URGENCE GYNECOLOGIQUE. Algies pelviennes aigües

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "URGENCE GYNECOLOGIQUE. Algies pelviennes aigües"

Transcription

1 URGENCE GYNECOLOGIQUE Algies pelviennes aigües

2 Urgence en gynécologie Grossesses ectopiques Torsions annexielles Infections génitales hautes Syndrôme d hyperstimulation ovarienne (SHSO)

3 Grossesses ectopiques 1/4 des coelio pour APA 2-3% des grossesses Incidence 95,3 p

4 Grossesses ectopiques extra-utérines Tubaires Ovariennes Péritonéales Grossesses ectopiques utérines Angulaires Interstitielles Cer vicales Cicatricielles (césarienne)

5 GEU TABLEAU CLASSIQUE Métrorragies, douleurs, aménorrhée (5/7 SA) Cri du Douglas Test G + Echo endovaginale : Vacuité utérine Épanchement Masse latéro-utérine +/- embryon ou V. vitelline

6 GEU tableau habituel Cafouillage de règles, douleur absente ou légère Examen clinique??? Beta HCG <1000 Echographie???

7 GEU tableau moderne Question : début de grossesse après ovulation tardive? Avortement spontané précoce? ou grossesse ectopique? Le diagnostic repose sur R e c h e r c h e d e s i g n e s échographiques fins Évolution comparative echo/ BetaHCG

8 Facteurs de risque Antécédents infectieux (chlamydiae) Tabagisme actif ou passif DIU (cuivre), endométriose Infertilité - PMA - Chirurgie tubaire (GEU)

9 Signes échographiques fins (BHCG <1500UI/l) Épanchement même minime mais échogène ( sanglant) Image para-ovarienne (vasculaire, en cocarde, échogénicité intermédiaire) Tubal ring dans 85% des cas du côté du corps jaune Caduque : aspect endométrial peu spécifique

10 Vésicule vitelline

11 Beta HCG Hormone glycoprotéïque produite par le blastocyste dès le J8 de grossesse ( J22 du cycle) Le taux diminue augmente jusqu à 10SA puis La valeur absolue du taux de Beta HCG ne renseigne ni sur le siège, ni sur le terme.

12

13 Cinétique des BetaHCG Dans une grossesse normalement implantée, HCG double tous les 2 jours Seuil discriminant échographique : 2000UI. Au delà de ce taux, l oeuf normalement implanté est visible (écho endovaginale) Ce seuil peut être ramené à 1500 en présence d un épanchement ou d une image latéro-utérine

14 Beta HCG et risque de rupture tubaire? Etude portant sur les taux de HCG observés dans les ruptures tubaires : de 10 à UI (Barnhardt) Etude de Saxon : La distribution des taux de BHCG est la même dans le groupe des geu rompues et non rompues. Le taux de Beta HCG n est pas prédictif du risque de rupture de la trompe Etude de Latchaw ( Effectif =738) : Seuls 2 facteurs sont significatifs dans l évaluation du risque de rupture : Antécédent de GEU Taux de Beta HCG>5000

15 GEU Le diagnostic de GEU est étroitement lié à la confrontation de l évolution : Clinique, Echographique (endovaginale), cinétique des Béta HCG à 48h De ces éléments on retiendra 3 situations : GEU certaine >>> traitement Suspicion avec risque hémorragique élevé >>> Surveillance hospitalière Suspicion avec risque hémorragique faible >>> Surveillance ambulatoire

16 Surveillance ambulatoire Beta HCG/48h Echo endov. 2 fois par semaine ou en cas d événement Information claire, loyale et comprise

17 diagnostic (quasi)certain Traitement immédiat hémopéritoine + vacuité utérine en début de grossesse échographie évidente (embryon ou Yolk sac extra-utérin, hématosalpinx, hématocèle pelvien) Vacuité utérine (EEV) et Beta HCG>2000 UI/l. (Attention+++ si >5000) Baisse puis réascencion des beta HCG

18 Situations de surveillance avec risque de rupture Suspicion avec antécédent de GEU (NP) Image latéro-ovarienne et/ou épanchement avec Beta HCG<1500UI/l Douleurs mal tolérées, lipothymies Discussion d une surveillance hospitalière

