Neuropathies périphériques
|
|
- Ange Fleury
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Collège des Enseignants en Neurologie Neuropathies périphériques I. Diagnostic positif II. Diagnostic différentiel III. Orientation du diagnostic étiologique IV. Polyneuropathies axonales longueur-dépendantes V. Principales polyneuropathies démyélinisantes VI. Neuropathies sensitives VII. Mononeuropathies multiples Le diagnostic d une neuropathie périphérique nécessite une démarche structurée comportant les différentes étapes suivantes. 1. Localisation : consistant à déterminer le caractère tronculaire, radiculaire, polyradiculaire ou neuronal (atteinte du corps cellulaire). 2. Mécanisme physiopathologique : consistant à déterminer le caractère démyélinisant, axonal, neuronal de la neuropathie. 3. Classement électroclinique : synthèse des deux précédentes étapes. 4. Recherche de la cause : les causes principales des neuropathies sont relativement limitées à partir de la classification électroclinique. 5. Approche thérapeutique : elle dépend de la cause retenue. L arbre décisionnel de la figure 15.1 fait la synthèse de cette démarche. Fig Arbre décisionnel pour le diagnostic des neuropathies périphériques. (zoom : clic droit/afficher l'image) En matière d introduction, rappelons la classification et la définition des neuropathies périphériques : mononeuropathie : atteinte d un tronc nerveux ; mononeuropathie multiple : atteinte de plusieurs troncs nerveux (multinévrite) ; polyneuropathie : atteinte de toutes les fibres nerveuses, en fonction de leur longueur (atteinte longueur-dépendante) ; polyradiculoneuropathie : atteinte de l ensemble des racines nerveuses sensitives et motrices et des troncs nerveux (exemple du syndrome de Guillain-Barré) ; neuronopathie : atteinte du corps cellulaire du neurone (moteur ou sensitif). I. Diagnostic positif A. Clinique Le diagnostic repose sur l association plus ou moins complète de trois ordres de signes. 1. Signes moteurs
2 Les signes moteurs associent : une paralysie, ou parésie, par atteinte de la motricité volontaire, réflexe et automatique par souffrance de la voie finale commune (motoneurone alpha) ; plus ou moins précédée d une fatigabilité, elle peut être complète, flasque et hypotonique ; elle est cotée de 0 à 5 (testing musculaire)*; une amyotrophie retardée de 3 semaines par rapport à la lésion nerveuse ; des fasciculations (spontanées ou provoquées par la percussion ou l exposition au froid) ; traduisant l activité spontanée d une unité motrice, elles sont en faveur d une lésion proche de la corne antérieure (motoneurone, racine) ; une diminution ou une abolition des réflexes ostéotendineux. * 0 = Pas de contraction. 1 = Contraction faible sans déplacement. 2 = Déplacement faible si pesanteur éliminée. 3 = Déplacement possible contre pesanteur. 4 = Déplacement possible contre résistance. 5 = Force normale ; la réponse idiomusculaire est conservée. 2. Signes sensitifs Les signes sensitifs sont souvent les premiers à apparaître. Signes subjectifs Ces sensations anormales sont : des paresthésies (picotements, fourmillements, engourdissements spontanés) ; des dysesthésies (déclenchées par le tact) ; des douleurs (brûlures, décharges électriques, striction) ; des crampes au repos, qui témoignent d une atteinte du nerf moteur. L origine des douleurs peut être radiculaire ou tronculaire : la douleur radiculaire a un trajet traçant le long d un membre : en ce qui concerne la douleur radiculaire favorisée par un conflit mécanique, elle est accrue ou provoquée par les manœuvres élevant la pression du LCS (toux, éternuement) et celles étirant la racine (Lasègue, mouvements du cou) ; les signes objectifs sont en revanche absents ou discrets ; la douleur tronculaire (d un nerf mixte) est limitée à la main ou au pied, sans dépasser le poignet ou la cheville. Atteinte sensitive objective Les troubles concernent les sensibilités superficielle (au tact, ou sensibilité épicritique ; à la température et à la piqûre, ou sensibilité thermoalgique) et proprioceptive (altération du sens vibratoire, du sens de position des segments de membre, avec ataxie et signe de Romberg). L ataxie est évocatrice d une neuropathie démyélinisante. 3. Signes neurovégétatifs Il s agit des signes vasomoteurs (œdème, cyanose), des troubles trophiques (peau sèche, squameuse et atrophique) et des phanères (chute de poils, ongles cassants), d une hypotension orthostatique, d une impuissance, d une incontinence urinaire. 4. Autres signes Ils comportent la recherche de gros nerfs et d un signe de Tinel (douleur projetée sur le trajet du nerf lors de la percussion de celui-ci). On peut, à l issue des données cliniques, distinguer différents types d atteintes : atteinte des grosses fibres (myélinisées) : troubles des sensibilités proprioceptive et tactile, signes moteurs ; atteinte des petites fibres (amyéliniques) : troubles de la sensibilité thermoalgique et neurovégétatifs cette dernière association n est pas toujours vraie. B. Examens complémentaires Stratégie d utilisation des examens complémentaires Exploration neurophysiologique Elle est indispensable à la caractérisation de la neuropathie et à la détermination de son mécanisme. Examen du liquide cérébrospinal Il donne des arguments pour le caractère proximal (radiculaire ou neuronal) de l atteinte neuropathique. On l utilisera dans les polyradiculonévrites et les neuronopathies sensitives principalement Biopsie neuromusculaire Le muscle donne des informations sur le retentissement d une atteinte motrice. Le nerf biopsié est toujours un nerf sensitif. La biopsie est principalement utilisée en cas de suspicion de vascularite, en cas de doute diagnostique devant une neuropathie périphérique évolutive sans cause trouvée, ou devant une polyneuropathie inflammatoire démyélinisant chronique. 1. Électrophysiologie neuromusculaire (ou électroneuromyographie) L électroneuromyographie (ENMG) confirme la nature neurogène du trouble. Elle détermine le mécanisme démyélinisant, axonal ou neuronal. L examen comporte deux temps distincts. Électromyogramme (détection)
