La banque idéale est au sein et au service de la communauté

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1 360 L ACTUALITÉ FINANCIÈRE EN MODE PLEIN ÉCRAN Febelfin newsletter n 03 - mars 2015 édition spéciale PRÉFACE La banque idéale est au sein et au service de la communauté Chers collègues et amis, le troisième numéro de la newsletter 360 est le premier à paraître depuis que j ai accédé à la présidence de Febelfin. Il répond au même objectif que notre événement annuel nouvelle mouture : nouer un réel dialogue avec tous les segments de la société. Nous voulons jeter un regard honnête mais critique sur le secteur financier et surtout mettre en exergue l activité du banquier au sein et au service de la communauté. Lisez vite sur la page 2 : l interview avec le ministre des Finances et le gouverneur de la Banque Nationale de Belgique Pourquoi «au sein et au service de la communauté»? Durant la table ronde du numéro précédent de 360, je disais que les gens ne se levaient pas le matin en rêvant de gérer leurs affaires bancaires. Ils nourrissent des rêves et c est au banquier de contribuer à les faire aboutir. Notre économie a besoin d esprit d entreprise pour alimenter sa croissance, qu il s agisse pour une famille de trouver la maison de ses rêves ou pour un entrepreneur d accéder à un prêt pour s agrandir. Notre secteur entend soutenir cet esprit d entreprise et d initiative. C est la clé de la croissance, de la prospérité et de l emploi. Pas question d éluder le moindre tabou en ce domaine, que ce soit face à nos membres ou face à la société. La réforme du cadre et du contrôle financiers est presque achevée. Le moment est venu d analyser nos points forts et nos points faibles, sans dénoncer mais bien dans un esprit constructif. Ainsi, nous savons que l accès au crédit reste difficile pour les entreprises débutantes. Aussi voulons-nous, plus que jamais, lancer des initiatives destinées à améliorer l accompagnement des entrepreneurs. Mais renoncer aux tabous vaut dans les deux sens. Il faut rester suffisamment attentif à la rentabilité structurelle du secteur bancaire. Ce constat s inspire d une préoccupation légitime et non d une volonté de semer la panique. Le monde politique doit également refuser de s aveugler. Nous voulons que ce débat repose sur un dialogue ouvert et constructif. Nous sommes conscients que, pour exercer notre rôle dans la société, il nous faut le soutien du monde politique, des entrepreneurs et des employeurs. À cette condition seulement, le secteur pourra jouer un rôle positif dans l économie réelle. Le secteur bancaire doit à nouveau être considéré comme un allié et non comme un adversaire. Ces dernières années, diverses taxes ont affecté tantôt l un tantôt l autre modèle d entreprise. Cette situation a fortement mis le secteur à l épreuve sur le plan interne. Notre appel à l unité et au consensus s étend donc aussi à nos membres et à notre gouvernance interne. Seul un secteur qui joue la même partition en interne est en mesure de nouer un partenariat avec la société au sens large. Aller de l avant et miser sur les opportunités de demain, tel est à nouveau notre objectif. Ceci requiert une perspective, une vision de l avenir. Voilà pourquoi je me réjouis de constater que l accord de gouvernement fédéral évoque l avenir de Bruxelles comme place financière. Febelfin entend saisir cette main tendue. Si nous réussissons à dynamiser le know-how financier en Belgique, une nouvelle croissance attend le secteur financier, et avec elle la perspective de redevenir un moteur de croissance et d emploi. C est dans cet esprit que j espère remplir ma mission en tant que président de Febelfin ces trois prochaines années. J espère que nous pourrons œuvrer de concert à cet objectif! Rik Vandenberghe, Président de Febelfin 1

2 CONTENU QUESTIONS À Des administrateurs de Febelfin 5 CHIFFRES À L APPUI Le secteur en un clin d œil 6 CAPITAL À RISQUE Accès aisé pour les entreprises? 8 TABLE RONDE «C est injuste et même insensé de pénaliser éternellement les banquiers pour ce qui est arrivé» OCTROI DE CRÉDIT AUX PARTICULIERS Commentaire sur l étude de la KU Leuven 9 FEBELFIN ACADEMY Le nouvel environnement en ligne 10 Le premier a eu une longue carrière dans le journalisme et a rejoint - après un crochet par le secteur privé et la plate-forme d entreprises VKW - le gouvernement Michel I en tant que ministre des Finances. Le second travaille depuis plus de 40 ans à la Banque nationale de Belgique (BNB), dont il vient de devenir le gouverneur. Pour ce troisième 360, nous questionnons Johan Van Overtveldt et Jan Smets sur les banques, le paysage économique et financier d après-crise et le rôle de Bruxelles. LA PAROLE À Des journalistes financiers 11 POINT DE VUE Et dans les prochaines années? 