WORL ECONOMY RESEARCH INSTITUTE. Stratégie des banques polonaises après l entrée dans l Union Européenne dans le contexte de la globalisation
|
|
- Gabrielle Croteau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 WORL ECONOMY RESEARCH INSTITUTE Stratégie des banques polonaises après l entrée dans l Union Européenne dans le contexte de la globalisation ElŜbieta Chrabonszczewska No 280 Warszawa 2007
2 Introduction Conditions externes du choix de la stratégie Globalisation des marchés financiers Création de l Union économique et monétaire Réalisation de la stratégie de développement des banques polonaises jusqu en Phase de privatisation et de consolidation Deuxième phase de consolidation Stratégie des banques après l adhésion à l Union européenne Troisième phase de consolidation Internationalisation du secteur bancaire en Pologne Chances et défis pour le secteur bancaire polonais...21 Conclusions...25 Bibliographie...27
3 Introduction Les mutations intervenant dans le milieu financier ont des conséquences importantes pour les banques opérant à un niveau global, européen et national. Différents types de stratégies sont appliqués par les banques, en fonction des facteurs qui ont une influence sur la limitation du choix dans la pratique. Le marché bancaire international contemporain se distingue de celui des années 80. Il est soumis à une plus grande pression de la concurrence, résultant de la globalisation, de la déréglementation, des innovations technologiques, des nouveaux instruments financiers et des sociétés non bancaires qui offrent des services financiers. Les institutions bancaires traditionnelles ont perdu leur position de monopole sur le marché financier. Les innovations financières ont été l un des facteurs de ce déclin. Les innovations majeures concurrençant les services bancaires traditionnels sont : les fonds de tutelle, les «junk bonds» (obligations pourries), l augmentation du marché des titres de commerce et la titrisation, c est-à-dire la transformation des prêts bancaires et des autres actifs en titres. Ces innovations, en raison de leur élasticité et de leur caractère sûr, ont commencé à supplanter les services bancaires traditionnels sur le marché. La perte de la prédominance concurrentielle, surtout dans le cadre des services traditionnels, a forcé les banques à rechercher de nouvelles stratégies de développement, aussi bien sur les marchés nationaux que sur les marchés internationaux. La stratégie la plus souvent employée fut celle de la consolidation. L économie mondiale et les marchés financiers ont réagi aux mutations du milieu par une intégration commerciale, monétaire, une vague de fusions et d acquisitions dans le secteur économique et financier. Ceci a eu lieu également, même si dans une moindre mesure, en Europe et en Pologne. Pour comprendre la statégie des banques polonaises, il faut répondre à la question suivante : dans quelles conditions ces banques 1
4 fonctionnent-elles? Quelles sont les limitations dans le choix d une stratégie? Le but de cette étude est l analyse de l influence du milieu financier sur les choix stratégiques des banques polonaises. Ce milieu est envisagé aussi bien dans son aspect global que sous l angle régional-européen. Le postulat de base de cet exposé est le suivant : Les mutations dans le milieu financier international, l émergence d un marché financier homogène en Europe, l entrée de la Pologne dans l Union européenne ont eu une influence importante sur le choix de la stratégie de développement des banques polonaises. L exposé comporte trois points. Le premier présente les conditions internes du choix de la stratégie, le second la réalisation de la stratégie de développement des banques en Pologne jusqu en Le dernier montre le développement du processus d internationalisation du secteur bancaire ainsi que les chances et les défis qui se posent au secteur bancaire après l adhésion à l Union européenne. 1. Conditions externes du choix de la stratégie Parmi les conditions externes les plus importantes pour les banques polonaises, on peut noter la globalisation des marchés financiers et l émergence d un marché financier européen homogène avec, simultanément, une monnaie commune l euro Globalisation des marchés financiers Les mutations qui ont eu lieu sur le marché financier global ont partiellement façonné les marchés de l Union européenne et ceux des autres pays, en ce compris la Pologne. L ouverture de plus en plus grande des économies, la libéralisation des transferts de capitaux, des biens et des services, ainsi que de la main d œuvre sont la cause d une augmentation de l interdépendance entre pays respectifs, institutions et instruments financiers. 2
5 La structure des marchés financiers devient de plus en plus compliquée et, réciproquement, les liens sont de moins en moins visibles. Ces phénomènes ont lieu dans des conditions où les disproportions augmentent entre un niveau élevé de standardisation des marchés financiers et un bas niveau de l intégration et de la standardisation de l économie mondiale. La globalisation entraîne l augmentation du risque de déstabilisation des marchés financiers, la hausse de la sensibilité des marchés financiers, la croissance de la vitesse de propagation des crises, l augmentation de la concurrence, l augmentation de l échelle des flux de capitaux, le développement du marché des instruments dérivés. La globalisation financière a eu également des conséquences positives : elle a permis la diminution des frais de capital, elle a facilité le transfert de technologie et elle a stimulé le développement du système bancaire. Les institutions bancaires font partie intégrante des marchés financiers, comprenant les marchés monétaires, les marchés des capitaux, les marchés des assurances et les marchés des instruments dérivés. La globalisation signifie la jonction de ces marchés, ce qui fait que les événements qui se déroulent sur l un des segments des marchés financiers se dérouleront sur les autres marchés ou exerceront une influence sur ces derniers. Le secteur bancaire est, d une part, l une des forces motrices de la globalisation mais, d autre part, il doit aussi répondre à son défi. Les banques, face à la concurrence croissante et aux risques encourus, ont dû ajouter à leur offre de nouveaux produits maîtrisant le risque de taux d intérêt et de change, effectuer des regroupements de leurs forces en formant des groupes bancaires ; une vague de fusions et d acquisitions a déferlé de par le monde, le nombre des institutions financières a diminué. 3
6 Sur le marché financier global en mutation, où sont en vigueur des normes de sécurité définies 1, opèrent des banques qui mènent une activité internationale, que ce soit des petites banques ou de grands groupes bancaires. Les banques mettent à profit les possibilités qu offre la globalisation. Elles cherchent des bénéfices à travers le monde entier, ce qui est visible dans le niveau croissant d internationalisation de l activité bancaire. La libéralisation des marchés a entraîné l augmentation de la concurrence entre les banques opérant à un niveau global et régional. La concurrence concerne non seulement les banques mais également la relation banques institutions financières non bancaires. Les banques, souhaitant lutter contre la concurrence, forment des groupes bancaires et mettent en place une stratégie de consolidation. La valeur globale des services financiers qui ont été soumis aux fusions et acquisitions est passée de 36 milliards de dollars en 1986 à 439 milliards de dollars en l an 2000, c est-à-dire qu elle a augmenté de plus de douze fois. Néanmoins, elle a atteint son sommet en , années durant lesquelles la valeur des fusions et acquisitions s est élevée à 671 milliards, dont 78% ont eu lieu dans le secteur bancaire (Cfr graphique n o 1). Seuls 23% de la valeur des fusions et acquisitions mondiales étaient des fusions tranfrontalières («cross-border»). Aux États-Unis, les fusions internationales ont à peine représenté 12,7% des fusions et acquisitions mondiales. Les fusions tranfrontalières en Europe se sont élevées à 20,0%, ce qui signifie que, principalement, les banques européennes ont acquis des banques américaines 2. Vraisemblablement, suite aux changements survenus dans l environnement international des banques, une troisième vague de fusions et d acquisitions va commencer, ce qui pourrait entraîner une 1 Il s agit des 12 normes de sécurité des marchés financiers internationaux établies par le Financial stability forum (Forum sur la stabilité financière). 2 Selon : Smith R.C., I. Walter, Global Banking. Oxford University Press 2003, p
