Vaccin pneumocoque. Pr Jean Beytout Service des maladies infectieuses CHU de Clermont-Ferrand. Faculté de médecine. Université d Auvergne.
|
|
- Francine Denis
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Vaccin pneumocoque Pr Jean Beytout Service des maladies infectieuses CHU de Clermont-Ferrand. Faculté de médecine. Université d Auvergne.
2 Morbi-Mortalité des infections à pneumocoques Nasopharynx : niche écologique pour de nombreux agents infectieux viraux & bactériens Transmission aérienne Cas groupés rares : promiscuité, espaces clos Compétition et portage séquentiel répétitif Lieu d acquisition d immunité protectrice (enfance) Portage nasopharyngien des pneumocoques précède une éventuelle infection : Localisée : otite, sinusite; bronchite Systémique : bactériémie, pneumonie, méningite
3
4 Morbi-Mortalité des infections à pneumocoques Infections engageant le pronostic vital : Pneumonies (avec ou sans bactériémie) Adulte âgé ou patients à risque (10-25% létalité, stable) Méningites Nourrissons/ jeunes enfants/ personnes âgées Bactériémies Nourrissons / patients à risque Multi-résistance des souches de pneumocoques Associée à un nombre limité de sérotypes Favorisée par les âges extrêmes, toute antibiothérapie préalable, vie en collectivité, immunodépressions, promiscuité, hospitalisations répétées Otites > méningites > pneumonies > bactériémies
5 Pouvoir pathogène Otites moyenne aiguës 2 millions par an en France (< 2 ans ++) Sinusites Pneumonies 100/ aux USA et en Europe 1, par an en France Mortalité 2-35% (moy 14%) Méningites 1 à 2/ par an 1,2 Mortalité = 10% Séquelles = 30% 1 OMS, SAGE_wg_detailedreview_pneumoVaccine.pdf 2 Health, United States 2007, Austrian Annals of Internal Medicine, 1964 Feikin et al., Am J Public Health 2000 Welte et al., Thorax 2010
6 Potentiel invasif des sérotypes (OR) Brueggemann et al. J Infect Dis 2004
7 Qu est-ce que le switch capsulaire? Importance pour le transfert de virulence et de résistance. Echange de capsule entre pneumocoques par transformation, recombinaison homologue Organisation d un locus capsulaire (10 à 30 kb) Cassette-like, non homologues Régions flanquantes communes Mavroidiet al. J Bacteriol 2007 Pillai et al. BMC Genomics 2009, 10:642
8 Les vaccins dont nous disposons en 2000.
9 Vaccin polyosidique à 23 valences (23vPPV) : Pneumo23 R Sérotypes 1, 2, 3, 4, 5, 6B, 7F, 8, 9N, 9V, 10A, 11A, 12F, 14, 15B, 17F, 18C, 19A, 19F, 20, 22, 23F et 33F Efficacité validée par des essais prospectifs randomisés et méta-analyses : Vis-à-vis des IIP : bactériémies, méningites, pneumonies bactériémiques chez les adultes non immunodéprimés Vis-à-vis des pneumonies à pneumocoques (+ bactériémie) chez des mineurs d Afrique du Sud (hyper-endémique). Efficacité incertaine chez les enfants < 2 ans dans pays pauvres Efficacité vis-à-vis des pneumonies non bactériémiques chez les personnes > 65 ans controversée : Résultats divergents et études de cohorte rétrospective Impact sur la mortalité des personnes âgées ou vivant en institution encore mal évalué : résultats divergents / co-vaccination pneumocoques-grippe.