19 Situation de surveillance avec faible risque de rupture Echographie normale et.. Symptômes discrets ou absents et.. Grossesse très précoce ( datation certaine ex: PMA) et... Un faible taux de Beta HCG n est pas discriminant mais est cohérent dans ce contexte Surveillance ambulatoire

20 Traitement Chirurgical laparoscopique C o n s e r v a t i o n t u b a i r e o u salpingectomie? Médical : Methotrexate IM 1mg/kg protocolisé (hors AMM) ambulatoire et surveillance (objectif = annulation des B HCG) Abstention et surveillance (objectif = annulation des B HCG)

21 Trompe et GEU : Conservation ou ablation? Problème non résolu, pratiques hétérogènes Avis des patientes ambigu : étude de Van Mello, Salpingectomy or salpingotomy in tubal ectopic pregnancy, what do women prefer? Risque de récidive (8% Donnez 94) : ablation Risque de MTX mais fertilité meilleure (63% Donnez 94) : conservation Décision médicale éthique et concertée (parité, antécédents, état macroscopique des trompes, personnalité et projets..)

22

23 Torsions annexielles 2 à 7% des APA opérées

24 symptômes FORME AIGÜE Crises douloureuses pelviennes début brutal FORME SUBAIGÜE Douleurs modérées unilatérales chroniques Irradiations inguinales, scapulaires, lombaires (CN) Vomissements (3/4) Choc

25 Imagerie Echo souvent anormale : sg non spécifiques = masse annexielle douloureuse, épanchement anéchogène. Echo normale dans 26% des torsions Doppler n est utile que si positif (interruption du flux) et dans ce cas tardif. 60% des torsions sont ratées par le doppler

26 Imagerie fine Echo : parenchyme échogène et densifié ( cônes d ombres) Augmentation de la surface ovarienne par rapport à l ovaire contro-latéral (même coupe) Follicules multiples périphériques IRM : ovaire+ gros, épaississement tubaire, liquide kystique marqué en T2

27 Biologie Non spécifique Hyperleucocytose non corrélée à la gravité Sd inflammatoire Beta HCG ( différentiel) Bilan de coagulation (fibrinolyse)

28 Forme clinique aigüe Diagnostic périlleux car conséquences potentiellement graves et aucun signe pathognomonique (seule la coelioscopie fait le diagnostic) Douleurs latéro-pelviennes aiguës, indépendantes du cycle, évoluant par crises violentes avec vomissements et lipothymies + masse annexielle échographique = hospitalisation Penser au diagnostic de torsion : Chez la femme jeune, adolescente voire chez la fillette Notion de kyste dermoïde Antécédent d hystérectomie coelioscopique

29 différentiel Sd ovulatoire, kyste hémorragique fonctionnel +++ : période du milieu de cycle, pas de vomissement, images échographiques caractéristiques Colique néphrétique : signes urinaires, agitation, echographie pelvienne normale GEU (métrorragies, cycle anormal, Beta HCG+)

30 Traitement Antalgiques Surveillance Contrôle après les règles Kyste fonctionnel hémorragique Douleur brutale J14 Post coïtale Doul. Lat. ou méd. irradiations anales DIU au levonorgestrel (Mirena Microprogestatif (cerazette, microval )

31

32

33 Infections génitales hautes Pelvic inflammatory disease Endométrite, salpingite Exclusion : infections iatrogènes et sur DIU

34 Données épidémiologiques???? Pas de registre Diminution dans les années SIDA (1985/2000) Ré-augmentation depuis 2000 Maladies infracliniques fréquentes

35 Tableau de salpingite aigüe ou de pelvipéritonite Rare Tableau pelvien aigü avec fièvre Sd inflammatoire biologique hyperleucocytose CRP>100 Echographie +/- scanner : masses annexielles vasculaires pseudotumorales, abcès, épanchement

36

37 Symptômes peu spécifiques Douleurs pelviennes bâtardes. Asthénie Leucorrhées Métrorragies récidivantes Femme jeune adolescente ( facteur de risque)

38 Echographie Normale Épaississement tubaire (aspect de boudin échogène entourant l ovaire) IRM?

39 dépistage L expérience du dépistage de C. Trachomatis chez les adolescentes a fait diminuer de 75% les infections génitales hautes en Suède ( 1995) Les g u i d e l i n e s d u CDC d Atlanta recommandent d initier un traitement empirique sur des signes minimes (douleurs ou douleurs à la mobilisation utérine)