12 SOUS L ANGLE DU WEB 12 COLOPHON Éditeur responsable : Thomas Van Rompuy Febelfin asbl Rue d Arlon Bruxelles Comité de rédaction : Isabel Renneboog Frederic Petitjean Thomas Van Rompuy Charline Gorez Concept et réalisation : Headline Publishing Vorstermanstraat 14a 2000 Antwerpen Merci d envoyer vos changements d adresse et réactions à info@febelfin.be Messieurs, vous venez tous les deux d endosser une nouvelle fonction importante. Comment avez-vous vécu cela? Johan Van Overtveldt (JVO) : Comme des montagnes russes. Mon passage du journalisme à la politique ne s est pas fait du jour au lendemain, mais cela a été assez vite. C est avant tout un honneur, mais c est aussi éprouvant. Sans une santé de fer, ce n est pas la peine de commencer car il faut gérer énormément de choses en même temps. Tout est nouveau et j apprends tous les jours. Ce qui est passionnant, par exemple, ce sont les contacts européens durant les réunions de l Eurogroupe avec d autres ministres des Finances ou les réunions ECOFIN (Conseil pour les affaires économiques et financières) : autant les discussions formelles qu informelles autour d un café. C est là que l on apprend le mieux à connaître le monde tel qu il est. Jan Smets (JS): C est aussi un grand honneur pour moi. En tant que nouveau gouverneur de la BNB, j exerce la responsabilité finale. Je fais aussi d office partie du directoire de la Banque centrale européenne et participe de ce fait aux décisions liées à la politique monétaire et au contrôle bancaire. En tant que gouverneur, on doit oublier d où l on vient et prendre les décisions en matière de politique monétaire en toute indépendance. JVO : Ce que je soutiens complètement. Les ingérences politiques ont rarement donné de bonnes politiques monétaires. JS: La BNB est une maison que je connais bien. La création de l euro et la politique monétaire commune ont changé la façon de travailler dans la Banque. Nous intégrons beaucoup plus nos actions dans l Eurosystème. Cette dimension internationale a gagné en importance. Le fonctionnement du directoire a aussi été influencé par le transfert du contrôle des banques et des assurances. C est une mission importante qui demande beaucoup de temps et d énergie. Quel regard portez-vous sur le paysage financier actuel? Y a-t-il eu un basculement culturel depuis la crise? JVO : J ai pu rencontrer quasiment tous les grands banquiers de Belgique et je sens que cette période a laissé des cicatrices. On s est rendu compte qu énormément d erreurs avaient été commises. C est déjà un changement en soi. Je crois que le moment est venu de capitaliser là-dessus. Pas pour abuser de ce sentiment, mais nous devons créer un cadre réglementaire dans lequel ancrer la conviction qu il faut éviter qu une telle chose ne se reproduise. Nous avons déjà amorcé le travail avec l Asset Quality Review, mais il reste encore du chemin à parcourir. Intellectuellement, j accepte difficilement la pondération en fonction du risque des actifs des banques, par exemple. La façon dont nous agissons maintenant, avec Bâle III, est déjà un pas en avant. Nous n avons pas encore trouvé le bon équilibre avec les risk weighted assets? JVO : Par rapport à , il y a déjà de gros progrès. Mais même si tout le monde est de bonne foi, ce que nous présupposons, le risque demeure. Simplement parce que le risque x «LES BANQUES BELGES ONT BIEN COMPRIS QUE DE GRAVES ERREURS AVAIENT ÉTÉ COMMISES DURANT LA CRISE.» - JOHAN VAN OVERTVELDT aujourd hui devient demain un risque x+1 ou x-1. Je n ai jamais oublié une étude qui mettait en corrélation les problèmes des banques face au total pur du bilan et au total du bilan pondéré en fonction des risques. Résultat : l évolution du bilan non pondéré indiquait quelles banques seraient en difficultés. Le lien était évident. En conclusion, nous devons maintenir notre système actuel de mesure. En matière de règlementation, la Belgique veut apparemment faire mieux que les autres. Mais laissons-nous suffisamment respirer les acteurs financiers belges? JS : La Belgique a connu des problèmes plus graves que bien d autres pays. Il ne faut donc pas Jan Smets, gouverneur de la Banque Nationale de Belgique, et Johan Van Overtveldt, ministre des Finances s étonner que la société réagisse aussi vivement. Les banquiers doivent comprendre que la stabilité, à laquelle toutes ces règles sont censées conduire, présente aussi des avantages. La vision classique qui veut qu elle soit nécessairement gênante ou affecte la compétitivité trouve de moins en moins d écho. Les mesures ne freinent pas le crédit à l économie réelle : les pays dans lesquels le crédit a le mieux résisté sont ceux où les banques sont restées solides et sont bien capitalisées. JVO : Je pense qu il est logique, après , de voir apparaître une culture qui veut se «venger» des banquiers. C est manquer de perspective. Il n y a pas qu un seul responsable. L idée de «leur donner une bonne leçon» me paraît absurde. C est injuste et même insensé de