10 Caractéristiques du vaccin polysaccharidique Pneumo 23 Cellule B spécifique du polysaccharide Immunogénicité limitée Ag thymo-indépendant prolifération C 3 d CR 2 (CD 21 ) des cellules B spécifiques et différentiation en cellules productrices d anticorps sans le concours des cellules T- auxiliaires Réponse AC insuffisante avant l âge de 2 ans Pas de mise en place de la mémoire immunitaire revaccination nécessaire D après Fritzell B. Thérapie (3):
11 Vaccin Conjugué Heptavalent (7vPCV) : Prévenar R Sérotypes: 4, 6B, 9V, 14, 18C, 19F, 23F Conjugaison à CRM197 (dérivé anatoxine diphtérique) confère : Stimulation de l immunité adaptative (ou spécifique) cellulaire et humorale permettant la constitution d une mémoire immunitaire (effet rappel) Immunogène chez le nourrisson, jeune enfant, enfant et adulte Impact sur le portage nasopharyngien des sérotypes vaccinaux et sur leur transmission aérienne entre enfants et enfants-adultes Vaccination qui peut être associée aux Primo-Vaccinations du nourrisson : vaccins pentavalents DTPHibaCoq [Infanrix-Penta] ou vaccins hexavalents DTPHibaCoqHep [Infanrix-Hexa] Tolérance locale acceptable sans effet indésirables graves rapportés depuis son utilisation en 2000
12
13 CRM 197 * ic3b Ac spécifique du polysaccharide * CR2 -IgM IgG - Maturation de l avidité B B CD40 CD40L Cellules B mémoire Cytokines CD4 Cytokines CD4 from D. Goldblatt
14 Caractéristiques des vaccins conjugués Réponse en anticorps précoce possible, dès l âge de 6-8 semaines Réponse mémoire Meilleure activité fonctionnelle et avidité Réponse immune au niveau des muqueuses du rhinopharynx ++ Réduction du portage rhino-pharyngé Immunité de groupe
15 Résultats de la vaccination des nourrissons par le VPC 7v
16 Source : Whitney CJ et al N Engl J Med 2003;348:
17 Source : Whitney CJ et al N Engl J Med 2003;348:
18 Source : Kyaw MH et al N Engl J Med 2006;354:
19 IPD in adults > 65y, by serotype & year Hicks LA et al, JID 2007;196: ABC Surveillance Network, USA
20 Incidence des infections invasives à pneumocoques par tranche d âge, , France (données Epibac) 0-23 mois - 32,5% (p < 10-3 ) 2-15 ans + 21,0% (p < 10-3 ) ans + 24,9% (p < 10-3 ) > 64 ans + 9,8% (p < 10-3 )
21 Penicillin non susceptible S. pneumoniae (PNSP) in France National plan «Keepantibioticsworking» 1 PCV7 introduction 2 N= isolates : GEEP - P. Geslin ; : ORP - E. Varon, L. Gutmann Pneumococcal heptavalent conjugate vaccine (PCV7)
22 Jackson LA & Janoff EN. Pneumococcal vaccination of elderly adults: new paradigms for protection. CID 2008;47:
23 Changes in invasive pneumococcal disease incidence by serotype group, ABCs < 5 ans PCV7 : 83% to 2% PCV13 : 92% to 68% 65 ans PCV7 : 56% to 9% PCV13 : 76% to 50% Pilishvili et al., CID 2010
24 Significant Changes in serotype-specific incidence of IPD in chidren < 5y (A) & adults > 65y (B) Hicks LA et al, JID 2007;196:
25 Serotype specific incidence rate of IPD, Children < 2 years, France PCV7 68% PCV13 90% PCV7 16% PCV13 73% Non PCV13 Incidence rates from EPIBAC-INVS, CNRP, annual report 2008
26 Serotype specific incidence rate of IPD, Adults > 64 years, France PCV7 54% PCV13 78% PCV7 28% PCV13 69% Non PCV13 Incidence rates from EPIBAC-INVS, CNRP, annual report 2008
27 Impact of PCV7 on nasopharyngeal carriage of pneumococci in 6-24 months children with AOM, PCV7 coverage increased from 8% in year 1 to 92% in year % Year 1 Year 2 Year 3 Year 4 Year 5 Year 6 Year 7 Year 8 Other serotypes (0 vs 1.5)7F (vs 3 1.4) 3 (0.7 vs 2)11A (0.3 vs 4)15A (0.5 vs 4)23A (1.5 vs 5)15B/C (0 vs 2.7)35B ( 7 vs 5)6A/6C (9 vs 15)19A (45 vs 5)PCV7 (15.6 vs 2.8)Pen non-susceptible (71.2 vs 65.1)Spn carriage Cohen R et al. Vaccine 2009 CNRP et ACTIV-GPIP
28 «Switch» capsulaire à l ère vaccinale (II) CMI (mg/l) : péni 4, amox 8, ctx 2-4, ermb, mef, tetm ST320 ST320 Clone Taiwan 19F -14 Pillai et al. BMC Genomics 2009, 10:642