3 L électromyogramme (analyse à l aiguille des tracés de repos et de contraction des différents muscles) montre le caractère neurogène des anomalies : potentiels de fibrillation au repos, appauvrissement en unités motrices, accélération de la fréquence des potentiels individualisés (sommation temporelle) et, au maximum, potentiel à fréquence élevée (tracé simple) lors de la contraction (fig. 15.2). Fig Tracé de dénervation chronique potentiel polyphasique se répétant à une fréquence élevée (sommation temporelle). Il donne une indication topographique (tronculaire, radiculaire, diffuse) en fonction des muscles touchés et confirme l absence de signes myogènes (richesse exagérée des tracés pour un faible effort de contraction, potentiels de faible amplitude très polyphasiques). Mesure des vitesses de conduction (stimulo-détection) La mesure des vitesses de conduction reflète le processus histopathologique : neuropathies démyélinisantes : ralentissement des vitesses de conduction motrices (fig. 15.3) ; allongement des latences des ondes F ; allongement des latences distales motrices ; dispersion des potentiels d action ; blocs de conduction moteur (rapport diminué entre l amplitude obtenue par stimulation proximale et celle obtenue par stimulation distale), sans augmentation de la durée du potentiel (polyradiculonévrites) (fig. 15.4) ; neuropathies axonales : vitesses normales (ou modérément ralenties) ; baisse d amplitude du potentiel d action de la réponse motrice ; baisse d amplitude du potentiel d action de la réponse sensitive ; neuronopathies sensitives : baisse d amplitude ou abolition diffuse (aux quatre membres) du potentiel d action sensitif ; normalité des paramètres moteurs ; neuronopathies motrices : baisse d amplitude du potentiel d action moteur, de topographie variable suivant la cause ; normalité des paramètres sensitifs. Fig Vitesse de conduction ralentie (CV à 18 m/s) et allongement de la latence distale (Lat A1 = 14,7 ms) dans le nerf fibulaire.
4 Fig Aspect de bloc de conduction (vitesse de conduction motrice) proximal du nerf ulnaire dans une neuropathie motrice multifocale. 2. Liquide cérébrospinal Hyperprotéinorachie isolée dans les polyradiculonévrites, le diabète, certaines affections néoplasiques, paranéoplasiques et hématologiques. 3. Biopsie du nerf sensitif
5 La biopsie de nerf sensitif permet dans certains cas difficiles de confirmer le mécanisme de la neuropathie (démyélinisation segmentaire, dégénérescence axonale) et oriente le diagnostic étiologique : lésions inflammatoires et démyélinisation/remyélinisation d une polyneuropathie inflammatoire démyélinisant chronique ; occlusion artérielle en cas de vascularite et perte axonale fasciculaire ; dépôts d amylose. II. Diagnostic différentiel Il est développé au chapitre 1, Item 301 Déficit moteur et/ou sensitif des membres, et au chapitre 3, Item 306 Douleur des membres et des extrémités. A. Paralysies centrales Il s agit de paralysies spastiques, non amyotrophiantes. B. Atteintes myogènes Ce sont des atteintes motrices pures proximales, avec abolition de la réponse idiomusculaire (éléments du diagnostic : données électromyographiques, élévation du taux des enzymes musculaires). III. Orientation du diagnostic étiologique A. Classification électroclinique Mononeuropathie : atteinte d un tronc nerveux. Mononeuropathie multiple : atteinte de plusieurs troncs. Polyneuropathie : atteinte de toutes les fibres nerveuses en fonction de leur longueur (atteinte longueurdépendante) ; elles sont à prédominance sensitive, distales aux membres inférieurs initialement ; d évolution souvent chronique ; ataxiante lorsqu elles sont démyélinisantes. Polyradiculoneuropathie : atteinte de l ensemble des racines nerveuses sensitives et motrices et des troncs nerveux (c est l exemple du syndrome de Guillain-Barré) ; atteinte relativement symétrique ; sensitive et motrice ; avec une composante proximale ; une aréflexie diffuse en général ; une augmentation de la protéinorachie ; pouvant être aiguës ou chroniques. Neuronopathie : atteinte du corps cellulaire du neurone (moteur ou sensitif) ; les neuronopathies sensitives peuvent avoir plusieurs présentations ; la plus caractéristique est l association de : troubles sensitifs non longueur-dépendants (touchant en même temps les membres supérieurs et des membres inférieurs) ; aréflexie diffuse ; ataxie ; hyperprotéinorachie aux réactions cellulaires en cas d origine paranéoplasique ; elles peuvent prendre le masque d une polyneuropathie sur le plan clinique, le diagnostic étant attesté par le LCS et surtout l abolition diffuse des potentiels sensitifs sur l examen neurophysiologique ; troubles sensitifs asymétriques non longueur-dépendants touchant les quatre membres, le tronc ou la face ; les neuronopathies motrices sont souvent asymétriques ; elles sont souvent un mode d entrée dans la sclérose latérale amyotrophique et ont alors une distribution qui n est ni tronculaire ni radiculaire mais plutôt métamérique. B. Orientation étiologique Elle nécessite au préalable : une démarche clinique : la recherche de formes familiales ; des prises médicamenteuses neurotoxiques ; un examen neurophysiologique (ENMG) ; parfois un examen du LCS ; une approche biologique minimale comprenant : NFS, VS-CRP, glycémie à jeun et 2 heures après la prise de 75 g glucose per os, ionogramme, calcémie, bilan hépatique, TP-TCA, immunofixation des immunoglobulines du sérum à la recherche d une gammapathie monoclonale. IV. Polyneuropathies axonales longueur-dépendantes
6 Elles résultent d une atteinte diffuse et symétrique intéressant les extrémités distales des fibres nerveuses. Cette polyneuropathie débute donc au pied. Lorsqu elle atteint le genou, les manifestations touchent alors les mains. Lorsqu elle atteint le coude, les fibres de l abdomen (plastron) et du scalp sont touchées à leur tour. A. Clinique 1. Troubles sensitifs Ils sont souvent initiaux, touchant les extrémités des membres inférieurs (paresthésies permanentes, dysesthésies, brûlures). L atteinte des grosses fibres myélinisées se traduit par des troubles de la sensibilité profonde (ataxie). 2. Troubles moteurs Au début, le patient rapporte des difficultés à la marche, une fatigabilité anormale. Puis s installe un steppage (déficit des releveurs du pied). L atteinte épargne les muscles respiratoires et les nerfs crâniens. Il existe parfois des crampes (mollets, plante des pieds). 3. Troubles végétatifs Ils sont liés à une atteinte des fibres amyéliniques : hypotension artérielle orthostatique, troubles vésico-sphinctériens, sexuels (impuissance), troubles digestifs (diarrhée, constipation). 4. Examen clinique Il confirme l atteinte symétrique, à prédominance distale, des membres inférieurs : abolition des réflexes achilléens, déficit moteur affectant les releveurs du pied, amyotrophie, déficit sensitif qui peut être discret (examen particulièrement attentif), atteinte végétative (peau et phanères, hypotension). 5. Démarche étiologique Elle dépend de nombreux facteurs : l âge : enfant (rare et héréditaire), adulte (près de deux cents causes), vieillard (recherche souvent infructueuse) ; origine, ethnie : lèpre (neuropathie la plus fréquente dans le monde) ; amylose portugaise ; circonstances : maladie générale (diabète, insuffisance rénale), médicaments, piqûres d insectes ; mode d installation : toujours déterminant (aigu, subaigu, chronique). B. Causes des polyneuropathies axonales Il faut rechercher une cause générale susceptible d altérer la physiologie de l axone. On retiendra donc essentiellement les causes métaboliques et toxiques (dont les médicamenteuses). 1. Polyneuropathie diabétique Le diabète est une des causes les plus fréquentes. L incidence est difficile à estimer, variant de 5 à 60 %, tenant en grande partie à la difficulté de définir la neuropathie diabétique. Sa répartition est égale dans les deux sexes. Plusieurs mécanismes sont en cause : facteurs vasculaires (augmentation de la perméabilité capillaire au niveau du nerf), facteurs métaboliques (accumulation de sorbitol), facteurs immunologiques (infiltrats de lymphocytes et de macrophages dans les fascicules des fibres amyéliniques). Il existe très probablement un lien entre l ancienneté de l hyperglycémie et les neuropathies, qui apparaissent le plus souvent 5 à 10 ans après le début du diabète. De plus, les traitements qui maintiennent une glycémie relativement normale peuvent faire régresser des signes neurologiques (par exemple, douleurs et insuline). Polyneuropathie sensitivomotrice distale Autres Forme la plus souvent observée, associée ou non à une atteinte dysautonomique. Survenant généralement chez des patients dont le diabète évolue depuis plus de 5 ans, le début en est généralement lentement progressif, mais un début aigu peut être observé (coma diabétique, stress, infection, chirurgie) ou lors de l instauration d un traitement par l insuline. Il s agit au début de paresthésies (engourdissements, picotements et brûlures) des pieds et plus rarement des mains. L examen révèle une aréflexie achilléenne et une hypoesthésie affectant la sensibilité thermoalgique «en chaussettes», plus rarement la sensibilité vibratoire. Les douleurs sont fréquentes (pieds et jambes), à type de constriction, de broiement. Les manifestations dysautonomiques comportent des troubles cardiovasculaires (hypotension orthostatique, syndrome de dénervation cardiaque), des troubles de la sphère digestive (constipation, douleurs abdominales, nausées, dysphagie, diarrhée et incontinence fécale), des troubles génitourinaires (impuissance, atonie vésicale), des troubles de la motilité pupillaire et une anhydrose fréquente. Neuropathies motrices proximales (ou amyotrophie diabétique) Elles s installent de façon subaiguë sur quelques jours à semaines : faiblesse musculaire avec amyotrophie des racines des membres inférieurs asymétrique, qui concerne électivement le psoas, les quadriceps, les adducteurs et les muscles postérieurs de cuisse. Des douleurs sont très souvent présentes dans les territoires concernés, d intensité variable parfois importante avec une recrudescence nocturne. Les réflexes ostéotendineux sont diminués ou abolis aux membres inférieurs et il n existe pas de signe sensitif déficitaire. Neuropathies focales et multifocales