7 limitation importante du nombre des banques opérant à un niveau global. Les analystes bancaires suggèrent que 50 des plus grandes banques américaines pourraient se transformer en 15 lors d une prochaine vague de fusions et d acquisitions 3. Peut ici jouer un rôle important la possibilité de réduire les coûts, liée aux innovations technologiques. On estime que les technologies d information (en anglais IT) devraient entraîner une limitation des frais des banques d environ 15-20%. Graphique 1 Structure des fusions et acquisitions mondiales dans les services financiers en % services bancaires titres assurances gestion des actifs Source : Smith. R., Walter I., Global banking, p. 365 La valeur des fusions et acquisitions mondiales dans le secteur financier, durant les années , n était pas très élevée et augmentait lentement. La valeur des fusions et acquisitions a soudain augmenté dans les années pour atteindre son plus haut 3 Spigel J., Gart A., Gart S., Banking Redefined. IRWIN Chicago 1996, p. 64 5
8 niveau dans les années , s élevant alors à 671 milliards de dollars. 4 Tableau 1 Concentration dans le secteur bancaire. Nombre des banques possédant 75% des parts du marché Pays Grande-Bretagne États-Unis Japon Singapour Suisse Source : Triennale Central Bank Survey. BIS. March 2005, p.11 Les processus de consolidation ont eu pour conséquence une augmentation du taux de concentration dans le secteur bancaire. Au Japon, à Singapour, cet indice a augmenté, dans les années , de plus du double. C est en Suisse que le taux de concentration du secteur bancaire s est avéré le plus élevé en 2004 dans ce pays, 5 banques à peine possédaient 75% des parts du marché bancaire 1.2. Création de l Union économique et monétaire Les tendances mondiales n ont pas manqué d influencer le marché européen, où ont eu lieu également des processus semblables. La décision de l Union économique et monétaire du 1 er janvier 1999 marque le couronnement d une longue période d intégration économique et monétaire. Cet événement, et plus particulièrement l introduction d une monnaie commune dans la zone euro, a modifié de 4 Source : Smith R.C., I. Walter, Global Banking. Oxford University Press 2003, p
9 manière fondamentale les conditions de fonctionnement des banques en Europe. Le risque de change a diminué. Le nombre de transactions monétaires, ainsi que d opérations sur le marché monétaire, a chuté. Les banques ont vu leur rôle d intermédiaire financier se limiter, dans la mesure où des entités économiques indépendantes opéraient sur le marché. La concurrence a augmenté du côté des institutions financières non bancaires. L harmonisation des règles de base n a pas signifié l uniformisation des réglementations nationales concernant les institutions financières, ce qui a entraîné une grande différenciation des systèmes bancaires des pays de l Union européenne. Les exigences minimales concernant les institutions financières dans l Union européenne ont été régulées par des directives bancaires adoptées par le Conseil de l Union européenne. Les directives bancaires ont joué un rôle essentiel dans le fonctionnement du marché bancaire, en particulier la Première Directive bancaire et la Deuxième Directive bancaire 5. Les directives ont créé des conditions permettant de traiter de la même manière les banques nationales et les filiales des banques à l étranger, et elles ont défini les règles de fonctionnement du marché bancaire dans l Union européenne. La création de l euro a été un événement marquant pour le fonctionnement du marché bancaire et le développement du secteur bancaire. Grace à la monnaie commune, les prix des services bancaires ont gagné en transparence. Les banques ont été soumises à une forte pression de la concurrence et ont été forcées de rechercher des moyens de diminuer les coûts. Ceci concernait principalement les banques traditionnelles de la zone euro. La dérégulation de l activité bancaire a eu pour conséquence une augmentation de l intérêt des banques pour de nouveaux types d activités comme les services bancaires d investissement, la gestion de 5 Première Directive bancaire du 12 décembre 1977 (77/780/CEE), Deuxième Directive bancaire du 15 décembre 1989 (89/646/CEE) 7
10 portefeuille d actifs et les assurances. Dans le même temps, les banques européennes réalisaient une stratégie de consolidation (fusions et acquisitions) tant au niveau national qu au niveau transfrontalier. La vague de fusions et d acquisitions qui a eu lieu dans les pays de l Union européenne a trouvé son origine dans l émiettement relativement important du secteur bancaire européen par rapport aux banques américaines et japonaises. Investir dans le développement des banques est un processus qui demande du temps ; c est la raison pour laquelle, dans les pays de l Union européenne, l accent a surtout été mis sur la stratégie de consolidation, qui permet un développement rapide, sur l expansion vers de nouveaux marchés et sur la construction d une position forte. Le processus de consolidation dans l Union européenne a entraîné une diminution importante du nombre des institutions financières. Le graphique ci-dessous montre les changements au niveau du nombre des institutions bancaires dans l Union européenne depuis la création de l Union monétaire jusqu en Durant cette période, institutions ont été supprimées alors que 317 nouvelles institutions à peine étaient créées. Ce qui signifie, en réalité, une diminution du nombre des institutions de unités. Si l on prend en compte le fait qu il y avait en 2005, dans les 15 pays de l Union européenne, institutions financières, on peut affirmer que leur nombre a diminué de près de 20%. 8
11 Graphique 2 Changements au niveau du nombre des institutions financières dans l Union européenne durant les années BE DE GR ES FR IE IT LU NL AT PT FI SE UK DK Source : ECB.MFI sector analises. http// Dans le secteur bancaire de l Union européenne, on observe une augmentation du taux de concentration. Ce taux peut être mesuré grâce à l indice CR5, indiquant la part de marché des 5 banques les plus importantes. Le graphique 3 ci-dessous montre le taux de concentration du secteur bancaire dans les 15 anciens pays de l Union européenne et le taux moyen de concentration dans les 10 nouveaux pays de l Union européenne. Il ressort des données reprises au graphique 3 que le taux le plus bas de concentration du secteur bancaire a été enregistré, en 2005, en Allemagne (environ 20%), le taux le plus élevé de concentration du secteur bancaire en Belgique (85%), et que la France avait un taux de concentration semblable au taux moyen de l Europe des 15. En revanche, le taux de concentration en Grande-Bretagne se situait en-dessous de la moyenne de l Europe des 15. Quant aux nouveaux pays membres de l Union européenne, ils affichaient un taux de concentration moyen plus élevé que celui des anciens pays de 9
