TERMES DE REFERENCE DU FORUM INTERNATIONAL DES PARLEMENTAIRES DE L AFRIQUE DE L OUEST ET DU CENTRE SUR LA PROBLEMATIQUE DU PALUDISME
|
|
- Jean-René Chagnon
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Assemblée Nationale du Mali Commission de la Santé du Développement social et de la Solidarité République du Mali Un Peuple, un But, une Foi TERMES DE REFERENCE DU FORUM INTERNATIONAL DES PARLEMENTAIRES DE L AFRIQUE DE L OUEST ET DU CENTRE SUR LA PROBLEMATIQUE DU PALUDISME Proposé par la Commission Santé de l AN du Mali Juillet 2010
2 ACRONYMES AN Assemblée Nationale GP/SP Groupe Pivot Santé Population MII Moustiquaire Imprégnée d Insecticide JHU/CCP Université Johns Hopkins, Centre pour les programmes de communication MRTC Centre de Recherche et Formation sur le Paludisme PNLP Programme National de Lutte contre le Paludisme RBM Partenariat Faire Reculer le Paludisme UNICEF Fonds des Nations Unies pour les Enfants OMS Organisation Mondiale de la Santé IFRC Fédération Internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant Rouge FM Fonds Mondial de lutte contre le VIH, la Tuberculose et le Paludisme 2
3 CONTEXTE ET JUSTIFICATION Le paludisme est la première cause de morbidité et de mortalité en Afrique subsaharienne avec plus d un million de cas enregistrés chaque année. Les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes payent le plus lourd tribut à cette maladie. Ces dernières années, l action conjointe de facteurs sociaux économiques et climatiques a fait exploser la propagation du paludisme. La pauvreté, la dégradation de l assainissement et les mouvements de population à grande échelle jouent également un rôle dans la diffusion de la maladie. Le paludisme a également des conséquences importantes sur l économie des communautés locales et des ménages. Il empêche les adultes de gagner leur vie, il draine les ressources des Etats africains et retient les populations dans la pauvreté. L'incidence économique du paludisme en Afrique Sub-saharienne est estimée actuellement à plus de 2 milliards US$. Cette maladie constitue donc un obstacle majeur pour le développement économique en Afrique. On estime que le taux de croissance de l Afrique aurait augmenté de 32% actuellement si le paludisme avait été éradiqué il y a 35 ans est une année très importante pour réaffirmer les engagements envers les objectifs de couverture universelle des populations à risque de paludisme 1, envers les objectifs d Abuja et les Objectifs du Millénaire pour le développement (OMDs) avec le sommet des Nations Unies en septembre. Ainsi, la lutte contre le paludisme contribue à l atteinte de six des huit Objectifs du Millénaire pour le Développement : - Réduire l extrême pauvreté et la faim (OMD 1) : En Afrique, le paludisme génère une perte de produit intérieur brut annuel de 12 milliards de US$. Il grève de 25% les revenus des ménages et représente 40% des dépenses publiques de santé. Un mauvais état de santé, notamment dû au paludisme, a été identifié comme la principale cause de pauvreté. - Assurer l éducation primaire pour tous (OMD 2) : Le paludisme est une des premières causes de maladie et d absentéisme chez les enfants et les enseignants avec une conséquence négative sur le taux de fréquentation et de réussite à l école. - Réduire la mortalité infantile (OMD 4) : Le paludisme est la première cause de mortalité infantile en Afrique, représentant un décès sur cinq des enfants africains de moins de cinq ans.. 85% des cas de décès de paludisme concernent des enfants de moins de cinq ans. - Améliorer la santé maternelle (OMD 5) : Les femmes enceintes courent quatre fois plus de risque de contracter le paludisme que les autres adultes. La 1 Les objectifs de couverture universelle des populations à risque de paludisme d ici fin 2010, lancés par le Secrétaire Général des Nations Unies en 2008, incluent la couverture universelle de toutes les populations à risque de paludisme avec des moyens appropriés, 80% de patients atteints de paludisme diagnostiqués et traités dans les 24 heures du déclenchement des symptômes et le nombre de cas de paludisme diminués de 50% (comparé aux taux de 2000). 3
4 maladie peut s avérer mortelle pour la mère et l enfant. En effet, le paludisme est une cause majeure d anémie chez la femme enceinte et les enfants, de faibles poids de naissance, d accouchements prématurés ainsi que de mortalité néonatale. - Combattre le VIH/sida, le paludisme et d autres maladies (OMD 6) : Le contrôle du paludisme permet de réduire les cas de paludisme et le taux de mortalité associé mais aussi d agir sur le VIH/sida. Le paludisme doit être combattu en conjonction avec d autres maladies facteurs de pauvreté, et en particulier le VIH/sida pour minimiser les risques de co-infection. - Mettre en place un partenariat mondial pour le développement et assurer l accès aux médicaments essentiels à un prix abordable (OMD 8) : les intrants contre le paludisme sont chers et pas toujours disponibles. De nombreux partenariats publics/privés travaillent à l amélioration de l accès aux traitements et au développement de nouveaux outils contre le paludisme (y compris un vaccin). Ces initiatives peuvent servir de modèle pour l amélioration de l accès à d autres médicaments essentiels. Conscients de cette situation, les Chefs d Etats et de Gouvernements africains se sont engagés en 2000 à prendre des mesures appropriées et durables pour renforcer les systèmes de santé afin qu en 2005: au moins 60 % des patients atteints de paludisme aient accès à un traitement rapide, adéquat et abordable dans un délai de 24 heures après l'apparition des symptômes; au moins 60 % des personnes à risque, surtout