40 bactériologie Prélèvement doit être endocervical après asepsie vaginale (infection haute) On recherche sur tout Chlamydiae trachomatis (CT) et Neisseriae gonorrhoae (NG) 3 écouvillons ( germes banals, chlamydiae, mycoplasmes) Recherche urinaire (PCR)

41 Bactéries de portage habituel Lactobacillus sp. Corynebacterium sp. Streptococcus viridans Bactéries de portage fréquent Streptococcus agalactiae (groupe B) Enterococcus Gardnerella vaginalis Anaérobies : Peptococcus, Peptostreptococcus, Bacteroides, Fusobacterium, Clostridium sp. Bactéries de portage rare Streptocoque groupe A Listeria monocytogenes Pneumocoques Haemophilus influenzae Mobiluncus Perfringens Helicobacter

42 bactériologie L intérêt de la recherche des germes commensaux est discutable (certaines écoles ne recherchent que CT et NG) Cependant ils participent parfois activement à l infection initiée par un germe spécifique L antibiogramme a parfois un intérêt thérapeutique

43 Chlamydiae trachomatis Peu symptomatique mais génère une réaction immuno-allergique au sein de la trompe évoluant pour son propre compte Maladie chronique responsable de douleurs, infertilité, GEU Evolution : guérison avec ou sans séquelles, c o m p l i c a t i o n a i g ü e ( a b c è s, pelvipéritonite ), passage à la chronicité

44 serologies Chlamydiae (IgA +++) IST dans les groupes à risque (HIV, Hépatites, syphilis)

45 Traitement Antibiothérapie souvent probabiliste AINS temporairement Coelioscopie ( formes graves, abcès, formes chroniques) Dépistage et traitement du partenaire

46 pronostic Pas d intérêt à une hospitalisation dans les formes simples ( étude Peach) Les symptômes ne reflètent pas le degré d atteinte des trompes L éradication des germes pathogènes ne garantit pas une restitution ad integrum de l appareil génital.

47 Pénicillines +A. Clav. Augmentin, ciblor Large spectre mais résistances Céphalosporines Mefoxin Claforan, oroken, orelox (C2G, C3G)) métronidazole Flagyl anaérobies Gram+, Gram-, anaérobies sauf enterocoques fluoroquinolones Oflocet Tavanic ( hors AMM) Aérobies, CT, Mycoplasmes aminosides gentamycine Voie parentérale Inf sévères cyclines Vibramycine CT Mycoplasmes macrolides Lincosamides synergistines C14 Rulid, erythro C16 Josacine Dalacine pyostacine CT Mycoplasmes Anerobies, aerobies CT, mycopl, gono

48 Protocoles thérapeutiques (par voie orale) des infections génitales hautes non compliquées Protocole 1 Oflocet : mg/j b ou Tavanic 500 mg/j c + Métronidazole : mg/j Durée : 14 jours a Protocole 2 Augmentin ou Ciblor : 1 g trois fois par jour + Oflocet : mg/j ou Tavanic 500 mg/j b Protocole 3 Dalacine 400 mg : 1 gélule 3 fois par jour + Oflocet : mg/j a ou Tavanic 500 mg/j b [a] Selon évolution clinique. [b] Posologie française (cf. texte). [c] Hors autorisation de mise sur le marché.

49 Exemple de protocoles antibiotiques (par voie parentérale) (infections génitales hautes compliquées) Protocole 1 Métronidazole : mg/j + Oflocet : mg/j ou Tavanic : 500 mg/j a ± Gentamicine : 2 mg/kg dose de charge puis 4,5 mg/kg/j Protocole 2 Augmentin : 4 1 g/j + Oflocet : mg/j ou Tavanic : 500 mg/j a Protocole 3 Tazocilline : 3 4 g/j + Oflocet : mg/j ou Tavanic : 500 mg/j a Protocole 4 Claforan : 4 1 g/j + Oflocet : mg/j ou Tavanic : 500 mg/j a + Métronidazole : mg/j Protocole 5 Dalacine : mg/j + Oflocet : mg/j ou Tavanic : 500 mg/j a [a] Hors autorisation de mise sur le marché.