29 PCV7 IPD &Carriage Vaccine Types mostly antibiotic resistant Antibiotic Use selection of antibiotic resistance on all colonizing pneumococci Replacement Non vaccine types colonization Secular trends Colonizing susceptible populations Efforts to decrease antibiotic consumption in outpatients are still required to limit the emergence and spread of antibiotic resistant NVT
30 Du vaccin conjugué à 7 valences au vaccin à 13 valences
31 Introduction du vaccin VPC 13v
32
33
34 Efficacité du vaccin conjugué 13 valence Grimprel E. Vaccine 2011; 29 :
35
36
37
38
39
40
41
42
43 Impact de la vaccination généralisée des nourrissons et enfants par le 13vPCV Effets directs de la vaccination Réduction très forte des infections invasives à pneumocoques les plus graves (septicémies, méningites), y compris les souches résistantes, liées aux sérotypes vaccinaux Réduction partielle des otites moyennes aiguës liées aux STV Réduction du portage nasopharyngien des STV Réduction du portage nasopharyngien des souches de pneumocoques résistantes aux ATB usuels Effets indirects de la vaccination Réduction des infections invasives [S & R] chez les adultes non vaccinés grâce à l impact sur le portage (immunité de groupe) Risque de portage (effet de remplacement) des STNV et risque d infections [invasives ou non invasives (otites)] par des STNV qui pourraient être résistants aux ATB usuels
44 Associer vaccin conjugué et non conjugué?
45
46 Analyse Cochrane concernant l efficacité du vaccin VPP 23 ( ) Cette méta-analyse fournit des preuves corroborant la recommandation du VPP pour prévenir l'ipi chez l'adulte. Les données issues des ECR sont moins claires pour les adultes atteints d'une maladie chronique. Cela pourrait être dû au manque d'effet ou au manque de puissance des études. La métaanalyse ne fournit pas de preuves corroborant l'utilisation systématique du VPP pour prévenir la pneumonie toutes causes ou la mortalité.
47 L association des 2 types de vaccin est difficile. Le vaccin polysaccharidique non-conjugué particulièrement chargé «sature» durablement les récepteurs déterminant une hyporréactivité durable (1 à 3 ans). L injection du VPP dans l intervalle n entraîne pas d augmentation appréciable du titre des AC et le vaccin conjugué n est pas aussi performant que chez le sujet non vacciné.
48
49 Vaccination des sujets à risque A la suite de l obtention de l AMM du vaccin VCP 13v pour vacciner les adultes (de plus de 50 ans) et les enfants (entre 2 et 5 ans).
50 Jackson LA & Janoff EN. Pneumococcal vaccination of elderly adults: new paradigms for protection. CID 2008;47:
51 RR d IIP selon la présence de pathologie chronique et prévalence chez les 50 ans en France Kyaw, 2005 Groupe à risque RR ajusté1 (IC 95%) Prévalence 50 ans VIH/SIDA 48.4 ( ) 0,1% Cancer hématologique 38.3 ( ) 1,7% Cancer solide 22.9 ( ) 6,6% Alcoolisme 11.4 ( ) 11,3% Pathologie cardiaque 6.4 ( ) 7,6% Pathologie pulmonaire 5.6 ( ) 8,2% Diabète 3.4 ( ) 7,6% En bonne santé Réf. Réf.
52 Millions of Individuals are at Risk for Pneumococcal Disease Selected Risk Factors French Prevalence Risque Relatif Drepanocytose à 100x Splenectomie nd Cirrhose x Alcool 5 millions 11x Insuffisance cardiaque 1 million 5x Insuffisance renale / EER x Asthme 4 millions 2,5x BPCO 3.5 millions 4x HIV à 100x tabagisme 15 millions 4x Diabetes 3 millions 1,5 2x Age 65 years 11 millions 5x 58
53
54 Vaccination des immunodéprimés aspléniques ou hypospléniques (incluant drépanocytoses majeures); déficits immunitaires héréditaires; infectés par le VIH, quel que soit le statut immunologique, sous chimiothérapie pour tumeur solide ou hémopathie maligne, transplantés ou en attente de transplantation, greffés de cellules souches hématopoiétiques, patients traités par immunosuppresseur, biothérapie et/ou corticothérapie pour maladie auto-immune, syndromes néphrotiques.