pénaliser éternellement les banquiers pour ce qui est arrivé. Toute personne sensée se rend compte qu une économie solide et la croissance vont de pair avec un secteur financier fort, qui dirige l épargne vers les investissements. Pour que les banques fonctionnent bien, un certain nombre de conditions doivent être remplies. Nous sommes beaucoup plus avancés à cet égard qu il y a cinq ou six ans. Donc personne ne gagnera à retourner le couteau dans la plaie. Passons à la rentabilité du secteur financier. Ne touchons-nous pas la limite, en termes de contribution bancaire? JVO : Les banques peuvent la critiquer, mais peut-être devraient-elle aussi faire quelques choix en termes de modèle commercial. Tout l univers de la finance et de la technologie est en mutation, Lisez la suite p

3 TABLE RONDE 3QUESTIONS À... DES ADMINISTRATEURS DE FEBELFIN JOHAN VAN OVERTVELDT (59) - Docteur en économie appliquée (Universiteit Antwerpen) et MBA (KU Leuven). - Devient journaliste pour Trends en Exerce plusieurs fonctions dans le privé et travaille pour la plate-forme d entreprises VKW - Revient chez Trends en 2010 comme rédacteur en chef - Est ministre des Finances depuis octobre 2014 «BRUXELLES PEUT JOUER LE RÔLE DE CENTRE FINANCIER MOYENNANT UN CADRE STABLE, UNE BONNE COLLABORATION ET UN DIALOGUE OUVERT.» - JAN SMETS Scannez ce QR code pour la version complète de cette table ronde JAN SMETS (64) - Licencié en économie (Universiteit Gent) - Débute en 1973 comme stagiaire à la BNB - Goûte à la vie politique comme chef de cabinet de Wilfried Martens et Jean-Luc Dehaene - Est gouverneur de la BNB depuis mars QUELS SONT LES GRANDS DÉFIS DANS VOTRE SEGMENT DE MARCHÉ? PATRICK KEUSTERS La multiplication des réglementations depuis la crise et MiFid II. Bien sûr, il faut des règles pour protéger les investisseurs, mais pour l heure, ces règles s appliquent sans distinction de métiers, de taille ou de méthodes de travail. L implémentation de ces dispositions et leurs aspects organisationnels s accompagnent de coûts majeurs. De plus, certaines réglementations créent des incertitudes juridiques et risquent d avoir des effets pervers. La numérisation est un deuxième défi de taille. 2 PATRICK KEUSTERS Managing Director Bank Degroof Représentant activités de niche (banques d affaires) DIRK WOUTERS CEO Bank J. Van Breda & Co. Représentant non-grandes banques DIRK WOUTERS Les défis pour le secteur bancaire sont aussi ceux des banques d épargne : courbe d intérêts plate, numérisation, réglementation et contributions. Pour les banques d épargne, ces dernières s élèvent à 10 % du produit bancaire, ce qui est intenable et déséquilibré. Aussi est-il bon que l accord de gouvernement veuille répartir ces contributions de manière plus équilibrée entre toutes les activités bancaires. Développer notre service au client pour mieux le satisfaire reste le principal enjeu. COMMENT DÉCRIRIEZ-VOUS LA VALEUR AJOUTÉE DE VOTRE SEGMENT DE MARCHÉ? WIM HAUTEKIET Président BNY Mellon Représentant prestataires d infrastructures financières WIM HAUTEKIET Maîtriser la complexité croissante dans toutes nos activités. Nous fournissons des services internationaux pour les institutions financières, les banques, les fonds de pension et les sociétés. Ceux-ci font appel à notre expertise durant tout le processus d investissement. Les autorités réglementaires suivent elles aussi nos activités de près. Cette complexité ne doit pas nécessairement être préjudiciable à nos clients. Nous recherchons et trouvons constamment de nouvelles solutions générant des rendements élevés. de même que la façon dont les gens gèrent leur argent. Je pense que certaines banques n ont pas encore fait leur choix quant à leur modèle commercial. C est difficile, mais ramener la rentabilité aux prélèvements est un peu simpliste. JS : La durabilité subit aussi la pression de la crise : si l économie ne tourne pas, les banques font moins de bénéfices. Les taux d intérêt très faibles réduisent encore les marges. Et il y a des choix stratégiques à faire : nouvelles activités, marges et tarifs réalistes, spécialisation dans des niches, autre canaux de distribution, réductions des coûts... De nombreuses banques mettent déjà cela en pratique et cela peut amener d autres regroupements. La croissance de l épargne semble doucement ralentir. Cela ne rend-il pas superflu le débat relatif à la fiscalité de l épargne? JS : L épargne ne diminue pas, c est la croissance qui ralentit. La nuance est de taille. Mais je pense qu il serait bon de repenser la dispense dont bénéficie le carnet d épargne. Elle ne stimule pas le financement indispensable des projets à long terme et renforce les risques de taux susceptibles de survenir en cas de revers soudain. Nous sommes partisans d un passage - certes progressif 4 - à une fiscalité plus large et plus neutre. JVO : Mais le bon sens et la réalité socio-économique