50

51 Hyperstimulations ovariennes (HSO)

52 SHSO Dégradation en cascade faisant suite à une PMA Surtout FIV avec protocole de blocage par analogues de GnRH Parfois, grossesse spontanée, hypothyroïdie, maladie trophoblastique, stim. Simple Taux de mortalité 1/45000 à

53 physiopathologie Élargissement ovarien Épanchement des séreuses (3 secteur) Hémoconcentration, oligurie, phénomènes thrombo-emboliques E2, LH, VEGF, interleukines, système rénineangiotensine

54 Pronostic SHSO Forme légère Forme modérée Forme sévère

55 Forme légère Tensions abdominales, vomissements, diarrhée après PMA Echo : Epanchement limité au Douglas, Ovaires< 12cm Hcrite N

56 Forme modérée Dl abdo, vomissements diarrhée et augmentation du PA Echo : épanchement des séreuses, ovaires > 12 cm Hcrite entre 45 et 50%, Hyperleuco <25000

57 Forme sévère Ascite tendue +- Ept Pleural, ou Cn thromboembolique, ou oligoanurie, ou SDRA Echo : ovaires > 12 cm Hcrite>55%, Hyperleuco>25000, cytolyse, hypona<135, HyperK. Risque élevé de complications, pronostic vital.

58 Complications Thrombo-embolique veineuses et artérielles MI, MS, Cerveau Complication ovarienne (torsion, rupture, hémorragie ) Pulmonaires ( Formes sévères) Dysfonction circulatoire (Formes sévères) Sd du compartiment abdominal ( Formes sévères) Insuffisance rénale aigüe (Formes sévères)

59 traitement Formes légères (ambulatoire) Antalgiques, contention veineuse Surveillance bi-hebdomadaire poids, PA, HCG Formes modérées et sévères hospitalisation, réa. Risques d aggravation différée du tableau en cas de grossesse nécessite une surveillance attentive des formes légères et modérées

60

Item 95 Maladies sexuellement transmissibles : infections urogénitales à gonocoque et Chlamydia trachomatis (en dehors de la maladie de Nicolas-Favre)

Item 95 Maladies sexuellement transmissibles : infections urogénitales à gonocoque et Chlamydia trachomatis (en dehors de la maladie de Nicolas-Favre) Annales de dermatologie et de vénéréologie (2012) 139, A57 A61 Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com I. MODULES TRANSDISCIPLINAIRES Module 7 : Santé et environnement, maladies transmissibles Item

Plus en détail

Exploration et Prise en charge d un couple infertile

Exploration et Prise en charge d un couple infertile Exploration et Prise en charge d un couple infertile Florence LESOURD Pôle d Obstétrique, Gynécologie et Médecine de la Reproduction CHU Paule de Viguier - Toulouse DIU de Médecine de la Reproduction-Gynécologie

Plus en détail

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression

Plus en détail

Contraception après 40 ans

Contraception après 40 ans Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception

Plus en détail

L ANGINE. A Epidémiologie :

L ANGINE. A Epidémiologie : L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable

Plus en détail

19 thèmes dans 10 villes

19 thèmes dans 10 villes SATISFAIRE À VOS OBLIGATION DE DPC FACILEMENT GRÂCE AU CNGOF DPC réalisés par le CNGOF et financée par l Agrément CNGOF : 11 75 32 07 175 - FMC 100 098 Indemnité de 345 par jour et prise en charge hôtellerie

Plus en détail

Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.

Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,

Plus en détail

27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013

27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse

Plus en détail

ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité

ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est

Plus en détail

Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées

Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Bon usage Mise au point Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Actualisation Octobre 2008 MESSAGES CLÉS L évolution de la résistance du gonocoque aux quinolones

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron

Plus en détail

Accidents des anticoagulants

Accidents des anticoagulants 30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER

Plus en détail

HTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice

HTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive

Plus en détail

Item 182 : Accidents des anticoagulants

Item 182 : Accidents des anticoagulants Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome

Plus en détail

Prise en charge de l embolie pulmonaire

Prise en charge de l embolie pulmonaire Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix

Plus en détail

F us u ses c ouc u he h s s po p nt n a t né n es J. L J. an sac CHU H T ou

F us u ses c ouc u he h s s po p nt n a t né n es J. L J. an sac CHU H T ou Fausses couches spontanées J Lansac CHU Tours Définition Avortement : expulsion produit de conception avant 22SA ou enfant

