxiale (+/- biopsie) Mise en place de l électrode, type LeVeen, Boston Scientific, taille variable Raccordement au générateur Algorithme de chauffage adapté Contrôle TDM aiguille en place: reconstruction MPR/ VRT pour vérifier la bonne localisation de l électrode Contrôle TDM aiguille retirée
28 L algorithme de chauffage Il varie en fonction: de la taille du nodule et donc de la taille de l électrode de la position du nodule à traiter: Nodule cerclé d air? Nodule à contact pleural? Nodule à proximité d une bronche ou d un vaisseau? Il faut adapter le protocole pour obtenir un dépôt d énergie optimal
29 L algorithme de chauffage Localisation de la tumeur Puissance (Watts) 2 Taille de l électrode de radiofréquence Entourée de parenchyme P initiale Incrément 5 W 5 10 W W 5 W / 1 à 3 minutes W Contact pleural < 50% P initiale Incrément 10 W 20 W 30 W 5 10 W / 1 à 3 minutes 40 W Contact pleural > 50% P initiale Incrément 30 W 40 W 50 W 10 W / 1 minute 60 W De Baère T et al. Radiology 2006
30 L algorithme de chauffage Dans toutes les situations, il est nécessaire: de délivrer le maximum d énergie au niveau de la tumeur pour limiter les risques d échec sans majorer les risques de complications Le chauffage est réalisé en 2 temps successifs: 1 temps dure entre 5 et 15 minutes avec une pause de 1 minute entre les deux le but étant d obtenir le Roll-Off de façon retardée (au minimum après 5 minutes) Il est essentiel de prendre son temps Et d augmenter la puissance très progressivement
31 Suivi Surveillance 48h en hospitalisation Contrôles TDM et cliniques à J2, M2, M4, M6, M9 et M12 Puis contrôle clinique tous les 6 mois En plus du suivi habituel
32 Résultats
33 Procédures Aucun décès 125 complications pour 167 procédures: Majeures: 7 pneumothorax, 4 hémorragies Modérées: 51 pneumothorax, 18 hémorragies, 2 brûlures Minimes: 57 pneumothorax, 5 épanchements Aucun séjour en réanimation Effets secondaires: douleurs, fièvre
34 Suivi Médiane de recul de la série: 23 mois avec un intervalle de confiance à 95% entre 20 et 27 mois
35 Survie globale 52 patients décédés: 47 des suites du cancer 4 de causes intercurrentes 1 de cause iatrogène 93 patients vivants: 46 sans récidives 14 en évolution pulmonaire 18 en évolution extra pulmonaire 15 en évolution pulmonaire et extra pulmonaire
36 Survie globale Survie de la population totale (méthode de Kaplan Meyer) 1,0 Probabilité 0,8 0,6 0,4 0,2 0,0 0,000 6,000 12,000 18,000 24,000 30,000 Temps en mois 36,000 42,000 48,000 54,000 60,000 Médiane de survie: 33 mois, avec un intervalle de confiance à 95% entre 22 et 44 mois Taux de survie à 1, 2, 3 et 4 ans de, respectivement, 88,1%, 65,9%, 49,4% et 40,5%
37 Survie en sous groupe Probabilité Survie des patients en fonction de l origine des nodules 1,0 Origine: 0,8 0,6 0,4 Poumon Origine poumo colore n rein ct sarcom autres es Colorectal Rein poumon-censuré colorect-censuré Sarcome rein-censuré sarcomes-censuré autres-censuré Autre 0,2 0,0 0,000 6,000 12,000 18,000 24,000 30,000 36,000 42,000 48,000 54,000 60,000 Temps en mois
38 Rechute in situ Rechute in situ en fonction de la taille (2 cm) Probabilité 1,0 0,8 tailmax_p2 <=2cm >2cm,00-censuré 1,00-censuré 0,6 0,4 0,2 0,0 0,00 6,00 12,00 18,00 24,00 Temps en mois Nodules <2cm: 6 patients sur 83 (7,2%) ont rechuté Survie sans rechute in situ: 95,7% à 1 an, 88,3% à 2, 3 et 4 ans Nodules >2cm: 12 patients sur 62 (19,4%) Survie sans rechute 86,2% à 1 an et de 75,6% à 2, 3 et 4 ans Différence significative entre ces deux groupes (p=0,018) 30,00 36,00 42,00 48,00