veulent que l on répartisse cette dispense sur bien plus de produits et que l on fasse sauter le plafond. Pour l économie belge, ce serait une meilleure solution que de se focaliser entièrement sur une seule forme d épargne. Comment voyez-vous l avenir de Bruxelles en tant que centre financier? Comme capitale des véhicules de titrisation ou comme plate-forme de services qui apportent une valeur ajoutée directe à l économie réelle? JS : Ce genre de plate-forme repose sur un cadre stable, une bonne collaboration, un dialogue ouvert... Les produits de titrisation ont acquis une réputation de produits toxiques mais peuvent aussi être valables. Pour autant qu ils restent simples, transparents et axés sur l économie réelle. Peut-être y a-t-il là de nouvelles opportunités. Les PME belges ont des difficultés pour accéder aux marchés des capitaux : ils ne s adressent pas à elles, elles les connaissent mal, les coûts fixes sont élevés... Pourquoi les banques ne mettraient-elles pas leurs connaissances à profit en contribuant à mutualiser les risques pour leur donner accès aux marchés des capitaux? JVO : En Belgique, 80 % de l économie réelle sont financés par les banques et 20 % par les marchés. Aux États-Unis, c est l inverse. Sans doute l idéal serait d équilibrer les deux. Si vous pouviez encore vous souhaiter une chose l un à l autre, de quoi s agirait-il? JS : Bonne chance pour stimuler la croissance, comme notre banque centrale essaie de le faire dans le cadre du mandat de la BCE. Mais avec les leviers dont lui et ses collègues disposent : le retour à la stabilité budgétaire, pour retrouver les marges permettant de relancer l économie et le renforcement structurel du potentiel de croissance. JVO : Je souhaite à Jan, et un peu à moi-même aussi, une ouverture discrète. Il est important qu un gouverneur de la Banque nationale et un ministre des Finances restent en contact, dans le respect de la fonction et des compétences de chacun. Ce serait une manière de nous renforcer mutuellement, car les matières monétaires, fiscales et réglementaires ne sont pas isolées les unes des autres font ici quatre. Messieurs, merci pour votre temps, vos avis et votre sagesse. JVO : Dans l ordre! PATRICK KEUSTERS C est au niveau du service rendu au client que la valeur ajoutée des banques de niche se marque le plus. D un côté, il y a une logique produit, de l autre une approche client. La relation client est au centre de nos préoccupations. Les banques de niche sont focalisées sur quelques métiers spécifiques au contraire des grandes institutions généralistes. Elles ont un business model plus stable, leurs revenus provenant en grande partie de commissions récurrentes. Ce qui leur a d ailleurs permis de traverser la crise financière sans trop de soucis. DIRK WOUTERS Elle tient dans le lien de confiance avec nos clients. Nous le réalisons au travers de focus : un service régional, spécifiquement pour les ménages ou les entreprises et professions libérales. Nous travaillons souvent avec des agents indépendants développant des relations de clientèle stables, souvent par-delà les générations. Notre défi? Combiner numérique et proximité. On trouve sur internet des rendements intéressants. Mais pas de conseils d experts sur la partie d un patrimoine à placer idéalement sur un carnet d épargne WIM HAUTEKIET Confiance et fiabilité sont nos maîtres mots. Un principe de bonne gestion des risques, recueillant l adhésion de toute l organisation et dont la direction assume toute la responsabilité, est absolument vital. La réputation d une banque est son atout principal. 3 COMMENT VOYEZ-VOUS LE DIALOGUE ENTRE LES MILIEUX POLITIQUE ET FINANCIER? PATRICK KEUSTERS Il est parfois difficile de DIRK WOUTERS La confiance n est pas encore faire valoir nos besoins et contraintes rétablie : l opinion publique continue à spécifiques dans la mesure où les banques de stigmatiser «les banques». Pourtant, c est une niche ne représentent qu une faible proportion erreur de mettre tout le monde dans le même du secteur du point de vue de l emploi ou de la sac. Nous devons inverser la perception taille du bilan. Il faut donc bien reconnaître négative. Comment? Par de bons services, un que nous subissons des mesures qui ne sont comportement responsable, de la diversité pas adaptées à notre situation particulière. dans le paysage et des fonds propres suffisants. Nous comprenons les besoins du gouvernement mais nous avons aussi besoin de rentabilité pour renforcer en même temps nos fonds propres et le portefeuille de crédit. WIM HAUTEKIET Je considère ce dialogue comme particulièrement instructif. Même si nos objectifs sont autres, nos préoccupations sont les mêmes. BNY Mellon n est pas une banque retail et nous concevons sans doute les choses différemment, mais ce que nous apprécions assurément, c est que toutes les parties soient, dans un esprit d ouverture, toujours à la recherche de la solution idéale. 5