7 Elles comportent : les atteintes des nerfs crâniens (surtout oculomoteurs, nerf facial) ; les atteintes des membres (tous les troncs nerveux, mais surtout le nerf ulnaire, le nerf médian et le nerf fibulaire commun) ; l atteinte du nerf fémoral reste la plus évocatrice : début aigu avec douleurs à type d écrasement et à recrudescence nocturne, déficit quadricipital amyotrophiant, abolition du réflexe rotulien, déficit sensitif dans le territoire du nerf fémoral (correspondant à une forme d amyotrophie diabétique tronculaire). Neuropathies du tronc Douleurs de la poitrine et/ou de l abdomen. Traitement Il repose sur l équilibre du diabète (insuline), le contrôle de la douleur, le traitement de l hypotension orthostatique. 2. Causes médicamenteuses et toxiques Les causes médicamenteuses sont les plus fréquentes. Il s agit le plus souvent de polyneuropathies sensitives, parfois douloureuses. Les substances le plus souvent incriminées sont les cytostatiques (notamment la vincristine et les platines : neuronopathies), le disulfirame, la chloroquine, le métronidazole, la thalidomide, l amiodarone, l izoniazide, la nitrofurantoïne, les antirétroviraux. L ENMG peut être utilisé pour dépister les manifestations infracliniques, notamment pour permettre la poursuite de certaines prescriptions (thalidomide). Les causes toxiques sont principalement d origine industrielle, comme le benzène. Elles sont plus rares et peuvent se révéler de manière aiguë. 3. Polyneuropathie toxique alcoolique Traitement Deuxième cause de polyneuropathie dans les pays industrialisés après le diabète, elle affecterait plus de 10 % des alcooliques chroniques. Elle est habituellement secondaire à la toxicité directe de l alcool. L association à une carence en thiamine (vitamine B1), avec ou sans carence en folates associée, est possible. Elle touche les fibres motrices, sensitives et végétatives. La symptomatologie sensitive est prédominante. S installant de façon insidieuse et lentement progressive, la polyneuropathie liée à l alcoolisme chronique se traduit au début par des paresthésies à type de fourmillements, des crampes nocturnes des mollets, une faiblesse motrice s exprimant par une fatigabilité anormale à la marche. Après un certain temps d évolution, le patient se plaint de douleurs en étau et surtout de brûlures avec paroxysmes en éclair, voire une hyperpathie douloureuse diffuse, surtout nocturne. Des troubles cutanés (dépilation, anhydrose, ongles cassants) sont fréquemment associés. L examen clinique met en évidence une hypoesthésie symétrique, «en chaussettes», concernant de façon variable les différentes sensibilités, moins marquée pour la sensibilité proprioceptive. Il révèle une aréflexie achilléenne, une amyotrophie et un déficit moteur prédominant sur les muscles de la loge antéro-externe de jambe. ENMG : les anomalies sont très précoces, axonales. L examen du LCS, habituellement non effectué si le contexte clinique et les données ENMG sont compatibles avec le diagnostic, pourrait montrer une discrète hyperprotéinorachie. Il associe l administration parentérale de vitamines, surtout B1, en cas de carence et de sevrage et un régime riche en protéines, voire, en cas de douleurs importantes, l utilisation de tricycliques. Cette thérapeutique, associée à l arrêt de l intoxication, permet une récupération clinique et électrophysiologique, mais celle-ci peut s étendre sur plusieurs mois. Autres formes cliniques Une polyneuropathie aiguë, responsable d une paraparésie flasque amyotrophiante, de troubles sensitifs intéressant toutes les modalités, et d une aréflexie rapidement ascendante en 24 heures, peut exceptionnellement s observer chez l alcoolique dénutri, volontiers à la suite d un état infectieux. Une forme ulcéromutilante comportant un déficit thermoalgique sévère, des maux perforants plantaires avec ostéolyse, arthropathies, a été individualisée. Enfin, à côté de certaines formes purement motrices, il convient de signaler des formes végétatives, rarement isolées et comportant des troubles de sudation, une hypotension orthostatique, une impuissance, des troubles trophiques et digestifs. Le pronostic est plus réservé, notamment lorsque sont associés des troubles du rythme cardiaque. 4. Amylose primitive (ou secondaire : gammapathie) La recherche d une amylose primitive (mutation de la transthyrétine) doit être effectuée devant une polyneuropathie axonale comportant une expression dysautonomique riche et un syndrome du canal carpien uni- ou bilatéral. Initialement marquées par une symptomatologie douloureuse et thermoalgique, les manifestations s étendent ensuite aux membres supérieurs, au tronc avec des manifestations dysautonomiques. Diagnostic : il est suggéré par le contexte familial (pas toujours présent) ; il est réalisé par la mise en évidence de la substance amyloïde : dans la biopsie des glandes salivaires accessoires, la graisse abdominale ou la biopsie anale ; dans la biopsie du nerf sensitif ; par le test génétique à la recherche d une mutation sur le gène de la transthyrétine (préalbumine) ; la plus fréquente est la VAL/MET 30.
