ATTESTATION DE FORMATION AUX GESTES ET SOINS D URGENCE NIVEAU 1

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1 ATTESTATION DE FORMATION AUX GESTES ET SOINS D URGENCE NIVEAU 1 LES RISQUES COLLECTIFS 27/02/2015

2 SOMMAIRE LE SIGNAL D ALERTE AUX POPULATIONS. LE PLAN BLANC. LES RISQUES NRBC : Le risque Nucléaire / Radiologique. Le risque Biologique. Le risque Chimique. Centre d Enseignement des Soins d Urgence 54 CHU de Nancy Tour Marcel Brot 1 Joseph Cugnot NANCY Réalisation : Cellule NRBC Zone Est CHU Nancy Date de parution : Octobre

3 Arrêté du 3 mars 2006 relatif à l Attestation de Formation aux Gestes et Soins d Urgence Article 7 : La formation conduisant, après validation, à l Attestation de Formation aux Gestes et Soins d Urgence de niveau 1 comporte trois modules : o Un module, d une durée de six heures maximum, sous forme d un enseignement pratique relatif à la prise en charge des urgences vitales en lien avec les recommandations médicales françaises de bonne pratique permettant : d identifier un danger immédiat dans l environnement et de mettre en oeuvre une protection adaptée, au quotidien. d alerter le SAMU (15) ou le numéro interne à l établissement de santé dédié aux urgences vitales, de transmettre les observations et de suivre les conseils donnés. d identifier l inconscience et d assurer la liberté et la protection des voies aériennes d une personne inconsciente en ventilation spontanée. d identifier un arrêt cardiaque et de réaliser une réanimation cardio-pulmonaire (RCP) de base avec matériel (défibrillateurs semi-automatiques (DSA), défibrillateurs automatiques (DA)) d identifier une obstruction aiguë des voies aériennes et de réaliser les gestes adéquats. d arrêter une hémorragie externe. o Un module d une durée de trois heures, sous forme d un enseignement pratique relatif à la prise en charge des urgences potentielles permettant : d identifier les signes de gravité d un malaise, d un traumatisme osseux ou cutané et d effectuer les gestes adéquats. de participer au relevage et au brancardage. d identifier les signes de gravité d une brûlure et d agir en conséquence. d appliquer les règles élémentaires d hygiène. en l absence de médecin proche, de demander conseil au SAMU (15) ou d appeler le numéro interne dédié, de transmettre les observations en respectant les règles déontologiques et professionnelles et de suivre les conseils donnés. o Un module, d une durée de trois heures, sous forme d un enseignement relatif aux risques collectifs permettant : d identifier un danger dans l environnement et d appliquer les consignes de protection adaptée (y compris en cas d alerte des populations ou de situations d exception au sein de l établissement). d identifier son rôle en cas de déclenchement de plan blanc. d être sensibilisé aux risques NRBC. 3

4 SIGNAL D ALERTE AUX POPULATIONS Objectifs : Identifier les dangers. Appliquer les consignes de sécurité et de protection adaptées quelque soit l endroit. Début du signal d alerte aux populations : Signal sonore modulé durant 1 minute 41 secondes espacé par une pause de 5 secondes. Fin du signal d alerte aux populations : Signal sonore continu durant 30 secondes. Conduite à tenir : Ne pas fumer, couper le gaz, ne pas faire de feux Se calfeutrer (fermer fenêtre, porte ). Ne pas encombrer les axes de circulations (ne pas aller chercher les enfants à l école). Ne pas téléphoner. Ecouter les radios d Etat (ex: France INFO, France INTER, 162 khz, 1852 go ) avec appareil d écoute à piles. SITUATION D EXCEPTION AU SEIN DE L ETABLISSEMENT 4

5 Exemple : départ de feu, fumées, inondation, explosion Conduite à tenir : Identifier rapidement le danger dans l environnement. Appliquer les consignes de protection et de sécurité adaptées au danger (cf. «PROTECTION» livret AFGSU niveau 1 ou niveau 1+2). Alerter les secours selon la procédure interne à l établissement. Respecter les mesures du Plan d Opération Interne de l établissement (P.O.I.). 5

