Quelles sont les causes de l abstention en France depuis 1980 et cela traduit-il un désintéret pour la vie politique?
|
|
- Blanche Moreau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 L ABSTENTION
2
3 Quelles sont les causes de l abstention en France depuis 1980 et cela traduit-il un désintéret pour la vie politique?
4 L Abstention au vote Les facteurs sociaux du vote
5 L abstention :L'abstention en politique est le refus de participer à un vote (lors d'une élection ou d'un référendum par exemple) ou une délibération. L abstention : un processus multiforme et une tendance structurelle dans les pays occidentaux. De l inscription sur les listes électorales à la participation active: un continuum d attitudes électorales liées à l âge, à la CSP, au niveau de diplôme.
6 Historiquement, la sociologie du vote ou sociologie électorale s'est surtout concentrée sur l'étude des déterminants sociologiques de l'orientation des votes et des sympathies politiques. Parmi une série de déterminants, on trouve la religion, la classe sociale, l'age ou le genre. En ce qui concerne ce dernier, il en ressort que la tendance des femmes à voter un peu plus à droite que les hommes durant les premières décennies qui ont suivi leur accès aux urnes s'est estompée, en tout cas en France, en raison de l'entrée massive des femmes sur le marché du travail et de l'homogénéisation des conditions de vie qui s'en est suivie. Ainsi, le genre n'y est plus un indice important des sympathies politiques. Pour la religion, l'indicateur principal est la fréquence de l'assistance aux offices. Il existe aussi des études portant sur l'importance du patrimoine et du réseau familial.
7 Espace social et tendance de vote de Pierre Bourdieu
8
9
10 Comment expliquer l abstention? Différents modèles explicatifs et théories ont été proposés depuis longtemps pour comprendre ce que les spécialistes américains ont appelé le «puzzle» de l'abstention. L'ensemble de ces théories et modèles explicatifs s'inscrivent dans l'une ou l'autre des trois approches suivantes. - Une approche sociologique. Des théories du comportement électoral ont très vite analysé les raisons sociologiques susceptibles de réduire la capacité des électeurs à participer aux élections. L'âge, l'entrée dans la vie professionnelle, la stabilité sociale et géographique se traduisent par une plus forte participation qui s'accroît avec l'âge au-delà du passage à la retraite. En France, cette théorie sociologique de l'abstention a été très prégnante, en particulier grâce au travail pionnier d'alain Lancelot. Ce modèle sociologique met également l'accent sur un facteur d'exclusion sociale qui conduit à une faible intégration politique. - Une approche psychosociologique. Parallèlement aux précédentes, des théories ont très tôt porté leur attention sur les motivations des électeurs à se rendre aux urnes. Ce courant de recherche a été favorisé par le développement des sondages politiques qui ont permis de disposer de données individuelles sur les attitudes politiques des électeurs. Il suggère que si la politisation, l'intérêt pour la politique, le sentiment d'être «compétent» en politique ont un effet significatif sur le vote, la participation a décliné alors même que la part de l'information politique des médias n'a fait qu'augmenter. L'explication souvent avancée est celle d'un effet négatif de l'omniprésence de la politique dans les médias : c'est l'image des «écuries présidentielles», d'un jeu où les sondages d'opinion jouent le rôle de baromètres pour prendre les paris. Une réflexion critique, souvent stimulante mais parfois contestable, de cette «démocratie d'opinion» a vu le jour, et pas seulement en France, sous l'effet des analyses de Pierre Bourdieu et de ses continuateurs. - Une approche économique. Des théories indiquent qu'il est «irrationnel» de voter à cause des probabilités infinitésimales que le vote de chaque électeur détermine l'issue du scrutin. Vis-à-vis de cette espérance très faible que le vote soit «rentable», les coûts (s'informer, discuter, se rendre aux urnes) que l'électeur devrait supporter seraient trop forts. Cette approche, qui s'est parfois exprimée de manière trop caricaturale et sans tenir compte de tous les apports des théories du «choix rationnel», a connu de nombreuses applications et a été l'objet de controverses nourries en Europe et aux Etats-Unis. Appliquée de manière trop abrupte, cette théorie bute sur le «paradoxe du vote» : voter est irrationnel, mais beaucoup d'électeurs votent néanmoins... Pour «sauver» ce modèle, il faut sans doute prendre en compte d'autres types de motivations du vote et des facteurs idéologiques ou de normes et de valeurs. Plus récemment, de nouvelles approches se sont développées pour rendre compte du vote et de la participation : le «capital social» et l'insertion dans des réseaux sociaux qui expliqueraient le passage, chez les électeurs, de l'abstention au vote. Des facteurs de socialisation à l'expérience du vote s'expriment également. Dans une récente recherche de grande ampleur, Mark Franklin (1) indique que la transition qui conduit du retrait du jeu électoral à la participation «établie» passe par l'expérience que l'on acquiert au cours des trois premières élections auxquelles on est exposé.