Plus en détail

Carte de soins et d urgence

Carte de soins et d urgence Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase

Plus en détail

ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE

ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE (Diplôme Interuniversitaire National d ) 17/02/2015 avec Bordeaux, Brest, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Paris V et XII, Toulouse et Tours Objectifs : Formation

Plus en détail

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE

Plus en détail

Des soins après avortement : Amis des Jeunes. Cartes à conseils 1-6

Des soins après avortement : Amis des Jeunes. Cartes à conseils 1-6 Des soins après avortement : Amis des Jeunes Cartes à conseils 1-6 SAA: Avant l intervention Accueillir cordialement la cliente et la mettre à l aise Garantir la confidentialité et l intimité Prendre les

Plus en détail

Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B

Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des

Plus en détail

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue

Plus en détail

NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. JAYDESS 13,5 mg, système de diffusion intra-utérin. Lévonorgestrel

NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. JAYDESS 13,5 mg, système de diffusion intra-utérin. Lévonorgestrel NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR JAYDESS 13,5 mg, système de diffusion intra-utérin Lévonorgestrel Ce médicament fait l objet d une surveillance supplémentaire qui permettra l identification rapide

Plus en détail

phase de destruction et d'élimination de débris

phase de destruction et d'élimination de débris LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale

Plus en détail

GONADOTROPHINE CHORIONIQUE ENDO 5000 U.I./1 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral intramusculaire

GONADOTROPHINE CHORIONIQUE ENDO 5000 U.I./1 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral intramusculaire ésumé des Caractéristiques du Produit 1 sur 5 21/09/2010 14:31 Mis à jour : 16/02/2010 1. DENOMINATION DU MEDICAMENT GONADOTROPHINE CHORIONIQUE ENDO 5000 U.I./1 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral

Plus en détail

La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence

La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de

Plus en détail

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication

Plus en détail

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination

Plus en détail

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

Plus en détail

Anatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13

Anatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13 Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière

Plus en détail

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université

Plus en détail

UEMS - OB/GYN SECTION LA FORMATION DU SPECIALISTE EN GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL DE L' EBCOG 1.

UEMS - OB/GYN SECTION LA FORMATION DU SPECIALISTE EN GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL DE L' EBCOG 1. UEMS - OB/GYN SECTION Board et Collège Européen de Gynécologie et d' Obstétrique ( EBCOG) LA FORMATION DU SPECIALISTE EN GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL DE L' EBCOG 1. ADOPTEES

Plus en détail

Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY

Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic

Plus en détail

Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014

Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes

Plus en détail

Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles

Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles sommaire Qu est-ce qu une IST? p. 5 La blennorragie gonococcique p. 7 La chlamydiose p. 8 L hépatite B p. 9 L herpès génital p. 10 Les mycoplasmes et

Plus en détail

Cet article a été remis à EndoFrance par le Pr Madélenat pour une utilisation réservée à l association EndoFrance

Cet article a été remis à EndoFrance par le Pr Madélenat pour une utilisation réservée à l association EndoFrance Faut-il coelioscoper les adolescentes? Patrick Madélénat Juin 2008 La difficulté de vivre avec une endométriose est admise de toutes celles qui en souffrent. En parallèle la difficulté de son traitement

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension

Plus en détail

Observation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas

Observation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie

Plus en détail

Cet article a été transmis par le Pr Madélénat à l association EndoFrance pour une utilisation qui lui réservée

Cet article a été transmis par le Pr Madélénat à l association EndoFrance pour une utilisation qui lui réservée PRISE EN CHARGE DE L'ENDOMETRIOSE Patrick Madélénat Hôpital Bichat Juin 2007 L'endométriose est une maladie difficile. Avant tout elle est difficile à vivre pour celles qui en souffrent, mais elle est

Plus en détail

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en

Plus en détail

LITHIASE URINAIRE USAGER PRÉSENTANT UNE LITHIASE URINAIRE OC-091. Uroscan. Rx abdominal

LITHIASE URINAIRE USAGER PRÉSENTANT UNE LITHIASE URINAIRE OC-091. Uroscan. Rx abdominal USAGER PRÉSENTANT UNE LITHIASE URINAIRE OC-091 Catégorie de personnes visées : usager pour lequel un diagnostic clinique de lithiase urinaire a été évoqué par son médecin traitant Indication : répondre

Plus en détail

LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE

LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE Une technique chirurgicale Pour vous, pour la vie Qu est-ce que la cholécystectomie? C est l intervention chirurgicale pratiquée pour enlever la vésicule biliaire.

