Centre Hospitalier et Universitaire de Lille, Facultéde Médecine Henri Warembourg, Universitéde Lille2

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Centre Hospitalier et Universitaire de Lille, Facultéde Médecine Henri Warembourg, Universitéde Lille2"

Transcription

1 Les recommandations Françaises pour la gestion autour d'un patient porteur d'epc pour prévenir la diffusion de cette Bactérie Hautement Résistante aux antibiotiques émergente (BHRe) Bruno Grandbastien Faculté de Médecine Henri Warembourg, Université de Lille 2 CHRU de Lille Commission «Sécurité des patients», Haut Conseil de la santé publique Centre Hospitalier et Universitaire de Lille, Facultéde Médecine Henri Warembourg, Universitéde Lille2 Haut Conseil de la santépublique (HCSP) ; Commission «Sécuritédes patients : infections nosocomiales et autres événements liés aux soins et aux pratiques»(cssp) Société Française d Hygiène Hospitalière (SF2H) Journée ARLIN Nord Pas de Calais LIlle B. Grandbastien 19/03/2013-2

2 Les enjeux des EPC (1) Episodes à entérobactéries productrices de carbapénémases (EPC) signalés en France ( ) 299 épisodes 64% des cas = lien avec l étranger sauf OXA-48 (Bilan au 03/10/2012) Source : InVS, signalement des infections nosocomiales. Journée ARLIN Nord Pas de Calais LIlle B. Grandbastien 19/03/ Les enjeux des EPC (2) % d isolats de K. pneumoniae résistants aux carbapénèmes, 2008 % d isolats de K. pneumoniae résistants aux carbapénèmes, 2011 <1% Source : European Antimicrobial Resistance Surveillance System (EARSnet). 27% 68% Journée ARLIN Nord Pas de Calais LIlle B. Grandbastien 19/03/2013-4

3 EPC : des cas sporadiques mais aussi des épidémies Journée ARLIN Nord Pas de Calais LIlle B. Grandbastien 19/03/ EPC : des cas sporadiques mais aussi des épidémies importantes Epidémie K.pneumoniae OXA-48 en Lorraine décembre 2009 octobre 2012 Dépistages actif autour des cas Journée ARLIN Nord Pas de Calais LIlle B. Grandbastien 19/03/2013-6

4 Contexte français : les objectifs du PROPIN pour les émergents l incidence des bactériémies associées aux CVC en réanimation a diminué de 25% l incidence des ISO pour 100 interventions cibles àfaible risque en chirurgie programmée a diminuéde 25%, y compris pour les infections profondes l incidence des AES pour 100 admissions dans les ES a baisséde 25%, globalement et par catégorie d ES l incidence de SARM(p.1000 JH) parmi les isolats cliniques de S.aureus(y compris l incidence des bactériémies) a diminuéde 25% au niveau national et dans chaque interrégion la proportion de souches ERG parmi les E.faeciumreste <1%au niveau national et dans chaque inter-région Journée ARLIN Nord Pas de Calais LIlle B. Grandbastien 19/03/ Les recommandations EPC en France Prévention de l émergence des entérobactéries résistantes à l imipénèmepar carbapénèmase. CLIN Central-APHP. Février Disponible sur Maîtrise de la diffusion des bactéries commensales multirésistantes aux antibiotiques importées en France lors de la prise en charge de patients rapatriés de l étranger. HCSP, Novembre Disponible sur avisrapports/hcspr _bmrimport.pdf Maîtrise de la diffusion des BMR importées en France par des patients rapatriés ou ayant des antécédents d hospitalisation à l étranger. CsSP, HCSP. Mars 2011 Disponible sur Lepelletier D et al. J Travel Med 2011;18: Journée ARLIN Nord Pas de Calais LIlle B. Grandbastien 19/03/2013-8

5 Le cadre réglementaire aujourd hui Circulaire du 6 décembre 2010 relative àla mise en œuvre de mesures de contrôle des cas importés d entérobactéries productrices de carbapénémases(epc) suivie d une FAQ Instruction du 26 août 2011 relative aux mesures de contrôle des entérobactéries productrices de carbapénémases(epc) Circulaire du 9 mai 2012 relative àl organisation des rapatriements sanitaires vers la France de patients porteurs de maladies transmissibles nécessitant un isolement ou de bactéries multi-résistantes (BMR) Journée ARLIN Nord Pas de Calais LIlle B. Grandbastien 19/03/ Expérience des établissements français Enquête SF2H en ligne, juin 2012 Quelques items décrivant l établissement Organisation de l alerte = Repérage des patients à risque Procédures mises en place pour la gestion de telles situations : organisation dépistages gestion des réadmissions Expérience de gestion de telles situations Journée ARLIN Nord Pas de Calais LIlle B. Grandbastien 19/03/

6 Expérience des établissements français : principaux résultats 286 répondants (tous statuts, toute taille, ) Repérage des patients «àrisque»±organisé - surtout pour les rapatriements (57%) vs ATCD (47%) - peu d utilisation du SIH Expérience de gestion de patients àrisque ou de BHRe (38%) Mesures d hygiène renforcées + dépistage +++ Peu de cas secondaires après mise en place des mesures spécifiques (13%) Journée ARLIN Nord Pas de Calais LIlle B. Grandbastien 19/03/ Objectifs de la révision 2013 Actualiserles recommandations de détection et de prise en charge des patients colonisés ou infectés par ces BHR Harmoniser les recommandations françaises Rendre ces recommandations plus opérationnelles et compréhensibles pour les établissements de santé Diffuser une conduite àtenir pragmatiqueet commune aux EPC et ERG, voire àcelles de demain et transmissibles par contact : au regard de la prise en charge des cas suspects, des cas avérés, des contacts en termes de suivi de dépistage en termes d organisation des soins en fonction du moment de la suspicion ou de la détection (admission, en cours d hospitalisation, lors d une réadmission, etc.). Journée ARLIN Nord Pas de Calais LIlle B. Grandbastien 19/03/