11 CELA TRADUIT-IL UN DESINTERET POUR LA VIE POLITIQUE?
12 En Conclusion On a pu dégager trois facteurs principaux qui expliquent le phénomène de l abstentionnisme électoral. Le premier dépend de circonstances individuelles, la plupart du temps accidentelles, matérielles : c est l abstentionnisme «forcé». L individu ne peut pas faire autrement que de s abstenir de voter, pour des raisons matérielles qui lui sont propres. Le deuxième facteur est politique ; suivant les enjeux de telle ou telle élection, suivant le panel des candidats proposés, suivant la conjoncture politique générale du moment, le citoyen choisit ou non de voter. Il faut ajouter à cela que l abstention est alors soit l expression d un désintérêt apparent pour le monde de la politique, soit celle d une hostilité envers cette sphère, ou l hostilité au système représentatif, ou bien encore celle d une véritable contestation politique, que ce soit au niveau des programmes, des candidats, des discours proposés, ou au niveau étatique, ceci étant couplé avec un profond désir de réforme. L abstention est alors un moyen d exprimer son désaccord total avec la politique en vigueur. Le troisième et dernier facteur est social, et peut être ramené à un facteur principal : l intégration à la société. La marginalisation de l individu par rapport à des groupes sociaux intermédiaires ou de catégories sociales entières par rapport à la société globale sont des facteurs expliquant l abstentionnisme électoral de façon générale. Les plus mal intégrés ne sont d ailleurs même pas inscrits sur les listes électorales, et ne sont donc pas tenus en compte dans l étude des taux d abstention. Il faut noter aussi que de nombreuses corrélations existent entre abstentionnisme politique et social : les groupes sociaux abstentionnistes mal intégrés à la société sont généralement ceux qui expriment un désintérêt général pour la politique, ou une hostilité au régime représentatif.
SIMULATION ELECTORALE
SIMULATION ELECTORALE COMMUNICATION - PROGIS - JOURNALISME IEP Grenoble - Présidentielle 2012 SIMULATION ELECTORALE PRÉSIDENTIELLE 2012 A l initiative de l Association des Diplômés, cette simulation du
Plus en détailN 518 SÉNAT QUATRIÈME SESSION EXTRAORDINAIRE DE 1991-1992
N 518 SÉNAT QUATRIÈME SESSION EXTRAORDINAIRE DE 1991-1992 Rattache pour ordre au procès-verbal de la séance du 8 juillet 1992. Enregistre a la Présidence du Senat le 28 septembre 1992. PROPOSITION DE LOI
Plus en détailBarack Obama a gagné la bataille... sur les médias sociaux aussi!
Think... Edition Spéciale Barack Obama a gagné la bataille... sur les médias sociaux aussi! Le 4 avril 2011, Barack Obama annonçait sa candidature à l élection présidentielle américaine de 2012 sur Youtube.
Plus en détailI. PRESENTATION DE LA CHAIRE
PANEL 6 LES CENTRES ET ECOLES DE FORMATION EN ADMINISTRATION ELECTORALE DANS L ESPACE FRANCOPHONE LA CHAIRE UNESCO DES DROITS DE LA PERSONNE ET DE LA DEMOCRATIE UNIVERSITE D ABOMEY-CALAVI (BENIN) PAR NOEL
Plus en détailLa participation civique et politique de la jeunesse roumaine
La participation civique et politique de la jeunesse roumaine Ancuţa Plaeşu Responsable de recherche Direction de la recherche et des études sur la jeunesse Agence nationale d aide aux initiatives des
Plus en détailSondage national auprès des primo-votants à l élection présidentielle 2012
Sondage national auprès des primo-votants à l élection présidentielle 2012 Un sondage Anacej / Ifop L Anacej a lancé en novembre 2011 la campagne 2012, je vote pour inciter les jeunes à vérifier leur inscription
Plus en détailService juridique CSFV
Service juridique LE CALENDRIER DES OPERATIONS ELECTORALES Les délais mentionnés dans cet exemple le sont à titre purement indicatif, dans le respect des minima et maxima imposés par le code du travail.
Plus en détailSÉNAT PROPOSITION DE LOI
N 61 SÉNAT SESSION ORDINAIRE DE 2010-2011 Enregistré à la Présidence du Sénat le 25 octobre 2010 PROPOSITION DE LOI sur les sondages visant à mieux garantir la sincérité du débat politique et électoral,
Plus en détailOctroi de crédit : la minimisation des risques de défaillance n'a pas le dernier mot
Octroi de crédit : la minimisation des risques de défaillance n'a pas le dernier mot Aucun prêteur, c'est entendu, n'octroie de crédit à une personne qu'il ne considérerait pas comme potentiellement solvable.
Plus en détailGUIDE DE SENSIBILISATION DES ELECTEURS
1 République de Guinée Commission Electorale Nationale Indépendante GUIDE DE SENSIBILISATION DES ELECTEURS Election Présidentielle, octobre 2015 Conakry, Août 2015 1 2 Introduction Les organisations de
Plus en détailLE PROTOCOLE D ACCORD PREELECTORAL (PAP)
LE PROTOCOLE D ACCORD PREELECTORAL (PAP) Le protocole d accord se négocie entre le chef d entreprise ou son représentant (dument mandaté à cet effet) et les organisations syndicales (OS) représentatives.