8 5. Vascularite Vingt à 30 % des vascularites prennent la forme d une polyneuropathie, même si le mécanisme est vasculaire. Une mononeuropathie multiple est plus évocatrice. 6. Causes infectieuses Le sida peut entraîner une polyneuropathie sensitive à la phase tardive de l affection. 7. Autres causes D autres causes plus rares de polyneuropathies axonales sont possibles, telles que les dysthyroïdies. V. Principales polyneuropathies démyélinisantes A. Neuropathie à IgM monoclonale à activité anti-mag Neuropathie de la personne de plus de 50 ans. Ataxiante, associée à un tremblement des mains. Peu de déficit moteur au début. Lentement progressive. ENMG : polyneuropathie démyélinisante à prédominance distale. Biologie : IgM monoclonal dont le taux est faible, inférieur à 10 g/l (plus rarement supérieur à 10 g/l dans le cadre d une maladie de Waldenström). Présence d anticorps anti-mag (Myelin-Associated Glycoprotein, constituant de la myéline intervenant dans la compaction de cette dernière). À part, le syndrome POEMS, acronyme en référence aux signes cliniques et biologiques cardinaux de cette affection (Polyneuropathy, Organomegaly, Endocrinopathy, Monoclonal Component, Skin Changes) ; la neuropathie prend généralement la forme clinique d une polyradiculonévrite chronique. B. Neuropathies héréditaires Les neuropathies héréditaires sont dominées par les polyneuropathies sensitivomotrices de Charcot- Marie-Tooth : atrophie fibulaire, pieds creux (fig. 15.5), atteinte sensitivomotrice. Les formes démyélinisantes autosomiques dominantes sont les mieux caractérisées. Le diagnostic est porté par le test génétique : duplication du gène PMP22 sur le chromosome 17 dans les formes dominantes, anomalie du gène de la connexine 32 dans les formes liées à l X. Fig Pied creux (neuropathie de Charcot-Marie-Tooth). VI. Neuronopathies sensitives Les neuronopathies sensitives correspondent à la dégénérescence des neurones sensitifs dans la racine postérieure des nerfs sensitifs. Elles sont caractérisées par des manifestations exclusivement sensitives. L atteinte est typiquement asymétrique et non systématisée en termes de tronc ou de racines, concerne les quatre membres voire la face (25 % des cas) de manière synchrone. L ataxie est fréquente. L aréflexie est diffuse et quasi constante. Elles prédominent sur les grosses ou les petites fibres. Présentations cliniques des neuronopathies sensitives Suivant les causes, leur évolution est soit chronique soit subaiguë. Elles ont le plus souvent un mécanisme dysimmunitaire. Diagnostic Causes Il est porté sur l association d une atteinte sensitive pure clinique confirmée par une atteinte sensitive pure à l ENMG : abolition diffuse des potentiels sensitifs sans anomalie des potentiels moteurs. L analyse du LCS montre : une augmentation de la protéinorachie : < 1 g/l ; une augmentation du nombre de cellules, qui évoque une origine paranéoplasique. Immunologie : la présence d anticorps anti-hu est caractéristique d un syndrome paranéoplasique. Les neuronopathies ont pour causes principales :
9 le cancer du poumon à petites cellules dans le cadre d un syndrome paranéoplasique (syndrome anti- Hu) : il convient de rechercher le cancer par les moyens les plus exhaustifs (scanner thoracique, biopsie, TEP-TDM) ; le syndrome de Gougerot-Sjögren : recherche de syndrome sec oculaire et buccal, biopsie des glandes salivaires accessoires, biologie ; une origine dysimmunitaire sans cause ; une origine toxique : sels de platine des chimiothérapies. VII. Mononeuropathies multiples Elles correspondent à l atteinte de plusieurs troncs nerveux. Elles sont liées : aux maladies de système : périartérite noueuse (PAN), sarcoïdose, cryoglobulinémie (devant faire rechercher une infection par le virus de l hépatite C) ; au diabète. A. Clinique Installation aiguë ou subaiguë. Douleurs, paresthésies pénibles, brûlures Déficit sensitif puis moteur, évoluant vers l amyotrophie. Évolution extensive, confluente, prenant alors le masque d une polyneuropathie car devenue symétrique. L atteinte des nerfs des membres est prédominante. L atteinte des nerfs crâniens est possible (nerfs trijumeaux, nerfs oculomoteurs) en particulier au cours du diabète. Le contexte général oriente vers une maladie de système : fièvre, amaigrissement, arthralgies, myalgies et signes cutanés (livedo, purpura). B. Examen neurophysiologique C. Biologie Montre l atteinte pluritronculaire axonale. Dépiste des anomalies infracliniques. Guide la biopsie sur le nerf sensitif le plus atteint pour la recherche d une vascularite. À la recherche d une cause : NFS, VS, CRP, protéinurie des 24 heures ; sérologies hépatites B et C, VIH ; facteur rhumatoïde, C3, C4, CH50, cryoglobulinémie ; autoanticorps anti-noyaux, anticorps anti-adn, anticorps anti-antigènes solubles (SSA, SSB, SM, centromères ), panca et canca. D. Biopsie neuromusculaire C est l examen clé pour la recherche d une vascularite. Elle est réalisée sur le nerf sensitif le plus