7 Organisation du travail Sous l égide du HCSP, partenariat avec la SF2H Groupe de travail pluridisciplinaire Enquête auprès des adhérents de la SF2H Enquête RAISIN /C-CLINs/ InVS; surveillance des EPC à partir des signalements Analyse bibliographique littérature recommandations internationales Auditions : CNR, ecdc Rapport : 1 er trimestre 2013 (validation 10 avril) Journée ARLIN Nord Pas de Calais LIlle B. Grandbastien 19/03/ Groupe de travail (1) Astagneau Pascal Baud Olivier Berthelot Philippe Blanckaert Karine Bonnet Richard Bouscarra Joël Coignard Bruno Ducron Corinne Fournier Sandra Grandbastien Bruno Jarlier Vincent Le Coustumier Alain Lepelletier Didier Médecin de santé publique, CCLIN Paris-Nord, Paris, CsSP Médecin hygiéniste, ARLIN Auvergne, Clermont-Ferrand Médecin hygiéniste, CHU Saint Etienne, CsSP, Président de la SF2H, co-pilote groupe BHRe 2013 Médecin hygiéniste, ARLIN Nord, Lille Microbiologiste, CHU Clermont-Ferrand, CA-SFM, CNR associé, SFM Médecin de MPR, SSR, Collioures Médecin épidémiologiste, InVS, Saint Maurice, CsSP IDE hygiéniste, CH Béthune Médecin hygiéniste, AP-HP, Paris Médecin hygiéniste, CHU Lille, président de la CsSP, SF2H Microbiologiste, AP-HP, Paris Microbiologiste, CH Cahors, ColBVH Médecin hygiéniste, CHU Nantes, CsSP et SF2H, co-pilote et rapporteur du groupe BHR 2011 et BHRe2013 Journée ARLIN Nord Pas de Calais LIlle B. Grandbastien 19/03/

8 Groupe de travail (2) Lucet Jean-Christophe Médecin hygiéniste, AP-HP, Paris, SF2H Mallaval Franck-Olivier Médecin hygiéniste, CH Chambery Nicolas-Chanoine M-Hélène Microbiologiste, AP-HP, Paris, ONERBA Rabaud Christian Médecin infectiologue, CHU Nancy, CsSP, CClinEst, Président de la SPILF SouweineBertrand Médecin réanimateur, Clermont Ferrand, membre du GT EBLSE, HCSP 2010 van de Woestyne Philippe Directeur, CHU Lille van der MeeNathalie-Marquet Médecin hygiéniste, CHU Tours, Réseau des Hygiénistes du Centre - ARLIN Vaux Sophie Pharmacien épidémiologiste, InVS, Saint Maurice Chargés de mission : Gagnaire Julie Lasserre Camille Assistante Hospitalo-Universitaire, CHU Saint Etienne Assistante Hospitalo-Universitaire, CHU Nantes (Adresse actuelle CHU Brest) Journée ARLIN Nord Pas de Calais LIlle B. Grandbastien 19/03/ Plan du rapport (1) Introduction 1 Généralités 1.1 Principes généraux de contrôle des BHR émergentes (BHRe) parmi les mesures de prévention de la transmission croisée 1.2 Définitions 2 Fiches thématiques 2.1 Organisation des circuits, surveillance, communication 2.2 Le dépistage, diagnostic microbiologique et ressources 2.3 Gestion des excreta Journée ARLIN Nord Pas de Calais LIlle B. Grandbastien 19/03/

9 Plan du rapport (2) Introduction 1 Généralités 2 Fiches thématiques 3 Fiches techniques opérationnelles 3.1 Argumentaire 3.2 Mesures générales àappliquer dès l identification de BHRe, quelle que soit la situation 3.3 Admission d un patient hospitalisé à l étranger dans l année précédente 3.4 Découverte «fortuite»d un patient porteur de BHReen cours d hosp. 3.5 Contrôle d une épidémie (diffusion secondaire) 3.6 Admission d un patient déjà connu porteur d une BHRe 3.7 Admission d un patient contact lors d une situation épidémique 3.8 Admission d un patient contact en dehors d une situation épidémique 3.9 Devenir après sortie patient court séjour : SSR, HAD, EHPAD, domicile, Journée ARLIN Nord Pas de Calais LIlle B. Grandbastien 19/03/ Données de la littérature Efficacitédes mesures de cohorting(locaux et personnels dédiés), de dépistage, d audit des mesures d hygiène et de feedback des résultats associées àune coordination pluridisciplinaire en contexte d épidémie non maîtrisée SchwaberMJ. Clin Infect Dis.2011;52: Carmeli Y. Clin Microbiol Infect. 2010;16: Tzouvelekis LS. Clin Microbiol Rev. 2012;25: Maitrise de la consommation des antibiotiques + mesures d hygiène ECDC TECHNICAL REPORT. Risk assessment on the spread of carbapenemase-producing Enterobacteriaceaethrough patient transfer between healthcare facilities, with special emphasis on cross-border transfer. Journée ARLIN Nord Pas de Calais LIlle B. Grandbastien 19/03/

10 Comment lutter contre ces BHRe? Weinstein, Emerging infectious diseases 2001 Journée ARLIN Nord Pas de Calais LIlle B. Grandbastien 19/03/ Journée ARLIN Nord Pas de Calais LIlle B. Grandbastien 19/03/

11 Différents niveaux de risque de diffusion (pour un patient «contact») Risque faiblelorsque le patient porteur a étépris en charge en PCC dès son admission Risque moyen lorsque le patient porteur a été identifié en cours d hospitalisation risque devenant faible si aucun cas secondaire n a été identifié après plusieurs séries de dépistage d autant que les patients contact ont étédépistés alors qu ils sont sous antibiotiques Risque élevélorsque des porteurs (cas secondaires)sont identifiés parmi les contacts (situation épidémique) Journée ARLIN Nord Pas de Calais LIlle B. Grandbastien 19/03/ Définitions de BHRe Est définie en 2013 comme une «Bactérie hautement résistante émergente»(bhre) 1.Bactérie commensale du tube digestif 2.Résistante àde nombreux antibiotiques 3.Avec des mécanismes de résistance aux antibiotiques transférables entre bactéries 4.Emergente selon l épidémiologie connue, c est-à-dire n ayant diffuséen France que sous un mode sporadique ou un mode épidémique limité Ainsi on considèrera comme BHRe Parmi les bacilles à Gram négatif a: Entérobactéries productrices de carbapénémases(epc) Parmi les cocciàgram positif b: Enterococcus faecium résistant aux glycopeptides(erg) Rajout caractère émergent Journée ARLIN Nord Pas de Calais LIlle B. Grandbastien 19/03/