12 l Union européenne. En Pologne, le taux de concentration du secteur bancaire, pour l année 2005, était proche du taux moyen des anciens pays de l Europe des 15. Graphique 3 Part des 5 banques les plus importantes dans les actifs du secteur bancaire en Europe en % Pologne UE-10 Belgique G. Bretagne France Allemagne Portugal UE Source : EU Banking Structures, ECB October 2006 La création de l Union économique et monétaire et l introduction d une monnaie commune ont renforcé, au sein de l Union européenne, les processus déja en cours sur le marché financier global. Les banques de l Union ont mené une stratégie de consolidation, qui a entraîné une augmentation de la concentration du secteur bancaire. Le processus d élargissement de l Union européenne a signifié, pour les banques européennes, la possibilité d une expansion accrue vers l est, vers les nouveaux pays membres et candidats à l Union européenne. 10
13 2. Réalisation de la stratégie de développement des banques polonaises La globalisation des marchés financiers et les processus de consolidation qui ont eu lieu sur le marché bancaire européen ont conduit à des phénomènes semblables au niveau des institutions bancaires en Pologne. La perspective de l entrée de la Pologne dans l Union européenne et l augmentation progressive de la présence des banques étrangères ont accéléré le processus de consolidation du secteur bancaire polonais. Avant l année 1989, il n y avait pratiquement pas de marché financier en Pologne. C est seulement avec les réformes entreprises du secteur bancaire et la libéralisation de l économie que le développement du secteur bancaire a été rendu possible. Le marché bancaire a été le premier segment du marché financier créé. Une structure à deux degrés du système bancaire a été mise en place, le processus de privatisation des banques nationales a démarré et des banques étrangères ont commencé à apparaître. En 1989, sur le marché polonais, on comptait 20 banques commerciales et banques coopératives. En 2004, il y avait 63 banques commerciales et 596 banques coopératives. À la fin de l année 2006, on comptait 55 banques commerciales et 585 banques coopératives L Accord européen, qui est entré en vigueur le 1 er février 1994, obligeait la Pologne à mener des actions ayant pour but d adapter le droit bancaire polonais aux Directives de l Union européenne. Le nouveau droit bancaire, qui date de l année 1998, tenait en grande partie compte des régulations comprises dans les directives bancaires de l Union européenne. Le but de ces adaptations était de créer, pour les banques polonaises, des conditions de concurrence vis-à-vis d un marché européen homogène et d augmenter la compétitivité des banques polonaises par rapport aux établissements de crédits étrangers de plus en plus présents en Pologne. 11
14 L adhésion de la Pologne à l Union européenne le 1 er mai 2004 a entraîné l inclusion du marché bancaire polonais au marché de l Union européenne. D une part, l intégration a permis le développement du secteur bancaire polonais ; d autre part, une forte concurrence est apparue du côté des banques étrangères, qui offraient leurs services sur le marché polonais. Le secteur bancaire en Pologne a été soumis à la forte expansion des banques occidentales. Parmi les quatre statégies d accès au marché (la vente directe transfrontalière de produits bancaires, l ouverture à l étranger de filiales et de banques sous forme de sociétés dépendantes, la consolidation, des alliances stratégiques), c est la stratégie de consolidation qui a été le plus souvent appliquée en Pologne. La privation et la stratégie de consolidation ont joué un rôle essentiel dans les mutations sur le marché bancaire polonais. On peut distinguer 3 phases de développement du secteur bancaire en Pologne : Première phase - durant les années Deuxième phase - durant les années Troisième phase - après l année Première phase de privatisation et de consolidation Durant la période initiale de la réforme du système bancaire, le système bancaire était dominé par les opérations de privatisation. Le nombre de banques privées augmentait rapidement. En 1989, 4 banques privées ont été créées. En 1990, on en comptait 37 et, en 1996, les banques privées étaient au nombre de 63. Les banques étrangères, quant à elles, sont apparues durant l année En 1996, elles étaient au nombre de 18 et 3 filiales de banques étrangères avaient été créées. Jusqu en 1992, des règles assez libérales étaient en vigueur pour ce qui est de l accord des licences aux banques, y compris les banques étrangères, et, à cette époque, 6 banques étrangères étaient présentes. En 1993, conformément aux exigences de la Deuxième Directive bancaire de l Union européenne, les critères d attribution des licences 12
15 aux nouvelles banques sont devenus plus rigoureux. Le capital de départ a été augmenté et fixé à 5 millions d euros. Dans les années , on a renforcé les conditions d admission du capital étranger dans le secteur bancaire et, dans le même temps, deux banques étrangères supplémentaires se sont installées en Pologne et 3 filiales de banques étrangères. L entrée en vigueur de l Accord européen a entraîné une nouvelle libéralisation des conditions d admission sur le marché bancaire polonais, et l adaptation du système bancaire polonais aux directives bancaires européennes a entraîné une augmentation du nombre des banques étrangères à 18. Durant cette période initiale de développement du système bancaire, les acquisitions et les fusions qui ont eu lieu avaient pour but de renforcer et d organiser le système bancaire en Pologne. Les investisseurs étrangers ont effectué le rachat de paquets d actions minoritaires des banques issues de la NBP (Banque centrale de Pologne) ou ont renforcé, par un apport de capital, les banques les plus faibles. Dans les années , 8 banques ont profité de l aide d investisseurs étrangers. Elles ont obtenu au total une aide de 77,6 millions de PLN, et ce sous la forme principalement de prêts sur 8 ans à bas taux d intérêt, d achat d obligations à 8 ans (émises par la Prosper Bank), d une aide technique et d un placement sur 6,5 ans Deuxième phase de consolidation La deuxième phase de consolidation du secteur bancaire, c est la période de fonctionnement du nouveau droit bancaire et des changements qui visaient à préparer le secteur bancaire à l entrée dans l Union européenne. Durant cette phase ont eu lieu des processus de consolidation, renforçant la position concurrentielle des banques et élargissant leurs domaines d activité. 13
16 Tableau 2 Processus de regroupement provoqués par les décisions des propriétaires de banques Nombre de Nombre de banques reprises banques reprenant Année consolidations procédures de réparation Source : Nadzór bankowy , p. 44 Au début de cette période, un nombre important de banques privées fonctionnait sur le marché, dont la situation n était pas des meilleures. Les banques coopératives étaient également dans une situation financière critique et possédaient d assez faibles fonds propres. La Commission de contrôle bancaire et la NBP (Banque centrale de Pologne) ont mené des actions de restructuration dans le secteur bancaire, ayant pour but de le rendre stable. La mise en place d un nouveau droit bancaire a rendu possible l intensification des processus de consolidation. Il faut souligner ici que le Droit bancaire introduit en 1997 était conforme aux Directives de l Union européenne, ce qui a permis un fonctionnement sûr des banques. Les processus de consolidation dans le secteur bancaire se sont déroulés grâce à une participation importante du capital étranger. Les investisseurs étrangers ont acquis les paquets d actions majoritaires des moyennes et des grandes banques polonaises. 6 Contrôle bancaire NBP Warszawa 2007, pp
