Dossier de presse 28 janvier 2013

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1 Dossier de presse 28 janvier Pourquoi un Centre pour Entreprises en difficulté en Wallonie? Certes, le nombre de faillites augmente. Mais, c est surtout, le fait de voir qu un conseil rapide et adéquat peut permettre aux entreprises en difficulté d éventuellement éviter la faillite qui a conduit le Gouvernement wallon à mettre en place un Centre pour Entreprises en difficulté en Wallonie. Lorsque la situation s avère nécessaire, le CEd-W visera donc à remettre l entrepreneur sur les rails et ce avec le degré d urgence adéquat, à accompagner les entreprises en situation délicate afin de permettre aux chefs d entreprise de faire les bons choix et de limiter les impacts négatifs sur les tiers également. Evolution des faillites en Région wallonne : Année JAN FEV MAR AVR MAI JUN JUL AOU SEP OCT NOV DEC TOT Source: Moniteur belge, Traitement : Graydon Page 1 sur 6

2 2. Concrètement, comment ça marche? 2.1. Une mission confiée à l Agence de Stimulation Economique (ASE) Le défi consistait à mettre en place un dispositif d aide d urgence (gestion de crise) limité dans le temps et dans sa portée : une intervention de 1 ère ligne homogène sur le territoire wallon. En effet, le bénéficiaire sortira du dispositif d aide d urgence dès que le relais vers un service d accompagnement classique d animation économique pourra être opéré. Lors de l élaboration de la méthodologie, l ASE a pris contact avec le CEd-COm 1 afin de bénéficier de leur expérience et de leur expertise sur le sujet. Sur base de ces échanges et des réflexions liées au paysage wallon, l ASE a proposé de décliner le CEd-W, en termes de services, de la manière suivante : En traitant les difficultés d ordre économique (sans exclure d emblée les aspects humains des difficultés), ce dispositif se voudra homogène sur le territoire wallon, cohérent dans l uniformisation de sa méthodologie, réaliste sans son approche et recherchera des standards de qualité dans les services rendus aux entreprises bénéficiaires. Il s agira donc d accompagner les entreprises en difficulté afin de : Permettre au dirigeant d entreprise de reprendre pied ; Lui proposer des pistes de réflexion et d actions face aux problèmes rencontrés ou en voie de développement ; Aider l entreprise à se mettre en capacité de rebondir elle-même afin de poursuivre l activité économique ; Rouvrir le dialogue le cas échéant avec les professionnels du droit, du chiffre et du financement; Accompagner/orienter vers l interlocuteur adéquat ; Limiter les impacts d une cessation d activité, le cas échéant. Un des enjeux était également d assurer une offre homogène sur la Wallonie tout en assurant une proximité géographique entre le CEd-W et les entreprises en difficulté. Dans ce contexte, l ASE a lancé un appel à candidatures, via les Structures Locales de Coordination (SLC), aux opérateurs d animation économique agréés. Cette démarche s inscrit dans l objectif de rationalisation du paysage de l animation économique tel qu initié. 1 Centre pour Entreprises en difficulté mis en place en Région de Bruxelles Capitale Page 2 sur 6

3 En termes d outils et afin d assurer une méthode homogène, l ASE a développé les principes suivants : Un numéro unique pour la Wallonie et une gestion centralisée par un call center ( ) représentant la porte d entrée principale pour les entreprises Un formulaire de contact en ligne logé sur les pages web consacrées au CEd-W Un point de contact local par Province (les opérateurs agréés CEd-W) 1 intervenant unique pour le suivi et la gestion de chaque dossier d entreprise (objectif de simplification) 2.2. Les services locaux de 1 ère ligne agréés CEd-W et leur mission Sur base de l analyse de la pertinence des dossiers de candidature déposés à l ASE, les opérateurs agréés en animation économique suivants ont obtenu l agrément spécifique CEd-W : SLC Opérateur agréé Site d accueil des entreprises Inex BW CCIBW Nivelles Namur Synergie UCM-Namur Namur Liège UCM-Liège Liège Lux@venir CCILB Libramont Hainaut oriental UCM-Hainaut Charleroi Ouest Hainaut UCM-Hainaut Mons Missions des opérateurs locaux agréés de 1 ère ligne : 1. Informer, sensibiliser et promouvoir le dispositif CEd-W 2. Accueillir les entreprises en 1 ère ligne et réaliser le diagnostic 3. Orienter et assurer le relais vers les partenaires experts 4. Assurer un accompagnement adéquat 5. Assurer le reporting régulier vers l ASE Page 3 sur 6