6 LE PLAN BLANC Objectifs : Connaître les objectifs du plan blanc, ses principes généraux, le rôle de l établissement hospitalier. Se positionner en cas de déclenchement de plan blanc. Le plan blanc : o La circulaire du 3 mai 2002 relative à l organisation du système hospitalier en cas d afflux de victimes précise : La nécessité d un plan destiné à faire face à un afflux de victimes ou à une situation exceptionnelle dans l établissement de santé (inondation, évacuation d un service, ). La nécessité de préparer, de coordonner, de renforcer et de répartir les moyens disponibles en cas de déclenchement de plan blanc. o La circulaire du 14 septembre 2006 relative à l élaboration des plans blancs des établissements de santé et des plans blancs élargis. o Le décret du 30 décembre 2005 relatif à l organisation du système de santé en cas de menace sanitaire grave en précise le contenu : Les modalités du déclenchement du plan blanc et sa levée. Les modalités de constitution et de fonctionnement de la cellule de crise. Les modalités adaptées et graduées de mobilisation des moyens humains et matériels de l'établissement. Les modalités d'accueil et d'orientation des victimes. Les modalités de communication interne et externe. Un plan de circulation et de stationnement au sein de l'établissement. Un plan de confinement de l'établissement. Un plan d'évacuation de l'établissement. Des mesures spécifiques pour les accidents nucléaires, radiologiques, biologiques et chimiques. Des modalités de formation et d'entraînement à la mise en oeuvre du plan. 6

7 Le déroulement du plan blanc : 1. Le SAMU : reçoit le message d alerte. envoie des équipes sur les lieux de la catastrophe (SMUR). informe le Directeur de l hôpital, le Directeur de l Agence Régionale de Santé (ARS), le Préfet. active la cellule de crise. alerte les Structures des Urgences (S.U.). alerte le médecin de la Cellule d Urgence Médico Psychologique (CUMP). rappelle les personnels du SAMU. alerte les référents de l établissement en cas de risques NRBC. +/- alerte les établissements de santé du département. +/- alerte les autres SAMU. 2. Le déclenchement du plan blanc : le plan blanc est déclenché par le directeur de l établissement sur demande du SAMU le plus souvent. selon des critères quantitatifs (nombre de victimes) et qualitatifs (situation géographique, pathologies en cause, ). déclenchement du plan = mise en place de la cellule de crise. 3. La cellule de crise = POSTE DE COMMANDEMENT : ses missions : organise la coordination des services techniques et médicaux, évalue les besoins et les met en œuvre (rappel du personnel, maintien sur place du personnel déjà présent, recensement des lits disponibles, gestion des relèves des équipes, communication inter services, évaluation des besoins ). sa composition : variable selon l établissement, le type de catastrophe et les circonstances, autour du directeur de l établissement : directeur services logistiques. coordinateur général des soins. médecin du SAMU ou du service d urgences. ingénieur. représentant de la Commission Médicale d Etablissement (C.M.E.). responsable de la sécurité pharmacien, 7

8 4. L organisation hospitalière : concerne l ensemble de l établissement. La Structure des Urgences (S.U.) et ses missions : o accueil et enregistrement des admissions avec recueil des affaires personnelles. o tri et orientation des admissions soit vers les filières de soins du S.U., soit en entrées directes vers les blocs opératoires, services de réanimation. o réalisation des soins aux victimes dans les filières au S.U. o gestion des Urgences Médico Psychologiques (U.M.P. concerne les victimes ne présentant pas de problèmes physiques mais étant témoins ou impliqués dans l évènement avec possibilités de répercussions psychiques). o réalisation des examens complémentaires urgents et nécessaires pour l orientation des victimes (examens radiologiques et sanguins uniformisés et groupés). o orientation vers les secteurs d hospitalisation des victimes en fonction de la désignation donnée par la cellule de crise et en fonction des disponibilités de lits. o information régulière vers la cellule de crise. Les services d hospitalisation : o recensement des lits disponibles et information à la cellule de crise. o augmentation de la capacité d accueil en anticipant les sorties, en différant les admissions programmées et en activant des unités provisoires d hospitalisation. Les blocs opératoires : o parages de plaies, chirurgie d hémostase privilégiés, compléments de traitement ultérieurs. Les services de radiologie et de pharmacie : o radiologie : limitation des examens et des manipulations. o pharmacie : standardisation des thérapeutiques 8