17 C est dans les années que les processus de consolidation dans le secteur bancaire polonais se sont intensifiés. Durant cette période, 29 banques commerciales ont fusionné avec d autres banques ou ont été reprises. Les banques qui étaient créées étaient plus grandes et pouvaient entrer en concurrence avec les banques étrangères. Durant les années , ce processus s est fortement ralenti. À cette époque également, on assiste au niveau mondial à un ralentissement du rythme des consolidations entre les grands groupes bancaires. À la fin de l année 2004 en Pologne ont lieu seulement deux reprises de banques. Suite aux processus de restructurisation et de consolidation, le nombre des banques commerciales a chuté, en 7 ans, de 81 à 57, et plus particulièrement : - le nombre des banques où dominait le capital d État est passé de 15 à 5, - le nombre des banques où dominait le capital polonais est passé de 39 à 8, - le nombre des banques où dominait le capital étranger est passé de 29 à 41. Dans le même temps, le nombre des banques coopératives a diminué de à 659. Le graphique 4 présente l évolution du nombre et de la structure des banques commerciales. La libéralisation de la politique d accès du capital étranger sur le marché bancaire a mené à la maîtrise progressive du secteur des banques commerciales par le capital étranger. À la fin de cette période, le système bancaire polonais était en majeure partie dominé par le capital étranger, ce qui s exprime aussi bien dans le nombre des banques que dans la part des actifs du secteur bancaire. Seuls 6,6% du capital du secteur des banques commerciales et des banques coopératives étaient dans des mains polonaises, et il s agissait de banques plutôt petites avec des actifs modestes. 15
18 Graphique 4 Nombre des banques commerciales exerçant une activité opérationnelle en Pologne avec prédominance du capital d État avec prédominance du capital privé polonais avec prédominance du capital étranger Source : Rozwój systemu finansowego w Polsce w roku 2004, p. 45 Dans les années , les transactions de consolidations ont surtout été menées par les banques, grandes et moyennes, dominées par les investisseurs étrangers. Les années peuvent être considérées comme une période mettant un terme aux réformes de base du secteur bancaire. Les changements dans le secteur bancaire avaient un caractère non seulement quantitatif mais aussi qualitatif. Ont été introduites à grande échelle les technologies modernes et les méthodes de gestion des risques. Le secteur bancaire polonais s est profondément diversifié. La part des institutions d assurances, des fonds de retraite et des fonds d investissement a augmenté. Néanmoins, la part des banques était toujours importante, s élevant à 74,2%, ce que montre le graphique 5. 16
19 Graphique 5 Part des banques dans la structure des actifs du secteur financier polonais en ,6 0,6 5,2 0,8 10,7 Banques Institutions d assurances Fonds ouverts de retraite Caisses d épargne coopératives Fonds d investissement Sociétés de courtage 74,2 Source : Rozwój systemu finansowego w Polsce w 2004 NBP, p Stratégie des banques après l adhésion à l Union européenne 3.1. Troisième phase de consolidation Les banques polonaises, en comparaison des banques européennes, étaient petites et c est pourquoi les processus de fusions et d acquisitions sont devenus plus intenses avec l approche de l entrée dans l Union européenne. En accord avec la règle du passeport unique (single passport), un établissement de crédit peut mener une activité en Pologne soit par la création d une filiale, soit par la prestation de services, soit par une présence physique en Pologne. Les processus de consolidation du secteur bancaire étaient toujours menés mais leur importance était nettement plus réduite. Suite au processus d expansion des banques de l ancienne Union européenne, on a assisté à l augmentation de la part des actifs bancaires en possession des investisseurs étrangers dans les nouveaux pays de l Union. Cette part est nettement plus importante que 17
20 dans les anciens pays de l Union européenne en 2001, elle s y élevait à 21% alors qu elle était de 69% en Pologne (cfr graphique 6). Graphique 6 Part des actifs des banques contrôlées par les investisseurs étrangers dans les actifs des secteurs bancaires des pays d Europe centrale et de l Union des 15 en 2001, ainsi que de l Union des 25 en 2004 en % Pologne R. Tch. Slovaquie Hongrie Slovénie UE Les données pour l Union européenne de 2004 concernent 25 pays, et celles de 2001 concernent 15 pays. Source : Rozwój systemu bankowego w Polsce w 2004 NBP 2005, p. 47 Il ressort des données ci-dessus que, du point de vue du contrôle des actifs par les investisseurs étrangers, c est le secteur bancaire de la République Tchèque et de la Slovaquie qui est le plus touché. À la différence des anciens pays de l Union européenne, où l on assiste à une chute importante du nombre des institutions financières, ce nombre a augmenté dans les nouveaux pays membres de l Union européenne, et ce principalement en Pologne (augmentation de 78). Cela 18
21 concerne néanmoins les nouvelles institutions non bancaires. Le nombre des institutions financières n a diminué qu en République Tchèque, à Chypres et en Hongrie (cfr graphique 7). Graphique 7 Changements du nombre des institutions financières dans les nouveaux pays de l Union de mai 2004 à fin CZ EE CY LV LT HU MT PL SI SK 3.2. Internationalisation du secteur bancaire en Pologne Un des effets de la stratégie réalisée par les banques polonaises est l augmentation du taux d internationalisation du secteur bancaire. On mesure l internationalisation d une part par l afflux des investissements étrangers en Pologne, d autre part par les investissements polonais réalisés à l étranger. Après la période de diminution des afflux des investissements étrangers avant l entrée de la Pologne dans l Union européenne, on note en 2004 une augmentation importante de ces investissements (plus du double si l on compare avec l année 2003 cfr graphique 8). Les investissements étrangers dans le secteur bancaire ont également doublé en Néanmoins, l année 2005 marque la baisse tant de tous les investissements étrangers directs que des investissements faits dans le secteur bancaire. Ont diminué les investissements dans les 19
Le marché de l assurance de protection juridique en Europe. Octobre 2013
Le marché de l assurance de protection juridique en Europe Octobre 2013 Le marché de l assurance de protection juridique en Europe Octobre 2013 Dans sa dernière publication, RIAD, l Association internationale
Plus en détailCOMMENT PAYEZ-VOUS? COMMENT VOUDRIEZ-VOUS PAYER?
COMMENT PAYEZ-VOUS? COMMENT VOUDRIEZ-VOUS PAYER? 2/09/2008-22/10/2008 329 réponses PARTICIPATION Pays DE - Allemagne 55 (16.7%) PL - Pologne 41 (12.5%) DK - Danemark 20 (6.1%) NL - Pays-Bas 18 (5.5%) BE
Plus en détailLe commerce de détail en Europe : la diversité des tissus commerciaux
Le commerce de détail en Europe : la diversité des tissus commerciaux Claire de Kermadec* Les habitudes culturelles, la taille et la dynamique des marchés modèlent le paysage du commerce de détail en Europe.