les femmes enceintes et les enfants de moins de 5 ans, puissent bénéficier de la combinaison la plus appropriée de mesures de protection personnelle et communautaire telles que les moustiquaires imprégnées d insecticides et d'autres interventions accessibles et abordables pour prévenir l'infection et la souffrance; au moins 60% de toutes les femmes enceintes, surtout les primipares, aient accès à la chimioprophylaxie ou à un traitement intermittent de présomption. Pour se faire, ils se sont engagés entre autres à : Améliorer l'accès à la prévention du paludisme en réduisant ou en supprimant les tarifs et droits de douanes sur les moustiquaires, les équipements, les insecticides, les antipaludiques, et autres biens et services nécessaires pour les stratégies de lutte contre le paludisme Octroyer les ressources nécessaires pour une mise en œuvre durable des mesures prévues dans le cadre de l'initiative Faire reculer le paludisme ; Améliorer l'appui apporté à la recherche (y compris la recherche opérationnelle) pour mettre au point un vaccin, et d'autres nouveaux outils, et améliorer les outils existants. Un an plus tard, toujours à Abuja, les Chefs d Etats ont pris de nouveaux engagements en faveur de la santé. Parmi ceux-ci, nous pouvons citer celui de consacrer 15% au moins du budget annuel à l amélioration du secteur de la santé. Cependant, force est de constater qu à ce jour aucun progrès significatif n a été enregistré par rapport au dernier engagement mentionné ci-dessus et le financement du paludisme continue à être largement tributaire des l aide extérieure. 4
5 C est avec l objectif de relever ces défis que le réseau des parlementaires contre le paludisme a initié ce forum. Ainsi, par des actions concertées, les pouvoirs exécutif et législatif œuvreront à l atteinte des engagements pris en 2000 et La nécessité d engager les parlements nationaux dans le développement des stratégies annuelles de santé en plus de leur rôle de watchdog vis-à-vis gouvernement, est de plus en plus reconnu et ces rôles doivent être renforcés. La participation des parlementaires est essentielle pour garantir les objectifs de bonne gouvernance et d appropriation nationale. Pour être effective, cette participation doit être développée dans le cadre d une stratégie cohérente et réfléchie. Il s agit d aller plus loin que de simples consultations pour permettre aux parlements de devenir un acteur à part entière des processus de prise de décision et de mise en œuvre. La participation parlementaire est entendue ici à plusieurs niveaux et comprend diverses activités pour promouvoir la prise de décision commune, la mise en œuvre et le contrôle parlementaire. Ce forum sera l occasion de partager les expériences et de se concentrer sur : - Comment s assurer de la participation significative des parlements nationaux dans la prise de décision et la programmation, y compris pour l appui budgétaire? - Comment mieux soutenir le rôle des parlements dans le contrôle de la gestion des ressources de santé? - Quel est le rôle des bailleurs et autres acteurs pour soutenir les parlements dans ces processus? OBJECTIF GENERAL L objectif général de ce forum est d accroître le rôle des parlementaires dans la décision des priorités nationales pour assurer une bonne gouvernance et dans la détermination des stratégies nationales de santé incluant la problématique du contrôle du paludisme ; ceci afin d atteindre les objectifs d Abuja et d assurer une allocation adéquate des budgets nationaux à la santé en général et à la lutte contre le paludisme en particulier. OBJECTIFS SPECIFIQUES 1. le forum vise à sensibiliser les parlementaires africains sur l ampleur du paludisme et ses conséquences néfastes sur le développement socio économique du continent ainsi que sur les progrès réalisés grâce aux divers partenariats et alliances qui sont confrontés à la question de la pérennité des financements, 2. le forum jettera les bases pour le développement d un plan d action concret pour accroitre les financements domestiques alloués à la santé et à la lutte contre le paludisme.; 3. le forum montrera l importance du rôle des parlementaires pour une gestion transparente des ressources, une bonne gouvernance et des mecanismes de responsabilisation comme facteurs pour pérenniser les financements acquis. 4. Le forum jettera les bases pour le développement d un partenariat multiformes pour accroître les efforts des gouvernements dans la lutte contre le paludisme. 5
6 RESULTATS ATTENDUS 1. Les parlementaires développent des plans stratégiques avec des rôles et responsabilités définis proposant des étapes concrètes pour améliorer la mise en œuvre des politiques de santé et accroitre les financements domestiques dans ce domaine. 2. Les parlementaires s engagent à veiller sur une gestion transparente des ressources et à adopter des pratiques favorisant la bonne gouvernance. 3. Les parlementaires connaissent/comprennent la situation du paludisme et les perspectives de lutte dans les pays de l Afrique de l ouest et du centre et ont un meilleure aperçu des actions concertées des alliances, partenariats et bailleurs (RBM, FM, ALMA ) dans la lutte contre le paludisme ; 4. les parlementaires prennent la mesure du rôle essentiel qu ils jouent, dans la prise de décision, le processus législatif et le contrôle de la mise en œuvre, pour adopter des politiques de lutte contre le paludisme et augmenter les ressources nécessaires au contrôle de cette maladie. 