55 Vaccination pneumocoque des immunodéprimés
56 Non immunodéprimés atteints de maladies cardiopathie congénitale cyanogène, insuffisance cardiaque, insuffisance respiratoire chronique, BPCO, emphysème, asthmes sévères sous traitement continu, insuffisance rénale, hépatopathies chroniques alcooliques ou non, diabète non équilibré par le simple régime patients présentant une brèche ostéo-méningé ou candidats à des implants cochléaires.
57 Vaccination pneumocoque des patients à risque non-immunodéprimés
58 Faut-il étendre la vaccination par le VP Conjugué à d autres adultes.
59
60 Vaccin pneumococcique conjugué 13 valences 2 extensions d AMM récentes ( ) Pour les personnes âgées de 5 ans à 18 ans, Pour les personnes âgées de 19 à 64 ans, Objectif : prévention des infections invasives à pneumocoque. NB: ceci valide à posteriori les recommandations faites pour les sujets immunodéprimés (réactualisation des recommandations aux immunodéprimés en cours).
61 Objectifs de l étude Après vaccination par VPC13 et vaccination grippale, dans la population hollandaise où on ne vaccine pas par le pneumo 23. Pneumonies à pneumocoque, À sérotype vaccinal (objectif primaire) À sérotype non-vaccinal (obj. secondaire) Infections invasives à pneumocoque (2aire), Autres : En intention de traiter, Mortalité liée aux infections à pneumocoque et autres aspects
62
63
64
65
66 Conclusion étude CAPITA
67 Quelles perspectives Ces résultats sont-ils suffisants pour recommander la vaccination par VPC13 des sujets aux sujets à risque de pneumonie? Place du VPP23? Place du vaccin contre la grippe? Faut-il le recommander à tous les personnes d une tranche d âge (> 65 ans? ans?). Intérêt de la vaccination dans les communautés de personnes à risque?
68 Eléments de décision Analyse critique des données. Evaluation du rapport bénéfice / risque, Evaluation du rapport coût / bénéfice, Modélisation tenant compte des hypothèses de recommandations, Anticipation de l évolution pathogénique, épidémiologique et thérapeutique.
69 Evolution des vaccins pneumococciques Toujours plus performants : + immunogènes, spectre + large, adaptables en fonction de l évolution de l épidémiologie Spécifiques à certaines zones géographiques? à certaines catégories de sujets à risque? à certains sujets à risque? Autres types de vaccins Non fondés sur les sérotypes (polysaccharides), Possibilités d association, Possibilités de combinaisons
70 Vaccination pneumocoque VPC particulièrement intéressant chez le nourrisson et le «trotteur»: réduit le risque de méningites et d infections invasives due aux sérotypes vaccinaux. Impact sur circulation des souches et effet indirect sur l ensemble de la population. Intérêt chez les immunodéprimés et les patients à risque menacés d IIP malgré une efficacité incertaine. Enjeu actuel : patients exposés aux pneumopathies. Perspectives : évolution de l épidémiologie, vaccinologie «évolutive».
VACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES
VACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES Infections respiratoires SPIF - 15 Novembre 2014 Patrick Petitpretz Déclaration de liens d'intérêts J ai actuellement, ou j ai eu au cours des trois dernières années, une affiliation
Plus en détailVaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban
Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec
Plus en détailA C T I V Méningites à pneumocoque de l Enfant en 2007
Méningites à pneumocoque de l Enfant en 2007 Edouard BINGEN, Robert COHEN, Corinne LEVY, France de La ROCQUE, Emmanuelle VARON, Yannick AUJARD, pour le GPIP-ACTIV Objectifs de l Observatoire des Méningites
Plus en détailCalendrier des vaccinations et recommandations vaccinales 2015 PROTÉGEONS-NOUS, VACCINONS-NOUS.