39 Discussion
40 Complications 15% à 76% des procédures: 74,9% dans étude (aucun séjour en réanimation) Pneumothorax: 30 à 55% cas, rarement important (5%), [De Baere et al. Radiology 2004] 68.9% (115) dans étude car: Utilisation d aiguille déployable Prise de risque, plusieurs localisations Traitement: abstention, aspiration à la seringue, drainage (48) par Pleurocath Durée moyenne d hospitalisation: 4 jours Souvent recherché pour les nodules à contact pleural: facilite la procédure et le chauffage (nodule cerclé d air)
41 CBNPC Stade I ou II, +/-III Abstention: global: 10% à 20% à 1 an, survie 6-8 mois Chirurgie (25% des cas): IA et IB: 67% et 57% à 5 ans IIA ou IIB: 55% et 39% Traitement par radio et/ou chimiothérapie [Mountain et al. Chest 1997]: IA et IB: 61% et 38% IIA ou IIB: 34% et 24% RF: 82,9%, 68,3%, 56,9% et 56,9% à 1 an, 2 ans, 3 ans et 4 ans, dont 24 patients (77,4%) de stade IA (T1N0) ou IB (T2N0) et 7 patients (22,6%) de stade plus élevé Stade I: 78%, 57%, 36%, 27%, et 27% à 1, 2, 3, 4, et 5 années [Simon et al. Radiology 2007]
42 CBNPC Tumeur T1 Tumeur N2 M1 T1 (os): N0 chimiothérapie, M0, contre-indications radiothérapie chirurgicales: médiastinale RF seule et RF pulmonaire 3 indications: RF seule: T1 ou T2, N0, contre-indications chirurgicales, non opérables, curative RF+Radio/Chimio: stade III IV? RF si échec/récidive après Radiothérapie
43 Métastases des carcinomes colorectaux Chirurgie: 54.4%, 41.1% et 18% à 3, 5 et 10 ans, médiane de 26.8 mois ± 20.4 mois RF: 90,8%, 71,8%, 49,7% et 49,7% à 1, 2, 3 et 4 ans, médiane: 28 mois 96%, 54% et 48% à à 1, 2 et 3 ans [Hiraki et al. J Vasc Interv Radiol 2007] 85%, 64% et 46% à 1, 2 et 3 ans, médiane: 33 mois [Yan et al. Ann Surg Onc 2006] 78% à 1 an [Steinke et al. Ann Surg Onc 2004] 78%, 78%, 57%, 57%, et 57%, à 1, 2, 3, 4 et 5 ans [Simon et al. Radiology 2007] RF= alternative à la chirurgie? Mais pas d étude comparative Et population différente à l heure actuelle (biais de sélection)
44 Métastases des carcinomes rénaux Abstention: 0% à 18% et survie moyenne de 10 mois Chirurgie: 36 à 54% à 5 ans, survie médiane de 39.2 mois Immunothérapie: 16% à 5 ans, médiane 20 mois RF: 91,3%, 81,3%, 56,3% et 32,9% à 1, 2, 3 et 4 ans, médiane: 33 mois Problème des rechutes/extensions médiastinales: intérêt de la FDG-TEP: évaluation médiastinale pré/post thérapeutique association RF (locale: tumeur) +radiothérapie (régionale: médiastin)?
45 Métastases de sarcomes des tissus mous Chirurgie: globalement 35% à 5 ans Récidives fréquentes: 45% à 83%, 24% à 5 ans sans rechute [Casson et al. Cancer 1992] RF: 88,5%, 65,6%, 65,6% et 65,6% à 1, 2, 3 et 4 ans Nombreuses rechutes: RF bonne alternative à la chirurgie (conservation de la fonction respiratoire) Si évolution de la maladie relativement lente 9M 30M 1 RF 18M 2 RF
46 Limites de la RF Taux d échec de 7% par tumeur et de 12% par patient à 18 mois [De Baere et al. Radiology 2004] Etude: 12,4% rechute in situ (18 patients), 6,8% par nodule traité Pas de preuve anatomo-pathologique postthérapeutique (marge saine?) Cependant, chirurgie: 8-14% d échec [Intl Registry of Lung Metastases. J Th CV Surg 1997] Marge de sécurité trop faible? Fonction de la taille du nodule et de l électrode: nécessité de surdimensionner Fonction de la localisation (contact pariétal, vaisseaux): protocole de chauffage adapté+ pneumothorax volontaire?