9 5. La levée du plan blanc : sur décision de la cellule de crise (Directeur de l établissement). Le message de fin d alerte est transmis à tous les participants, aux autorités, aux partenaires (Service Départemental d Incendie et de Secours (S.D.I.S.), et autres établissements impliqués ). Un bilan final est établi : nombre d Urgences Absolues (U.A.), d Urgences Relatives (U.R.), d hospitalisés, d impliqués, de décédés. Un débriefing en fin de plan blanc est recommandé (synthèse de la situation, dysfonctionnements, points à améliorer ). 6. Les exercices plans blancs L établissement de santé doit tester le dispositif plan blanc en mettant en place des exercices qui permettront de mettre en oeuvre les procédures et de former les personnels à ces situations exceptionnelles. Pour ce faire une équipe d animation met en place un scénario, définit les limites de l exercice, les objectifs à tester etc. L exercice devra tester le fonctionnement de la cellule de crise, la prise en charge des patients, la chaîne logistique, le rappel des personnels la communication et les systèmes d information. Le plan blanc élargi : o Le décret du 30 décembre 2005 relatif au plan blanc élargi précise : La possibilité de recenser, à l échelon du département, l ensemble des personnes, des moyens et des services susceptibles d être mobilisés pour une crise sanitaire grave, notamment les professionnels de santé, les établissements de santé et les établissements médico-sociaux. Les modalités de mobilisation de tous ces moyens et de leur coordination, en liaison, en particulier, avec le S.A.M.U. 9

10 Les niveaux de positionnement : Niveau 1 ou établissements de première ligne : Possèdent une Structure des Urgences susceptible d accueillir immédiatement ou en différé des victimes en urgence. Niveau 2 ou établissements de deuxième ligne : Disposent d un plateau technique chirurgical ou de réanimation ou encore de prise en charge psychologique, susceptibles d accueillir des victimes après régulation médicale ; ils doivent accueillir des patients «classiques» des établissements de première ligne ; ils doivent réduire leur demande d hospitalisation vers les établissements de première ligne et procéder à la réduction de leurs admissions. Niveau 3 ou établissement de troisième ligne : Concerne tout autre établissement de santé susceptible d accueillir des patients des établissements de première ou deuxième ligne ; ils doivent réduire leurs demandes d hospitalisation de patients vers les établissements de première ou deuxième ligne et procéder à la réduction de leur hospitalisation. Les établissements hors département : Voisins du département ou de la région, sont mobilisables soit : dans le cadre de la régulation par le S.A.M.U. (Service d Aide Médicale Urgente). dans le cadre d un accueil de proximité pour des transferts de patients. dans le cadre de renforts en matériel et/ou en personnels. LA MENACE NRBC-E 10