atteint, souvent le nerf musculocutané, branche cutanée du nerf fibulaire. Elle peut montrer une vascularite nécrosante, avec nécrose fibrinoïde, un infiltrat inflammatoire de la paroi des artères de moyen calibre. E. Causes Périartérite noueuse, polyarthrite rhumatoïde (en régression), syndrome de Churg et Strauss, syndrome de Gougerot-Sjögren, lupus systémique, infection par le VIH, cryoglobulinémie essentielle ou en rapport avec une infection par le virus de l hépatite C, granulomatose de Wegener, vascularite satellite de cancer. La périartérite noueuse peut se manifester par une atteinte isolée des nerfs périphériques. Le diabète ne nécessite pas de biopsie neuromusculaire. La lèpre, responsable de mononeuropathies multiples à grande prédominance sensitive, est une grande cause de neuropathie dans le monde, mais rare en France. F. Traitement Le traitement est basé sur les corticoïdes et/ou les immunosuppresseurs. CEN - Collège des Enseignants en Neurologie -
NEUROPATHIES PERIPHERIQUES MIGRAINE ET ALGIES NEUROPATHIES PERIPHERIQUES
NEUROPATHIES PERIPHERIQUES MIGRAINE ET ALGIES NEUROPATHIES PERIPHERIQUES Docteur KABORE Raphaël Service de Neurologie CHU Limoges I. Définition : Ensemble des troubles neurologiques liés à l atteinte du
Plus en détailDéficit moteur et/ou sensitif des membres
1 Item 301 Déficit moteur et/ou sensitif des membres I. UN TROUBLE DE LA MOTILITÉ PEUT AVOIR DE NOMBREUSES CAUSES NON NEUROLOGIQUES II. L ORIENTATION DIAGNOSTIQUE, FACE À UN DÉFICIT MOTEUR OU SENSITIF
Plus en détailDéficit neurologique récent. Dr N. Landragin CCA Neuro
Déficit neurologique récent Dr N. Landragin CCA Neuro Question vague: couvre toute la neurologie... ou presque... comprendre une démarche diagnostique en neurologie...? Cas clinique n 1 Mlle M, 21 ans,
Plus en détailH) ATTEINTE NEUROLOGIQUE PERIPHERIQUE NEUROPATHIES ET MYOPATHIES
H) ATTEINTE NEUROLOGIQUE PERIPHERIQUE NEUROPATHIES ET MYOPATHIES Auteur : Prof. Annoni, aidé par le cours de C Bader Table des Matières 1. Objectifs du cours... 3 2. Quelques definitions :... 3 3. Physiopathologie
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailSYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE
SYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE D. VAN LINTHOUDT La Chaux-de-Fonds Lausanne, le 19.11.2004 SYNDROMES DOULOUREUX PAR SURCHARGE DU MEMBRE SUPERIEUR épaule
Plus en détailLa périartérite noueuse Maladie de Küssmaul-Maier
Maladie de Küssmaul-Maier La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailLa maladie de Horton Artérite temporale Artérite à cellules géantes
Artérite temporale Artérite à cellules géantes La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est
Plus en détailLe diagnostic de la sclérose en plaques
Le diagnostic de la sclérose en plaques par le D r J. Marc Girard, neurologue, FRCP(c) 3 e édition VOUS VENEZ TOUT JUSTE DE RECEVOIR un diagnostic de sclérose en plaques de la part d un neurologue? Vous
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailPrise en charge des personnes atteintes de sclérose latérale amyotrophique
RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Prise en charge des personnes atteintes de sclérose latérale amyotrophique Conférence de consensus 23 et 24 novembre 2005 Centre universitaire méditerranéen Nice Texte
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailo Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre
Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des
Plus en détailOrientation diagnostique devant une éosinophilie 1
Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur
Plus en détailDIABETE ET SPORT. Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS
DIABETE ET SPORT Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS DIABETE TYPE 1#TYPE 2 Jeunes sportifs Risque hypoglycémie Adaptation schémas Autosurveillance +++ Sports souvent sources de difficultés Contre
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailMarche normale et marche pathologique
Marche normale et marche pathologique Pr. JM Viton, Dr. L. Bensoussan, Dr. V. de Bovis Milhe, Dr. H. Collado, Pr. A. Delarque Faculté de Médecine, Université de la Méditerranée, Fédération de Médecine
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détailDéficit moteur et/ou sentif des membres
Déficit moteur et/ou sentif des membres I. Causes non neurologiques de déficit moteur ou sensitif II. Stratégie diagnostique III. Examens complémentaires IV. Situations diagnostiques particulières V. Complications
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailLombosciatalgie aigue et chronique Quelle prise en charge? Dr Azizi Fatima Rabat
Lombosciatalgie aigue et chronique Quelle prise en charge? Dr Azizi Fatima Rabat rappeler l examen clinique du rachis Reconnaître les signes d alertes(red flags) Distinguer la lombalgie commune d une lombalgie
Plus en détailMIGRAINES. Diagnostic. A rechercher aussi. Critères IHS de la migraine. Type d aura. Particularités chez l enfant. Paraclinique.