Calendrier des vaccinations et recommandations vaccinales 2015 PROTÉGEONS-NOUS, VACCINONS-NOUS. Sommaire 1. Points-clés sur les nouvelles recommandations 4 2. Recommandations 5 Vaccination des personnes
Plus en détailÉvaluation de la pertinence d un nouveau vaccin antipneumococcique conjugué au Québec INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC
Évaluation de la pertinence d un nouveau vaccin antipneumococcique conjugué au Québec INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Rapport Évaluation de la pertinence d un nouveau vaccin antipneumococcique
Plus en détailVaccination contre la grippe saisonnière
le point sur risques infectieux > Vaccinations Vaccination contre la grippe saisonnière Questions / Réponses - Professionnels de santé Document élaboré le 14 octobre 2014 1 - Quand a lieu la campagne de
Plus en détailOtite Moyenne Aiguë. Origine bactérienne dans 70 % des cas. Première infection bactérienne tous âges confondus
Otite Moyenne Aiguë OMA / modèle Origine bactérienne dans 70 % des cas Première infection bactérienne tous âges confondus Efficacité prouvée des antibiotiques Une des première cause d utilisation des antibiotiques
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200
Plus en détailUniversité René Descartes Paris V Faculté Cochin Port Royal. PLACE DU VACCIN PNEUMOCOCCIQUE CONJUGUE A 13 VALENCES Chez les personnes âgées en EHPAD
Université René Descartes Paris V Faculté Cochin Port Royal PLACE DU VACCIN PNEUMOCOCCIQUE CONJUGUE A 13 VALENCES Chez les personnes âgées en EHPAD Analyse critique de l évolution des vaccins pneumococciques,
Plus en détailVaccins et chimiothérapies chez l adulte
Vaccins et chimiothérapies chez l adulte 1 1 Coordination Pr Odile LAUNAY (CIC Vaccinologie, Cochin-Pasteur; Paris), Dr Pierre LOULERGUE (CIC Vaccinologie, Cochin-Pasteur; Paris) Membres du groupe de travail
Plus en détailVu les considérants de l avis émis le 14 septembre 2001 à savoir: le Conseil Supérieur d Hygiène Publique de France, considérant
AVIS DU CONSEIL SUPERIEUR D'HYGIENE PUBLIQUE DE FRANCE SECTION DES MALADIES TRANSMISSIBLES relatif à la vaccination par le vaccin pneumococcique heptavalent conjugué (Prevenar R ) Séance du 8 mars 2002
Plus en détailvaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé)
EMA/90006/2015 EMEA/H/C/001104 Résumé EPAR à l intention du public vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé) Le présent document est un résumé du rapport européen public d évaluation
Plus en détailÉvolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse
Évolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse Professeur Emmanuel Grimprel Service de Pédiatrie Générale, Hôpital Trousseau, Paris Université Pierre et Marie Curie, Paris Déclaration
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailVaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins»
Vaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins» Bernard Duval Institut National de Santé Publique du Québec 18 avril 2002 Objectifs Grands axes de la réponse immunitaire Conjugaison
Plus en détailInfiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé. Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009
Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009 Complications pulmonaires en onco-hématologie (Mokart et al Chest 2003) ~ 20 % des patients ~
Plus en détailAVIS DU CONSEIL SUPERIEUR DE LA SANTE N 8813
AVIS DU CONSEIL SUPERIEUR DE LA SANTE N 8813 Vaccination de l enfant et de l adolescent contre le pneumocoque In this scientific advisory report on public health policy, the Superior Health Council of
Plus en détailCampagne de vaccination contre la grippe saisonnière. Une priorité de santé publique
Campagne de vaccination contre la grippe saisonnière Une priorité de santé publique 9 octobre 2013 Communiqué de presse Campagne de vaccination contre la grippe saisonnière Une priorité de santé publique
Plus en détailMise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire
Mise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire Murielle Galas, Gaëlle Dunoyer, Claude Olive, Rafaëlle Théodose, François Lengellé, Patrick Hochedez,
Plus en détailWeekly epidemiological record Relevé épidémiologique hebdomadaire
2007, 82, 93 104 No. 12 Weekly epidemiological record Relevé épidémiologique hebdomadaire 23 MARCH 2007, 82nd YEAR / 23 MARS 2007, 82 e ANNÉE No. 12, 2007, 82, 93 104 http://www.who.int/wer Contents 93
Plus en détailLES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris
LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris 8 Avant l introduction des traitements antirétroviraux hautement actifs (HAART), la majorité des patients
Plus en détailNathalie Colin de Verdière Centre de vaccinations internationales Hôpital Saint-Louis
Nathalie Colin de Verdière Centre de vaccinations internationales Hôpital Saint-Louis 12/09/2013 2 Comparaison calendrier vaccinal 2013 et 2012 : Nourrisson 3 Comparaison calendrier vaccinal 2013 et 2012
Plus en détailTransplantation pulmonaire et mucoviscidose. Optimiser la prise en charge médicale
Transplantation pulmonaire et mucoviscidose Optimiser la prise en charge médicale Dr Isabelle Danner-Boucher CRCM adulte de Nantes Unité de Transplantation Thoracique 11èmes Journées Scientifiques de la
Plus en détailWeekly epidemiological record Relevé épidémiologique hebdomadaire
2012, 87, 129 144 No. 14 Weekly epidemiological record Relevé épidémiologique hebdomadaire 6 APRIL 2012, 87th YEAR / 6 AVRIL 2012, 87 e ANNÉE No. 14, 2012, 87, 129 144 http://www.who.int/wer Contents 129
Plus en détail«Les antibiotiques c est pas automatique», 12 ans après, quels sont les changements laissés par ce slogan percutant?