4 CHIFFRES A L APPUI BANK Epargne + Investissement BANK Octroi de crédit % Pensions 258 sur les carnets d épargne 229 en fonds de placement 1,9 d épargne sous forme de prêts-citoyen thématiques 4,3% de fonds durables 1.4 million de personnes constituent une épargne-pension via un fonds d épargne Aux ménages 192 Aux entreprises 116 Aux pouvoirs publics 85 Le financement bancaire ne constitue qu une partie des possibilités de financement. Les entreprises et les particuliers peuvent aussi s orienter vers des formes de financement alternatif comme les emprunts obligataires pour le financement de projets, le leasing ou le financement participatif. 36,3 via des emprunts obligataires pour le financement de projets 12,8 via le leasing % 0,002 via le financement participatif BANK 93% Paiements 531 millions de sessions de banque en ligne par an 10,1 1,3 millions d abonnements à la banque en ligne 1 million d abonnements à la banque mobile de l épargne est convertie en crédits (internet en mobiel) 1 milliard de virements agences milliard de paiements par carte 299 millions de retraits d espèces Ces services sont assurés par 103 banques en Belgique. Entre 2008 et 2014, ces banques ont connu de profondes réformes : Fonds propres (capital de base + réserves) Effet de levier 38,8% 25,6% 52,9% La rentabilité est mise sous pression du fait des nombreuses taxes, en 2014 : 6 7 % BANK Bilan 943millions (6x plus qu en 2007) Les données publiées correspondent aux derniers chiffres connus. Source : ABL, BCE, BeAMA, BNB et Febelfin

5 RECHERCHE FEBELFIN Capital à risque : comment améliorer notre position? Febelfin a créé en 2014 un groupe de travail chargé d examiner si les entreprises belges ont un accès suffisamment aisé au capital. Ce fut aussi l occasion d analyser le rôle que peuvent jouer les pouvoirs publics, les banques et les investisseurs. Scannez ce QR code pour l étude complète Les chiffres de la période indiquent que la Belgique perd du terrain en Europe dans le financement à risque : Les fonds recueillis pour le financement à risque ont été plus faibles ces dernières années en Belgique que chez la plupart de nos voisins. Pour rejoindre la moyenne européenne, les acteurs belges dans le domaine du capital à risque devraient porter leur activité de collecte de fonds moyenne sur une base annuelle de 330 millions à 1,050 milliard d euros. Le niveau des investissements consentis par les dispensateurs de capital à risque belges est également peu élevé, ce qui accroît la dépendance des entreprises à l égard du capital à risque étranger, voire même la possibilité de les voir tomber dans des mains étrangères. Avec une vingtaine de spécialistes actifs dans le capital à risque, comme des investisseurs, des professeurs d université et/ou des business incubators, Febelfin a examiné comment redéployer ce marché. 3 priorités majeures 3 priorités se sont dégagées des débats : Créer des facteurs environnementaux attrayants (juridique, fiscal, administratif ) Encourager l esprit d entreprise Consolider l offre de financement à risque et en améliorer l accès Cette dernière priorité a permis d examiner concrètement l offre vaste mais très fragmentée de capital à risque en Belgique. S il existe un large potentiel de développement, il faudra d abord passer par un processus long et difficile avant de définir le financier adéquat. Indépendamment de cela, force est de reconnaître que l offre de financement présente un certain nombre de lacunes. Lacunes de l offre Avec l introduction de la réglementation Bâle III et le renforcement des exigences de fonds propres en découlant pour les actifs à risque, les banques ont réduit (proportionnellement) leurs grands fonds de capital à risque. «STIMULER LE MARCHÉ DU CAPITAL À RISQUE A UN IMPACT DIRECT SUR LA CROIS- SANCE ET L INNOVATION. DEUX ÉLÉMENTS QUE NOUS RECHERCHONS!» Comme ce rôle n a pas été endossé par les autres parties du marché, il est aujourd hui plus difficile pour les entrepreneurs de se procurer des montants supérieurs à 1 million d euros. Les rounds de financement de plus de 1 million d euros présentent en effet un risque de concentration pour les fonds belges, dont la plupart ont une taille limitée. Ceci freine la croissance des entrepreneurs les plus expansifs ou les oblige à se tourner vers les investisseurs étrangers. La région joue aussi un rôle : en Flandre, il y a plus de capital à risque (privé). En Wallonie, l offre émane davantage, mais pas uniquement, des pouvoirs publics. Résultats de l étude L étude complète sera publiée sur le site de Febelfin. Qu y trouverez-vous? L approche de nos voisins. Une description détaillée des trois priorités. Des recommandations comme : des fonds de plus grande taille avec un management réputé, une plus grande participation des business angels et des investisseurs privés dans le capital