Plus en détailStatuts de l association Politique Intégrale Suisse (PI Suisse)
Statuts de l association Politique Intégrale Suisse (PI Suisse) approuvés à l'assemblée générale du 17.05.2014 «Politique Intégrale, en tant qu organisme évolutif, modèle une culture politique future pour
Plus en détailLe vote obligatoire en France : que se passerait-il si tout le monde votait?
Institut d'etudes Politiques de Paris ÉCOLE DOCTORALE DE SCIENCES PO Master de recherche Sociétés et politiques comparées Sociologie politique Le vote obligatoire en France : que se passerait-il si tout
Plus en détailLe Baromètre de l économie. BVA - BFM - La Tribune - The Phone House
Mai 2008 Le Baromètre de l économie BVA - BFM - La Tribune - The Phone House Les indices de confiance BVA - BFM - La Tribune - The Phone House Impact de la crise financière internationale sur l attitude
Plus en détailLes intentions de vote pour les élections régionales en Midi-Pyrénées- Languedoc-Roussillon
Les intentions de vote pour les élections régionales en Midi-Pyrénées- Languedoc-Roussillon Ifop pour Midi Libre, Centre Presse, La Dépêche du Midi et L Indépendant JF/EP N 113175 Contacts Ifop : Jérôme
Plus en détailLa presse en ligne au service de la démocratie locale. Sylvain Parasie (Latts) & Jean-Philippe Cointet (INRA Sens)
La presse en ligne au service de la démocratie locale Sylvain Parasie (Latts) & Jean-Philippe Cointet (INRA Sens) Les sciences sociales critiques du rôle démocratique de la presse locale. Nouveaux espoirs
Plus en détailÉPARGNE RETRAITE : QUELLES SOLUTIONS PRIVILEGIER AUJOURD HUI?
ÉPARGNE RETRAITE : QUELLES SOLUTIONS PRIVILEGIER AUJOURD HUI? Depuis deux décennies, la question des retraites occupe régulièrement le devant de la scène publique. Or, aujourd hui, face à l ampleur des
Plus en détailCREDIT LYONNAIS STATUTS. 29 avril 2015
CREDIT LYONNAIS STATUTS 29 avril 2015 I. FORME - SIEGE - OBJET Article 1 er Le CREDIT LYONNAIS, fondé en 1863 sous la forme de société à responsabilité limitée, a été constitué sous la forme de société
Plus en détailPolitMonitor Lëtzebuerg RTL Luxemburger Wort. TNS ILRES Februar 2015. Referendum 2015 2. Vague. Accord Regierung mat de Glawesgemeinschaften
PolitMonitor Lëtzebuerg RTL Luxemburger Wort Januar- Februar 2015 Referendum 2015 2. Vague Accord Regierung mat de Glawesgemeinschaften TNS ILRES Februar 2015 Fiche technique projet PoMo 04 15 121 population
Plus en détailComprendre les enjeux actuels. et les defis futurs. Carine Bouthevillain Gilles Dufrenot. Philippe Froute Laurent Paul. Preface de Michel Bouvier
Les politiques budgetaires dans la crise Comprendre les enjeux actuels et les defis futurs Carine Bouthevillain Gilles Dufrenot Philippe Froute Laurent Paul Preface de Michel Bouvier ^ ECONOMIQUES in W
Plus en détailLES FRANÇAIS ET LA QUESTION DE LA
LES FRANÇAIS ET LA QUESTION DE LA CANDIDATURE DE DOMINIQUE STRAUSS- KAHN A L ELECTION PRESIDENTIELLE - Sondage de l'institut CSA - N 1100267A Février 2011 Contact : Jérôme Sainte-Marie Directeur du département
Plus en détailLes défauts et «fautes impardonnables» des candidats à l élection présidentielle
COMMUNIQUE DE PRESSE Les défauts et «fautes impardonnables» des candidats à l élection présidentielle Sondage Harris Interactive pour M6-MSN-RTL Enquête réalisée en ligne par l'institut Harris Interactive
Plus en détailVote par Internet : quel avenir?
Journée de la sécurité des systèmes d information du 22 mai 2008 Proposition d intervention Thème général : anonymat, vie privée et gestion d'identité Vote par Internet : quel avenir? Le 22 mai 2008 Benoit
Plus en détailA PLUS FINANCE. 5 mois après les Présidentielles : la réforme fiscale 2007 «Paquet fiscal» : attractif ou non? Quel accueil par les particuliers?
A PLUS FINANCE A Plus Finance 5 mois après les Présidentielles : la réforme fiscale 2007 «Paquet fiscal» : attractif ou non? Quel accueil par les particuliers? 2 octobre 2007 Niels COURT-PAYEN : 01.40.08.03.40
Plus en détailAZ A^kgZi Yj 8^idnZc
Bienvenue à l âge de la majorité! l État vous présente vos droits et devoirs ainsi que les principes fondamentaux de la République à travers «Le Livret du Citoyen» Nom... Prénom... Date de naissance...