Plus en détail

LES CONTUSIONS DU REIN

LES CONTUSIONS DU REIN LES CONTUSIONS DU REIN Table des matières Table des matières 3 I - Épidémiologie 9 II - Mécanismes lésionnels 11 A. 1. Choc direct...11 B. 2. Lésions indirectes...11 C. 3. Plaies pénétrantes...11 D. 4.

Plus en détail

neurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004

neurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004 11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE

Plus en détail

Hématome rétro-placentaire ( HRP )

Hématome rétro-placentaire ( HRP ) Hématome rétro-placentaire ( HRP ) L hématome rétroplacentaire (HRP) ou abruptio placentae correspond au décollement prématuré d un placenta normalement inséré (DPPNI). La lésion anatomique est formée

Plus en détail

Principales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2

Principales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2 Objectifs : Principales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2 Diagnostiquer et connaître les principes de prévention et de prise en charge de l hypertension

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie

Plus en détail

Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle)

Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle) Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle) Le traitement des calculs urétéraux et rénaux a beaucoup changé depuis 1980 avec la venue d un appareil

Plus en détail

LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT

LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures

Plus en détail

Infirmieres libérales

Infirmieres libérales Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites

Plus en détail

Il importe de noter que ce guide émet des recommandations conformes aux informations scientifiques disponibles au moment de sa publication, soit au

Il importe de noter que ce guide émet des recommandations conformes aux informations scientifiques disponibles au moment de sa publication, soit au Il importe de noter que ce guide émet des recommandations conformes aux informations scientifiques disponibles au moment de sa publication, soit au 15 août 2011. Toutefois, ces recommandations n ont aucunement

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 10 mars 2010

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 10 mars 2010 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 10 mars 2010 ARIXTRA 1,5 mg/0,3 ml, solution injectable en seringue pré-remplie - Boîte de 2 (CIP : 363 500-6) - Boîte de 7 (CIP : 363 501-2) - Boîte de 10 (CIP : 564

Plus en détail

journées chalonnaises de la thrombose

journées chalonnaises de la thrombose Nos connaissances certaines et notre pratique journalière : Les Nouveaux Anticoagulants dans la thromboprophylaxie de la chirurgie prothétique du MI Benoit Cots et Jean Marc Royer le 29/11/12-1 Recommandations

Plus en détail

RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES

RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme

Plus en détail

Docteur, j ai pris froid!

Docteur, j ai pris froid! Dr j ai pris froid: Objectifs Docteur, j ai pris froid! Jean-Paul Humair Avec la contribution de MC Kramer Colloque SMPR 21.12.2011 Connaitre l épidémiologie des infections des voies respiratoire sup (IVRS)

Plus en détail

Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005)

Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Pré-Requis : Anatomie faciale Principes de traitement des plaies Principes d'antibiothérapie

Plus en détail

Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012

Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012 Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab

Plus en détail

EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE

EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation

Plus en détail

Douleur dentaire. LACAVITÉ BUCCALE constitue l habitat naturel de nombreux. est-elle d origine infectieuse?

Douleur dentaire. LACAVITÉ BUCCALE constitue l habitat naturel de nombreux. est-elle d origine infectieuse? L A B O U C H E R É V È L E L E S S E C R E T S D U C O R P S Douleur dentaire est-elle d origine infectieuse? 5 par Michelle Bourassa Simon, 9 ans, se présente au cabinet dentaire mardi en fin de journée.

Plus en détail

Cas clinique infection ORL

Cas clinique infection ORL Cas clinique infection ORL... 1 Infections ORL... 2 Angine à streptocoque béta hémolytique du groupe A (SGA)... 2 Otite moyenne purulente... 3 Sinusites purulentes... 4 Cas cliniques bronchites... 4 Bronchites

Plus en détail

PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.

PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions

Plus en détail

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible

Plus en détail

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre

Plus en détail

B08 - CAT devant une thrombose veineuse profonde des membres inférieurs

B08 - CAT devant une thrombose veineuse profonde des membres inférieurs B08-1 B08 - CAT devant une thrombose veineuse profonde des membres inférieurs 1. I n t r o d u c t i o n La thrombose veineuse profonde (TVP) des membres inférieurs est indissociable de sa complication

Plus en détail

CONTRACEPTION DU POST-PARTUM ET VISITE POST-NATALE

CONTRACEPTION DU POST-PARTUM ET VISITE POST-NATALE CONTRACEPTION DU POST-PARTUM ET VISITE POST-NATALE Présenté par JAOUEN Léna DIU Suivi gynécologique LE SCANFF Ghislaine DIU Périnalité Addictions Contraception du post-partum Une constatation: 5 % des

Plus en détail

INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE

INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE Informations générales pour la convalescence Pour vous, pour la vie Ce feuillet est destiné à mieux vous renseigner sur les points à observer après une opération

Plus en détail

Otite Moyenne Aiguë. Origine bactérienne dans 70 % des cas. Première infection bactérienne tous âges confondus

Otite Moyenne Aiguë. Origine bactérienne dans 70 % des cas. Première infection bactérienne tous âges confondus Otite Moyenne Aiguë OMA / modèle Origine bactérienne dans 70 % des cas Première infection bactérienne tous âges confondus Efficacité prouvée des antibiotiques Une des première cause d utilisation des antibiotiques

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE

PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total

Plus en détail

Recommandations pour la pratique clinique. Les pertes de grossesse

Recommandations pour la pratique clinique. Les pertes de grossesse Recommandations pour la pratique clinique Les pertes de grossesse (texte court) Élaborées par le Collège national des gynécologues et obstétriciens français Promoteur CNGOF (Collège national des gynécologues

Plus en détail

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais

Plus en détail

Indications de la césarienne programmée à terme

Indications de la césarienne programmée à terme Indications de la césarienne programmée à terme Janvier 2012 Quelles sont les indications de la césarienne programmée? Utérus cicatriciel Transmissions mère-enfant d infections maternelles Grossesse gémellaire

Plus en détail

L endométriose. souvent méconnue. Brochure d information destinée aux femmes atteintes et aux personnes

L endométriose. souvent méconnue. Brochure d information destinée aux femmes atteintes et aux personnes L endométriose une maladie gynécologique évolutive, souvent méconnue Brochure d information destinée aux femmes atteintes et aux personnes intéressées Groupe d experts de l endométriose de la Société d

Plus en détail

Les cancers de l appareil génital féminin

Les cancers de l appareil génital féminin Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches Les cancers de l appareil génital féminin (col et corps de l utérus, ovaires) G R A N D P U B L I C Janvier 2009

Plus en détail

La déchirure. Les risques. Troubles périnéaux du post-partum. La déchirure

La déchirure. Les risques. Troubles périnéaux du post-partum. La déchirure Troubles périnéaux du post-partum La déchirure T. Linet La déchirure Les risques Entre 2 et 6 % de périnée complet mais TRES sous diagnostiqué car ± rupture du sphincter interne sur périnée semblant intact

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200

Plus en détail

Migraine et Abus de Médicaments

Migraine et Abus de Médicaments Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive

Plus en détail

Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant

Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Pr Maryvonne Hourmant Service de Néphrologie-Immunologie clinique. CHU de Nantes Le constat Coût du traitement

Plus en détail

CEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)

CEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH) CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère

Plus en détail

UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014

UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014 UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS SYMPOSIUM CSL BEHRING COPACAMU 2014 PROFESSEUR François BERTRAND CHU DE NICE CHRONOLOGIE DES RECOMMANDATIONS

Plus en détail

E04a - Héparines de bas poids moléculaire

E04a - Héparines de bas poids moléculaire E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique

Plus en détail

A. Bourgeois SMIT. CHRU de Montpellier

A. Bourgeois SMIT. CHRU de Montpellier A. Bourgeois SMIT. CHRU de Montpellier Homme, 41 ans, sans ATCD Séjour en Guyane (Cayenne et alentours) du 28/12/19 au 12/01/10 Hospitalisé du 09 au 11/02/10 pour érysipèle d évolution défavorable sous

Plus en détail

E03 - Héparines non fractionnées (HNF)

E03 - Héparines non fractionnées (HNF) E03-1 E03 - Héparines non fractionnées (HNF) Les héparines sont des anticoagulants agissant par voie parentérale. 1. Modalités d u tilisation Mode d action : l héparine est un cofacteur de l antithrombine