à risque et une intermédiation entre demande et offre de capital à risque. L importance de l octroi de crédits pour l économie belge confirmé L octroi de crédits aux particuliers a un impact substantiel sur l économie belge. Si le crédit hypothécaire et le crédit à la consommation avaient connu une stagnation entre 1995 et 2013, le produit intérieur brut (PIB) sur une base annuelle en Belgique aurait été inférieur de 0,76 %. C est ce qui ressort d une étude récente du Prof. Dr. Nancy Huyghebaert de la KU Leuven sur l importance pour l économie belge de l octroi de crédits aux particuliers. Cette étude a été faite en collaboration avec l Union professionnelle du Crédit (UPC), une des cinq associations membres de Febelfin. Impact sur l économie belge D après les estimations, la croissance du PIB entre 1995 et 2013 aurait été inférieure sur une base annuelle de 0,76 % si l octroi de crédits n avait pas suivi (c est-à-dire une croissance des crédits à la consommation et hypothécaires égale à 0 %). Dans ce pourcentage, le crédit à la consommation occupe la plus grande part avec 0,72 %. Le crédit hypothécaire représente 0,04 %. Impact sur la consommation L étude de la KU Leuven indique qu en 2013, 10,41 % de la consommation ont été financés par le biais du crédit à la consommation (opérations à tempérament). Au fil du temps, ce chiffre a enregistré une hausse (limitée), mais a baissé depuis 2011 (à l époque 11,09 %). En 2013, le crédit à la consommation (opérations à tempérament) représentait environ 5,52 % du PIB. Ce chiffre connaît lui aussi une baisse depuis Par ailleurs, il apparaît que pour expliquer la progression de la consommation, une croissance des crédits à la consommation est plus importante qu une augmentation du revenu disponible des ménages. Importance pour les secteurs Les secteurs les plus influencés par le crédit à la consommation sont ceux de : l industrie automobile ; la production d appareils ménagers ; l industrie du meuble. Pour le crédit hypothécaire, le secteur de la construction est le plus impacté. Les crédits hypothécaires aident en effet les ménages à financer l achat, la construction et la rénovation de leur logement. Caractère procyclique des crédits à la consommation Une autre conclusion importante est que lorsque les ménages sont confrontés à une baisse de leur revenu disponible, ils ne vont pas compenser celle-ci en contractant davantage de crédit à la consommation. Dans un contexte économique incertain, les décisions d achat sont souvent reportées, alors même que les prêteurs évaluent aussi plus strictement la capacité de remboursement des emprunteurs. Plus d informations L étude se trouve sur le site de l Union professionnelle du Crédit rubrique Presse & stats > Dossiers & études > Importance du crédit. 8 9

6 Une nouvelle histoire en ligne pour Febelfin Academy En 25 ans d existence, la Febelfin Academy - l institut de formation du secteur financier - est devenue un partenaire reconnu pour les banques et les fonds paritaires. Cette expertise se reflète dans son nouveau site web mais aussi au travers de la plate-forme d apprentissage numérique Fa-cts. LA FEBELFIN ACADEMY EN UN CLIN D ŒIL : 1/3 de nos formations sont renouvelées annuellement SITE WEB participants par an Depuis deux mois, la Febelfin Academy dispose d un nouveau site web qui guide l utilisateur à travers son offre de formations : Plus complet, le site permet aux participants d effectuer des recherches de formations, de publier et de consulter des références, de partager des informations via les médias sociaux Coup d œil sur les formations INTRODUCTION AU MONDE FINANCIER Pour les néophytes du secteur financier ou pour les travailleurs en quête d un cours financier détaillé, la Febelfin Academy propose l e-learning «Introduction au monde financier». Cet outil guide les participants d une manière interactive à travers toute la gamme des produits, services et activités du secteur. Il aborde aussi l organisation d une banque et le cadre réglementaire. Ce e-learning vient d être entièrement remanié pour répondre encore mieux aux besoins des participants de 2015! 400 formations et workshops par an 350 formateurs constituent notre réseau PLATE-FORME D APPRENTISSAGE La Febelfin Academy peut aussi s appuyer sur sa plate-forme d apprentissage en ligne Fa-cts ou «Febelfin Academy Certification and Training Services». À partir de celle-ci, les participants peuvent suivre leur programme d apprentissage, consulter des cours suivis précédemment, réaliser des exercices, poser des questions en ligne aux formateurs ou demander leurs certificats. Les formateurs peuvent y suivre l évolution des participants ou consulter l évaluation de leurs cours. La plate-forme est accessible via le nouveau site web. INTERMÉDIATION EN ASSURANCES Depuis le 1er janvier 2015, afin de travailler comme intermédiaire en assurances, il faut