Plus en détailFD/MH N 1-6920 Contacts IFOP : Frédéric Dabi / Mayeul l Huillier Tél : 01 45 84 14 44 mayeul.lhuillier@ifop.com. pour
FD/MH N 1-6920 Contacts IFOP : Frédéric Dabi / Mayeul l Huillier Tél : 01 45 84 14 44 mayeul.lhuillier@ifop.com pour Le climat électoral dans le 5ème arrondissement de Paris Résultats détaillés Le 4 mars
Plus en détaila) La technique de l analyse discriminante linéaire : une brève présentation. 3 étapes de la méthode doivent être distinguées :
a) La technique de l analyse discriminante linéaire : une brève présentation. Nous nous limiterons ici à l'analyse discriminante linéaire et à deux groupes : - linéaire, la variante utilisée par ALTMAN
Plus en détailCompte rendu de la séance du 29 mars 2014
Compte rendu de la séance du 29 mars 2014 Secrétaire(s) de la séance: Laëtitia MICHON Ordre du jour: - Election du Maire - Détermination du nombre d'adjoint - Election du ou des adjoints Délibérations
Plus en détailRENTABILITE IMMOBILIERE ET PRESSION FISCALE
RENTABILITE IMMOBILIERE ET PRESSION FISCALE Conférence de presse 13 mars 2012 SOMMAIRE Introduction p. 3 CALCULS DE RENTABILITE IMMOBILIERE Cinq exemples avec des prélèvements sociaux portés à 15,5 %...p.
Plus en détailLoi N 1/018 du 19 décembre 2002 portant ORGANISATION ET FONCTIONNEMENT DE LA COUR CONSTITUTIONNELLE AINSI QUE LA PROCEDURE APPLICABLE DEVANT ELLE
Loi N 1/018 du 19 décembre 2002 portant ORGANISATION ET FONCTIONNEMENT DE LA COUR CONSTITUTIONNELLE AINSI QUE LA PROCEDURE APPLICABLE DEVANT ELLE TABLE DES MATIERES CHAPITRE I. DE L ORGANISATION... 4 CHAITRE
Plus en détailCONSORTIUM POUR L OBSERVATION DOMESTIQUE DES ELECTIONS EN GUINEE
CONSORTIUM POUR L OBSERVATION DOMESTIQUE DES ELECTIONS EN GUINEE OBSERVATION CITOYENNE DU PROCESSUS DE REVISION DU FICHIER ELECTORAL CAS DE LA GUINEE Présentation: Dr Dansa KOUROUMA/Directeur Lansana MANSANDOUNO/
Plus en détailSondage sur le travail de conseiller d arrondissement et de conseiller municipal
Sondage sur le travail de conseiller d arrondissement et de conseiller municipal Mémoire déposé dans le cadre des consultations citoyennes sur le projet de réforme de la gouvernance du Renouveau Sherbrookois
Plus en détailL analyse de la gestion de la clientèle
chapitre 1 - La connaissance du client * Techniques utilisées : observation, recherche documentaire, études de cas, études qualitatives (entretiens de groupes ou individuels, tests projectifs, analyses
Plus en détailFONDEMENTS JURIDIQUES
PREFECTURE DE L ALLIER DIRECTION DES RELATIONS AVEC LES COLLECTIVITES TERRITORIALES Bureau du Conseil et du contrôle de légalité LA COMMISSION DE DELEGATION DE SERVICE PUBLIC (CDSP) élection, constitution,
Plus en détailLe rôle du Tribunal fédéral suisse comme autorité de recours dans le processus électoral
Troisième séminaire des correspondants nationaux de l ACCPUF Paris, 17 19 novembre 2003 Le rôle du Tribunal fédéral suisse comme autorité de recours dans le processus électoral par Robert Zimmermann, Docteur
Plus en détailMDTIC Stefano SCANO ----------------------------------------------------------------------------------------------------
MDTIC Stefano SCANO ---------------------------------------------------------------------------------------------------- POUVOIR DES MEDIAS et OPINION PUBLIQUE Mon idée de base est d essayer, dans les
Plus en détailProtocole d'accord préélectoral d'entreprise relatif aux élections des délégués du personnel d'e.on France Management
Protocole d'accord préélectoral d'entreprise relatif aux élections des délégués du personnel d'e.on France Management Entre : E.ON France Management dont le siège social est situé à Paris (75009), 5 rue
Plus en détailComment faire parler les chiffres
Sondages d opinions Comment faire parler les chiffres Sept règles d or à l usage des journalistes et des communicants pour utiliser les données d un sondage d opinions sans se tromper ni tromper son audience
Plus en détailLe nouvel espace politique européen
Frédéric Lebaron à l issue de la séquence électorale récente, en particulier en France et en Grèce, le nouveau champ politique issu de la crise financière se dessine plus clairement en Europe. L Union
Plus en détailFrapper aux portes. ou comment mobiliser pour les prochaines élections. Auteurs : Guillaume Liegey, Arthur Muller et Vincent Pons. Date : Octobre 2010
Frapper aux portes ou comment mobiliser pour les prochaines élections Auteurs : Guillaume Liegey, Arthur Muller et Vincent Pons Date : Octobre 2010 www.laboratoire-des-idees.fr Sommaire La mobilisation