«Les antibiotiques c est pas automatique», 12 ans après, quels sont les changements laissés par ce slogan percutant? Thèse présentée et soutenue publiquement Le 17 juin 2014 Pour obtenir le Diplôme d État
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailGuide des vaccinations Édition 2006. Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations
Guide des vaccinations Édition 2006 Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations 200 La vaccination contre les infections invasives à méningocoque Depuis l introduction du vaccin contre
Plus en détailVaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive.
Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive. Pr Jean Beytout Service des maladies infectieuses et tropicales CHU de Clermont-Ferrand. Comité Technique des Vaccinations Conclusion Le principal
Plus en détailStreptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.
Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,
Plus en détailALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES
ALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES R. Belhadj, R.Ahmed Nacer, F.Mehdid, M.Benakli, N.Rahmoune, M.Baazizi, F. Kaci, F.Harieche, F.Zerhouni,
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailInfection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis.
Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis. Tarek Ben Othman Congrès de la STPI, 24 avril 2009 Plan Introduction
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 décembre 2010
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 décembre 2010 MENVEO, poudre et solution pour injection Vaccin méningococcique des groupes A, C, W-135 et Y conjugué B/1 flacon + 1 seringue préremplie (CIP: 360 379-1)
Plus en détailÉpidémiologie des maladies interstitielles diffuses
Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses 3 à 5/100 000 habitants Augmente avec l age 175 /100 000 >70 ans Notre file active toutes les maladies interstitielles confondues plus de 120 patients
Plus en détailApport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose
Plus en détailVivre en santé après le traitement pour un cancer pédiatrique
PRÉCAUTIONS POUR LES INDIVIDUS SANS RATE FONCTIONNELLE La rate, c est quoi? La rate est un organe situé du coté gauche, vers le haut de l abdomen, sous les côtes, derrière l estomac. Une rate normale a
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailPrévention des infections après splénectomie
Prévention des infections après splénectomie JOURNEES EN TRAUMATOLOGIE Tristan Ferry Introduction Incidence des asplénies en France 6000 à 9000 nouveaux patients splenectomisés/an Population globale estimée
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 1 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 1 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, Forme pharmaceutique, Dosage, Présentation - ARANESP 10 µg, Darbépoétine
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailLECTURE CRITIQUE 1 ER PAS
1 LECTURE CRITIQUE D UN ARTICLE SCIENTIFIQUE 1 ER PAS FORUM PCI 20,05,14 MJ Thévenin / Inf. EPIAS/ SMPH BUTS ET ORGANISATION DE LA PRÉSENTATION Utiliser une grille de lecture critique d un article Comprendre
Plus en détailPrincipales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus
Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées
Plus en détailIl est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut
Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la
Plus en détailRésistance aux Antimicrobiens: Ensemble, nous pouvons réduire ce risque
Résistance aux Antimicrobiens: Ensemble, nous pouvons réduire ce risque Débats de Santé Publique 2014 Carmem Lúcia Pessoa-Silva, MD, PhD Health Security and Environment, WHO Headquarters, Geneva pessoasilvacl@who.int
Plus en détailMédicaments du futur : Tendances et enjeux. Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014
Médicaments du futur : Tendances et enjeux Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014 Quelques mots sur Debiopharm Groupe fondé en 1979 Siège à Lausanne 350 collaborateurs Financièrement
Plus en détailDevenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger
Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur
Plus en détailRÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES
CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailGestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015
Gestion des épidémies en FAM et MAS 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Rappels En EMS, le risque infectieux est présent, avec cumul des différents aspects de ce risque: Infections communautaires:
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE
MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE AVIS DU COMITE TECHNIQUE DES VACCINATIONS / DU CONSEIL SUPERIEUR D HYGIENE PUBLIQUE DE FRANCE relatif à la vaccination par le vaccin
Plus en détailLa recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux
La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux Marc Beaumont, kinésithérapeute - 5ème journée inter régionale GIRCI - Tours, 3 juin 2015 Qu est ce que la recherche clinique? «une
Plus en détailANTIBIOTHÉRAPIE PAR VOIE GÉNÉRALE. Infections ORL et respiratoires basses
ANTIBIOTHÉRAPIE PAR VOIE GÉNÉRALE Infections ORL et respiratoires basses RECOMMANDATIONS 1 Les recommandations ont été établies par un groupe de travail multidisciplinaire, sous l égide de l Agence du
Plus en détailINAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE
INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE Contact presse : Cathy Josse 03 22 66 87 83 / 06 86 30 46 57 josse.cathy@chu-amiens.fr 1 COMMUNIQUE DE SYNTHESE Le 16 février
Plus en détailALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse
ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification
Plus en détailAspects réglementaires du don et de la transplantation des organes. Mohamed Arrayhani - Tarik Sqalli Service de Néphrologie CHU Hassan II - Fès
Aspects réglementaires du don et de la transplantation des organes Mohamed Arrayhani - Tarik Sqalli Service de Néphrologie CHU Hassan II - Fès Cadre législatif au Maroc Loi 16/98 relative au don, au prélèvement
Plus en détailLes facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims
Les facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims 12 2014 HEMATOPOIESE Progéniteurs puis précurseurs Stimulation par facteur : activation spécifique de leur récepteur Moelle
Plus en détailPlan de la présentation
Quand la maladie vient compliquer la transition de l adolescence vers le merveilleux monde des adultes Développement d une clinique pour adolescents greffés Marie-France Vachon, M.Sc.Inf., CPON, CSIO,
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailNouveautés dans Asthme & MPOC
Nouveautés dans Asthme & MPOC Dr Gilles Côté Pneumologue CSSSGatineau Pavillon de Hull 31 Janvier 2014 Conflit d intérêt Aucun 2 1 Objectifs A la fin de cette capsule, le participant pourra identifier
Plus en détailAssurance maladie grave
ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailProfil médico-économique de plerixafor en remobilisation dans le myélome multiple
Profil médico-économique de plerixafor en remobilisation dans le myélome multiple Aline Voidey Soirée de la Société de Médecine de Franche-Comté Jeudi 27 novembre 2014 L hématopoièse Une seule et unique
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailItem 127 : Transplantation d'organes
Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3
Plus en détailrecommandations pour les médecins de famille
BPCO: recommandations pour les médecins de famille BPCO: recommandations pour les médecins de famille Dr. med. Werner Karrer, Prof. Dr. med. Jörg D. Leuppi Les médecins de famille jouent un rôle central
Plus en détailMécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes
Mécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes Sébastien Lacroix-Desmazes INSERM UMRS 1138 Immunopathology and herapeutic Immunointervention CRC - Paris, France Ma connaissance d un patient
Plus en détailPatho Med Cours 5. Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme
Patho Med Cours 5 Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme BPCO: B: Broncho ( Bronche) P: Pneumopathie C: Chronique O: Obstructive Asthme Maladies avec des spasmes bronchiques Maladies avec des spasmes
Plus en détailLa santé bucco-dentaire au cabinet OMS. Problèmes majeurs. Santé bucco-dentaire et santé générale. Santé. Déterminants sociaux et santé bucco-dentaire
La santé bucco-dentaire au cabinet Santé OMS Déterminants sociaux et santé bucco-dentaire Colloque MPr 14 septembre 2011 Dr J-P Carrel Division de stomatologie, chirurgie orale et radiologie dento-maxillo-faciale
Plus en détailClub Santé. «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005
Club Santé «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005 Contacts Presse : Florence PARIS Fanny ALLAIRE Tél : 01.39.17.90.85 Fax : 01.39.17.86.56 Adresses e-mail
Plus en détailObjectifs pédagogiques Lecture critique d article
Objectifs pédagogiques Lecture critique d article groupe V Evaluer les applications cliniques Evaluer les applications cliniques 21 ) Discuter la ou les décisions médicales auxquelles peuvent conduire
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détailVaccinations - Rédaction Dr BOUTON
20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)
Plus en détailLes vaccinations en gériatrie