pouvoir prouver ses connaissances en assurances via un examen centralisé. Febelfin Academy est l un des centres d examen agréés. Pour préparer l examen, elle propose une formule combinant plusieurs méthodes de formation (blended learning) : enseignement à distance individualisé via : - auto-apprentissage avec manuels - formation sur la plate-forme d apprentissage (e-learning) sessions de coaching optionnelles auprès de la Febelfin Academy ou dans l entreprise 94% le taux de satisfaction LEARNING, KEY FOR EDUCATION MIEUX GÉRER LE STRESS +300 formations Incompany sur base annuelle Le stress au travail peut s avérer positif mais lorsqu il est trop élevé, il devient souvent problématique. En effet, trop de stress est néfaste pour l équilibre et la résistance. La formation «Comment mieux gérer le stress?» touche à la meilleure gestion du stress. Les participants bénéficient d un plan d action personnalisé et d un coaching de suivi individuel. S appuyant sur leur propre expérience dans le secteur, les formateurs offrent aux participants un accompagnement idéal et des conseils pertinents et ciblés. STEFAAN MICHIELSEN De Tijd LA PAROLE À... DES JOURNALISTES FINANCIERS Quel regard portez-vous sur le monde de la finance en Belgique? D abord un regard curieux. La crise a profondément ébranlé le secteur financier belge. Lequel a dû affronter une réglementation plus stricte, un environnement économique difficile, de faibles taux d intérêt et des évolutions technologiques. Il est intéressant de voir comment les différents opérateurs ont appréhendé ces obstacles. Ensuite, je considère le secteur sous un angle critique : ses dérives ont contribué à faire le nid de cette crise. Les banques affirment avoir tiré les leçons. Mais est-ce vrai? Quel conseil voulez-vous donner aux dirigeants des banques belges? Sortez de vos tours d ivoire. Expliquez ce que font les banques, pourquoi vous prenez certaines initiatives... Ne soyez pas sur la défensive, ouvrez-vous. Ne vous déchargez pas de cette mission sur l organisation sectorielle, le département marketing de votre banque ou le service presse. Communiquez plus avec un large public au lieu de vous cantonner au cercle des décideurs politiques, des investisseurs institutionnels ou des grosses entreprises. Quelle est la question financière à laquelle vous n avez pas eu suffisamment de réponses? Pourquoi devrait-il y avoir un régime fiscal favorable pour les carnets d épargne? C est un facteur de rigidité du système, qui empêche l argent des épargnants et des investisseurs d alimenter de manière fluide l économie. Ce régime a pour conséquence que les banques se retrouvent avec des excédents d épargne. Il introduit une distorsion économique. Pourquoi les banques s y cramponnent-elles autant? Et ne me dites pas que c est pour protéger les épargnants. LIEVEN DESMET De Morgen Le journaliste financier : un métier à la croisée des chemins? Comme s il devait avoir une discordance entre le monde journalistique et financier? Le secteur financier se prévaut juste titre - de sa fonction sociétale. Présenter les choses de la sorte participe d une approche journalistique. Depuis la crise financière, le secteur suscite des suspicions légitimes. Dès lors qu une série de dossiers financiers ont un impact désastreux sur la société, cette suspicion continuera de prévaloir et les efforts d autorégulation du secteur se retrouveront annihilés. Quel conseil voulez-vous donner aux dirigeants des banques belges? Il serait particulièrement présomptueux, en tant que journaliste, d apporter une réponse sur ce point. Mais étant donné que rien de ce qui touche un homme ne nous est étranger : éloignez-vous sans restriction ni réserve de toutes malversations. La confiance des citoyens dans leur institution bancaire a été ébranlée. La seule bonne réponse à leur apporter désormais est de faire preuve d une totale transparence. Quel regard portez-vous sur le monde de la finance en Belgique? J adopte une double approche. J ai conscience que le paysage bancaire n est pas aussi homogène qu on le pense souvent. Et en même temps, l impact des grandes banques, tant sur le secteur financier que sur l économie, est immense. Je veux bien croire que certains puissent encore y voir une saine concurrence, mais j ai mes doutes. Je ne suis ni un nostalgique, ni un fanatique de l ancrage, mais que l essentiel de nos banques soient aux mains d actionnaires étrangers ne me paraît pas totalement rassurant. DOMINIQUE LIESSE L Echo Quelle est la question financière à laquelle vous n avez pas eu suffisamment de réponses? Les banquiers restent frileux dans leurs relations avec la presse quand il s agit de parler de leur état de santé. Ils se retranchent très souvent derrière la BNB pour expliquer leur refus de communiquer. Un sujet, par contre, sur lequel ils sont prolixes : le poids de la régulation qui pèse sur eux. Le journaliste