Plus en détailL évolution des indicateurs sur l enfance Identifier des indicateurs centrés sur l enfant pour élaborer les politiques de l enfance¹
L évolution des indicateurs sur l enfance Identifier des indicateurs centrés sur l enfant pour élaborer les politiques de l enfance¹ Asher Ben-Arieh, PhD Rédacteur en chef, Child Indicators Research Adjoint
Plus en détailRegards de Français sur les objets connectés dans le domaine de l assurance
Regards de Français sur les objets connectés dans le domaine de l assurance Sondage Ifop pour AILANCY 4 juin 2015 N 113049 Contacts Ifop : Frédéric Dabi - Directeur Général Adjoint Alexandre Bourgine Chargé
Plus en détailContact : Jérôme Sainte-Marie, Directeur du Département Opinion - 01 44 94 59 10 / 11
La gauche peut-elle elle relever le pays? Septembre 0 n 033A Contact : Jérôme Sainte-Marie, Directeur du Département Opinion - 0 44 94 59 0 / Etude réalisée conformément à la norme internationale ISO 05,
Plus en détailLe monitoring des médias
Rapport Général de l Instance Nationale pour la Réforme de l Information & de la Communication 2012 Chapitre 10 Le monitoring des médias 221 Rapport Général de l Instance Nationale pour la Réforme de l
Plus en détailIntroduction NOTE D ETONNEMENT CONSEIL DES TEMOINS FABRIQUE CITOYENNE JANVIER 2015
NOTE D ETONNEMENT CONSEIL DES TEMOINS FABRIQUE CITOYENNE JANVIER 2015 Introduction La fabrique citoyenne initiée par la Ville de Rennes va conduire à la rédaction d une charte de la démocratie locale.
Plus en détailLes relations au bureau Baptiste Coulmont, Université Paris 8, CRESPPA baptiste.coulmont@univ-paris8.fr
Les relations au bureau Baptiste Coulmont, Université Paris 8, CRESPPA baptiste.coulmont@univ-paris8.fr Version de travail, 25 mai 2015 Ma communication s inscrit dans un travail pour l instant exploratoire
Plus en détailCODE DE BONNE CONDUITE
HAUT CONSEIL DE LA COMMUNICATION HCC CODE DE BONNE CONDUITE POUR LES ACTEURS POLITIQUES, SOCIAUX ET LES MEDIAS A L OCCASION DES ELECTIONS PRESIDENTIELLE ET LEGISLATIVES DE 2011 -*-*-*-*-*-*- Bangui, décembre
Plus en détailRAPPORT FINAL Résultats
COALITION DES ONG MEDIAS-MONITORING-TUNISIE-2011 ATFD-AFTURD-LTDH-CNLT-SNJ RAPPORT FINAL Résultats CONFERENCE DE PRESSE 29 février 2012 Maison de la culture. Ibn Rachiq PERIODES D OBSERVATION 4 périodes
Plus en détailS T A T U T S (Association loi 1901)
CERCLE DAMIEN KONDOLO (La Fraternelle de la République Démocratique du Congo en Europe) S T A T U T S (Association loi 1901) Nous, membres de diverses institutions philanthropiques, réunis en Assemblée
Plus en détail19, Rue du Lac El Biban - Lac 2-1053 Les Berges du Lac Tél.: 71 244 151 - www.haica.tn - contact@haica.tn
19, Rue du Lac El Biban - Lac 2-1053 Les Berges du Lac Tél.: 71 244 151 - www.haica.tn - contact@haica.tn La régulation de l audiovisuel La régulation de l audiovisuel a pour objectif de garantir la liberté
Plus en détailLe Baromètre Politique Français (2006-2007)
Le Baromètre Politique Français (2006-2007) 3 ème vague Hiver 2006 L IMAGE DES CANDIDATS EST-ELLE LA CLÉ DE L ÉLECTION? Daniel Boy & Jean Chiche Les données du BPF 2006-2007 ont été produites par le CEVIPOF
Plus en détailStatuts et règlement intérieur du PS
Statuts et règlement intérieur du PS Présentation du travail de codification statutaire Le Conseil national du 18 juillet 2012 a donné mandat à un groupe de travail, composé à la proportionnelle des sensibilités
Plus en détailCompte-rendu des ateliers
FORUM DE DÉVELOPPEMENT SOCIAL LOCAL 2010 2 E rencontre citoyenneté Compte-rendu des ateliers La 2e rencontre du Forum a abordé le thème de la citoyenneté. Cette rencontre s'est déroulé en suivant en partie
Plus en détailHOLLANDE UN AN APRES L ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE DE 2012
Ifop Fiducial / Europe 1 Bilan de l action de François Hollande un an après l élection présidentielle de 2012 BILAN DE L ACTION DE FRANÇOIS HOLLANDE UN AN APRES L ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE DE 2012 La méthodologie
Plus en détailArticle L52-4 Article L52-5 Article L52-6
Article L52-4 Tout candidat à une élection désigne un mandataire au plus tard à la date à laquelle sa candidature est enregistrée. Ce mandataire peut être une association de financement électoral, ou une
Plus en détailCRM dans le secteur tertiaire : agile ou fragile?