MIGRAINES Diagnostic Critères IHS de la migraine SANS AURA : 5 crises 4-72 heures sans traitement 2 caractéristiques suivantes : Unilatérales Pulsatiles Modérées ou sévères Aggravation par activités physiques
Plus en détailDystrophie musculaire
Définition Les maladies neuromusculaires font référence à un groupe de maladies qui affectent la motricité. Ces maladies se manifestent à des degrés divers par la dégénérescence et l affaiblissement progressif
Plus en détailL anémie hémolytique auto-immune
L anémie hémolytique auto-immune La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailMaladie neuromusculaire
Définitions Maladie neuromusculaire Les maladies neuromusculaires font référence à un groupe de maladies qui affectent la motricité. Ces maladies se manifestent à des degrés divers par la dégénérescence
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détailLE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE
LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE Le psoriasis est apparu longtemps comme une maladie de peau isolée mais des études épidémiologiques internationales ces dernières années ont
Plus en détailLa maladie de Still de l adulte
La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée
Plus en détailLa maladie de Wegener La granulomatose de Wegener
La granulomatose de Wegener La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailPLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE
PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total
Plus en détailneurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004
11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE
Plus en détailSémiologie : neurologie
Université Pierre et Marie Curie Sémiologie : neurologie Niveau PCEM2 2000-2001 Les neurologues du groupe Pitié-Salpêtrière Mise à jour : 10 novembre 2000 2/102 Sémiologie : neurologie - Les neurologues
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailA.V.C. Solutions aux séquelles neurologiques du membre inférieur et supérieur. d ATTELLES NEURO - ORTHOPÉDIQUES
Solutions aux séquelles neurologiques du membre inférieur et supérieur A.V.C. Gamme innovante d ATTELLES NEURO - ORTHOPÉDIQUES Pour une réhabilitation motrice facilitée SYSTÈME DE RÉGLAGE BLOCABLE LIBERTÉ
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailSYMPTOMES ANO-RECTAUX ET MALADIES NEUROLOGIQUES. Gérard Amarenco
SYMPTOMES ANO-RECTAUX ET MALADIES NEUROLOGIQUES Gérard Amarenco Service de Rééducation Neurologique et d Explorations Périnéales Hôpital Rothschild, Assistance Publique- Hôpitaux de Paris, 75571 Paris
Plus en détailService d Urologie - Hôpital de la Conception - APHM. 2. Service de Gynécologie Obstétrique - Hôpital de la Conception - APHM. 3
Efficacité de la stimulation transcutanée chronique du nerf tibial postérieur dans l hyperactivité vésicale de la femme atteinte de Maladie de Parkinson ou d Atrophie Multisystématisée A. Ohannessian 1,2,4,
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailConseils aux patients* Lutter activement. *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou
Conseils aux patients* Lutter activement contre la thrombose *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou 2 Mentions légales Directeur de la publication : Bayer
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailLe psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se
Le psoriasis est une maladie fréquente Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se traduit le plus souvent par des plaques rouges sur la peau, légèrement surélevées
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailNeuropathie motrice multifocale (NMM) Diagnostic difficile, confusion facile, traitement efficace
CURRICULUM Forum Med Suisse 2006;6:981 987 981 Neuropathie motrice multifocale (NMM) Diagnostic difficile, confusion facile, traitement efficace Andreas Baumann, Matthias Sturzenegger Neurologische Klinik
Plus en détailGamme PHENIX Portable. Toute l électrothérapie dans un portable
Gamme PHENIX Portable Toute l électrothérapie dans un portable PHYSIO PHYSIOSTIM URO Les exclusivités de la gamme PHENIX Portable PHYSIO PHYSIOSTIM URO Les PHENIX Portable sont les seuls appareils portables
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détailLe VIH et votre apparence physique
Le VIH et votre apparence physique Le VIH et votre apparence physique Les personnes séropositives subissent-elles souvent des changements de l apparence physique? Il est difficile de dire avec exactitude
Plus en détailLES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES. Le 2 décembre 2008
LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES Le 2 décembre 2008 DEROULEMENT DE LA RENCONTRE 1ère partie : les localisations des TMS, les facteurs d'apparition, la prise en charge thérapeutique 2ème partie : les chiffres
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailSOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat
SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014 Psoriasis Rapport du Secrétariat 1. Le Conseil exécutif, à sa cent trente-troisième session,