5. Les parlementaires s engagent de manière proactive en faveur de la lutte contre le paludisme et propose des mesures tangibles pour honorer les engagements pris par les pays endémiques et au niveau international (couverture universelle, objectifs d Abuja, Plan d Action Mondial de RBM, OMD, recouvrement des ressources du Fonds Mondial ) METHODOLOGIE Ce forum interactif de trois jours comprendra des sessions plénières, des panels et des séances de groupes avec la possibilité pour tous les participants de partager les expériences et idées afin d obtenir un consensus sur les prochaines actions et étapes. Les questions et débats seront possibles après chaque intervention en session plénière Dans le cadre des panels, les questions et débats interviendront à la fin lors d un créneau spécifique Les travaux de groupe le deuxième jour serviront à préparer des recommandations clés qui seront ensuite partagées et approuvées par l ensemble des participants le dernier jour. Une traduction simultanée, français/anglais sera assurée et des documents seront fournis pour faciliter la réunion. LOGISTIQUE Le projet «Les Voix du Mali» apporte son soutien à l Assemblée Nationale du Mali pour les questions administratives et logistiques liées à la préparation du forum. Les organisateurs prennent en charge : le transport des participants, leur hébergement et la restauration. Un per diem journalier sera donné aux participants. Les participants maliens recevront un per diem au taux journalier forfaitaire Pour ce qui est des partenaires, ils prendront en charge leurs représentants, mais le forum assurera la restauration pendant la journée. 6
7 Période : Le forum s étendra sur trois jours du 13 au 15 juillet 2010 Lieu : Bamako Mali Participants : Les participants au forum seront principalement les parlementaires de l Afrique de l Ouest et du Centre. Chaque pays sera représenté par 2 personnes ; deux parlementaires membre de la commission santé (un homme et une femme). Dans le but de profiter de l expertise de personnes diverses, le forum invitera des participants venant de divers pays du monde. Ils apporteront leur expérience et orienteront les parlementaires dans les choix stratégiques. Pays Africains représentés : 26 - Bénin - Burkina Faso, - Burundi - Cameroun - Cap Vert - Côte d Ivoire - Gabon - Gambie - Ghana - Guinée Bissau - Guinée Équatoriale - Guinée, - Libéria, - Mali - Mauritanie - Nigéria, - Niger, - République Centre Africaine, - République Démocratique du Congo, - République du Congo (Brazzaville) - Rwanda - Sao Tomé et Principe - Sénégal, - Sierra Leone - Tchad - Togo 7
8 Partenaires - Banque Islamique de Développement (BID) - Fonds Mondial de lutte contre le VIH, la Tuberculose et le Paludisme (FM) - Féderation Internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant Rouge (FICR) - Centre de Recherche et Formation sur le Paludisme (MRTC) - Organisation Mondiale de la Santé (OMS) - Partenariat Faire Reculer le Paludisme (RBM) - Fonds des Nations Unies pour les Enfants (UNICEF) 8
Connaissances et compétences requises : coordonnées géographiques, réflexion critique, recherche de documentation, rédaction, support cartographique.
Activité : «Mais où est donc..?» Afrique Géographie : problématique de la faim. Age : 10-13 ans Outil pédagogique développé par l équipe jeunesse du PAM. Résumé Connaissances et compétences requises :
Plus en détailde plus de moitié, particulièrement dans les pays où la mortalité infantile est élevée 39.
postes de haut-fonctionnaires sont détenus par des femmes 38. Mais dans l ensemble, les avancées enregistrées par les pays africains dans leur progression vers la réalisation d une meilleure parité entre
Plus en détailDéclaration des Parlementaires africains sur les Objectifs du Millénaire pour le développement et l'ordre du jour du développement post 2015
Déclaration des Parlementaires africains sur les Objectifs du Millénaire pour le développement et l'ordre du jour du développement post 2015 Les parlementaires africains Reconnaissant que les parlements
Plus en détailPour une coopération parlementaire régionale accrue avec les organes de traités relatifs aux droits de l homme
Pour une coopération parlementaire régionale accrue avec les organes de traités relatifs aux droits de l homme Séminaire régional à l intention des parlementaires et fonctionnaires de parlements des pays
Plus en détailTermes de référence pour le recrutement d un comptable, d un assistant administratif et un chauffeur
AFRISTAT PROGRAMME DE COMPARAISON INTERNATIONALE-AFRIQUE Termes de référence pour le recrutement d un comptable, d un assistant administratif et un chauffeur Contexte Au cours de l année 2004, AFRISTAT
Plus en détailDocteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV
Docteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV 1 CONTEXTE EN ALGERIE Recrudescence des TIA HACCP obligatoire depuis 2010 Mise à niveau
Plus en détailTermes de référence pour le recrutement d un consultant en communication
Termes de référence pour le recrutement d un consultant en communication A. Contexte La Conférence des Ministres de l Éducation des États et gouvernements de la Francophonie (CONFEMEN) est une organisation
Plus en détailL AIDE AU DÉVELOPPEMENT FRANÇAISE
L AIDE AU DÉVELOPPEMENT FRANÇAISE L Aide publique au développement (APD) désigne les dépenses publiques au bénéfice des pays en développement dont le but essentiel est de favoriser le développement économique
Plus en détailS engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée
S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée Rapport de situation 2013 RÉSUMÉ L UNICEF s est engagé à publier des rapports annuels de situation relatifs à la survie de l enfant en soutien
Plus en détailet à Hammamet (en Tunisie) 4, en mars 2013. Ces consultations ont été complétées par une enquête en ligne 5 amorcée en 2011.