12 Recommandations pour les laboratoires Pour tout laboratoire de biologie médicale : liens fonctionnels avec un laboratoire compétent (ex CHU de sa région)ou avec le CNR de la résistance aux antibiotiques pour obtenir en 4 jours maximum (temps de transfert de la souche inclus) l identification du mécanisme de résistance de(s) souches suspectes d être une EPC Disposition en permanence dans sa chambre froide pour la recherche des EPC d au moins : des géloses sélectives pour la recherche d entérobactéries résistantes aux C3G des disques d ertapénème des outils pour mesurer la CMI de l ertapénème Journée ARLIN Nord Pas de Calais LIlle B. Grandbastien 19/03/ Recommandations pour l organisation des établissements Mise àdisposition par les établissements des moyens (humains et matériels) pour le respect des précautions standard Évaluation régulière des besoins des secteurs Cibles ++ de ces précautions standard Hygiène des mains : dont la gestion correcte des gants Entretien de l environnement dont les matériels partagés Place ++ des outils de gestion des excreta Lave-bassins en nb adapté, compatible avec les bassins Dispositifs à UU ou sac collecteurs Journée ARLIN Nord Pas de Calais LIlle B. Grandbastien 19/03/

13 Quelques idées pour ces nouvelles recommandations (1) Importance du bilan initial lors de la prise en charge des patients «àrisque d être porteurs de BHRe» identification de ces patients rapatriement ou ATCD d hospitalisation dans l année à l étranger transfert d un établissement sanitaire français dans un autre et ayant étéen contact avec un patient porteur de BHRe ré-hospitalisation et ayant été antérieurement connu porteur de BHRe ayant étéen contact d un cas porteur d une BHRe mise en œuvre de précautions complémentaires d hygiène d emblée : PCC en chambre individuelle rapidité des premiers dépistages Journée ARLIN Nord Pas de Calais LIlle B. Grandbastien 19/03/ Illustration : prise en charge d un patient découvert porteur/infecté à une BHRe en cours d hospitalisation Dès le jour du résultat: Placer le patient chambre individuelle avec des PCCdès la découverte Prendre en charge le patient par du personnel dédié sinon : renforçer les effectifs en personnel paramédical organiser les soinsen «marche en avant» Arrêter les transferts des patients de l unité(porteur et patients contact) vers d autres services ou d autres établissements de santé(es). Les retours au domicile sont autorisés Identifier les contacts présents et les dépister Journée ARLIN Nord Pas de Calais LIlle B. Grandbastien 19/03/

14 Illustration : prise en charge d un patient découvert porteur/infecté à une BHRe en cours d hospitalisation Dès le jour du résultat: Dans les jours suivants: Identifier les contacts déjàtransférés dans d autres services ou établissements avant la découverte du porteur Placer ces contacts en PCC et débuter leur dépistage Programmer au moins 3 dépistages des contacts àune semaine d intervalle, sauf si sortie à domicile. Ne pas transférer les contacts dans d autres unités ou ES (bénéfice/risque à évaluer) Journée ARLIN Nord Pas de Calais LIlle B. Grandbastien 19/03/ Illustration : prise en charge d un patient découvert porteur/infecté à une BHRe en cours d hospitalisation Deux cas de figure àl issue des 3 dépistages des contacts : Pas de cas secondaire(tous les dépistages sont négatifs) Si le patient «cas»pris en charge par du personnel dédiédepuis son identification : poursuite des dépistages des «contacts» non obligatoire, laissée à l appréciation de l EOH, transferts des «contacts» peuvent reprendre. Si le patient «cas»n a pas étépris en charge par du personnel dédié: dépistages hebdo. des patients de l unité tant que le patient est présent si un patient de l unitéest transféré, il est placéen PCC dans le service d accueil et dépistéau moins une fois, ou plus si l EOH le juge nécessaire après la sortie d hospitalisation du patient porteur, réaliser au moins un dépistage post exposition des patients présentsdans l unitéet si aucun cas secondaire n a été identifié, les dépistages sont arrêtés Au moins 1 cas secondaire, appliquer les mesures de contrôle d une épidémie Journée ARLIN Nord Pas de Calais LIlle B. Grandbastien 19/03/

15 Quelques idées pour ces nouvelles recommandations (2) Gestion des antibiotiques rôle ++ du référent en antibiologie de l établissement Précautions d hygiène : les (re)définir le «péril fécal» : gestion des excreta l environnement rappeler un principe intangible : «un portage de BHRene doit pas faire perdre de chanceàun patient» les adapter au type de prise en charge (MCO, EHPAD, ) organiser si nécessaire des renfortspour les équipes (nuit, WE), voire des équipes dédiées Journée ARLIN Nord Pas de Calais LIlle B. Grandbastien 19/03/ Quelques idées pour ces nouvelles recommandations (3) Management des alertes «BHR»: EOH en 1 ère ligne (avec appui du réseau Cclin/Arlin) Stratégies différentes si : patient déjà connu découverte en cours d hospitalisation et prise en compte du contexte observance des précautions d hygiène Politique de maîtrise des BMR «standard»; gestion des entérobactéries βlse Journée ARLIN Nord Pas de Calais LIlle B. Grandbastien 19/03/

16 Calendrier Finalisation en cours Phase de relecture dès mercredi 20 mars Validation HCSP : 10 avril 2013 Journée ARLIN Nord Pas de Calais LIlle B. Grandbastien 19/03/ Journée ARLIN Nord Pas de Calais LIlle B. Grandbastien 19/03/

Prévention de la transmission croisée des Bactéries Hautement Résistantes aux antibiotiques émergentes (BHRe)

Prévention de la transmission croisée des Bactéries Hautement Résistantes aux antibiotiques émergentes (BHRe) Prévention de la transmission croisée des Bactéries Hautement Résistantes aux antibiotiques émergentes (BHRe) Collection Documents Prévention de la transmission croisée des Bactéries Hautement Résistantes

Plus en détail

Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen

Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen Gestion d un cas de portage d entérocoque résistant aux glycopeptides (ERG- ERV) Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen IXème Journée régionale de Prévention des infections associées aux