Plus en détailGuide SEPA Paramétrage Experts Solutions SAGE depuis 24 ans
Guide SEPA Paramétrage Axe Informatique Experts Solutions SAGE depuis 24 ans Installation Paramétrage Développement Formation Support Téléphonique Maintenance SEPA Vérification du paramétrage des applications
Plus en détailJe suis sous procédure Dublin qu est-ce que cela signifie?
FR Je suis sous procédure Dublin qu est-ce que cela signifie? B Informations pour les demandeurs d une protection internationale dans le cadre d une procédure de Dublin en vertu de l article 4 du Règlement
Plus en détailDélégation Côte d Azur Formation Geslab 203 module dépenses 1
Délégation Côte d Azur Formation Geslab 203 module dépenses 1 Déroulement de la journée Tiers Recherches et Couguar Créations et particularités Demandes d achats Principes et création Commandes Informations
Plus en détailPaiements transfrontaliers
Paiements transfrontaliers Transférer rapidement et facilement des fonds à partir de et vers un compte à l étranger Valable à partir du 1 e janvier 2007 Valable à partir du 1 e janvier 2007 La vie actuelle
Plus en détailNotes explicatives concernant le formulaire d opposition
OFFICE DE L HARMONISATION DANS LE MARCHÉ INTÉRIEUR (OHMI) (marques, dessins et modèles) Notes explicatives concernant le formulaire d opposition 1. Remarques générales 1.1 Utilisation du formulaire Le
Plus en détailB o u r s e d e m o b i l i t é B E E p o u r l e s d é p a r t s e n 2 0 1 2 1
1 B o u r s e d e m o b i l i t é B E E p o u r l e s d é p a r t s e n 2 0 1 2 1 Objectif : Acquérir une expérience professionnelle en réalisant un stage en entreprise de 3 mois à temps plein à l étranger
Plus en détailPrix de l énergie dans l Union européenne en 2010
COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 249 Septembre 2011 Prix de l énergie dans l Union européenne en 2010 OBRVATION ET STATISTIQU ÉNERG En 2010, le prix du gaz a diminué dans l Union européenne
Plus en détailFIN-INTER-01 LE CONTEXTE
FIN-INTER-01 LE CONTEXTE Public concerné : Etudiants niveau Bac + 2. Durée indicative : 2 heures Objectifs : Positionner le domaine de la finance internationale dans son contexte. Pré requis : Néant. Modalités
Plus en détail12. Le système monétaire
12. Le système monétaire Le rôle de la monnaie est fondamental. Imaginez une situation où aucun moyen de paiement ne ferait l unanimité : - Economie de «troc». - On échange des biens et services contre
Plus en détailJ ai demandé l asile dans l Union européenne quel pays sera responsable de l analyse de ma demande?
FR J ai demandé l asile dans l Union européenne quel pays sera responsable de l analyse de ma demande? A Informations sur le règlement de Dublin pour les demandeurs d une protection internationale en vertu
Plus en détailNom. les. autres États. n de l aviation. Organisation. ATConf/6-WP/49 14/2/12. Point 2 : 2.2. Examen de. des accords bilatéraux. consultées.
Nom Organisation n de l aviation civile internationale NOTE DE TRAVAIL ATConf/6-WP/49 14/2/12 SIXIÈME CONFÉRENCE MONDIALE DE TRANSPORT AÉRIEN Montréal, 18 22 mars 2013 Point 2 : 2.2 Examen de questions
Plus en détailCommission de Surveillance du Secteur Financier
COMMUNIQUE DE PRESSE 13/20 PUBLICATION DU RAPPORT D ACTIVITES 2012 DE LA COMMISSION DE SURVEILLANCE DU SECTEUR FINANCIER (CSSF) Même si cela peut paraître surprenant par des temps aussi mouvementés, l
Plus en détailANNEX 1 ANNEXE RÈGLEMENT DÉLÉGUÉ (UE) N /.. DE LA COMMISSION
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 26.11.2014 C(2014) 8734 final ANNEX 1 ANNEXE au RÈGLEMENT DÉLÉGUÉ (UE) N /.. DE LA COMMISSION remplaçant les annexes I et II du règlement (UE) n 1215/2012 du Parlement
Plus en détailActivités et résultats 2011
Activités et résultats rci en bref RCI Banque est la captive financière de l Alliance Renault Nissan et assure à ce titre le financement des ventes des marques Renault, Renault Samsung Motors (RSM), Dacia,
Plus en détailWS32 Institutions du secteur financier
WS32 Institutions du secteur financier Session 1 La vision chinoise Modernisation du système financier chinois : fusion de différentes activités bancaires et financières, accès des ménages au marché des
Plus en détailAgricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.
Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005 Summary in French Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005 Résumé Le soutien accordé aux producteurs
Plus en détailVI. TENDANCES DE L INVESTISSEMENT DIRECT ÉTRANGER DANS LES PAYS DE L OCDE
VI. TENDANCES DE L INVESTISSEMENT DIRECT ÉTRANGER DANS LES PAYS DE L OCDE Introduction L investissement direct étranger a des effets bénéfiques sur l économie L investissement direct étranger (encadré
Plus en détailCrises financières et de la dette
Institut pour le Développement des Capacités / AFRITAC de l Ouest / COFEB Cours régional sur la Gestion macroéconomique et les questions de dette Dakar, Sénégal du 4 au 15 novembre 2013 S-2 Crises financières
Plus en détailListe des tarifs. Liste des tarifs. Tarifs en vigueur à partir du 01/09/2015 (sujets à modifications)
Liste des tarifs Liste des tarifs Tarifs en vigueur à partir du 01/09/2015 (sujets à modifications) Applicables aux comptes Hello bank! à usage privé (Pour les consommateurs) Liste des tarifs 2 Sommaire
Plus en détailÉtudes. Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages
Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages Depuis 25 ans, la structure de l épargne financière des ménages a été singulièrement modifiée par l essor
Plus en détailCAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES
Direction Épargne et Clientèle Patrimoniale Date de diffusion : 26 janvier 2015 N 422 CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Dans une démarche d accompagnement auprès de vos clients, plusieurs communications
Plus en détailL implantation des banques marocaines en Afrique
L implantation des banques marocaines en Afrique L intégration de l économie marocaine à l économie mondiale est désormais une évidence qui fait l unanimité, le dynamisme de cette intégration a été rendu
Plus en détailHausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada
Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada Juillet 3 Aperçu Des données récemment publiées, recueillies par Prêts bancaires aux entreprises Autorisations et en-cours (Figure ), l Association des
Plus en détailL activité financière des sociétes d assurances
L activité financière des sociétes d assurances Les marchés boursiers ont repris au cours de l année 2003. Par conséquent, les plus-values latentes sur actifs des sociétés d assurances augmentent. Les
Plus en détailPrix du gaz et de l électricité dans l Union européenne en 2011
COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 366 Novembre 2012 Prix du gaz et de l électricité dans l Union européenne en 2011 OBRVATION ET STATISTIQU ÉNERG En 2011, le prix du gaz a augmenté dans tous
Plus en détailFonds de placement Le modèle adapté à chaque type d investisseur.