47 Limites de l étude Un seul facteur pronostique: Taille inférieure à 2 cm (p=0.018) Rôle des RCP= population homogène Interaction possible des différents traitements
48 Conclusion
49 Conclusion RF= traitement de référence (radiothérapie) lors de contre-indications chirurgicales/ non opérables RF: moins de complications, moins de morbidités, rapides, coût moindre Limite: traitement exclusivement local, importance du bilan d extension (TEP), suivi strict à vie (TDM +/-TEP) Donc: RF complémentaire de la chirurgie et de la radiothérapie Nécessité d études de phase II et randomisées Traitement de choix des rechutes (après chirurgie et/ou radiothérapie)?
Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires. J. Palussière, X. Buy Département imagerie
Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires J. Palussière, X. Buy Département imagerie Radiofréquence Interac*on courant électro- magné*que ma*ère agita*on ionique chaleur Coagula*on Nécrose
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailLes différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détailLa nouvelle classification TNM en pratique
La nouvelle classification TNM en pratique Thierry Berghmans Département des Soins Intensifs et Oncologie Thoracique Institut Jules Bordet Bruxelles, Belgique Bases historiques 1946 : Denoix invente le
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailMétastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési
Métastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési Deux grandes questions Cette modalité de présentation, requiert elle une prise en charge
Plus en détailCORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE
CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailPatho Med Cours 5. Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme
Patho Med Cours 5 Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme BPCO: B: Broncho ( Bronche) P: Pneumopathie C: Chronique O: Obstructive Asthme Maladies avec des spasmes bronchiques Maladies avec des spasmes
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailEssai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR
CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailCancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.
Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailClassi cation TNM du cancer bronchique
Revue des Maladies Respiratoires Actualités (2014) 6, 388-394 Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com Classi cation TNM du cancer bronchique TNM classi cation for the lung cancer J.-P. Sculier Service
Plus en détailPemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var
Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000
Plus en détailPeut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant
Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie
Plus en détailCoordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA. Doctorant: Camelia MICU (DEMETRIAN)
UNIVERSITÉ DE MÉDECINE ET PHARMACIE DE CRAIOVA FACULTÉ DE MÉDECINE CONTRIBUTIONS A L'ÉTUDE CLINIQUE ET MORPHOLOGIQUE DES CANCERS DU POUMON Coordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA Doctorant:
Plus en détailCancer et dyspnée: comment peut-on soulager? Dr Lise Tremblay 10 mai 2010
Cancer et dyspnée: comment peut-on soulager? Dr Lise Tremblay 10 mai 2010 Objectifs Comprendre la physiopathologie de la dyspnée Connaître les traitements disponibles pour soulager la dyspnée Définir la
Plus en détailTRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES. Paul Legmann Radiologie A Pôle Imagerie
TRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES Paul Legmann Radiologie A Pôle Imagerie TRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES Carcinome hépato-cellulaire : Sans traitement : survie à 5 ans < à 5 % (CHC sur cirrhose) Traitement
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailCompte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique
Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique À partir de la Vème année Médecine Générale et notamment pour les médecins anatomopathologues ANATOMIE PATHOLOGIQUE Hôpital du Bon Secours
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailMarchés des groupes à affinités
Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime
Plus en détailIntérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire
Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire T. Mognetti et F. Giammarile Introduction La TEP-FDG (Tomographie par Émission de Positons après injection de 18 F- Fluoro-2-Déoxy-Glucose) est un des
Plus en détailG U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie
G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailUE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire
UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP
Plus en détailQuels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?
Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détail.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!