11 Objectifs : Etre sensibilisé aux risques NRBC. Identifier son rôle et son implication au sein de son service en cas de déclenchement d une annexe NRBC du plan blanc. o N : Nucléaire (risque industriel, militaire ). o R : Radiologique (risque lié à l utilisation de sources ou éléments radioactifs ). o B : Biologique (maladies émergentes comme Syndrome Respiratoire Aigu Sévère, grippe aviaire ; bioterrorisme de type Anthrax, variole ). o C : Chimique (risque industriel, militaire, terroriste ). o E : menace explosive pouvant concerner un explosif standard +/- associé à un ou plusieurs produits de type NRBC (doute initial de principe) Le risque NUCLEAIRE / RADIOLOGIQUE : = l irradiation et/ou la contamination. Les modes de contamination : contamination externe par dépôt de substances radioactives sur la peau, les muqueuses. contamination interne par présence de substances radioactives dans l organisme. Les moyens de protection : RESPIRATOIRE et CUTANE combinaison «anti-poussières». masque FFP2 ou FFP3 (masque filtrant l air inspiré). lunettes de protection. surchaussures. gants non stériles. Principe de protection nucléaire : l irradié n irradie pas. le contaminé externe expose le personnel au risque de contamination par les poussières radioactives. les mesures de protection contre les agents biologiques sont suffisantes pour la décontamination nucléaire à l hôpital. le risque de contamination étant très faible, l urgence médicochirurgicale prime sur la décontamination. 11

12 Le risque BIOLOGIQUE : Le risque biologique concerne l exposition de la population et des soignants à des agents pathogènes lié au bioterrorisme (charbon, bactéries de la peste, de la tularémie ou de la brucellose, agents des fièvres hémorragiques virales, virus de la variole, toxine botulique.) ou aux agents de maladies émergentes (SRAS, Grippes ) pouvant entraîner des syndromes infectieux, des épidémies ou des pandémies. Ce risque est permanent pour le personnel soignant. Les modes de contamination : Voies respiratoires = gouttelettes de Pflügge. Voie cutanée. Les moyens de protection : RESPIRATOIRE et CUTANE masque FFP2 ou FFP3. calots. lunettes de protection. Surchaussures. Surblouses. 2 paires de gants non stériles. Sans oublier l application des précautions standards et les mesures d isolement air et contact. Recommandations pour la protection des personnels face au risque biologique : Masque FFP2 à mettre en 1er, le rendre étanche (barrette de serrage au niveau du nez) pour éviter les fuites, ne plus y toucher Le masque FFP2 sera retiré avec la dernière paire de gants, puis lavage de mains et/ou S.H.A. 12

13 Source : INPES ( Le risque CHIMIQUE: Les patients devront porter un masque chirurgical qui évitera de disséminer les agents infectieux lorsqu ils parlent, toussent ou éternuent. Les modes de contamination : Voie respiratoire = inhalation de gaz, vapeur ou aérosol chimique. Voie cutanée = pénétration de l agent chimique par la peau, les muqueuses (voie oculaire). Voie digestive = ingestion de l agent chimique Les moyens de protection : RESPIRATOIRE et CUTANE gants Butyle et sous gants en coton. surbottes. combinaison de type T3P-TOM ou TLD (Tenue Légère de Décontamination). masque avec cartouche large spectre. Procédures d habillage et de déshabillage établies au préalable!!! Travail en binôme!!! 13

14 L isolement et la décontamination : Rassembler les victimes en un point isolé en attendant la mise en route de la chaîne de décontamination, afin d éviter la fuite et l extension de la contamination. La décontamination prime sur l urgence médico-chirurgicale. Déshabillage victime valide Décontamination victime non valide Schéma de prise en charge de victimes exposées à un agent chimique Hôpital propre PMA CLASSIQUE DECONTA SP Rassemblement près du site pré hospitalier à l opposé du sens du vent ZDL ZDL = zone de danger liquide REGROUPEMENT DECONTAMINATION EVACUATIONS SAUVAGES Les évacuations sauvages = nécessité de regrouper et de décontaminer les victimes arrivant spontanément dans un établissement de santé 14

15 5 points essentiels à retenir par ordre chronologique : Bouclage et sécurisation de l hôpital. Protection des intervenants (obligatoire avant tout contact avec des victimes potentiellement contaminées). Isolement des victimes pour éviter la fuite et l extension de la contamination. Décontamination (Accueil, Déshabillage, Douche, Séchage). Soins si nécessaires (Oxygène, administration antidotes ) Document validé par la Cellule N.R.B.C. Zone EST S.A.M.U. 54 M.A.J. octobre

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