Fonds de placement Le modèle adapté à chaque type d investisseur. Bienvenue. Des arguments qui comptent Les points forts des fonds de placement du Credit Suisse. De nets avantages Les fonds de placement:
Plus en détailInvestissements et R & D
Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités
Plus en détailLe prélèvement SEPA Quels impacts pour votre entreprise?
Vous êtes chef d entreprise, profession libérale, professionnel, expert comptable, Directeur Administratif et Financier. L harmonisation de Moyens de Paiement vous concerne Le prélèvement SEPA Quels impacts
Plus en détailCanada-Inde Profil et perspective
Canada-Inde Profil et perspective Mars 2009 0 L Inde et le Canada : un bref profil Vancouver Calgary Montréal Toronto INDE 3 287 263 km² 1,12 milliard 1 181 milliards $US 1 051 $US Source : Fiche d information
Plus en détailà la Consommation dans le monde à fin 2012
Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du
Plus en détailLa stabilité des prix : pourquoi est-elle importante pour vous? Brochure d information destinée aux élèves
La stabilité des prix : pourquoi est-elle importante pour vous? Brochure d information destinée aux élèves Que peut-on acheter pour dix euros? Et si, avec cet argent, vous pouviez acheter deux maxi CD
Plus en détailLES EUROPEENS ET LES LANGUES
Eurobaromètre Commission européenne LES EUROPEENS ET LES LANGUES Terrain : Mai Juin 2005 Publication : Septembre 2005 Eurobaromètre Spécial 237-Vague 63.4 TNS Opinion & Social Sondage commandité et coordonné
Plus en détail2 analyses. Encadré 2.1 : Répartition géographique des investissements de portefeuille du luxembourg 106. bulletin bcl 2010 3 97
analyses 2 2 analyses 1 La position extérieure globale du Luxembourg 98 1.1 Introduction 98 1.2 La position nette par catégorie d actifs : vue d ensemble 99 1.3 La position d investissements directs 11
Plus en détailECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION
ECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION On constate trois grandes phases depuis la fin de la 2 ème guerre mondiale: 1945-fin 50: Deux blocs économiques et
Plus en détailOrdonnance relative à la loi fédérale sur la Banque nationale suisse
Ordonnance relative à la loi fédérale sur la Banque nationale suisse (Ordonnance de la Banque nationale, OBN) Modification du 7 mai 2014 La Banque nationale suisse arrête: I L ordonnance du 18 mars 2004
Plus en détailSécurité des patients et qualité des soins de santé Rapport
Eurobaromètre spécial Commission européenne Sécurité des patients et qualité des soins de santé Rapport Terrain : septembre - octobre 2009 Publication : avril 2010 Eurobaromètre 327 / Vague TNS Opinion
Plus en détailPrivate Banking. Lorem ipsum est Enim Corpus Apolonius ipsum est Doloris CREDIT SUISSE (LUXEMBOURG) S.A. Tableau des frais et commissions
Private Banking Lorem ipsum est Enim Corpus Apolonius ipsum est Doloris CREDIT SUISSE (LUXEMBOURG) S.A. Tableau des frais et commissions Sommaire A. Information générale sur CREDIT SUISSE (LUXEMBOURG)
Plus en détailQUELLE DOIT ÊTRE L AMPLEUR DE LA CONSOLIDATION BUDGÉTAIRE POUR RAMENER LA DETTE À UN NIVEAU PRUDENT?
Pour citer ce document, merci d utiliser la référence suivante : OCDE (2012), «Quelle doit être l ampleur de la consolidation budgétaire pour ramener la dette à un niveau prudent?», Note de politique économique
Plus en détailLes perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI
Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds
Plus en détailMonnaie, banques, assurances
Monnaie, banques, assurances Panorama La politique monétaire de la Banque nationale suisse en 2013 En 2013, la croissance de l économie mondiale est demeurée faible et fragile. En Europe, les signes d
Plus en détailL ESPACE UNIQUE DES PAIEMENT EN EUROS (SEPA) Vers une harmonisation des moyens de paiement européens. Direction des affaires économiques de la CGPME
L ESPACE UNIQUE DES PAIEMENT EN EUROS (SEPA) Vers une harmonisation des moyens de paiement européens Direction des affaires économiques de la CGPME SEPA (Single Euro Payment Area) Harmonisation des moyens
Plus en détailLa surveillance prudentielle du secteur financier
La surveillance prudentielle du secteur financier Chapitre VII Chapitre VI Chapitre V Chapitre IV Chapitre III Chapitre II Chapitre I Chapitre VII Chapitre VI Chapitre V Chapitre IV Chapitre III Chapitre
Plus en détailLe nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien
Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien Janone Ong, département des Marchés financiers La Banque du Canada a créé un nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien,
Plus en détailECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011
BACCALAUREAT EUROPEEN 2011 ECONOMIE DATE: 16 Juin 2011 DUREE DE L'EPREUVE : 3 heures (180 minutes) MATERIEL AUTORISE Calculatrice non programmable et non graphique REMARQUES PARTICULIERES Les candidats
Plus en détailLe virement SEPA. www.lesclesdelabanque.com. Novembre 2007 LES MINI-GUIDES BANCAIRES. Le site d informations pratiques sur la banque et l argent
027 www.lesclesdelabanque.com Le site d informations pratiques sur la banque et l argent Le virement SEPA LES MINI-GUIDES BANCAIRES FBF - 18 rue La Fayette - 75009 Paris cles@fbf.fr Novembre 2007 Ce mini-guide
Plus en détailGuide SEPA «Votre guide pour préparer la migration de vos flux vers l Europe des Moyens de Paiement»
Guide SEPA «Votre guide pour préparer la migration de vos flux vers l Europe des Moyens de Paiement» Le Crédit Agricole accompagne les Entreprises dans le nouvel environnement des Moyens de Paiement Le
Plus en détail20 ANS. du marché unique européen. Ensemble pour une nouvelle croissance. Principales réalisations. Marché intérieur et services
20 ANS du marché unique européen Ensemble pour une nouvelle croissance Principales réalisations Marché intérieur et services Europe Direct est un service destiné à vous aider à trouver des réponses aux
Plus en détailPrincipaux partenaires commerciaux de l UE, 2002-2014 (Part dans le total des échanges de biens extra-ue, sur la base de la valeur commerciale)
55/2015-27 mars 2015 Commerce international de biens en 2014 Principaux partenaires commerciaux de l UE en 2014: les États-Unis pour les exportations, la Chine pour les importations Le commerce entre États
Plus en détailInnover à l'ère du numérique : ramener l'europe sur la bonne voie Présentation de J.M. Barroso,
Innover à l'ère du numérique : ramener l'europe sur la bonne voie Présentation de J.M. Barroso, Président de la Commission européenne, au Conseil européen des 24 et 25 octobre 213 Indice de compétitivité