Document final des consultations régionales sur le programme de développement après-2015 Contexte Partout dans le monde, les objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) ont généré des actions de
Plus en détailD A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S
REGARD SUR L EPIDEMIE DU VIH D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S Photo: ONUSIDA Levier de la riposte au sida, l ONUSIDA s emploie à bâtir l action politique et à promouvoir les droits de tous les
Plus en détailRapport de fin du Programme
Observatoire Economique et Statistique d Afrique Subsaharienne Département des Affaires Economiques et Sociales du Secrétariat Général des Nations Unies Programme des Nations Unies pour le Développement
Plus en détailPOINT DE DÉCISION DE LA FRANCOPHONIE : STOPPER LES NOUVELLES INFECTIONS AU VIH ET GARANTIR LES TRAITEMENTS POUR TOUS
POINT DE DÉCISION DE LA FRANCOPHONIE : STOPPER LES NOUVELLES INFECTIONS AU VIH ET GARANTIR LES TRAITEMENTS POUR TOUS SOMMET DE LA FRANCOPHONIE kinshasa Octobre 2012 Messages clés : Les pays membres de
Plus en détailRENFORCEMENT DES CAPACITES DES INSPECTEURS DE TRAVAIL DANS LA PROTECTION DES TRAVAILLEURS MIGRANTS EN MAURITANIE, MALI ET SÉNÉGAL
RENFORCEMENT DES CAPACITES DES INSPECTEURS DE TRAVAIL DANS LA PROTECTION DES TRAVAILLEURS MIGRANTS EN MAURITANIE, MALI ET SÉNÉGAL Project type: Secondary project type: Geographical coverage: Executing
Plus en détailUn Aperçu de la Situation de l'assainissement en Afrique
Un Aperçu de la Situation de l'assainissement en Afrique Extrait de Un Aperçu de la Situation de l Eau Potable et de l'assainissement en Afrique Une perspective régionale s'appuyant sur des données récentes
Plus en détailREUNION DE COORDINATION DU CARN RBM YAOUNDE, 13-15 JUILLET 2010
REPORT RBM/EXD/2010/REP. 15 JUL 2010 Official document General distribution Français REUNION DE COORDINATION DU CARN RBM YAOUNDE, 13-15 JUILLET 2010 RAPPORT Le groupe de coordination du réseau Faire Reculer
Plus en détailPromouvoir des synergies entre la protection des enfants et la protection sociale en Afrique de l Ouest et du Centre
inégalité Note de Synthèse Protection sociale pour les Enfants Réduction de la pauvreté q protection sociale Février 2009 exclusion sociale Politiques Sociales atteindre les OMD sécurité stratégies politiques
Plus en détailSTATUTS DE L ASSOCIATION DES BANQUES CENTRALES AFRICAINES ------------------------------------
STATUTS DE L ASSOCIATION DES BANQUES CENTRALES AFRICAINES ------------------------------------ (version amendée à Kampala, en Ouganda, le 19 août 2003) 2 Les signataires des présents Statuts, Reconnaissant
Plus en détailQUATRIÈME CONFÉRENCE DES NATIONS UNIES SUR LES PAYS LES MOINS AVANCÉS ISTANBUL, TURQUIE DU 9 AU 13 MAI 2011
QUATRIÈME CONFÉRENCE DES NATIONS UNIES SUR LES PAYS LES MOINS AVANCÉS ISTANBUL, TURQUIE DU 9 AU 13 MAI 2011 Bureau du Haut Représentant pour les pays les moins avancés, les pays en développement sans littoral
Plus en détailUNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE UEMOA OUEST AFRICAINE ----------- CONFERENCE DES CHEFS D ETAT ET DE GOUVERNEMENT
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE UEMOA OUEST AFRICAINE ----------- CONFERENCE DES CHEFS D ETAT ET DE GOUVERNEMENT TRAITE PORTANT CREATION DU PARLEMENT DE L UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE PREAMBULE
Plus en détailLa culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT
La culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT SOMMAIRE Introduction... 2 I. Aperçu sur le fondement de la gestion axée sur les résultats... 3 1.1. De nouveaux
Plus en détailDES ADOLESCENTS ET DES JEUNES EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE
RAPPORT SUR LE STATUT DES ADOLESCENTS ET DES JEUNES EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE Possibilités et Enjeux RAPPORT SUR LE STATUT DES ADOLESCENTS ET DES JEUNES EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE Possibilités et Enjeux
Plus en détailFRAMEWORK CONVENTION ON CLIMATE CHANGE - Secretariat CONVENTION - CADRE SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES - Secrétariat
UNITED NATIONS NATIONS UNIES FRAMEWORK CONVENTION ON CLIMATE CHANGE - Secretariat CONVENTION - CADRE SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES - Secrétariat Atelier de formation à la mise en oeuvre des programmes
Plus en détailREGLEMENT ET CRITERES DU CONCOURS DE PROJETS 4.2 PROGRAMME DE PETITES INITIATIVES (PPI)
REGLEMENT ET CRITERES DU CONCOURS DE PROJETS 4.2 PROGRAMME DE PETITES INITIATIVES (PPI) 1. PRESENTATION DU PROGRAMME Le Fonds Français pour l Environnement Mondial (FFEM) lance une quatrième phase du Programme
Plus en détailFonds. Soutien aux Entreprises en Afrique
Fonds d Investissement et de Soutien aux Entreprises en Afrique Paul Kabré S impliquer et investir aux côtés des entreprises africaines PROMOUVOIR LA CROISSANCE ET L EMPLOI EN AFRIQUE FISEA est un fonds
Plus en détailLa protection des savoirs traditionnels: rôle des Indications géographiques
Congrès AFTER Dakar 11-12 novembre 2014 La protection des savoirs traditionnels: rôle des Indications géographiques Didier CHABROL UMR Innovation - CIRAD Montpellier - France 1 Modernisation des produits
Plus en détailPrésenté par Jean Claude Ngbwa, Secrétaire Général de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009
PERSPECTIVES DES MARCHES D ASSURANCES AFRICAINS Présenté par Jean Claude Ngbwa, Secrétaire Général de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème qui nous a été confié porte sur les
Plus en détailALLOCUTION DE M. BENJAMIN HOUNTON CHARGE DU BUREAU DU HAUT COMMISSARIAT DES NATIONS UNIES AUX DROITS DE L HOMME POUR L AFRIQUE DE L OUEST
ALLOCUTION DE M. BENJAMIN HOUNTON CHARGE DU BUREAU DU HAUT COMMISSARIAT DES NATIONS UNIES AUX DROITS DE L HOMME POUR L AFRIQUE DE L OUEST CONFERENCE REGIONALE SUR LA RATIFICATION DES INSTRUMENTS INTERNATIONAUX
Plus en détailC est quoi le District Health Information Software 2?