CRM dans le secteur tertiaire : agile ou fragile? Note publiée sur le site CRM SECTOR en novembre 2005 dans la catégorie : «Extraits» Comme toutes les entreprises, celles du secteur tertiaire n échappent
Plus en détailLe Baromètre Politique Français (2006-2007) CEVIPOF - Ministère de l Intérieur
Le Baromètre Politique Français (2006-2007) CEVIPOF - Ministère de l Intérieur 1 ère vague Printemps 2006 Les électeurs français et l information télévisée Thierry Vedel Centre de Recherches Politiques
Plus en détailL'Europe en débats à Villeurbanne
Dossier de presse DÉBAT SUR LES ÉLECTIONS EUROPÉENNES 2014 L'Europe en débats à Villeurbanne 24 avril 2014-18h-20h30 Palais du Travail - 9 place Lazare Goujon Métro Ligne A - Gratte-Ciel Version du 9 avril
Plus en détailBIG DATA À LA FRANCAISE QUELLES INNOVATIONS POUR LES PROCHAINES CAMPAGNES?
BIG DATA À LA FRANCAISE QUELLES INNOVATIONS POUR LES PROCHAINES CAMPAGNES? On a beaucoup parlé des dernières campagnes présidentielles américaines et de leur caractère innovant. Selon un grand nombre de
Plus en détailDocuments de travail Incidences potentielles de la prolongation du vote par anticipation sur la participation électorale
Documents de travail Incidences potentielles de la prolongation du vote par anticipation sur la participation électorale André Blais Agnieszka Dobrzynska et Peter Loewen Chaire de recherche du Canada en
Plus en détailSites internet des partis politiques, Facebook et Twitter : Les grands perdants de l élection présidentielle 2012
Sites internet des partis politiques, Facebook et Twitter : Les grands perdants de l élection présidentielle 2012 La dernière étude de Lightspeed Research décrypte comment les Français suivent et participent
Plus en détailLa fiscalité des revenus de l épargne
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Réunion plénière du 12 septembre 2002 «Retraite par répartition et compléments de retraite» Document n 9 La fiscalité des revenus de l épargne Conclusion du rapport
Plus en détailCHAPITRE III : METHODOLOGIE
CHAPITRE III : METHODOLOGIE Pour bien comprendre la structure de ce mémoire il est nécessaire de connaître la méthodologie de l étude effectuée. Cette méthodologie nous expliquera les différentes étapes
Plus en détailCeci n est pas une urne: À propos du vote par Internet pour l'assemblée des Français de l Étranger
Ceci n est pas une urne: À propos du vote par Internet pour l'assemblée des Français de l Étranger Andrew W. Appel * Le 14 juin 2006 à Rocquencourt, France Résumé Le lundi 5 juin 2006, je me suis rendu
Plus en détailQuand un franc-maçon dit «Non» à Denis Sassou Nguesso
Document mensuel No 1 : Quand un franc-maçon dit «Non» à Denis Sassou Nguesso Connu au Congo et ailleurs en Afrique, ainsi qu en France, comme étant l un des rares Francs-Maçons africains qui se dévoilent,
Plus en détailLa domiciliation pratiquée par les CCAS
La domiciliation pratiquée par les CCAS PAGE 1 - INTRODUCTION Votre CCAS pratique-t-il la domiciliation? Oui / Non : Précisez si Votre CCAS n a reçu aucune demande de domiciliation en 2012/2013 / Votre
Plus en détailDécembre 10, 2011 Contact: Baya Kara, Kinshasa +243 81 240 7659, Deborah Hakes, Atlanta 1 404 420 5124
Décembre 10, 2011 Contact: Baya Kara, Kinshasa +243 81 240 7659, Deborah Hakes, Atlanta 1 404 420 5124 Mission d`observation internationale du Centre Carter en RDC Elections présidentielle et législatives
Plus en détailFRANCAIS EPARGNE RETRAITE
( LES FRANCAIS L EPARGNE RETRAITE & LA Génération responsable.com Le Cercle des Epargnants, partenaire du Groupe Generali Enquête A la demande du Cercle des Epargnants, le Centre d'études et de connaissances
Plus en détailMaster Mention Etudes Politiques (IEP Aix-en-Provence)
Master Mention Etudes Politiques (IEP Aix-en-Provence) Maquette des enseignements de la spécialité «Métiers de l information : communication, lobbying, médias» Noms des enseignants responsables de la formation
Plus en détail2 ) pour le cas où la juridiction ne s'estimerait p as suffisamment éclairée, d'ordonner une enquête pour confirmer les irrégularités commises ;
Conseil d'état, 15 Mai 2009 N 322132 2ème et 7ème sous-sections réunies M. Vigouroux, président Mme Catherine Chadelat, rapporteur Mme Bourgeois-Machureau Béatrice, commissaire du gouvernement SCP VIER,
Plus en détailConstitution d une Commission d Appel d Offres
Constitution d une Commission d Appel d Offres ATTENTION : * Pour les collectivités territoriales et les établissements publics locaux, sont constituées une ou plusieurs commissions d appel d offres à
Plus en détailIntroduction. I Étude rapide du réseau - Apprentissage. II Application à la reconnaissance des notes.