Plus en détail

La stratégie de maîtrise des BHRe est-elle coût-efficace? Gabriel Birgand

La stratégie de maîtrise des BHRe est-elle coût-efficace? Gabriel Birgand La stratégie de maîtrise des BHRe est-elle coût-efficace? Gabriel Birgand 1 Quelles questions se poser? 1. La stratégie de maîtrise des BHRe est-elle efficace? 2. Combien coûtent les colonisations/infections

Plus en détail

Programme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012

Programme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012 Programme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012 Pr Coordonnateur Groupe de Pilotage du Programme National de Lutte contre les Infections Nosocomiales Séminaire National

Plus en détail

Présentation générale du Programme

Présentation générale du Programme Contexte Le Propias fait suite à Plan stratégique national 2009-2013 de prévention des infections associées aux soins Programme national de prévention des infections nosocomiales 2009-2013 (Propin) Programme

Plus en détail

Evaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : Résultats préliminaires

Evaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : Résultats préliminaires Evaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : culture versus PCR Résultats préliminaires J. Assoukpa, L. Dupraz, D. Lecointe UFHHLIN, Centre Hospitalier Sud Francilien,

Plus en détail

Collection Avis et Rapports

Collection Avis et Rapports Maîtrise de la diffusion des bactéries multirésistantes aux antibiotiques importées en France par des patients rapatriés ou ayant des antécédents d hospitalisation à l étranger Collection Avis et Rapports

Plus en détail

Mise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire

Mise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire Mise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire Murielle Galas, Gaëlle Dunoyer, Claude Olive, Rafaëlle Théodose, François Lengellé, Patrick Hochedez,

Plus en détail

Présentation des intervenants et modérateurs

Présentation des intervenants et modérateurs «NOSOPICARD 2015», 20 ème Rencontre d Hygiène Hospitalière, de Prévention et de Lutte contre les Infections Associées aux Soins Présentation des intervenants et modérateurs Roland GORI est : Professeur

Plus en détail

Les Infections Associées aux Soins

Les Infections Associées aux Soins Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999

Plus en détail

Prévalence du portage digestif des entérocoques résistants aux glycopeptides (ERG) dans les établissements de santé de la région Lorraine, juin 2007

Prévalence du portage digestif des entérocoques résistants aux glycopeptides (ERG) dans les établissements de santé de la région Lorraine, juin 2007 Maladies infectieuses Prévalence du portage digestif des entérocoques résistants aux glycopeptides (ERG) dans les établissements de santé de la région Lorraine, juin 2007 MINISTÈRE DE LA SANTÉ, DE LA JEUNESSE,

Plus en détail

BILLON, C. BURNAT, S.DELLION C. FORTAT, M. PALOMINO O. PATEY

BILLON, C. BURNAT, S.DELLION C. FORTAT, M. PALOMINO O. PATEY Gestion d une épidémie de Klebsiella pneumoniae (Kpn) productrice de carbapénèmase OXA 48 dans un service de Maladies nfectieuses et Tropicales francilien. C. BLLON, C. BURNAT, S.DELLON C. FORTAT, M. PALOMNO

Plus en détail

Transfert international de patients, diffusion des BMR, et leur contrôle

Transfert international de patients, diffusion des BMR, et leur contrôle Transfert international de patients, diffusion des BMR, et leur contrôle Dr Bruno Coignard Institut de veille sanitaire (InVS), Saint-Maurice XX ème Journée Annuelle Sud-Est de Lutte contre les Infections

Plus en détail

Existe t il des effets pervers à l identification du portage de BMR?

Existe t il des effets pervers à l identification du portage de BMR? Existe t il des effets pervers à l identification du portage de BMR? J P Bedos, Réanimation, Hôpital Mignot Journée Antibio Résistance et Infections, 5 décembre 2013 Effets pervers des Conflits d intérêt

Plus en détail

BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents

BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents L. Grolier-Bois - Médecin hygiéniste Centre Hospitalier de Bretagne-Sud (56) Centre Hospitalier de Quimperlé (29) ARLIN BRETAGNE Journée Régionale de Formation

Plus en détail

THÈSE POUR LE DIPLÔME D ÉTAT DE DOCTEUR EN MÉDECINE

THÈSE POUR LE DIPLÔME D ÉTAT DE DOCTEUR EN MÉDECINE UNIVERSITÉ PARIS DIDEROT - PARIS 7 FACULTÉ DE MÉDECINE Année 2013 n THÈSE POUR LE DIPLÔME D ÉTAT DE DOCTEUR EN MÉDECINE PAR BOYER CHAMMARD Timothée Antoine Philippe Né le 4 avril 1983 à Paris 15 ème Présentée

Plus en détail

Stratégies de dépistage des bactéries multirésistantes. Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA

Stratégies de dépistage des bactéries multirésistantes. Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA Stratégies de dépistage des bactéries multirésistantes à l hôpital et en MRS: Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA Prof. Dr. Youri Glupczynski Unité d Hygiène hospitalière & Laboratoire de

Plus en détail

Définition de l Infectiologie

Définition de l Infectiologie Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage

Plus en détail

Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014

Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion

Plus en détail

PSDP et usage des pénicillines - ESAC

PSDP et usage des pénicillines - ESAC Plan National d alerte sur les Antibiotiques 2011/2016 Déclinaison régionale Pr Pierre DELLAMONICA CHU de Nice ARS 29/11/12 1 Plans précédents 2001/2005 et 2007/2010 «Menace de santé publique majeure»

Plus en détail

LA RECHERCHE INFIRMIERE: une exigence professionnelle / cas concret. La recherche infirmière. Cas concret : où se déroule-t-il?