4 2.3. Les partenaires Experts Dans le cadre d une assistance de 2ième ligne réalisée par un professionnel expert, l ASE met en place er coordonne les partenariats pour assurer : - une assistance juridique via l OBFG et les Barreaux - une assistance comptable et fiscale via l IEC et l IPCF - orienter le bénéficiaire vers CONCILEO Service wallon de médiation de crédits (SOWALFIN) uniquement lorsqu un problème spécifique de financement est identifié (menace de dénonciation d un crédit, refus d octroyer un moratoire ou un rééchelonnement, refus de renouveler une ligne, refus de majorer une ligne). - Orienter, le cas échéant et sur avis du Ministre de l Economie, le bénéficiaire vers la SOGEPA si la situation financière est telle que les phases précédentes n ont pu trouver une solution viable pour l entreprise Le fonctionnement opérationnel du CEd-W et traitement des dossiers L entreprise formant le numéro unique « » se verra créer une fiche d identité par le Call center (premières données essentielles). Cette fiche sera transmise par le Call center à l opérateur local CEd-W sur base du code postal du siège social de l entreprise demandant les services du CEd-W. Page 4 sur 6

5 Le Conseiller spécialisé CEd-W de l opérateur agréé se chargera sur cette base du suivi du dossier de l entreprise en créant un dossier pour chaque entreprise et en reprenant contact avec elle (J+2 maximum) et recueillera les informations nécessaires au cadrage du contexte Le premier rendez-vous sera alors fixé et aura pour but de mener le diagnostic et d identifier la(les) difficulté(s) rencontrée(s). Le diagnostic est l analyse approfondie de la situation économique, juridique, financière et comptable de l entreprise en vue de confirmer l origine des difficultés rencontrées. Ceci permettant d identifier/structurer le problème de l entreprise, de déterminer la réponse à apporter, d organiser si besoin les rendez-vous avec les professionnels de l assistance juridique et/ou comptable. Les Conseillers de terrain détecteront si l entreprise rencontre une difficulté de nature économique (elle doit être justifiée par l existence d une urgence objective et des difficultés financières avérées), en d autres mots si l entreprise ne nécessite pas une réorientation vers un autre service de base de l animation économique. Si besoin d approfondissement, un second rendez-vous peut être organisé. En fonction du diagnostic, les conseillers proposent : a) un plan d action à l entrepreneur reprenant des recommandations relatives aux services d animation économique de base ; et/ou b) de faire appel aux services d assistance si la situation rencontrée le demande. Pour ce faire, les Conseillers CEd-W préparent les dossiers et organisent les rendez-vous d assistance juridique et/ou comptable suivant les tableaux de permanence établis en début de chaque trimestre avec les cellules de coordination IPCF/IEC et le coordinateur de Barreau de référence. Gestion de la qualité / Evaluation Afin de mesurer la qualité des différents services rendus à l entreprise, il sera proposé au bénéficiaire avant la clôture du dossier de remplir le formulaire d évaluation. Les conseillers encoderont les données et enregistreront le scan du formulaire d évaluation dans le dossier électronique du bénéficiaire (objectif de traçabilité). Clôture des dossiers et recommandations Après la mise à jour du dossier de l entreprise et l encodage de toutes les actions prises pour satisfaire à l objectif de traçabilité, le dossier en «gestion de crise» est clôturé maximum endéans les 8 semaines à compter du 1 er rendez-vous et sans prolongation exceptionnelle d une mission d assistance acceptée par l ASE. La clôture des missions endéans ce délai de 8 semaines répond au fait que le CEd-W n a pas vocation à se substituer aux métiers d avocat, de comptable ou encore des métiers de l animation économique mais correspond à une aide d urgence qui, si elle devait se prolonger, doit s intégrer dans l ensemble des dispositifs mis à disposition des entreprises. Page 5 sur 6

6 Processus basé sur une relation de confiance mutuelle Tout au long du processus, un suivi administratif est organisé et coordonné par les conseillers CEd-W. Les conseillers veillent à informer au mieux les entreprises sur les étapes d avancée de leur dossier et de ce qui est attendu pour progresser. L entreprise veille à informer régulièrement les conseillers du suivi des démarches entreprises. 3. Un Centre pour Entreprises en difficulté en Wallonie, pour qui? Les PME/TPE et les indépendants ayant un siège social déjà existant et situé en Wallonie, quel que soit leur secteur d activité et qui font face à des difficultés. De manière globale, le dispositif «CED-W» mis en en œuvre par l ASE se veut au service des indépendants et des TPE/PME qui pressentent des difficultés du type : Conflits entre associés ; Conflits commerciaux ; Structure financière insuffisante, difficultés de trésorerie ; Problèmes de paiement des dettes fiscales, sociales ; Retards de paiement des clients ; Fatigue professionnelle/soucis d ordre personnel mettant en danger l entreprise ; Pertes de gros clients / pertes substantielles de commandes ; Inadéquation du produit/service au marché ; 4. En conclusion, le CEd-W, c est : 1 dispositif d aide d urgence homogène et coordonné par l ASE en Wallonie, 1 méthodologie uniformisée, 2 types d assistance, 3 partenariats Experts, 6 points de contact locaux proches des entreprises avec un interlocuteur unique, 1 perspective de synergie avec les acteurs intéressés, 1 processus basé sur une relation de confiance mutuelle Les contacts ont été pris avec les différents présidents des tribunaux de commerce qui ont manifesté un intérêt certain à étudier avec l ASE toutes les synergies possibles avec les dispositifs judiciaires. Page 6 sur 6

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