Introduction L'objectif de mon TIPE est la reconnaissance de sons ou de notes de musique à l'aide d'un réseau de neurones. Ce réseau doit être capable d'apprendre à distinguer les exemples présentés puis
Plus en détailOBSERVATOIRE UFF / IFOP DE LA CLIENTÈLE PATRIMONIALE
OBSERVATOIRE UFF / IFOP DE LA CLIENTÈLE PATRIMONIALE Edition 2013 Perception du risque et comportement d investissement (point 5) 16 octobre 2013 Pourquoi un Observatoire UFF/IFOP de la clientèle patrimoniale?
Plus en détailP R O T O C O L E D ' A C C O R D N 2 0 1 2 / 0 3 P O U R L E S E L E C T I O N S D U C O M I T E D ' E N T R E P R I S E A N N E E S 2 0 1 3-2 0 1 4
P R O T O C O L E D ' A C C O R D N 2 0 1 2 / 0 3 P O U R L E S E L E C T I O N S D U C O M I T E D ' E N T R E P R I S E A N N E E S 2 0 1 3-2 0 1 4 Le présent protocole a été débattu entre : La SOCIETE
Plus en détailMilitance de contact, les clefs pour ouvrir des portes
Journées d'été régionales Europe Ecologie Les Verts Nord-Pas-de-Calais à Calais Prise de note -Atelier samedi 29 juin 2013 Militance de contact, les clefs pour ouvrir des portes (dans le cadre du porte
Plus en détailLa Constitution du Mali
La Constitution du Mali DECRET N 92-0731 P-CTSP PORTANT PROMULGATION DE LA CONSTITUTION Conformément à l'acte Fondamental N 1/CTSP du 31 Mars 1991 La Conférence Nationale a élaboré, Le Peuple malien, vu
Plus en détailAtelier du Comité 21 Parties Prenantes : les entreprises aux abonnés absents? Mercredi 11 avril 2013
Atelier du Comité 21 Parties Prenantes : les entreprises aux abonnés absents? Mercredi 11 avril 2013 Le langage des entreprises Performance Attractivité Développement Emploi Stakeholders Innovation «Compétitivité
Plus en détailLa Redevabilité dans le Management Universitaire Marocain: Cas des Présidents et des Chefs d Etablissements A. AGRAR ENCG/GREMS
La Redevabilité dans le Management Universitaire Marocain: A. AGRAR ENCG/G La référence centrale de la redevabilité Le principe de la corrélation entre la responsabilité et la reddition des comptes (article
Plus en détailLa garde des sceaux, ministre de la justice,
Arrêté de la DPJJ du 17 décembre 2008 fixant la date et les modalités d organisation des élections des représentants du personnel au sein des commissions administratives paritaires instituées à la direction
Plus en détailProposition de Charte éthique de l élu-e pour un renouveau démocratique et la renaissance des pratiques politiques
Proposition de Charte éthique de l élu-e pour un renouveau démocratique et la renaissance des pratiques politiques Version du 23 février 2015, soumise à consultation publique jusqu au 15 avril 2015. N
Plus en détailLe taux d'actualisation en assurance
The Geneva Papers on Risk and Insurance, 13 (No 48, July 88), 265-272 Le taux d'actualisation en assurance par Pierre Devolder* Introduction Le taux d'actualisation joue un role determinant dans Ia vie
Plus en détailLes Français et la liberté de la presse. Ifop pour Metronews et Reporters sans frontières
Les Français et la liberté de la presse FD/GM N 113153 Contacts Ifop : Frédéric Dabi / Guillaume Marchal Département Opinion et Stratégies d'entreprise TEL : 01 45 84 14 44 prenom.nom@ifop.com JUIN 2015
Plus en détailLa Cour se compose de quinze membres. Elle ne pourra comprendre plus d'un ressortissant du même État.