LA RECHERCHE INFIRMIERE: une exigence professionnelle / cas concret. La recherche infirmière. Cas concret : où se déroule-t-il? LA RECHERCHE INFIRMIERE: une exigence professionnelle / cas concret 2ème journée infirmier(e)s / sages-femmes Université des Sciences de la Santé 20 novembre 2004 Stéphanie OGER 1 La recherche infirmière

Plus en détail

DECLARATION PUBLIQUE D'INTERETS (DPI)

DECLARATION PUBLIQUE D'INTERETS (DPI) DECLARATION PUBLIQUE D'INTERETS (DPI) Arrêté du 5 juillet 2012 portant fixation du document type de la déclaration publique d'intérêts mentionnée à l'article L. 1451-1 du code de la santé publique Je soussigné(e)

Plus en détail

Référentiel Officine

Référentiel Officine Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine

Plus en détail

Lecture critique. Maîtrise de la diffusion de la résistance aux antibiotiques l hôpital : le rôle de l hygiène hospitalière D. Lepelletier, N.

Lecture critique. Maîtrise de la diffusion de la résistance aux antibiotiques l hôpital : le rôle de l hygiène hospitalière D. Lepelletier, N. Maîtrise de la diffusion de la résistance aux antibiotiques l hôpital : le rôle de l hygiène hospitalière D. Lepelletier, N. Marty Lecture critique Monica Attinger - Unité HPCI Forum HH 10 mars 2015 Article

Plus en détail

PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE

PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE PG SPI SUR 014 v1 2011 1/5 OBJET Conduite à tenir dans le cadre de l'arrivée d'un patient atteint ou suspect de portage de Clostridium

Plus en détail

Résistance aux Antimicrobiens: Ensemble, nous pouvons réduire ce risque

Résistance aux Antimicrobiens: Ensemble, nous pouvons réduire ce risque Résistance aux Antimicrobiens: Ensemble, nous pouvons réduire ce risque Débats de Santé Publique 2014 Carmem Lúcia Pessoa-Silva, MD, PhD Health Security and Environment, WHO Headquarters, Geneva pessoasilvacl@who.int

Plus en détail

Bulletin N 47 AU SOMMAIRE BLOC-NOTES ERRATUM. Octobre 2008 - Trimestriel. Bloc-Notes. Erratum. Annuaire web du CCLIN Ouest.

Bulletin N 47 AU SOMMAIRE BLOC-NOTES ERRATUM. Octobre 2008 - Trimestriel. Bloc-Notes. Erratum. Annuaire web du CCLIN Ouest. Bulletin N 47 Octobre 2008 - Trimestriel AU SOMMAIRE Bloc-Notes p. 1 Erratum p. 1 C.CLIN Ouest BLOC-NOTES Nouveautés du site http://www.cclinouest.com - Les résultats de la surveillance des Bactéries Muti-Résistantes

Plus en détail

Comment devenir référent? Comment le rester?

Comment devenir référent? Comment le rester? Comment devenir référent? Comment le rester? Patrick CHOUTET Service des Maladies infectieuses CHU Bretonneau Tours RICAI décembre 2005 Quels enjeux? autres que le pouvoir Total Outpatient antibiotic use

Plus en détail

La découverte et l utilisation

La découverte et l utilisation GRAND ANGLE TC 151 Antibiorésistance et conséquences en santé au travail pour les soignants en résumé AUTEURS : R. Vincent, C. Le Bâcle, département Études et assistance médicales, INRS Le développement

Plus en détail

La communication engageante dans la campagne de vaccination contre la grippe

La communication engageante dans la campagne de vaccination contre la grippe La communication engageante dans la campagne de vaccination contre la grippe L expérience du Centre Hospitalier de DIEPPE Chantal DELESTRE, infirmière de Santé au Travail Dr Stéphanie ROCHON EDOUARD, Praticien

Plus en détail

Précautions standard et complémentaires : quelles mesures pour quels patients?

Précautions standard et complémentaires : quelles mesures pour quels patients? 5 ème journée des référents en antibiothérapie Précautions standard et complémentaires : quelles mesures pour quels patients? Philippe Berthelot, Unité d hygiène inter hospitalière, Service des Maladies

Plus en détail

Nouvel audit du grephh : evaluation des précautions complémentaires

Nouvel audit du grephh : evaluation des précautions complémentaires Actualités du CCLIN EST et de ses 5 antennes régionales Décembre 2013 Nouvel audit du grephh : evaluation des précautions complémentaires Dans le prolongement de l audit précautions standard, le Groupe

Plus en détail

Audition publique sur la vaccination. Levée de l obligation vaccinale? Suivi de la synthèse et des recommandations de la Commission d Audition

Audition publique sur la vaccination. Levée de l obligation vaccinale? Suivi de la synthèse et des recommandations de la Commission d Audition Audition publique sur la vaccination des enfants par le BCG. Levée de l obligation vaccinale? Suivi de la synthèse et des recommandations de la Commission d Audition 13-14 novembre 2006 Société française

Plus en détail

Coordination de la Gestion des risques. Bilan - Programme

Coordination de la Gestion des risques. Bilan - Programme Coordination de la Gestion des risques Bilan - Programme La démarche Mise en place en 2007 Regroupe l ensemble des Vigilances Sanitaire. Associe le programme CLIN Associe les risques liés aux vigilances

Plus en détail

Il est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut

Il est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la

Plus en détail

Mise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier

Mise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier Mise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier Sophie FOUCAULT, IDE Hygiéniste, FFC Service ECLIN P.MIR, C.JACOB, Praticiens de Santé au Travail R.HUE, Praticien Hygiéniste, Service

Plus en détail

Vaccinations pour les professionnels : actualités

Vaccinations pour les professionnels : actualités Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???

Plus en détail

GROUPE DE TRAVAIL "OUTIL GESTION DES TEMPS DE TRAVAIL" Alice Brembilla Lionel Paulet Journée régionale des EOH et présidents de CLIN 19 décembre 2013

GROUPE DE TRAVAIL OUTIL GESTION DES TEMPS DE TRAVAIL Alice Brembilla Lionel Paulet Journée régionale des EOH et présidents de CLIN 19 décembre 2013 GROUPE DE TRAVAIL "OUTIL GESTION DES TEMPS DE TRAVAIL" Alice Brembilla Lionel Paulet Journée régionale des EOH et présidents de CLIN 19 décembre 2013 Composition du groupe de travail BERJAMY Fatima Praticien

Plus en détail

Hygiène Bucco Dentaire en EHPAD. 1 ère Réunion du groupe de travail régional «Espace Le Bien Vieillir» Angers Le 19 Janvier 2012