Introduction Actions entreprises C est quoi le Health Information Software 2? Avantages Inconvénients Conclusion Le système d information sanitaire est l un des piliers du Système de Santé Il contribue
Plus en détailDONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT
DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT Mise à jour avec rétroinformation technique de décembre 2012 Chaque jour, près de 800 femmes meurent durant la grossesse ou l accouchement
Plus en détailMot d ouverture de Mamadou Lamine N DONGO Lead Results Adviser Banque Africaine de Développement Coordonnateur de AfCoP
Mot d ouverture de Mamadou Lamine N DONGO Lead Results Adviser Banque Africaine de Développement Coordonnateur de AfCoP 17 Septembre 2013, 9h00 Tunis, Tunisie Monsieur le Directeur du Département Assurance
Plus en détailL éditorial. Le secrétariat de CGLU Afrique lance ce premier numéro «L Etat des
L éditorial Jean-Pierre ELONG-MBASSI Le secrétariat de CGLU Afrique lance ce premier numéro «L Etat des Finances Locales en Afrique» afin de comparer, pour la première fois, les principaux chiffres et
Plus en détailEnjeux de santé globale à partir de 2015 la Couverture santé universelle accès équitable aux soins pérenne et pour tous»
Enjeux de santé globale à partir de 2015 la Couverture santé universelle accès équitable aux soins pérenne et pour tous» Les Amis du Fonds mondial Cycle d information et d échanges Yous Hannah 30/09/2014
Plus en détailRévision des besoins non satisfaits: En bref Résumé de l analyse de MEASURE DHS
Révision des besoins non satisfaits: En bref Résumé de l analyse de MEASURE DHS Pourquoi faut-il changer la définition des besoins non satisfaits en matière de planification familiale? Le concept de besoins
Plus en détailPays 1 où il y a un risque de transmission de la fièvre jaune 2 et pays exigeant la vaccination antiamarile
ANNEXE 1 Pays 1 où il y a un risque de transmission de la fièvre jaune 2 et pays exigeant la vaccination antiamarile Pays Pays où il y a un Pays exigeant Pays exigeant risque de transmission la vaccination
Plus en détailANNEXE I A LA CS12INI202 PLAN D ACTION
ANNEXE I A LA CS12INI202 PLAN D ACTION RESEAU DE FORMATION A LA PRISE EN CHARGE GLOBALE DE L INFECTION VIH PEDIATRIQUE EN AFRIQUE FRANCOPHONE Référence : 12INI202 Porteur de projet : GIP ESTHER Membre(s)
Plus en détailLA FRANCE RETARDE LE DEVELOPPEMENT DE L AFRIQUE
LA FRANCE RETARDE LE DEVELOPPEMENT DE L AFRIQUE Le réel problème et le plus crucial sur lequel il faudra que l Afrique, l Afrique francophone se lève est celui de son extrême dépendance au système français.
Plus en détailComité monétaire et financier international
Comité monétaire et financier international Vingt-neuvième réunion Le 12 avril 2014 Déclaration de M. Akagha-Mba, Ministre de l Économie et de la Prospective, Gabon Représentant les pays suivants : Bénin,
Plus en détailCouverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008)
Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Excellences, Chers collègues, Mesdames et Messieurs, Chers amis, Quelles méthodes, quels instruments pour
Plus en détailTERMES DE REFERENCE POUR LE RENFORCEMENT DU DEPARTEMENT CHARGE DES AFFAIRES JURIDIQUES
TERMES DE REFERENCE POUR LE RENFORCEMENT DU DEPARTEMENT CHARGE DES AFFAIRES JURIDIQUES Avril 2014 TDR pour le renforcement du Service Juridique de la BIDC Page - 1 - I. CONTEXTE ET JUSTIFICATION La BIDC,
Plus en détailMortalité par cause spécifique et morbidité
par cause spécifique et morbidité Sur 10 décès qui se produisent dans le monde, 6 sont dus à des non, 3 à des pathologies, génésiques ou nutritionnelles et 1 résulte de. De nombreux pays en développement
Plus en détailPrésenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009
EXPERIENCE SENEGALAISE DE LA MICROASSURANCE: DEFIS ET OPPORTUNITES Présenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème sera abordé en cinq
Plus en détailRÉÉVALUATION DES ACTIFS IMMOBILIERS DES SOCIÉTÉS D ASSURANCE SUIVANT LES DIRECTIVES DE LA CRCA & DE LA CIMA
RÉÉVALUATION DES ACTIFS IMMOBILIERS DES SOCIÉTÉS D ASSURANCE SUIVANT LES DIRECTIVES DE LA CRCA & DE LA CIMA LA METHODE DITE PAR CAPITALISATION DU LOYER BASÉE SUR LA SURFACE CORRIGÉE C.R.C.A. : Commission
Plus en détailInterventions sous directives communautaires
Interventions sous directives communautaires Boris Kevin TCHOUNGA MD, MBA, MPH PhD Student in Epidémiologie and Health Intervention Université Bordeaux Segalen INSERM U-897 Epidémiologie Bio statistique
Plus en détailDépollution. Centre de Perfectionnement aux Actions post-conflictuelles de Déminage et de. Intervention. du Général de Brigade. Félix Tissou HESSOU
Intervention du Général de Brigade Félix Tissou HESSOU REPUBLIQUE DU BENIN Centre de Perfectionnement aux Actions post-conflictuelles de Déminage et de Dépollution 1 RAPPEL HISTORIQUE CONFERENCE DE BAMAKO
Plus en détailCLUB DE REFLEXION SUR LE MALI (CRM)
Club de Réflexion sur le Mali (CRM) En collaboration avec Enda Tiers Monde et Institut Panafricain de Stratégies (IPS) Organise le Forum sur la crise malienne et ses répercussions sur la stabilité, la
Plus en détailL Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI)
L Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI) Un partenariat en appui aux politiques environnementales en Afrique de l Ouest PROGRAMME AFRIQUE CENTRALE ET OCCIDENTALE
Plus en détailLieux de stage des étudiants du Master 2 en Santé Internationale 2010-2015