Plus en détailVotre partenaire en gestion privée
Votre partenaire en gestion privée Société Générale Private Banking 2 800 collaborateurs Une présence dans 22 pays 75,4 milliards d euros d actifs sous gestion, au 31 décembre 2009 Nos récompenses 2010
Plus en détailActifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics
Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve
Plus en détailla voie bilatérale reste la meilleure option
WWW.ELECTIONS.CH FICHE THEMATIQUE : SUISSE-UE la voie bilatérale reste la meilleure option L UE est un des principaux partenaires commerciaux de la Suisse. A l inverse, la Suisse est le deuxième partenaire
Plus en détailCONSOLIDER LES DETTES PUBLIQUES ET RÉGÉNÉRER LA CROISSANCE. Michel Aglietta Université Paris Nanterre et Cepii
CONSOLIDER LES DETTES PUBLIQUES ET RÉGÉNÉRER LA CROISSANCE Michel Aglietta Université Paris Nanterre et Cepii Consolider les dettes publiques: un processus au long cours Les dysfonctionnements européens
Plus en détailTests d accès pour les concours généraux
Tests d accès pour les concours généraux EPSO/AD/53-62/06 Administrateurs (AD5) de citoyennetés chypriote, tchèque, estonienne, hongroise, lituanienne, lettone, maltaise, polonaise, slovène, slovaque dans
Plus en détailTaux de risque de pauvreté ou d exclusion sociale le plus élevé en Bulgarie, le plus faible en République tchèque
168/2014-4 Novembre 2014 Risque de pauvreté ou d'exclusion sociale dans l'ue28 Plus de 120 millions de personnes menacées de pauvreté ou d exclusion sociale en 2013 Soit près d une personne sur quatre
Plus en détailChapitre 9 : Les étapes de la construction de l Europe monétaire
Chapitre 9 : Les étapes de la construction de l Europe monétaire Que dit le Traité de Rome en matière monétaire? Pas de propos très détaillés. Ce qui est mentionné, c est l ambition de créer une aire régionale
Plus en détailEditorial. Chère lectrice, cher lecteur,
Version de : juillet 2013 Le point sur... Informations fournies par le ministère fédéral des Finances Les mécanismes européens de stabilité Sur la voie de l Union de la stabilité 1 2 3 4 ème volet Editorial
Plus en détailChiffre d affaires de Casino unité : million d euros / Source : Casino
Septembre 2012 / TBI&LMO / BPE 2ENT18 Chiffre d affaires de Casino unité : million d euros / Source : Casino 40 000 34 361 NAF rév.2, 2008 : Chiffres clés 2011 47.11CDEF 47.91B 30 000 20 000 20 390 22
Plus en détailPréparez-vous au virement SEPA
OCTOBRE 2012 ENTREPRENEURS N 6 PAIEMENT LES MINI-GUIDES BANCAIRES www.lesclesdelabanque.com Le site pédagogique sur la banque et l argent Préparez-vous au virement SEPA FBF - 18 rue La Fayette - 75009
Plus en détailInformations techniques et questions
Journée Erasmus Appel à propositions 2015 Informations techniques et questions Catherine Carron et Amanda Crameri Coordinatrices de projet Erasmus Contenu Call solution transitoire 2015 : remarques générales
Plus en détailFocus sur les structures de l enseignement supérieur en Europe 2004/2005 Évolutions nationales dans le cadre du Processus de Bologne
ISSN 1830-348X Direction générale de l éducation et de la culture Focus sur les structures de l enseignement supérieur en Europe 2004/2005 Évolutions nationales dans le cadre du Processus de Bologne Commission
Plus en détailPréparez-vous au virement
octobre 2012 Entrepreneurs n 6 paiement Les mini-guides bancaires www.lesclesdelabanque.com Le site pédagogique sur la banque et l argent Préparez-vous au virement SEPA FBF - 18 rue La Fayette - 75009
Plus en détailOBSERVATION ET STATISTIQUES
COMMISSARI GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 461 Novembre 2013 Prix du gaz et de l électricité en France et dans l Union européenne en 2012 OBRVION ET STISTIQU ÉNERG En 2012, le prix du gaz a augmenté
Plus en détailI) L ouverture des économies à l international
L autarcie s oppose au système du libreéchange. I) L ouverture des économies à l international A) La mesure des échanges de biens et services. La balance des transactions courantes. Cette balance retrace
Plus en détailSolvabilité 2, pour une meilleure protection des assurés européens
Solvabilité 2, pour une meilleure protection des assurés européens Solvabilité II, contrats responsables, normes IFRS, fiscalité : conséquences de ces normes sur le devenir des opérateurs et des couvertures
Plus en détailFORTUNA di GENERALI. Fiche info financière assurance-vie pour la branche 23. FORTUNA di GENERALI 1
FORTUNA di GENERALI 1 TYPE D ASSURANCE-VIE GARANTIES Assurance-vie dont le rendement est lié à des fonds d investissement (branche 23). Fortuna di Generali garantit des prestations en cas de vie ou en
Plus en détailNOUVELLES DISPOSITIONS RELATIVES AUX SERVICES DE PAIEMENT APPLICABLES AUX PARTICULIERS A PARTIR DU 1 ER NOVEMBRE 2009
NOUVELLES DISPOSITIONS RELATIVES AUX SERVICES DE PAIEMENT APPLICABLES AUX PARTICULIERS A PARTIR DU 1 ER NOVEMBRE 2009 Introduction En application de l ordonnance n 2009-866 du 15 juillet 2009 relative
Plus en détailLe SMI. Chapitre 1. 1.1 Les origines historiques du SMI actuel. 1.1.1 Avant la première Guerre mondiale : l étalon or
Chapitre 1 Le SMI 1.1 Les origines historiques du SMI actuel 1.1.1 Avant la première Guerre mondiale : l étalon or L étalon change-or (Conférence de Gênes - 1922) Caractéristiques : Chaque monnaie nationale
Plus en détailRencontres économiques. Les performances de l économie polonaise, succès européen? 25 juin 2013. Synthèse
Rencontres économiques Les performances de l économie polonaise, succès européen? 25 juin 2013 Synthèse Sommaire Sommaire...2 Les performances de l économie polonaise, succès européen?...3 La transition
Plus en détailLe point sur les marchés des pensions. des pays de l OCDE OCDE
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 17 décembre 2013 à 14h30 «Etat des lieux sur l épargne en prévision de la retraite» Document N 13 Document de travail, n engage pas le Conseil Le
Plus en détailChapitre 2 : La logistique. Pour le commerce international, les modes de transport utilisés sont :
I) La chaine logistique internationale. A. Le concept de logistique. Chapitre 2 : La logistique. Les activités de logistique et de transport permettent de gérer l ensemble des flux de matières et de produits,
Plus en détailLes obstacles au marché intérieur du point de vue des citoyens
Eurobaromètre études qualitatives Les obstacles au marché intérieur du point de vue des citoyens Rapport complet Commission européenne Les obstacles au marché intérieur du point de vue des citoyens Rapport
Plus en détailPartie 2 : Qui crée la monnaie?