!"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*
Plus en détailMédecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride
Médecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride Benjamin GEISSLER Centre d d Imagerie Nucléaire St-Etienne, Roanne, Le Puy en Velay 1967 2007 Principes Spécialit cialité médicale (1950) Radiologie Radiothérapie
Plus en détailLes traitements du cancer du rein
MARS 2013 Les traitements du cancer du rein COLLECTION GUIDES PATIENTS LES REINS LE CHOIX DES TRAITEMENTS LA CHIRURGIE LES MÉDICAMENTS ANTICANCÉREUX LES PROFESSIONNELS LA VIE QUOTIDIENNE www.e-cancer.fr
Plus en détailTransplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin
Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailF-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France
18F-fluorodéoxyglucose en oncologie. Expérience en Ile de France. 18 F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France H. FOEHRENBACH 1, J. LUMBROSO 2 1 Service Médecine Nucléaire, Hôpital
Plus en détailDéfinitions. MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe. PROTECTION MULTIPLE pour enfant
Définitions MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe PROTECTION MULTIPLE pour enfant Voici les définitions des maladies graves et non critiques que vous pouvez retrouver dans les garanties
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailCancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005)
Cancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005) Pré-Requis : Anatomie du larynx Physiologie de la phonation et de la déglutition
Plus en détailMONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE. Dary Croft 9 mai 2013
MONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE Dary Croft 9 mai 2013 Plan Épidémiologie en chir. non-cardiaque Aspects techniques de l ECG Rappel critères ECG de l'ischémie Principe de monitoring per-op
Plus en détailiuropaisches Patentamt iuropean Patent Office )ffice européen des brevets y Numéro de publication: J 4Z/ bjj Al S) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN
iuropaisches Patentamt iuropean Patent Office )ffice européen des brevets y Numéro de publication: J 4Z/ bjj Al S) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN jj) Numéro de dépôt: 90403174.7 Int. Cl.5: A61 K 37/66 g) Date
Plus en détailPrise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie
Prise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie Congrès de la SFO Mai 2011 M. Le Loir (Brest), E. Mancel (Nouméa), L.W. Hirst (Brisbane) Dysplasie
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailIntroduction. Lésion pulmonaire dite suspecte en l absence l nignité:
Comparaison entre scanner et morphotep dans l él évaluation du stade TNM d une d lésion l pulmonaire suspecte S Ciprian-Corby (1), L Meyer-Bisch (1), MA Muller (2), P Olivier (2), A Bertrand (2), D Régent
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailCe n de «La Revue de Respir» est publié en partenariat avec HOLYVAC
Mars 2008 ; N 12 ACTUALITE DE RESPIR.COM Activités et chiffres clés EDITO Les statines : un nouveau traitement pour les BPCO? Pr. A. TAYTARD - Pneumologie - CHU Bordeaux ARTICLE COMMENTE Grigoriou BD,
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailNotions de base Gestion du patient au bloc opératoire
Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire Vieillissement de la population Augmentation du nombre de patients porteurs de stimulateurs cardiaques et défibrillateurs implantables Augmentation
Plus en détailLe cancer dans le canton de Fribourg
Le cancer dans le canton de Fribourg Le cancer du poumon dans le canton de Fribourg, analyses statistiques réalisées sur la base des données récoltées par le Registre fribourgeois des tumeurs depuis début
Plus en détailLes soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailSecond cancers après cancer du sein. M. Espié Centre des maladies du sein
Second cancers après cancer du sein M. Espié Centre des maladies du sein Second cancer après cancer du sein 376 825 pa=entes diagnos=quées entre 1943 et 2002 ayant au moins survécu un an en Scandinavie
Plus en détailCancer broncho-pulmonaire du sujet âgé. Mathilde Gisselbrecht Capacité de gériatrie- Février 2009
Cancer broncho-pulmonaire du sujet âgé Mathilde Gisselbrecht Capacité de gériatrie- Février 2009 Généralités Cancer bronchique primitif = cancer le plus fréquent en incidence dans le monde Incidence en
Plus en détailDe la chirurgie du nodule aux ganglions
De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détail1 of 5 02/11/2012 14:03
1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça
Plus en détailCancer de l œsophage. Comprendre le diagnostic
Cancer de l œsophage Comprendre le diagnostic Cancer de l œsophage Comprendre le diagnostic Lorsqu on lui annonce qu elle a un cancer, une personne peut se sentir seule, avoir peur et être dépassée par
Plus en détailDéveloppement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel
Développement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel E. de Kerviler, C. de Bazelaire, P. Coulon*, S. Gotman**, J Yanof***, C. Bauer***J. Sapir**. Service de Radiologie,
Plus en détailCOMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES
COMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES Approximativement, un tiers de tous les décès dus au cancer sont en relation avec
Plus en détailChimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules. Dr Aloulou Samir Médenine le 13 Juin 2015
Chimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules Dr Aloulou Samir Médenine le 13 Juin 2015 Cas clinique Mr A.S agé de 55 ans grand tabagique consulte aux urgences pour céphalées évoluant depuis
Plus en détailÉpidémiologie des maladies interstitielles diffuses
Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses 3 à 5/100 000 habitants Augmente avec l age 175 /100 000 >70 ans Notre file active toutes les maladies interstitielles confondues plus de 120 patients
Plus en détailRÉSUMÉ ABSTRACT. chirurgie thoracique
Évolution de la prise en charge chirurgicale des cancers pulmonaires en France : lobectomie mini-invasive versus lobectomie par thoracotomie d après la base de données nationale Epithor Sophie Guinard,
Plus en détailLes traitements du cancer invasif du col de l utérus
JUIN 2011 Les traitements du cancer invasif du col de l utérus Nom du chapitre COLLECTION GUIDES PATIENTS LE COL DE L UTÉRUS LE CHOIX DES TRAITEMENTS LA CHIRURGIE LA RADIOTHÉRAPIE LA CHIMIOTHÉRAPIE LES
Plus en détailVolume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques
2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailBIOPSIE de MOELLE OSSEUSE
BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE Le prélèvement de moelle osseuse? La moelle osseuse, tissu hématopoïétique situé dans la cavité centrale des os, peut être prélevée de deux façons : -par ponction sternale -par
Plus en détailDon de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé
Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison
Plus en détailContrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques
Contrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques B. Dureuil, PG. Yavordios, A. Steib Collège Français des Anesthésistes Réanimateurs (Absence de conflits d intérêts sur le sujet)
Plus en détailCharte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco
Réseau Régional de Cancérologie ONCOPACA-Corse Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco 1. CONTEXTE ET OBJECTIF Contexte : Cette présente charte a été définie
Plus en détailINFORMATION & PRÉVENTION. Le cancer de la vessie
INFORMATION & PRÉVENTION Le cancer de la vessie G R A N D P U B L I C Ce à quoi sert la vessie La vessie est une poche qui reçoit l urine produite par les reins, via les uretères*. Elle est constituée
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailAnnick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302
Communiqué de presse Relations avec les médias : Annick Robinson Dominique Quirion Merck NATIONAL Annick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302 Relations avec les investisseurs
Plus en détailL ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS
L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE Vincent de PARADES PARIS INTRODUCTION L incontinence anale du post-partum partum relève de deux mécanismes : la déchirure de l
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailGUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE. Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique. Cancer du sein
GUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique Cancer du sein Janvier 2010 Ce document s inscrit dans un double dispositif : La mise en œuvre de
Plus en détailTumeurs cutanées épithéliales et mélaniques
Examen National Classant Module transdisciplinaire 10 : Cancérologie, onco-hématologie Tumeurs cutanées épithéliales et mélaniques Mélanomes NOUVEAU P. SAIAG (Ambroise Paré, Boulogne Billancourt), J.-J.
Plus en détailLe traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations
FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailFocus. Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes. Unité de Recherche et Développement pour les Risques Aggravés.
Unité de Recherche et Développement pour les Risques Aggravés Focus Juillet 2007 Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes Conception et réalisation
Plus en détailAssurance maladie grave
ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès
Plus en détailSuivi post-professionnel après exposition à l amiante
AUDITION PUBLIQUE Suivi post-professionnel après exposition à l amiante TEXTE COMPLET Avril 2010 1 Les recommandations et synthèse des recommandations sont téléchargeables sur www.has-sante.fr Haute Autorité
Plus en détailEvaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux. Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux
Evaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux Je déclare n avoir aucun conflit d intérêt en lien avec cette présentation
Plus en détail