financier : un métier à la croisée des chemins? Le journaliste a lui aussi dû apprendre de la crise. Il y a d abord eu des notions, qui de barbares sont devenues usuelles : CDO, swap, subprime Des mots jadis peu énoncés et qui maintenant monopolisent le devant de la scène. Puis, il a dû apprendre à lire entre les lignes d un bilan. Le journaliste doit décrypter le discours de l enseigne, sachant aussi que les banques ont souvent mauvaise presse et que chaque élément négatif sera amplifié et parfois détourné par l opinion publique. Quel regard portez-vous sur le monde de la finance en Belgique? Il y a un avant et un après Sans arriver au profil des acteurs anglo-saxons, nos grandes banques avaient un (très) gros appétit. Ce qui a précipité leur chute. La page des exubérances tournée, la finance belge s est recentrée sur son marché domestique, où l épargne séduit de nombreux étrangers, mais où les taux et le tour de vis réglementaire ne permettent plus les niveaux de rentabilité d autrefois. Le secteur doit donc se réinventer : on l entend s inquiéter des attentes des clients, il faut s adapter à un monde de plus en plus virtuel, tout en maîtrisant strictement ses coûts. Tous les cours et les dates de formation peuvent être consultés sur

7 POINT DE VUE La quête permanente d équilibre Cette année, cela fait environ 7 ans que la crise financière a éclaté dans toute son ampleur. Notre secteur a aujourd hui changé et peut porter un regard neuf sur cette période, tout en regardant franchement vers l avenir. Tout tient en un seul mot : équilibre. Le secteur financier se veut un secteur stable et durable au service de l homme, de la société et de l économie. Cependant, il est aussi important que le secteur soit perçu comme tel. Aussi devonsnous demeurer à l écoute des citoyens, des hommes politiques, des partenaires sociaux... Nous devons prendre le pouls de la société et, en tant que partenaire, percevoir ses ressentis. Comme je l ai dit : «un bon banquier a la tête froide et le cœur chaud». Certes, l activité bancaire relève pour une part du chiffre et de l analyse objective mais, en tant que banquier, nous devons essayer de percevoir la réalité que couvrent les chiffres. Etre attentif à tous Le secteur financier a aujourd hui affaire à une société toujours plus «responsable», dont les attentes et exigences sont plus affirmées. En tant que secteur, notre défi permanent est aussi d être à l écoute non seulement des actionnaires, mais aussi de toutes les parties prenantes : citoyens, hommes politiques, ONG... Tout en restant bien évidemment attentifs à la finalité de la réglementation et à la mission des instances de contrôle. S inscrire dans la révolution numérique Notre époque est marquée par l une des évolutions majeures de ces dernières décennies. Le critère d une agence bancaire physique évolue vers une dimension supplémentaire où les services bancaires sont disponibles en ligne 24/24h et 7/7 jours. Cette révolution numérique aura un impact profond sur les produits comme sur les services proposés par le secteur et marquera un tournant irréversible pour la société et l économie. Trouver un juste équilibre entre les deux versants de l activité bancaire, physique et en ligne, constitue un défi sans précédent. En tant que fédération sectorielle, nous tâchons de jeter des ponts entre nos membres et le monde politique, la société au sens large Nous veillons à concilier les aspirations et les besoins de chacun de ces maillons. Il va sans dire que notre rôle d intermédiaire requiert la diplomatie nécessaire et un équilibre naturel nous permettant d être reconnus par tous comme un partenaire. Ensemble, nous continuerons à bâtir le secteur financier de demain! Michel Vermaerke, Administrateur délégué de Febelfin SOUS L ANGLE DU WEB LES JEUNES DANS LE SECTEUR L objectif du plan jeunes du secteur bancaire? Révéler aux jeunes chômeurs de longue durée le secteur bancaire et leur proposer une formation et un stage sur mesure. Ce projet de deux ans se poursuit jusque fin CRÉDIT AUX ENTREPRISES? VOICI! Les entrepreneurs en quête de précisions sur les diverses formes de crédit pouvaient déjà consulter précédemment le site «Financement des Entreprises». Ce dernier vient d être adapté et répond ainsi encore mieux aux besoins des entrepreneurs! EUROPEAN MONEY WEEK Cette semaine a lieu la European Money Week de la Fédération bancaire européenne. Plus de 20 pays, dont la Belgique, présentent leurs initiatives en matière d instruction financière. L objectif? Améliorer l instruction financière en Europe. Infos sur Découvrez le nouveau site Informations sur 12 FEBELFIN ONLINE febelfin.be wefin.be jobsinbanking.be Dans votre prochain Tout tourne autour de la durabilité. Curieux de savoir comment le secteur financier gère cela? Découvrez-le dans notre prochain numéro.

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