Partie 2 : Qui crée la monnaie? Marché monétaire Masse monétaire Banque centrale Prêteur en dernier ressort Notions clés I. La mesure de la création monétaire : la masse monétaire La masse monétaire n
Plus en détailBANQUE NATIONALE DE ROUMANIE BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE
1 La crise actuelle est caractéris risée e par le grand nombre de marchés affectés s et par la diversité des canaux de contagion Les principaux canaux de contagion pour l ECE: Canal informationnel (sentiment
Plus en détailOptions en matière de réforme des systèmes financiers
Options en matière de réforme des systèmes financiers Hansjörg Herr et Rainer Stachuletz Le projet de mondialisation néolibérale est monté en puissance à la fin des années 1970 grâce aux politiques de
Plus en détailLa guerre des devises, une source d opportunités Mars 2015
PERSPECTIVES La guerre des devises, une source d opportunités Mars 2015 Depuis le début de l année 2015, de nombreuses banques centrales à travers le monde ont abaissé leur taux d intérêt ou pris d autres
Plus en détailChiffre d affaires 2014 pro forma : 3 370,1 M Résultat Net Part du Groupe pro forma : 92,8 M
Communiqué de presse Chiffre d affaires pro forma : 3 370,1 M Résultat Net Part du Groupe pro forma : 92,8 M Paris, le 19 mars 2015 Le Conseil d administration du Groupe Sopra Steria, réuni le 17 mars
Plus en détailL Europe bancaire et financière M2 Politiques européennes
L Europe bancaire et financière M2 Politiques européennes Delphine Lahet Introduction 1. Définitions des concepts et de l environnement réglementaire a. Concepts : les acteurs, les évolutions des métiers
Plus en détailLe FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détailTEPZZ 568448A_T EP 2 568 448 A1 (19) (11) EP 2 568 448 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (51) Int Cl.: G07F 7/08 (2006.01) G06K 19/077 (2006.
(19) TEPZZ 68448A_T (11) EP 2 68 448 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (43) Date de publication: 13.03.2013 Bulletin 2013/11 (1) Int Cl.: G07F 7/08 (2006.01) G06K 19/077 (2006.01) (21) Numéro de dépôt:
Plus en détailLivre blanc Compta Le SEPA : Comment bien préparer sa migration?
Livre blanc Compta Le SEPA : Comment bien préparer sa migration? Notre expertise en logiciels de gestion et rédaction de livres blancs Compta Audit. Conseils. Cahier des charges. Sélection des solutions.
Plus en détailÉtudes. La position extérieure : éléments de mesure et utilité pour la politique monétaire et la stabilité financière
La position extérieure : éléments de mesure et utilité pour la politique monétaire et la stabilité financière La position extérieure reflète la situation patrimoniale d une économie vis-à-vis de l extérieur.
Plus en détaile-mail : bcf.courrier@bcf.asso.fr site internet : www.bcf.asso.fr. ASSURANCE FRONTIÈRE --------------------- CAHIER DES CHARGES
BUREAU CENTRAL FRANÇAIS DES SOCIÉTÉS D ASSURANCES CONTRE LES ACCIDENTS D AUTOMOBILES Adresser toute correspondance : 1, rue Jules Lefebvre 75431 PARIS CEDEX 09 Téléphone : 01 53 21 50 80 Télécopieur :
Plus en détailAnnexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique
Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Les échanges de marchandises (biens et services), de titres et de monnaie d un pays avec l étranger sont enregistrés dans un document comptable
Plus en détailCOMMUNIQUE DE PRESSE Résultats financiers au 30 juin 2013 de BGL BNP Paribas Performance solide dans un environnement en mutation
Luxembourg, le 30 août 2013 COMMUNIQUE DE PRESSE Résultats financiers au 30 juin 2013 de BGL BNP Paribas Performance solide dans un environnement en mutation Progression des revenus commerciaux La Banque
Plus en détailDécryptage des méthodes modernes de la création monétaire
Décryptage des méthodes modernes de la création monétaire Nikolay Gertchev Deuxième Université d automne de l économie autrichienne 5-7 Octobre 212, Troyes Eléments essentiels des systèmes bancaires contemporains
Plus en détailC O M M U N I Q U É D E P R E S S E
C O M M U N I Q U É D E P R E S S E Information réglementée* Bruxelles, Paris, 13 mai 2009 7h00 Résultat net de EUR 251 millions au 1 er trimestre 2009 Ratio Tier 1 de 10,7 % et core Tier 1 de 9,8 % Faits
Plus en détailLes concepts et définitions utilisés dans l enquête «Chaînes d activité mondiales»
Les concepts et définitions utilisés dans l enquête «Chaînes d activité mondiales» Les chaînes d activité mondiales (CAM) Les chaînes d activité recouvrent la gamme complète des fonctions et des tâches
Plus en détailLa mise en oeuvre de la coopération renforcée dans le domaine de la Taxe sur les Transactions Financières (TTF) 23 Janvier 2014
La mise en oeuvre de la coopération renforcée dans le domaine de la Taxe sur les Transactions Financières (TTF) 23 Janvier 2014 Les mesures préparatoires et procédurales entre 2010 et 2013 10.2010 Communication
Plus en détailSommaire. Informations clés... 04. Profil... 06. Corporate et Institutional Banking... 08. Retail Banking... 10. Private Banking...
_ FR Sommaire Informations clés... 04 Profil... 06 Corporate et Institutional Banking... 08 Retail Banking... 10 Private Banking... 12 Treasury et Financial Markets... 14 La BIL à votre service depuis
Plus en détailRapport financier du premier trimestre de 2013-2014
Rapport financier du premier trimestre de -2014 Pour la période terminée le Financement agricole Canada Financement agricole Canada (FAC), dont le siège social se trouve à Regina, en Saskatchewan, est
Plus en détailLA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE
LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE par John P. Martin, Martine Durand et Anne Saint-Martin* Audition
Plus en détailC O M M U N I Q U É D E P R E S S E
C O M M U N I Q U É D E P R E S S E Information réglementée* Bruxelles, Paris, 30 janvier 2009 8h55 Dexia met en œuvre son plan de transformation pour consolider son redressement et devrait enregistrer
Plus en détailb ) La Banque Centrale Bilan de BC banques commerciales)
b ) La Banque Centrale Notre système bancaire se complexifie puisqu il se trouve maintenant composer d une multitude de banques commerciales et d une Banque Centrale. La Banque Centrale est au cœur de
Plus en détail