Hygiène Bucco Dentaire en EHPAD. 1 ère Réunion du groupe de travail régional «Espace Le Bien Vieillir» Angers Le 19 Janvier 2012 Hygiène Bucco Dentaire en EHPAD 1 ère Réunion du groupe de travail régional «Espace Le Bien Vieillir» Angers Le 19 Janvier 2012 Pourquoi un groupe régional Hygiène Bucco dentaire en EHPAD ARLIN Pays de

Plus en détail

Indicateurs d'activité CClin-Est Année 2013 A. ORGANISATION CClin EST

Indicateurs d'activité CClin-Est Année 2013 A. ORGANISATION CClin EST Responsable Responsable Adjoint Indicateurs d'activité CClin-Est Année 2013 A. ORGANISATION CClin EST B. MOYENS RABAUD Christian SIMON Loïc Description des équipes ETP Médecins (PH/ PHC / PA) 1,1 Pharmaciens

Plus en détail

Formation sur la sécurisation du circuit du médicament

Formation sur la sécurisation du circuit du médicament Formation sur la sécurisation du circuit du médicament Virginie Roué, Ingénieur Qualité-Risques Réseau AQuaREL Santé Dr Brigitte Paulmier, Pharmacien coordonnateur de la gestion des risques CH Saumur CONTEXTE

Plus en détail

La gestion des excreta en région Nord-Pas de Calais

La gestion des excreta en région Nord-Pas de Calais 14 besoins fondamentaux selon Virginia Henderson La gestion des excreta en région Nord-Pas de Calais Journée EHPAD Ile de France 03 avril 2014 Nouara Baghdadi pour le groupe de travail Nord Pas de Calais

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES Bourse «Avenir Recherche & Soins»

CAHIER DES CHARGES Bourse «Avenir Recherche & Soins» CAHIER DES CHARGES Bourse «Avenir Recherche & Soins» La Bourse Mutualiste pour la Recherche Infirmière et Paramédicale LE CONTEXTE GÉNÉRAL La recherche infirmière et paramédicale - c est-à-dire l étude

Plus en détail

1 er MASTER CONCEPT «UN MONDE UNE SANTE»

1 er MASTER CONCEPT «UN MONDE UNE SANTE» 1 er MASTER CONCEPT «UN MONDE UNE SANTE» In Partnership with Le Master 2 MAN-IMAL c est : Formation innovante et interdisciplinaire (Médecins, Véto, Ingénieurs agro/iaa, Biologistes ) Double compétence

Plus en détail

Recommandations des experts de la Société de réanimation de langue française, janvier 2002 Prévention de la transmission croisée en réanimation

Recommandations des experts de la Société de réanimation de langue française, janvier 2002 Prévention de la transmission croisée en réanimation Réanimation 2002 ; 11 : 250-6 2002 Éditions scientifiques et médicales Elsevier SAS. Tous droits réservés S1624069302002414/FLA RECOMMANDATIONS Recommandations des experts de la Société de réanimation

Plus en détail

Version synthétique des rapports de certification. Méthodologie. (Janvier 2010)

Version synthétique des rapports de certification. Méthodologie. (Janvier 2010) Version synthétique des rapports de certification Méthodologie (Janvier 2010) RAPPEL DU CONTEXTE 2 RAPPEL DU CONTEXTE La HAS en quelques mots La Haute Autorité de santé (HAS) est une autorité publique

Plus en détail

Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.

Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,

Plus en détail

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble

Plus en détail

recommandations Prévention de la transmission croisée : précautions complémentaires contact Recommandations nationales

recommandations Prévention de la transmission croisée : précautions complémentaires contact Recommandations nationales recommandations Recommandations nationales Prévention de la transmission croisée : précautions complémentaires contact Consensus formalisé d experts Avril 2009 2009 - Volume XVII - n 2 - ISSN 1249-0075

Plus en détail

VACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES

VACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES VACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES Infections respiratoires SPIF - 15 Novembre 2014 Patrick Petitpretz Déclaration de liens d'intérêts J ai actuellement, ou j ai eu au cours des trois dernières années, une affiliation

Plus en détail

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion

Plus en détail

AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON

AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON JOURNEE DU «RESEAU MATER» Jeudi 18 novembre 2010 C. Brunet M.P. Veuillet Sage-femme cadre I.D.E. hygiéniste PRESENTATION DU SERVICE MATERNITE CH MACON niveau 2B PERSONNELS

Plus en détail

La gestion des risques dans les établissements de soins

La gestion des risques dans les établissements de soins La gestion des risques dans les établissements de soins Forum des Usagers 01/03/2010 Dr Agnès PERRIN Sce de Gestion du Risque Infectieux et des Vigilances CHRU de LILLE Débuts de la gestion des risques

Plus en détail

Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * *

Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * * République du Sénégal Ministère de la Santé et de l Action Sociale Direction Générale de la Santé Direction des Laboratoires Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * * PLAN DE FORMATION DES PERSONNELS

Plus en détail

GESTION DES RISQUES EN MILIEU HOSPITALIER : LE POINT DE VUE DE L HYGIÉNISTE Bizerte, le 3 décembre 2005 Prof. Njah Mansour Service d hygiène hospitalière CHU F. Hached Sousse. Plan Introduction Définitions

Plus en détail

Controverse UDM télésurveillée Pour. P. Simon Association Nationale de Télémédecine

Controverse UDM télésurveillée Pour. P. Simon Association Nationale de Télémédecine Controverse UDM télésurveillée Pour P. Simon Association Nationale de Télémédecine Controverse Peut-on être en 2013 opposé au développement de la télémédecine? Pourquoi les patients en insuffisance rénale

Plus en détail

POLITIQUE D AMELIORATION DE LA QUALITE ET DE LA GESTION DES RISQUES 2013-2017. Document validé le. Visa : Visa :

POLITIQUE D AMELIORATION DE LA QUALITE ET DE LA GESTION DES RISQUES 2013-2017. Document validé le. Visa : Visa : POLITIQUE D AMELIORATION DE LA QUALITE ET DE LA GESTION DES RISQUES 2013-2017 Document validé le Nom : M. GROHEUX Nom : M. MATHIEU Fonction : Directeur Fonction : Président de la CME Visa : Visa : Page