STATUT DE LA COUR INTERNATIONALE DE JUSTICE CHAPITRE I ORGANISATION DE LA COUR Article 2 La Cour est un corps de magistrats indépendants, élus, sans égard à leur nationalité, parmi les personnes jouissant
Plus en détailUne formation continue du Luxembourg Lifelong Learning Center / www.lllc.lu CERTIFICAT
Une formation continue du Luxembrg Lifelong Learning Center / www.lllc.lu CERTIFICAT EN CONTRÔLE INTERNE certified internal control specialist (CICS) AVRIL 2014 Inscrivez-vs en ligne / www.lllc.lu Certificat
Plus en détailVue d'ensemble de la formation
Vue d'ensemble de la formation Thème 1 : Les notions de marketing Le marketing d études, stratégique et opérationnel Thème 2 : La communication vente L Accueil, la découverte des besoins, l argumentation
Plus en détailCONJONCT URE. +1 point. Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance
CONJONCT URE estre NOTE DE conjoncture TRIMESTRIELLE de L APEC N Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance Les recruteurs font toujours preuve de prudence dans leurs
Plus en détailLE MINISTRE DES FINANCES
MINISTERE DES FINANCES A R R E T E DIRECTION GENERALE DE LA Â0 n LOTERIE NATIONALE DU BENIN ANNEE 1996 - N 48 /MF/DC/LNBA^ Portant modification du Règlement complémentaire du Pari Mutuel Urbain (P.M.U.)
Plus en détailÉLECTION FÉDÉRALE. Le 19 octobre 2015
ÉLECTION FÉDÉRALE Le 19 octobre 2015 Aperçu de l élection fédérale L élection fédérale aura lieu le 19 octobre 2015. Élections Canada est l organisme non partisan chargé de conduire l élection et de s
Plus en détailInviter au plus vite tous les acteurs de la création, de l'édition, de la diffusion et de la lecture à des «États généraux du livre et de la lecture».
Eléments pour une politique en faveur du livre et de la lecture Par Aurélie Filippetti, députée de Moselle, responsable du pôle Culture, audiovisuel, médias dans l équipe de campagne de François Hollande.
Plus en détailLes Français et le libéralisme
Les Français et le libéralisme Vague 2 Sondage Ifop pour L Opinion/Génération Libre/i>TELE Mai 2015 Contacts Ifop : Frédéric Dabi / Guillaume Marchal Département Opinion et Stratégies d Entreprise 01 45
Plus en détailCECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE. Une enquête CECOP/CSA pour Le Cercle des épargnants
Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE Une enquête /CSA pour Le Cercle des épargnants Note d analyse Février 2009 S.A. au capital de 38.112,25 euros Siège
Plus en détailQUELLE REFORME DE L ASSURANCE-MALADIE AUX ETATS-UNIS? 1
QUELLE REFORME DE L ASSURANCE-MALADIE AUX ETATS-UNIS? 1 François Vergniolle de Chantal* La crise que subissent les classes moyennes a constitué un enjeu majeur de la présidentielle de 2008 aux Etats-Unis.
Plus en détailCanton de Neuchâtel. Guichet unique et vote électronique «Une nouvelle dimension» Tecnologia e diritto Il governo elettronico
Canton de Neuchâtel Guichet unique et vote électronique «Une nouvelle dimension» Tecnologia e diritto Il governo elettronico Bellinzona, giovedì 18 maggio 2006 Historique du projet Démarrage du projet
Plus en détailLes bons réflexes pour garantir le processus
Les bons réflexes pour garantir le processus Définition du protocole Définition juridique : Pas de définition légale dans le code du travail Définition non juridique : Accord conclu entre l employeur et
Plus en détailL'enquête complémentaire : Les moins de 30 ans, l argent et le recours au crédit Observatoire de l'endettement des Ménages
L'enquête complémentaire : Les moins de 30 ans, l argent et le recours au crédit Les moins de 30 ans, l argent et le recours au crédit. 1 INTRODUCTION Les moins de 30 ans, l argent et le recours au crédit.
Plus en détailStatuts de la. Communauté d universités et établissements. Université Sorbonne Paris Cité
Statuts de la Communauté d universités et établissements Université Sorbonne Paris Cité 1 / 22 L Université Sorbonne Paris Cité regroupe des établissements d enseignement supérieur et de recherche et des
Plus en détailLe présent document a pour objet de définir les modalités d organisation de l élection des délégués du personnel (ou du C E) de
Le présent document a pour objet de définir les modalités d organisation de l élection des délégués du personnel (ou du C E) de Article 1 er : Effectif de l entreprise Nombre de sièges à pourvoir L effectif
Plus en détailJF/EP N 110670 Contacts IFOP : Jérôme Fourquet / Esteban Pratviel Tél : 01 45 84 14 44 jerome.fourquet@ifop.com. pour
JF/EP N 110670 Contacts IFOP : Jérôme Fourquet / Esteban Pratviel Tél : 01 45 84 14 44 jerome.fourquet@ifop.com pour Les Français et la fin de vie Résultats détaillés Septembre 2012 Sommaire - 1 - La méthodologie...
Plus en détailMANAGEMENT ET GESTION DES ENTREPRISES
MANAGEMENT ET GESTION DES ENTREPRISES Programmes de Formations Bachelor Bac + 3 Management Opérationnel des Organisations Formation en 3 années, accessible chaque année, en fonction des pré-requis du candidat.
Plus en détailStatuts de l association swissuniversities
Berne, le 20 janvier 2015 Statuts de l association swissuniversities swissuniversities Effingerstrasse 15, Case postale 3000 Berne 1 www.swissuniversities.ch Statuts de l association swissuniversities
Plus en détail