Plus en détailDéfinitions. PrioritéVie MC. Votre assurance contre le risque de maladie grave
Définitions PrioritéVie MC Votre assurance contre le risque de maladie grave Le présent document ne constitue qu un exemple de libellé et n a aucune force exécutoire. En cas de divergence entre les renseignements
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailFonction de conduction de la moelle épinière. Dr F. TOUMI
Fonction de conduction de la moelle épinière Dr F. TOUMI I. GENERALITES : Communication Moelle avec les centres supra spinaux Communication Intra segmentaire (ipsilatérale / controlatérale) Communication
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détail1ST2S Biophysiopathologie : Motricité et système nerveux. 2012-2013. La physiologie neuro-musculaire :
La physiologie neuro-musculaire : Introduction : Le neurone possède 3 propriétés indispensables pour assurer sa fonction au sein de l organisme : -l excitabilité : capacité à répondre à un stimulus -la
Plus en détailDéfinitions. PrioritéVie Enfant MC. Assurance contre le risque de maladie grave
Définitions PrioritéVie Enfant MC Assurance contre le risque de maladie grave Le présent document ne constitue qu un exemple de libellé et n a aucune force exécutoire. En cas de divergence entre les renseignements
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailLes nouveaux traitements de fond de la SEP
Sclérose en plaques : les nouveaux traitements Guillaume MATHEY, Hôpital de Metz-Mercy Les nouveaux traitements de fond de la SEP Le but des traitements de fond Forme par poussées 2 ième ligne TYSABRI
Plus en détailAPONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras
APONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras Didier FONTÈS Institut Main, Epaule et Sport Paris Espace Médical Vauban - Paris VII e Séminaire DIU d Arthroscopie 2012 Le
Plus en détailTout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailL EXAMEN MEDICAL PREALABLE A LA PRESCRIPTION QUELLE EVALUATION INITIALE? Dr Jean-Marc SENE médecin du sport - CHU Pitié-Salpétrière
L EXAMEN MEDICAL PREALABLE A LA PRESCRIPTION QUELLE EVALUATION INITIALE? Dr Jean-Marc SENE médecin du sport - CHU Pitié-Salpétrière INTRODUCTION INDICATIONS EVALUATION INITIALE PRESCRIPTION ET SUIVI CONCLUSION
Plus en détailL ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS
L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE Vincent de PARADES PARIS INTRODUCTION L incontinence anale du post-partum partum relève de deux mécanismes : la déchirure de l
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailSérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde
1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détail& BONNES POSTURES TMS TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES. Le guide. Guide offert par la MNT
A5-MNTrefonte.indd 1 28/07/2011 08:28:01 & BONNES S TMS TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES Le guide Guide offert par la MNT A5-MNTrefonte.indd 2 28/07/2011 08:28:02 SOULEVER UN OBJET LOURD OU UNE PERSONNE
Plus en détailEvaluation de la gravité et complications chez un traumatisé des membres
Evaluation de la gravité et complications chez un traumatisé des membres Dr. C. LAZERGES, Dr. B. COULET, Pr. M. CHAMMAS Service de Chirurgie Orthopédique 2 et Chirurgie de la Main CHU Lapeyronie Montpellier
Plus en détailAPRES VOTRE CHIRURGIE THORACIQUE OU VOTRE PNEUMOTHORAX
Hôpital Privé d Antony APRES VOTRE CHIRURGIE THORACIQUE OU VOTRE PNEUMOTHORAX Livret d information Hôpital Privé d Antony OPC/KINE/297 Page 1 sur 6 Intervenants Rédigé par : Nom Profession Le Visa C.DUPUY
Plus en détailDiabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques
Diabète Type 2 Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Épidémiologie 90% de tous les cas de diabètes Environ 1 personne sur 20 est atteinte Diabète gras Facteur de risque majeur pour les
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailEXAMEN CLINIQUE D UN TROUBLE DE LA STATIQUE PELVIENNE
EXAMEN CLINIQUE D UN TROUBLE DE LA STATIQUE PELVIENNE Pr Claude Hocké Pôle Gynécologie- Obstétrique-Reproduction Hôpital Pellegrin CHU Bordeaux 1 INTERROGATOIRE IL RESTE FONDAMENTAL ET PEUT ÊTRE DIVISÉ
Plus en détailLa maladie de Berger Néphropathie à IgA
Néphropathie à IgA La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer
Plus en détailL indépendance à chaque pas de la vie. Groupe. Votre meilleur allié. Visitez notre site : www.groupe-g2m.com
L indépendance à chaque pas de la vie. Votre meilleur allié. Groupe Visitez notre site : www.groupe-g2m.com : Votre meilleur allié. Dispositif médical unique Le système WalkAide est une neuro-orthèse de
Plus en détailLes fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures
Plus en détailVue d ensemble destinée au grand public
Syndrome de Guillain-Barré, polyneuropathie démyélinisante inflammatoire chronique (CIDP) et formes variantes Vue d ensemble destinée au grand public Au service des patients souffrant du syndrome de Guillain-Barré,
Plus en détail