Lieux de stage des étudiants du Master 2 en Santé Internationale 2010-2015 Lieux de stage, structures d accueil et sujets de stage des étudiants du Master 2 en Santé Internationale 2010-2015 Pays Structure
Plus en détailL Afrique Centrale et le FGI
Collège International de l'afnic http://www.afnic.fr/afnic/international/college L Afrique Centrale et le FGI Victor NDONNANG Membre du Collège International de l AFNIC Cameroun Sommaire Introduction Présentation
Plus en détailTERMES DE REFERENCE POUR LE RECRUTEMENT d un(e) ASSISTANT ADMINISTRATIF CONTRATS-FINANCES-MARCHES (AACFM) auprès du RAF ECOFAC V du RAPAC
TERMES DE REFERENCE POUR LE RECRUTEMENT d un(e) ASSISTANT ADMINISTRATIF CONTRATS-FINANCES-MARCHES (AACFM) auprès du RAF ECOFAC V du RAPAC Autorité hiérarchique : Secrétaire Exécutif du RAPAC (SE), Expert-Responsable
Plus en détailRapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde
Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde Résumé d orientation La tuberculose reste l une des maladies transmissibles causant le plus de décès dans le monde. En 2013, selon les estimations,
Plus en détailTITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE)
TITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE) PAYS ET REGION DE MISE EN ŒUVRE DU PROJET Ce projet sera mise en
Plus en détailla solution AAFEX aux problèmes de financement des entreprises exportatrices du secteur agricole et agroalimentaire
la solution AAFEX aux problèmes de financement des entreprises exportatrices du secteur agricole et agroalimentaire HISTORIQUE Le Centre pour le Développement des Exportations Africaines CEDEXA S.A. CEDEXA
Plus en détailFAITS SAILLANTS : 1. CONDITIONS CLIMATIQUES ET ENVIRONNEMENTALES EN AFRIQUE
African Centre of Meteorological Application for Development Centre Africain pour les Applications de la Météorologie au Développement N 5, Mai 2015 FAITS SAILLANTS : Les zones favorables à une vigilance
Plus en détailBanque de Détail à l International - BHFM. Zoom sur la microfinance à la Société Générale
Banque de Détail à l International - BHFM Zoom sur la microfinance à la Société Générale JUIN 2007 LA SOCIETE GENERALE Un Groupe solide et performant Chiffres clés fin 2006 : Notations : 59 milliards EUR
Plus en détailAttijariwafa bank : un Groupe au service d une Afrique qui avance
Attijariwafa bank : un Groupe au service d une Afrique qui avance En bref : Président Directeur Général: Mohamed EL KETTANI Siège Social : 2. Bd Moulay Youssef - BP: 11141 20000 Casablanca - Maroc Capital:
Plus en détailLE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE EN
CONFÉRENCE DES NATIONS UNIES SUR LE COMMERCE ET LE DÉVELOPPEMENT EMBARGO Le présent document ne doit pas être cité ou résumé par la presse, la radio, la télévision ou des médias électroniques avant le
Plus en détailAttijariwafa bank Présentation. Conseil d administration. Chiffres-clés Consolidés / IFRS. Réseau et effectifs Décembre 2014
Février 2015 Attijariwafa bank Présentation Attijariwafa bank est le premier groupe bancaire et financier du Maghreb et de l UEMOA (Union Économique et Monétaire Ouest Africaine) et acteur de référence
Plus en détailRapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa
Rapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa L an 2013, le 28 et 29 août, s est tenue dans la salle du Campus Numérique Francophone de Kinshasa, le Forum sur la Gouvernance de l Internet en Afrique Centrale,
Plus en détailDU CONSEIL DE MEDIATION ET DE SECURITE DE LA CEDEAO
COMMUNIQUE DE PRESSE PRESS RELEASE "Ebola constitue une menace pour toutes les entreprises: il nous faut donc soutenir la lutte contre le virus Ebola" N 241/2014 Abuja, le 12 Decembre 2014 OUVERTURE A
Plus en détailRestitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME
Restitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME Modérateur : Dr Didier Koumavi Ekouevi INSERM U-897, Université Bordeaux Segalen, PACCI, Abidjan et Université de Lomé
Plus en détailBurkina Faso Profil pays EPT 2014
Burkina Faso Profil pays EPT 14 Contexte général Situé au cœur de l Afrique occidentale, dans la boucle du Niger, le Burkina Faso est l un pays des pays les plus peuplés de la sous-région Ouest-africaine
Plus en détailTERMES DE REFERENCE Mission n 14INI144
TERMES DE REFERENCE Mission n 14INI144 I. Informations générales Intitulé de la mission Composante Thématique(s) Bénéficiaire(s) Pays Durée totale des jours prévus 64 Revue documentaire des formes juridiques
Plus en détailBureau Régional pour l Afrique de l Ouest et du Centre Bulletin d Information Humanitaire Février 2012 CONTEXTE. Evénements clés:
Bureau Régional pour l Afrique de l Ouest et du Centre Bulletin d Information Humanitaire Février 2012 Ce bulletin d information humanitaire, produit par le bureau régional OCHA pour l Afrique de l Ouest
Plus en détailNote Simplifiée. UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ---------------- La Commission ------------
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ---------------- La Commission ------------ PROJET D APPUI A L EXTENSION DE LA COUVERTURE DU RISQUE MALADIE DANS LES PAYS MEMBRES DE L UEMOA Note Simplifiée
Plus en détailEdy K. ANTHONY Secrétariat Exécutif, OCAL
PRESENTATION DU PROJET/PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT PAR L'OCAL Edy K. ANTHONY Secrétariat Exécutif, OCAL Tunis, 22 24 Avril 2014 SOMMAIRE Introduction ti OCAL Expériences Description du projet Cadre de mise
Plus en détailMots clés : Réforme monétaire, monnaie africaine, développement économique, Afrique.