Les vaccinations en gériatrie Capacité de Gérontologie Clinique 22/05/2014 Dr Joël Leroy RFCLIN/PRIMAIR et Service de Maladies Infectieuses CHU Besançon Pourquoi vacciner le senior? (1) Patient âgé = population
Plus en détailDossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang
Dossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang Maladies du sang Objectif de ce dossier Les demandes des médias portent régulièrement sur les usages
Plus en détailLa recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique
2 èmes Assises de l Innovation Thérapeutique Paris, 05-11-2014 La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique Pr. Jean-François DHAINAUT Président du Groupement Inter-régional de la Recherche Clinique
Plus en détailL immunoenzymologie. Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic cificité des anticorps pour leurs nes
L immunoenzymologie Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic Basée e sur la très s grande spécificit cificité des anticorps pour leurs antigènes nes Test qualitatif Détection
Plus en détailIMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES
DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs
Plus en détailLe niveau de revenus des ménages est associé à la couverture vaccinale par le vaccin pneumocoque conjugué chez les enfants d'ile-de-france
Le niveau de revenus des ménages est associé à la couverture vaccinale par le vaccin pneumocoque conjugué chez les enfants d'ile-de-france Jean-Paul Guthmann, Pierre Chauvin, Yann Le Strat, Marion Soler,
Plus en détailHVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI. http://www.infectiologie.org.tn
HVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI LES MOYENS THERAPEUTIQUES Les interférons La ribavirine Les nouveaux produits INTERFERONS 1957: activité antivirale Interférence
Plus en détailLES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention
LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailPemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var
Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000
Plus en détailNous avons tous un don qui peut sauver une vie. D e v e n i r. donneur de moelle. osseuse
Nous avons tous un don qui peut sauver une vie D e v e n i r donneur de moelle osseuse Pourquoi s inscrire comme donneur de moelle osseuse? Pour des personnes atteintes de maladies graves du sang, la greffe
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailStratégies de dépistage des bactéries multirésistantes. Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA
Stratégies de dépistage des bactéries multirésistantes à l hôpital et en MRS: Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA Prof. Dr. Youri Glupczynski Unité d Hygiène hospitalière & Laboratoire de
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailEvidence-based medicine en français
Evidence-based medicine en français MÉDECINE FACTUELLE (Office de la langue française) Médecine fondée sur des faits démontrés Médecine fondée sur des preuves Médecine fondée sur des données probantes
Plus en détailGUIDE PRATIQUE DE L ASSURANCE MALADIE :
GUIDE PRATIQUE DE L ASSURANCE MALADIE : Vous trouverez dans ce guide pratique les points essentiels de la réforme de l assurance-maladie : forfait de 1 euro, médecin traitant, aide à l acquisition d une
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailCancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques. Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006
Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006 Cancer du rein à cellules claires métastatique (CRM) Plus de 30 % des CR deviendront métastatiques
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailEssais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire
Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailPLAN. Intérêt des cellules souches exogènes (hématopoïétiques ou mésenchymateuses) dans la réparation/régénération
Cellules souches & appareil respiratoire : Perpectives thérapeutiques Pr Carole Planès Physiologie SMBH Bobigny EA 2363, UFR SMBH, Université Paris 13 carole.planes@avc.aphp.fr Master 2 B2PCR Respiration
Plus en détailLes Applications industrielles et commerciales des cellules souches. Inserm Transfert Pôle Création d Entreprises
Les Applications industrielles et commerciales s cellules souches Inserm Transfert Pôle Création d Entreprises Matthieu COUTET, Responsable du Pôle Jean-François RAX, Business Analyst 1 Plan Cellules souches
Plus en détail2 - AMMARI H., RAMDANI-BOUGUESSA N., BELLOUNI R. Antibiothérapie dans les infections ORL Médecine du Maghreb, 2001, 91 : 28-31
1 - AGENCE FRANCAISE DE SÉCURITÉ SANITAIRE DES PRODUITS DE SANTÉ Antibiothérapie par voie générale en pratique courante dans les infections respiratoires hautes de l adulte et de l enfant Octobre 2005
Plus en détail