Plus en détail

Bilan de la démarche. de certification V 2010. Haute-Normandie

Bilan de la démarche. de certification V 2010. Haute-Normandie Bilan de la démarche de certification V 2010 Haute-Normandie Juin 2013 La certification V 2010 en Haute Normandie Bilan au 1 er juin 2013 Etat d avancement de la démarche Au 1 er juin 2013, 69 établissements

Plus en détail

MASTER (M2) MANAGEMENT DU SOCIAL ET DE LA SANTÉ

MASTER (M2) MANAGEMENT DU SOCIAL ET DE LA SANTÉ MASTER (M2) MANAGEMENT DU SOCIAL ET DE LA SANTÉ Résumé de la formation Type de diplôme : MASTER 2 Domaine ministériel : Santé Présentation Les parcours du Master Management du social et de la santé s'efforcent

Plus en détail

Hospitalisation à domicile Mauges Bocage Choletais. Livret d accueil. Siège administratif PERMANENCE 24H/24 AU 02 41 49 62 75

Hospitalisation à domicile Mauges Bocage Choletais. Livret d accueil. Siège administratif PERMANENCE 24H/24 AU 02 41 49 62 75 Hospitalisation à domicile Mauges Bocage Choletais Livret d accueil Siège administratif PERMANENCE 24H/24 AU 02 41 49 62 75 PRESENTATION DE L HOSPITALISATION A DOMICILE MBC Hospitalisation à Domicile Mauges

Plus en détail

Précautions standard d hygiène au cœur de la prévention du risque infectieux

Précautions standard d hygiène au cœur de la prévention du risque infectieux Précautions standard d hygiène au cœur de la prévention du risque infectieux Ivana Novakova, Arlin IDF ivana.novakova@sap.aphp.fr arlin.idf@sap.aphp.fr La vie en EHPAD: modèle de tous les paradoxes et

Plus en détail

Procédure adaptée (Article 28 du Code des marchés publics)

Procédure adaptée (Article 28 du Code des marchés publics) Cahier des Clauses Techniques Particulières (CCTP) Relatif au projet de : Déploiement du logiciel DMU Net au sein du service des urgences et mise en place d un EAI (Enterprise Application Integration)

Plus en détail

Plateforme Lorraine de services mutualisés pour l échange et le partage de données médicales 16/02/2009

Plateforme Lorraine de services mutualisés pour l échange et le partage de données médicales 16/02/2009 Plateforme Lorraine de services mutualisés pour l échange et le partage de données médicales 16/02/2009 1 Le GCS Télésanté Lorraine La télésanté en lorraine Groupement de Coopération Sanitaire créé en

Plus en détail

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre

Plus en détail

PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR :

PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : IDENTIFICATION DU POSTE : Titre de la fonction : Conducteur Ambulancier SMUR*. Etablissement : Centre Hospitalier Régional Universitaire de Brest. Service

Plus en détail

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE SANTÉ ETABLISSEMENTS DE SANTÉ.

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE SANTÉ ETABLISSEMENTS DE SANTÉ. SANTÉ ETABLISSEMENTS DE SANTÉ Organisation MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ Direction générale de l offre de soins Sous-direction du pilotage de la performance des acteurs de l offre de

Plus en détail

L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon

L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute

Plus en détail

Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015

Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE RENNES Le CHU de Rennes Etablissement MCO, SSR, SLD de 1860 lits et places

Plus en détail

Organisation du Système de Santé en France

Organisation du Système de Santé en France Organisation du Système de Santé en France Dr Marion ALBOUY-LLATY Staff de santé publique 5 janvier 2011 Organisation du Système de Soins en France Plan 1. Introduction et Définitions 2. La Demande de

Plus en détail

Le point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale

Le point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale Spécialistes en santé publique? Le point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale Le CHUV est l employeur de 10 000 personnes Budget 1,4 milliard de frs 2 1 des 5 Hôpitaux

Plus en détail

Nathalie ARMAND, Praticien en hygiène - CH VALENCE Catherine BLANC, Infirmière hygiéniste - CH MONTELIMAR Philippe BURLAT, Médecin inspecteur de

Nathalie ARMAND, Praticien en hygiène - CH VALENCE Catherine BLANC, Infirmière hygiéniste - CH MONTELIMAR Philippe BURLAT, Médecin inspecteur de GUIDE D ELABORATION DU VOLET INFECTIEUX DU PLAN BLEU GROUPE DE TRAVAIL : Nathalie ARMAND, Praticien en hygiène - CH VALENCE Catherine BLANC, Infirmière hygiéniste - CH MONTELIMAR Philippe BURLAT, Médecin

Plus en détail

dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s

dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication

Plus en détail

EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD

EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Dr. Nathalie MAUBOURGUET Lundi 24 novembre 2008 Ministère de la Santé, Salle Laroque Séminaire National sur l Organisation de la Prévention des Infections

Plus en détail

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire

Plus en détail

23/01/2015. Les nouvelles structures (IHU et autres) Les petites dernières : les CRC. STRUCTURES de RECHERCHE CLINIQUE RECONNUES

23/01/2015. Les nouvelles structures (IHU et autres) Les petites dernières : les CRC. STRUCTURES de RECHERCHE CLINIQUE RECONNUES Les nouvelles structures (IHU et autres) 6 IHU sont labellisés en 2011 Personnes morales de droit privé, constituées en FCS (CHU). créés dans le cadre des structures labellisées à la suite des appels à

Plus en détail

La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux

La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux Marc Beaumont, kinésithérapeute - 5ème journée inter régionale GIRCI - Tours, 3 juin 2015 Qu est ce que la recherche clinique? «une

Plus en détail

Les Dossiers Médicaux Partagés en Franche-Comté :

Les Dossiers Médicaux Partagés en Franche-Comté : Les Dossiers Médicaux Partagés en Franche-Comté : Retour d'expérience du GCS EMOSIT-FC GCS EMOSIST-fc 10, avenue Clemenceau 25000 Besançon PLAN DE LA PRESENTATION 1 La Franche-Comté & EMOSIST-FC 2 Organiser

Plus en détail

Gestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015

Gestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Gestion des épidémies en FAM et MAS 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Rappels En EMS, le risque infectieux est présent, avec cumul des différents aspects de ce risque: Infections communautaires:

