LA PREVENTION DE L ESCARRE

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1 LA PREVENTION DE L ESCARRE 1

2 Introduction Toute escarre constituée : - augmente les charges en soins de 50% les hospitalisations de 10 à 12 semaines - induit une thérapeutique lourde et onéreuse un impact sur la qualité de vie - Prévalence de 9 à 15% dans les institutions accueillant des personnes âgées 2

3 Sa fréquence varie selon les contextes cliniques - 17 à 50% des patients entrant en service de soins prolongés présentent des escarres - 5 à 7 % des patients adressés en court séjour en développent, 8% des opérés lorsque l intervention dure plus 3 heures - 34 à 46 % des blessés médullaires dans les 2 ans à distance de l accident 3

4 Réglementation Prévenir, guérir fait référence aux textes professionnels : art du code de la santé publique «Dans le cadre de son rôle propre, l infirmier accomplit les actes ou dispense les soins suivants visant à identifier les risques et à assurer le confort et la sécurité de la personne et de son environnement.» 4

5 1-Définition Lésion tissulaire d origine ischémique liée à une compression des tissus mous entre un plan dur et les saillies osseuses. ANAES 5

6 2-PHYSIOPATHOLOGIE - Pression locale due à un appui prolongé, un choc ou un cisaillement - Pression excessive ou prolongée responsable d une hypoxie tissulaire c est à dire un défaut d apport d oxygène aux tissus. 6

7 Physiopathologie (suite) - La lésion se développe en profondeur avant de s ouvrir à la surface du tissu cutané ( en cône) - C'est pourquoi sa gravité est souvent importante dès son apparition. 7

8 3- Les localisations - Les éminences osseuses ou points d appui: sacrum, ischion, trochanter, talons, occiput chez l enfant de 0 à 5 ans... - Les points de pression : (ailes du nez, oreilles, membres plâtrés, système de maintien non adapté ) 8

9 - 40 % des escarres siègent au sacrum et 40% aux talons. - Les autres localisations les plus fréquentes sont les ischions et le trochanter, ainsi que l'occiput en pédiatrie. 9

10 4-Les différents stades 10

11 Stade 1 Rougeur persistante 11

12 12

13 Stade 2 Phlyctène Désépidermisation 13

14 14

15 Stade 3 - Ulcération ( dermo hypodermique) 15

16 16

17 Stade 4 -Nécrose AHCRP : Agency for Health Care Policy and Research

18 18

19 5- Les facteurs de risque - Extrinsèques (explicatifs) La pression prolongée, le cisaillement, les frottements, l immobilité, l environnement : humidité, macération, corps étrangers dans le lit - Intrinsèques (prédictifs) La dénutrition, la déshydratation, l incontinence urinaire et fécale, l état psychique et le degré de participation, l âge et la diminution de la vascularisation, œdème, déficit neurologique 19

20 6-Les grilles d évaluation: toujours associées à une évaluation clinique initiale 20

21 Objectifs : Mettre en évidence les facteurs de risque dès l arrivée du patient Déterminer un niveau de risque Déterminer les actions nécessaires Permettre le choix du support 21

22 - Grille de Braden recommandée par l HAS - Grille d Angers 22

23 Sensibilité Humidité Activité 1 complètement limitée 2 très limitée 3 légèrement limitée 4 pas de gêne 1 constamment humide 2 très humide 3 parfois humide 4 rarement humide 1 confiné au lit 2 confiné en chaise 3 marche parfois 4 marche fréquemment Mobilité Nutrition Frictions et frottements 1 totalement immobile 2 très limitée 3 légèrement limitée 4 pas de limitation 1 très pauvre 2 probablement inadéquate 3 correcte 4 excellente 1 problème permanent 2 problème potentiel 3 pas de problème apparent 18 : risque bas 13 à 17 : risque modéré 8 à 12 : risque élevé 7 : risque élevé ECHELLE DE BRADEN 23

24 Grille angers 24

25 7- Les moyens et les actions de prévention 25

26 Diminuer la pression, mettre en décharge (changements de position, transferts lit fauteuil) 26

27 27

28 Les positions couchées On évitera les positions dangereuses, notamment la position latérale (risque d'escarre du trochanter). La meilleure position est le décubitus semi-latéral oblique. La position assise couchée devra être évitée au maximum. Si elle est pratiquée (personnes alitées voulant lire ou lors des repas), on prendra garde à ce que l'angle avec le lit soit au maximum de 30. Un angle plus fort créerait des forces de cisaillement dangereuses. 28

29 Utiliser des supports adaptés (coussin, matelas dynamique ou statique, surmatelas) 29

30 30

31 31

32 Maintenir l hygiène de la peau (hygiène corporelle et environnement) 32

33 L effleurage Doux (sans pétrissage) Main nue (sauf contexte particulier) Avec émolient (huile) Non douloureux Circulaire (à proscrire dès l apparition d une rougeur persistante) 33

34 Effleurer mais pas masser 34

35 L équilibre nutritif et hydrique : Évaluer l état nutritionnel: - La mesure du poids, le suivi des prises alimentaires et hydriques - Le calcul de l IMC est pratique courante : Poids / taille en m2 >

36 36

37 L information et l éducation du patient et de sa famille Participation du patient au regard de son degré d autonomie et de dépendance Participation de la famille pour une meilleure prise en charge (institution domicile) 37

38 8 Les transmissions Réaliser des transmissions écrites : facteurs de risque (outil) mesures mises en œuvre Observation : évaluation de l état cutané 38

39 La prévention des escarres est de la responsabilité de chacun mais aussi de toute une équipe pluridisciplinaire dans une harmonisation des pratiques... impliquer tout le monde 39

40 Conclusion Rôle primordial de la prévention (complication du décubitus prolongé) Dépistage précoce Évaluation à l aide d outils Prise en charge en équipe pluridisciplinaire Information et éducation du patient 40

41 Questions

42 42

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