Plus en détail

Recommandation Pour La Pratique Clinique

Recommandation Pour La Pratique Clinique Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de

Plus en détail

Les anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008

Les anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008 Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas

Plus en détail

INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES

INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :

Plus en détail

La planification familiale

La planification familiale La planification familiale après l avortement spontané ou provoqué Introduction Les grossesses non désirées sont l une des principales raisons pour lesquelles les femmes choisissent d avorter. Beaucoup

Plus en détail

Mise au point sur le bon usage des aminosides administrés par voie injectable : gentamicine, tobramycine, nétilmicine, amikacine

Mise au point sur le bon usage des aminosides administrés par voie injectable : gentamicine, tobramycine, nétilmicine, amikacine Mise au point mars 2011 MAP Mise au point sur le bon usage des aminosides administrés par voie injectable : gentamicine, tobramycine, nétilmicine, amikacine Sommaire ~ ~ ~ ~ ~ ~ d un traitement par aminosides

Plus en détail

LES CONSÉQUENCES. tricales. Juridiques

LES CONSÉQUENCES. tricales. Juridiques LES CONSÉQUENCES Médicales, Gynécologiques et Obstétricales tricales Juridiques Les complications Complications médicales m immédiates Hémorragie (section art clitoridienne) : cataclysmique ou secondaire

Plus en détail

SURVEILLANCE PROVINCIALE DES INFECTIONS NOSOCOMIALES

SURVEILLANCE PROVINCIALE DES INFECTIONS NOSOCOMIALES SURVEILLANCE PROVINCIALE DES INFECTIONS NOSOCOMIALES Guide de l utilisateur du système d information pour la surveillance provinciale des infections nosocomiales (SI-SPIN) INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE

Plus en détail

Les Arbres décisionnels

Les Arbres décisionnels Les Arbres décisionnels Les aides à la décision plainte-traitement (ou arbres décisionnels ) sont tirés de travaux effectués dans le cadre de l Organisation Mondiale de la Santé. Ils sont destinés à soutenir

Plus en détail

4eme réunion régionale des référents en antibiothérapie des établissements de Haute-Normandie

4eme réunion régionale des référents en antibiothérapie des établissements de Haute-Normandie 4eme réunion régionale des référents en antibiothérapie des établissements de Haute-Normandie Infection pulmonaire du sujet âgé A. Barrel CH Darnetal Omedit Rouen 20 juin 2013 Cas clinique Mme H. Patiente

Plus en détail

PRÉVENTION ANTÉNATALE DU RISQUE INFECTIEUX BACTÉRIEN NÉONATALE PRÉCOCE

PRÉVENTION ANTÉNATALE DU RISQUE INFECTIEUX BACTÉRIEN NÉONATALE PRÉCOCE PRÉVENTION ANTÉNATALE DU RISQUE INFECTIEUX BACTÉRIEN NÉONATALE PRÉCOCE SEPTEMBRE 2001 Recommandation pour la pratique clinique Service recommandations et références professionnelles Dans la même collection

Plus en détail

GUIDE POUR LA PRISE EN CHARGE DES INFECTIONS SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES

GUIDE POUR LA PRISE EN CHARGE DES INFECTIONS SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES GUIDE PR LA PRISE EN CHARGE DES INFECTIONS SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ Catalogage à la source : Bibliothèque de l OMS Organisation mondiale de la Santé. Guide pour la

Plus en détail

UN PATIENT QUI REVIENT DE LOIN. Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie

UN PATIENT QUI REVIENT DE LOIN. Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie Mr A.A. âgé de 55ans. Facteurs de risque: Diabétique depuis 5ans. Antécédents: aucun. Fumeur 15paquets/année.

Plus en détail

ACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012

ACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles

Plus en détail

PLAQUETTE D INFORMATION

PLAQUETTE D INFORMATION Mutuelle du personnel du groupe Société Générale PLAQUETTE D INFORMATION Registre National des Mutuelles N 784 410 805 Juillet 2010 Comment calculer un taux de remboursement de Mutuelle? Les remboursements

Plus en détail

L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015

L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d

Plus en détail

Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins

Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. DIRECTION GENERALE DE LA SANTE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Comité technique des infections nosocomiales et des infections

Plus en détail