Plus en détail

OFFRE DE FORMATION SCIENCES PHARMACEUTIQUES ET BIOLOGIQUES PHARMACIE 2015/2016 WWW.UMONTPELLIER.FR

OFFRE DE FORMATION SCIENCES PHARMACEUTIQUES ET BIOLOGIQUES PHARMACIE 2015/2016 WWW.UMONTPELLIER.FR OFFRE DE FORMATION SCIENCES PHARMACEUTIQUES ET BIOLOGIQUES PHARMACIE 2015/2016 WWW.UMONTPELLIER.FR OFFRE DE FORMATION / PHARMACIE Sous réserve d accréditation (Licences et Masters) LISTE DES FORMATIONS

Plus en détail

Bulletin d information du CCLIN Sud-Est L origine endogène d une infection n exonère pas l hôpital de sa responsabilité

Bulletin d information du CCLIN Sud-Est L origine endogène d une infection n exonère pas l hôpital de sa responsabilité Bulletin d information du CCLIN Sud-Est L origine endogène d une infection n exonère pas l hôpital de sa responsabilité Yves CLAPOT Avocat, cabinet CLAPOT-LETTAT, Lyon Tribunal administratif de Paris,

Plus en détail

Objet de la société de formation Le galion. La Société de formation «LE GALION» Capital social : 9 448 000

Objet de la société de formation Le galion. La Société de formation «LE GALION» Capital social : 9 448 000 Objet de la société de formation Le galion La Société de formation «LE GALION» Capital social : 9 448 000 Siège Social : 1 Rue Georges BESSE 69740 GENAS N d Immatriculation : RCS de Lyon 424 152 031 N

Plus en détail

BOURSE DE RECHERCHE QUICK : SECURITE ET HYGIENE ALIMENTAIRE

BOURSE DE RECHERCHE QUICK : SECURITE ET HYGIENE ALIMENTAIRE BOURSE DE RECHERCHE QUICK : SECURITE ET HYGIENE ALIMENTAIRE Professionnels de la restauration rapide : Perception et mise en pratique des recommandations d hygiène pour une maîtrise du risque infectieux

Plus en détail

L impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU

L impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU L impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU Michèle WOLF, MCU-PH, Direction de la qualité, de la coordination des risques et des relations avec les usagers,

Plus en détail

Université Saint-Joseph

Université Saint-Joseph Université Saint-Joseph Faculté de pharmacie Actuellement, le métier de pharmacien est un métier polyvalent, ouvert à plusieurs activités dans le domaine de la santé individuelle et publique. Mis à part

Plus en détail

Note informative. Table des matières SOMMAIRE. Agence d évaluation des technologies et des modes d intervention en santé

Note informative. Table des matières SOMMAIRE. Agence d évaluation des technologies et des modes d intervention en santé VERSION PRÉLIMINAIRE Note informative Agence d évaluation des technologies et des modes d intervention en santé Évaluation du rapport coûts/bénéfices de la prévention et du contrôle des infections nosocomiales

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne

CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne Les patients ont besoin d une réponse de proximité et d une prise en charge globale qui nécessite une

Plus en détail

Contexte de la chimiothérapie à domicile

Contexte de la chimiothérapie à domicile Marie LAFFETAS / Stéphanie COUDERT Toulouse Le 05 octobre 2012 Contexte de la chimiothérapie à domicile Problématique et objectifs Méthode et résultats de l étude Discussion et conclusion 2 1 Développement

Plus en détail

Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique

Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique Congrès de la SF2H - 9 Juin 2011 S. Coudrais Biohygiéniste Unité d Hygiène et Epidémiologie - Groupement

Plus en détail

L appel d offres «Equipes labellisées FRM 2016 présélection 2015» sera diffusé en avril 2015. Critères généraux concernant les aides individuelles

L appel d offres «Equipes labellisées FRM 2016 présélection 2015» sera diffusé en avril 2015. Critères généraux concernant les aides individuelles PROGRAMME 2015 ESPOIRS DE LA RECHERCHE Le programme Espoirs de la recherche de la Fondation pour la Recherche Médicale soutient des projets de recherche dans tous les domaines de la biologie et de la santé.

Plus en détail

Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées

Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Bon usage Mise au point Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Actualisation Octobre 2008 MESSAGES CLÉS L évolution de la résistance du gonocoque aux quinolones

Plus en détail

Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée

Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux

Plus en détail

Infections nosocomiales

Infections nosocomiales Infections nosocomiales NOUVELLES RECOMMANDATIONS 2001-2002 NORD-AMÉRICAINES CONCERNANT LA PRÉVENTION DES INFECTIONS SUR CATHÉTER Aux États-Unis, environ 145 millions de cathéters périphériques et 5 millions

Plus en détail

AUDIT «HYGIENE DES MAINS» Partie II Qualité technique des gestes d hygiène des mains

AUDIT «HYGIENE DES MAINS» Partie II Qualité technique des gestes d hygiène des mains AUDIT «HYGIENE DES MAINS» Partie II Qualité technique des gestes d hygiène des mains GUIDE METHODOLOGIQUE 2011 GROUPE DE TRAVAIL Dr Martine AUPÉE, CCLIN Ouest Nathalie JOUZEAU, CCLIN Est Elisabeth LAPRUGNE-GARCIA,

Plus en détail

ACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012

ACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles

Plus en détail

Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé

Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé Réunion GERES du 6 juillet 2007 : D Abiteboul,, E Bouvet, A Buonaccorsi,, G Carcelain,, M Domart-Rançon,

Plus en détail

Groupement d'achat UNI-HA SSI: sécurisation pragmatique, efficiente et homogène des SI de Sante en partenariat avec l'asip Sante et les FSSI

Groupement d'achat UNI-HA SSI: sécurisation pragmatique, efficiente et homogène des SI de Sante en partenariat avec l'asip Sante et les FSSI Groupement d'achat UNI-HA SSI: sécurisation pragmatique, efficiente et homogène des SI de Sante en partenariat avec l'asip Sante et les FSSI Colloque gouvernance sécurité des systèmes d information Marseille

Plus en détail

admission directe du patient en UNV ou en USINV

admission directe du patient en UNV ou en USINV Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission

Plus en détail