SODOKIN, Koffi 1 UNE UNITE DE MONNAIE AFRICAINE DANS LA PERSPECTIVE DE LA CREATION D UNE BANQUE CENTRALE AFRICAINE POUR LE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE EN AFRIQUE: FONDEMENTS ANALYTIQUES ET PROPOSITIONS. Résumé
Plus en détailLe cadre juridique et fiscal des relations d affaires franco-africaines: un atout pour les entrepreneurs?
Le cadre juridique et fiscal des relations d affaires franco-africaines: un atout pour les entrepreneurs? Me Pierre MARLY Avocat CMS Bureau Francis Lefebvre E-mail : pierre.marly@cms-bfl.com 1 - Le cadre
Plus en détailLes économies de l Afrique de l Ouest : un portrait statistique
Les économies de l Afrique de l Ouest : un portrait statistique Ce bref portrait statistique porte sur l Afrique de l Ouest, région qui regroupe ici les quinze pays membres de la CEDEAO (Communauté Economique
Plus en détailI. PRESENTATION DE LA CHAIRE
PANEL 6 LES CENTRES ET ECOLES DE FORMATION EN ADMINISTRATION ELECTORALE DANS L ESPACE FRANCOPHONE LA CHAIRE UNESCO DES DROITS DE LA PERSONNE ET DE LA DEMOCRATIE UNIVERSITE D ABOMEY-CALAVI (BENIN) PAR NOEL
Plus en détailPOLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES
POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES MAI 2008 POLITIQUE D EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES 1. LE CONTEXTE L égalité entre les femmes et les hommes est une condition essentielle au développement
Plus en détailInvestir dans la santé pour l Afrique L argumentation en faveur du renforcement des systèmes pour de meilleurs résultats sanitaires
Investir dans la santé pour l Afrique L argumentation en faveur du renforcement des systèmes pour de meilleurs résultats sanitaires Harmonisation pour la santé en Afrique Table des matières Résumé analytique...iii
Plus en détailThème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale
Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale 1. Le secteur informel en Afrique : définition et caractéristiques générales Le secteur informel est défini comme l'ensemble des unités
Plus en détailRÉSULTATS DE LA 1ÈRE SÉRIE D ENQUÊTES AFROBAROMÈTRE AU TOGO 3e Dissemination 26 Juin 2013
RÉSULTATS DE LA 1ÈRE SÉRIE D ENQUÊTES AFROBAROMÈTRE AU TOGO 3e Dissemination 26 Juin 2013 [Include National Partner logo] www.afrobarometer.org www.crop-africa.org 1 [Include National Partner logo] Afrobaromètre:
Plus en détailComité monétaire et financier international
Comité monétaire et financier international Trente-et-unième réunion 18 avril 2015 Déclaration de Mr. Regis Immongault Ministre de l économie, de la promotion des investissements et de la prospective Gabon
Plus en détailIntervention de M. Assane DIOP Directeur exécutif, Protection sociale Bureau international du Travail, Genève ***
Atelier de présentation du Programme Améliorer les capacités institutionnelles pour la gouvernance des migrations de main-d oeuvre en Afrique du Nord et de l Ouest (Bamako, Mali, 3 au 5 mars 2009) Intervention
Plus en détailQu est-ce que la Zone franc?
Paris, vendredi 3 octobre 2014 Après le dernier G20 Finances (à Cairns les 20 et 21 septembre) et en amont des assemblées annuelles de la Banque Mondiale et du FMI (à Washington du 9 au 11 octobre), Michel
Plus en détail& Melinda Gates et Gavi, qui permettra d améliorer la santé des populations des six pays ciblés et de contribuer à la sécurité sanitaire régionale.
Communiqué Santé au Sahel : l AFD, la Fondation Bill & Melinda Gates et Gavi s engagent ensemble pour renforcer la vaccination dans six pays de la région du Sahel Paris, le 26 juin 2015 - L Agence Française
Plus en détail50e anniversaire des indépendances africaines et malgache
50e anniversaire des indépendances africaines et malgache 1960-2010 29 Hommage aux anciens combattants africains et malgaches Dans le cadre des célébrations officielles du cinquantième anniversaire des
Plus en détailÉLECTION PRÉSIDENTIELLE 25 AVRIL 2015. Pour l unité, pour le progrès, pour le Togo, je vote
ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE 25 AVRIL 2015 Pour l unité, pour le progrès, pour le Togo, je vote Chers Citoyens, Chers Compatriotes, Ce 25 avril 2015, notre pays sera appelé à élire la personnalité la plus apte
Plus en détailConférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone
Conférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone Hôtel Teranga, Saly, Sénégal, du 18-19 Octobre 2011 Note de cadrage Contexte et justification L importance que revêt
Plus en détailNations Unies Haut Commissariat aux Droits de l Homme, réf: NVebU mes 2011
Nations Unies Haut Commissariat aux Droits de l Homme, réf: NVebU mes 2011 Initiatives montrant des bonnes pratiques ainsi que des pratiques efficaces dans l adoption d une approche fondée sur les droits
Plus en détailPerspectives sur le Besoin non satisfait en planification familiale en Afrique de l Ouest : le Togo
Perspectives sur le Besoin non satisfait en planification en Afrique de l Ouest : le Togo Conférence sur le Repositionnement de la Planification Familiale en Afrique de l Ouest le 15 au 18 février 25 Accra,
Plus en détailNOVEMBRE 2013. Dossier de presse. Société Générale, 1 er réseau de banque universelle. en Afrique au service des Entreprises
NOVEMBRE 2013 Dossier de presse Société Générale, COMMUNIQUÉ DE PRESSE Casablanca, le 21 novembre 2013 Présent dans 16 pays africains, le groupe Société Générale présente un positionnement unique, qui
Plus en détail19-21, avenue Bosquet - Paris 7 e - France
19-21, avenue Bosquet - Paris 7 e - France LE NOUVEAU SIÈGE DE L ORGANISATION INTERNATIONALE DE LA FRANCOPHONIE Contacts presse Nathalie Heneman Chargée des relations médias nathalie.heneman@francophonie.org
Plus en détailTravailleurs migrants et transferts de fonds vers l Afrique
Travailleurs migrants et transferts de fonds vers l Afrique Oeuvrer pour que les populations rurales pauvres se libèrent de la pauvreté 100 Marchés, environnement porteur et perspectives des transferts
Plus en détailSOINS DE SANTE EN AFRIQUE SUB-SAHARIENNE & MUTUALISATION
Conférence de presse du 06/10/2010 14 heures, salle Politkovskaya (PHS 0A50) Parlement européen Bruxelles Contact : 0475.690.461 http://www.vdekeyser.be/ SOINS DE SANTE EN AFRIQUE SUB-SAHARIENNE & MUTUALISATION
Plus en détailPOURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES?
Mai 2010 POURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES? Direction Générale des Statistiques Ministère de l Economie, du Commerce, de l Industrie et du Tourisme Pourquoi le Gabon a-t-il besoin
Plus en détailGestion urbaine et municipale en Afrique
Présentation La migration massive des populations rurales vers les régions urbaines est le bouleversement démographique le plus spectaculaire que l Afrique ait connu au cours des dernières décennies. La
Plus en détailOffice National des Produits Pétroliers ******** NOT AN OFFICIAL UNCTAD RECORD APPROVISIONNEMENT ET DISTRIBUTION DES PRODUITS PETROLIERS AU MALI
Email : onapmali@afribone.net.ml Site Web : www.onapmali.co napmali.com Ministère de l Economie, de l Industrie et du Commerce ******** Office National des Produits Pétroliers ******** NOT AN OFFICIAL
Plus en détailETUDE AFRIQUE AUPRES DU RESEAU BPIFRANCE EXCELLENCE
NOTE INTERNE DIRECTION DE L INTERNATIONAL ET DE L UNIVERSITE POLE AFRIQUE ET MEDITERRANEE DECEMBRE 2014 ETUDE AFRIQUE AUPRES DU RESEAU BPIFRANCE EXCELLENCE Bpifrance accompagne le développement des entreprises
Plus en détailBOURSES SCOLAIRES. au bénéfice des enfants français résidant avec leur famille à l étranger AGENCE POUR L ENSEIGNEMENT FRANÇAIS À L ÉTRANGER
BOURSES SCOLAIRES au bénéfice des enfants français résidant avec leur famille à l étranger AGENCE POUR L ENSEIGNEMENT FRANÇAIS À L ÉTRANGER ÉTABLISSEMENT PUBLIC NATIONAL À CARACTÈRE ADMINISTRATIF SOUS
Plus en détailNotice de sélection pour Consultant Individuel IC-UPS/021/2013
Notice de sélection pour Consultant Individuel IC-UPS/021/2013 Date: 15 Février 2013 Pays Intitulé de la mission : République Démocratique du Congo RDC Sélection d un consultant Chef d équipe pour l élaboration
Plus en détailETUDE SUR LA FISCALITÉ SUPPORTÉE PAR
BANQUE CENTRALE DES ETATS DE L AFRIQUE DE L OUEST (BCEAO) Avenue Abdoulaye FADIGA BP 3108 Dakar - Sénégal ETUDE SUR LA FISCALITÉ SUPPORTÉE PAR LES SYSTÈMES FINANCIERS DÉCENTRALISÉS DE L UEMOA RAPPORT DE
Plus en détailAppui aux mutuelles de santé en Afrique: un partenariat entre Solidarité Socialiste et les mutualités socialistes
Appui aux mutuelles de santé en Afrique: un partenariat entre Solidarité Socialiste et les mutualités socialistes 1 Solidarité Socialiste Formation, Coopération & Développement rue Coenraets, 68 1060 Bruxelles
Plus en détailLe FMI et son rôle en Afrique
Le FMI et son rôle en Afrique M a r k P l a n t, V a l e r i a F i c h e r a, N o r b e r t F u n k e D a k a r, l e 3 n o v e m b r e 2 0 1 0 Sommaire Comment fonctionne le FMI? Comment l Afrique a-t-elle
Plus en détailLE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE EN RAPPORT 2013 COMMERCE INTRA-AFRICAIN: LIBÉRER LE DYNAMISME DU SECTEUR PRIVÉ
C O N F É R E N C E D E S N AT I O N S U N I E S S U R L E C O M M E R C E E T L E D É V E L O P P E M E N T LE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE EN AFRIQUE RAPPORT 2013 COMMERCE INTRA-AFRICAIN: LIBÉRER LE DYNAMISME
Plus en détailOrganisation africaine de la Propriété Intellectuelle ***************
Organisation africaine de la Propriété Intellectuelle *************** 2 TABLE DES MATIERES INTRODUCTION... 3 I PRESENTATION DE L OAPI... 4 II TERRITOIRE OAPI... 4 III - GENERALITES... 5 IV - DE LA CONSTITUTION
Plus en détailPartager l expérience de l ASECNA dans la mise en œuvre du SMS et du SMQ :
Objet de la présentation Partager l expérience de l ASECNA dans la mise en œuvre du SMS et du SMQ : Défis rencontrés Avantages acquis Contenu de la présentation Qu est ce que l ASECNA? Planification de
Plus en détail